A Kisangani : Tshisekedi est venu payer sa dette au peuple boyomais pour sa brillante élection n à la dernière présidentielle

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a présidé, dans la ville de Kisangani en province de la Tshopo, la dix-neuvième réunion ordinaire du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce vendredi 25 octobre 2024.

Parlant de son voyage d’itinérance qu’il a débuté par la ville de Kisangani, le Président de la République a martelé que c’est une occasion pour lui, non seulement de payer sa dette de reconnaissance au peuple Boyomais pour lui avoir démontré son amour et sa confiance avec un vote massif lors de la dernière élection présidentielle, mais aussi de le consoler davantage pour avoir passé des années sombres en subissant les affres d’une guerre qui n’a pas encore effacé ses traces dans notre mémoire collective.

Par la même occasion, il a tenu à s’assurer personnellement de la matérialisation de certains projets à impact visible initiés dans le cadre des six engagements qui constituent les piliers de sa vision traduite dans le Programme d’Actions du Gouvernement.

Sans être exhaustif, il a évoqué d’importants ouvrages tels que l’aéroport de Bangboka, les travaux de réhabilitation de la voirie urbaine de Kisangani compris dans le Programme Présidentiel Accéléré de Lutte Contre la Pauvreté et les Inégalités (PPA-LCP), la réhabilitation de la route de l’aéroport, la relance de la centrale hydroélectrique de la Tshopo et autres.

A ce propos, aussitôt après son atterrissage à Kisangani, le mercredi 23 octobre 2024, le Président de la République a demandé au Gouverneur de province de veiller à l’exécution rapide des travaux de rénovation et de modernisation du stade Lumumba, afin de permettre à notre jeunesse d’être plus épanouie et de faire valoir ses talents sportifs.

S’agissant particulièrement de l’aéroport international de Bangboka, il a souligné qu’après son inauguration, ce dernier s’inscrira naturellement dans l’ouverture de notre pays au monde extérieur et pourra également générer des emplois sûrs pour nos valeureux fils et filles de la Tshopo. Au regard de l’importance de tous ces ouvrages, sous la coordination de la Première Ministre, le Président de la République a instruit tous les Ministres qui interviennent dans la chaine d’exécution d’en assurer le suivi nécessaire et d’établir des chronogrammes d’actions à mener quant à ce.

Il s’avère impérieux que régulièrement, sur une base mensuelle, des rapports d’étapes soient produits. Une équipe ad hoc constituée des membres de son Cabinet, du Gouvernement Central et Provincial et de l’Inspection Générale des Finances, s’appliquera à ces missions de suivi des différents ouvrages. Le rapport de suivi et les chronogrammes d’actions devront être présentés sur une base mensuelle régulière.




Alternance démocratique de 2018 : et c’est vraiment raté ? Prochaine alternance : 2042 !

En déclarant la Constitution actuelle _”mauvaise_”, Félix Tshisekedi crée un problème sérieux à la Nation : la crédibilité du texte sur lequel il va désormais exercer ses prérogatives. Et la qualité avec laquelle il va représenter le Congo à l’extérieur du pays jusqu’à ce que la bonne Constitution (celle des Congolais par des Congolais et pour des Congolais) vienne remplacer la mauvaise (celle des étrangers réunis à Kisangani, en terre étrangère…

Et comment d’une chose réputée mauvaise peut sortir quelque chose de bon ?

Il s’appelait Laurent Monsengwo. Monseigneur, il était, à l’époque, président du Bureau de la Conférence nationale souveraine (CNS). Devant la fougue des honorables conférenciers qui voulaient en finir illico avec le maréchal Mobutu, il avait prodigué ce conseil sage : _”On ne brûle pas la maison avant d’avoir déménagé_”. Une autre façon de dire à Félix Tshisekedi : on ne désacralise pas la fonction présidentielle pendant qu’on est en train de l’exercer. Fatshi a la notoriété d’avoir l’expression libre assise sur la verve oratoire. Mais, en tant que Chef de l’État, il est tenu au devoir de réserve. Passe encore qu’il qualifie l’Opposition de “nzala” ! Encore que des faits indéniables prouvent qu’à un moment de sa vie, il a bénéficié du soutien des Opposants. Mais de là à qualifier de mauvaise la Constitution pendant qu’il doit encore à ce texte son pouvoir, là c’est trop fort. Car quelle valeur morale auront les actes d’État qu’il aura à prendre en se référant à la Constitution mauvaise ? Et comment, d’une chose réputée mauvaise, peut sortir quelque chose de bon ? A un moment donné, les Tshisekedistes doivent apprendre à admettre que le premier ennemi de Félix Tshisekedi, ce n’est ni la Constitution, ni les institutions, moins encore le peuple et l’opposition. C’est simplement sa langue. Cette langue qui est en train de faire rater à la RDC sa première alternance démocratique de 2018.

