#CAFAwards24 : Marrakech s’apprête à accueillir la prestigieuse cérémonie pour la deuxième année consécutive 

La Confédération Africaine de Football (CAF) a annoncé que la ville de Marrakech, au Maroc, sera une nouvelle fois l’hôte de la cérémonie des #CAFAwards24, qui se déroulera le 16 décembre 2024.

Pour la deuxième année consécutive, la ville ocre accueillera cet événement de renom, après une édition précédente marquée par la présence de nombreuses célébrités, avec un succès retentissant. La CAF précisera ultérieurement l’heure exacte du début de cette cérémonie tant attendue.

Lors de la dernière édition, le Nigérian Victor Osimhen avait été sacré Joueur Africain de l’Année dans la catégorie masculine, tandis que sa compatriote Asisat Oshoala, avait été lauréate dans la catégorie féminine.

Les CAF Awards célèbrent les performances exceptionnelles des acteurs du football africain, aussi bien au niveau des clubs que des sélections nationales, et culminent avec la remise des prestigieux trophées de Joueur Africain de l’Année pour les hommes et les femmes.




Bénin Terminal poursuit le renforcement de ses équipements au Port de Cotonou et se dote d’un nouveau portique de quai  

Bénin Terminal, filiale d’AGL (Africa Global Logistics), poursuit ses investissements pour moderniser le Port de Cotonou et annonce l’acquisition d’un nouveau portique de quai de dernière génération, fabriqué par ZPMC (Shanghai Zhenhua Heavy Industries Co., Ltd.) pour un montant total de 7,2 milliards de francs CFA (11 millions d’euros). Ce portique moderne, plus imposant et performant que ceux en fonction jusqu’à présent, permettra d’accélérer le chargement et le déchargement des navires porte-conteneurs qui escalent quotidiennement au Port de Cotonou.

Grâce à cet investissement, l’entreprise renforce considérablement ses capacités opérationnelles, tout en répondant aux besoins croissants des pays de l’hinterland comme le Niger, le Mali, le Burkina Faso, et le Nigeria. Par ailleurs, cette nouvelle acquisition s’inscrit dans un vaste programme de modernisation du port qui prévoit l’installation de trois autres portiques d’ici 2026, renforçant ainsi la position du Bénin comme un carrefour clé pour les échanges commerciaux en Afrique de l’Ouest.

En plus de ses avantages opérationnels, ce portique vient concrétiser l’engagement environnemental de Bénin Terminal à travers son label Green Terminal, pour la réduction progressive de son empreinte sur l’environnement. Cette amélioration s’intègre également dans la vision à long terme de l’entreprise, où innovation technologique et durabilité se rejoignent pour soutenir le développement économique du pays.

« Avec ce nouvel équipement, nous renforçons notre capacité à accompagner la croissance économique régionale en offrant des solutions logistiques toujours plus performantes. Chaque investissement que nous réalisons au Port de Cotonou est un pas de plus vers un service portuaire plus rapide, plus fiable et plus respectueux de l’environnement, en ligne avec nos engagements pour un avenir durable en Afrique. », a déclaré Fabrice TURE, Directeur Général de Bénin Terminal.

À ce jour, plus de 216 millions d’euros ont été investis dans le port, confirmant la volonté de Bénin Terminal de devenir un acteur logistique de référence, au service du commerce africain et de la croissance durable.

A propos de Bénin Terminal

Grâce à 142 milliards de FCFA (216 millions d’euros) investis depuis 2013 par Bénin Terminal, le terminal à conteneurs du port de Cotonou est devenu un hub logistique régional de croissance pour le Niger, le Mali, le Burkina Faso et le Nigéria. Acteur majeur de la chaîne logistique du pays, Bénin Terminal emploie 481 béninois et développe une politique de sous-traitance qui permet de générer un millier d’emplois indirects. Bénin Terminal mène également des actions pour les populations en partenariat avec des ONGs, par exemple le soutien à la scolarisation des jeunes affectés par le VIH, l’appui à l’autonomisation des jeunes et la sensibilisation à la préservation de l’environnement.




