Découverte : Visitez la capitale Beijing pour découvrir ses zones urbaines et ses célèbres monuments

Beijing, la capitale de la Chine est le centre politique, culturel, d’échanges internationaux et le centre d’innovation scientifique et technologique. Cette métropole qui couvre une superficie de 16.000 Kilomètres carrés, compte à ce jour 21 millions 858 mille habitants.

Pour sa gestion harmonieuse, les autorités politiques mettent l’accent sur le développement du capital humain afin de promouvoir sa transformation profonde.

La ville de Beijing est la première mégalopole chinoise qui a maintenu son développement, tout en réduisant son échelle, en s’engageant à promouvoir de manière coordonnée un développement innovant, vert, de haute qualité et centré sur les personnes.

Située à proximité de la Grande Muraille, la ville de Beijing abrite des célèbres monuments comme la Cité interdite et le Temple du ciel, qui sont inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO.

De nombreuses réalisations architecturales et structurelles ont modifié la ville à l’occasion des Jeux olympiques d’été dont elle a été l’hôte en 2008. La capitale chinoise a été choisie par le Comité olympique international pour organiser les Jeux olympiques d’hiver de 2022 et est donc la première ville à avoir accueilli les deux éditions de l’évènement sportif international.

 

Innovation technologique

Beijing est riche en éducation, en sciences et technologies et en ressources humaines, avec 92 universités, plus de 1 000 instituts de recherche, plus de 550 000 chercheurs, 4 laboratoires nationaux et 77 laboratoires clés nationaux, soit le plus grand nombre de laboratoires en Chine.

Plus de 20 grandes installations scientifiques pour la recherche fondamentale ont fourni des services à plus de 330 institutions et entreprises de recherche nationales et étrangères. Plus de 300 nouvelles entreprises scientifiques et technologiques, 114 entreprises licornes, et près de 800 « petits géants » spécialisés, haut de gamme et axés sur l’innovation au niveau de l’État sont créés chaque jour, ce qui place cette ville au premier rang de toutes les villes du pays.

Assurer le bien-être de la population

Les services d’éducation ont continué à s’améliorer. À l’heure actuelle, le taux d’accès à l’enseignement préscolaire est supérieur à 90 %, le taux d’inscription à l’enseignement obligatoire est de 99 % et le taux d’inscription à l’examen national d’entrée à l’université est supérieur à 85 %.

La disposition des ressources médicales a été continuellement optimisée avec des institutions médicales de haute qualité dans la région, telles que l’hôpital de Tiantan et l’hôpital stomatologique de Pékin, et le taux d’inscription des médecins de famille parmi les groupes clés est supérieur à 98 %. La capacité des services de soins aux personnes âgées a été considérablement améliorée, le nombre moyen de lits dans les maisons de retraite pour 1,000 résidents permanents étant supérieur à 5,8.

 

Derick Katola depuis Beijing capita

le de la Chine




La République du Burundi réaffirme son soutien à la souveraineté du Maroc sur son Sahara

Le ministre marocain des affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita a rencontré, jeudi dernier à Rabat, l’ambassadeur Albert Shingiro, ministre des affaires étrangères et de la coopération de la République du Burundi. Au cours de leurs entretiens, les deux ministres se sont réjouis de l’état de coopération entre les deux pays frères. Ils ont réitéré également leur engagement inébranlable d’intensifier et diversifier l’échange entre les deux nations, conformément à la volonté politique exprimée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Son excellence le président Evariste Ndayishimiye.

S’agissant de l’intégrité territoriale du Maroc, M. Albert Shingiro a réitéré la position constante de la république du Burundi en faveur de la souveraineté du Royaume sur l’ensemble de son territoire, ainsi que le soutien de son pays au plan d’autonomie présenté par le Royaume du Maroc.

En 2022, les deux Etats ont donné un coup d’accélérateur à leur relation en procédant à la signature de deux accords : le premier portant sur la création de la commission mixte de coopération, et le second concernant l’exemption des visas pour les titulaires de passeports diplomatiques et de service.




