Le FMI sollicite l’appui de l’Assemblée nationale pour la mise en œuvre efficace de son nouveau programme avec le gouvernement 

Après l’achèvement de son dernier programme avec le Gouvernement congolais en Juillet dernier, le Fonds Monétaire International(FMI), compte lancer un nouveau programme avec la République Démocratique du Congo(RDC).

C’est dans ce cadre qu’il a dépêché une délégation en mission d’itinérance à Kinshasa afin d’échanger avec les Autorités politiques congolaises notamment sur un nouveau programme soutenu par la facilité élargie de crédit du FMI et un autre pour soutenir la politique de la lutte contre le Changement climatique.

Conduite par Calixte Ahokpossi, Conseiller au département Afrique et le Chef de mission René TAPSOBA, Représentant Résident du FMI en RDC, cette délégation a été reçue par le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe, le lundi 4 Novembre 2024 assisté du Président de la commission ÉCOFIN l’Honorable Guy Mafuta et de son Vice-Président l’Honorable Patrice Kitebi.

Le Fonds Monétaire International sollicite ainsi l’appui de l’Assemblée nationale pour accompagner la mise en œuvre de son nouveau programme avec le Gouvernement congolais notamment en faisant un suivi particulier de l’exécution des engagements du Gouvernement, en faisant le suivi de l’exécution budgétaire conformément aux crédits alloués à chaque secteur, en veillant sur les dépassements budgétaires et la chaîne de la dépense dans l’exécution du budget et en renforçant la transparence et la redevabilité dans les dépenses publiques.

Très attentif, le Président de l’Assemblée nationale, le Professeur Vital Kamerhe a salué la demande exprimée par le Fonds Monétaire International. Il a non seulement garanti l’accompagnement de la chambre basse du parlement à travers sa mission de contrôle parlementaire et une collaboration permanente entre la commission Ecofin et les experts du FMI basés à Kinshasa, mais aussi, il a sollicité un renforcement des capacités des membres de l’Ecofin par le Fonds Monétaire International.

À cette demande, le Chef de mission du FMI Calixte Ahokpossi a annoncé que cette Institution financière internationale basée à Washington va envoyer, selon le calendrier fixé par l’Assemblée Nationale, ses experts pour faire le renforcement des capacités de la Commission ÉCOFIN.




La tendance à adhérer au principe d’une seule Chine est irréversible (porte-parole) La

La Chine est prête à ouvrir un nouveau chapitre dans ses relations avec les pays qui n’ont pas encore établi de relations diplomatiques, y compris les Palaos, sur la base du principe d’une seule Chine, a déclaré lundi une porte-parole chinoise, soulignant que la tendance à adhérer au principe d’une seule Chine était irréversible.

Lors d’un point de presse régulier, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning, a fait ces remarques en réponse aux commentaires du président des Palaos sur la Chine.

Selon certaines informations, le président sortant des Palaos, Surangel Whipps, qui est également candidat aux élections générales, prétend que la Chine a intensifié la pression et lui a demandé de rompre les “relations diplomatiques” du pays avec Taiwan. Un autre candidat, Tommy Esang Remengesau Jr., a démenti les analyses et les commentaires le qualifiant de pro-chinois.

Mme Mao a indiqué que dans le monde, 183 pays avaient déjà établi des relations diplomatiques avec la Chine sur la base du principe d’une seule Chine, notant que la tendance historique dominante de respect du principe d’une seule Chine était irréversible.

Seul un très petit nombre de pays dans le monde, dont les Palaos, maintiennent encore des soi-disant “relations diplomatiques” avec la région de Taiwan, a déclaré Mme Mao, ajoutant que cette pratique allait non seulement à l’encontre des intérêts de ces pays et de leurs peuples, ainsi que contre la résolution 2758 de l’Assemblée générale des Nations unies, mais violait également la souveraineté de la Chine, et qu’elle devait donc être corrigée.

