Après les « mpiodi », les prix du riz, du sucre, du lait en poudre, du poisson salé revus à la baisse    

A Kinshasa, capitale de la RDC, la satisfaction résonne dans les allées des marchés et supermarchés. Après la récente baisse des prix des poissons chinchards (communément appelés mpiodi), c’est au tour de quatre autres produits de voir leurs tarifs baisser, notamment le riz, le lait en poudre, le sucre et le poisson salé. Cette réduction des prix s’inscrit dans le cadre d’une initiative gouvernementale visant à alléger le fardeau économique des ménages congolais.

Après avoir constaté la baisse effective des prix des « mpiodi » sur les différents marchés de Kinshasa, nos reporters viennent d’effectuer une deuxième descente sur terrain. Ils ont constaté que les prix de quatre produits cités ci-haut, vendus dans les rayons de Kin-Marché et à travers les marchés de la capitale, ont baissé.

Hervé Mbatata, gérant du dépôt La Bénédiction situé sur l’avenue Lukunga, quartier Pompage, commune de Ngaliema, à Kinshasa affirme avoir appliqué la réduction des prix sur ses produits depuis l’annonce de celle-ci le 10 décembre. « Nous avons effectivement appliqué la baisse sur nos tarifs », précise-t-il. Par exemple, un carton de sachets Cowbell, qui était vendu à 127.000 FC avant l’annonce, coûte à ce jour 120.600 FC. De même, un sac qui coûtait 292.800 FC est maintenant à 283.900 FC, ce qui représente une réduction de 10.000 FC.

Cliente à la Maison La Bénédiction, Mme Germaine, affirme faire désormais de grosses affaires à la suite de la réduction du prix du lait. « Le prix du Cowbell 30, qui était de 54.000 FC, est aujourd’hui à 51.300 FC. Pour le celui de 15 grammes (Cowbell grand format ou plasma), le prix a baissé de 126.900 FC à 120.600 FC. Quant au lait Mixwell de 25 kg, son prix est passé de 104 $ à 100.80 $. Ces mesures viennent d’une part soulager la population et faciliter d’autre part une vente plus rentable pour les commerçants », explique ce détaillant.

Par ailleurs, dans les supermarchés de Kinshasa, les responsables interrogés affirment que la baisse des prix est liée à la nouvelle politique fiscale mise en œuvre par le gouvernement congolais, et ils espèrent que cela permettra d’attirer davantage de clients. Par exemple, le sachet de 5 kg de sucre, qui coûtait 22.350 FC, se négocie actuellement à 15.700 FC. Le prix du riz de la même portion a été réduit de 30.500 FC à 22.000 FC. De même, le lait, qui était à 28.000 FC, se vend maintenant à 22.500 FC. Ces produits ont subi une réduction de 10 à 50 %.

Cependant, Prisca Nkondi, gérante séniore de Kin-Marché Sendwe souligne que le concept de promotion affiché dans les différents rayons sert principalement à attirer l’attention des clients. Une stratégie qui vise à susciter l’intérêt des consommateurs : « Je tiens à préciser que la promotion a pour but d’attirer l’attention du client. Les clients aiment comparer les prix d’avant à ceux d’actuels. En inscrivant promotion, ils seront immédiatement attirés par l’indication et constateront, à cet effet, la différence de prix. »

Un constat similaire est fait au supermarché Kin-Marché de Kasa-Vubu, où les prix affichent également une baisse suite à la décision gouvernementale. Alfred Omeonga, caissier de Kin-Marché Kasa-Vubu, déclare : « Le riz Jasmine, qui coûtait 87.000 FC pour 10 kg, est maintenant à 62 000 FC. Un sachet de sucre de 5 kg, est passé de 23.000 FC à 15.900 FC. Le prix du poisson salé aussi, qui était de 28.000 FC le kilogramme, est actuellement vendu à 19.000 FC. L’alimentation Kin-Marché s’est conformée à l’instruction du gouvernement concernant la réduction des prix ».

Comme on peut le constater, face aux préoccupations exprimées par la population concernant l’attente d’une baisse des prix des biens de première nécessité, le gouvernement de la République a tenu ses promesses. Les mesures concrètes et incitatives prises précédemment pour garantir un impact durable sur le pouvoir d’achat des Congolais commencent déjà à produire leurs effets.