RDC : Le ministre de la justice Constant Mutamba au Lualaba pour prêcher les réformes judiciaires 

Après le Haut-Katanga, le ministre d’État en charge de la justice Constant Mutamba séjourne à Kolwezi, dans la province du Lualaba. Le patron de la justice a été reçu en audience ce vendredi 11 octobre par la gouverneure Fifi Mansuka en présence des autorités judiciaires et membres du Conseil de sécurité ainsi que quelques membres du Gouvernement provincial. Il était question de mettre fin au régime des intouchables, les spoliations de plusieurs domaines de l’État, se rendre compte des conditions carcérales et du travail des services pénitentiaires et judiciaires ainsi que la vulgarisation des réformes initiées, sans oublier l’implémentation de la bancarisation des frais de justice et des consultations populaires, en prélude des états généraux dans le secteur de la justice.

Dans son mot devant la presse, le ministre Mutamba s’est dit satisfait de la volonté de la Gouverneure Fifi Mansuka de s’approprier la lutte contre les injustices. Pour lui, la cheffe de l’exécutif provincial du Lualaba se rallie donc à toutes les actions de son ministère qui visent à rétablir un véritable État de droit, selon la vision du président de la République.

 

Après cette audience, le patron de la justice congolaise s’est dirigé au Centre pénitentiaire de Dilala, où il a visité des installations, dépôts et autres. Ensuite, il a procédé à libération de 9 détenus sans dossiers et arrêtés arbitrairement.

Constant Mutamba a saisi cette occasion pour présenter la vision qui a pour objectif, de rendre tous les centres pénitentiaires de la République vivables en améliorant les conditions des vies des détenus.

Sans se lasser, le ministre de la justice a été à la place de la Poste de Kolwezi où il a consulté la population en prélude des États généraux de la justice.

 

La population n’a pas manqué de poser des questions et manifester son indignation sur certains comportements.

 

 

Mboshi




Chine : La population africaine appelée à expérimenter les bienfaits de la médecine traditionnelle chinoise 

Une délégation des journalistes africains à visité ce vendredi 11 Octobre à Beijing, l’Hôpital Dongzhimen qui est spécialisé dans la médecine traditionnelle chinoise six décennies. Il a été question pour les professionnels des médias du continent noir, de découvrir et de palper du doigt la médecine traditionnelle chinoise dans cet établissement.

Fondé en 1958 et affilié à l’université de médecine chinoise de Pékin, l’hôpital Dongzhimen est un hôpital général de médecine chinoise de classe A à grande échelle qui intègre le traitement médical, l’enseignement et la recherche. Il compte de nombreux médecins réputés et un personnel talentueux.

Aujourd’hui, l’hôpital Dongzhimen comprend deux sites hospitaliers principaux et un département international, tous situés au centre de Pékin avec près de 1 600 lits d’hôpitaux et plus de 40 départements cliniques, où environ 3 millions de personnes reçoivent des services ambulatoires chaque année.

Cet établissement hospitalier vise à devenir la pierre angulaire du secteur de la médecine traditionnelle chinoise sur la base de l’organisation « deux sites principaux et un département international ».

En tant que berceau de l’enseignement clinique de la MTC, nous avons envoyé des dizaines de milliers de praticiens exceptionnels dans 79 pays et régions du monde.

Grâce à l’histoire séculaire de la Chine et à la sagesse de la MTC, l’hôpital Dongzhimen de l’Université de médecine chinoise de Pékin contribuera à une Chine plus saine et à une communauté mondiale de santé durable pour l’humanité.

Une médecine traditionnelle qui s’exporte aussi

Cet hôpital promet dans le futur d’étendre son développement en Afrique dans le cadre de la coopération Sino-Africaine. Elle attend ainsi des opportunités pour exporter son expertise dans la médecine traditionnelle chinoise en Afrique.

« Dans un avenir proche, nous espérons que la MTC sera plus bénéfique pour la santé des Chinois et des Africains. Ensemble, nous pourrons construire une communauté mondiale de la santé pour l’humanité » a déclaré Li Jinyu, vice-président de l’hôpital Dongzhimen.

Sachez aussi que l’Université de Médecine Traditionnelle Chinoise de Beijing a construit il y a plusieurs années quatre (4) hôpitaux cliniques à l’international notamment aux Etats-Unis d’Amérique, en Russie, en Allemagne et en Australie. Des formations continues sont organisées dans divers pays afin de partager les connaissances sur la médecine traditionnelle chinoise.

