En ouverture de la nouvelle campagne de Ligue des champions 2024-2025, le MC Alger est parvenu à neutraliser le TP Mazembe (0-0), ce mardi sur la pelouse Stade TP Mazembe, à Lubumbashi (RDC). Un bon résultat au vu du contenu de la rencontre, puisque les Algériens ont été pas mal dominés par les Corbeaux.

Devant son public, le TP Mazembe a dominé sans concrétiser. La faute en partie à d’importants déchets techniques, mais aussi parfois à des erreurs de jugement. En atteste ce défaut de célérité dans la prise de décision dont faisait preuve Gloire Mujaya juste avant la demi-heure de jeu.Sur un mauvais renvoi de la défense algérienne, l’ailier de 22 ans récupérait dans l’axe mais tergiversait pour servir Jean Louis Diouf pourtant démarqué (28e).

Appliqué à défendre ses derniers mètres, le MC Alger plaçait quelques rares banderilles, mais dangereuses, à l’instar d’un missile d’Andy Delort sur un coup franc lointain, à bout portant sur le gardien Alioune Badara Faty qui repoussait sur sa gauche.

L’arrêt salvateur de Ramdane

La partie s’écoulait sur un rythme intense dicté par le TPM, lequel montait le curseur en fin de match. Résultat, le camp algérien se retrouvait encore plus assiégé. Il fallait à la 78e minute de jeu un arrêt réflexe d’Abdelatif Ramdane pour sauver le Mouloudia. Le portier de 23 ans faisait en effet barrage à une reprise congolaise dans la surface, près de son poteau droit, permettant donc aux siens de préserver leurs buts, et de repartir avec le point du nul.

Conséquence au classement, le MC Alger occupe la seconde position du groupe A devant le TP Mazembe et les Young Africans, bloqués à zéro point après leur défaite à domicile face à Al Hilal Club de Florent Ibenge, victorieux dans le même temps sur le score de 0-2. Lors de la deuxième journée de groupes, le MCA recevra les YA, tandis que le TPM se déplacera chez les Soudanais d’Al Hilal Club.

ST

Le TP Mazembe et le MC Alger s’affrontent ce mardi dans un choc comptant pour la 1ère journée du groupe A de la Ligue des champions africaine. Voici l’heure du coup d’envoi et les chaînes pour regarder ce match.

TP Mazembe-MC Alger : où regarder le match en direct ?

Le choc entre le TP Mazembe et le MC Alger aura lieu mardi 26 novembre au Stade TP Mazembe à Lubumbashi, en RD Congo. Le match débutera à 15h heure locale (GMT+2). Il sera 14h en Rdc comme en Algérie. Ce match sera à suivre en direct sur les chaînes beIN Sport Mena, Canal+ Sport Afrique et possiblement la RTNC. En France, beIN Sports Max 4 diffusera cette affiche.

L’analyse du match TP Mazembe-MC Alger

De retour sur la scène africaine cette saison en tant que champion d’Algérie, le MC Alger a éliminé les Libériens de Watanga (2-0, 2-0) puis renversé les Tunisiens de l’US Monastir (0-1, 2-0) pour se qualifier en phase de groupes. Entraîné par le Français Patrice Beaumelle, le MCA peut s’appuyer sur des joueurs de talent comme le milieu ivoirien Mohamed Zougrana et le Fennec Andy Delort, qui va fêter son baptême du feu en LdC africaine au Kamalondo.

En face, le TP Mazembe a signé son retour au premier plan la saison passée en atteignant les demi-finales. Alors que la section féminine du TPM a remporté samedi la Ligue des champions féminine africaine, la bande à Lamine Ndiaye va devoir élever le curseur pour en faire autant. Lors du 2e tour préliminaire, les Corbeaux de Lubumbashi, qui s’appuient notamment sur le néo-international congolais Oscar Kabwit, ont éliminé les Zambiens de Red Arrows (2-0, 2-1). A noter que Young Africans et Al-Hilal s’affronteront dans l’autre match du groupe.