Le Quotidien




Le Lumumbisme – Kabilisme représente un puissant levier pour le Congo nouveau (Dr Prof Lokongo)

C’est rare de trouver des Congolais prêts à mourir pour un idéal de justice ou de liberté à l’instar de Patrice Emery Lumumba et de Mzee Laurent Désiré Kabila.

Entre Lumumba, Mzee Kabila et nos dirigeants plus une grande section de la populace surtout urbaine qui les adulent, c’est comme le jour et la nuit.

En effet, contrairement à Lumumba et à Mzee Kabila champions de la lutte pour la liberté et la dignité du peuple Congolais, nos dirigeants sont altérés de gloire, friands à l’enrichissement facile et illicite (se remplir les poches avec l’argent du peuple et au détriment du peuple. Nous venons tous de humbles origines. Mais sachons que l’avidité attire facilement le malheur).

Ils font preuve d’un état d’âme de collabo caractérisé par l’esprit de la corruption, de la jouissance, de la trahison et de coop, y compris avec le Rwanda et l’Ouganda qui osent gangrener l’est de notre pays, sûrs de la faiblesse de l’État au Congo!

Nous sommes dirigés par les enfants des politiciens de l’après Lumumba qui ont co-assassiné Lumumba et Mzee Kabila. De par leur haute trahison et megestion du pays (le retour du mobutisme sans Mobutu), ils sont en train de tuer Lumumba et Mzee Kabila chaque jour de leur imperium.

De tels Congolais ne comprendront jamais la vision de Lumumba et de Mzee Kabila qui consiste à:

– détribaliser l’État. Un seul arbre ne peut pas faire la forêt tout comme une seule tribu ne peut pas faire une nation comme le Congo, les FARDC en l’occurrence. Lumumba et Mzee Kabila ont œuvré sans relâche pour raffermir l’unité nationale.

– Consolider notre indépendance politique, économique et culturelle, bref notre souveraineté sur notre sol et sous-sol et l’intégrité territoriale de notre pays. “Ne jamais trahir le Congo”.

“Je ne prendrai aucun centime pour trahir mon pays et mon peuple,” disait Patrice Lumumba.

“Moi Laurent Désiré Kabila, devenir un milliardaire dans un océan de misère qu’est le Congo ?! Mais non !” – dixit Mzee Laurent Désiré Kabila. Pour les impérialistes occidentaux, ces deux hommes, ce que le Congo avait de meilleurs en termes de leadership, “n’étaient pas des hommes avec qui ils pouvaient faire du business”.

“Nous ne parviendrons pas à contrôler Laurent Désiré Kabila,” a dit un jour Madeleine Albright, alors ministre américaine des Affaires étrangères ou Mme la Secrétaire d’Etat, aux journalistes.

Lumumba et Mzee Kabila ne craignaient pas de ne pas être respectés par les puissances occidentales. Ils craignaient seulement de ne pas être justes ou être poussés à trahir le Congo.

“Je n’ai pas de chef. Mon seul chef c’est mon peuple,” disait Mzee Laurent Désiré Kabila.

– Consolider l’unité africaine moins les traîtres laquins des impérialistes. A la fin des comptes, aucun pays africain ne peut s’en sortir seul. L’Alliance des États du Sahel (AES) constitue un cas d’école.

– Rejeter toutes formes d’esclavage, d’impérialisme et de dictature d’où qu’ils viennent, susceptibles d’asservir de nouveau le peuple Congolais; et privilégier plutôt la coopération gagnant-gagnant avec ceux des autres pays et peuples du monde qui en prônent. “Mieux vaut boire l’eau d’un ami que le miel (ou la champagne) d’un ennemi (proverbe Chinois).

Patrice Lumumba et Mzee Laurent Désiré Kabila ont tenu jusqu’au sacrifice suprême . Ils sont devenus à jamais des exemples frappants de la vertu humaine à suivre.

“Longue est la route par le précepte, courte et facile par l’exemple”, disait Sénèque.