Pris au piège dans cette affaire

Nous avions tous cru qu’avec l’avènement de l’Udps au Pouvoir en 2018, le pays verra tous les cinq ans ou tous les dix ans (selon le cas) un nouveau Président de la République élu régulièrement. Après tout, depuis le 30 juin 1960, il n’y a dans ce pays parti à avoir mis 37 ans à se préparer à la conquête et à y parvenir par la voie électorale à part l’Udps. Aucun.

Le Mnc avait été créé quatre avant l’indépendance. L’Abako n’a commencé à s’intéresser à la qu’a la même période.

Or le Mpr et le Pprd sont nés au moment où leurs animateurs principaux (Mobutu et Joseph Kabila) étaient aux affaires.

Hélas ! Espoir perdu, car Félix Tshisekedi a décidé – au nom du principe selon lequel _”la politique est dynamique_”, de ramener le compteur à zéro, si bien qu’il va falloir conjuguer désormais au passé l’alternance démocratique tant vantée avec la cérémonie d’investiture du 24 janvier 2019.

On comprendrait encore – et il serait excusé pour cette initiative – si la révision préconisée de la Constitution ne le concernait pas lui-même !

Or, tout porte à croire que se sentant à l’étroit dans la Constitution en cours, il veut s’en tailler une à sa mesure pour 7 ans renouvelable une fois, soit 14 ans au-delà des 10 ans en consommation (2018-2028). Du moins à en croire l’audio du fédéral de l’Udps/Katanga.

Résultat : l’alternance démocratique hypothétique à escompter en 2042 (2028 + 14 ans) vient remplacer l’alternance démocratique vécue en 2018 !

A un moment donné, on devrait tout de même se demander pourquoi continuer à organiser dans ce pays des élections si l’objectif est finalement de porter à la tête du pays des femmes et des hommes bercés dans le messianisme.

Pour l’heure, force est de constater que le saut grand saut dans l’inconnu signé Udps pourrait, cette fois, avoir moins d’adhésion qu’on ne l’espère. Pour la bonne et simple raison que la majorité des acteurs alliés de l’Udps dans l’Union sacrée de la nation se retrouvent comme pris au piège.

Entre 2015 et 2018, ils s’étaient ouvertement prononcés contre la révision de la Constitution dont ils soupçonnaient Joseph Kabila d’avoir pris l’initiative. A leur tête, les Tshisekedi père et fils.

Et voilà qu’aujourd’hui, Félix Tshisekedi les prend de court.

C’est leur dignité qui est en jeu, et la dignité a quelque chose de sacré pour d’aucuns.

PROCHAINEMENT : _”Profession : changeur de constitution !_”

Omer Nsongo die Lema




Clôture du 17ème forum d’affaires du COMESA : Les participants recommandent la consolidation des échanges commerciaux entre les États membres

La visite des stands où sont exposés les produits made in burundi par le Président burundais, Evariste Ndayishimiye a constitué l’un des moments forts du 17ieme Forum d’Affaires du Marché Commun pour l’Afrique Orientale et Australe (COMESA) qui a tiré ses rideaux dans la soirée à Bujumbura au Burundi.

Le Chef de l’Etat a encouragé les entrepreneurs burundais qui s’illustrent dans la lutte contre les importations en créant ainsi des richesses et emplois au pays.

Signalons que le Ministre du Commerce Extérieur de la RDC, Julien Paluku Kahongya a été parmi les sélectionnés pour accueillir le Président burundais sur le site qui a accueilli ce forum économique.

Par ailleurs, la consolidation des échanges commerciaux entre les États membres avec certaines facilités conformément au Régime Commercial Simplifié (RECOS), la mobilisation des financements avec la création des banques d’investissement et le développement des chaînes de valeurs pour transformer localement les ressources naturelles dans la zone COMESA figurent parmi les recommandations phares qui ont sanctionné ce rendez-vous d’affaires.




Des frappes aériennes israéliennes sur le sud et l’est du Liban font 15 morts et 34 blessés

Quinze personnes ont été tuées et 34 autres blessées dans des frappes aériennes israéliennes sur le sud et l’est du Liban lundi matin, selon des sources médiatiques et militaires.

L’Agence de presse nationale libanaise a rapporté que des avions de guerre israéliens avaient frappé un bâtiment dans le quartier al-Raml de Tyr, tuant sept personnes et en blessant 17 autres. D’autres frappes dans les districts de Tyr et de Bint Jbeil ont fait trois morts et quatre blessés. Les équipes de secours continuent de chercher des survivants dans les décombres.

