Sahara marocain: Sainte Lucie réitère son soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris la région du Sahara et son appui au plan d’autonomie comme la seule solution au différend (Communiqué conjoint)

Sainte Lucie a réaffirmé, vendredi à Rabat, son « soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris la région du Sahara », et « réitéré son appui au Plan marocain d’autonomie comme la seule solution crédible, sérieuse et réaliste » pour la résolution définitive du différend régional autour du Sahara marocain.

Cette position a été exprimée dans le communiqué conjoint signé à l’issue des entretiens du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, avec le ministre des Affaires extérieures, du Commerce international, de l’Aviation civile et de la Diaspora de Sainte Lucie, M. Alva Romanus Baptiste.

Sainte Lucie s’est, en outre, félicitée du consensus international croissant et de la dynamique impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, en faveur du Plan d’Autonomie et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, dans lesquels s’inscrit sa position.

Dans ce communiqué conjoint, M. Alva Romanus Baptiste a, également, salué les efforts des Nations Unies en tant que cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable à ce différend régional, indique-t-on dans le communiqué conjoint.

Enfin, Sainte Lucie, en tant que membre de l’Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale (OECS), s’est félicitée de l’ouverture d’une Ambassade de l’OECS à Rabat (18 octobre 2018) et d’un Consulat Général à Dakhla (31 mars 2022), qui offrent une opportunité significative pour renforcer davantage les échanges entre le Royaume du Maroc et les six Etats de la Caraïbe Orientale.




« La coopération mondiale sera primordiale pour atténuer les risques et saisir les opportunités qu’engendreront ces transformations » (FMI) 

Pour le FMI, le défi est désormais double. D’une part, il s’agit de préserver la stabilité macroéconomique face à d’éventuels nouveaux chocs géopolitiques, et malgré les ajustements budgétaires perturbateurs et les efforts visant à ramener l’inflation dans les fourchettes cibles. D’autre part, il faut tirer parti de la résilience économique mondiale pour nous attaquer ou nous adapter aux bouleversements actuels qui exigent que nous agissions collectivement ; des évolutions telles que le changement climatique ou encore l’avènement du numérique et de l’intelligence artificielle qui, pour le meilleur ou pour le pire, pourraient refaçonner la nature de notre travail à tous.

Le Fonds monétaire international (FMI) a publié son rapport annuel 2024 dans lequel il explique comment l’économie mondiale a traversé une période mouvementée depuis la fin de la pandémie : tout d’abord avec des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, une crise énergétique et alimentaire déclenchée par la guerre de la Russie contre l’Ukraine, puis une hausse considérable de l’inflation, tout cela suivi d’un resserrement synchronisé de la politique monétaire à l’échelle mondiale. La robustesse des cadres de politique économique dans de nombreux pays a contribué à la résilience mondiale. Néanmoins, nombre d’États ont traversé cette période avec des niveaux d’endettement élevés et des coûts de service de la dette en augmentation.

A en croire le même rapport, le défi est désormais double. D’une part, il s’agit de préserver la stabilité macroéconomique face à d’éventuels nouveaux chocs géopolitiques, et malgré les ajustements budgétaires perturbateurs et les efforts visant à ramener l’inflation dans les fourchettes cibles. Les populations qui ressentent encore les effets des crises qui se sont succédé auront besoin d’une aide constante, tout comme les pays à faible revenu qui ont été les plus durement touchés. D’autre part, il faut tirer parti de la résilience économique mondiale pour nous attaquer ou nous adapter aux bouleversements actuels qui exigent que nous agissions collectivement ; des évolutions telles que le changement climatique ou encore l’avènement du numérique et de l’intelligence artificielle qui, pour le meilleur ou pour le pire, pourraient refaçonner la nature de notre travail à tous. La coopération mondiale sera primordiale pour atténuer les risques et saisir les opportunités qu’engendreront ces transformations.

Soulignons que le FMI est bien placé pour encourager cet effort multilatéral. C’est le pilier qui soutient le dispositif mondial de sécurité financière, un forum pour lequel les pays membres se réunissent afin de fournir une assurance collective contre le risque de crise financière.

Son objectif : promouvoir la coopération monétaire internationale, le commerce et la prospérité pour tous.

L’achèvement de la 16e révision générale des quotes-parts a démontré la capacité du FMI à rassembler ses pays membres dans un esprit de collaboration mondiale et de multilatéralisme. Ce sens de la coopération internationale a aussi transparu dans les décisions de plus de 40 pays membres, qui par leurs contributions apportées jusqu’en 2023 ont soutenu le fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance, dont la capacité à mobiliser des prêts concessionnels en faveur de ses membres les plus pauvres a été accrue. Cette réussite et le travail du FMI en général viennent illustrer notre interdépendance et notre propension à collaborer avec les pays membres (et aussi des institutions partenaires telles que la Banque mondiale) pour parvenir à une stabilité économique et une prospérité partagées.

Pour le FMI, cette stabilité et cette prospérité sont favorisées par son travail d’analyse et les conseils qu’il fournit à ses pays membres, par ses programmes de prêt et ses activités de développement des capacités.

Dans un monde en constante évolution, le FMI évalue également en permanence son travail et ses instruments pour s’assurer que, dans le cadre de son mandat, il reste, aujourd’hui comme demain, à l’écoute des besoins de ses pays membres. Dans le communiqué d’avril 2024 annonçant la nomination de Kristalina Georgieva au poste de Directrice générale du FMI pour un second mandat de cinq ans, le conseil d’administration a salué toute l’attention qu’elle porte à garantir que le FMI puisse continuer de s’adapter et d’évoluer.