ST

La compagne ” 16 jours d’activisme de lutte contre les violences faites aux femmes et filles” a été lancé ce lundi 25 novembre 2024 dans le monde.

Cette campagne débute du 25 novembre au 10 décembre prochain, dans laquelle tous les acteurs et gouvernements se mobilisent ensemble pour mener des activités de sensibilisation pour atténuer les violences faites aux femmes dans la communauté.

A Beni, une conférence a été animée dans la salle Laoudatus des soeurs orantes Beni- cité par le bureau du genre, famille et enfants, à l’intention des certaines femmes membres des organisations qui defendent les droits des femmes.

Ruth Sabuni, cheffe du bureau gendre à Beni souligne que l’objectif principal de cette campagne est de faire voir à la communauté, des impacts négatifs de ces violences qui brisent l’autonomisation et le développement de la personnalité feminine.

Soulignons que plusieurs activités seront menées durant cette période, pour interpeller la conscience de tout et un chacun afin de contribuer à l’élimination des abus commis contre les femmes.

Cette journée a été commémorée sous le thème local, “Brisons le silence face aux violences, unissons-nous pour renforcer l’autonomisation de la femme comme moyen de résilience”.

Alain Wayire depuis Beni

Prince Kamanga, haut cadre du parti politique MLC de Jean Pierre Bemba vient de faire un choix qui a surpris plusieurs personnes en adhérant officiellement dans le DTC de Théo Kazadi le dimanche dernier. Il motive son départ du MLC par la Vision qu’incarne le parti de Théo Kazadi Mwayila basée sur l’amour et la proximité.

“Je suis attiré par la Vision de la DTC à travers son autorité morale l’Honorable Théo Kazadi qui veut transformer la province du Kasaï et j’aimerais faire partie des transformateurs”, a t-il dit.

Prince Emil Longi président Fédéral de DTC à Tshikapa s’est réjouit de cet engouement et invite ceux qui traînent à rejoindre la Dynamique pour la Transformation du Congo.

” Je suis tellement ravis et satisfait de l’engouement qui ne cesse de s’observer dans notre parti, celà prouve que la vision de la DTC séduit toujours. C’est ici l’occasion de lancer un appel à ceux qui traînent de nous rejoindre au bon côté de l’histoire, car nos portes sont ouvertes à tout le monde. Nous rappelons à la population que la DTC est un parti de masse, c’est -à- dire nous comptons sur les efforts de tout le monde sans distinction de race et de langue,” a déclaré Maître Prince Emil Longi président Fédéral de la DTC à Tshikapa.

Parmi les adhésions de ce dimanche, on signale aussi la présence de Jean Paul Kambongo Mutombo, haut cadre de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS-Tshisekedi et ancien candidat malheureux à la députation provinciale sur la liste du parti au pouvoir. Il choisi la DTC. Il motive également son adhésion par la Vision de la politique de proximité de l’honorable.

Signalons que la DTC section de Mabondo a enregistré pour ce dimanche, plusieurs adhésions des différents hauts cadres venus de plusieurs formations politiques.

Pour seulement ce dimanche la DTC, Il ya eu 24 adhérents parmi eux, 4 femmes dans la ville de Tshikapa et plus de 100 à Nsumbula dans le territoire de Tshikapa.

Jean-Luc Bakampenda

Le Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC existant le plus longtemps au Pouvoir socialiste dans le monde, NDLR) et Président d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

• militaire consacrée à défendre, avec sûreté, non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts, son honneur mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
• politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et du traitement médical, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR),

vient de se rendre au chantier de construction de l’entreprise d’aquiculture côtière dans le Secteur Phung-odong de la Ville Sinpho, Province Sud-Hamgkyong, pour se renseigner sur la marche de la construction, l’aménagement des parcs aquicoles et les préparatifs de gestion de ceux-ci, accompagné:

• des cadres principaux du Comité Central (CC) du PTC
• le personnel dirigeant des unités de conception et de construction
• des responsables de la Ville, y compris JANG Kyong Guk, Secrétaire-en-chef du comité urbain du PTC.

