FootCanne: Paris FC foulera le sol de Kinshasa en janvier 2025 suite au partenariat qui le lie à la Fondation Masunda Panzu

Dans le cadre de sa mission et des objectifs qu’elle poursuit, la Fondation Masunda Panzu signe des partenariats qui lui permettent d’arriver à ses fins. Présentement, elle est sur un vaste projet dans le domaine de sport (footcanne) concernant les personnes invalides s’adonnant à cette discipline. Les plus amples détails dans les lignes qui suivent.

A quoi consiste ce projet ?

La Fondation Masunda Panzu ‘’La Joie de l’orphelin et de la Veuve’’ en sigle FOMAPA : JORVE, asbl a été créée par M. Masunda Panzu Rodrigues depuis le 24 décembre 2020. Elle a pour mission contribuer à la promotion du développement des personnes vulnérables, enfants de la rue et délaissés, orphelins, jeunes filles mères et des personnes de troisième âge. Elle veut valoriser cette catégorie de personne et leur offrir un encadrement efficient.

Et cette mission de la Fomapa passe par l’accueil, l’encadrement, la formation, le logement, la réinsertion dans la société et le renforcement de capacités de ces derniers et leur assistance socio-sanitaire. C’est dans ce cadre que la Fomapa a conçu le vaste projet précité dans le domaine du sport concernant les invalides.

La Fomapa voudrait leur faire quitter les pratiques avilissantes telles que la mendicité. Leur faire comprendre qu’elles ont de la valeur, qu’elles sont capables d’être utiles au pays au même titre que leurs compatriotes valides. Qu’en aucun cas elles seront marginalisées, déconsidérées à cause de leur état.

Le vaste projet que peaufine la Fomapa, c’est dans le domaine de sport et particulièrement de footballcanne. C’est un football pour personnes amputées, c’est-à-dire football que pratiquent des personnes invalides dont on a amputé une jambe. Ces dernières jouent avec une seule jambe et se servent de la canne. Dans le cadre du partenariat avec Paris FC, équipe française bien rodée, la Fomapa projette organiser le 04 janvier 2025, jour où la République Démocratique du Congo commémore les martyrs de l’indépendance, une rencontre de footcanne qui opposera l’équipe congolaise à l’équipe Paris FC, de France.

Antoine Bolia

 

 




L’Uds favorable au changement de la Constitution en Rdc

La question du changement ou de la révision de l’actuelle Constitution défraie la chronique politique dans notre pays. Deux camps se sont dessinés. Il y a d’un côté les pro et de l’autre les anti. L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, vient de se prononcer ce dimanche 20 octobre 2024 dans une déclaration politique signée par le Président National de l’UDS, monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, en choisissant le camp de ceux qui militent pour l’avènement d’une nouvelle Constitution. Voici ci-dessous la teneur de cette déclaration dans son intégralité.

 

DÉCLARATION POLITIQUE

 

L’Union des Démocrates Socialistes, UDS,  a suivi, avec intérêt, de nombreux échanges contradictoires relatifs au projet de changement ou de révision          de l’actuelle Constitution. Elle dévoile sa position quant à ce.

