Progrès pour la paix en Ituri : À Bunia, Judith Suminwa fait le point sur les avancées réalisées

Depuis l’après-midi de ce samedi 23 novembre 2024, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka est en visite officielle à Bunia, en Ituri, entourée de quelques membres de son Gouvernement, des députés et sénateurs, afin d’évaluer l’état de siège instauré dans la province. Une arrivée accueillie avec ferveur par un peuple enthousiaste ; ce qui démontre toute l’importance de cette mission.

Une participation citoyenne au cœur des préoccupations

Dès son arrivée à l’aéroport national de Bunia, la Cheffe du Gouvernement a été accueillie par une foule en liesse, des Ituriens de tout bord se rassemblant pour exprimer leur soutien. Judith Suminwa, fidèle à son image de leader participatif, a affirmé son engagement envers la population. « À la suite de l’ordonnance signée l’année dernière sur les mesures d’atténuation et la requalification de l’état de siège, le Président de la République nous a chargés d’évaluer la situation actuelle pour déterminer si nous devons maintenir le statu quo ou apporter des changements nécessaires », a-t-elle déclaré avec détermination.

Un bilan flatteur en collaboration avec les forces vives de la région

La Première Ministre a annoncé qu’un processus d’analyse des réussites et des faiblesses de l’administration militaire serait entrepris, intégrant la voix des forces vives de l’Ituri dans les discussions. Ce bilan met en avant des résultats positifs, notamment la neutralisation du groupe armé terroriste CODECO grâce à la gouvernance militaire ; ce qui contribue à un climat de sécurité ressenti par la population.

De plus, Judith Suminwa a souligné de grands progrès visibles en termes d’infrastructures routières et d’autres bâtiments publics construits grâce à l’état de siège. La reprise des activités économiques est également un point fort, avec de nombreux citoyens témoignant de leur sentiment de sécurité renforcé.

Après une réunion constructive avec Johnny Luboya, Gouverneur militaire de la province, Judith Suminwa a réitéré sa promesse de transparence et de collaboration lors de la clôture de sa mission. Ce rapport, qui sera soumis au Président Félix Antoine Tshisekedi, comprendra des recommandations précises, appelées à assouplir les mesures fiscales et à renforcer davantage la sécurité dans la province.




Moïse Mupata Mawa nommé président de la Ligue des Jeunes de l’ACP

Moïse Mupata, membre co-fondateur de l’Alliance des Congolais Progressistes (ACP), a été nommé président de la Ligue des Jeunes de l’ACP. Actuellement, il est également le patron de la stratégie de l’ACP et membre du bureau politique.

Juriste et fiscaliste aguerri, Moïse Mupata est un homme de terrain avec une solide expérience politique. Âgé d’une quarantaine d’années, il possède une connaissance approfondie du milieu politique congolais. Reconnu pour son engagement et son dynamisme, il est considéré comme un guerrier en politique.

Moïse Mupata est également l’un des hommes de confiance de Ngobila et de Charles Mbutamutu, ce qui témoigne de son influence et de son réseau au sein de la sphère politique congolaise.

Sa nomination à la tête de la Ligue des Jeunes de l’ACP marque une étape importante pour le parti, qui mise sur son leadership pour mobiliser et inspirer la jeunesse congolaise.

Par Didier Mbongomingi




Felix Tshisekedi rend hommage au Lieutenant-Colonel Mpoyi Mukuna 

Ce samedi 23 novembre 2024 à la place de la Loyauté du camp Tshatshi, dans la commune de Ngaliema, le Président Félix Tshisekedi, Commandant suprême des forces armées de la République Démocratique du Congo (RDC)), s’est incliné devant la dépouille mortelle du Lieutenant-Colonel, Diplômé d’État-major, Théodore Mpoyi Mukuna.

Arrivé au lieu de la cérémonie funéraire à 11h30’, le Chef de l’État a réconforté la veuve et les membres de famille de l’officier supérieur avant de prendre place à la tribune d’honneur afin de suivre le programme.