Message du Secrétaire général de l’ONU à l’occasion de la journée des Nations Unies

L’ONU a été créée par le monde, pour le monde.

 

Depuis 1945, elle permet aux pays de faire cause commune pour trouver des solutions mondiales à des problèmes mondiaux.

 

Des solutions pour apaiser les tensions, jeter des ponts et bâtir la paix.

 

Des solutions pour éliminer la pauvreté, stimuler le développement durable et défendre les plus vulnérables.

 

Des solutions pour apporter une aide vitale aux personnes aux prises avec des conflits, des violences, des difficultés économiques et des catastrophes climatiques.

 

Des solutions pour offrir les mêmes chances aux femmes et aux filles et ainsi assurer l’égalité et la justice.

 

Des solutions pour aborder des questions inimaginables en 1945 : les changements climatiques, le numérique, l’intelligence artificielle et l’espace extra-atmosphérique.

 

En septembre, l’Assemblée générale a adopté le Pacte pour l’avenir, le Pacte numérique mondial et la Déclaration sur les générations futures.

 

Grâce à ces accords historiques, le système des Nations Unies pourra s’adapter, se réformer et se rajeunir, rester en phase avec les évolutions et les enjeux du monde qui nous entoure et apporter des solutions pour toutes et tous.

 

Notre action restera cependant ancrée dans les valeurs et les principes intemporels de la Charte des Nations Unies et du droit international, et dans la dignité et les droits humains de chaque personne.

 

Dans notre monde en proie à la tourmente, l’espoir ne suffit pas.

 

L’espoir passe par des mesures fermes et des solutions multilatérales en faveur de la paix, d’une prospérité partagée et d’une planète florissante.

 

L’espoir passe par une coopération entre tous les pays.

 

L’espoir passe par l’ONU.

 

À l’occasion de la Journée des Nations Unies, je demande à tous les pays d’entretenir cette flamme qui guide le monde, et de défendre ses idéaux.

 

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Le message du Pape François aux missionnaires, en marge du G7 

À l’occasion de la Conférence des missionnaires italiens qui a débuté dans l’après-midi de ce mercredi 23 octobre à Pescara, en parallèle de la réunion des ministres du Développement du G7 à Pescara, le Pape François a envoyé un message signé par le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin. Le Souverain pontife encourage «chacun à persévérer dans la promotion d’une culture de la rencontre, ouverte à un dialogue respectueux, en tant que véritables témoins de l’Évangile vivant de la charité».

Dans son message à l’occasion de cet événement promu par le ministère italien des Affaires étrangères et de la coopération internationale et placé sous le thème: «éducation et formation pour le développement en Afrique: le rôle des missions», le Saint-Père exprime «sa sincère appréciation pour cette importante rencontre». Un rendez-vous, précise-t-il, «destiné à favoriser l’échange d’expériences sur l’engagement social et éducatif». L’initiative, poursuit le Pape François,«renforcera dans le cœur de ceux qui ont à cœur la cause des plus petits, les valeurs de solidarité et d’engagement humanitaire, en particulier dans les territoires éprouvés par la souffrance, devenant ainsi des agents de paix et de fraternité entre les peuples», peut-on lire. Le Souverain pontife saisit l’occasion pour encourager «chacun à persévérer dans la promotion d’une culture de la rencontre, ouverte à un dialogue respectueux, en tant que véritables témoins de l’Évangile vivant de la charité».