KIM JONG UN avait déjà (15/07/2024) présidé la réunion consultative concernant le développement de l’économie des provinces pour présenter une orientation révolutionnaire consistant à:

• porter, à un niveau de développement remarquable, la vie matérielle et culturelle de la population des provinces grâce à l’élaboration judicieuse des plans destinés à exploiter et utiliser, comme il faut, les ressources économiques de chaque région et l’ensemble de ses potentialités conformément à la situation locale
• prendre les mesures pratiques à même de relancer, décisivement, l’économie des provinces avec une forte assistance de la Capitale Pyongyang (berceau de la Civilisation Taedong-gang de 357 ans, NDLR).

Et, pour confirmer la possibilité de sa réalisation, il avait défini une tâche de créer, à titre d’exemple, un nouveau centre modèle d’aquiculture côtière. A la lumière de ses Directives, l’aménagement dudit centre a été promu, depuis quelques mois, comme un projet important de la politique en matière de la construction des provinces:

• Pendant cette période, les militaires-bâtisseurs, les cadres, les techniciens et les employés de l’entreprise, farouchement déterminés à réaliser, parfaitement, la politique du PTC en matière de développement de l’économie des provinces, ont impulsé simultanément les travaux de construction de l’entreprise, l’aménagement des parcs aquicoles, les préparatifs de gestion de ceux-ci.
• A présent, les travaux de construction avancent dans le cadre de plus de 70% de leur ensemble, et 100 hectares de parcs aquicoles ont été aménagés: de même, on procède à l’aquiculture expérimentale de coquilles Saint-Jacques et de laminaires.
• Se fixant pour objectif de porter, au maximum, le niveau du perfectionnement scientifique de l’aquiculture côtière moderne, l’entreprise a introduit, efficacement, de nouvelles techniques et méthodes d’aquiculture pour assurer, à 80%, le taux de survie des coquilles Saint-Jacques de bonne espèce dont la durée d’élevage est courte et créer une garantie sci-tech dans la croissance de la production: les résultats notables ont marqué, aussi, l’application des techniques avancées au niveau de la culture de laminaires.
• Grâce à la sollicitude du CC du PTC, l’entreprise se dote, à merveille, des moyens de production essentiels, installations et matériels, entre autres engins de pêche de toutes sortes, bateaux plastiques et bateaux-mères d’aquiculture: se font, à leur dernière étape, la fabrication et le stock d’équipements en entier à installer dans l’usine de transformation.

KIM JONG UN a:

