Rdc : Felix Tshisekedi inaugure le plus grand hub d’entrepreneuriat et d’innovation 

Ce jeudi dans la commune de Ngaliema, à Kinshasa, le Président Félix Tshisekedi a inauguré « Silikin Village », un espace du groupe TEXAF consacré à la promotion de l’entrepreneuriat et de l’innovation en République Démocratique du Congo (RDC), et dédié aux startups, aux Petites et moyennes entreprises (PME) et aux grandes entreprises.

Il s’agit d’un bâtiment de 6 000 mètres carrés, installé dans une concession de 32 000 mètres carrés, doté d’espaces de travail innovants et collaboratifs, de salles de réunion, d’un auditorium et d’infrastructures technologiques de dernière génération. « Il a une capacité d’accueil de 800 acteurs créant l’écosystème numérique congolais”, a précisé Jean-Philippe Waterschoot, Administrateur délégué du groupe TEXAF.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du Plan national du numérique – Horizon 2025 lancé par le Chef de l’État. Pour Kibassa Maliba, ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, « Silikin Village contribue à incarner la vision claire du Président de la République de faire du numérique le levier d’intégration, de croissance économique, de bonne gouvernance et de progrès social ».

« Le Président Tshisekedi a un rêve de voir émerger des millionnaires congolais. Ce rêve est à portée de main. Nous avons aujourd’hui, dans cet espace, des personnes capables de le réaliser », a estimé, pour sa part, Gérald Croonenberghs, Directeur général de Silikin Village. « Ce que nous inaugurons aujourd’hui marque le début d’une nouvelle ère », a-t-il rajouté.

« Ce hub est le fruit de la rencontre entre trois partenaires en mutation : le gouvernement congolais avec une volonté de faire du numérique un des piliers essentiels de son programme de développement, la Banque mondiale qui fait du digital une de ses priorités pour la RDC et TEXAF qui a compris tôt que le futur, c’est le numérique », a indiqué de son côté Albert Zeufack, Directeur pays de la Banque mondiale.

Silikin Village est né du désir de contribuer à réduire le chômage par le développement des compétences et favoriser un environnement où les startups, nationales comme continentales, peuvent prospérer. Il prévoit d’atteindre près de 9000 mètres carrés d’espaces de travail d’ici fin 2024.




Dites-le à Félix Tshisekedi : dès qu’il procède à la révision de la Constitution avant la fin de la guerre, la thèse de l’agression rwandaise tombe !

Car, l’article 219 interdit la révision de la Constitution pendant la période de guerre, d’urgence ou de siège. Or, l’agression est un fait de guerre… En plus, en cas d’échec du référendum envisagé, il sera contraint de démissionner avant l’échéance constitutionnelle 2028…

La dernière prorogation de l’état de siège a été sollicitée par le Conseil des ministres lors de sa réunion du 27 septembre 2024. Renouvelable tous les 15 jours, l’Assemblée nationale devrait décider au cours de sa plénière du 4 octobre puisque l’avant-dernière prorogation remonte au 19 septembre. La Chambre basse n’a entériné la 83ème prorogation que le lundi 7 octobre 2024, soit trois jours après.

Agression et génocide soumis au double standard

Pourquoi ne l’avoir pas fait à l’échéance légale ? On pourrait ne pas avoir de réponse. Tout ce qu’on sait, c’est que les 4 et 5 octobre se tenait à Paris le 33ème sommet de la Francophonie, forum duquel le premier et vrai enseignement à tirer a été l’omission, dans le discours d’Emmanuel Macron, de la RDC comme pays en guerre alors qu’il a cité l’Ukraine, Gaza et le Liban.

L’agression et le génocide dont le Congo est victime semblent ne pas répondre aux critères établis par les décideurs du Droit international. Le leur.

En termes clairs : l’agression passe pour autre chose que celle circonscrire dans la Charte des Nations Unies.

Conséquence : on reconnaît certes la présence des troupes ougandaises sur le territoire congolais, on enjoint le Rwanda à les retirer, mais on ne sanctionne pas ce pays conformément au Droit international.