Derick Katola depuis Beijing, capitale de la Chine




En séjour à Paris : Vital Kamerhe visite l’ambassade de la Rdc

En marge de son séjour de travail à Paris, le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a visité l’Ambassade de la République Démocratique du Congo à Paris, bâtiment nouvellement réhabilité grâce à l’appui du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Situé au n⁰32 Cours Albert 1er, 75008 Paris, ce bâtiment rayonne de nouveau grâce à sa nouvelle image.

Le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a été accueilli par l’Ambassadeur Emile Ngoy Kasongo et le personnel de l’Ambassade ainsi que la délégation des députés nationaux qui l’accompagnent dont le Rapporteur Jacques Djoli, l’honorable Riziki Maneno, l’honorable Patrick Munyomo, l’honorable Dorothé Madiya, l’honorable Adèle Bazizane et l’honorable Guy Mafuta.

Après le mot d’accueil de l’Ambassadeur Emile Ngoyi, le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a salué l’initiative et le travail abattu par ambassadeur Emile Ngoy Kasongo la tête de la mission diplomatique congolaise en France sous le leadership éclairé du Président Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Après cet échange, le Professeur Emile Ngoy Kasongo a invité son hôte de marque à faire la visite des différents locaux de ce bâtiment qui fait aujourd’hui la fierté de la mission diplomatique congolaise en France. Plusieurs locaux revêtent de leurs nouvelles robes.

Émus par cette visite, le personnel de l’Ambassade se joint à l’Ambassadeur Emile Ngoy Kasongo pour une photo de famille avec le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe et sa délégation avant de le raccompagner.




Les victimes des manifestations de l’Udps contre la révision constitutionnelle entre avril 1990 et décembre 2018 passées au compte de pertes et profits

Kamerhe et Sama Lukonde découvrent finalement la vraie raison du choix porté sur eux par Tshisekedi pour diriger l’Assemblée nationale et le Sénat : confier au leadership de l’Est la charge de la re-visitation de la Constitution !

Va-t-on encore, désormais, organiser des messes, des marches, des colloques etc. en mémoire de tous les “Rossy Mukendi” victimes des actions de la rue dont seuls les initiés de l’Udps connaissaient la nature ? _”Une fois l’Udps au Pouvoir, nous changerons la Constitution_”, aurait déclaré Étienne Tshisekedi sans qu’on en situe le contexte. On sait seulement que s’exprimant à ce sujet, le secrétaire général statutaire et président national non statutaire de l’Udps, Augustin Kabuya, s’est réjoui le 10 octobre 2024 de lancer officiellement la campagne de mobilisation des combattants. _”Point n’est besoin de vous rappeler que la révision constitutionnelle est une promesse électorale de notre parti et cette réforme est capitale à plusieurs égards. Nous vous invitons, à partir de ce jour, chacun dans son ressort, à mobiliser et à conscientiser la base du parti, afin d’imprégner aux militants le bien-fondé de la mise en œuvre du processus de révision de la constitution en vigueur selon les normes prévues par cette dernière_”, a-t-il précisé*

Coup dur, coup dur, coup dur

C’est qu’Augustin Kabuya ne réalise pas, et avec lui certainement les zélés de l’Udps, c’est la gravité de l’aveu.

Ainsi, toute la bataille de l’Udps au cours de ses 37 ans d’opposition et ses 5 ans du premier mandat n’aura eu pour objectif que le changement de la Constitution, revendication première de la Lettre des 13 Parlementaires du 1er novembre 1980, Parlementaires qui deviendront en février 1982 les “pères fondateurs” de l’Udps.

En d’autres termes, toutes les manifestations publiques organisées entre 1990 et 2018 (récupération politicienne de l’Opération Lititi Mboka en 1990, soutien au pillage de 1991, Marche des Chrétiens de 1992 pour obtenir la réouverture de la Cns, journées ville-morte ayant affecté le climat des affaires, rejet des signes monétaires, suspension de la coopération structurelle occidentale et soutien à l’avènement du Fpr au pouvoir en 1994, soutien à l’Afdl en 1997, soutien au Rcd en 1998, boycott du Dialogue Inter congolais lors du round Sun City 1, refus d’intégrer le 1+4 issu de Sun City 2, boycott du référendum constitutionnel de 2005, parodie organisée autour de la candidature d’Étienne Tshisekedi en 2011, mise en échec systématique des pourparlers d’Ibiza et de Venise en 2015, rencontre Ile de Gorée la même année, rencontre de Genval en juin et journées folles du 19 au 21 septembre 2016, boycott du Dialogue de la Cité de l’Union africaine et participation aux négociations du Centre Interdiocésain de Kinshasa, marches initiées par le Comité des laïcs catholiques fin 2017 et début 2018, et même chantage autour des funérailles de feu Étienne Tshisekedi ne visaient que *le changement de la Constitution !