Pour la famille du défunt, le Lieutenant-colonel a légué aux siens « un immense héritage d’intégrité, de chrétienté et de patriotisme ».

Prenant la parole pour son oraison funèbre, le général de brigade Désiré Mulumba Kabanangi, Commandant second de la Garde Républicaine en charge de l’administration et de logistique a présenté l’image d’un homme aux qualités humaines et morales exceptionnelles ».

« La disparition du Lieutenant-colonel Théodore Mpoyi Mukuna est une perte énorme pour la Garde républicaine au moment où les Forces armées de la RDC avaient encore besoin de lui », a-t-il fait savoir.

Décédé le 10 novembre 2024, le Lieutenant-colonel Mpoyi Mukuna était Directeur d’administration adjoint du Régiment blindé de la Garde républicaine, poste qu’il a occupé jusqu’à sa mort.

Diplômé d’État-major, il était détenteur d’une licence en Géologie appliquée de l’Université de Lubumbashi, il a aussi obtenu un titre d’ingénieur géologue de l’Académie militaire du Soudan.




A Goma : Julien Paluku en visite de réconfort chez Papa Athanase Kahanya

M. Julien Paluku, ministre du Commerce extérieur, de passage à Goma dans la province du Nord-Kivu où il accompagne la Première Ministre, a effectué une visite de réconfort à l’autre icône, Papa Athanase Kahanya Kimuha Tasi, la mémoire administrative du Nord-Kivu qui l’a forgé administrativement comme Administrateur de Territoire, Maire de Ville puis Gouverneur.

« Le Tout puissant et chevronné DIRECTEUR DE PROVINCE de tous les temps mérite reconnaissance de son vivant », témoigne-t-il avant de poursuivre, lucide, Papa Athanase Kahanya reste et restera une grande valeur pour l’honneur de l’administration publique en RDC pour avoir fait le tour du territoire national. C’est le sens de cette visite de courtoisie.




Décès de Médard Autsai Asenga : La notabilité de l’espace grande Orientale salue la mémoire d’un unificateur

L’ancien gouverneur de l’ex province orientale est décédé ce vendredi 22 novembre 2024 à Kinshasa. Il s’agit de Médard Autsai Asenga, l’une des grandes figures de la politique de la grande orientale et de l’Ituri voisin. Il est mort à l’âge de 82 ans après une longue période des ennuis de santé. Ce baobab de l’espace Oriental était gouverneur de la province Orientale aujourd’hui Tshopo de 2007 à 2012.

 

Sa disparition laisse un grand vide dans l’espace oriental. L’Homme a été toujours au centre de beaucoup d’actions visant l’unité et le développement, il est resté attaché à cette population qu’il a toujours aimé. Il prêché l’amour du prochain et le vivre ensemble. Après l’annonce de sa mort, la notabilité de l’espace grande orientale ont salué la mémoire de celui qui avait toujours prêché l’unité, l’amour du prochain et le vivre ensemble.

 

Qui était réellement Médard Autsai Asenga ?

 

Médard Autsai Asenga est un grand homme politique de la République Démocratique du Congo, né le 2 janvier 1942. Il a eu à diriger l’ex province orientale en qualité du gouverneur de 2007 à 2012. Mais bien avant, il a été vice-gouverneur en charge de l’économie et finances de la province orientale pendant la transition 1+4.

 

Médard Autsai a été élu plusieurs fois commissaire du peuple ( député national à l’époque de la République du Zaïre), puis député national de la circonscription électorale d’Aru en province de l’ituri et sénateur lors de la législature 2019-2023. Aux législatives nationales de 2023, il ne sera pas élu.

 

Décédé à l’âge de 82 ans, il laisse des orphelins biologiques et politiques. Il faut dire que l’illustre a commencé sa carrière politique à l’époque du feu maréchal Mobutu pour tirer sa révérence sous le règne de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en passant par Laurent Désiré Kabila et Joseph Kabila.