  1. L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, tranche clairement en faveur d’une nouvelle Constitution en République Démocratique du Congo.
  2. L’UDS reconnaît que notre Constitution, déjà obsolète, a été conçue après un conflit armé meurtrier et a fait la part belle aux antagonistes de l’époque en prenant en compte leurs intérêts corporatistes et non       des attentes et des aspirations profondes de notre Peuple et ce, sous        la dictée de leurs parrains impérialistes qui ne nous veulent jamais du bien.
  3. L’UDS regrette que la plupart des politiciens congolais au service de l’étranger et quelques acteurs de la Société Civile nationale grassement stipendiés par certaines puissances impérialistes qui s’opposent à l’avènement de la nouvelle Constitution, sont ceux-là qui tiennent mordicus à maintenir le système de gouvernance néocolonialiste imposée à notre pays et à notre Peuple depuis la Table Ronde de Bruxelles avec                  la conflictuelle Loi fondamentale de triste mémoire.
  4. L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, fait remarquer que ceux de    nos compatriotes corrompus, du reste minoritaires, qui s’évertuent à barrer la route à cette initiative d’un grand salut pour notre pays, sont ceux       qui œuvrent contre l’appropriation de notre propre mode de gouvernance par le Peuple congolais souverain.
  5. L’UDS s’interroge sur la myopie politique de ceux qui, obéissant au doigt et à l’œil à leurs maitres, ont perdu le bon sens pour doter notre pays d’une Constitution devant être le reflet authentique de la société congolaise de notre époque en vue de faire face aux nombreux défis auxquels elle est confrontée et de se projeter dans l’avenir.
  6. L’UDS tient à rappeler que toute constitution étant un acte fondateur par lequel tout peuple souverain traduit aussi bien son identité que sa vision de la vie sociale, notre prochaine Constitution ne doit nullement être       une pâle copie d’une quelconque constitution d’un autre pays comme     c’est le cas actuellement.
  7. L’UDS s’étonne que l’avènement d’une nouvelle Constitution en République Démocratique du Congo fasse l’objet d’un débat des chiffonniers    qui s’empoignent sur des détails tout en oubliant le principe universel    selon lequel toute Constitution peut être changée ou remplacée à n’importe quel moment en recourant à l’arbitrage du seul souverain primaire.
  8. L’UDS qui défend la souveraineté nationale, estime que le moment tant attendu est arrivé pour que la République Démocratique du Congo soit dotée d’une Constitution conçue selon sa propre vision et dépourvue des oripeaux impérialistes mis en œuvre pour nous maintenir longtemps sous la domination étrangère.
  9. L’UDS persiste et signe. La République Démocratique du Congo a besoin d’une nouvelle Constitution qui épouse totalement ses propres réalités et conforme à la sociologie de son Peuple.
  10. L’UDS félicite enfin le Président de la République, le Camarade Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, pour avoir lancé cette initiative de changement de Constitution et l’invite à mettre en place la Commission Nationale Multidisciplinaire promise dans les meilleurs délais. Car, tout Congolais honnête sait pertinemment bien que le changement de   notre Constitution a figuré parmi les promesses électorales de l’UDPS actuellement au pouvoir.

Fait à Kinshasa, le 20 Octobre 2024.

LE PRÉSIDENT NATIONAL DE L’UDS,

Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI

Sénateur honoraire




Le Collectif pour l’Udps originelle se réjouit des décisions du collège des fondateurs

Le Collège des Fondateurs de l’UDPS à largué au début de cette semaine les décisions de sa session extraordinaire du 26 Septembre 2024 dont la plus importante est la relance des activités de ce parti historique. Le Collectif pour l’UDPS Originelle, structure d’appui autonome de l’UDPS, a bien accueilli ces décisions dans un communiqué de presse publié ce jour. Voici le texte intégral dudit communiqué de presse.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle a, au cours de sa réunion hebdomadaire de           ce mercredi 16 Octobre 2024, a analysé avec parcimonie le Communiqué de presse du Collège des Fondateurs de l’UDPS publié à l’issue de sa session extraordinaire tenue le jeudi 26 Septembre 2024 à Kinshasa.

Après analyse de son contenu, le Collectif Pour l’UDPS Originelle se réjouit                des décisions salvatrices prises par le Collège des Fondateurs de l’UDPS au cours       de cette importante rencontre historique, lesquelles décisions témoignent de la maturité politique de l’UDPS au grand dam de ceux qui travaillent et ont toujours travaillé à disparition, corps et bien. Tel un Phénix qui renaît de ses cendres, l’UDPS vient d’amorcer un tournant historique important.

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle salue et apporte tout son soutien aux Fondateurs Historiques de l’UDPS dont les Membres du Groupe des Treize Parlementaires encore en vie, pour leur ferme volonté et leur farouche détermination de mettre fin à         toute forme d’imposture caractérisée et de supercherie de mauvais goût entretenues par des ennemis internes et externes de l’UDPS. Ils ont ainsi accompli la mission           leur confiée par la Haute Autorité de Référence dans la nuit du 8 au 9 Avril 2023.