C’est ce qui arrive aussi au génocide. Si celui du Rwanda est conforme aux critères établis par ce droit, celui de la RDC ne l’est pas. Pour qu’il n’y ait pas oubli, les Congolais lui ont trouvé le néologisme «GénoCost» pour _«Génocide pour des gains économiques_», faussant sans le savoir le concept originel.

Bref, on est devant une évidence : l’agression et le génocide en RDC sont soumis au double standard.

Qu’à cela ne tienne !

Deux éventualités

Ce à quoi il doit s’en tenir, Félix Tshisekedi est censé le savoir au risque de se retrouver dans la quadrature du cercle.

Il sait que toute révision de la Constitution – par référendum ou non – passe impérativement par la levée de l’état d’urgence ou l’état de siège. D’ailleurs, avant celui-ci, il y a la période de guerre. A moins – on ne sait jamais dans ce pays de tous les possibles – d’en venir à exiger la Déclaration de Guerre faisant l’objet de l’article 85 de la Constitution.

Or, cette décision ne suffit pas en ce qu’elle est de nature à susciter deux éventualités. Première éventualité, vivement souhaitée par les modérés : la situation sécuritaire se calme, et les préparatifs de la révision se font dans un contexte apaisé. Seconde éventualité souhaitée, elle, par les radicaux : la situation sécuritaire se corse, mettant Félix Tshisekedi devant le fait accompli soit de rétablir l’état de siège (avec même possibilité de le transformer en état d’urgence), soit de l’ignorer parce que la révision constitutionnelle devient la priorité des priorités.

Résultat : un référendum qui tourne à son avantage va le rendre plus fort que jamais ! Il réussira à imposer dans la révision sa position.

Par contre, un référendum qui se retourne contre lui (comme en France dernièrement au sujet des européennes) sonnera le glas pour le régime Udps/Usn. Car le Président de la République désavoué aura du mal à revendiquer la poursuite de son mandat jusqu’en 2028 !

Un gros pari

Ça s’appelle jouer à la roulette russe, un jeu de hasard ou de chance consistant _«à mettre une balle dans le barillet d’un revolver ou d’un pistolet, puis à faire tourner ce dernier avant de le refermer. Le joueur place ensuite le canon de l’arme contre sa tempe et presse la queue de détente_».

La balle peut partir de n’importe quelle chambre du barillet parce qu’on en a pas le contrôle.

Avec cette affaire de référendum constitutionnel focalisant l’actualité politique, c’est un gros pari que Félix Tshisekedi veut prendre alors que jamais dans l’histoire de la démocratie en RDC président de la République n’aura bénéficié d’une majorité parlementaire aussi confortable que lui.

Une majorité pouvant ne pas apprécier d’avoir été…instrumentalisée, chosifiée, pour reprendre une terminologie des années 1990 !

Même si comparaison n’est pas raison.

PROCHAINEMENT : Victimes des manifestations de l’Udps contre la révision constitutionnelle entre 2006 et 2018 passées au compte de pertes et profits

Omer Nsongo die Lema




Lutte contre le blanchissement des capitaux: La BCC et IFC ont signé un accord de collaboration

La Banque Centrale du Congo et la Société financière internationale membre du Groupe de la Banque mondiale, ont signé ce mercredi 09 octobre 2024, un accord de collaboration afin d’accélérer certains projets en rapport avec l’intégrité et le développement du système financier congolais, en particulier la lutte contre le blanchissement des capitaux, l’accès aux crédits au travers des bureaux d’informations sur le crédit, le déploiement du Swtch monétique national pour une grande interopérabilité des systèmes des paiements, le développement du marché des capitaux ainsi que la financer durable.

 

Dans le cadre de cet accord, les deux institutions ont pour objectif, en soutien au programme économique du Gouvernement, de faciliter l’accès aux financements et une plus grande inclusion financière, lesquels sont essentiels pour soutenir la croissance économique.

