Polémique autour du changement de la constitution: Les chefs des confessions religieuses appellent les acteurs politiques à dépassionner le débat

Les chefs des confessions religieuses de la Rdc ont appelé, mardi 29 octobre les acteurs politiques de tous bords, de dépassionner le débat qui défraie la chronique ces derniers jours autour du changement ou encore révision de la constitution.

Ils réagissent ainsi après avoir constaté que ce débat coloré selon les penchants politiques, commence à diviser les Congolais mettant en mal la cohésion nationale déjà fragile. Au terme d’une plénière présidée ce mardi 29 octobre à Kinshasa par l’archevêque Evariste Ejiba Ya MAPIA, les leaders religieux ont annoncé la tenue prochaine d’un forum qui aura pour but d’analyser la question.

« Après avoir examiné les différents points de vue sur la question, la plénière de la plateforme de confession religieuse a décidé d’organiser un forum qui va rassembler les intelligences des confessions religieuses afin de mieux éclairer sa religion sur la question de la révision ou du changement de la constitution », ont-ils déclaré.

Dans leur message, les chefs des confessions religieuses ont également appelé l’opinion nationale au calme tout en invitant le gouvernement congolais à améliorer le social du peuple.

« Dans l’entre-temps, la plénière de la plateforme de confession religieuses invite les acteurs politiques et de la société civile à la responsabilité et dépassionner le débat afin de préserver la cohésion et l’unité nationale. La plénière de la plateforme appelle aussi le gouvernement à doubler d’effort pour améliorer le social des congolais », ont-ils ajouté.

Les chefs des confessions religieuses réagissent après que la CENCO s’est ouvertement opposée à toute éventualité de la révision ou changement de la constitution.

En RDC, le débat autour de la révision ou changement de la constitution n’est plus tabou depuis l’adresse du Chef de l’Etat à Kisangani. Félix Tshisekedi a clairement exprimé ses intentions de modifier la constitution. Il a même annoncé la mise en plan l’an prochain d’une commission nationale devant réfléchir pour voir dans quelle mesure doter le pays d’une nouvelle constitution.

OSK




Le rapport de l’ECOFIN sur le projet de loi portant reddition des comptes 2023 et le projet de loi de finances rectificative du budget 2024 adoptés par la plénière

A la suite de près de deux semaines d’intenses travaux, la Commission Économique, Financière et de Contrôle Budgétaire de la chambre basse du Parlement a présenté à la plénière le mardi 29 Octobre 2024, le rapport issu des analyses approfondies de deux projets de lois à savoir, le projet de loi portant reddition des comptes exercice 2023 et le projet de loi de finances rectificative du budget 2024.

S’agissant du projet de la loi rectificative du budget 2024, le rapport de la Commission Ecofin que préside l’Honorable Guy Mafuta, a indiqué qu’il

ressort une augmentation du Budget de 44.410.000.000fc par rapport au budget initial prévu en équilibre de 40.986.000.000 fc, soit une augmentation de 8,4%. Cela est principalement dû a fait savoir ce rapport, à la renégociation du contrat minier entre la République Démocratique du Congo et le Sicomines, dont l’essentiel des ressources sont affectées aux investissements et aux infrastructures.

Les questions liées à l’éducation, la santé, les investissements, l’agriculture et les infrastructures, ont elles aussi reçu un regard particulier au cours de ces travaux de l’Ecofin auxquels ont pris part les syndicalistes de certains secteurs publics du Pays sur demande du Président de la Chambre basse du parlement.

Les recommandations formulées par l’Ecofin tant à l’endroit de l’Assemblée Nationale et du Gouvernement gravitent autour de :

1. Poursuivre les réformes entreprises depuis quelques années en matière de lutte contre le coulage des recettes de l’Etat;

2. Renforcer l’encadrement du secteur minier en tant que grand pourvoyeur des recettes de l’Etat par la lutte contre toute forme de fraude minière en vue de s’assurer de la traçabilité de tous les produits miniers sortant du Territoire national;

3. Poursuivre les efforts visant à certifier les gisements afin de leur donner la valeur marchande qui leur convient dans la perspective de pouvoir lever des capitaux frais auprès des Institutions Financières Internationales.

En matière des dépenses :

1. Veiller scrupuleusement au respect des dispositions légales en matière des procédures d’exécution des dépenses de l’Etat, en l’occurrence la Loi relative aux finances publiques notamment en limitant strictement le recours aux décaissements en procédure d’urgence;

2. Changer la dénomination du poste budgétaire « Investissements sur Transferts aux Provinces et ETD » en « Transferts aux Provinces et ETD pour Investissements »;

3. S’abstenir de la tendance de concocter les projets des Provinces au niveau du e Gouvernement Central sans tenir compte des besoins réels des Provinces et ETD;

4. Les ressources supplémentaires engrangées suite aux retombés de négociations du contrat SICOMINE doivent être orientées vers les investissements porteurs de croissance ou productifs;

5. Prioriser les projets d’investissements porteurs de croissance économique

En ce qui concerne le rapport du projet de loi portant reddition des comptes 2023, c’est un total de 43 recommandations qui a été fait à l’endroit de l’exécutif national, témoignant ainsi du travail minutieux et finement réalisé par la commission Ecofin.