• affirmé: Le travail visant à s’assurer de la force motrice du développement de l’économie des provinces à la faveur des ressources variées et des circonstances géographiques naturelles des régions, outre les projets de construction importants de chaque région, ceux définis par la Politique 20×10 de Développement des Provinces (engagée le 15/01/2024 et consistant à construire, chaque année, les usines d’industrie locale modernes dans les 20 arrondissements du Pays pour porter à un palier supérieur, en 10 ans, la vie matérielle et culturelle élémentaire de la population des villes et arrondissements, cela en priorisant les habitations évidemment, NDLR), occupe, aussi, une place non moins négligeable dans la politique du PTC en matière de développement de l’économie des provinces. Et, j’insiste, une fois de plus, sur la nécessité de permettre à toutes les régions de se procurer des fonds destinés à leur développement indépendant grâce à une exploitation et à une utilisation efficaces de leurs ressources naturelles et économiques.
• ajouté: Pour y parvenir, il est important, avant tout, d’élaborer une orientation correcte de développement et un projet à long terme pour faire en sorte que toutes les villes et tous les arrondissements profitent, judicieusement, de leurs conditions et circonstances pour le développement de leur économie.
• poursuivi: A travers le tracé du plan des projets de construction, le secteur de la conception d’établissements industriels aussi saisit de nouveaux concepts du plan basé sur une application active de diverses méthodes d’utilisation d’espace axées sur les propriétés fonctionnelles et les commodités de l’administration, se débarrassant de son mode précédent de faire, uniformément, le tracé d’une surface plate, affaire non scientifique et exempte de praticabilité, et tend à les appliquer dans la réalité: on l’appréciera comme un changement positif, chose triomphant de la stagnation au niveau de la conception d’établissements industriels. Or, dans l’ensemble de notre BTP (bâtiment et travaux publics), toutes les opérations depuis l’élaboration du guide technique jusqu’à la conception, à l’examen, à l’accord et à l’établissement du budget des plans ne s’effectuent pas, rigoureusement, suivant les procédures scientifiques et légales conformes à la Loi sur le BTP. Ces dernières années, le plan architectural a présenté de nombreux défauts marqués par l’intérêt superficiel, l’indiscipline et l’absence de profit économique réel, entre autres exagérer l’importance de l’effet visuel plutôt que celle de l’usage, de la capacité et du côté fonctionnel d’un établissement concerné et déterminer son envergure sans calcul (Il a cité les exemples typiques.).
• mentionné: L’ensemble des plans devront être basés sur un système de travail plus perfectionné selon le principe de tenir compte bien d’une efficacité et d’un profit économiques et de refléter les propositions maximales et optimales et d’améliorer les fonctions de la construction d’après leurs usages, d’où la nécessité de consolider le système d’inspection, d’examen et d’approbation en la matière.
• souligné: Il revient, aux organismes concernés du niveau central, d’établir un système cohérent de vulgarisation de récentes données sci-tech relatives à l’aquiculture côtière avancée et d’impulser, avec force, le travail consistant à élever le niveau technique et professionnel de leur personnel (S’informant de la marche des travaux de construction, il en est venu à la conclusion que pour achever, impeccablement avant la tenue en ce décembre de la session plénière du CC du PTC, cette entreprise promue comme projet politique important de l’année en cours, il faudrait renforcer l’effectif d’ouvriers qualifiés, avant de prendre des mesures en la matière.).
• continué: Il faut bien construire et gérer l’entreprise d’aquiculture côtière de la Ville Sinpho pour en faire une unité d’aquiculture côtière modèle et la généraliser à travers le Pays. L’Etat doit fournir, sous sa responsabilité entière, des conditions nécessaires à la relance de l’aquiculture aux villes et arrondissements côtiers. Pour réaliser la politique de notre PTC en matière de développement des provinces, il faut faire un calcul scientifique basé sur une enquête générale de toutes les ressources du Pays et créer, au maximum, les possibilités de développement des régions.

En effet, la visite de KIM JONG UN constitue une occasion importante d’avoir créé une garantie sûre, une occasion permettant, à toutes les régions du Pays, de:

• définir une stratégie de développement judicieuse et des objectifs à long terme consistant à rehausser, considérablement, la scientificité et l’efficacité de leur propre développement dans l’accomplissement de l’œuvre historique de prospérité des provinces qui gagne en ampleur
• promouvoir, vigoureusement, leur réalisation selon les principes d’innovation et de création.

Consacrée à l’examen et adoption du rapport de la commission ECOFIN sur la loi des finances, la plénière du vendredi a permis au député national Olivier Tombe Tombe d’étaler plusieurs problèmes de sa circonscription électorale de Luebo.

Dans une intervention du haut de la tribune de la chambre basse du parlement, l’élu du territoire de Luebo a présenté un tableau complètement sombre de la situation des agents de l’état y compris celle des policiers du coin. Selon cet élu, la province du Kasaï est complètement oubliée dans plusieurs programmes. Les planifications faites souvent par la fonction publique pour la paie des fonctionnaires de l’état ont toujours un sérieux problème au Kasaï”, regrette le député Olivier Tombe.