 

« Depuis que nous avons pris en charge la Banque centrale du Congo, l’un des éléments sur lesquels nous avons mis l’accent c’est la mise en œuvre des réformes. Les réformes dans tous les secteurs qui concernent l’émission, les activités de la Banque centrale avec un élément important que cela nous aide avec l’appui des bailleurs des fonds, avec l’assistance technique des bailleurs des fonds, cela nous aide à être véritablement efficace dans la réalisation de la mission et le développement du secteur financier pour soutenir efficacement la croissance économique, pour faciliter l’accès au secteur financier. Et donc cette signature est très importante, parce qu’elle montre que nos partenaires au développement sont véritablement avec nous pour nous aider à relever tous les défis auxquels nous faisons face inévitablement aujourd’hui de manière à être efficace dans les actions que nous menons. Et donc tous nos remerciements à IFC, à la Banque mondiale d’une manière générale, pour cet accompagnement », a déclaré la Gouverneur de la Banque centrale de la Rdc, Madame Marie-France Malangu Kabedi Mbuyi, visiblement satisfaite de cet accord.

La Société financière internationale (IFC) a été représentée par sa Directrice pour l’Afrique de l’Est, Madame Mary Porter Peschka, basée à Nairobi, au Kenya.

Elle pilote la mise en œuvre de la stratégie d’IFC et supervise ses opérations dans divers secteurs et gère les relations clés avec les clients, les partenaires et les gouvernements de la sous-région.

Son objectif est de créer, d’étendre et de développer les marchés en Afrique afin de créer de l’emploi et des opportunités pour le plus grand nombre.

Prince Yassa




Marche pour exiger la libération de Jean Marc Kabund : son parti dénonce plusieurs blessés et l’usage des balles réelles par la police.

Les militantes et militants de la formation politique l’Alliance pour le Changement, parti cher à l’opposant Jean Marc Kabund étaient dans les rues de Kinshasa ce mercredi 9 octobre 2024 pour réclamer la libération de leur leader et d’autres ténors politiques détenus par la justice congolaise.

 

Cependant cette manifestation dite pacifique a été dispersée par les éléments de la police nationale congolaise à coup de gaz lacrymogène. Ce que dénonce la vice Présidente du parti Alliance Pour le changement Bijoux Bilali.

 

‹‹ Le parti Alliance pour le Changement était dans la rue ce mercredi pour une marche pacifique pour réclamer la libération sans condition de notre président national l’honorable Jean Marc Kabund. Nous avons également marché pour exiger la libération de tous les autres opposants politiques dans notre pays sans oublier les journalistes, des artisans de la paix, de la société civile qui sont arrêtés injustement dans notre pays. A notre grande surprise, nous avons remarqué et constaté l’usage disproportionné de la force de notre police nationale en tirant des balles réelles causant plusieurs blessés et disparition des biens de valeur face à cette dérive dictatoriale du régime en place et instauration de la violence. Nous voulons rappeller au régime que notre détermination ne s’ébranle jamais nous ne ménagerons aucun effort pour continuer de réclamer la libération de l’honorable Jean Marc Kabund et des autres prisonniers politiques ››, a souligné la vice président de ce parti politique Bijoux Bilali.

 

l’Alliance pour le Changement a promis de revenir encore dans la rue dans le cadre des actions des grandes envergures pour réclamer et exiger la libération pure et simple de l’ancien premier vice président de l’Assemblée nationale.

 

A noter que l’ex-chef du parti présidentiel Jean-Marc Kabund était poursuivi pour “outrage au chef de l’Etat”, et condamné à sept ans de prison et incarcéré dans la prison centrale de Makala.

 

 

 

 

 

Osée kalombo




Traque de Mobondo dans l’espace grand Bandundu : 12 miliciens neutralisés et plusieurs armes récupérées par l’armée congolaise.

L’ opération de traque des miliciens Mobondo se poursuit sans desamparé dans l’espace grand Bandundu. L’armée annonce avoir neutralisé 10 combattants de cette milice, 6 armes dont, une AK47 et 5 calibres 12 y compris des munitions de guerre et des machettes récupérées, tel est le bilan des affrontements qui ont opposé les Forces Armées de la République Démocratique du Congo aux rebelles Mobondo, ce mercredi 9 octobre 2024, dans l’axe Kwamouth.

 

Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo rassurent avoir stoppé net, l’aventure de ces ennemis de la paix, en engageant ses unités de lutte dans deux localités à savoir: Lweme et la ferme Nicolas, situés dans le secteur Ntwa, province du MAÏ-NDOMBE.