L’appel des missionnaires

Dans leur communication, les représentants du monde missionnaire ont lancé un appel à l’endroit des autorités gouvernementales et aux institutions législatives des pays du G7 en vue de «soutenir les initiatives éducatives dans le vaste continent africain». Si l’Afrique dispose d’un potentiel énorme «non seulement matériel, mais surtout humain et spirituel», il faut cependant trouver des voies et moyens pour résoudre à long terme les questions «telles que la recherche pour le développement (promotion de l’innovation endogène au continent), la formation institutionnelle (autonomisation, appropriation et renforcement de la confiance) et le partage des connaissances et de la technologie (qui sont au cœur des activités missionnaires menées dans les écoles et les universités catholiques)», en vue de «contribuer au partage des connaissances, en valorisant le riche capital humain d’un continent où la grande majorité de la population est jeune», ont-ils fait savoir.

Promouvoir l’éducation

Selon les statistiques des agences onusiennes et de l’Union africaine (UA), «98 millions d’enfants ne vont pas à l’école dans la seule Afrique subsaharienne», ont rappelé les missionnaires qui ont également indiqué que sur le nombre total de mineurs dans l’ensemble du continent, «86 % ont du mal à atteindre l’alphabétisation de base à l’âge de 10 ans». Un pourcentage qui avec la pandémie du virus Covid-19 «s’est aggravé», déplorent-ils.

Pour inverser cette situation dramatique, l’Union africaine a d’ailleurs proclamé 2024 «année de l’éducation». Seulement «les ressources nécessaires à la mise en œuvre de ses objectifs ne sont toujours pas engagées au niveau international». «Nous, missionnaires, pensons qu’une réflexion dans ce sens peut être définie comme obligatoire pour chaque pays», ont -ils déclaré.

Pour un meilleur résultat, il faut que «cela commence précisément par les pays du G7, signataires à la fois des Objectifs du Millénaire pour le Développement, jamais atteints, parce qu’ils n’ont jamais été financés conformément aux engagements». L’universalisation de l’éducation primaire pour les garçons et les filles, et les Objectifs de Développement Durable 2030, définissent l’éducation comme fondamentale, car elle «constitue un élément constitutif» incontournable pour la «construction de la paix, de la santé, du développement et de la garantie des droits».

Augustine Asta – Cite du Vatican




La DGA du FPI en mission d’immersion dans le Haut-Katanga    

La Directrice Générale Adjointe du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), Bassiala Nlandu Djena vient de boucler son séjour de travail dans la province du Haut-Katanga. Le but de sa mission effectuée du 10 au 20 octobre auprès des entités provinciales du FPI, vise l’amélioration des conditions de travail et l’optimisation du rendement.

Première étape du périple, ville de Lubumbashi où la DGA a visité les installations de la Direction Provinciale du FPI. Lors de son entretien avec les agents et cadres, elle a recueilli les préoccupations et les difficultés auxquelles les travailleurs font face dans l’exercice de leurs fonctions. La DGA a passé en revue neuf projets au total. Elle a évalué leur niveau d’exécution et a saisi l’occasion pour identifier les difficultés rencontrées par les partenaires du FPI.

Parmi les projets inspectés, la société REVIN SARL qui produit de l’eau minérale et des boissons gazeuses. La DGA a été flattée par la modernité de l’usine de cette entreprise. Elle s’est également rendue tour à tour à ANADOS, une unité spécialisée dans la fabrication des anodes en alliage de plomb, à CONGO PIPING qui fabrique des tuyaux, à Congo Câbles et Transformers qui fabriquent des barres de suspension en cuivre et des câbles électriques en aluminium et en cuivre.

 

La DGA a poursuivi son marathon lushois à Mining Engineering Services (M.E.S), une société de recyclage des huiles usées, issues de l’exploitation minière et à Rainbow Katanga, une compagnie de fabrication des détergents. Elle a exprimé sa satisfaction quant au niveau d’exécution de l’ensemble des projets tout en soulignant l’obligation de rembourser les crédits du FPI dans le respect des échéances. « Aucun retard ne sera toléré », a-t-elle insisté.