“La Chine exhorte ces pays à remplir leurs obligations en vertu du droit international, à se positionner du bon côté de l’histoire, et à prendre rapidement les bonnes décisions qui servent véritablement leurs intérêts fondamentaux et à long terme”, a fait savoir la porte-parole.

Mme Mao a cité un proverbe chinois selon lequel “ceux qui adaptent leurs actions à l’époque sont sages”. Elle a déclaré que la Chine se féliciterait de voir des personnes clairvoyantes dans ces pays reconnaître la tendance dominante de l’histoire et de l’époque, respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Chine, ainsi que choisir de se positionner du bon côté de l’équité et de la justice internationales dans les plus brefs délais.

“Il n’est jamais trop tard pour se faire de nouveaux amis. La Chine est prête à ouvrir de nouveaux chapitres dans ses relations avec ces pays sur la base du principe d’une seule Chine”, a-t-elle rappelé.




La Chine fait appel auprès de l’OMC de la décision finale de l’UE concernant les mesures compensatoires à l’encontre des véhicules électriques chinois (ministère du Commerce)

La Chine a saisi lundi l’Organisation mondiale du commerce (OMC) pour contester la décision finale de l’Union européenne (UE) d’imposer des mesures compensatoires sur les véhicules électriques chinois, selon le ministère chinois du Commerce.

La Chine s’oppose fermement aux mesures finales de l’UE visant à exiger des droits compensatoires élevés sur les véhicules électriques fabriqués en Chine malgré les vives objections émises par les acteurs variés, dont des gouvernements des Etats membres de l’UE, l’industrie et le public, a déclaré un porte-parole du ministère.

Afin de préserver les intérêts du développement de l’industrie des véhicules électriques et la coopération mondiale en matière de transformation verte, la Chine a décidé de faire appel au mécanisme de règlement des différends de l’OMC, a-t-il précisé.




Faire bénéficier l’Afrique de la technologie agricole chinoise, rêve d’un étudiant africain

Après un an d’absence, le jeune Gambien Alagie Njie est récemment revenu à l’Université du Guizhou, dans le sud-ouest de la Chine, pour suivre un cursus de doctorat et réaliser son rêve agricole.

Le campus familier et les enseignants chaleureux lui ont fait chaud au cœur. Ce retour est un nouveau point de départ pour ce Gambien de 32 ans qui avait déjà passé quatre ans à l’Institut d’agriculture.

“Pendant mes études de maîtrise, j’ai beaucoup amélioré mes compétences professionnelles et appris de nombreuses techniques agronomiques pratiques, et j’espère progresser davantage dans mes études de doctorat”, déclare-t-il.

Alagie s’intéresse à la technologie agricole depuis son enfance. Pour lui, étudier l’agronomie n’est pas seulement une passion personnelle. Il espère aussi maîtriser les technologies agricoles modernes pour contribuer au développement agricole de la Gambie.

La Gambie se situe dans l’ouest de l’Afrique, et la production agricole est la principale source de revenus pour 70% de sa population. La ville natale d’Alagie est principalement constituée de plaines, ce qui devrait en faire un lieu propice au développement de l’agriculture. Cependant, en raison de son retard en termes de technologies agricoles, de nombreux agriculteurs locaux “vivent à la merci des conditions météorologiques”, et le niveau et l’efficacité de la production agricole sont relativement faibles.

La mangue est un fruit exporté en grandes quantités par la Gambie, mais au cours du processus de plantation, les dégâts causés par les organismes nuisibles et les maladies, ainsi que les dommages engendrés par la récolte, entravent le développement de l’industrie locale de la mangue et affectent les revenus des agriculteurs.

Pendant les années qu’il a passées à l’Université du Guizhou, Alagie a travaillé dur sur la technologie de plantation des mangues et la lutte contre les insectes nuisibles. Il a passé une grande partie de son temps dans le laboratoire et a participé activement aux activités d’observation et d’apprentissage sur le terrain dans des zones rurales du Guizhou, province montagneuse du sud-ouest de la Chine.

