Face aux inondations à Tanganyika: Félix Tshisekedi instruit le Gouvernement à l’urgence

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a présidé, dans la ville de Kalemie, en province de Tanganyika, la vingt-quatrième réunion ordinaire du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, vendredi 29 novembre 2024.

Préoccupé par les inondations qui affectent sérieusement le quotidien paisible de toute la population du Tanganyika, le Président de la République, à la suite de son itinérance et de ses échanges avec différents acteurs de tous ordres, a engagé le Gouvernement à s’impliquer et à s’y pencher avec des solutions urgentes et à moyen terme, afin que cette province qui a un fort potentiel, soit relancée dans sa trajectoire de croissance et de développement.

Sous la supervision de la Première Ministre, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Transports et Voies de Communication, le Ministre d’Etat, Ministre des Infrastructures et Travaux Publics, la Ministre d’Etat, Ministre de l’Education Nationale et Nouvelle Citoyenneté, le Ministre d’Etat, Ministre du Budget, le Ministre des Finances, le Ministres des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale ainsi que le Gouverneur de province du Tanganyika ont été chargés de procéder à un état des lieux exhaustif urgent de toute la situation afin que soit élaborée une feuille de route des actions et mesures de soutien de du Gouvernement pour le relèvement socio-économique de cette province.

Le Président de la République a insisté pour que les activités scolaires soient redynamisées, qu’il y ait des études de faisabilité pour remettre les ports en activité, et surtout qu’intervienne la réhabilitation et/ou la construction des différentes infrastructures routières, ferroviaires et même lacustres. Il attend un rapport y relatif dans les 30 jours.

 

Insécurité dans le Tanganyika

Face à l’activisme des groupes armés résiduels des mouvements d’autodéfense et de protection de communautés dans la province du Tanganyika qui s’illustrent par des activités criminelles de survie, le Président de la République tient à tout mettre en œuvre pour sécuriser nos populations qui vivent dans cette partie du pays ainsi que leurs biens.

Pour juguler cette situation d’insécurité qui s’apparente, en partie, à celle qu’il a trouvée dans la province du Haut-Katanga, le Président de la République a chargé le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, le Vice- Premier Ministre, Ministre de la Défense Nationale et Anciens Combattants, le Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, le Ministre de la pêche et élevage, le Ministre des finances, le Gouverneur de la province du Tanganyika, l’Administrateur Général de l’Agence Nationale de Renseignements, le Sous-Chef d’Etat Major des renseignements militaires ainsi que le Commissaire général de la Police Nationale Congolaise, le général Claude Wasongolwa, à concevoir et à déployer une stratégie déclinant des actions sécuritaires et répressives à mener pour traquer tous les groupes armés localisés dans cette province et imposer l’autorité de l’Etat dans la ville de Kalemie.

Le Ministre de l’Emploi et Travail ainsi que celui de la Formation Professionnelle sont instruits à envisager, le plus rapidement possible, la création des centres de formation professionnels pour l’encadrement des jeunes désœuvrés dans le cadre de la lutte contre le banditisme urbain dans cette ville.

Aussi, des dispositions idoines devront être prises pour la mise en œuvre du programme P-DDRCS dans la province afin de récupérer tous les membres des groupes armés qui se rendent et qui sont favorables à cet important programme de réinsertion. Un rapport régulier sur l’évolution de la situation est attendu tous les 14 jours.




Commission paritaire de l’Administration Publique: Signature d’un protocole d’accord Gouvernement-Intersyndicale nationale

Le Vice-Premier Ministre, Ministre .de la Fonction Publique, Modernisation de l’Administration et Innovation du Service Public, a présenté au Conseil des ministres du vendredi 29 novembre, le rapport sur les conclusions des travaux de la Commission paritaire Gouvernement-Intersyndicale Nationale de l’Administration Publique (INAP) relatifs aux revendications sociales des Agents et Fonctionnaires de l’Etat du régime général.

