Progrès dans l’intelligence artificielle : implications pour les activités sur les marchés des capitaux

Le chapitre 3 du rapport publié à l’issue des Assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale examine les récentes évolutions dans l’intelligence artificielle (IA) et l’IA générative ainsi que leurs implications pour les marchés des capitaux, en s’appuyant sur de nouveaux travaux analytiques et les résultats issus d’une enquête auprès des autorités de réglementation et des acteurs du marché.

Des données relatives aux marchés du travail et aux dépôts de demandes de brevets donnent à penser que l’adoption de l’IA sur les marchés des capitaux est susceptible d’augmenter sensiblement dans un avenir proche.

Par ailleurs, l’IA pourrait provoquer d’importants bouleversements dans la structure des marchés sous l’effet d’une utilisation plus répandue et plus puissante de la négociation algorithmique ainsi que de nouvelles stratégies de trading et d’investissement. L’IA pourrait réduire les risques pour la stabilité financière en permettant une meilleure gestion des risques, en augmentant la liquidité des marchés et en améliorant la surveillance des marchés par les autorités de réglementation et les acteurs de marché.

Parallèlement, elle pourrait donner lieu à de nouveaux risques, notamment une accélération des opérations et une augmentation de la volatilité sur les marchés en période de tension, une plus grande opacité et des difficultés en matière de surveillance des institutions financières non bancaires, une accentuation des risques opérationnels en raison de la dépendance vis-à-vis d’une poignée de grands prestataires tiers en services d’IA, et une aggravation des cyberrisques et des risques de manipulation des cours de marchés.

Les dispositifs réglementaires existants apportent une protection contre bon nombre de ces risques, mais l’avenir pourrait donner lieu à de nouvelles évolutions qui n’avaient pas été anticipées. Pour s’assurer d’être prêtes à négocier ces changements qui pourraient bouleverser la donne, les autorités compétentes devraient envisager d’appliquer des mesures complémentaires.




A l’issue de leur atellier à Mbuela Lodge: Les participants vont élaborer et adopter un Vadémécum des recommandations de la société civile sur les reformes électorales et institutionnelles  

Le Projet d’Appui à la Coalition pour l’Observation Nationale des Elections au Congo (PACONEC) et ses partenaires ainsi que les MOE et plateformes spécialisées sur les questions électorales organisent un atelier de mutualisation de leurs recommandations visant l’amélioration du cadre juridique des élections en RDC à l’issue des scrutins du 20 décembre 2023. L’atelier a lieu du 22 au 25 octobre 2024 à Mbuela Lodge, dans la province du Kongo Central (Kisantu).

Selon une dépêche parvenue à notre rédaction, l’atelier réunit les experts des missions d’observation citoyennes ayant publié des rapports d’observation des élections du 20 décembre 2023 et ceux des autres organisations de la société civile s’occupant des questions électorales. L’objectif principal de cet atelier est de rapprocher, mieux de mutualiser, les recommandations faites aussi bien par les missions d’observation citoyennes que les missions internationales d’observation des élections et d’autres structures ayant publiées des rapports sur les élections en RDC.

Pendant 4 jours, précise la même source, les participants vont se concentrer sur les différentes recommandations disponibles en vue de dégager celles qui sont consensuelles, prioritaires et susceptibles d’être portées par l’ensemble des organisations de la société civile militant en faveur des réformes électorales et institutionnelles en vue de l’amélioration des processus électoraux en RDC.

A l’issue de leurs travaux, les participants vont élaborer et adopter un Vadémécum des recommandations de la société civile congolaise sur les reformes électorales et institutionnelles qui va être largement partagé avec les organisations de la société civile pour validation et appropriation.

L’intérêt stratégique de cette validation/appropriation est d’avoir un consensus le plus large possible de la société civile experte en question électorales pour porter le plaidoyer pour les réformes qui vont améliorer les processus électoraux en République Démocratique du Congo. Les organisations de la société civile qui ont des recommandations sont priées de contacter les organisations pour leur prise en compte éventuelles, en cohérence et en complément avec l’esprit de celles du Vadémécum.

Notons que le Vadémécum prend à son compte les recommandations du Référentiel commun de la société civile pour les réformes électorales publié en 2021, à l’issue des Journées Nationales de Réflexion pour les Réformes électorales (J

oNaReF).