En 2019, il s’est rendu au bourg de Sanglang, dans le district de Wangmo de la préfecture autonome Buyi et Miao de Qianxinan, pour visiter la base de démonstration de la transformation des réalisations scientifiques et technologiques de la mangue de montagne du Guizhou. Environ 26,67 hectares de mangues y prospéraient.

“Dans les montagnes du Guizhou, les agriculteurs peuvent cultiver de si bonnes mangues, même dans des conditions agricoles peu favorables. C’est incroyable”, note Alagie.

En communiquant avec des agriculteurs locaux, il a appris qu’il y a quelques années, grâce à l’amélioration de la technologie agricole, une industrie de la mangue s’y est développée et a aidé les habitants locaux à s’extirper de la pauvreté et à s’enrichir. Aujourd’hui, la superficie de culture de la mangue s’établit à près de 333,33 hectares dans le bourg de Sanglang.

D’après Alagie, les technologies agricoles chinoises sont très intéressantes pour les pays africains. “J’espère que mes efforts contribueront à faire bénéficier plus de pays africains de ces technologies”.

Il a également visité des bases de plantation d’autres cultures au Guizhou, comme le riz, le piment et la prune. La mise en œuvre de différentes technologies et conceptions agricoles modernes dans la production agricole de la province l’ont impressionné. Sa détermination et sa confiance dans l’apprentissage de l’agronomie se sont davantage renforcées.

Ayant déjà publié deux articles universitaires sur les technologies de culture et de stockage des mangues, Alagie souhaite améliorer davantage ses compétences professionnelles en la matière en Chine afin de contribuer à la modernisation de la production agricole de son pays et à la formation de plus de techniciens agricoles.




Israël revendique l’assassinat d’un haut commandant du Hezbollah au Liban

Une frappe aérienne israélienne dans le sud du Liban a tué un haut commandant du Hezbollah, Abou Ali Rida, a confirmé lundi l’armée israélienne.

M. Rida, ciblé près de Baraachit, a été qualifié par les Forces de défense israéliennes (Tsahal) d’opérateur clé de la coordination des tirs de roquettes et de missiles antichars sur les forces israéliennes ainsi que de la supervision des activités du Hezbollah dans la région.

Tsahal n’a pas précisé quand la frappe avait eu lieu. Sous couvert d’anonymat, des sources militaires libanaises ont néanmoins confié à Xinhua que 13 personnes, dont M. Rida, avaient été tuées lundi dans des frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban.

D’après ces sources, les forces israéliennes ont lancé 13 frappes aériennes et bombardements d’artillerie, tirant environ 45 obus sur 12 villes et villages proches de la frontière et faisant ainsi plusieurs victimes et des dégâts sur les infrastructures civiles.

Quelques heures après l’annonce de la mort de M. Rida, Tsahal a rapporté que le Hezbollah avait riposté en tirant près de 60 projectiles sur le nord d’Israël. L’armée a fait savoir que ses systèmes de défense avaient intercepté plusieurs roquettes tandis que d’autres sont atterries dans des zones dégagées sans faire de blessés.

Au cours d’un autre incident, Tsahal a affirmé que deux drones explosifs, un en provenance de l’est et un du Liban, avaient tenté de frapper des cibles israéliennes lundi matin. Les deux drones ont été interceptés, l’un a été abattu au-dessus du plateau du Golan annexé par Israël et l’autre près de la Haute Galilée, dans le nord d’Israël.

Le Hezbollah a également annoncé lundi que ses forces avaient tiré des missiles sol-sol en direction de plusieurs sites dans le nord d’Israël, à savoir les villes des Krayot près de Haïfa, la base de surveillance aérienne de Meron, ou encore les communautés de Sha’al, Hatzor, Dalton et Ayelet HaShahar.

Les affrontements en cours entre Israël et le Hezbollah ont débuté le 8 octobre 2023, quand le Hezbollah a tiré des roquettes sur Israël en soutien au Hamas dans la bande de Gaza, ce qui a poussé Israël à riposter par des tirs d’artillerie et des frappes aériennes sur le sud du Liban.

