Objectif suprême et ultime du projet de changement de Constitution 

Certes, certains chapitres et articles de la Constitution actuellement en vigueur mériteraient d’être modifiés sans nécessairement la changer en profondeur. Pour convaincre les citoyens congolais de la nécessité et de la pertinence de ces modifications, il faut les leur indiquer clairement et systématiquement et élaborer, ensemble, les nouveaux articles.

Cependant, quatre importantes et pertinentes questions s’imposent:

1) Quelles sont les réalités nationales que les professeurs Esambo et Mbata et d’autres Congolais qui avaient activement participé à l’élaboration de la Constitution actuellement en vigueur, vivant au pays ou à l’étranger, ne connaissent pas, auraient expressément occultées et n’auraient pas intégrées dans cette Loi fondamentale?

2) Qu’est-ce qui nous prouve que tous les caciques et autres partisans du changement de Constitution, y compris certains de ceux qui sont au pouvoir, sont indiscutablement des citoyens congolais?

3) Quelles sont les causes réelles et objectives du projet de changement de Constitution?

4) Quel est, enfin, l’objectif national suprême et ultime du changement de Constitution en partant des réalités nationales?

Nous attendons des réponses objectives, claires et réalistes de la part des caciques et autres partisans convaincus du changement de Constitution.

MUSENE SANTINI BE-LASAYON




Kongo Central : Les professionnels des médias formés sur la vaccination antipaludique à Mbanza – Ngungu 

Plusieurs journalistes venus de Kimpese, Lukala, Madimba, Kwilu Ngongo et de Mbanza ngungu ont été formés sur la mise en œuvre de la vaccination antipaludique pour les enfants de moins de 5 ans. Cette session de formation s’est tenue dans la salle polyvalente du Sacré-Cœur à Mbanza-Ngungu, dans la province du Kongo.

Initiée par le ministère de la santé publique, hygiène et

Prévoyance sociale, cette formation a été supervisée par le Programme élargi de vaccination (PEV) de la RDC, visant à sensibiliser les acteurs clés des médias sur l’importance de la vaccination antipaludique dans la réduction de l’incidence du paludisme chez les enfants.

 

Les participants ont eu l’occasion d’approfondir leurs connaissances sur les stratégies de communication à adopter pour promouvoir la vaccination. Les discussions ont porté sur les défis actuels liés à la diffusion de l’information, afin de renforcer la vulgarisation.

 

 

Mboshi




Nécrologie : Les condoléances du Chairman à la famille Kasaka

Le TPM a appris avec tristesse le décès de François Kasaka Njila, ancien vice-président du TPM. Le défunt sera porté en sa dernière demeure, ce jeudi 24 octobre 2024 au Cimetière Rivière des Anges de Kasangari.

Sa présence au club est également marquée par son implication dans la vie des joueurs et le repérage des bons éléments à travers le pays. Au debut des années 2000, les supporters de Mazembe découvrent sous sa houlette depuis sa résidence de Kamalondo une équipe revigorée et armée d’ambitions qui gagnera à Mbuji-Mayi la Coupe du Congo. Un trophée qu’il ramène à Lubumbashi dans un train de la SNCC. Vivant entre la Zambie, où il passe une grande partie de son parcours professionnel, et son Lubumbashi, fief des Corbeaux, Papa Kasaka a marqué l’histoire en tant que fervent supporter du TPM.

Le Chairman Moïse Katumbi est profondément touché par cette disparition : “Je regrette le décès d’un homme passionné de football et amoureux de son club, le TPM. Il n’a jamais hésité à financer et apporter son savoir-faire dans la réorganisation du club. Il a placé les fondations d’un nouveau Mazembe. Son travail pour la restructuration du club sert encore aujourd’hui.”

Le TPM présente ses sincères condoléances à la famille de François Kasaka Njila et à ses proches et espère que toute la communauté accompagnera ce fervent et rigoureux dirigeant à sa dernière demeure ce jeudi.




RDC : La Commission ATI-NTIC de l’Assemblée nationale a dévoilé ses membres

A l’Assemblée nationale, les membres qui vont composer la Commission d’Amenagement du Territoire, Infrastructures et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (ATI-NTIC), ont été présentés ce vendredi 25 octobre dans la salle de Congrès du Palais du Peuple à Kinshasa, suivie de la mise en place des Sous-Commissions permanentes.

Au moins quatres sous commissions ont été constituées. Chaque membre de cette Commission etait convié à s’inscrire dans l’une de ses sous commissions instituées, indique la présidente de la Commission d’Amenagement du Territoire, Infrastructures et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, Caroline Bemba, avant de mettre en place, les Bureaux de ses sous commissions, question de permettre à chacun de ses membres de donner son expertise en la matière.

Les membres du Bureau de cette Commission se réuniront la semaine prochaine, pour une séance de travaille afin de déterminer les termes de référence de leur job description.

 

 

Mboshi




A Washington : Aimé Boji participe aux Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI

Le Ministre d’Etat, Ministre du Budget, Aimé Boji Sangara est arrivé aux États-Unis d’Amérique, précisément à Washington DC ce jeudi.

Le Min’Etat du Budget va prendre part aux Assemblées de printemps du Groupe de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International.

Avec le FMI, la délégation congolaise va poursuivre les discussions pour les négociations d’un nouveau programme triennal.

Quant à la Banque mondiale, les questions vont tourner autour des appuis budgétaires pour l’exercice 2025, le projet Inga ainsi qu’à l’appui aux réformes déjà amorcées par le gouvernement dans le secteur des finances publiques

Pour rappel, Aimé Boji a été l’un des acteurs principaux dans la conclusion du tout premier programme FEC triennal conclu récemment avec succès entre le Gouvernement Congolais et le FMI.




Égalité des chances : parité femmes-hommes et développement économique en Afrique subsaharienne

L’Afrique subsaharienne a accompli des progrès notables pour réduire les inégalités femmes-hommes ces vingt dernières années, mais des défis subsistent. Malgré l’amélioration de la participation au marché du travail et de la représentation politique, des écarts persistent dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’accès aux ressources financières. Les obstacles juridiques et les pratiques néfastes telles que le mariage d’enfants et la violence sexiste limitent les opportunités pour les femmes, freinant ainsi leur autonomisation économique.

Il est essentiel de s’attaquer à ces problèmes pour stimuler la productivité et favoriser une croissance inclusive dans la région. Les recommandations mettent l’accent sur les réformes juridiques, l’amélioration de l’accès à l’éducation et la promotion de l’inclusion financière. L’autonomisation des femmes peut favoriser la diversification économique et réduire la pauvreté, créant ainsi une main-d’œuvre plus résiliente et dynamique qui soutient la stabilité économique à long terme en Afrique subsaharienne.