Ces courageuses décisions de la réunion extraordinaire du 26 Septembre 2024 contribueront désormais à réunifier toutes les tendances et les sensibilités issues           de l’UDPS qui ont jadis terni l’image d’un parti historique voué à un bel avenir pour     la transformation sociétale de notre pays.

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle invite le Ministère de l’Intérieur à garder                sa neutralité en faisant respecter la loi sur l’organisation et le fonctionnement des partis politiques dans notre pays. Car, il est inacceptable de voir l’autorité publique tolérer    le désordre et l’anarchie en laissant fonctionner des partis sans enregistrement officiel comme les tendances UDPS/TSHISEKEDI, UDPS/KIBASSA, UDPS/TSHIBALA et UDPS/MUBAKE qui arborent les couleurs, le logo, les symboles et l’hymne d’un parti historique régulièrement reconnu comme l’UDPS. Que devient alors l’Etat de droit ?

Le Collectif soutient sans réserve la convocation du Conclave de réconciliation afin que l’UDPS réconciliée, réunifiée et requinquée puisse se ranger derrière le Président        de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO pour la réussite de son second mandat présidentiel.

Le Collectif Pour l’UDPS Originelle lance enfin un appel pressant à toutes                   les Combattantes et à tous les Combattants, aux Co-Fondateurs, aux Pionniers et       aux Avant-gardistes de l’UDPS de se tenir debout pour redonner les lettres de noblesse à la longue lutte menée par leur Parti pour la démocratie et le progrès social.

Fait à Kinshasa, le 17 Octobre 2024.

LE COORDONNATEUR NATIONAL,

Felly FWAMBA MUBALAMATE




RPDC: «Payeront le prix dûment les Pays pour l’application des sanctions illicites à l’égard de notre Etat!»

Ce samedi 19 octobre, CHOE Son Hui, Ministre des Affaires Etrangères de la RPDC (ou République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

a rendu public son communiqué de presse suivant:

Contrairement aux principes du Droit international officiellement reconnus et axés sur l’égalité de la souveraineté et la non-ingérence dans les affaires intérieures, les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845: les dommages et intérêts dûs aux actes criminels contre la RPDC s’estiment à plus de 78.203,704 milliards de $US depuis le 08/09/1945 jusqu’ici, NDLR) et leurs Etats satellites cherchent à rétablir le mécanisme de pression des sanctions contre notre RPDC, structuralement détruit et en état de ruine.

La soi-disant Equipe Multilatérale de Surveillance des Sanctions (ou MSMT ou multilateral sanctions monitoring team instituée en dehors du système onusien pour être déclarée – 16/10/2024 – par les officiels des 3 Etats hostiles ou antagonistes et les Ambassadeurs des 8 Etats occidentaux à Séoul, Capitale de la ROK, NDLR) qui, selon eux, remplace le Panel d’Experts déjà disloqué (grâce au blocage – 28/03/2024 – de la prolongation du mandat annuel à travers l’exercice du droit du veto de la part de la Russie et de l’abstention de la part de la Chine, NDLR) après une dizaine d’années (12/06/2009 – 30/04/2024) de service de surveillance de l’application de la Résolution de l’ONU (№ 1874 S/2009/301 adoptée par tous les 15 membres permanents et non permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies – CSNU – pour la non-prolifération nucléaire de la RPDC, NDLR) en matière des sanctions est complètement illicite et illégale du point de vue de la raison et de l’objectif d’existence, et son existence est, elle-même, le refus de la Charte de l’ONU.

J’exprime mes préoccupations et regret graves à l’acte méchant habituel des USA visant à corriger, à leur souhait, l’ordre international pour leurs intérêts de suprématie et je le condamne, sévèrement, comme:

  • un défi contre la justice internationale
  • la violation la plus ouverte de notre souveraineté.

