Comprendre l’acceptabilité sociale des réformes structurelles

Des réformes structurelles doivent être appliquées de toute urgence, en cette période où le monde est aux prises avec une croissance atone, des évolutions démographiques ainsi que des défis liés aux transitions verte et technologique. Pourtant, les efforts de réforme ont pAerdu de leur vigueur ces dernières années, sur fond de résistance croissante de la population.

Le chapitre 3 examine l’acceptabilité sociale des réformes structurelles en étudiant les facteurs déterminants des attitudes de la population et l’efficacité de différentes stratégies destinées à améliorer l’adhésion. Il apparaît que la résistance trouve généralement sa source dans des perceptions erronées, de fausses informations et un manque de confiance plutôt que dans des intérêts économiques propres.

Le chapitre montre que des stratégies de communication qui sensibilisent la population au besoin de réforme et qui corrigent les perceptions erronées s’agissant du fonctionnement de l’action publique peuvent améliorer l’adhésion. Pour être efficaces, ces stratégies doivent être étayées par des cadres institutionnels solides qui nourrissent la confiance et par un dialogue à double sens avec les parties prenantes et la population dans son ensemble. L’élargissement des instruments à la disposition des pouvoirs publics pour intégrer les points de vue des citoyens peut contribuer à une meilleure acceptation sociale et à une mise en œuvre efficace des réformes.




Le grand resserrement : les enseignements du récent épisode d’inflation

Le récent épisode d’inflation mondiale s’est caractérisé par d’importants déplacements sectoriels de la demande dans un contexte de perturbations des approvisionnements, et de relance budgétaire et monétaire sans précédent. Le chapitre 2 montre que la transmission des pressions sectorielles sur les prix à l’inflation hors énergie et alimentation ainsi que le déplacement et la pentification de la courbe de Phillips sont essentielles pour comprendre la poussée d’inflation mondiale.

Cela est cohérent avec le fait que certains secteurs essentiels atteignent les goulets d’étranglement de leur offre puisque la demande a tourné entre les secteurs et a été stimulée par une utilisation de l’épargne. Le chapitre expose un nouvel enseignement en matière de politique monétaire et il en confirme un ancien.

Dans des cas extrêmes où des goulets d’étranglement sectoriels massifs de l’offre sont conjugués à une forte demande, l’inflation peut bondir, mais un resserrement peut rapidement la faire baisser, avec des répercussions limitées sur la production. En dehors de ces cas, lorsque les goulets d’étranglement de l’offre se cantonnent à certains secteurs spécifiques, les principes traditionnels de la politique monétaire fonctionnent correctement.




RPDC: « Personne ne sait comment se réaliseront nos représailles et notre vengeance#!»

Au début de la semaine en cours, KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel le plus âgé du monde depuis 1945, NDLR) et Président des Affaires d’État de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

a inspecté les bases de missiles stratégiques, accompagné de KIM Jong Sik (général d’armée de l’Armée Populaire de Corée, NDLR) et KIM Yo Jong, respectivement 1er Directeur adjoint de département et Directrice adjointe de département du Comité Central du PTC. KIM JONG UN a:

  • examiné l’état de préparation pour la mise en fonctionnement de la force de dissuasion stratégique directement liée à la sécurité du Pays, surtout la fonction et les capacités de chaque élément des installations de lancement des bases et l’état de service de missiliers stratégiques pour apprécier, hautement, les missiliers
  • signalé: Nos missiliers peinent plus que quiconque dans leurs bases de missiles stratégiques pour s’acquitter du devoir sacré qu’ils assument devant la Patrie et le Peuple en accomplissant leur service de combat, toujours en éveil conformément aux exigences de la situation intervenue. Les forces de missiles stratégiques constituent le noyau de notre force de dissuasion; moderniser l’ensemble de nos forces armées en accordant la priorité, à l’avenir aussi, aux forces de missiles stratégiques, c’est le principe important de la stratégie d’édification de la défense nationale, auquel adhère, invariablement, notre PTC. Comme je l’ai souligné plusieurs fois depuis peu, les menaces des moyens nucléaires stratégiques des USA contre la sécurité de la RPDC s’accroissent au fil des jours. Leurs menaces en perspective aussi exigent urgemment que nous augmentions, avec plus de certitude, notre force de dissuasion et mettions nos forces nucléaires en posture de réaction parfaite. Les bases de missiles stratégiques doivent être plus modernisées et plus fortifiées, et toutes les bases se tenir fin prêtes à lancer, rapidement en tout temps et en toute circonstance, une contre-attaque stratégique aux adversaires (comme:

1.les USA ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845: les dommages et intérêts dûs aux actes criminels contre la RPDC s’estiment à plus de 78.203,704 milliards de $US depuis le 08/09/1945 jusquici

2. la ROK ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat hostile ou antagoniste radical: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux

3. le Japon, le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat hostile ou antagoniste par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion Usa-japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8.400.000 de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1.000.000 des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200.000 Coréennes, etc.: aucunes excuses présentées jusqu’ici contrairement au geste de quelques anciens colonisateurs européens, NDLR).