Et d’ajouter :

“Les planifications en terme d’alignement au niveau de la fonction publique ont de problème chaque fois pour ma province. Le cas de mon territoire de Luebo, pour tous ceux qui ont obtenu les matricules en 2018, seuls moins de 10% sont mécanisés tandis que plus de 500% sont mis à côté. Plus loin, les listings récemment publiés, presque la moitié des fonctionnaires ont été supprimés comme l’agriculture et la santé qui ont perdu presque 40% de ses agents, et on se demande par quel mécanisme ces paisibles fonctionnaires se retrouvent élagués dans les listings de paie ; il y a péril en la demeure » , a-t-il expliqué.

Avant d’ajouter

“Plus de 400 policiers sont impayés, il y a de cela 5 mois. Or les policiers ont le rôle de sécuriser les personnes et leurs biens, mais déjà quand ils font 30 jours sans être payé c’est trop, mais maintenant c’est 5 mois.

Que le gouvernement tienne compte de cet aménagement pour que la grogne qui est aujourd’hui entendue au niveau de mon territoire de Luebo soit entendue tout simplement et réparée pour que les paisibles citoyens soient rétablis dans leur droit”, a conclu le député national de Luebo.

Au perchoir de l’assemblée nationale, Olivier Tombe Tombe a fait savoir aux membres du gouvernement que la situation sociopolitique dans ce territoire est tellement critique, les routes n’existent presque pas, les agents de l’état mal rémunérés et grave même les agents de sécurité sont loin d’être bien servi.

Ilya quelques jours, le député Olivier Tombe avait saisi le VPm de l’intérieur pour le problème de la situation sécuritaire dans ce territoire. Le même processus est aussi entamé par le député Tombe auprès des ministres et décideurs du pays pour les solutions aux problèmes de tissus environnemental.

Jean-Luc Bakampenda Kabongo

Ce mardi 26 novembre, KIM Yo Jong, Directrice adjointe de département du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC existant le plus longtemps au Pouvoir socialiste dans le monde, NDLR) a publié son communiqué de presse suivant:

Divers types de tracts de démagogie politique et d’objets sales envoyés par les racailles de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée – créée, unilatéralement, un mois avant la RPDC dans le cadre du rejet de la Résolution ou Entente 19/04/1948 intercoréenne – qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en seule apparence par les USA ayant divisé la Péninsule coréenne en 1945 pour mieux régner; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner plusieurs fois la RPDC comme Etat hostile ou antagoniste radical: d’où la condamnation des millions de leurs manifestants locaux, NDLR) ont été largués, même ce mardi 26 novembre, dans différentes zones près de la Frontière Sud de la RPDC (ou République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

• militaire consacrée à défendre, avec sûreté, non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts, son honneur mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
• politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et du traitement médical, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR).

Les services de la sécurité publique et de la sûreté nationale dans lesdites zones sont en train de mener leurs travaux de recherche, de collecte et d’élimination après avoir bloqué les districts concernés.

Nous dénonçons, fermement, les actes méprisables des racailles de la ROK qui ont commis la provocation de polluer le Territoire sacré ou inviolable de notre RPDC en dispersant, à nouveau (la dernière fois étant le 16/11/2024, donc juste avant 10 jours, NDLR), les matériels de propagande et de conspiration anti-RPDC.

Autrement, c’est du “ôte-toi que je m’y mette”, donc de l’aventure… “C’est très vrai que le pays n’a pas de routes, d’eau, d’électricité et d’autres infrastructures de base. Et c’est aussi vrai que le taux de chômage élevé fait que la plupart de jeunes et de gens de toutes les couches de la population n’ont pas de travail et croupissent dans la misère et la pauvreté.

Cette situation est le résultat de la mauvaise gouvernance du pays depuis l’indépendance en 1960. Tous les régimes politiques qui se sont succédé n’ont pas réussi à mettre en œuvre une vision claire de développement et les politiques économiques et sociales pour mettre le pays sur la voie du développement économique et social durable.

Ce n’est pas juste de blâmer le seul régime politique au pouvoir actuellement pour cette situation qui trouve son essence dans la gouvernance, les institutions, le leadership et les lois du pays de 1960 à ce jour_.