Pour nous, les embargos conduits par les USA à l’égard de la RPDC ne sont jamais une expérience nouvelle (les retombées du COCOM ou coordinating committee for multilateral export controls depuis les années 1940, NDLR). Mais, la conduite unilatérale des USA et de certains Pays qui les suivent à l’aveuglette, dépourvus du raisonnement sain et du sens de la réalité et en proie à la conception de contrainte susceptible d’engendrer seulement des résultats suicidaires est un facteur propre à:

  • ébranler le fondement des relations internationales
  • troubler, gravement, les circonstances sécuritaires du monde.

La nouvelle apparition d’un hostile élément de menaces exige de compléter, sans cesse, de nouveaux éléments aux forces de riposte légitimes pour le maîtriser. Une mauvaise conduite sera nécessairement suivie d’une réaction indispensable et d’un prix équivalent. Si les USA espèrent nous surprendre et empêcher notre progression par l’ancienne structure de pression des sanctions contre notre RPDC, ce sera un jugement erroné fatal. Comme l’a déjà affirmé le Président (KIM JONG UN) des Affaires d’Etat de la RPDC, les douleurs forcées par les USA à notre Peuple:

  • sont transformées en colère viscérale contre les USA
  • servent d’un facteur drastique et d’une occasion stratégique de redoubler notre force.

Si les USA cherchent à diriger le monde par le diktat, l’arbitraire et les préjugés:

  • beaucoup plus de Pays porteront l’intérêt à mettre fin à la suprématie US
  • l’apparition d’une structure de solidarité mondiale anti-US sera anticipée.

Invariable est la volonté de la RPDC de défendre le droit à la souveraineté nationale, les intérêts au développement de l’Etat, la paix et la sécurité de la Région et du reste du monde, face aux tentatives hostiles de plus en plus ouvertes des USA et de leurs suivistes.

A cette occasion en mettant en cause, une fois de plus, le crime de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat hostile ou antagoniste radical: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux, NDLR) qui a violé le Territoire souverain (03-10/10/2024: l’infiltration des drones destinés à répandre les tracts anti-RPDC dans la nuit au-dessus du ciel de la Ville Pyongyang – Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4357 ans -, NDLR) de notre Etat et provoqué l’actuel malheur, j’affirme que les USA en prendront toute la responsabilité. Nous tenons à graver à l’esprit:

  • les USA et la ROK qui ont initié le lancement de la MSMT contre la RPDC
  • les Pays qui y ont pris part active aveuglément comme le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat hostile ou antagoniste par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8.400.000 de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1.000.000 des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200.000 Coréennes, etc.: aucunes excuses présentées jusqu’ici contrairement au geste de quelques anciens colonisateurs européens, NDLR), le Canada, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, l’Australie et la Nouvelle-Zélande

et à enregistrer tous leurs actes hostiles. Les forces complices de ladite conspiration contre la RPDC payeront, dûment, le prix. (Fin)

Rappelons que tous ces 10 Etats satellites sont du côté des USA depuis la Guerre de Corée (1950-1953, finie par le cessez-le-feu temporaire ou l’Accord d’Armistice) avec l’envoi de leurs contingents pléthoriques:

  1. le Japon: 8.000
  2. le Canada: 26.791
  3. le Royaume-Uni: 56.000
  4. la France: 3.794
  5. l’Allemagne: 200 (médecins arrivés sur le terrain juste après la fin de la Guerre)
  6. l’Italie: 189 (médecins)
  7. les Pays-Bas: 5.322
  8. l’Australie: 17.164
  9. la Nouvelle-Zélande: 5.350
  10. la ROK: 1.090.911

Bien sûr que les effectifs militaires des USA étaient inimaginables avec le nombre de 1.789.000 tandis que la RPDC, âgée de 2 ans et avec sa population totale de 10.540.000 habitants, ne disposait que quelques seules Divisions de l’Armée Populaire de Corée. Presque personne n’avait imaginé que les USA seraient vaincus dans cette Guerre, ce Pays (9.833.517km2; classé 3ème du monde) vainqueur dans la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale et affirmé comme chef de file de l’impérialisme mondial avec leurs Maréchaux et Généraux renommés et leur industrie de guerre de 1er rang mondial.