L’Ecofin de l’Assemblée Nationale recommande ce qui suit à l’exécutif national en matière des Recettes:

– Mettre fin aux exonérations dérogatoires

– Renforcer la collaboration et la synergie entre les écrives du Ministère des Finances et les établissements publics qui interviennent dans la mobilisation de recettes afin d’harmoniser et de consolider les données des comptes spéciaux et budgets annexes

– Signer en temps réel les arrêtés interministériels susceptibles d’accroître les Recettes de l’état

– Financer les imprimés des valeurs

En matière de dépenses :

– Exécuter équitablement les crédits liés aux rémunérations du personnel tant au niveau du traitement de base qu’au niveau des dépenses accessoires de personnel constatées et ce, de manière inclusive et non discriminatoire afin de réparer les injustices

– Mettre fin aux dépassements des crédits lors de l’exécution du budget en matière salariale.

Après lecture de ces deux rapports accueillis avec acclamations, 343 élus Nationaux ont voté pour l’adoption de ces deux projets de lois, 2 ont voté contre, aucune abstention n’a été manifestée, par conséquent l’Assemblée Nationale a voté ces deux projets de loi, l’heure est donc maintenant à la préparation de l’examen du budget 2025, essence même de c

ette session budgétaire.




Débat autour de la révision ou changement constitutionnel: Que cache le silence de Kamerhe, Bahati et Bemba ?

Le débat autour de la révision ou changement de la Constitution, lancé par l’Union pour l’UDPS et réaffirmé par le Président de la République, Félix Tshisekedi lors de son séjour à Kisangani, continue son bonhomme de chemin dans l’opinion publique et dans la classe politique congolaise. Chaque jour qui passe, des déclarations sont enregistrées pour se prononcer en faveur ou en défaveur de cette question qui divise la majorité, l’opposition et la société civile. Chacun, dans son camp, démontre soit le bien-fondé, soit les méfaits de cette démarche.

Pour sa part, à l’UDPS où le ton a été lancé, on poursuit la campagne de sensibilisation auprès des combattants pour la modification, si pas le changement de la loi fondamentale.

Augustin Kabuya, secrétaire général d’une aile de cette formation politique, proche de Félix Tshisekedi, n’entend pas reculer face aux diverses critiques de l’Opposition et d’une frange de le Société civile.

Dans une note circulaire aux présidents fédéraux, présidents sectionnaires et aux présidents cellulaires, il les a invités chacun dans son ressort, à mobiliser et à conscientiser la base du parti, afin d’imprégner aux militants, le bien-fondé de la mise en œuvre du processus de révision de la constitution en vigueur, selon les normes prévues par cette dernière. Comme un bon entraineur, Augustin Kabuya ne s’arrête pas là. Il a annoncé l’organisation d’une série des manifestations de grande envergure à travers toute la République démocratique du Congo pour soutenir le projet de révision de la Constitution initié par le Président Félix Tshisekedi. Dans une série de déclarations publiées sur les réseaux sociaux, M. Kabuya a critiqué les tentatives de l’Opposition de semer « la confusion » autour de ce projet et a affirmé la volonté de son parti de mobiliser le peuple congolais en faveur de cette démarche.

« En dépit de la confusion que certains hommes politiques veulent entretenir autour du projet de révision ou de changement de la Constitution, nous allons nous déployer pour conscientiser notre peuple sur le bien-fondé de notre démarche et soutenir la position du Chef de l’État, vivement exprimée à Kisangani », a-t-il écrit sur son compte X. Une véritable démarche va- t- en guerre à l’image de dicton : « le chien aboie, la caravane passe ».

Kamerhe, Bahati et Bemba devant un dilemme ?

Au moment où l’Udps mobilise sans désemparer ses combattants pour la révision ou modification constitutionnelle, à l’Union Sacrée de la Nation, certains gabarits gardent un silence de carpe. Presque un silence radio dans le chef des certains sociétaires.

Si les réactions de quelques formations politiques et certaines initiatives personnelles des sociétaires de l’USN sont enregistrées çà et là, mais de manière pas coordonnées, dans le sens de soutenir cette démarche, du côté de partis politiques membres de son présidium, rien n’est fait jusque-là. La question n’est pas encore à l’ordre du jour. Dans les états-majors de l’UNC de Vital Kamerhe, de l’AFDC de Modeste Bahati et du MLC de Jean-Pierre Bemba, la question ne semble pas à l’ordre du jour. Personne ne pipe mot. Les déclarations intempestives et tonitruantes d’Augustin Kabuya les mettent très mal à l’aise pour s’y prononcer, dès lors que la question n’a pas encore été discutée au sein de la plate-forme politique. Même si la question aurait été discutée au sein du groupe, ce n’est pas évident que tout le monde serait d’accord avec cette démarche de portée hautement politique.