 

Deux projets sont particulièrement sortis du lot lors de la seconde série de visites. Le premier, Bags and Sacs Katanga, spécialisé dans la fabrication des sacs pour l’emballage des minerais, du ciment et des produits agricoles. Un projet qui poursuit son expansion. Le second projet du même groupe est, celui de fabrication des structures métalliques. Impressionnée par leur ingéniosité, la DGA Bassiala a salué l’impact positif de ces entreprises dans la création des emplois car elles font partie de la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi.

 

INERA KIPOPO est un autre projet qui suscite l’espoir. Il a bénéficié du soutien du FPI pour relancer ses activités de recherche et développement de la production piscicole. Au cours d’une rencontre entre la délégation du FPI et les représentants de l’INERA KIPOPO, les discussions ont porté sur l’utilisation des fonds. La DGA a été informée des avancées du projet. C’est ainsi qu’elle s’est rendue sur les étangs pour observer les activités en cours.

La DGA du FPI a, ensuite poursuivi sa mission à plus de 200 kilomètres de Lubumbashi, dans le territoire de Sakania, frontalier de la Zambie, avant de se rendre à Mokambo et à l’Agence de Kasumbalesa. Dans chacune de ces entités, Bassiala Nlandu a rencontré les agents et recueilli toutes les doléances quant à leurs conditions de travail. Au terme des échanges avec les agents, elle a promis de transmettre les préoccupations à la hiérarchie à Kinshasa.

 

La DGA a aussi fait un état des lieux du patrimoine du FPI dans cette province. Accompagnée du Directeur Provincial Jean-Marie Nkulu, elle a visité certains biens dont les bâtiments appartenant à l’établissement public en vue de les viabiliser et les rendre rentables.

 

Il faut noter que cette mission est une sorte d’immersion auprès des Entités Provinciales du FPI.

 

Cellule de Communication et Presse du FPI




Infrastructures: Le chef de l’Etat a visité les chantiers des travaux de modernisation de la ville

Ce jeudi à Kisangani, le Président Félix Tshisekedi a effectué une visite d’inspection des travaux de construction et de modernisation de la voirie à travers la ville, particulièrement le boulevard Lumumba qui mène vers le stade éponyme.

 

Comme il l’avait affirmé lors de son meeting, la veille à la place de la Poste :

« les infrastructures constituent notre priorité, cela a commencé par l’aéroport et la voirie urbaine, et ces œuvres doivent se poursuivre », le Chef de l’État s’est déplacé personnellement pour s’enquérir de l’évolution des travaux entrepris.

Selon le DG de l’Office de voiries et drainage (OVD), Victor Tumba, « 53 Km de voiries de #Kisangani sont en construction et devront être livrés dans les 24 prochains mois au lieu de 36 comme annoncé initialement. Toutes les artères principales de la ville seront opérationnelles à la période convenue », a-t-il rassuré.

Le patron de l’OVD a affirmé que, dans la périphérie de la ville, quelques routes en terre continuent d’être construites et réhabilitées afin de permettre la bonne circulation des populations et de leurs biens. « Des routes qui n’existaient pas autrefois sortent de terre et n’attendent que l’étape de l’asphaltage dans les prochains jours. », a-t-il fait savoir.

Dans le même chapitre, le Chef de l’État s’est rendu au stade Lumumba. Situé dans la commune de la Tshopo se stade d’une capacité d’accueil de 10 000 places assises fait l’objet de modernisation depuis plusieurs mois.

À ce jour, une pelouse synthétique et les tribunes ont déjà été posées ainsi que d’autres gradins sont en cours de construction pour moderniser le Temple du football boyomais notamment pour les clubs locaux du Cercle sportif Makiso, Association sportive Nika et Tout solide Malekesa..

Confiant au vu de l’évolution des travaux, le Chef de l’État tient à doter rapidement la ville de Kisangani d’un grand stade « pouvant accueillir des matchs d’une phase finale d’une Coupe d’Afrique ».