Le sous bassement de tout ceci est la constitution du pays qui définit le cadre de travail, les règles du jeu, le mode de désignation des acteurs, les critères de sélection des animateurs, les méthodes d’allocation et d’utilisation des ressources publiques, et les institutions qui doivent gérer le pays au profit de tous. Si le cadre est mauvais, rien de bon ne peut sortir de là.

Ainsi s’exprime le concepteur de “de père et de mère”

C’est en ces termes qu’au travers de son compte X, Pr Noël Tshiani répond à la communication du cardinal Fridolin Ambongo le dimanche 24 novembre 2024 à l’occasion de la fête de Christ-Roi de l’univers avec les jeunes catholiques.

Il poursuit : “La constitution actuelle a beaucoup d’impuretés qui empêchent la meilleure utilisation des ressources publiques et le bon fonctionnement du pays. Je suis prêt à montrer aux compatriotes les impuretés qui méritent d’être corrigées pour parfaire la constitution de la République étant donné que toute constitution de n’importe quel pays est perfectible. Bien entendu que je suis contre les vols et détournements des fonds publics et estime que les auteurs de ces actes empêchent notre pays de décoller économiquement et socialement. Un véritable état de droit mettrait ces inciviques hors d’état de nuire définitivement. Les corrections de toutes ces impuretés ne peuvent être réalisées qu’à travers une révision constitutionnelle bien réfléchie et à laquelle tous les congolais de bonne volonté participent sans agenda caché et sans conflit d’intérêts. Ma proposition de révision constitutionnelle s’inscrit dans ce cadre. Sans passion. Sans agenda caché. Sans conflit d’intérêts. Et tout pour le pays et nos populations”.

Ainsi s’exprime le concepteur de “De père et de mère”

Doit-on en imputer la responsabilité à la constitution ?

C’est alors parti : Dr Noël Tshiani s’offre à Félix Tshisekedi pour la Commission ad hoc annoncée le 23 octobre dernier à partir de Kisangani pour l’année prochaine en vue de plancher sur la re-visitation de la Constitution.

A l’entendre, de 1960 à ce jour, le pays ne s’est jamais doté d’une Constitution qui favorise le développement. Comme pour dire que toutes les Constitutions adoptées jusque-là par référendum ou sans référendum ont pour défaut de fabrication l’anti-développement !

Il se présente en homme-solution.

C’est de bonne guerre.

Ce qu’il ne dit pas cependant, c’est que le Congo a fait l’expérience des constitutions pour démocratie de type pluraliste et pour démocratie de type populaire.

Le pays a connu toutefois sa période de gloire sous le Mpr Parti-Etat, à l’époque de la Guerre froide. Époque où les Occidentaux (Américains et Européens) veillaient sur Mobutu comme jamais ils ne l’ont avec Kasa-Vubu et les Kabila, encore moins sur Félix Tshisekedi.

Que nous démontre l’histoire des régimes à parti unique ?

En Afrique, le dictateur Kadhafi avait construit la Libye. En Asie, le dictateur Saddam Hussein avait construit l’Irak. S’ils n’avaient pas été détruits, ces deux pays seraient des géants économiques dans leurs continents respectifs.

Aujourd’hui, sous des régimes à parti unique, des pays comme la Chine, l’Arabie saoudite, Qatar, les Emirats Arabes Unis font de pas de géant dans le développement que nous les envions tous.

Pour les pays pratiquant la démocratie classique, il y a en Afrique des pays comme l’Afrique du Sud, la Namibie, le Botswana, Maurice, Seychelles qui n’ont rien à envier aux pays occidentaux en termes de justice distributive. En Asie, il y a l’Inde, la Malaisie, Singapour etc.

Qu’est ce qui fait alors que ces pays aient réussi à avancer les uns avec des régimes démocratiques à l’occidentale, les autres avec des régimes monolithiques “à la soviétique” ? Et pourquoi le Congo-Zaire n’ait su le faire ni avec l’un, ni avec l’autre ? Et pourquoi en imputer la responsabilité à la Constitution ?

Rendez-vous de l’UDPS opposition avec l’UDPS pouvoir

La réponse se devine : c’est la faute aux hommes.