Ayant accepté d’accompagner Félix Tshisekedi pour ses deux mandats constitutionnels à la tête du pays, Vital Kamerhe, Modeste Bahati et Jean-Pierre Bemba sont des potentiels candidats pour 2028.

Selon un analyste politique averti, dans un deal politique, Félix Tshisekedi aurait accepté de ne pas se représenter à la prochaine présidentielle, en respectant les prescrits de la Constitution et apporter son soutien à l’un des candidats que l’Union Sacrée de la Nation présentera à la présidentielle de 2028. Et il s’étonne de volte- face de Félix Tshisekedi en voulant changer la Constitution pour obtenir un autre mandat à la tête du pays. Ce qui pourrait être à la base d’un discorde au sein de l’USN, prévient l’analyste politique.

Si l’Udps et ses alliés de l’Union sacrée de la nation ne se mettent pas d’accord sur le changement de la Constitution, le parti politique de Félix Tshisekedi va, sans doute, faire cavalier solitaire.

Quant à Vital Kamerhe, Modeste Bahati et Jean Pierre Bemba, ils n’auront d’autres choix que de tirer les conséquences de leurs refus. Il s’agit de quitter la plate-forme politique et de quitter les fonctions occupées au sein des institutions et bénéfices au nom de la même plate-forme politique.

En attendant, c’est la loyauté au Président qui règne encore au sein de l’USN où les sociétaires sont en rude épreuve. Bien plus, le débat n’étant pas encore porté au niveau institutionnel, Augustin Kabuya et l’Udps sont seul au front pour ce projet qu’ils décrivent comme étant le testament politique d’Étienne Tshisekedi Wa Mulumba.

RSK




Les réformes courageuses de Daniel Mukoko Samba: La baisse des prix des produits pétroliers en Rdc

Dans le débat autour de la baisse des prix des produits pétroliers, certains économistes ont émis des réserves, soulignant des risques pour l’approvisionnement et les pertes potentielles pour les sociétés pétrolières. Toutefois, cette vision ne tient pas pleinement compte des réalités macroéconomiques et des efforts du gouvernement, notamment du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, le Professeur Daniel Mukoko Samba, qui mène une lutte acharnée contre la vie chère, tout en cherchant à améliorer le pouvoir d’achat des Congolais. Cet article vise à réfuter certaines théories économiques déconnectées des priorités nationales, en soulignant les résultats positifs des réformes entreprises dans le secteur pétrolier.

Une Vision pragmatique, cohérente et axée sur le pouvoir d’achat

L’un des objectifs principaux du gouvernement congolais, sous l’impulsion du Président de la République, Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est de protéger le pouvoir d’achat des ménages. En ce sens, la baisse des prix des carburants à la pompe n’est pas une mesure arbitraire, mais une réponse directe à cette priorité nationale. Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, a appliqué une politique audacieuse pour faire face aux pressions inflationnistes et au coût de la vie, dans un contexte de forte demande sociale.

Certains critiques se sont concentrés sur les effets immédiats des ajustements de prix, sans considérer les bénéfices à long terme pour la population. En effet, la baisse du prix du carburant représente une économie significative pour les consommateurs, tant privés que ceux du transport en commun. Cette mesure impacte directement le quotidien des Congolais, en particulier dans une économie où les coûts de transport influencent fortement les prix des autres biens et services.

Une Gestion rigoureuse du secteur pétrolier

Les détracteurs de la baisse des prix avancent que cette décision pourrait engendrer des pertes pour les entreprises pétrolières en raison de la différence entre le prix moyen frontière (PMF) et les prix pratiqués. Pourtant, cette analyse omet de souligner les mécanismes de compensation financière mis en place par le gouvernement pour atténuer ces écarts. L’État congolais, conscient des fluctuations des marchés internationaux et des défis logistiques, a adopté des mesures pour réviser les charges et les coûts logistiques, tout en protégeant les intérêts nationaux.

Le Vice-Premier Ministre, Daniel Mukoko Samba, a également initié des réformes structurelles dans la gestion des produits pétroliers, notamment à travers le Comité de Suivi des Prix des Produits Pétroliers (CSPPP), afin d’assurer une régulation stricte du secteur. Par ailleurs, la loi n°18/020 du 9 juillet 2018 relative à la liberté des prix et à la concurrence permet expressément au Ministre de l’Économie de fixer les prix des hydrocarbures pour répondre à des impératifs économiques et sociaux majeurs. Il est donc infondé de prétendre que la réglementation aurait été ignorée dans le processus décisionnel. Ces réformes visent à stabiliser l’approvisionnement national tout en réduisant les pertes pour les sociétés pétrolières, garantissant ainsi un équilibre entre le soutien aux consommateurs et la viabilité économique des entreprises.