Ainsi, au terme des travaux tenus du 11 au 16 novembre 2024, les parties ont procédé à la signature d’un protocole d’accord, qui consacre leurs engagements réciproques.

Pour le Gouvernement de la République, il y avait comme préalables : accélérer les travaux relatifs à la mise en place d’une politique salariale ; faire récupérer le pouvoir d’achat aux fonctionnaires de sorte à atteindre l’équivalent en francs congolais de 130 dollars américains de salaire de base payables au taux budgétaire à partir du deuxième trimestre 2025, verser un montant forfaitaire de 50.000 CDF en paie complémentaire au quatrième trimestre 2024 à tous les Agents du régime général.

Par ailleurs, conformément aux orientations du Chef de l’Etat, il fallait aussi accorder un réajustement proportionnel aux personnels militaires et policiers, permettant ainsi leur prise en charge au niveau de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale ; poursuivre le processus de l’inclusion salariale par la mécanisation de plus de 100.000 Agents non-payés au cours de l’année 2025 ; poursuivre le processus de la mise à la retraite des Agents de carrière des services publics de l’Etat ; prélever, à partir du deuxième trimestre 2025, le check off (contribution syndicale) de 3.000 FC sur le paiement de chaque Agent affilié et le verser à l’INAP ; assurer le paiement d’un forfait pouvant couvrir les arriérés des subsides à l’INAP ; mettre en place un Comité de suivi des accords issus du dialogue social ; Organiser les élections syndicales en 2025, en commençant par les divisions provinciales.

 

Masse salariale

Pour le banc syndical, l’INAP devrait accompagner le Gouvernement dans les efforts de mobilisation des recettes en multipliant vigilance et en dénonçant tous les cas de fraude, de corruption, de détournement des deniers publics et pratiques de défiscalisation ; dénoncer tous les cas d’Agents fictifs, de décès de longue date, le recrutement des « Nouvelles Unités » ainsi que toutes les autres formes d’anomalies qui plombent le fichier des effectifs et la masse salariale de l’Administration publique ; sensibiliser les Agents sur le processus de la mise à la retraite et accompagner les Administrations dans l’identification des Agents éligibles à la retraite.

Un point particulier a été mis sur la nécessité absolue d’intensifier l’assainissement des fichiers des agents et fonctionnaires de l’Etat, aussi bien ceux relevant du régime général que ceux des régimes particuliers.

Aussi, a conclu le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique, Modernisation de l’Administration et Innovation du Service Public, « toutes les actions d’amélioration doivent-elles tenir compte de l’équilibre budgétaire et du plafonnement de l’enveloppe salariale, selon les limites dictées par les normes standards ».




Lutte contre la corruption : Organisation d’une conférence commémorative par l’IGF

Sous les auspices du Président de la République, Chef de l’État, et en concert avec le Forum des Inspections Générales d’État et Institutions de Contrôle Assimilées d’Afrique (FIGE), l’Inspection Générale des Finances (IGF) organise une conférence commémorative à l’occasion de la Journée Internationale de Lutte Contre la Corruption.

Cette conférence se tiendra le 9 décembre 2024 à l’hôtel Pullman de Kinshasa, sous le thème : « Mobiliser la jeunesse africaine dans la lutte contre la corruption pour des lendemains meilleurs ».

Actions concrètes

L’événement rassemblera des représentants des institutions publiques, des organisations de la société civile, des experts en gouvernance et des jeunes leaders africains. Ensemble, ils discuteront des stratégies et des actions concrètes pour impliquer la jeunesse dans la lutte contre la corruption, un fléau qui entrave le développement durable et la stabilité économique du continent.

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, prononcera un discours d’ouverture pour souligner l’importance de l’engagement des jeunes dans cette lutte. Les participants bénéficieront également des interventions de divers experts et responsables de l’IGF, qui partageront leurs expériences et proposeront des solutions innovantes pour éradiquer la corruption.