A Batoulieh, trois personnes ont été tuées et sept autres blessées, tandis qu’à Nabatieh, une personne est décédée et trois autres ont été blessées lors d’une frappe sur une maison. Un raid aérien sur la ville de Shmustar, dans l’est du Liban, a fait un mort et trois blessés.

Selon des sources militaires libanaises, les forces israéliennes ont mené 17 raids aériens dans le sud du Liban et cinq dans l’est, tandis que l’artillerie a tiré 45 obus sur 20 villes et villages frontaliers. L’infanterie israélienne, soutenue par des chars Merkava, a avancé vers plusieurs villages du sud du Liban, mais a été accueillie par des tirs d’artillerie et de missiles de la part de la Résistance islamique du Hezbollah.

Le Hezbollah a confirmé avoir pris pour cible des soldats et des véhicules blindés israéliens près de Margaliot, ainsi que des tirs de missiles sur les forces israéliennes près de Kafr Kila, Rab El Thalathine et al-Taybeh. Une vidéo diffusée par les médias du Hezbollah montre ses forces repoussant un commando israélien qui tentait de s’infiltrer à al-Taybeh.

Depuis le 23 septembre, Israël a intensifié ses attaques aériennes sur le Liban, faisant monter la tension avec le Hezbollah, et a récemment lancé une opération terrestre à sa frontière nord.




Le Kremlin dément les allégations d’ingérence de la Russie dans les élections en Géorgie

Les allégations d’ingérence de la Russie dans les récentes élections législatives en Géorgie sont “totalement infondées”, a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

“Nous rejetons fermement ces accusations”, a déclaré M. Peskov, ajoutant que Moscou ne s’immisçait pas dans les affaires intérieures de la Géorgie et n’avait pas l’intention de le faire.

Samedi, la Géorgie a organisé pour la première fois des élections législatives selon un système entièrement proportionnel. Près de 90% des électeurs ont voté au moyen d’appareils électroniques installés dans les bureaux de vote.

Le parti au pouvoir, le Rêve géorgien, a remporté les élections législatives, a annoncé la Commission électorale centrale samedi en fin de journée. La présidente géorgienne Salomé Zourabichvili a rejeté dimanche les résultats des élections, les qualifiant de grossièrement truqués.




Lettre ouverte à M. Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’UDPSqa

Cher ami et compatriote congolais, j’ai beaucoup observé les débats sur la révision et/ou changement de la Constitution et dans une de vos matinées politiques, où vous avez affirmé que cela avait été le vœu d’Étienne Tshisekedi de changer la Constitution une fois votre parti est au pouvoir.

Oui, c’est son vœu, mais la Constitution de la République Démocratique du Congo qui est un pacte républicain n’est pas à confondre avec vos statuts du parti UDPS pour que cela soit son vœu.

D’ailleurs, puis-je vous rappeler que la République Démocratique du Congo n’est pas son héritage ni sa propriété monarchique, ni un bien privé de son clan ni tribu pour se prévaloir la prétention de sa volonté.

Nous disons République, entendu, bien commun.

Cette loi fondamentale du 18 février 2006 n’a jamais été élaborée à l’étranger par les étrangers comme votre parti y compris vos partisans l’affirme ironiquement. C’est ça justement la conséquence logique de faire une opposition radicale et irréfléchie qui ne suivait jamais la marche de la République au moment des consultations de la population.

Heureusement, la technologie vous défie et met à nue vos prétentions de l’époque combien vous ne cessez de protéger cette constitution sous prétexte que Joseph Kabila voulait se maintenir au pouvoir longtemps possible et faire des congolais ses esclaves, avait affirmé Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, alors secrétaire nationale en charge des relations de l’UDPS.

Joseph Kabila, lui au moins avait les raisons de se maintenir au pouvoir car, il a hérité un pays balkanisé dont Jean-Pierre Bemba actuellement votre partenaire à l’union sacrée avec son territoire, Azarias Ruberwa et certains cadres du RCD qui furent partenaires de l’UDPS avec son territoire, sans compter Antipas Busa Nyamwisi et Roger Lumbala, ancien directeur de campagne d’Étienne Tshisekedi. Telle est la vérité historique immuable de la République Démocratique du Congo. C’est la forme du pays en plusieurs Etats que Joseph Kabila avait hérité, sans Constitution justement et sans armée. Un pays sans État car, l’Etat signifie : territoire entier, institutions politiques stables, armée unifiée, un peuple sur un même territoire, une seule monnaie et la loi fondamentale.

Malheureusement, à son avènement, il existait seulement un pays.