Déjà, à l’époque des vaches grasses (sous le régime Mpr Parti-Etat), le Zaïre avait des moyens de se doter des Routes Nationales pour l’interconnexion des provinces, voire de se construire des chemins de fer. Cela n’a pas été fait.

Conséquence : les provinces de l’Est (Orientale avec l’Ituri), Grand Kivu et Grand Katanga) ont été aux plans sécuritaire, économique et social livrés) ont été livrées poings et pieds liés aux pays voisins (Soudan, Ouganda, Rwanda, Burundi, Tanzanie et Zambie.

Pire, la transition conflictuelle Mobutu/Tshisekedi (père) entre 1990 et 1997 a ruiné le peu d’infrastructures qui restaient debout, cela à la suite des initiatives politiques maladroites comme la suspension de la coopération structurelle, la dollarisation de l’économie, les manipulations criminelles de la monnaie (thésaurisation, recours à la planche à billets, contrefaçon puis boycott des signes monétaires, et), les grèves sauvages dont les fameuses journées ” ville morte”.

Aujourd’hui, le pays peine à s’en remettre.

Économiste de formation et de profession, Dr Noël Tshiani a peut-être procédé à l’évaluation chiffrée des pertes financières subies par le pays notamment du 24 novembre 1990 au 24 avril 2023. S’il ne l’a jamais fait, c’est l’occasion de lui confier cette responsabilité.

Ce qui est vrai, c’est que ne sachant à quel saint se vouer, la population va transférer fin 1996-début 1997 vers un certain Laurent-Désiré Kabila (Afdl) la confiance autrefois placée en Étienne Tshisekedi (Udps). Et ce dernier va poursuivie sa lutte contre les “dictatures” de L-D Kabila et Joseph Kabila, si bien que ce qui est arrivé le 24 janvier 2019 – date d’investiture de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République – a quelque part tout d’un rendez-vous de l’Udps Opposition avec l’Udps Pouvoir.

Quelqu’un dirait : l’Udps Pouvoir est venu récolter la semence de l’Udps Opposition.

Après le premier quinquennat de connaissance du terrain, le parti devenu présidentiel apprend à ses dépens combien la critique est facile, l’art est difficile.

Malheureusement, au lieu d’affronter la réalité, il se livre à un exercice qui lui réussissait par le passé : la victimisation.

Or, quand on est Pouvoir, on ne se plaint pas, on ne verse pas dans le complotisme.

Il se constate seulement qu’après des personnes physiques et morales congolaises et des communautés ainsi que des pays étrangers (Eac, Rwanda, Kenya etc.?, l’Udps s’est choisi un coupable : la Constitution.

On ne change pas de constitution sans l’opposition

Dr Noël Tshiani sait cependant qu’il n’ira pas loin avec son offre de service tant que Félix Tshisekedi reste de marbre. Car, dans sa réponse au cardinal Fridolin Ambongo, il ose l’impensable aux yeux du chef de l’État en déclarant : “Ce n’est qu’à travaillant ensemble que nous pourrons créer un cadre de paix et de stabilité politique qui permettrait aux gouvernants de construire les infrastructures de base et de créer du travail pour la jeunesse et toute la population. Toute position contraire est contre-productive et affecte négativement les faibles, les vulnérables et les pauvres que nous voulons tous aider”.

En effet, Félix Tshisekedi n’est pas dans le schéma d’un travail d’ensemble, expression voulant simplement dire : dialogue !

Il l’a signifié à plusieurs reprises. Peut-être qu’en se déduisant à Kipushi, a-t-il résolu de renouer avec la tradition congolaise instaurée depuis la Conférence constitutionnelle de Luluabourg en 1964 : mettre autour d’une table toutes les forces politiques et sociales ayant pignon sur rue.

C’était un dialogue !