Cette initiative s’inscrit dans la vision du gouvernement congolais de promouvoir la transparence, la bonne gouvernance et la responsabilité à tous les niveaux de la société. En mobilisant les jeunes, l’IGF espère créer une dynamique nouvelle pour un avenir meilleur, où l’intégrité et l’honnêteté prévalent.

Didier Mbo

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Festivités de fin d’année avec baisse des prix: Mukoko Samba, Julien Paluku et Doudou Fwamba instruits

La Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, a, au cours de la réunion du Conseil des Ministres du 29 novembre dernier présidée par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika, instruit le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie Nationale, Daniel Mukoko Samba, le Ministre du Commerces;- Extérieur, Julien Paluku Kahongya et celui des Finances, Doudou Fwamba d’organiser, conjointement, dans le plus bref délai, des rencontres avec les importateurs et distributeurs des vivres frais et d’autres produits de première nécessité.

Selon la cheffe du gouvernement, l’objectif est de s’assurer qu’il y a une offre suffisante et que les prix de ces produits restent abordables tout au long des fêtes de fin d’année, tenant compte de l’application des mesures prises à travers le décret n°24/07 du 19 septembre 2024.

La Première Ministre leur a également demandé de prendre, chacun en ce qui le concerne, cette question en main et avec diligence et de lui faire rapport sur l’état d’avancement de leurs actions respectives, car, plusieurs sujets bénéficient de l’attention immédiate du Gouvernement afin d’assurer la tranquillité et le bien-être des populations, a martelé la Cheffe du Gouvernement.




Découverte : Quanzhou, ville balnéaire et pôle du commerce maritime de la Chine 

Quanzhou est une ville-préfecture sous la juridiction de la province de Fujian en Chine. Située au bord de la rivière Jin, Quanzhou s’impose comme l’un des plus grands ports marchands de Chine qui témoignent aujourd’hui du développement économique du pays.

Quanzhou est devenu le plus grand port du monde sous les dynasties Song et Yuan et a été l’un des points de départ de la route de la soie maritime.

Si la Chine s’emploie à urbaniser son territoire, la ville de Quanzhou a quant à elle, conservé son aspect d’antan, marqué par de rues pavées et de temples anciens.

En 2021, il a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en tant que « Centre mondial du commerce maritime dans la Chine des Song et des Yuan ».

Les éléments du patrimoine de Quanzhou comprennent des sites de bâtiments administratifs, des édifices religieux et des statues, des monuments culturels, des sites de fours et des sites de fonderie de fer, soulignant son importance dans le commerce maritime asiatique du 10e au 14e siècle.

Le développement économique de Quanzhou est également remarquable, avec un PIB de 1 217,233 milliards de yuans, des recettes budgétaires générales locales de 58,079 milliards de yuans et un revenu disponible par habitant de 49 486 yuans en 2023. Cette ville exporte du thé, des bananes, du riz, des céramiques, les textiles, les chaussures, les vêtements, etc.

En outre, Quanzhou est également riche en ressources touristiques, notamment en attractions célèbres telles que le temple Kaiyuan (bouddhisme), le temple Fuwen (Confucius), le palais Tianhou (Mazu) et la montagne Qingyuan (taoïsme).

Derick Katola Quanzhou, province de Fujian




La Chine instaure un taux de douane zéro pour 33 pays dès ce 1er décembre 2024

Le 1er décembre 2024 marque un tournant significatif dans les relations commerciales entre la Chine et les pays les moins avancés ayant établi des relations diplomatiques avec la Chine. En effet, le Conseil des Affaires d’État a annoncé, par le biais de l’Annonce n° 9 de 2024, que 100 % des produits originaires de ces nations bénéficieront d’un taux de douane de zéro. Cette initiative vise à renforcer les échanges commerciaux et à ouvrir davantage le marché chinois aux produits africains.