Par son jeune âge, il a procédé à l’unification du pays, doté la République des institutions légitimes, d’une armée unique bien qu’en son sein le brassage et mixage des différentes rébellions avec l’appui et le concours du CIAT et Monuc à l’époque. De l’armée nationale congolaise, ANC ou des Forces Armées Congolaises, FAC, naquit FARDC la conséquence logiquement de mixage et brassage des différentes forces ayant concourir à la partition du pays par les rébellions.

Outre ses performances d’unifier le pays, Joseph Kabila a organisé trois cycles électoraux dont vous êtes bénéficiaires de celui de décembre 2018.

Ces raisons, pouvaient amener Joseph Kabila de s’éterniser au pouvoir au-delà du programme de la reconstruction et construction des infrastructures du pays.

 

Et le grand mérite est de léguer le Code Minier, le Code des investissements, la loi sur la sous traitance pour laquelle Miguel Kashala Katembo se fait la joie, Il ne l’a pas fait, malgré les accusations infondées contre lui de vouloir changer la constitution comme le témoigne vos différentes vidéos qui apparaissent aujourd’hui dans les réseaux sociaux.

Affirmer que la Constitution a été rédigée à l’étranger par les étrangers est totalement faux car, les travaux de l’avant-projet ont eu lieu à Simi Simi, une localité de Kisangani, dans l’actuelle province de la Tshopo. Un Code de conduite du sénateur pendant la consultation nationale sur les options fondamentales de la Constitution avait été élaboré avec ses 19 articles dont l’article 2 stipule : Le sénateur accepte de collaborer loyalement à l’élaboration d’un projet de Constitution de la RDC reflétant les aspirations du peuple congolais. Il se gardera de tout prosélytisme pour ses propres opinions et celle de son parti ou regroupement politique.

Un deuxième document qui date de 2005 intitulé : l’essentiel de la future constitution de la République Démocratique du Congo en 24 points co-signé par Mgr Marini Bodho, Olivier Kamitatu Etsu, Lambert Mende Omalanga et Raphaël Luhulu Lunghe, respectivement Président du Sénat, président de l’Assemblée nationale, Rapporteur du Sénat et rapporteur de l’Assemblée nationale. Ce document de 19 pages se trouve aux archives de l’Assemblée nationale et du Sénat. Vous êtes actuellement député national, je vous invite à le consulter pour étayer mes propos qui ne constituent pas l’outrage politique ni une diffamation. C’est la vérité Parlementaire absolue et je l’affirme en tant que ancien assistant Parlementaire de la première législature dont nos primes de huit mois budgétisées par le Gouvernement Antoine Gizenga se trouvent dans les poches de certains cadres actuellement à l’union sacrée.

Et donc, la démarche dans laquelle votre régime s’engage à vouloir toucher à la loi fondamentale est suicidaire.

J’emprunte les propos oh combien élogieux de Monsieur Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi à l’époque et ceux de Monsieur Vital Kamerhe Lwa Kinyingini Kingi : il faudrait marcher sur nos cadavres pour parvenir à cette démarche

Elle est suicidaire puisque le moment ne s’y prête pas du fait de l’absence de l’autorité de l’état sur différents territoires et localités aux mains des assaillants du M23 et/ou révolutionnaires de L’AFC. Chaque jour qui passe, nous ajouté un lot de souffrance au-delà des promesses de rendre et transformer la République Démocratique du Congo en Allemagne d’Afrique. Le quotidien du congolais devient un calvaire, mais l’on ignore que hier dans l’opposition, Joseph Kabila ne vous ait jamais dénigré avec les propos désobligeants. Chaque jour que votre régime invective les propos outrageants, chaque jour les communautés se divisent et se méfient les unes des autres.

J’ai suivi les arguments infondés de l’article 217 qui serait la base de la prise de nos territoires par Kigali. Cependant, j’ai éclaté de rire en suivant différents prestataires sur les plateaux de télévision et j’en avais envie d’y apporter ma voix, hélas, votre régime me soustrait volontairement à cet exercice démocratique.

 

Toutefois, laissez-moi vous dire, cher ami que la disposition de l’article 217 de la Constitution du 18 février 2006 est la copie collée de l’article 69 de la Constitution du 24 juin 1967, dont l’un de rédacteurs et votre autorité morale paix à son âme Étienne Tshisekedi.

Cet article 217 est la suite logique des articles 213, 214 et 215, en ce que les traités et accords internationaux sont négociés par le Président de la République et ont une autorité supérieure à nos lois internes. C’est à dire, l’article 217 est la conséquence logique de notre appartenance aux organisations internationales notamment L’ONU, L’UA, la Sadec, la CIRGL, l’OIF, OMS, COMESA, CNDH, OIM, l’EAC à la CEEAC etc. Ces organisations nous amputent partiellement notre souveraineté c’est à dire, nous ne pouvons plus décider sur certaines questions in tuite personnae. Si votre parti s’engage à croire que cette disposition fait tache d’huile, en l’élaguant de la Constitution sous attend quitter toutes les organisations internationales ou régionales. Cette erreur de faire croire à l’opinion que c’est article qui serait à la base de la présence de Kigali chez nous est fausse étant donné que nous gardons encore nos ambassades fonctionnées et les frontières ne sont jamais fermées.