Ce n’était jamais par hasard qu’au lendemain de la Guerre, le Maréchal Douglas MacARTHUR (1880-1964), le tout 1er Commandant de l’US Army en Extrême-Orient et Commandant des Forces Onusiennes (fabriquées – 24/07/1950 – par les Résolutions du CSNU № 82-84 25/06-07/07/1950), a estimé terminer la Guerre en 72h dans le cadre de leur Plan A:

  • Plan B; l’extension de la Guerre sur la Mandchourie en mobilisant, aussi, l’Armée japonaise réarmée et celle de JIANG Jieshi 1887-1975 Généralissime et opposant à la République Populaire de Chine
  • Plan C; la conquête de toute la Sibérie jusqu’à l’Oural de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques.




RDC : Les artistes comédiens saisissent le CSAC contre la chaîne Maboke TV de Canal+ pour exploitation abusive de leurs oeuvres

Ils se sont constitués en une forte délégation pour réclamer leur droits. Les artistes comédiens de la République Démocratique du Congo évoluant à Kinshasa ont déposé une plainte auprès du Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), Me Christian Bosembe. Dans leur plainte, les comediens congolais dénoncent ce qu’ils qualifient d’exploitation abusive de leurs œuvres par la chaîne MABOKE TV émettant sur CANAL+.

 

Dans leur revendication, ces comédiens réclament l’arrêt immédiat de la diffusion de leurs contenus jusqu’à ce que leurs contrats soient révisés pour garantir une rémunération équitable. Après échange avec le président du CSAC, ces opérateurs culturels espérant obtenir une suite favorable à leur requête, comptent sur l’implication de cette institution d’appuis à la démocratie.

 

 

 

 

 

Mboshi




RDC : Le Syneco lève la grève des enseignants après concertation avec le bureau de l’Assemblée nationale 

Le Président du bureau de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe a eu, une séance de travail avec une forte délégation du Syndicat national des Enseignants du Congo, (SYNECO), conduite par Madame Cecile Tshiyombo, Secrétaire Général de cette structure et les députés nationaux élus du Kongo Central Jonas Tshundu Tshundu et Maneno Riziki.

Ces échanges qui ont eu lieu le samedi 19 octobre ont porté autour de la revalorisation de la question de l’Enseignant Congolais qui fait face aujourd’hui aux multiples problèmes Administratifs, Logistiques et surtout Financiers, chose qui ne lui permet plus d’exercer décemment et dignement son travail.

Très attentif aux revendications de ses Interlocuteurs, le Président de l’Assemblée Nationale a salué la bravoure des Enseignants Congolais qui se sacrifient depuis des décennies pour assurer une bonne relève à travers la formation de la jeunesse. Il a soulevé le fait que le Budget réservé à l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté doit désormais être élaboré en tenant compte des propositions faites par les experts de ce secteur et en associant le Syndicat national des Enseignants du Congo.

Le Syneco a été appelé à désigner ses experts qui vont travailler avec la Commission Économique et Financière de l’Assemblée Nationale dans l’examen approfondi du projet de loi des Finances exercice 2025. Une occasion pour ce syndicat, d’être au coeur des discussions sur l’affectation des fonds publics et sur la table des décisions au niveau du pouvoir législatif. Après ces échanges, le Syneco a levé la grève des Enseignants afin de ne pas mettre en souffrance les élèves.

“L’Honorable Président de l’Assemblée Nationale a compris facilement ce qui se passe à travers le système éducatif congolais. Il prend la question en charge et renvoie à l’Ecofin. Ensemble avec le Syndicat qui va devoir envoyer des délégués, la situation sera décantée”, a déclaré Cécile Tshiyombo qui confirme la levée de la grève des enseignants en leur appelant au travail dès ce lundi 21 octobre.

Rappelons que depuis la rentrée scolaire le 02 septembre dernier, les enseignants des écoles publiques n’ont jamais repris avec les cours. Ils revendiquent entre autre l’amélioration non seulement de leurs conditions des salaires, mais aussi de leur conditions de travail par le gouvernement congolais.