 

Depuis le 23 septembre, l’armée israélienne a intensifié ses frappes aériennes contre le Hezbollah au Liban, faisant de nombreuses victimes civiles et entraînant le déplacement des habitants de multiples zones.




M. Hilale: L’évaluation du rôle de l’ONU au Sahara marocain relève uniquement du SG et du Conseil de sécurité

L’évaluation du rôle de l’ONU sur la question du Sahara marocain relève uniquement du mandat du Secrétaire général et du Conseil de sécurité, a souligné à New York l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale.

En réponse à une question sur la lecture du Maroc de la déclaration de l’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura, dans son dernier briefing au Conseil de Sécurité, de réévaluer le rôle des Nations Unies sur la question du Sahara en l’absence de progrès dans les six prochains mois, M. Hilale a répondu, lors d’un point de presse, que “la réévaluation du rôle de l’ONU sur la question du Sahara ne le regarde pas et ne relève pas de son mandat. Elle relève du mandat du Secrétaire général et des membres du Conseil de sécurité”.

L’ambassadeur a tenu à préciser, lors de sa rencontre avec la presse à l’issue de l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain, que “le mandat de l’Envoyé personnel pour le Sahara est la facilitation de la solution entre les parties”, insistant que pour réaliser des progrès significatifs, l’Envoyé personnel doit mettre en œuvre son mandat de facilitation “conformément à sa lettre de nomination par le Secrétaire général ainsi qu’aux résolutions du Conseil de sécurité”.

M. Hilale s’est référé au “guide de l’ONU pour la facilitation des négociations”, qui contient “des informations claires sur le rôle des facilitateurs, dont le premier principe est de s’atteler à mettre en œuvre son mandat et le deuxième est de faire preuve d’autorité”.

Le diplomate marocain a appelé l’Envoyé personnel à démontrer l’autorité nécessaire afin de relancer le processus des tables rondes. “Nous lui demandons d’appliquer son mandat et d’agir avec autorité. L’a-t-il fait ? Nous ne le pensons pas” a-t-il déclaré.

“Nous encourageons l’Envoyé personnel à faire usage de son autorité de manière efficace, plutôt que d’obtempérer au refus de l’Algérie”, a martelé l’ambassadeur marocain, ajoutant que les anciens envoyés personnels, Christopher Ross et Horst Köhler, n’ont jamais demandé l’avis de l’Algérie et des autres parties, ni sur les dates, ni sur les lieux des négociations, pour convoquer respectivement, les consultations de Manhasset et les tables rondes de Genève. “Nous attendons que M. de Mistura agisse de la même manière, et fasse preuve d’autorité”, a-t-il affirmé.

Concernant l’évaluation de la situation, l’ambassadeur Hilale a précisé que “le Maroc ne cherche pas à évaluer le rôle de l’ONU”, en insistant que “le succès du progrès en avril prochain sera mesuré par la tenue ou non de tables rondes à Genève”.

A ce titre, M. Hilale s’est référé à la récente déclaration de la Suisse, exprimant sa volonté d’accueillir la troisième série de tables rondes. “Nous avons le lieu. Ce qui manque maintenant, c’est l’autorité de l’Envoyé personnel et la mise en œuvre de son mandat”, a-t-il conclu.




RDC : Le Gouvernement soutient les pétroliers

Le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a dirigé, ce lundi 4 novembre 2024, une importante séance de travail avec une délégation de pétroliers représentant les différentes zones de distribution de la République Démocratique du Congo.

Lors de cette rencontre, le Ministre a annoncé avoir autorisé, sur instruction de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, le décaissement en faveur de toutes les corporations pétrolières de ces zones, au titre d’acompte pour le paiement des manques à gagner de l’exercice 2023. Ce geste illustre la volonté du Gouvernement d’apurer ces arriérés de manière progressive et rapide, afin de soulager les pressions de trésorerie, de garantir l’approvisionnement en carburant, et de préserver les intérêts des sociétés ainsi que de la population.