Impact sur le taux de Change et défis Inflationnistes

Il est vrai que le taux de change et l’inflation restent des défis majeurs pour l’économie congolaise. Cependant, accuser la baisse des prix des carburants de tous les maux relève d’une simplification. Le gouvernement congolais lutte activement pour stabiliser le taux de change, en dépit des pressions sur le franc congolais. Cette gestion, dans un environnement global de dévaluation monétaire, est loin d’être facile, mais elle est assurée avec une vision claire : maintenir le pouvoir d’achat de la population.

Les ajustements de prix des carburants à la pompe sont, dans ce contexte, une tentative de réduire l’impact direct de la dépréciation monétaire sur les ménages. Ces efforts, bien que perfectibles, démontrent une détermination à atténuer les effets des fluctuations monétaires tout en limitant les hausses excessives de prix dans les secteurs les plus vulnérables.

Les gains pour la population et la lutte contre la vie chère

Les avantages directs pour la population, bien que critiqués par certains comme étant limités, sont loin d’être négligeables. La baisse des prix du carburant entraîne une amélioration du pouvoir d’achat pour plusieurs catégories de la population, en particulier les transporteurs urbains et les ménages qui utilisent quotidiennement leurs véhicules personnels.

Contrairement aux prédictions pessimistes, cette mesure peut également entraîner, à moyen terme, une stabilisation des prix des denrées alimentaires et des services de transport. Bien que l’indexation des prix sur le taux de change soit un défi, il ne faut pas oublier que les entreprises privées et les acteurs économiques peuvent ajuster leurs marges en fonction des fluctuations.

Une vision responsable face aux défis sécuritaires

Dans le contexte actuel de l’agression injustifiée que subit la RDC à l’est, il est capital de reconnaître que les ressources publiques doivent être mobilisées pour la défense nationale. Les critiques, focalisées uniquement sur la viabilité des entreprises pétrolières, négligent cet impératif national. Selon Nico MINGA, Conseiller en charge de la Coopération économique, ‘‘la baisse des prix des carburants ne doit pas être vue comme une perte pour l’État, mais comme une redistribution nécessaire pour soutenir le tissu social et renforcer la résilience économique. En poursuivant cette politique, le Vice-Premier Ministre montre sa capacité à équilibrer les besoins économiques immédiats avec les priorités stratégiques à long terme, telles que la sécurité nationale et la préservation du pouvoir d’achat.’’

En définitive, il est clair que les réformes entreprises par le Vice-Premier Ministre Mukoko Samba sont audacieuses, pragmatiques et avant tout orientées vers la protection des ménages congolais. Loin d’être une simple décision économique, la baisse des prix des carburants s’inscrit dans une stratégie globale pour réduire le coût de la vie et améliorer le bien-être de la population. Les critiques qui se concentrent uniquement sur les pertes à court terme pour les entreprises pétrolières passent à côté de l’enjeu fondamental : la nécessité de soutenir les ménages congolais dans un contexte économique difficile, tout en assurant un avenir stable et prospère pour la RDC.

Nico Minga

Conseiller chargé de la Coopération économique

Ministère de l’Économie nationale




Scandale judiciaire à la Cour d’Appel du Lualaba

Face aux pratiques anticonstitutionnelles tant décriées par le Chef de l’Etat ainsi que le ministre de la Justice, dont les hommes de salle besogne considèrent à tort faire le discours populiste, la population congolaise a besoin de faire triompher le droit, le socle de la prospérité de l’Etat de Droit, en vertu du principe « la justice élève la nation… ». C’est même le sens de la convocation des Etats généraux de la justice pour poser le diagnostic et administrer une thérapie appropriée à la justice congolaise.

L’affaire sous RR084 est pendante devant la Cour d’Appel du Lualaba, qui met en cause la Société ASTALIA INVESTMENT, Société appartenant au Président du Club Sportif Tout-Puissant Mazembe contre la Société ANOÏ LIMITED.

Après une année d’instruction par la mauvaise foi de la partie demanderesse, Société ASTALIA INVESTMENT, soutenue par le Chef de juridiction de la Cour d’Appel du Lualaba, la Société ANOÏ LIMITED a dépêché ses services sur terrain. L’objectif était de s’enquérir de la situation qui s’installe, avec des pratiques anticonstitutionnelles tant décriées par le Chef de l’Etat. Celui-ci ne cesse de déplorer les pratiques frauduleuses, rendant la justice malade en RD Congo.

Il nous revient que ces pratiques sont organisées par des juges véreux.