Me Guy Loando appelle à une synergie renforcée entre la Justice et l’Aménagement du territoire pour un développement harmonieux et durable de la Rdc  

Intervenant dans le cadre des États Généraux de la Justice, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando Mboyo, a plaidé pour une réforme profonde de la justice en République Démocratique du Congo afin de soutenir la politique nationale d’aménagement du territoire. Lors de son allocution intitulée : « La réforme de la justice dans la politique d’aménagement du territoire », l’Aménageur national a souligné que cette réforme est essentielle pour répondre aux enjeux de gouvernance, de développement durable et de stabilité du pays.

Face aux défis liés à la gestion de l’espace national tels que les conflits fonciers, la coordination des interventions et la complexité des droits fonciers, le Ministre d’État a rappelé que depuis 2015, le Gouvernement s’est engagé dans une ambitieuse politique nationale d’aménagement du territoire, conformément à la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Cette politique est soutenue par une loi en attente de promulgation, ainsi que par des outils de planification spatiale mis en place en 2020, intégrant les dimensions socio-économiques, environnementales et culturelles tout en protégeant les droits des communautés locales et des peuples autochtones.

Le Ministre d’État a présenté quelques recommandations clés pour renforcer les liens entre justice et aménagement du territoire: Création de juridictions spécialisées: Établir des juridictions spécialisées et renforcer les capacités judiciaires dans les litiges fonciers, environnementaux et infrastructurels pour offrir des solutions rapides et appropriées ; Intégration des infrastructures judiciaires: Inscrire les infrastructures judiciaires et pénitentiaires dans le programme national d’aménagement, afin d’améliorer l’accessibilité du service public de la justice ; Digitalisation et partage de données: Favoriser la digitalisation et le partage d’informations entre les services de gestion du territoire et la justice pour prévenir efficacement les conflits fonciers et autres litiges territoriaux.

En conclusion, le Patron de l’Aménagement du Territoire a réaffirmé que la réforme de la justice représente un levier stratégique pour la mise en œuvre réussie de la politique nationale d’aménagement du territoire, contribuant à la construction d’un État de droit solide et à un développement inclusif en RDC.




Faute d’exécution des injections du Chef de l’Etat des Accords de Bibwa/1 et 2: Les professeurs repartent en grève 

Dans un communiqué de presse datée du 8 novembre 2024, parvenu à la rédaction du Quotidien, les professeurs des universités et instituts supérieurs du Congo ont décidé de déclencher le processus de la grève sèche et générale du fait que le gouvernement n’a pas exécuter les injonctions du Chef de l’Etat en faveur des enseignants des institutions de l’enseignement supérieur et universitaire.

Pas plus tard que la semaine passée , l’Université de Kinshasa, la plus grande institution du pays, ouvre ses portes en procédant à la rentrée académique 2024-2025. C’était après assurances du Gouvernement qui a reçu des injonctions claires du Chef de l’Etat lors des pourparlers avec les enseignants de l’ESU ce qui avait conduit à la non exécution des menaces de grèves des enseignants des professeurs des universités et instituts supérieurs, qui déplorent des situations salariales et conditions sociales de travail pas dignes. Voilà que ce vendredi 8 novembre 2024 , le réseau des Association des Professeurs des Universités et Instituts Supérieurs du Congo (RAPUICO en sigle) s’est réuni pour évaluer la mise en œuvre effective des Accords de Bibwa/1 et 2.

Dans le communique de presse qui a sanctionné ces travaux il est écrit ce qui suit: ”

Il ressort des avis et considérations collectés(en présentiel comme en distanciel) auprès de toutes les Association des Etablissements publics d’enseignement supérieur et universitaire de la République Démocratique du Congo que Rien n’a été fait, en dépit des injonctions fermes donnés au Gouvernement par le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Félix- Antoine Tshisekedi Tshilombo, et qu’il faille donc déclencher le processus de la grèves sèche et générale

“Néanmoins, le Rapuico reste disponible et ouvert à toute les éventualités susceptible de présider en procédure d’urgence à la concrétisation des Accords conclus”, conclu le communiqué

Pour nombre d’observateurs et autres parents d’étudiants, ce dialogue des sourds entre gouvernement et professeurs préjudice l’avenir même de la nation, devenant endémique car revenant chaque année sans jamais trouvé de solution. Comme le disait un sage, qui détruire une nation , n’aura qu’à brader l’éducation pour aboutir sa jeunesse…

Mack Power




FPI : Pas de malaise entre Louis Watum Kabamba et Bertin Mudimu Tshisekedi

Dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction du Journal Le Quotidien, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) porte à la connaissance de l’opinion que certaines vidéos qui circulent cette semaine dans les réseaux sociaux font état d’un malaise entre le ministre de l’Industrie et Développement des PME/PMI, M. Louis Watum Kabamba et le Directeur général Bertin Mudimu Tshisekedi. Il n’en est rien.

Le Fonds de Promotion de l’Industrie dénonce cette campagne de diabolisation et d’intoxication menée par des anonymes pour opposer un mandataire public à son ministre de tutelle. Le Directeur Général Bertin Mudimu Tshisekedi n’est concerné, ni de près ni de loin par des affabulations et des canulars dont les auteurs restent inconnus.

Le FPI met en garde tous ceux qui propagent de fausses informations autour d’un conflit imaginaire entre le Ministre Louis Watum Kabamba et le Directeur général Bertin Mudimu Tshisekedi, deux personnalités qui travaillent en parfaite harmonie pour le développement du secteur industriel en République Démocratique du Congo.