 

 

 

 

 

 

Osk




Prolongement de mandat de la Force militaire de la SADC : la société civile du Nord-Kivu se dit déçue de son apport une année après

Prolongé d’un an la société civile du Nord-Kivu, qualifie l’apport de la Force militaire de la SADC d’inefficace au côté des forces armées de la République Démocratique du Congo. Selon cette structure citoyenne, la mission de la force de la SADC était d’offensive alors que sur terrain cette force n’a rien réalisé sur le sol congolais et sur beaucoup d’autres lignes de front, mais plusieurs territoires et villages ont été émiettés par l’agresseur.

‹‹ Nous comme acteurs de la société civile du Nord-Kivu, nous disons que cette force n’a pas rencontré nos attentes. nous nous avons chassé la force de l’EAC avec comme raison que cette dernière était en connivence avec l’ennemi et vivait ensemble avec lui . Mais malheureusement de puis que la force de la SADC a été déployée, elle n’a jamais attaqué l’ennemi ni récupéré ne fut ce qu’une zone détenue par l’agresseur. Cependant notre population est entrain de vivre toujours dans les camps et continue à souffrir ››, a dit John Banyene, président de la société civile du Nord-Kivu.

Pour cette organisation citoyenne, la fin de la guerre reste encore le souhait le plus ardent de la population du Nord-Kivu.

‹‹ La seule recommandation ou attente de la population de notre province reste celle de voir toutes les zones occupées par les rebelles être récupérée par les forces armées de la République Démocratique du Congo avec l’appui de la force militaire de la Sadc ››, a souligné le président de cette structure citoyenne.

Rappelons que le mandat de la mission militaire de la SADC en RDC, SAMIDRC a été prolongée d’un an. Ainsi avait décidé les chefs d’états membres de cette organisation régionale réunis le mercredi 20 novembre 2024 à Harare au Zimbabwe. C’était à l’occasion du sommet extraordinaire des Chefs d’État et des gouvernements de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) dont a pris part le président congolais Félix Tshisekedi.

 

 

Osée Kalombo




CAN féminine 2024 : Voici le tirage complet de la phase des groupes 

La Confédération africaine de football (CAF) a comme prévu procédé vendredi au tirage au sort des groupes de la CAN féminine 2024.

 

Le tirage exécuté par la gardienne Sud-Africaine des Mamelodi Sundowns Ladies, Andile Dlamini, l’arbitre rwandaise Salima Mukansanga et l’ex-internationale marocaine Fatiha Laassiri devenue entraîneuse s’est révélée mi-figue mi-raisin pour le Maroc.

 

Tête de série du premier chapeau et vice-champion en titre, les Lionnes de l’Atlas héritent de la Zambie, leur bourreau lors des barrages des derniers Jeux Olympiques de Paris 2024 et pire adversaire possible dans le chapeau 2. La bande à Jorge Vilda affrontera aussi deux sélections théoriquement inférieures dans ce groupe A : le Sénégal, quart de finaliste de la dernière édition et étrillé (7-1) en amical le 29 octobre passé à Casablanca, et la RD Congo, de retour après 12 ans d’absence et battue à deux reprises (2-1, 3-2) plus tôt en juin, toujours à domicile (Berkane).

 

Retrouvailles entre l’Algérie et la Tunisie

 

Dans le groupe B, celui du Nigeria, recordman de victoires finales (11 titres), on assistera aux retrouvailles entre la Tunisie, quart de finaliste de la précédente édition, et l’Algérie, dont la double confrontation amicale début avril s’était soldée par une victoire 2-1 des Aigles de Carthage à l’aller et un résultat nul 2-2 au retour à Tunis. Quart de finaliste pour sa première participation lors de la précédente édition, le Botswana aspirera à jouer les trouble-fêtes.

 

Une poule relevée donc pour l’Algérie, de retour pour la première fois depuis 2018, jamais parvenue à franchir la phase de groupes et qui sera opposée à 3 équipes parvenues à sortir des groupes lors de la dernière édition.