Moralité : on ne change pas de Constitution sans l’Opposition et espérer avoir gagné…

Omer Nsongo die Lema

Placé sous le patronage du président congolais, le 5ème congrès Africain des Neurochirurgiens se tient en Rdc sous le thème : « Nouvelle conception de la Neurochirurgie dans le monde ». Un cadre d’échange qui permettra aux jeunes chirurgiens bénéficiaires de la bourse dénommée Jeff Ntalaja d’avoir une opportunité de s’entretenir avec leurs aînés et Neurochirurgiens ayant moins de dix ans pour parfaire leurs connaissances.

Les organisateurs de cette rencontre indiquent que près de 50O médecins dont les jeunes chirurgiens vont réfléchir avec pour objectif d’informer le public sur la mission complète des Neurochirurgiens, sur l’existence de l’équipe des Neurochirurgiens en Rdc et sur la promotion de la Neurochirurgie.

Il est prévu dans le programme des ateliers work shop, congrès et autres activités.

Dans la capitale congolaise, 50 pays, dont les Etats-Unis d’Amérique, l’Europe, l’Inde et l’Afrique ont délégué leurs représentants à ces assises qui ont démarré par des ateliers. Les jeunes chirurgiens bénéficiaires de la bourse Jeff Ntalaja et ceux qui ont fini il y a moins de 10 ans vont partager leurs expériences. La cible de ces assises de haut niveau-là est la population congolaise, l’Afrique et le monde entier. C’est à Ngaliema que les ateliers ont démarré et les participants à 90% des jeunes chirurgiens sont formés en théorie et en pratique sur les nouvelles techniques de la Neurochirurgie.

En atelier, certains intervenants dont l’hôte du jour, le professeur docteur Aipcher, Neurochirurgien a démontré aux jeunes le fait de traiter l’Afrique avec les stéréotypes et considérer ces pays comme ceux du tiers-monde est révolu. Pour lui je cite : « l’Afrique est évoluée en matière de neurochirurgie. Ça fait 12 ans que je viens en Afrique et mon soucis est d’échanger de technologie pour promouvoir ce qu’on appelle ‘ ultra micro chirurgie ».

Le tiers-monde est dans la tête des Africains et il faut faire à ce que dans les trois jours de la semaine qui vont démarrer, d’apprendre aux jeunes neurochirurgiens les techniques qui peuvent leur permettre d’exercer.

A son tour, le Neurochirurgien docteur Kabulu, chef de service de l’hôpital Jason Sendwe à Lubumbashi dans le Katanga, a révélé les autres thématiques qui seront au cœur des ateliers où les jeunes neurochirurgiens devront interagir avec leurs aînés. Il a indiqué en détail ce qui suit : ” il y a plus de 50 pays, et les jeunes neurochirurgiens bénéficiaires de la bourse dénommé ”Jeff Ntalaja vont être encouragés à la recherche. Aujourd’hui, la Neurochirurgie a vraiment évolué et il y a des gens qui l’ont révolutionné. Parmi eux, le docteur Jeff Ntalaja, président national de la Fédération de neurochirurgie qui depuis son arrivée à la tête de la structure des Neurochirurgiens en RDC ne cesse de faire rayonner ce domaine. Docteur Kabulo a indiqué que l’image de la Neurochirurgie au Congo est bien vendue et reconnue partout ”

Dans le programme de ce rendez-vous scientifique, des organisations des chirurgies, workshop, congrès proprement dit et divers avec des randonnées pour démontré positivement à quoi ressemble le pays sur le plan touristique avec ses richesses naturelles dont la faune et la flore. Les chirurgies se déroulent concomitamment au camp Tshatshi et à la clinique Ngaliema. 10 Neurochirurgiens prendront en charge les différents cas. La Rdc va bénéficier d’un don de matériels de neurochirurgie étant donné que l’école de formation en Neurochirurgie aura son accréditation en cette période où les travaux se déroulent au pays. La ville de Kinshasa est devenue en ce moment la capitale de la Neurochirurgie en abritant ces assises de haut niveau qui connaîtront lors du congrès proprement dit la présence des personnalités de haute facture.

Souzy Kibira et Patricia Basua