Le président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, tiendra une conférence de presse en Éthiopie mardi

Le président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, tiendra une conférence de presse le mardi 22 octobre 2024, à la suite de la 46e Assemblée Générale Ordinaire à Addis-Abeba, en Éthiopie.

La conférence de presse est prévue à 13h00, heure locale (10h00 GMT), à l’hôtel Ethiopian Skylight, après la conclusion de l’Assemblée Générale.

Lors de cette conférence, Dr Motsepe fournira des informations sur les décisions clés prises pendant l’Assemblée.

La 46e Assemblée Générale Ordinaire se tient à Addis Abeba, la capitale éthiopienne le mardi 22 octobre 2024, à 10h00, heure locale (07h00 GMT).

La conférence de presse sera diffusée en direct ICI et sur la chaîne YouTube officielle de la CAF, CAF TV.

Pour toute demande d’information, veuillez contacter : communications@cafonline.com

CAF | Département de la communication




La CAF réduit ses pertes de 68% et prévoit un bénéfice net pour le prochain exercice financier  

La CAF réduit son déficit de 28.9 millions USD à 9.2 millions USD. Elle enregistre la plus grande distribution de soutien financier aux Associations Membres et aux Unions Zonales. Avec la réduction du déficit et la montée en flèche des revenus, les dotations financières augmentent de 40%. Un investissement supplémentaire de 25,7 millions de dollars dans le développement du football.

La Confédération Africaine de Football (“CAF”) a publié le rapport financier audité 2022-2023 et le budget 2024-2025 lors de la 46e Assemblée Ordinaire de la CAF qui s’est tenue à Addis Abeba, Ethiopie, le mardi 22 octobre 2024.

La 46e Assemblée Ordinaire de la CAF a été présidée par le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe.

La CAF a réalisé un redressement financier significatif au cours de l’exercice 2022-2023, avec une réduction remarquable des pertes de 28,9 millions de dollars US à 9,2 millions de dollars US.

Un an auparavant, le déficit de la CAF s’élevait à 45 millions de dollars. Cette évolution positive continue est principalement attribuée aux réformes stratégiques mises en œuvre par la direction de la CAF en 2021.

Sur les revenus budgétés en 2024-2025, la CAF prévoit un bénéfice net de 11,7 millions de dollars – pour la première fois depuis longtemps.

Cette santé financière permettra à la CAF de remplir son mandat de développement du football en Afrique.

Sous la direction du Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, la CAF a obtenu les revenus les plus élevés dans les compétitions de la CAF grâce aux droits médiatiques et aux revenus de sponsoring qui ont continué à augmenter de manière significative.

L’augmentation des revenus a permis à la CAF d’augmenter son soutien financier en faveur des Associations Membres et du programme de développement du football. Plus que jamais, plus de fonds sont alloués aux programmes de développement de la base, au football scolaire, en passant par les officiels de match et la production télévisuelle.

Lors de la 46e Assemblée ordinaire de la CAF, le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, a confirmé l’augmentation de 100% de l’aide financière annuelle (subventions) pour les associations membres à 400 000 USD (à partir de 200 000 en 2021) – un moment important pour les nations qui ont lutté pour financer les activités de football.

Dépenses

La décision d’allouer une part importante des dépenses, plus précisément 84%, au développement du football africain, est un mouvement stratégique qui souligne l’engagement de la CAF à nourrir et à faire croître l’écosystème du football.

Dotation et soutien à l’association hôte 56 millions USD : Cela représente la plus grande partie des dépenses, montrant un accent continu sur la récompense de l’excellence par le biais de distributions aux équipes nationales, aux clubs et en soutenant les organisations responsables de l’organisation des compétitions.

Organisation des compétitions USD 28,1 millions : Cette allocation a couvert les coûts associés à la planification et à l’exécution des compétitions de football, garantissant une expérience de haute qualité pour les joueurs, les officiels et les supporters.

Programmes de développement du football 32,3 millions de dollars : Cet investissement a directement soutenu la promesse en 10 points de la CAF visant à développer le football de la base au niveau professionnel.