Je voudrais vous faire cette réflexion car, c’est à vous qui avez été donné la charge par votre régime de lancer ce ballon d’essai dans l’opinion. Depuis, ça alimente les salons et les Etats-majors au point de nous désorienter sur ce qui est essentiel : récupérer nos territoires sous contrôle de l’ennemi.

Je reviens au caractère étranger de la Constitution selon les propos du Chef de l’état. Ce qui est totalement faux car, le Professeur Jean Louis Esambo l’a démenti dans une vidéo de 3 minutes 39 secondes, André Mbata l’a dit également qu’elle est l’œuvre des congolais et votée par les congolais au référendum.

Dans une autre vidéo dont je me suis fait plaisir de vous la partager est celle de l’honorable Président Vital Kamerhe dans laquelle, il argumente sur l’inopportunité de toucher à la Constitution puis démontrer que c’est ne pas la Constitution qui enfreint à la bonne gouvernance.

Une autre vidéo est celle du Professeur Evariste Boshab Mabunj Mabileng qui se refuse de répondre les réseaux sociaux, mais invite ses collègues professeurs de le répondre par une œuvre scientifique.

Dans une logique rationnelle, cette question ne peut jamais figurer sur la table de discussions en cette période où les congolais n’ont plus confiance ni ne fondent plus espoir à votre régime dont les caractéristiques sont : le détournement, l’emprisonnement de ceux qui ont la voix discordante, les injures, de multiple voyages improductifs, la vie chère, l’absence des routes, les impatiemments, le tribalisme…

Joseph Kabila injustement accusé n’a jamais poursuivi en justice tous ses insulteurs qui se comptaient dans le rang de l’UDPS. Votre parti l’a qualifié de rwandais, tantôt de tanzanien jusqu’à lui denier sa filiation avec son père et sa mère. Heureusement, la nature sait rendre justice.

Aujourd’hui votre parti est au pouvoir, c’est une erreur de choix des congolais de vous faire confiance et un accident politique. La lettre de 52 pages à la base de la création de l’UDPS est en inadéquation de l’actuelle gouvernance sous votre parti UDPS.

 

Questions, cher ami : quelle est la nécessité et l’opportunité de vouloir toucher à la loi fondamentale alors que, nos routes sur lesquelles vous et nous empruntons sont dans un état piteux ? Il vous est arrivé dans l’exercice du représentant du peuple de sillonner les artères suivantes : avenues Itaga, Kalembe Lembe, Nyangwe, Kabambare, Croix rouge, Kasavubu, Bokasa, Kasai, Flambeau, Oua, Kabinda, Huilerie, Mushi, du livre, Sankuru… puis nous dire qu’est ce qui empêche votre gouvernement, votre pouvoir, votre régime de rendre ses avenues praticables ?

Quels sont les articles de la Constitution qui empêche votre régime de reconquérir les territoires et localités entre les mains de M23 et AFC ?

Quels sont les articles de la Constitution qui empêchent de payer régulièrement les agents et cadres de l’administration ?

Quels sont les articles de la Constitution qui ont mis nos quatre avions de Congo Airways dans le hangar de l’aéroport ?

Chers amis, votre régime nous a causé beaucoup d’ennuis et la déchirure entre communautés congolaises.

Veuillez terminer votre dernier mandat, laissez la République Démocratique du Congo dans ses frontières de 2,345.410 Km2 tel que vous l’aviez hérité le 24 janvier 2019, tel que Joseph Kabila vous les ai remis.

Ça serait justice et le Dieu de Marion Branham épargnerait le Congo de sa disparition.

Bien à vous ton frère

Pius Romain Rolland

Journaliste professionnel

N°339 UNPC




Le prix ONU-Habitat 2024 décerné à Rabat, une reconnaissance de l’inclusivité de la capitale du Royaume (Mme El Moudni)

Le Prix d’honneur ONU-Habitat 2024, décerné à la ville de Rabat, est une reconnaissance de l’inclusivité et de la durabilité de la capitale du Royaume, a affirmé la présidente du Conseil communal de Rabat, Fatiha El Moudni.