 

Dans le groupe C, les tenantes du titre sud-africaines feront office d’immenses favorites face au Ghana contre lequel elles s’étaient inclinées dans la petite finale en 2016 (1-0) mais sur le déclin depuis, le Mali, quatrième lors de l’édition suivante mais absent depuis 2018, et enfin la Tanzanie.

 

 

À noter que le tournoi se disputera du 5 au 26 juillet 2025, à Rabat et Casablanca, au Maroc. C’est la deuxième fois consécutive que le royaume chérifien abritera la compétition.

 

Les groupes de la CAN féminine 2024

 

Groupe A :

 

Maroc

Zambie

Sénégal

RD Congo

Groupe B :

 

Nigeria

Tunisie

Algérie

Botswana

 

Groupe C :

 

Afrique du Sud

Ghana

Mali

Tanzanie

 

 

ST




RDC : La Ville de Kalemie va abriter la 11 ème session de la conférence des Gouverneurs des provinces

Après Mbandaka , c’est le tour de la ville de kalemie chef- lieu de la province du Tanganyika d’accueillir, la 11 ème session de la conférence des gouverneurs des provinces de la RDC, convoquée par le président de la République Félix Tshisekedi pour 3 jours, soit du mercredi 27 au vendredi 29 novembre 2024.

Cette conférence réunira des gouverneurs des provinces, des experts de la présidence de la république et des membres du gouvernement central qui sont aussi invités dans le cadre de réflexion sur les enjeux de la gouvernance provinciale.

Vu l’importance de ces enjeux, il a été instruit à chaque gouverneur de se faire accompagner par le président de l’Assemblée provinciale.

Cette conférence qui va plancher sur des sujets si importants de la vie nationale, mettra également l’accent sur l’importance de renforcer la gouvernance des provinces afin d’assurer la cohésion nationale, notamment l’évaluation d’autres grands projets en cours dans ces entités, entre autre sur le plan de développement Local Pdl -145.

Sachez qu’à la 9 ème session tenue du 22 au 23 décembre 2022 à Mbandaka, Chef-lieu de la province de l’Equateur, Kalemie, la capitale provinciale du Tanganyika, avait été déjà choisie pour abriter la 10 ème session de la conférence des gouverneurs des provinces. Malheureusement, faute de moyens logistiques, ces assises ont été tenues finalement à Kinshasa.

 

 

Osée Kalombo




Après les amendements apportés par l’Ecofin : La plénière vote à la majorité absolue le budget 2025

La chambre basse du parlement a lors de sa séance plénière du vendredi 22 Novembre voté le Projet de loi des Finances exercice 2025 moyennant les amendements de la commission économique, financière et contrôle budgétaire.

A trois semaines de la clôture de la session budgétaire de Septembre 2024, la plénière de l’Assemblée Nationale s’est acquittée de la tâche qui lui incombe, celle de doter la Nation d’un Budget pour l’exercice 2025 après l’examen minutieux du projet de loi de finances déposé par le Gouvernement.

La plénière a donc adopté le rapport de l’ECOFIN qui est parvenu à un accroissement de 51.133.000.000 milliards des francs congolais sur l’année 2025, soit une croissance de 24,1%, par rapport à la loi de Finances de 2024, et 13,7% comparativement à la loi de Finances rectificative de l’année.

Un accroissement qui porte la marge budgétaire à 2 457 mille milliards francs congolais soit, 1,15% de PIB national affecté entre autre : à l’éducation, à la santé, aux recherches scientifiques, à l’énergie, à agriculture et les infrastructures. Ceci en vue de permettre à chaque congolais de l’arrière Pays de ressentir cette amélioration dans leur quotidien.

Une prouesse qui a ravi le speaker de la chambre basse du parlement qui estime qu’avec un tel accroissement l’exécutif national a entre ses mains les moyens nécessaires pour rencontrer les attentes de la Population Congolaise.