C’est ainsi que nos fins limiers se sont entretenus avec un Greffier divisionnaire, lequel a préféré garder l’anonymat sur son identité afin de lui éviter les représailles hiérarchiques.

Assigné en tierce opposition par la Société ANOÏ LIMITED, précise la même source, la Société ASTALIA INVESTMENT a, par le canal de ses dirigeants, initié une action en renvoi de juridiction pour cause de suspicion légitime en date du 11/10/2023, soutenant avoir une raison valable d’impartialité permettant à la Cour d’Appel du Lualaba de procéder au renvoi de la cause sous RAC 360 vers une autre juridiction.

Ainsi, lors du prononcé des donné acte, l’affaire sous RR084 a été renvoyée contradictoirement à l’égard de la demanderesse en renvoi de juridiction, la Société ASTALIA INVESTMENT.

N’ayant ni notification des dates d’audience à la demanderesse, la Société ANOÏ LIMITED qui, du reste, a couvert les vices pour sa comparution volontaire, les Juges de renvoi de juridiction siégeant en proxécution, se sont revirés en se déclarant non saisis avec seul motif de dilater la procédure.

Malgré l’avis favorable du Ministère public, Mweze Kibwanga, qui du reste a rappelé au Juge de renvoi de juridiction la régularité de cette affaire par la comparution volontaire de la défenderesse en renvoi de juridiction, la Société ANOÏ LIMITED et contradictoire à l’égard de la demanderesse ; les juges précités ont préféré se déclarer non saisis sans motif légal.

Et dans la même date, la Société ANOÏ LIMITED a notifié via la poste dont le récépissé de l’accusé de réception a été établi à la même date par la poste, attestant la notification de l’exploit de la date d’audience affichée au valve, conformément au prescrit de l’article 7 du C.P.C.

Mais fort dommage, à l’audience publique du 25/06/2024, les juges en renvoi de juridiction, après avis favorable du Ministère public, sans vérification des exploits qui gisaient au dossier, se sont résolument décrétés la non saisine de la juridiction. Motif pris de l’absence de l’acte d’élection de domicile tel que contenu dans les feuilles d’audience établi par le Greffier audiencier à la même date.

Et ayant la même volonté de pérenniser la procédure afin d’éviter la condamnation par la rétractation de la cause sous RAC 223/237 rendu par le Tribunal de Commerce de Kolwezi dans laquelle il y a la tierce opposition à ce jour sous RAC 360 initiée par la Société ANOÏ LIMITED, les Magistrats se sont à nouveau décidés de décréter la non saisine de la juridiction afin de consolider les intérêts de la Société ASTALIA INVESTMENT.

Face à cette pratique décriée tant par le Président de la République ainsi que par le Ministre de la Justice dont les hommes de salle langue considèrent à tort faire le discours populiste, la population Congolaise a besoin de faire triompher le droit, le socle de la prospérité de l’Etat de Droit, en vertu du principe « La justice élève la nation… ».

Le Quotidien




Fonction publique:  J.P Lihau : « Malgré un lourd passif, nous nous battons pour relever les défis »

Jean-Pierre Lihau, Vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique, de la Modernisation et de l’Innovation de service public, était l’invité du Briefing Presse organisé le 28 octobre 2024 par le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya. Il était question de faire le point sur le dialogue social dans le secteur public.

Dans son mot introductif, il s’est dit heureux de voir que la volonté du Président de la République s’est concrétisée.

Cette volonté, dit-il, il l’avait exprimée depuis la campagne électorale, celle de débureaucratiser l’action gouvernementale, en permettant aux décideurs de se rapprocher des citoyens. « Ceci, pour que les décisions que nous prenons ne soient prises à la base des rapports, mais permettre aux décideurs de palper les réalités dans le Congo profond et prendre des décisions par rapport aux désidératas de la population ».

Une administration efficace

A en croire le VPM Lihau, « l’écosystème que nous mettons en place va nous permettre de connaître non seulement le nombre des fonctionnaires, mais d’essayer d’améliorer leurs conditions salariales pour atteindre l’objectif tel que fixé par le président de la République, Félix Tshisekedi ».

Cet objectif, « c’est de doter notre pays d’une administration efficace, celle qui est au rendez-vous de résultats. Le président Tshisekedi nous a confié la mission de redresser notre appareil administratif. Ceci passe par une thérapie de choc des réformes structurelles ».

« Il fallait d’abord maîtriser les effectifs, la masse salariale qui va avec à Kinshasa, mais aussi à travers tout le territoire national. Les annuaires alphabétiques et numériques de tous les fonctionnaires des services centraux et des divisions urbaines sont à mettre dans ce package. Dans un second temps, nous allons commencer la publication dans la province », explique-t-il.

Pour lui, ce que nous connaissons aujourd’hui, c’est le fruit de notre irresponsabilité. Tant que les choses sont telles qu’elles sont, parce que nous avons recruté sans observer le cadre juridique et organique. C’est la raison pour laquelle nous avons renforcé le cadre juridique pour avoir plus de discipline.