 

 

 

Mboshi




Rentrée judiciaire : Les chefs des corps de la magistrature défendent l’honneur des magistrats devant le chef de l’État

Lors de la récente cérémonie de rentrée judiciaire de la Cour de Cassation, tenue au Palais du Peuple, les deux chefs des corps de la magistrature ont vigoureusement défendu l’honneur et la dignité des magistrats de la République Démocratique du Congo. Le Premier Président de la Cour de Cassation et le Procureur Général près la Cour de Cassation ont tous deux pris la parole devant le Chef de l’État, le Président de la République, pour aborder les préoccupations majeures concernant la magistrature.

Le Procureur Général près la Cour de Cassation a centré son discours sur le thème de la présomption d’innocence en phase préjuridictionelle. Il a mis en lumière les défis auxquels est confrontée la magistrature, exacerbés par certains discours politiques et médiatiques qui jettent le discrédit sur l’institution judiciaire. Il a fermement rappelé que toute personne poursuivie par la justice doit être jugée avant d’être condamnée, et a critiqué la tendance à exposer publiquement les présumés innocents, portant ainsi atteinte à leur réputation.

De son côté, le Premier Président de la Cour de Cassation a souligné l’importance du rôle des greffiers et des agents de l’administration judiciaire, insistant sur la nécessité de leur formation continue. Il a également dénoncé les discours populistes des hommes politiques qui condamnent les magistrats sans preuve, rappelant que de telles accusations infondées nuisent à l’intégrité de l’institution judiciaire.

Le Syndicat des Magistrats du Congo (SYMCO) a salué les interventions courageuses des deux chefs des corps, exprimant leur gratitude pour la défense de la dignité et de l’honneur des magistrats devant le Chef de l’État. Le SYMCO a également remercié les membres du Bureau du Conseil Supérieur de la Magistrature pour leur soutien indéfectible en ces temps difficiles.

Cette cérémonie marque un tournant important dans la lutte pour l’indépendance et le respect de la magistrature en RDC, réaffirmant l’engagement des autorités judiciaires à défendre les valeurs de justice et de vérité.

Pour le SYMCO,

Mupier Bénit, Secrétaire général

Kiwi Kilonda, Président




Immeuble intelligent et l’immeuble de l’IGF : La gestion rigoureuse de Jules Alingete face à Matata Ponyo

Le nouvel immeuble de l’Inspection Générale des Finances (IGF), construit sur fonds propres par l’Inspecteur Général des Finances, Jules Alingete, et inauguré par le Président de la République, Félix Tshisekedi, le mardi 8 octobre dernier, a mis en lumière les égarements financiers de l’ancien Premier Ministre, Augustin Matata Ponyo, concernant la construction de l’Immeuble dit “intelligent”, inauguré le 20 juillet 2015 par le Président Joseph Kabila.

Les agitations de Matata Ponyo corroborent les révélations de Scoop RDC, selon lesquelles “Jules Alingete a dénudé la surfacturation, non seulement de l’ancien Premier Ministre Matata Ponyo, mais aussi de tous les autres mandataires de l’État qui abusent des deniers publics”. Alors que la comparaison des fonds alloués pour les deux immeubles est faite par des experts indépendants en bâtiments et travaux publics, Matata Ponyo a préféré organiser une conférence de presse pour se décharger sur l’IGF Jules Alingete, qui ne l’avait ni mentionné ni cité lors de la cérémonie d’inauguration.

« Vous ne pouvez pas comparer un immeuble dans lequel se trouvent plusieurs ministères, le bureau du Président de la République, et le bureau du Premier Ministre à un petit immeuble dans la périphérie conçu pour la recherche de la gloire », a-t-il invectivé, alors que l’IGF chef de service n’a jamais comparé son immeuble à celui de personne.

Si Matata Ponyo est fier que les journalistes aient surnommé son ouvrage “immeuble intelligent”, pourquoi n’accepte-t-il pas que ces mêmes journalistes comparent les chiffres engagés dans les deux constructions ? Si Alingete avait eu le même montant dépensé par Matata, il aurait construit 6 à 7 voire 10 immeubles du type IGF.