Ce réinvestissement stratégique souligne la volonté de la CAF d’utiliser ses ressources financières pour améliorer le football africain et créer un écosystème footballistique durable.

Domaines d’investissement

La CAF augmente de manière significative son investissement dans le développement du football pour l’année fiscale 2024-2025. Un investissement global de 29,8 millions de dollars est prévu dans les domaines ci-dessous :

– Subvention de la CAF aux associations membres augmentée de 100% (de 200 000 $ par AM en 2020-2021 à 400 000 $ par AM en 2024-2025).

– Subvention de la CAF aux zones augmentée de 50 % (de 500 000 $ par zone en 2020-2021 à 750 000 $ par zone en 2024-2025).

– Introduction d’une allocation de 50 000 $ pour les clubs éliminés lors des phases préliminaires de la Ligue des Champions de la CAF et de la Coupe de la confédération de la CAF.




Détournement de fonds publics : Trois personnalités interdites de quitter le territoire national 

L’ancienne Ministre de la Formation professionnelle, Antoinette Kipulu, l’ancien ministre de la Recherche scientifique et ex-député UDPS, Daniel Madimba Kalonji, ainsi que l’entrepreneur Michel Kabeya, ont été interdits de quitter le territoire national pour présumé détournement de fonds publics destinés à la construction de 10 écoles des métiers dans le Grand Bandundu et le Grand Kasaï.

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Alors qu’elle était en fonction, Antoinette Kipulu avait reçu, en 2023, 5 millions de dollars du gouvernement de la République pour la construction de ces écoles. Cependant, après son départ du gouvernement, rien n’a été réalisé et les fonds sont introuvables. L’évaluation sur le terrain indique que les travaux sont à l’arrêt au niveau de la fondation.

Daniel Madimba Kalonji, ancien ministre de la Recherche scientifique et ex-député UDPS devenu patron de sa propre entreprise, Shamaya Company Service Sarl, et Michel Kabeya Biaye, Directeur général du Groupe Agimex Sarl, sont également impliqués dans ce dossier. Selon un courrier de l’Inspection Générale des Finances (IGF) daté du 16 octobre et transmis à la Direction Générale de Migration (DGM) le même jour, les personnalités impliquées ont été auditionnées à l’IGF. Elles auraient, selon certaines indiscrétions, utilisé cet argent à des fins personnelles, et leurs comptes bancaires indiquent un solde nul.

Cette affaire met en lumière les défis persistants de la lutte contre la corruption et le détournement de fonds publics en République Démocratique du Congo. L’inspection général des finances continue sans relâche de traquer les criminels financiers pour garantir la transparence et l’intégrité dans la gestion des ressources publiques.

Didier Mbongomingi




Les risques pour la stabilité financière restent modérés à court terme, mais la montée de l’incertitude économique et géopolitique augmente la probabilité de chocs défavorables en mettant au jour des fragilités

Rapport sur la stabilité financière dans le monde

Chapitre 1 dans l’édition d’octobre 2024 du Rapport sur la stabilité financière dans le monde montre que même si les risques pour la stabilité financière à court terme sont restés modérés, l’accroissement des vulnérabilités pourrait exacerber les aléas baissiers à l’avenir en amplifiant les chocs, dont la survenue est devenue plus probable en raison de la déconnexion croissante entre le niveau élevé d’incertitude économique et la faible volatilité des marchés financiers.

Le chapitre 2 apporte des éléments qui attestent qu’une forte incertitude macroéconomique peut menacer la stabilité macrofinancière en exacerbant les risques en queue de distribution sur les marchés, l’offre de crédit et la croissance du PIB. Ces relations sont encore plus étroites en cas de fortes vulnérabilités liées à la dette ou de faible volatilité sur les marchés financiers (au cours des épisodes de déconnexion entre la situation macroéconomique et celle sur les marchés).

Le chapitre 3 examine les récentes évolutions dans l’intelligence artificielle (IA) et l’IA générative ainsi que leurs implications pour les marchés des capitaux. Il expose de nouveaux travaux analytiques et les résultats issus d’une enquête mondiale auprès des autorités de réglementation et des acteurs du marché, détermine les avantages et risques qui pourraient découler de l’adoption généralisée de ces nouvelles technologies, et formule des suggestions de mesures envisageables pour les pouvoirs publics.