A part cette phase de réforme, mentionne-t-il, il y a aussi la retraite, soit la mise en place du nouveau système de sécurité dans notre pays. La cohabitation d’une retraite principale, qui résulte d’une retraite d’un système de répartition, qui cohabite avec la retraite par capitalisation. Ceci, pour que la retraite ne soit pas un couloir menant vers la mort, mais une vie après la carrière.

Nous avions parlé de l’identification biométrique, globalement de la maitrise des effectifs qui comporte un triple enjeu : stratégique, économique et social. Stratégique parce que la maitrise des effectifs nous permet de planifier l’avenir. Une administration qui ne retraite pas est bloquée. Ensuite, c’est l’enjeu économique, car avec ça, nous savons capter des économies en écartant des fonctionnaires qui étaient dans l’irrégularité. Ces économiques peuvent être canalisées ailleurs dans la construction des routes. Il y a un enjeu social, car une partie des économies peut servir à améliorer la rémunération des agents et fonctionnaires de l’Etat. Signalons que beaucoup d’autres réformes ont été réalisées. C’est le cas de la dématérialisation, l’amélioration des conditions de travail et de carrière des agents et fonctionnaires de l’Etat.

Le dialogue social comme l’arme idéal pour garantir la paix sociale dans le pays

Dans son speech, le VPM Jean-Pierre Lihau souligne que les Congolais sont conscients des efforts que nous fournissons afin d’améliorer les conditions salariales des agents et fonctionnaires de l’Etat. Pour améliorer les conditions salariales, il faut d’abord redresser la situation générale, poser le bon diagnostic et faire ensemble qu’avec les agents, tracer la voie qui nous conduit vers l’avenir.

« Nous avons considéré le dialogue social comme l’arme idéal pour garantir la paix sociale dans le pays. Depuis que nous sommes là, nous avons fait de sorte que les partenaires sociaux soient considérés. Nous sommes conscients des difficultés que rencontre le fonctionnaire de l’Etat. C’est pour cela que nous sommes en train de nous battre pour améliorer ses conditions », dit-il, avant d’ajouter que cette situation est plus complexe, parce que nous héritons un passif qui est lourd. Nous ne le faisons pas seulement de manière ponctuelle, cosmétique, mais durable.

C’est ici qu’il a révélé que dans 3 ans, nous avons mécanisé 171.000 contre 12800 en 20 ans. La volonté est là et est incontestable. La rémunération du fonctionnaire congolais est constituée d’un salaire de base faible et d’une prime. Nous faisons de sorte que le plus possible améliorer et aligner les agents de l’Etat qui n’étaient pas à la prime. Nous avons augmenté toutes les primes à la hauteur de 12% et le nivellement vers le bas de l’IPR de 15% à 3%. Nous n’avons pas été aidé par la dépréciation du franc congolais. Nous avons essayé d’agir pour soutenir le pouvoir d’achat des fonctionnaires, insiste-t-il.

Par la suite, JP Lihau a cité les efforts fournis dans les secteurs de la santé, de l’EPST et de l’ESU avant d’annoncer les perspectives.




Révision constitutionnelle: « Personne ne peut nous interdire de réfléchir », explique Patrick Muyaya

La révision constitutionnelle, toujours elle, s’est même invitée au Briefing Spécial Presse de ce 28 octobre 2024. Organisé par Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, ce grand rendez-vous de la redevabilité a connu la présence de Jean-Pierre Lihau, Vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique, de la Modernisation et de l’Innovation de service public.

« J’ai l’impression qu’on veut faire dire au chef de l’Etat les choses qu’il n’a pas dites », a tranché Patrick Muyaya, qui pense, s’exprimant sur ce sujet, le Président de la République, a dit que ce n’était pas une urgence. Il a aussi dit que l’année prochaine, il mettra en place une Commission pluridisciplinaire avec les Congolais de tous les bords pour réfléchir. « La Constitution que nous avons, il faut la lire aussi. Elle prévoit notamment des mécanismes comment la révision peut se faire », dit le Ministre.

Dans un échange avec les étudiants dans la ville de Kisangani, le Président de la République a été plus que clair : « Pour moi, la personne importe peu. Si nous avons des institutions fortes, quelle que soit la personne qui est là, c’est le pays qui va gagner ».

Muyaya a précisé que ce débat aura lieu l’année prochaine. « La Commission pluri-disciplinaire pourra discuter sans encombre. Le texte de la Constitution nous appartient à nous tous, qui que vous soyez. Nous venons d’un processus de belligérance pour celui de la consolidation de la démocratie. On est dans un processus. Tel que Fatshi l’a résumé, c’est d’arriver à avoir des institutions qui sont fortes ».