En termes de localisation, les deux immeubles sont érigés dans la commune de la Gombe, peu importe l’emplacement. Quant à l’appel d’offre, l’ancien Premier Ministre sait que c’est la Direction Générale des Marchés Publics (DCGMP) qui avait validé cet appel d’offre suivant la procédure normale de passation de marchés.

Jules Alingete, économiste de l’Unikin et de la même promotion que Matata Ponyo, cite avec exactitude le montant de 8 647 580,32 USD qu’a réellement coûté le nouvel édifice de l’IGF, meublé de 8 niveaux plus rez-de-chaussée et disposant de 250 bureaux, 5 salles de réunion de 50 places chacune, une salle de conférence de 300 places, 60 toilettes, 5 cafétérias de 30 places chacune, un restaurant de 80 places, 4 ascenseurs, 50 caméras de surveillance et un équipement anti-incendie et détecteur de feux. Matata Ponyo, quant à lui, balbutie sur le coût réel de l’Immeuble dit “intelligent”, initialement prévu à 26 millions USD, mais ayant coûté plus tard au trésor public 41 700 455 USD, puis finalement 87 millions USD.

Comparaison faite, les 87 millions USD auraient permis à Jules Alingete de construire 10 immeubles de niveau 8+R bien équipés, offrant au total 80 niveaux, contrairement aux 9 niveaux de l’immeuble de Matata Ponyo. « Matata Ponyo devrait avoir honte de ce qu’il a fait avec 87 millions USD pour l’immeuble du Gouvernement. L’Immeuble IGF est bâti sur 8 000 m² pour 8,4 millions USD, soit 1 080 USD au mètre carré. L’Immeuble intelligent à 87 millions USD bâti sur 21 000 m² a coûté 4 150 USD au mètre carré. Surfacturation par 4. Qui a fait mieux entre ces deux anciens de l’Unikin sortis d’une même promotion ? », se révolte un expert en bâtiment et travaux publics.

Un article de Zoom Eco du 5 septembre 2018 démontre que « l’intelligence attribuée à l’immeuble du gouvernement est quasi-inexistante ». Les analystes de la Fondation Entreprendre notent qu’aucune donnée n’est automatiquement collectée dans l’immeuble intelligent, tout est manuel, et les performances environnementales sont très faibles.

Jules Alingete a prouvé qu’en sa qualité de gendarme financier, il doit prêcher par l’exemple de bonne gestion. Il a construit l’Immeuble de l’IGF baptisé « Etienne Tshisekedi » avec une partie des frais de fonctionnement économisés mensuellement en quatre ans. C’est une prouesse d’un vrai économiste, n’en déplaise à l’ancien Premier Ministre, son collègue de promotion.

Didier Mbongomingi




Prédation des finances publiques : Tonton Nico, on ne te jette pas en pâture, mais dis-nous toi-même si ça mérite des éloges !

Ne pas jeter un père de famille en pâture, la leçon, les Congolais l’ont bien suivie et assimilée. Mais seulement, les actes de gestion posés par ce père de famille, en tant que ministre des finances, argentier du pays et ordonnancier des dépenses sur les deniers publics, inquiètent sérieusement au regard de leur ampleur néfaste sur le trésor public. D’où l’appel toujours au débat.

Tenez, de l’Assemblée nationale où il siège comme député national, élu de Miabi au Kasaï oriental, l’exercice parlementaire de reddition des comptes du budget 2023 fait par ses propres collègues, révèle que près de la moitié des dépenses du budget 2023 (51,2%) a été dilapidée dans des procédures d’urgence, sans aucun contrôle, aucun engagement, aucune liquidation.

En effet, Nicolas Kazadi a remboursé effrontément la dette publique intérieure à 504 % des crédits alloués alors que le programme phare du gouvernement, le PDL145 T, ne présente qu’un taux d’exécution méprisable. Quant aux provinces, en termes d’investissements, rien ne leur a été alloué.

Pour l’opposant Olivier Kamitatu, ancien président de l’Assemblée nationale sous 1+4 et ancien ministre du Plan dans le gouvernement Matata, il est impératif d’exiger un contrôle urgent de tous les paiements de cette dette publique, avec publication de la liste des bénéficiaires.