Chine : Le Groupe de technologie de la sagesse de Nanjing SCIYON d’accord pour une collaboration avec l’Afrique

£~Fondé en 1992, le Groupe de technologie de la sagesse de Nanjing Sciyon Co., Ltd. est une société basée en Chine, principalement engagée dans l’automatisation industrielle et les technologies de l’information.

Ses principaux produits comprennent un système de contrôle distribué (DCS), un contrôleur logique programmable (PLC), une base de données en temps réel, une plate-forme d’intégration de contrôle et de gestion des informations au niveau de l’usine, un système de diagnostic des pannes des machines tournantes basé sur le big data et l’intelligence artificielle, un système d’optimisation de la combustion des chaudières industrielles, des centrales électriques intelligentes, une métallurgie intelligente, des produits chimiques intelligents et des ports intelligents.

Nanjing Sciyon Wisdom Technology Group commercialise ses produits dans toute la Chine. Son chiffre d’affaires est de 1 milliards 162,25 millions de Yuans, renseigne Liu Minghao, directeur marketing du département des marchés d’Outre-mer.

Il indique qu’en tant que fournisseur national de premier plan de produits et de solutions d’automatisation, d’informatisation et d’intelligence, SCIYON a activement répondu à l’initiative “la Ceinture et la Route” et l’a mise en pratique. En particulier après 2015, les systèmes DCS, SIS, micro-réseaux et systèmes d’informatisation connexes de SCIYONS ont été largement appliqués à l’énergie, à l’industrie chimique, aux matériaux de construction et à d’autres industries clés de la subsistance dans les principaux pays africains.

La République Démocratique du Congo a déjà été bénéficiaire d’un projet représentatif de cette firme qui avait équipé à travers ses prestataires, la Cimenterie de Lualaba Carrilu.

En termes de développement du marché, SCIYON adhère toujours à la stratégie du marché localisé et sert plus efficacement la construction industrielle dans la région en améliorant activement la capacité d’intégration du système local.

Selon Liu Minghao, directeur marketing du département des marchés d’Outre-mer de SCIYON, cette entreprise a dispensé plusieurs séries de formations sur les produits et les programmes liés à l’industrie et à la ville intelligentes à ses partenaires dans les principaux pays, notamment le Nigeria, l’Afrique du Sud, l’Égypte et le Congo-Kinshasa, exportant ainsi un grand nombre de talents techniques et d’ingénierie.

À l’avenir dit-il, le Groupe de technologie de la sagesse de Nanjing SCIYON continuera à défendre le concept de “partager et construire ensemble”, à participer activement à la construction de “la Ceinture et la Route”, à exploiter pleinement ses propres capacités de construction industrielle, à se concentrer davantage sur les industries de niche et les marchés cibles, et à ajouter des briques à la modernisation industrielle et au développement économique de l’Afrique.

Derick Katola depuis la Ville de Nankin, capitale de la province du Jiangsu

en Chine




Daniel Bumba rassure les conseillers communaux de Kinshasaq

Daniel Bumba rassure les conseillers communaux de KinshasaLa mise en place d’un cadre de concertation entre les conseillers communaux et le gouvernement provincial de Kinshasa, a été convenue mardi soir entre Daniel Bumba, gouverneur de Kinshasa et élus locaux. Ce cadre de concertation sera le lieu où les deux parties devront réfléchir sur les voies et moyens de répondre à toutes les préoccupations des conseillers communaux. Une initiative saluée par les conseillers communaux, mais qui estiment qu’ils devraient continuer leurs démarches auprès du gouvernement central aussi pour le payement de leurs émoluments.

” De tout ce qui a fait l’objet d’échanges avec le gouverneur, ce que j’ai beaucoup apprécié est que nous ne sommes pas respectés dans nos communes. Les bourgmestres nommés par l’ordonnance du Chef de l’État pensent qu’ils sont pré-séants aux conseillers or, le conseil c’est l’organe délibérant au sein de la commune car, dans chaque commune nous avons deux organes à savoir l’organe délibérant et l’organe exécutif dirigé par le bourgmestre.