Rappelons-nous qu’à la veille (22/10/2024) de ladite inspection, KIM Yo Jong a rendu public son communiqué de presse, dans laquelle elle a noté en particulier:

 

La violation (03-10/10/2024: l’infiltration des drones destinés à répandre les tracts anti-RPDC dans la nuit au-dessus du ciel de la Ville Pyongyang – Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4357 ans -, NDLR) insensée de la souveraineté de la RPDC par les voyous militaires de la ROK est une odieuse provocation militaire jamais tolérable. C’est seulement par une réelle expérience que Séoul devra savoir correctement combien dangereuse est cette provocation et combien énormes et fatales ses conséquences.

 

Quant à la dangerosité d’une provocation militaire contre un Pays nucléarisé, il serait même inimaginable de l’expérimenter pour les hommes politiques et les stratèges militaires raisonnables des Pays grands et petits du monde. Je pense qu’il n’y aurait pas un pareil exemple ces derniers temps sauf le cas des fous de la ROK et de l’Ukraine. Une telle provocation horrible est digne des déments des Pouvoirs de Séoul (Capitale de la ROK, NDLR) et de Kiev (Capitale de l’Ukraine, NDLR).

 

Les recherches des organismes d’enquête de la RPDC sur les drones en provenance de la ROK continuent et la vérité de la provocation ignoble des voyous militaires de la ROK sera analysée d’une manière plus détaillée. Personne ne sait comment se réaliseront nos représailles et notre vengeance.

 

Hier lundi 21 octobre aussi, ont été découvertes et éliminées, dans de nombreuses régions de notre Territoire, un grand nombre d’ordures que les racailles de la ROK avaient répandues pour une démagogie politique. La témérité des gouvernants de Séoul qui, au lieu de se repentir et d’agir avec réserve, tentent de se jeter dans les flammes avec tout le corps couvert d’huile:

  • mettra toute leur engeance en danger de ruine totale
  • Qsera, donc, l’objet du blâme de n’importe qui ou de tout le monde.




Sommet des BRICS 2024 : Xi Jinping appelle à une réforme du système de gouvernance mondiale et l’architecture financière internationale

Le président de Chine a prononcé son discours ce mercredi 23 octobre 2024 lors du 16è sommet des BRICS qui se tient dans la Ville de Kazan en Russie. Plusieurs chefs d’Etats des pays membres de cette structure et ceux des pays partenaires se sont réunis afin de tabler sur les sujets épineux liés à la bonne marche de l’humanité.

Xi Jinping a exhorté ses collègues dirigeants du Sud global à saisir l’opportunité leur offerte par ces assises pour maintenir la « dynamique du développement du BRICS, réfléchir et répondre aux questions globales, directionnelles et stratégiques ».

Durant cette période de turbulences et de transformations au niveau international, le dirigeant chinois a exhorté ses pairs à travailler ensemble afin que le BRICS soit le principal canal pour promouvoir la solidarité et la coopération du Sud global et le précurseur pour faire avancer la réforme de la gouvernance mondiale.

Xi Jinping a aussi invité l’organisation des BRICS à agir en tant que défenseurs de la sécurité commune car, selon lui, l’humanité est une communauté de sécurité indivisible

« C’est seulement en portant une vision de sécurité commune, intégrée, coopérative et durable que nous pourrons frayer une voie de sécurité universelle » a-t-il déclaré.

Réitérant sa proposition pour un véritable multilatéralisme, le président Chinois estime que le moment est venu pour reformer le système de gouvernance mondiale qui devra être fondé sur les principes d’amples consultations, de contribution conjointe et de bénéfices partagés, et orienter la réforme de la gouvernance mondiale dans l’esprit de justice, d’équité, d’ouverture et d’inclusion.

Dans le secteur financier, le numéro 1 de la deuxième puissance économique mondiale a plaidé pour la réforme de l’architecture financière internationale qu’il juge urgente et plus impérieuse.

« Les pays du BRICS doivent jouer un rôle d’orientation, approfondir la coopération fiscale et financière, favoriser l’interconnexion des infrastructures financières, préserver la sécurité financière de haut niveau, élargir et renforcer la Nouvelle Banque de Développement, de sorte que le système financier international puisse mieux refléter l’évolution de l’échiquier économique mondial » a martelé Xi Jinping.