Un condensé de JMNK




Sécurité : Félix Tshisekedi préside une réunion du Conseil supérieur de la défense élargi

En sa qualité de Garant de la Nation, le Chef de l’État a profité de son itinérance

à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, pour présidé une réunion du Conseil supérieur de la défense élargi ce jeudi.

L’évaluation de la situation sécuritaire sur l’étendue du territoire national, particulièrement dans la Grande Orientale, était à l’ordre du jour de cette séance de travail de près de 3 heures.

La Première ministre Judith Suminwa Tuluka, quelques ministres sectoriels ainsi que des responsables nationaux des services de défense et de sécurité ont pris part à cette importante rencontre qui intervient la veille de la tenue du Conseil des ministres.

Selon le vice-Premier ministre, ministre l’intérieur Jacquemain Shabani, le Chef de l’État a donné des instructions claires aux différents responsables afin que la Paix et la Sécurité soient assurées sur toute l’étendue du territoire national.




Kisangani: Le chef de l’Etat rend hommage aux victimes du Genocost et lance l’opération d’indemnisation aux survivants

Le deuxième jour de sa mission d’itinérance à Kisangani, le Chef de l’Etat a débuté ses activités par une cérémonie d’hommage aux victimes du génocide pour des gains économiques (Genochost).

Au site mémoriel du cimetière de la guerre de six jours, le Chef de l’Etat s’est recueilli un temps, déposé sa couronne de fleurs au pied de trois stèles symbolisant les trois catégories des victimes emblématiques de la ville de Kisangani, à savoir les victimes jetées dans la rivière Tshopo ou dans le fleuve Congo, les victimes enterrées vivantes dans des fosses communes et les victimes portées disparues.

Le président Félix Tshisekedi s’est longuement entretenu avec l’une des survivantes de ces atrocités, Mme Otshudi, dont la famille entière a été abattue par les forces belligérantes.

Pour sa part, le Directeur général adjoint du Fonarev, Kevin Ngunga a expliqué au chef de l’Etat la symbolique du site mémoriel et toutes ses composantes.

Ainsi qu’il l’avait annoncé au cours de son meeting, le Président Tshisekedi s’est directement rendu au siège de Frivao (Fonds spécial de réparation et d’indemnisation des victimes des activités illicites de l’Ouganda en pour remettre symboliquement une enveloppe d’indemnisation.

Le Président de la République a remis une enveloppe de 2 500. 000$ (deux millions cinq cents mille) à l’Eglise catholique locale comptée parmi les victimes de ces atrocités. Ce geste a été bien apprécié par l’archevêque métropolitain Marcel Utenbi Tapa.

De manière symbolique, le chef de l’Etat a aussi remis une enveloppe de 2000 USD à chacune des trois victimes; l’opération se poursuit avec les responsables de Friv

ao.




Réfutation des accusations contre le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale




Espagne : une opération conjointe avec la DGST marocaine aboutit à l’arrestation de deux jihadistes

La Police nationale espagnole a annoncé, à Madrid, l’arrestation dans le nord de la péninsule, de deux individus présumés membres de l’organisation terroriste Daech, lors d’une opération conjointe avec la Direction générale de la Surveillance du territoire (DGST), le service de contre-terrorisme marocain.

Les présumés partisans de Daech ont été appréhendés dans les villes d’Itsasondo (Guipúzcoa) et Avilés (Asturies), pour leur implication dans des activités d’endoctrinement, de diffusion de propagande terroriste et d’incitation à commettre des actes violents, précise la police espagnole dans un communiqué.

L’opération, menée sous la supervision du Tribunal central d’instruction en coordination avec le ministère public de l’Audience nationale a bénéficié du soutien des services marocains qui collaborent activement avec leurs homologues espagnoles, dans une approche anticipative, en vue de lutter contre ce fléau.

Au cours des dernières années, de nombreux terroristes ont été neutralisés grâce à la collaboration des services marocains. Cette coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme s’avère essentielle pour éradiquer ce phénomène qui ne connait guère de frontières.