 

Anthony Mwalushayi porte-parole des opérations militaires de Negamba qui confirme ces efforts de l’armée loyaliste précise que pour l’instant, la situation est relativement calme et l’armée régalienne continue les opérations de ratissages dans l’ensemble de l’Axe Kwango et Kwamouth, en vue de restaurer l’autorité de l’État et permettre aux déplacés internes de regagner leurs milieux d’origine.

 

Tout en remerciant la population de l’espace grand Bandundu pour sa bonne collaboration avec les FARDC, le Commandant de la onzième Région Militaire, le Général Major Padiri Muhizi Jonas qui coordonne lui-même lesdites opérations, invite les insurgés Mobondo qui sont en brousse avec l’intention de mener des massacres dans cette partie du territoire nationale, de se rendre tout simplement à l’armée congolaise tant qu’ils en ont encore l’occasion, car l’armée congolaise est plus que déterminée pour mettre fin à l’aventure de ces miliciens, qui n’a que trop durée.

 

 

 

Osée kalombo




Jonas Kasimba reçoit la bénédiction de Mgr Paluku Sikuli  

Après près de 4 mois passés dans les geôles des services de sécurité à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, l’opérateur économique et acteur politique, Jonas Kasimba ne cesse de recevoir des visites de réconfort et compassion de la part des religieux et notables, toutes tendances confondues, qui sont reçus chez lui, à la maison.

Selon plusieurs observateurs de la vie politique, ceci démontre clairement que l’homme est une personnalité qui bénéficie d’une attention particulière et sur qui reposent les espoirs de toute une multitude des personnes.

Mgr Sikuli Paluku Melchisédech bénit

C’était le dimanche 07 octobre 2024, après la messe dominicale, une rencontre a eu lieu à la résidence de Mont Fleurie de Monseigneur Paluku Sikuli Melchisedech, l’évêque du diocèse de Butembo-Beni avec l’homme d’affaires et acteur politique du Nord-Kivu Jonas Kasimba, fidèle de longue date de l’église locale, qui a été libéré de la prison, ce qui a occasionné cette visite de remerciement à son père spirituel.

Monseigneur SIKULI, visiblement ravi de retrouver son fidèle, a partagé un moment d’exhortation avec lui, discutant de sa libération et des épreuves qu’il a traversées. La rencontre s’est conclue par une prière de bénédiction, témoignant de la profonde relation qui lie ce père spirituel et son fils.

Avant cette rencontre, Jonas Kasimba a également reçu la visite de réconfort du Député honoraire Baitsura Musowa Shadrack. Cette marque de soutien et de solidarité a certainement apporté du réconfort à Jonas Kasimba, qui a traversé des moments difficiles.

Jonas Kasimba s’est dit très réconforté et apprécie ces visites qui réconfortent son être.

Le Kyaghanda se réjouit

L’association sans but lucratif Kyaghanda, celle Asbl culturelle Nande a beaucoup donné de la voix pour exiger la libération de leur digne fils quand il était incarcéré.

C’est ainsi qu’elle a adressé ses sincères remerciements au chef de l’État congolais Félix Antoine Tshisekedi pour avoir facilité la libération de Jonas Kasimba. Pour la communauté Nande, cette relaxation est accueillie avec une joie immense.

Ces marques de sympathie démontrent clairement que Jonas Kasimba constitue une pépite sur laquelle comptent plusieurs personnalités pour donner une ère nouvelle de développement dans cette partie du pays mais et autres coins car sa capacité managériale est déjà suffisamment prouvée.

Le Quotidien




Appel d’offre international sans prequalification_c-1




La RPDC et son système denseignement socialiste

En République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne et créée 3 ans après la Libération Nationale 1945:

  • Puissance nucléaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier
  • Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR)

le Peuple jouit d’une vie méritoire en exerçant, à volonté, son droit à l’instruction. Le système d’enseignement socialiste du Pays est appliqué à travers:

  • le système d’enseignement obligatoire pour tous
  • le système d’enseignement gratuit pour tous
  • le système d’enseignement permettant d’étudier sans quitter le travail
  • le système d’entretien et d’éducation des enfants.