Alors, il nous a assuré que dès aujourd’hui, il mettra en place un cadre de concertation avec les présidents de conseils et les bourgmestres, pour les échanges permanents et que les bourgmestres comprennent que malgré qu’ils étaient nommés mais, ils ne sont pas au-dessus de conseillers communaux. Alors, en ce qui concerne les émoluments, le gouvernement provincial n’a pas la capacité de payer les conseillers communaux, il suffit que nous en tant que Conseillers communaux, nous fournissons des efforts dans nos communes respectives pour booster la mobilisation des recettes », a indiqué José Kapombo, Conseiller municipal de la Commune de Lingwala.

Mais nous disons ceci : le gouvernement provincial doit nous prendre en charge en ce qui concerne les frais de fonctionnement et les frais d’installation. Quant aux émoluments, c’est le gouvernement central. Voilà pourquoi ce jeudi, nous serons chez madame la première ministre, parce qu’elle nous avait promis qu’elle-même va s’impliquer pour notre dosqsie




RDC : Le VPM de la fonction publique Jean Pierre Lihau remet au président Tshisekedi les premiers annuaires des fonctionnaires de l’État 

Le Vice-premier ministre en charge de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau a été reçu le mardi 22 octobre à la cité de l’Union africaine par le chef de l’État Félix Tshisekedi. Il était question lui présenter les annuaires alphabétiques et numériques de tous les fonctionnaires de l’État.

 

Pour le VPM Lihau, « cette action entre dans le cadre de la maîtrise des effectifs et la masse salariale qui va avec et comporte un triple enjeu : stratégique, économique et social, en vue de mettre en place une administration publique au rendez-vous du rendement, de l’efficacité et du résultat. »

« Ce fichier de référence de l’administration publique émane des opérations de l’identification biométrique qui ont eu lieu à Kinshasa au niveau des services centraux, des divisions urbaines mais aussi dans les145 territoires de la République Démocratique du Congo (RDC) », a déclaré JP Lihau.

 

Le Vice-Premier Ministre a aussi affirmé que ces annuaires concernent d’abord les agents et fonctionnaires des services centraux ainsi que ceux des divisions urbaines de Kinshasa. Il attend le « quitus du Chef de l’État pour publier ceux des agents des provinces au niveau des services concentrés. »

 

 

Mboshi




Du 22 au 25 octobre 2024 à Dakar: Tenue du Forum Galien Afrique 2024 

La 7ème édition du Forum Galien Afrique se déroulera à Dakar, capitale du Sénégal, du 22 au 25 octobre 2024, sous le thème : « Actions sanitaires et communautaires face aux crises climatiques et environnementales en Afrique ». La cérémonie d’ouverture du Forum Scientifique aura lieu le vendredi 25 octobre 2024 au Centre de Conférence du King Fahd Palace. Avant cela, un Forum des Jeunes et un Forum des Femmes se tiendront respectivement les 22, 23 et 24 octobre 2024.

Depuis sa création en 2018, le Forum Galien Afrique s’impose comme une plateforme d’échanges scientifiques de haut niveau sur des enjeux de santé publique. Cette année, Dakar sera une fois de plus la capitale africaine de la santé, de la recherche et de l’innovation.

Les discussions viseront à évaluer les défis actuels et à proposer des recommandations concrètes pour atténuer les effets du changement climatique sur la santé, notamment à travers l’amélioration de la prévention, de l’accès aux services de santé essentiels, et de la résilience des systèmes de santé en Afrique.

Plus de 2500 participants sont attendus cette année, parmi lesquels des lauréats du Prix Nobel, des dirigeants politiques, des experts de renommée internationale, des chercheurs, des étudiants et universitaires, des leaders communautaires, des médecins, des socio-anthropologues, des biologistes, des innovateurs, des investisseurs, ainsi que des représentants d’organisations internationales, de la société civile et du secteur privé. Ils participeront à des panels hybrides (en présentiel et en ligne).

Le Prix Galien Afrique, qui consacre l’excellence et l’innovation, est attribué pour les produits, services et initiatives très probants ou prometteurs, dans le domaine des découvertes et thérapies innovantes aux services de l’humanité. Il sera décerné, pour la quatrième fois, au cours d’une cérémonie présidée par Monsieur Bassirou Diomaye Faye, Président de la République.

Prince Yassa