Une hyper-institutionnalisation de l’Etat qui crée l’obésité de l’Etat

Pour sa part, Jean-Pierre Lihau a insisté sur le fait qu’on ne peut pas interdire la réflexion dans un pays. « La Constitution est une loi fondamentale. Une loi a vocation à être changée à partir du moment où telle est la volonté de la communauté nationale, et au moment où elle a des faiblesses. La question est de savoir, est-ce que notre loi fondamentale comporte-t-elle des faiblesses ? Oui. Quelles sont ces faiblesses ? »

Le VPM à la Fonction publique pense que les experts nous les donneront. « Notre Constitution consacre une hyper-institutionnalisation de l’Etat. Ce qui crée l’obésité de l’Etat et celle-ci obstrue le développement du pays. Si on peut réfléchir en termes de dégraisser l’Etat, à travers la diminution du train de vie de l’Etat en termes de salaires, il faut aussi réfléchir sur l’ensemble de la structuration institutionnelle », soutien-t-il.

Et d’ajouter : « Nous voulons qu’il y ait débat comme dans d’autres pays pour une retouche, une révision ou un changement de la constitution. Ce ne pas un tabou si telle est la volonté du peuple. Je ne pense pas qu’on va interdire à notre pays de faire une sorte d’autocritique et de dire qu’il y a un ça ne va pas sur le plan des procédures institutionnelles. Le Président de la République l’a dit. A titre illustratif, pour obtenir un Gouvernement après les élections, c’est tout un problème, avec des procédures assez lourdes. Ça nous fait perdre 6 à 7 mois. Ce sont des questions qui doivent préoccuper au plus haut point le peuple. Lorsque je parle des institutions, je parle du poids, parce qu’une bonne partie du budget est orientée vers le fonctionnement de ces institutions-là. On peut réfléchir si notre pays est prêt pour ce fardeau-là », argumente Jean-Pierre Lihau.

« Pourquoi pas pour la suppression de telle ou telle autre institution pour que les millions servent à acheter les avions, … Il faut un certain moment arrêter de plaisanter avec l’avenir d’une Nation. Si les Etats-Unis, la France et d’autres pays d’Afrique ont apporté des amendements dans leurs Constitutions, je ne vois pas pourquoi on va interdire à la Rdc de réfléchir sur éventuellement la modification ou le changement de leur loi fondamentale ? Il faut, à un certain moment, arrêter de jouer le jeu politicien, sans tenir compte de l’avenir de la Nation. Il faut que nous nous retrouvions sur les fondamentaux », précise le ministre de la Fonction publique.

Voilà qui a permis à Patrick Muyaya de conclure que la Commission sera pluri-disciplinaire et ceux qui parlent dans un sens tout comme dans l’autre, pourront faire partie de cette commission. « On ne peut pas nous empêcher de réfléchir, surtout lorsque nous voulons, dans l’esprit du Président de la République, avoir des Institutions qui sont fortes », mentionne-t-il.




Pauvre pays !

Alors qu’il voulait rendre son dernier soupire, voyant un groupe de femmes se lamenter devant sa croix, sur Golgotha, Jésus-Christ, le Fils de l’Homme, leur dit : « femmes de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi mais pleurez sur vous et sur vos enfants ».

Ce passage biblique, tiré de l’Evangile de Luc, chapitre 23 : 28, illustre bien la situation qui prévaut actuellement en République Démocratique du Congo. Où, insouciante pour l’avenir de leurs progénitures, de leurs propres enfants composés essentiellement de jeunes, la classe congolaise prend plaisir à le diriger vers l’abime ; vers les incertitudes, vers un trou béat.

Mal outillée pour vivre pleinement son évolution morale, physique et intellectuelle, la jeunesse congolaise représente, néanmoins, plus de 55% de la population congolaise, selon les statistiques publiées récemment par certains organismes internationaux, notamment l’USAID, International Yong Foundation, pour ne citer que ceux-là. Malheureusement, elle fait face à certaines contraintes orchestrées par certains dirigeants du pays, qui sont en fait leurs propres parents.

Avec un système actuel d’enseignement et de formation qui laisse à désirer, par rapport aux années 80, la République Démocratique du Congo caracole au panthéon des pays dont le chômage des jeunes est criant, conséquence d’une politique à tâtons, à reculons et truffée de détournements de deniers publics. L’emploi des jeunes est au bout du doigt, dominé par le tribalisme et le régionalisme, reléguant ainsi la compétence.

De son côté, la santé des jeunes, leur participation civique, politique et dans les structures décisionnelles, l’incitation à l’entreprenariat, autant de défis que les actuels dirigeants n’en ont que faire ! Si ce n’est que s’adonner aux bombances financières en recourant aux caisses de l’Etat, se produire en public pour des futilités politiques, oubliant superbement qu’ils ont ce rôle de créer des conditions pour voir la jeunesse d’aujourd’hui faire de la RDC un grand pays développé, prospère et compté au cœur du Continent africain, un Etat de droit fondé sur une véritable démocratie politique, économique, sociale et culturelle.