La Chine par le biais de son président entend œuvrer conjointement avec davantage de pays du Sud global à construire ensemble la communauté d’avenir partagé pour l’humanité.

Derick Katola depuis la ville de Taicang, province du Jiangsu




Urban Transformation Summit : Guy Loando présente le projet national de valorisation des ressources naturelles 

« En marge du UrbanTransformationSummit du Forum Économique Mondial @wef à San Francisco, j’ai eu l’honneur d’être invité à un dîner par le ministre saoudien du Tourisme, Ahmed Al Khateeb (@AhmedAlKhateeb), en compagnie de l’équipe organisatrice », a écrit sur son compte X le ministre de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando.

Et d’ajouter que nous avons discuté des opportunités de collaboration entre nos deux pays.

Il a poursuivi en disant que j’ai présenté le projet national de valorisation des ressources naturelles (GEOLAB), qui a pour objectif de développer des aménagements territoriaux multi-acteurs pour mettre en valeur les richesses naturelles de notre pays.

Le projet pilote sur l’île d’Idjwi, axé sur la valorisation de ses atouts touristiques, est en cours de réflexion avec le ministre du Tourisme.




Perspectives et politiques économiques mondiales

La croissance mondiale devrait rester stable mais également décevante. La désinflation mondiale se poursuit, ce qui laisse entrevoir un atterrissage en douceur. Cependant, les perspectives risquent d’être révisées à la baisse : les tensions géopolitiques pourraient s’accentuer ; des poussées de volatilité soudaines sur les marchés financiers pourraient entraîner un resserrement des conditions financières ; des problèmes dans le secteur immobilier chinois pourraient avoir des répercussions mondiales par leur effet sur les échanges commerciaux internationaux, de même qu’une montée du protectionnisme et que la poursuite de la fragmentation géoéconomique ; et des perturbations dans le processus de désinflation pourraient empêcher les banques centrales d’assouplir leur politique monétaire, ce qui compliquerait la politique budgétaire et menacerait la stabilité financière.

Face à ces nombreuses menaces, il est temps pour les pouvoirs publics d’opérer un changement de cap. Compte tenu de l’assouplissement des politiques monétaires, il est judicieux de changer de braquet au niveau de la politique budgétaire afin de garantir la viabilité de la dynamique de la dette et de reconstituer des marges de manœuvre. Il est plus que jamais nécessaire de faire avancer des réformes structurelles destinées à stimuler la croissance à long terme et d’accélérer la transition verte.




Changement de cap et menaces grandissantes

La croissance mondiale devrait rester stable mais également décevante. Toutefois, cette continuité apparente masque des révisions notables apportées depuis avril 2024. Ainsi, le relèvement des prévisions pour les États-Unis a compensé l’abaissement de celles des autres pays avancés, en particulier les plus grands pays européens.

De la même manière, dans les pays émergents et les pays en développement, les perturbations de la production et du transport des produits de base (du pétrole, en particulier), les conflits, les troubles sociaux et des phénomènes météorologiques extrêmes ont entraîné des révisions à la baisse des perspectives pour la région Moyen-Orient et Asie centrale, et pour l’Afrique subsaharienne.

Ces abaissements des prévisions ont été compensés par les révisions à la hausse des perspectives pour les pays émergents asiatiques, dont la croissance est stimulée par la forte augmentation de la demande de semi-conducteurs et de composants électroniques, alimentée par d’importants investissements dans l’intelligence artificielle. Cette tendance est épaulée par des investissements publics considérables en Chine et en Inde. D’ici à cinq ans, la croissance mondiale devrait atteindre 3,1 %, un chiffre médiocre si on le compare à la moyenne d’avant la pandémie.

La désinflation mondiale se poursuit, mais l’inflation des prix des services reste élevée dans de nombreuses régions, ce qui souligne l’importance de comprendre les dynamiques sectorielles et de moduler la politique monétaire en conséquence, comme cela est expliqué dans le chapitre 2. Alors que les déséquilibres cycliques de l’économie mondiale sont en train de se résorber, les pouvoirs publics doivent soigneusement doser leurs priorités à court terme afin d’assurer un atterrissage en douceur.

Parallèlement, des réformes structurelles s’imposent pour améliorer les perspectives de croissance à moyen terme, tout en continuant à aider les plus vulnérables. Le chapitre 3 expose les stratégies envisageables pour améliorer l’acceptabilité sociale de ces réformes, condition sine qua non de leur bonne mise en œuvre.