Après la Libération du joug colonial du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique

  • et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de lONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8.400.000 de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1.000.000 des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200.000 Coréennes, etc.: aucunes excuses présentées jusqu’ici contrairement au geste de quelques anciens colonisateurs européens, NDLR), ont été établies, en peu de temps, les écoles de tous les échelons depuis l’école primaire jusqu’à celle supérieure.

 

Au fur et à mesure de la promotion de la Révolution coréenne et du développement du Pays, et de la consolidation des bases économiques de celui-ci, le système d’enseignement obligatoire pour tous a été appliqué par étapes. Ainsi, ont été mis en vigueur:

  • l’enseignement primaire obligatoire pour tous (août 1956 – octobre 1958)
  • l’enseignement secondaire obligatoire pour tous (novembre 1958 – mars 1967)
  • l’enseignement technique obligatoire de 9 ans pour tous (avril 1967 – août 1972)
  • l’enseignement obligatoire de 11 ans pour tous (septembre 1972 – mars 2014)
  • l’enseignement obligatoire de 12 ans pour tous (avril 2014 – ).

A partir de 1959, a été appliqué le système d’enseignement gratuit pour tous. Dans tous les établissements scolaires, l’enseignement a été dispensé aux frais de l’Etat. Ce dernier prend en charge les frais destinés même:

  • aux activités extrascolaires des élèves
  • à leur pèlerinage ou visite
  • à leur séjour dans la colonie de vacances

sans parler de la construction d’écoles, des études et des travaux pratiques des élèves. Les manuels, les ouvrages de référence, les articles et les uniformes scolaires aussi sont fournis par l’Etat. De même, le système d’enseignement permettant de s’instruire sans quitter le travail est mis en pratique. Ce système a été instauré avec la création d’un institut pour ouvriers en 1951, alors que battait son plein la Guerre (1950-1953) de Libération de la Patrie contre l’invasion armée de la coalition impérialiste notamment:

  • les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845: les dommages dus aux actes criminels contre la RPDC s’estiment à plus de 78.203,704 milliards de $US depuis le 08/09/1945 jusqu’ici, NDLR)
  • la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre de la division perpétuelle avec son côté Nord en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat ennemi № 1: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux, NDLR).

Plus tard, a vu le jour, dans l’une des communes de la Ville-Province Nampho, le 1er institut pour paysans. Dès lors, ont fait leur apparition, partout dans le Pays, un grand nombre d’écoles supérieures pour ouvriers, paysans et pêcheurs.

 

En 2010, le système d’enseignement à distance, nouvelle forme d’enseignement, a été établi ainsi que le système de vulgarisation sci-tech axé sur le Palais de la Sci-Tech à Pyongyang (Capitale de la RPDC et berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans, NDLR), créant, ainsi, une sûre garantie pour la transformation de tout le Peuple en talents sci-tech.

 

En outre, le système d’entretien et d’éducation des enfants permet d’élever, aux frais de l’État, tous les enfants d’âge préscolaire dans les crèches et les écoles maternelles. Ces dernières années, grâce à la politique de puériculture du Parti du Travail de Corée (PTC, parti présidentiel depuis 1945, NDLR), les enfants sont approvisionnés, chaque jour, en produits laitiers, délicieux et nutritifs.




Échange avec la diaspora d’Allemagne : « Tout Congolais détenteur d’un passeport étranger peut désormais obtenir son visa à l’aéroport de Kinshasa » (Judith Suminwa Tuluka)

La Première Ministre de la République Démocratique du Congo, Judith Suminwa Tuluka, a honoré de sa présence, le mercredi 9 octobre 2024, la diaspora congolaise d’Allemagne, en marge de sa participation à la conférence de Hambourg sur le développement durable. Cette rencontre, organisée par Madame l’Ambassadeur de la RDC, Louise Nzanga Ramazani, a rassemblé des membres influents de la communauté congolaise, dont M. Elombo, le seul originaire de la RDC membre du parlement de Brême, ville située au nord-ouest de l’Allemagne.