En plus, tous les ratages économiques et sociaux du premier mandat sont à insérer désormais dans ce cadre. De même que la navigation à vue en cours.

Dans cette logique, tous les “Rossy Mukendi” (morts, veufs, orphelins, handicapés à vie, exilés, prisonniers, pertes d’emplois, pertes de biens privés ou publics, etc.) apprennent à leurs dépens qu’ils servaient juste de caution à une Cause enfin révélée : la révision ou le changement de la Constitution !

Combien sont-elles, ces victimes ? On ne le saura jamais. Qui va devoir les dédommager ? Personne ne leur a demandé d’être en vie pendant que l’Udps luttait pour atteindre son objectif*.

Ce que l’Histoire va toutefois retenir, c’est que ce parti a agi avec une froideur inouïe, convaincu qu’on ne fait pas d’ *omelette sans casser les œufs.

Ces victimes sont passées au compte de pertes et profits.

-Coup dur pour les partis qui, depuis les années 1990, auront coalisé avec l’Udps à un moment ou à un autre ;

-Coup dur pour les organisations patronales, syndicales et religieuses qui prenaient fait et cause pour ce parti ;

-Coup dur pour les ONG (Lizadho, Vsv, Asadho, Acaj) et les mouvements des jeunes comme Lucha, Filimbi etc. ayant soutenu l’Udps ;

-Coup dur pour les médias, dont la “presse rouge”, pour tout le travail de diabolisation abattu contre toutes les forces politiques et sociales qui tentaient de contenir la machine à broyer du lider maximo;

-Coup dur surtout pour les partenaires extérieurs qui n’ont eu de cesse, depuis les années 1990, de prendre des sanctions à l’égard des proches des chefs d’État. Ils croyaient faire mal à des acteurs politiques, mais en réalité c’est la population qui en fait les frais.

Conséquence, à cause de l’Udps fortifié par l’Occident à l’époque, la RDC va se jeter à son corps défendant entre les mains “rassurantes de la Chine compréhensive”. Et s’étant mis à froid avec ses “parrains” d’hier, Félix Tshisekedi ne jure plus que par la même Chine !

Tout ce beau monde va apprendre un certain 1er octobre 2024 qu’il n’aura servi qu’à une cause autre que celle affichée.

Effet boomerang

Est-ce que la révision ou le changement de la loi fondamentale n’est pas un acte légal ? Si !

C’est un acte légal.

Les mécanismes de sa révision sont prévus aux articles 218 et 219, quand bien même l’Udps renoue avec la pratique malsaine de la lecture partielle des textes.

En effet, dans sa stratégie de communication, ce parti met l’accent sur le premier article, ignorant que le sort de celui-ci est lié au second.

On ne peut de ce fait pas l’empêcher d’y avoir songé, même si le prix qu’il a fait payer au peuple congolais est celui de la méchanceté, pour ne pas dire de la cruauté.

Cependant, et on cessera jamais de le répéter, pour y arriver l’Udps ne doit pas se passer de ces mécanismes.

Autrement, il aura confirmé ce qui se constate sur le terrain : à l’opposition, il avait la même perception universelle de l’État de droit, des Droits de l’homme et de la Démocratie que tous les partis démocratiques au monde.

Au Pouvoir, il en a la perception contraire.

Tata Bo Moko

En plus, avec cette affaire de révision ou de changement “prophétisé” de la Constitution une fois aux affaires, l’Udps semble ne pas prendre conscience de l’effet boomerang au sein de l’Union sacrée de la nation.

Même s’ils n’ont pas encore réagi, il n’est pas exclu que les acteurs politiques comme Jean-Pierre Bemba, Vital Kamehre, Modeste Bahati, Michel Sama Lukonde ressentent mal ce qui s’apparente à un embrigadement du type mperien “Tata Bo ? Moko !” ; “Mama Bo ? Moko !” ; “Ekolo Bo ? Moko !” et “Mokonzi bée !”.