Il y a donc nécessité que les politiques actuels, tous parents, rectifient leurs tirs en promouvant les valeurs républicaines, la compétence et la bonne gouvernance afin d’entrainer la jeunesse, leurs enfants, vers un leadership intégré, visionnaire, proactif pour le Congo de demain.

Le contraire serait fatal. Illusoire pour la jeunesse congolaise qui se perd en conjectures chaque jour qui passe avec un seul refrain. Un refrain qui sonne comme la parole d’Evangile des femmes de lamentations : « quel pays vont nous léguer nos actuels parents ? »

 

Willy Kilapi




Athlétisme: Alpha Mumbere termine 3è catégorie amateur à la 1ère édition de Run in Pointe Noire 

Mumbere Kamuha Alpha de la République Démocratique du Congo et Ilunga Mande Zatara devenu manager athlète, ont participé à la 1ère édition de Run in Pointe Noire du 26 au 27 octobre 2024. A Pointe Noire, économique de la République du Congo, ils ont participé aux 10 km pour tous publics. Mumbere Kamuha a terminé 3è dans la catégorie amateur. ville a abrité. L’événement a connu 3 courses  : 10 km pour tous publics, 5 km réservée aux femmes et 3 km réservée aux 13-15 ans.

La République Démocratique du Congo était présente à cette 1ère édition de Run in Pointe Noire avec Alpha Mumbere Kamuha et Ilunga Mande Zatara devenu manager athlète. Ils ont pu compétir les 10 km dimanche.

Au classement Général

1. Kenya

2. Kenya

3. Kenya

4. Congo/Brazza

5. Congo/Brazza

6. RDC

Classement professionnel

1. Langat Bernard Kenya 28’29’’

2. Rotich Charles Kenya 28’58’’

3. Langat Amos Kenya 30’42

4. Libomba Sametonne Congo/Brazza 32’17’’

5. Bikoyo Nelson Congo/Brazza 32’35’’

Classement amateur hommes

1. Libomba Sametonne Congo/Brazza 32’17’’

2. Bikoyo Nelson Congo/Brazza 32’35’’

3. Mumbere Kamuha Alpha RDC 33’02’’

Il faudra noter qu’avec ce chrono, Alpha Mumbere a fait moins qu’à la course populaire 10 km courue le dimanche 6 octobre 2024 à Kinshasa. Cette course était organisée par la Ligue d’Athlétisme de Kinshasa ‘’Lidakin’’que préside M. Nyampala Feley Prince. Il avait bouclé la distance en 32’06’

’29.

De Bonsambo

 

 




Judo: Me Alain Tshilungu, secrétaire Rapporteur de la Conaju parle de la journée internationale de judo

Invité à livrer ses impressions sur la journée internationale du judo célébrée chaque 28 octobre, Me Alain Tshilungu, Secrétaire Rapporteur de la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC ‘’Conaju’’ et actuel ministre provincial de Kinshasa en charge des infrastructures, s’est exprimé en ces termes : ‘’Déjà, nous sommes contents. Contents d’être en vie. Contents de pouvoir bénéficier de cette journée comme vous l’avez dit tantôt.

C’est une journée internationale où nous reconnaissons le judo et le 28 octobre de chaque année, nous célébrons la journée internationale de judo à travers le monde. Et aujourd’hui nous avons célébré à Kinshasa. Nous avons profité du dimanche. C’est le 27 octobre aujourd’hui, mais cette journée se célèbre chaque le 28 octobre de l’année. Nous l’avons célébré à Kinshasa particulièrement en RDC. Le plaisir, c’est de partager ces moments avec tous les judokas de Kinshasa et tous les judokas de la RDC. Le thème de cette année comme vous le savez c’est Le bien-être et le bien-être, se caractérise par le code moral de judo.

Le judo a 8 mots clés dans le code moral qu’il faudrait respecter pour tout judoka. Nous avons : le respect, la politesse, l’honneur, la modestie, le courage, le contrôle de soi ainsi que l’amitié. Dans ces 8 codes morales, le respect nous interpelle à pouvoir nous réunir tous dans une même vision. Vous êtes sans ignorer que le judo congolais souffre depuis plusieurs années d’une division au sein de la fédération. Nous pensons qu’avec le nouveau ministre Didier Budimbu, nous sortirons de cette crise. Et cette crise ne sortira que par l’unité de tous les judokas. Donc, nous appelons tous les judokas à beaucoup d’amour avec beaucoup de conscience de se rappeler d’où nous venons et où nous voulons aller. Nous avons plus à perdre en allant de manière divisée qu’à gagner en étant ensemble pour l’intérêt du judo au Congo, merci’’.

De Bonsambo