 

Lors du Forum de coopération sino-africain qui s’est tenu à Beijing en septembre, la Chine a exprimé sa volonté d’élargir unilatéralement l’accès à son marché. Ainsi, 33 pays africains, parmi lesquels l’Angola, le Sénégal, et le Mozambique, profiteront de cette mesure avantageuse. Cela représente une opportunité en or pour ces nations, leur permettant d’accéder à un marché chinois en pleine expansion.

 

Le marché chinois avec un potentiel énorme et des politiques d’exonération fiscale peut non seulement stimuler leur motivation à produire et ainsi augmenter les revenus familiaux, mais aussi accroître leurs réformes et investissements dans la production et la transformation des produits agricoles, ouvrant ainsi davantage d’opportunités d’exportation pour les produits agricoles. De plus, l’expansion de la demande du marché pourrait nécessiter une plus grande participation de la main-d’œuvre à la production. Promouvoir activement l’exportation de produits agricoles par les pays africains est également bénéfique pour transformer la structure commerciale de ces pays, qui repose principalement sur l’exportation d’énergie et de ressources minérales, et pour encourager un développement commercial plus équilibré et sain en Afrique, permettant ainsi d’atteindre un développement durable.

 

En parallèle de cette politique de zéro tarif, la Chine s’engage également à élargir la gamme de produits importés en provenance de ces pays et à simplifier les procédures d’importation. Cette démarche témoigne de l’engagement de la Chine à faciliter l’entrée des produits africains sur son marché, offrant ainsi un accès de plus en plus aisé.

 

Lors d’une conférence de presse organisée par le Bureau d’information du Conseil des Affaires d’État le 23 octobre, le ministre adjoint du Commerce, Tang Wenhong, a souligné que cette mesure de taux de douane zéro sera mise en œuvre à partir du 1er décembre 2024. Le ministère du Commerce collaborera avec les départements concernés pour s’assurer que les pays PMA puissent tirer pleinement parti de cette opportunité.

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon le rapport sur le développement de l’Initiative “Belt and Road” entre la Chine et les pays africains publié en août, la Chine est restée le premier partenaire commercial de l’Afrique pendant 15 années consécutives. En 2023, le volume des échanges entre la Chine et l’Afrique a atteint 282,1 milliards de dollars, un record historique. De plus, les investissements directs chinois en Afrique ont dépassé les 40 milliards de dollars.

 

Les statistiques douanières révèlent également une dynamique positive : au cours des sept premiers mois de cette année, les échanges entre la Chine et l’Afrique ont atteint 1,19 trillion de yuans, enregistrant une croissance de 5,5 %. Les produits agricoles, tels que les avocats du Kenya et les arachides du Sénégal, ont particulièrement brillé, avec une augmentation notable des importations.

 

Alors que les produits agricoles de qualité en provenance d’Afrique pénètrent le marché chinois, la Chine, de son côté, contribue à la lutte contre la pauvreté en Afrique. En introduisant des variétés de riz hybrides, la Chine aide plusieurs pays africains à améliorer leur autosuffisance alimentaire, un enjeu crucial pour le développement durable du continent.

 

En somme, cette initiative de la Chine représente non seulement une opportunité économique pour les pays africains, mais également un pas vers une coopération plus étroite et bénéfique entre la Chine et l’Afrique. Le 1er décembre 2024 est sans aucun doute une date à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire des relations sino-africaines.