« Réclamer la transparence n’est pas une attaque contre le ministre, mais un droit fondamental. L’impunité des voleurs doit prendre fin ! », écrit-il sur son compte X, soutenant que cet exercice parlementaire de reddition des comptes a exposé au grand jour les détournements orchestrés par le ministre sortant des Finances et met en lumière l’incapacité du ministre du Budget reconduit, Aimé Boji, à assurer transparence et rigueur.

Face à cette situation des finances publiques congolaises qui est un véritable scandale national et un mépris flagrant inacceptable pour les lois du pays, l’ancien président de l’Assemblée national estime qu’il est temps de dire stop à cette gestion désastreuse et de défendre les droits des populations rurales qui souffrent de cet abandon scandaleux.

Pour lui, ce rapport sur la reddition des comptes devrait impérativement interpeller le FMI et la Banque mondiale, sinon leur soutien financier par des appuis budgétaires est inconcevable alors qu’ils semblent ignorer le naufrage économique et social dans lequel vivent plus de 100 millions de Congolais.

« Il est temps que ces institutions mettent fin à cette complaisance inacceptable et exigent des réformes concrètes avant de continuer à injecter des fonds dans un système qui se désintègre. L’heure de la responsabilité a sonné, et nous devons tous exiger des comptes, pour que justice soit faite et que notre pays puisse enfin avancer », recommande objectivement et sans invectives pour la première fois dans son analyse, Olivier Kamitatu.

A l’UDPS, parti présidentiel et d’appartenance de Nicolas Kazadi, certains esprits lucides ne s’empêchent pas de sévèrement critiquer sa gestion de prédation.

« Il a fait notre honte en tant que UDPS, nous ne nous gênons pas de le dire. Il se raconte même au ministère des Finances que c’est lui le piètre de tous les ministres qui ont défilé avant lui. Il a bâti son propre empire financier dans l’orgueil et la médisance, mais c’est l’image du parti qui est écorchée. Quelle leçon de bonne gestion allons-nous encore donner, nous qui avions critiqué la gestion des régimes d’avant nous ? », s’inquiète un cadre de l’UDPS, professeur d’université de son état. Il compte peut-être sur Doudou Fwamba, actuel ministre UDPS des Finances pour corriger les erreurs de son prédécesseur direct.

Avec tout ce tableau sombre, tonton Nico, est-il lui-même fier de sa gestion ? Les regards de ses collègues députés ne le gênent-ils pas à l’Hémicycle ? On espère qu’il n’est pas Marsien pour être insensible.

Scoop.rdc/ Didier Mbongomingi




Renforcement des liens bilatéraux RDC-Belgique : Judith Suminwa et Alexander De Croo pour un partenariat gagnant-gagnant

Ce vendredi 18 octobre 2024, la Première Ministre de la République Démocratique du Congo, Judith Suminwa Tuluka, a rencontré son homologue belge, Alexander de Croo, au bureau du Premier ministre à Bruxelles. Ce rendez-vous a eu lieu en marge de sa participation à la 10e édition du Forum Rebranding Africa. Lors de cette rencontre, Judith Suminwa Tuluka a souligné l’importance de cet échange, notamment dans le contexte actuel de renouvellement politique en Belgique. Elle a mis en avant les défis qui jalonnent les relations bilatérales entre la RDC et la Belgique, affirmant qu’il était crucial d’aborder ces questions pour avancer ensemble.

« Il était important, lors de mon passage ici, de pouvoir aborder les enjeux de nos relations bilatérales entre la République Démocratique du Congo et la Belgique. Nous avons donc profité de ce moment pour discuter de tous les enjeux qui existent entre nos deux pays. Je pense qu’aujourd’hui, nous sommes dans une position où la Belgique commence à nous voir comme un véritable partenaire plutôt que comme autre chose, et nous sommes vraiment engagés dans un processus de partenariat gagnant-gagnant. » a-t-elle déclaré, insistant sur l’engagement des deux pays.

Cette rencontre marque une étape significative vers un renforcement des liens économiques et diplomatiques entre les deux nations, ouvrant la voie à une collaboration plus étroite à l’avenir.