A moins d’avoir été prévenus, Kamehre et Sama Lukonde doivent se sentir pris au piège en acceptant le “cadeau” de Tshisekedi Tshilombo de diriger l’Assemblée nationale et le Sénat.

Là, Fatshi se sera révélé fin manœuvrier : éloigner l’Udps (son parti) et le Kasaï (son espace géographique) d’une opération aux effets incalculables, et y impliquer l’Est devenu le ventre mou du pays !

La Constitution est par essence un acte politique

La vérité à retenir de l’histoire du Congo est que le référendum constitutionnel a plus de chances de réussite lorsqu’il émane d’un consensus qui soit le plus large possible.

Celui de 1964 l’était puisque issu de la Conférence constitutionnelle. Celui de 2005 l’était aussi puisque issu du Dialogue Intercongolais.

Le référendum promu sera une énième première mondiale puisque, déjà, le pays n’a pas de problème… politique, dixit Félix Tshisekedi.

Pourtant, la Constitution est par essence un acte, un instrument politique !

En prévision du “pièce contre pièce”, les masques vont bientôt tomber avec une seule question : quand on a tout, que cherche-t-on encore à avoir de plus ?

Entre-temps, le prophète Étienne Tshisekedi n’aura pas été lui-même un modèle de démocratie au sein de l’Udps, moins encore de chacune des coalitions qu’il qualifiait de drôles d’attelages…

Omer Nsongo die Lema




Paluku, Muyaya et Sombo participent à l’Africa Live 2024 à l’Université d’Harvard à Boston 

Julien Paluku Kahongya, Patrick Muyaya Katembwe et Marie- Thérèse Sombo, respectivement ministre du Commerce Extérieur, ministre de la Communication et des Médias et ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire représentent la République Démocratique du Congo depuis hier vendredi au Forum Africa Alive 2024 à l’Université d’Harvard à Boston aux États-Unis d’ Amérique.

Sur place, ces 3 membres du Gouvernement dépêchés par le Président de la République, Félix Tshisekedi et la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka ont rencontré les jeunes femmes entrepreneures congolaises œuvrant dans plusieurs domaines dont l’agro-business, le recyclage des déchets, la santé et la culture à travers les provinces.

Ces entrepreneures qui seront bénéficiaires d’un accompagnement financier à l’issue d’une formation de deux ans par intermittence aux États-Unis d’Amérique qui vise à améliorer la gouvernance de leurs entreprises respectives ont été rassurées de l’appui de l’Etat congolais.

Juste après, la délégation congolaise a été conviée à un déjeuner d’affaires avec la Directrice de l’Agence Américaine pour le Commerce et le Développement, Enoch T Ebong.

Ici, l’accroissement des exportations des produits congolais vers les États-Unis d’Amérique à travers l’AGOA et la construction des infrastructures ont été au rendez-vous.

C’est la participation à la conférence-débat sur l’avenir de l’Afrique animée par l’ancienne Présidente de l’Éthiopie, Sahle Work Zewde à Harvard qui a clôturé cette première journée.

Signalons que ce samedi, le ministre congolais du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya va vendre les opportunités qu’offre la RDC à Harvard, la meilleure université au monde. Egalement, Julien Paluku Kahongya va profiter de cette tribune pour faire l’état de lieux des préparatifs de l’organisation du Forum AGOA-2025 en juillet prochain à Kinshasa.




Sahara Marocain: Sa Majesté le Roi appelle à un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position du Royaume

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a appelé, vendredi, à un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position du Royaume sur la question du Sahara marocain, soulignant l’impératif de continuer à plaider la justesse de la cause nationale et à contrecarrer les manœuvres des adversaires.

“La prochaine étape exige de tous un surcroît de mobilisation et de vigilance pour conforter durablement la position de notre pays, et il importe de continuer à plaider la justesse de notre Cause et à contrecarrer les manœuvres des adversaires”, a affirmé Sa Majesté le Roi dans un discours adressé au parlement à l’occasion de l’ouverture de la première session de la 4ème année législative de la 11ème Législature.