Il a exprimé sa gratitude envers la Cheffe du Gouvernement pour son engagement envers la communauté congolaise en Allemagne. Il a également souligné l’importance de cette rencontre et les attentes qu’elle suscite pour l’avenir des relations entre les deux pays.

« C’est une première, et, en tant que première femme Première Ministre, elle est venue au nord de l’Allemagne, elle a su consacrer plus de deux heures à discuter avec les représentants de la communauté, malgré tous ses rendez-vous officiels. C’est un bon début, et j’espère que nous aurons d’autres rencontres dans cette direction. Il est essentiel de comprendre que l’Allemagne joue un rôle important et devrait continuer à jouer un rôle pour la paix en RDC. La communauté est prête à accompagner les efforts du Gouvernement congolais», a dit le député allemand d’origine congolaise.

Les attentes de la diaspora

La réunion a permis des échanges enrichissants entre la Première Ministre et des acteurs clés de la diaspora, tels que des médecins, des entrepreneurs et des acteurs politiques. Les participants ont exprimé leurs attentes face aux défis auxquels ils font face pour développer leurs entreprises en RDC. Malgré leur attachement à leur pays d’origine, beaucoup ont souligné la difficulté du climat des affaires, le manque de réactivité des autorités et l’absence d’un soutien suffisant de la part de l’État congolais, en dépit du fait que l’Allemagne est la troisième puissance économique européenne. Les membres de la diaspora ont partagé leur désir de renforcer les liens entre la RDC et l’Allemagne, en mettant en avant les opportunités de collaboration dans des domaines tels que la formation professionnelle, les technologies avancées, et la gestion environnementale. Ils ont exprimé l’espoir que le Gouvernement Suminwa intensifie les échanges bilatéraux avec le pays de Goethe.

« Je suis originaire du Congo, née à Kinshasa. C’était ma première participation à ce genre de rencontre, et en tant que jeune femme, je suis très fière d’avoir vécu cette expérience avec la Première ministre de la RDC. Concernant le domaine médical, je souhaiterais qu’il y ait plus de coopération entre l’Allemagne et la RDC. Je crois que la RDC peut également s’inspirer des modèles allemands en matière de médecine préventive, notamment en ce qui concerne la gratuité de la maternité et le projet de couverture de santé universelle», a déclaré Docteur Christelle Beti, médecin gynécologue en Allemagne.

Faciliter l’accès

Judith Suminwa Tuluka a partagé ce souhait tout en rappelant aux congolais d’Allemagne que sur instruction du Président de la République, le Gouvernement applique déjà la facilité d’accès à la diaspora, notamment en permettant aux Congolais détenteurs d’un passeport étranger d’obtenir leur visa à l’aéroport de Kinshasa. La Première Ministre a salué la qualité des échanges, soulignant que le travail collectif est essentiel pour faire progresser la RDC.

« C’est vrai qu’il y a des choses à améliorer, comme le changement de mentalité, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, etc. Cependant, ceux qui critiquent doivent le faire de manière constructive. Je trouve que se concentrer uniquement sur la critique sans proposer des solutions est problématique. C’est très difficile, même en interne. Ce n’est pas seulement le fait des autres, mais aussi des personnes à l’intérieur qui semblent penser que cela résoudra le problème. Or, cela ne résout rien et ne nous aide pas non plus. En ce qui concerne les propositions, je pense que le Président Félix Antoine Tshisekedi a déjà fait un pas important en facilitant le retour des Congolais en permettant l’obtention d’un visa à l’entrée. Le prochain pas serait de considérer les Congolais de la diaspora comme des citoyens à part entière. Ce sont des projections à long terme, mais se sentir à l’aise dans son pays est un élément très important», a affirmé Judith Suminwa Tuluka.

La diversité de la diaspora congolaise est une véritable force sur laquelle la République Démocratique du Congo devrait s’appuyer pour bâtir une image forte et positive du pays. En valorisant les différentes cultures, expériences et compétences des Congolais vivant à l’étranger, la RDC pourrait non seulement renforcer son identité nationale, mais aussi promouvoir un message d’unité et de dynamisme à l’international. Cette richesse culturelle et humaine est un atout stratégique pour le développement et l’essor du pays, permettant de créer des ponts entre la diaspora et le territoire national.