Attribuée récemment lors de la célébration de la Journée mondiale de l’habitat à Querétaro, au Mexique, cette prestigieuse distinction marque aussi une reconnaissance de la pertinence du programme “Rabat Ville Lumière, capitale marocaine de la culture”, lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a souligné Mme El Moudni dans une interview accordée à la MAP.

En effet, le prix ONU-Habitat récompense les villes ayant réalisé des accomplissements exceptionnels en matière de développement urbain et contribué de manière significative à l’amélioration de la qualité de vie de leurs habitants.

“Cette récompense internationale est une confirmation de la réussite de notre programme ‘Rabat, Ville Lumière, capitale culturelle du Maroc’, qui souligne notre engagement envers le développement durable et l’intégration sociale, tout en préservant notre riche héritage culturel”, a dit la présidente du Conseil communal de Rabat.

A ce propos, elle a mis en avant les résultats du projet “Villes sans Bidonvilles”, une initiative phare qui a transformé le paysage urbain.

Mme El Moudni a aussi mis en lumière les priorités de développement urbain qui ont transformé la ville de Rabat, citant notamment la rénovation des espaces publics, l’installation de 175 terrains de sport, le développement d’un grand complexe aquatique municipal et la réhabilitation de la vieille ville et de ses monuments historiques.

Ces projets visent à intégrer toutes les couches sociales et à faire de Rabat un modèle de référence continental et mondial en portant une attention particulière aux catégories vulnérables, aux personnes à besoins spécifiques, aux femmes et aux jeunes, a-t-elle expliqué.

Rabat a également été reconnue pour son dynamisme culturel, devenant un centre névralgique pour les arts et la culture à l’échelle continentale et mondiale.

“Nous avons restauré et revitalisé de nombreux sites historiques, lancé des festivals culturels diversifiés et soutenu des initiatives qui valorisent à la fois notre héritage et notre créativité contemporaine”, a relevé Mme El Moudni. A cet égard, elle a rappelé que Rabat a été désignée Capitale de la culture africaine pour 2022 et Capitale de la culture dans le monde islamique, confirmant ainsi son statut de métropole culturelle.

Le prix ONU-Habitat 2024 s’ajoute au Prix Méditerranéen de l’Excellence, décerné récemment par l’Association des journalistes méditerranéens pour l’engagement de la ville de Rabat notamment en faveur de l’inclusion sociale et de la culture, a-t-elle rappelé.

Pour l’avenir, Rabat se prépare à accueillir des événements sportifs d’envergure tels que la Coupe d’Afrique des Nations 2025, plusieurs éditions de la Coupe du monde féminine U17 et la Coupe du monde 2030.

“Ces événements, ainsi que nos projets d’expansion touristique, renforcent notre position comme une destination privilégiée pour le tourisme et le sport”, a assuré la présidente du conseil communal, affirmant que les projets de développement se poursuivent avec la réhabilitation des complexes sportifs Prince Moulay Abdellah et Prince Moulay El Hassan et l’élargissement des offres touristiques, incluant de nouveaux établissements hôteliers et attractions.

Interrogée sur la transformation de Rabat en ville intelligente (Smart City), Mme El Moudni a souligné l’importance de hisser la capitale du Royaume à ce statut pour répondre aux défis contemporains.

“Nous développons des applications mobiles pour une gestion en temps réel des services urbains, améliorant ainsi l’efficacité et la durabilité”, a-t-elle dit. Ces initiatives incluent l’utilisation d’énergies renouvelables et la réutilisation des eaux usées pour l’irrigation des espaces verts, avec un futur projet ambitieux de dessalement de l’eau de mer.

Avec ces initiatives, Rabat a tous les atouts pour rivaliser avec les grandes capitales mondiales, conformément à la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a conclu Mme El Moudni.




Arrivée au Maroc du Président français pour une visite d’Etat au Royaume à l’invitation de Sa Majesté le Roi

Le Président de la République Française, S.E.M. Emmanuel Macron, et son épouse Mme Brigitte Macron sont arrivés, lundi en fin d’après-midi à Rabat, pour une visite d’Etat au Royaume du Maroc, à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

A leur arrivée à l’aéroport de Rabat-Salé, le Chef de l’Etat français et Mme Brigitte Macron ont été accueillis par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, qui était accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de LL.AA.RR les Princesses Lalla Khadija et Lalla Meryem.

SM le Roi, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, et Son illustre hôte ont gagné la tribune d’honneur pour saluer les couleurs nationales au son des hymnes nationaux des deux pays, alors qu’une salve de 21 coups de canon retentissait en signe de bienvenue au Président français.

SM le Roi, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, et le Chef de l’Etat français ont, par la suite, passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs.

A l’entrée du Salon Royal de l’aéroport de Rabat-Salé, le Chef de l’Etat français et Mme Brigitte Macron ont été conviés à la traditionnelle cérémonie d’offrande de lait et de dattes.