En effet, et dans le cadre de l’évolution positive que connaît la question du Sahara marocain, marquée par la reconnaissance des droits historiques du Maroc par des pays influents, pour ne citer que les Etats-Unis d’Amérique, la France, et l’Espagne, le Souverain a souligné que les fondamentaux de la position du Royaume sur cette question “doivent être expliqués au petit nombre de pays qui continuent de prendre à contre-pied la logique du droit et de dénier les faits de l’Histoire”.

“Corrélativement, il faut s’employer à les convaincre de la légitimité de la Marocanité du Sahara à grand renfort de preuves et d’arguments juridiques, politiques, historiques et spirituels”, a insisté Sa Majesté le Roi, rappelant qu’Il avait affirmé, dès Son Accession au Trône, Sa ferme intention de passer de la phase de gestion proprement dite à une dynamique de changement se déployant à l’intérieur comme à l’extérieur et couvrant tous les volets du dossier.

Cette démarche, a souligné le Souverain, “exige de mutualiser les efforts de toutes les institutions et les instances nationales officielles, partisanes et civiles et de renforcer leur coordination, de manière à conférer l’efficacité nécessaire à leur action et à leurs mobilisations”.

Rappelant le rôle agissant de la diplomatie partisane et parlementaire pour recueillir davantage de reconnaissances en faveur de la Marocanité du Sahara et pour élargir l’appui à l’Initiative d’autonomie, en tant que seule solution à ce conflit régional, Sa Majesté le Roi a plaidé pour plus de coordination entre les deux Chambres du Parlement à ce sujet.

A cet égard, le Souverain a appelé l’institution législative à mettre en place des structures internes adaptées, dotées de profils qualifiés, en appliquant les critères de compétence et de spécialisation dans le choix des délégations, aussi bien à l’occasion des rencontres bilatérales que lors de la participation à des forums régionaux et internationaux.

Sa Majesté le Roi, qui a rappelé qu’Il avait également appelé à sortir de l’approche purement réactive en faveur d’une logique de prise d’initiative, de fermeté et de proactivité, a mis en exergue l’action déterminée et sereine menée pendant des années par tous les moyens disponibles, et en dépit d’un contexte international difficile et complexe, afin de mettre en évidence “la justesse de la position de notre pays et faire valoir nos droits historiques légitimes sur notre Sahara”.

“Aujourd’hui, Dieu soit loué, la Vérité, qui finit toujours par supplanter toute autre considération, s’est révélée avec éclat car les Causes justes triomphent inévitablement”, a soutenu le Souverain.

Sa Majesté le Roi a réaffirmé également que “le Maroc restera constamment ferme sur sa position et fidèle à l’esprit d’ouverture sur son environnement maghrébin et régional, contribuant ainsi au développement commun des peuples de la région, à leur sécurité et à leur stabilité”.




‘’VODACOM CONGO ET LA SEMAINE DU CLIENT : Une célébration de l’engagement envers nos clients’’ 

Chers clients, À l’occasion de la Semaine du Client, du 07 au 11 octobre 2024, nous sommes ravis de vous mettre à l’honneur et de réaffirmer notre engagement à vous offrir des produits et services de la plus haute qualité.

Cette semaine est dédiée à célébrer les relations solides et durables que nous entretenons avec vous, tout en soulignant l’importance de votre satisfaction dans toutes nos actions. Chez Vodacom Congo, nos clients sont au cœur de tout ce que nous faisons. En effet, Nous sommes fiers de vous offrir des services de qualité supérieure et une assistance dédiée pour répondre à tous vos besoins.

• 1111 Service Client : Nos équipes travaillent sans relâche pour vous offrir une assistance à la hauteur de vos attentes de 8h à 22h00 7/7 ;

• Que ce soit par téléphone, courriel ou en magasin, nous sommes là pour vous aider ;

• Couverture Réseau : Nos équipes techniques travaillent d’arrache-pied pour couvrir chaque village, chaque localité de la RDC afin que tous nous soyons connectés au plus large réseau de la RDC ;

• Innovations : Nous mettons à votre disposition des solutions innovantes comme M-pesa et son éventail de services en vue d’inclure le plus grand nombre des personnes non- bancarisé et surtout faciliter vos transactions quotidiennes ;

• Nos équipes techniques s’efforcent de couvrir chaque village et localité de la RDC, assurant ainsi que vous soyez connectés au plus large réseau du pays.