Outre le travail abattu sur la recherche des recettes additionnelles, la commission économique, financière et contrôle budgétaire de l’Assemblée Nationale a produit plus d’une vingtaine de recommandations à l’endroit de l’exécutif.

Parmi elles, figures des recommandations spécifiques au Gouvernement en matière des recettes, dont notamment : réaliser le plancher des recettes publiques tel que prévue dans la loi de Finances ; renforcer la mobilisation des recettes de l’état par la mise en œuvre des réformes du système fiscal national ; Finaliser l’audit du secteur des télécommunications ; accélérer le processus de marquage moléculaire en vue d’accroître les recettes pétrolières ; confier à l’hôtel des monnaies, l’impression de tous les imprimés de valeurs et le rendre disponibles en temps voulu auprès des tous les ministères et services d’assiettes ; finaliser la mise en œuvre de réformes susceptibles de booster la mobilisation des recettes.

En terme de quoi les Elus Nationaux se sont livrés au débat général quant à ce rapport, demandant plus de budget à l’agriculture et évoquant diverses questions liées aux problèmes de la population.

Après débat enrichissant, examen du projet de loi de Finances exercice 2025 article par article, la Représentation Nationale a en respect des prescrits de la loi votée pour ce dit budget revu à la hausse.

Il y a lieu de noter que l’ECOFIN avait, sur instruction du Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe, associé les Syndicalistes venus de différents secteurs publics à ses travaux de l’examen approfondi du Projet de la loi de Finances 2025

Cette initiative entreprise pour la première à la Chambre Basse du parlement, avait pour objectif de mettre ces nombreux Syndicalistes au cœur des discussions sur l’affectation des fonds publics.

Signalons au cours de la même plénière, les Députés Nationaux ont également procédé à la prorogation de l’état de siège porté par le Ministre du tourisme avec 42 voix seulement contre. A ce sujet, le Président de l’Assemblée Nationale a informé à la Représentation Nationale, la mission ce jour de la première Ministre et son équipe, accompagnée des 12 Elus à Goma et Bunia en vue de recueillir les maximums des informations possibles pour l’évaluation prévue fin novembre.

8 projets de Loi de ratification portés par le Ministre des Finances, ont été envoyés à la commission mixte relations extérieures et Ecofin pour un examen approfondi endéans 5 jours.




Les élèves du Lycée technique Bolingani sensibilisés par l’IGF aux meilleures méthodes de gestion des fonds publics

Dans le cadre de l’année 2024, décrétée “Année de l’intégration de la jeunesse dans la lutte contre la corruption”, l’Inspection Générale des Finances (IGF) a ouvert ses portes aux élèves du Lycée Technique Bolingani. Cette initiative vise à sensibiliser les jeunes aux meilleures pratiques de gestion des fonds publics et à les impliquer activement dans la lutte contre les antivaleurs dans la gestion publique.

Lors de cette visite, les élèves ont eu l’opportunité de découvrir les différentes missions de l’IGF et d’apprendre les principes fondamentaux de la transparence et de la responsabilité financière. Les experts de l’IGF ont partagé leurs connaissances et leur expérience, mettant en lumière l’importance de la bonne gouvernance et de l’intégrité dans la gestion des ressources publiques.

« Il est essentiel d’éduquer les jeunes générations sur les enjeux de la gestion publique et de les encourager à adopter des comportements éthiques dès maintenant. Ils sont les futurs leaders de notre pays et leur engagement est crucial pour bâtir une société plus juste et transparente », a déclaré Jules Alingete, Inspecteur Général des Finances.

Cette initiative s’inscrit dans une série d’actions menées par l’IGF pour renforcer la culture de la transparence et de la responsabilité au sein de la société congolaise. En sensibilisant les jeunes, l’IGF espère créer un effet multiplicateur, où chaque élève devient un ambassadeur de la lutte contre la corruption dans sa communauté.

Par Didier Mbongomingi