Après une brève pause, le cortège des deux Chefs d’Etat s’est dirigé vers le Palais Royal de Rabat. Les habitants des villes de Salé et de Rabat se sont massés tout au long de l’itinéraire emprunté par le cortège officiel pour exprimer leur joie en ce premier jour de cette visite d’Etat qui ne manquera pas d’ajouter un nouveau jalon à l’édifice des relations séculaires d’amitié unissant les deux pays et les deux peuples.

Les principales artères empruntées par le Cortège Royal ont été pavoisées de drapeaux marocains et français.

Dans un grand geste de communion et de spontanéité, SM le Roi a bien voulu arrêter le cortège pour se prêter, avec le Président français, à un bain de foule sous les vivats des citoyens en liesse.

 

Arrivé à la porte “Bab Assoufara”, le cortège de SM le Roi et de Son illustre hôte a été escorté par la fanfare et la cavalerie de la Garde Royale jusqu’à la Place du Méchouar du Palais Royal.

Cette troupe de la Garde Royale, qui escorte le cortège de SM le Roi lorsque le Souverain accueille des hôtes de marque, a conféré un caractère distingué à cette cérémonie officielle et populaire réservée au Président français dans la capitale du Royaume, à la mesure des liens profonds unissant le Maroc et la France.

A la Place du Méchouar, le Président français Emmanuel Macron a été salué par le Chef du gouvernement, les présidents des deux Chambres du Parlement, les Conseillers de SM le Roi, le Président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, Premier-Président de la Cour de Cassation, le procureur général du Roi près la Cour de Cassation, président du ministère public, les membres du gouvernement, le Haut-Commissaire au Plan, le Haut-Commissaire aux Anciens Résistants et Anciens membres de l’Armée de Libération, le président de la Cour Constitutionnelle, la présidente de la Cour des Comptes, le Président du Conseil économique, social et environnemental, le secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas, le Président du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique, la présidente du Conseil national des droits de l’Homme, le Médiateur du Royaume, la présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle, le président du Conseil de la Concurrence, le président de l’Instance Nationale de la Probité, de la Prévention et de la Lutte contre la Corruption, le président du Conseil Royal consultatif pour les affaires sahariennes et le chambellan de SM le Roi.

Le Chef de l’Etat français a également été salué par le directeur de la Cour Royale, les chargés de mission au Cabinet Royal, le doyen du corps diplomatique accrédité au Maroc, les chefs des missions diplomatiques européennes accrédités au Maroc, les officiers supérieurs de l’Etat-Major Général des Forces Armées Royales, le directeur général de la Sûreté nationale et directeur général de la Surveillance du territoire et le directeur général des Etudes et de la Documentation, ainsi que par le Wali de la région de Rabat-Salé-Kénitra, gouverneur de la préfecture de Rabat et les élus de la région.

Par la suite, SM le Roi Mohammed VI a été salué par les membres de la délégation officielle française accompagnant le Président Emmanuel Macron lors de cette visite, composée notamment de M. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, Mme Anne Genetet, ministre de l’Education nationale, M. Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Mme Rachida Dati, ministre de la Culture, M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées et des Anciens combattants, M. Antoine Armand, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, Mme Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt, M. Patrick Hetzel, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mme Olga Givernet, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, chargée de l’Énergie.

Elle comprend également M. Thani Mohamed Soilihi, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Mme Naïma Moutchou, députée du Val-d’Oise (4è circonscription) et Vice-Présidente de l’Assemblée nationale, M. Bruno Fuchs, député du Haut-Rhin (6è circonscription) et Président de la Commission des Affaires étrangères, M. Karim Ben Cheikh, député des Français établis hors de France (9è circonscription) et ancien Président du Groupe d’amitié France-Maroc de l’Assemblée nationale, M. Christian Cambon, Sénateur du Val-de-Marne (Île-de-France) et Président du groupe d’amitié France-Maroc du Sénat, ainsi que plusieurs personnalités des mondes des affaires, de la culture et du sport.

SM le Roi Mohammed VI a aussi été salué par Christophe Lecourtier, ambassadeur de France au Maroc, ainsi que par les membres de l’ambassade de France à Rabat.

Le Chef de l’Etat français a été ensuite salué par les membres du comité d’honneur, qui comprend notamment la ministre de l’Aménagement du Territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville, Mme Fatima Ezzahra El Mansouri, et l’ambassadeur de SM le Roi à Paris, Mme Samira Sitail.

Les deux Chefs d’Etat ont gagné le Cabinet Royal où Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid, et de LL.AA.RR les Princesses Lalla Khadija et Lalla Meryem, et le Président de la République Française, S.E.M. Emmanuel Macron, et son épouse Mme Brigitte Macron ont posé pour une photo de famille.