Célébrons la fidélité et l’engagement de nos clients :

La Semaine du Client est pour nous l’occasion de vous remercier pour votre confiance. En tant qu’entreprise axée sur l’innovation et la satisfaction de la clientèle, nous comprenons que votre succès est notre succès. C’est pourquoi cette semaine est un moment clé pour échanger, recueillir vos retours et renforcer nos relations.

Nous invitons tous nos clients, actuels et futurs, à participer à cette semaine de célébration. C’est une opportunité unique de bénéficier de nos offres, de découvrir de nouvelles opportunités, et de partager avec nous votre expérience.

Avec toute la gratitude de Vodacom Congo (RDC) S.A, Top of Form

YANNA KASENGERA, Directrice du Service Client




Administration du Sénat : Sama Lukonde et les membres du Bureau remettent le nouveau charroi automobile au personnel 

Après une réunion de prise de contact avec le Comité de direction élargie et plusieurs services du Sénat, qui a eu lieu ce vendredi 11 octobre 2024 au bureau du Président, tous les membres du Bureau définitif ont eu une séance de prise de contact avec le personnel des services administratifs du Sénat.

Cette première rencontre avec le personnel des services administratifs du Sénat rentre dans le cadre d’améliorer le travail et de permettre une franche collaboration entre le nouveau bureau de la 4ème Législature de la 3ème République, a martelé le Secrétaire Général du Sénat dans son mot introductif.

Les défis qui rongent les services administratifs ont été évoqués au cours de cet échange, notamment le déficit des locaux qui est l’un des problèmes majeurs. D’où le souhait de doter le Sénat de son propre immeuble.

Mettant à profit cette rencontre, un tour d’horizon de tous les paramètres qui militent au bon fonctionnement des services administratifs du Sénat ont été passés au peigne fin.

Au nom du Bureau, l’honorable président Sama Lukonde, après avoir prêté une oreille attentive à toutes les doléances, a promis de faire d’abord le nécessaire pour permettre une bonne collaboration étant donné que l’administration est l’épine dorsale d’une institution. En tant que Président du Sénat de cette 4ème législature de la 3ème République, a-t-il dit, il est de son devoir de vouloir moderniser cette institution pour perpétuer la mémoire aux générations futures.

Après échanges et débats, l’heure est venue à la remise des clés des bus offerts au personnel des services administratifs du Sénat. Ce charroi va permettre une mobilité adéquate et confortable du personnel.

Sama visite 18 bureaux du Sénat

Pour conclure cette activité en beauté, le Président de la Chambre Haute, l’honorable Sama Lukonde, a effectué le tour de plus au moins 18 bureaux que composent le Sénat, département par département, en passant par la salle des séances plénières, de l’enregistrement et des bureaux d’études de la Division des finances. Le Speaker du Sénat s’est fait une idée précise de l’état des lieux pouvant l’aider à valoriser cette grande institution de la République.

“Le Bureau du Sénat a tenu à rencontrer l’administration du Sénat. Nous avons débuté la journée avec une réunion avec le Secrétaire général, mais aussi avec les chefs de divisions et les conseillers principaux et tous les membres d’administration du Sénat et les responsables. Le but c’était d’abord de marquer la reconnaissance que nous avons vis-à-vis de ces services qui nous ont accueillis au moment où nous avons été élus.

Et qui nous ont accompagnés dans le processus avec le Bureau provisoire jusqu’à ce que nous ayons l’élection du Bureau définitif et marquer un point de collaboration. Dans le cadre de cette collaboration, il était vraiment important que nous puissions nous imprégner de leurs conditions de travail. Nous avons par la suite effectué les visites des locaux pour voir justement tous les membres d’administration et recueillir d’eux ce que le Bureau peut faire comme engagement, de moderniser le Sénat. Comment est-ce que nous pouvons les accompagner.

Ici, ça entre dans la droite ligne de la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui veut placer l’homme au centre de tout. Nous avons terminé notre visite par la visite du charroi. Nous avions trouvé à notre entrée une difficulté, du point de vue de la mobilité de l’administration. Et l’effort a été fait pour avoir un minimum des bus. Le but ici est qu’ils puissent en faire un bon usage, bien sûr sur ce point nous allons remettre les clés au Secrétaire général pour dire : c’est un petit pas qui est fait pour la mobilité de l’administration. Et l’effort doit se poursuivent pour améliorer leur condition de vie” a déclaré en substance le président du Sénat Sama Lukonde.