Redresser la barre : les marchés financiers naviguent en eaux incertaines

Le chapitre 1 examine les vulnérabilités et les déséquilibres du secteur financier qui mettent la stabilité financière en péril. Les attentes tendant vers une poursuite de l’assouplissement de la politique monétaire à l’échelle mondiale, les conditions financières sont restées accommodantes, les pays émergents ont continué à faire preuve de résilience et la volatilité des prix des actifs est restée relativement faible, en valeur nette. Cependant, des conditions financières accommodantes qui écartent les risques à court terme favorisent aussi l’accumulation de vulnérabilités, telles que des évaluations trop optimistes des actifs, l’augmentation de la dette privée et souveraine à l’échelle mondiale et un recours accru à l’effet de levier par les institutions financières non bancaires. Ces vulnérabilités pourraient exacerber les aléas baissiers à l’avenir en amplifiant les chocs, dont la survenue est devenue plus probable en raison de la déconnexion croissante entre le niveau élevé d’incertitude économique et la faible volatilité des marchés financiers.

Par ailleurs, les pays disposant de réserves budgétaires moins étoffées pourraient rencontrer davantage de difficultés à se procurer des financements, et les perspectives de ralentissement de la croissance en Chine, conjuguées aux fragilités de son système financier, représentent un important risque de dégradation pour l’économie mondiale. Le secteur de l’immobilier commercial continue d’être soumis à de fortes tensions et certaines entreprises de taille intermédiaire éprouvent de plus en plus de difficultés à rembourser leurs emprunts. L’intensification de ces vulnérabilités met en exergue le caractère urgent d’une action des décideurs pour y remédier.




La stabilité macro-financière dans un contexte de forte incertitude économique

L’incertitude entourant l’évolution de la situation et des politiques économiques à l’échelle mondiale a augmenté depuis la pandémie de COVID-19 sous l’effet de chocs d’inflation, de l’escalade des tensions géopolitiques, de l’émergence de nouvelles technologies et de catastrophes liées au changement climatique.

Ce chapitre examine les implications d’un niveau d’incertitude élevé pour la stabilité macrofinancière en étudiant son association avec des risques de dégradation en queue de distribution pour la croissance de la production, les prix des actifs et la croissance des prêts bancaires.

Il révèle qu’un niveau d’incertitude macroéconomique élevé peut augmenter sensiblement les risques de dégradation pour la stabilité économique et financière, et que cette relation peut être encore plus étroite en cas de vulnérabilités macrofinancières élevées ou de faible volatilité des marchés financiers (au cours des épisodes de déconnexion entre la situation macroéconomique et celle sur les marchés).

De plus, l’incertitude macroéconomique peut être à l’origine d’effets de contagion entre pays par l’intermédiaire de liens commerciaux et financiers. L’élaboration de cadres d’action plus crédibles et le renforcement de la résilience avec des politiques macroprudentielles et des réserves adaptées, combinées à une réduction des vulnérabilités budgétaires, pourraient contribuer à atténuer les retombées négatives de la forte incertitude macroéconomique.




Diplomatie marocaine : le Roi Mohammed VI nomme de nouveaux ambassadeurs

Le Roi du Maroc Mohammed VI a bien voulu nommer 13 nouveaux Ambassadeurs dans un mouvement substantiel, qui a concerné des pays amis et partenaire importants pour le Maroc. Ce mouvement d’ambassadeurs s’inscrit dans un contexte national marqué par le dernier Discours Royal du 11 octobre devant le Parlement, où le Souverain a donné une impulsion nouvelle à l’action diplomatique, insistant particulièrement sur la mobilisation de la diplomatie dans toutes ses composantes, qu’elle soit institutionnelle, partisane ou parlementaire.

Au regard des profils des Ambassadeurs nommés par Sa Majesté le Roi, on note une forte injection de “sang neufs”, à travers 11 Ambassadeurs qui accèdent à cette haute fonction pour la première fois. Ce mouvement marque aussi un renforcement de la féminisation de l’appareil diplomatique marocain. Près du 1 /4 des postes concernés sont attribués à des Ambassadeurs femmes, portant l’effectif global des femmes Ambassadeurs de Sa Majesté le Roi à 21.

Parmi les nouvelles nominations, M. Othman EL FERDAOUS, ancien Ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, a été désigné Ambassadeur en Côte d’Ivoire. Avec une expérience significative dans le secteur public et une solide Formation en affaires, il est bien préparé pour relever les défis de cette mission. En outre, cinq nouveaux ambassadeurs sont désormais en poste dans les pays africains, renforçant ainsi la présence et l’influence du Maroc sur le continent.