Dr Patrice Motsepe, le Président de la CAF, se réjouit du développement et de l’essor du Beach Soccer en Afrique

Le Président de la Confédération Africaine de Football (CAF), Dr Patrice Motsepe, s’est dit réjoui de l’évolution et de la croissance du Beach Soccer dans l’ensemble des 54 Associations Membres de la CAF.

Lors de la finale de la Coupe d’Afrique des Nations de Beach Soccer de la CAF 2024, organisée en Égypte et marquée par le cinquième sacre du Sénégal aux dépens de la Mauritanie, Dr Motsepe a souligné l’importance de favoriser la pratique régulière et compétitive du Beach soccer dans davantage de pays africains. Selon lui, cette démarche est essentielle pour rendre le Beach Soccer africain compétitif au niveau mondial.

En s’imposant face à la Mauritanie qui disputait sa première Coupe d’Afrique des Nations de Beach Soccer de la CAF, le Sénégal remporte ainsi cinq des six dernières éditions, confirmant sa domination dans la discipline.

L’année prochaine, l’Afrique sera sous les feux des projecteurs, lorsque les Seychelles accueilleront pour la première fois la Coupe du Monde de Beach Soccer de la FIFA™ en mai 2025.

Dr Motsepe a également insisté sur l’importance d’élever la qualité et le niveau du Beach Soccer africain afin de garantir sa compétitivité internationale.

Le Président de la CAF a par ailleurs exprimé sa gratitude envers l’Égypte, hôte de cette édition, qui a su organiser avec succès cet événement et qui a terminé en quatrième position après sa défaite face au Maroc dans le match pour la troisième place.

« Au nom des 54 associations membres de la CAF, j’adresse mes remerciements à l’Égypte pour l’organisation remarquable de cette édition de la Coupe d’Afrique des Nations de Beach Soccer. Mes félicitations vont au Sénégal pour sa victoire et à la Mauritanie, qui atteint la finale dès sa première participation. J’adresse mes meilleurs vœux au Sénégal et à la Mauritanie, qui représenteront avec fierté notre continent lors de la Coupe du Monde de Beach Soccer de la FIFA aux Seychelles en

2025. »




CHAN 2024 : Le Togo, le Soudan du Sud et l’Eswatini dominent les débats

Le premier tour des qualifications au Championnat d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2024 a été marqué par des victoires cruciales du Togo, du Soudan du Sud et de l’Eswatini lors des matchs aller ce week-end, leur permettant de se positionner favorablement en vue de progresser à l’étape suivante.

À Lomé, le Togo a réalisé un début remarquable en s’imposant face au Bénin sur le score de 2-0. Un tir rapide d’Abalo à la 11e minute a rapidement mis les Togolais en bonne position, et Avotor a sécurisé la victoire avec un but en fin de match, donnant ainsi un avantage confortable au Togo pour le match retour prévu le 1er novembre au Bénin.

Dans le même temps, le Soudan du Sud a tiré parti de son environnement à Juba en battant le Kenya 2-0, après une première mi-temps sans score. Ezibon Ebon a ouvert le bal à la 50e minute, tandis que Yohanna Juma a ajouté un deuxième but à la 68e minute. Sans Kenneth Muguna sur le terrain, le Kenya cherchera à redresser la situation lors de leur prochaine rencontre en Ouganda le 3 novembre.

L’Eswatini a remporté une victoire éclatante de 3-0 en déplacement contre le Zimbabwe, les plaçant dans une situation avantageuse avant leur match retour à domicile, dans l’optique de tirer parti de cet avantage considérable.

Ailleurs, Djibouti a battu le Rwanda 1-0, sécurisant un léger avantage à défendre à Kigali. Le Soudan a réussi à s’imposer face à la Tanzanie avec un score de 1-0 à Nouakchott grâce à un but crucial de Mohammed Abdul Rahman à la 23e minute, lui permettant d’avoir un léger ascendant avant la rencontre retour.

Lors d’un match très disputé, le Libéria a triomphé de la Sierra Leone sur le score de 2-1 à Freetown. Lawrence Kumeh a ouvert le score rapidement pour le Libéria, mais la Sierra Leone a réussi à égaliser grâce à un but de Kalokoh Suffian à la 22e minute. Néanmoins, un but contre son camp d’Alhpa Kabia de la Sierra Leone à la 58e minute a permis au Libéria de remporter la victoire.

Prévus du 1er au 3 novembre, les affrontements du match retour devraient être riches en action, les équipes cherchant à se positionner pour le prochain tour du tournoi, coorganisé par le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie en février 2025.