Fideline Ngoy (TPM Mazembe) : “On ne se met pas de limites”  

Fideline Ngoy s’est entretenue avec Cafonline.com. La gardienne du Tout Puissant Mazembe revient sur la campagne qualificative de son équipe pour la Ligue des Champions de la CAF 2024. Les Corbelles vont participer pour la deuxième fois de son histoire à cette compétition.

Elle représente le renouveau du Tout-Puissant Mazembe sur la scène africaine. À 33 ans, la gardienne des Lushoises s’apprête à participer pour la première fois de sa carrière à la plus renommée des compétitions interclubs dédiées au football féminin : la Ligue des Champions Féminines de la CAF.

La native de Kinshasa aborde ce tournoi avec une grande assurance, ayant seulement concédé un but durant la compétition de l’UNIFFAC. Elle est déterminée à laisser sa marque sur l’une des plus prestigieuses scènes africaines. Entretien.

Cafonline.com : Après avoir manqué la Ligue des Champions de la CAF, l’an dernier, vous revoilà dans cette compétition. Quelles sont vos impressions ?

Fideline Ngoy : Nous sommes véritablement ravies de prendre part à cette Ligue des Champions Féminine de la CAF. Le Tout Puissant Mazembe est un club prestigieux qui mérite sa place aux côtés des grands clubs africains. La route vers la qualification n’a pas été facile, car nous avons affronté d’importantes équipes de notre région, dont je souhaite souligner le talent. Maintenant, nous sommes qualifiées pour cette compétition renommée et nous avons de grandes aspirations ainsi que des atouts à mettre en avant.

Quels ont été les mots de votre entraîneure Lamia Boumehdi, pour mener à bien votre campagne qualificative ?

Au cours de cette phase de qualification, notre entraîneure a fait preuve d’une qualité exceptionnelle, réalisant véritablement des merveilles. À certains moments, j’avais la sensation que nous étions douze sur le terrain, tant l’énergie qu’elle communique est palpable. Elle ne cessait de nous répéter que nous sommes les meilleures et que nous disposions de tous les atouts pour réussir.

Dans quel état d’esprit avez-vous abordé ce tournoi de l’UNIFFAC ?

Nous étions des conquérantes. Le Tout-Puissant Mazembe n’avait pas réussi à se qualifier l’année passée. Un revers qui a laissé. Nous devions remédier à cette situation pour notre club. Par conséquent, lorsqu’on se lance dans une compétition avec une telle détermination et ambition, on devient presque invincible.

Comment avez-vous fêté votre qualification ?

Nous avons partagé la joie de cette qualification avec tous, du Président jusqu’aux fans. Cela démontre que cette victoire n’appartient pas uniquement aux joueuses, mais à toute une communauté. C’est pourquoi nous devons servir d’exemples pour les générations à venir, en rédigeant les premières magnifiques pages de l’histoire continentale du Tout Puissant Mazembe féminin.

Qu’est-ce que cette Ligue des Champions Féminine de la CAF représente pour vous ?

C’est le graal. Je suis tellement fière d’y figurer avec ce groupe. Nous n’irons pas à ce tournoi juste pour participer, nous avons vraiment cette volonté de faire plus que cela qui a été réalisé (ndlr : le Tout Puissant Mazembe avait été éliminé au premier tour en 2022), il est temps que l’histoire du TPM féminin se conjugue aussi sur le plan continentale.

La section masculine a gagné plusieurs fois l’équivalent masculin de la Ligue des Champions, est-ce qu’il vous arrive de discuter avec des membres du TPM masculin ? Est-ce qu’ils vous livrent quelques secrets de leur réussite ?

Il nous arrive de discuter avec l’équipe masculine à propos de nos différentes expériences, que ce soit lors du championnat local ou en vue de notre future participation à la Ligue des Champions. Le soutien de nos frères nous encourage énormément dans notre démarche.

Quelles sont vos ambitions dans ce tournoi ?

Nous n’imposons aucune limite, notre objectif n’est pas d’être de simples figurants. Nous aspirons vraiment à nous démarquer dans cette compétition.