Dans la foulée, l’Argentier national a rassuré les pétroliers qu’un prochain acompte sera effectué sous peu, tout en les encourageant à recourir aux découverts offerts par les banques commerciales pour gérer leurs besoins de trésorerie en attendant l’apurement complet. Il a précisé qu’un accord a été établi entre le Gouvernement et les banques pour faciliter l’accès des sociétés pétrolières à ces crédits.

 

Le Ministre a affirmé que le processus d’apurement est irréversible et que les engagements du Gouvernement, pris à travers le Ministère de l’Économie, seront respectés dans l’intérêt de toutes les parties concernées. Il a profité de l’occasion pour réaffirmer son engagement envers la bonne gouvernance, soulignant que les pratiques de mauvaise gestion n’ont plus leur place durant son mandat.




Kinshasa : Lutte contre les embouteillages, JP Bemba et toute l’équipe évaluent les stratégies mises en place

Après avoir passé 7 jours d’application des mesures à titre expérimental et de simulation pour fluidifier le trafic routier dans la capitale de la République démocratique du Congo, une réunion a été convoquée pour évaluer les premiers résultats et définir les axes d’amélioration. La dite rencontre présidée par le vice-Premier ministre, ministre des Transports Jean-Pierre Bemba, a eu lieu lundi à Kinshasa, selon un communiqué de la cellule de communication du ministère des Transports.

«Les signaux sont positifs. Nous l’avions si bien dit, que nous étions à une phase expérimentale. Il faut s’attendre à ce que là où ça ne marche pas qu’il y ait des remous. Quand nous allons vers l’Ouest par exemple, nous trouvons que la circulation commence à devenir un peu fluide, et que la population est satisfaite par rapport à la décision qui a été prise», a dit Robert Matalatala, président de la CNPR, cité par le communiqué du cabinet du vice-Premier ministre en charge des Transports.

“Le comité a relevé que certaines artères demandaient un renforcement des dispositifs pour optimiser la fluidité de la circulation. L’expérimentation va s’étendre sur des nouvelles artères dans les jours qui viennent”, signale le communiqué.

 

 

Mboshi




RDC : Le Gouvernement paye les manques à gagner des pétroliers  

Le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a dirigé, ce lundi 4 novembre 2024 dans son cabinet, une importante séance de travail avec une délégation des pétroliers représentant les différentes zones de distribution en République Démocratique du Congo.

Au cours de cette séance de travail, le Ministre a annoncé avoir payé, sur instruction de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, un premier acompte des manques à gagner en faveur de toutes les corporations des pétroliers de toutes les zones de distribution.

 

Ce paiement fait partie des efforts du Gouvernement à apurer, par échelonnement et le plus rapidement possible, les manques à gagner de l’exercice 2023.

Il est en plus l’expression de la bonne volonté du Gouvernement à soulager les pressions de trésorerie auxquelles les pétroliers font face, à garantir l’approvisionnement en carburant et à préserver les intérêts aussi bien des sociétés que de la Population.

 

 

 

 

 

Mboshi




RDC : Affaires forages et Lampadaires, la Cour de cassation renvoie l’audience pour le 18 novembre prochain

Le procès qui oppose le ministère public à l’ancien ministre du Développement rural, François Rubota, et l’opérateur économique, Mike Kasenga, sur l’affaire du présumé détournement des fonds alloués à la construction des forages dans différents coins de la République démocratique du Congo a été repoussé au 18 novembre 2024.

Convoqué pour ce lundi 4 novembre 2024, à la Cour de cassation, ce procès a été reporté après un débat contradictoire entre le président de la séance, Tshimini et les avocats de l’ancien ministre du Développement rural François Rubota, qui ont estimé lors de la prise de parole que le tribunal n’a pas été régulièrement saisi sur cette affaire.

D’après les avocats de François Rubota, l’extrait de rôle n’a pas été déposé au domicile de leur client comme la loi l’exige.

De l’autre côté, les voix s’élèvent autour du dossier qui se tient sans l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, ayant autorisé la libération en urgence des fonds bien qu’il a été constatée la surfacturation.

 

Mboshi