 

Zhang Shanhui

Présentatrice, commentatrice, CGTN Français




Match pour la paix :  Les 50 enfants déplacés de guerre sont arrivés à Kinshasa

Accompagnés par la ministre des Droits humains, Mme Chantal Chambu Mwavita, une cinquantaine d’enfants victimes de la guerre dans la province du Nord-Kivu sont arrivés ce dimanche à Kinshasa. Ils sont venus faire un plaidoyer auprès des autorités congolaises, particulièrement le Président de la République, en faveur de la paix dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

La Directrice générale adjointe en charge des opérations du Fonds national des réparations des victimes de violences sexuelles liées aux conflits et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité (FONAREV), Mme Emmanuella Zandi, a affirmé que ces enfants veulent féliciter les autorités du pays pour tous les efforts consentis dans la résolution des conflits et leur demander de trouver des mécanismes idoines en vue de mettre fin à l’insécurité dans leurs milieux de vie.

« Il est important d’écouter ces enfants, d’identifier leurs besoins, afin de mettre en place des programmes avec leur accord et qui correspondent à leurs attentes », a estimé Mme Zandi.

Durant leur séjour à Kinshasa, ces enfants vont prendre part à de nombreuses activités de relèvement, sous le haut patronage du Chef de l’État, parmi lesquelles quatre ateliers pédagogiques sur des thématiques essentielles : l’éducation, la promotion du football féminin, le journalisme sportif, ainsi que le football et le sport de proximité. Une rencontre « Table Ronde / Forum » autour de la professionnalisation du football et du développement des infrastructures est également prévue.

Les enfants vont également assister à un match de football pour la paix opposant le « Variétés Club de France » à la sélection « RDC All Stars » le 3 décembre à 17h, au Stade des Martyrs.




Ce dimanche à Buta : Grande mobilisation pour accueillir le chef de l’Etat

En attendant de participer , ce lundi à Isiro , à la grande célébration eucharistique de fin de pèlerinage national en mémoire des 60 ans du martyr de la Bienheureuse Anuarite, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a effectué un aller -retour ce dimanche à Buta , Chef-lieu de la Province de Bas-Uélé.

A l’aéroport national de Zega, le Chef de l’Etat a été chaleureusement accueilli par la population de Buta très mobilisée en cette journée dominicale.

Une longue procession pédestre s’est ébranlée de l’aéroport jusqu’au stade local aménagé pour le meeting.

Le président de la république s’est exprimé pendant près d’une heure pour expliquer sa vision basée sur les six engagements de son quinquennat.

La jeunesse a été particulièrement heureuse d’ apprendre du chef de l’Etat son engagement sur l’employabilité des jeunes .

Dans son allocution, le président Tshisekedi est revenu sur ses propos tenus à Isiro à savoir la vigilance tous azimuts face au spectre de déstabilisation du pays et l’espoir en avenir radieux grâce à sa vision de développement du pays.

Face à cette population qui réclamait de le voir prolonger son séjour à Buta, le président Tshisekedi a promis de revenir au courant de l’année 2025 pour une longue durée.

« Je reviendrai pour inspecter le déroulement des grands travaux prévus dans cette province notamment la réhabilitation des routes et la construction d’édifices publics », a dit le président de la République.

À Buta, le Chef de l’Etat a accordé quelques audiences et échangé avec la notabilité locale avant de regagner Isiro, son quartier général le temps de cette itinérance .




Abel Tavares da Veiga : la construction conjointe de « la Ceinture et la Route » enseigne à pêcher et non à donner uniquement des poissons

Dans une interview exclusive accordée à CGTN Français, Abel Tavares da Veiga, fondateur et rédacteur en chef du journal Tela Non de Sao Tomé et Principe, a exprimé son point de vue sur la construction conjointe de « la Ceinture et la Route », les relations sino-africaines et la coopération sino-africaine. Selon lui, la construction conjointe de « la Ceinture et la Route » consiste à enseigner à pêcher et non à donner uniquement des poissons. La Chine aide l’Afrique, l’invite et la soutient à participer à l’économie mondiale.




La mascotte du Gala de la Fête du Printemps de l’année du Serpent de CMG dévoilée

China Media Group (CMG) a publié l’image officielle de la mascotte « Sishengsheng » pour son « Gala de la Fête du Printemps 2025 ».