Nous amener à la longue route du changement de la constitution en passant par le référendum ne sert à rien. Le but est d’obnubiler l’esprit éveillé du peuple contre le changement de la Constitution et le crétiniser encore davantage !

Car si ce régime actuel corrompu ne peut qu’organiser des élections chaotiques, frauduleuses pour conserver le pouvoir mais sans légitimité (les députés viennent d’être élus sur base de basses, frauduleuses pratiques comme “machines à voter à la maison”), il organiserait sans doute un référendum en sa faveur faisant passer ses résultats comme étant l’émanation de la volonté populaire alors que ce serait un truc pour conserver le pouvoir le plus longtemps que possible.

L’autre tournure c’est qu’après tout, la constitution représente la volonté du peuple. Et si ce peuple réclame le retour de Joseph Kabila au pouvoir, l’Article 70 de la Constitution acquiert un nouveau sens. Il ne s’agira pas de la continuité de 18 ans de Joseph Kabila au pouvoir mais d’un nouveau mandat lui confié par le souverain primaire pour décanter de nouvelles situations compliquées qui constituent des forces majeures. Les mêmes scénarios ont repropulsé Jerry Rawlings au pouvoir au Ghana: la volonté populaire. Le peuple s’est rendu compte qu’il a remplacé une équipe qui gagnait par une équipe qui n’est pas à la hauteur du match.

La priorité maintenant en RDC c’est la reconquête et la libération des territoires occupés et la reconstruction nationale. Ça ne prend que 10 ans pour amorcer le développement de la RDC. Mais nous venons de perdre 10 ans pour rien, avec des guerres dont seuls les protagonistes impliqués connaissent les tenants et les aboutissants, avec des distractions inutiles et des promesses faites pour le seul plaisir de ne pas les tenir et n’engageant que la populace qui reçoit ces promesses démagogiques dont ils savent que la non-tenue est garantie d’avance !

La nécessité pour nos dirigeants de prêcher par l’exemple à l’instar de Lumumba et de Mzee Kabila s’avère urgente ; notamment en traduisant en justice tous les ténors du régime actuel qui se sont rendus responsables des détournements exprès des fonds publics, les incarcérer jusqu’à ce qu’ils restituent tous les milliards de dollars détournés.

Avec cet argent, nous serons à mesure de:

– Mieux équiper, ravitailler et renforcer notre armée pour bouter dehors les agresseurs.

– Déplacer la capitale et l’état-major général à Goma jusqu’à la fin de guerre.

– Créer 4 banques nationales sur capitaux propres, comme l’envisageait Mzee Laurent Désiré Kabila :

– Banque d’investissement pour l’accélération du développement de l’industrie et les nouvelles technologies afin de transformer nos ressources sur place et créer des emplois et des marchés au profit du peuple.

– Banque d’investissement sur l’accélération du développement de l’agriculture (mécanisation).

– Banque d’investissement pour le développement des énergies (y compris les énergies renouvelables non polluantes) en vue de l’électrification de tout le pays.

– Banque d’investissement pour les infrastructures.

Quiconque reconnaît que la vision de Patrice Lumumba et de Mzee Kabila demeure incontournable pour un Congo meilleur, pour le salut du Congo est déjà lumumbiste-kabiliste. Car aimer le Congo à l’instar de Lumumba et Mzee Kabila, c’est un engagement permanent pour le rendre toujours plus beau qu’avant. Mzee Kabila disait que la guerre (la lutte pour la libération du Congo et restauration de la dignité du peuple Congolais) sera longue et populaire. Le Congo est un pays riche et stratégique. Les impérialistes ne nous laisserons jamais en paix. Nous devons tout le temps résister et ensemble nous vaincrons, comme ne cesse de le rappeler Joseph Kabila. Nous devons anticiper les événements au lieu de toujours les subir.

Le 16 et 17 janvier sont des moments forts qui rappellent à chaque vrai lumumbiste et kabiliste, chaque vrais Congolais dans la résistance d’accomplir la tâche sacrée de la reconstruction de notre indépendance, de notre souveraineté et de la récupération de notre dignité et de l’intégrité territoriale de notre pays (Patrice Lumumba).

Lorsque l’on parle des déboires actuels du Congo, les autres peuples du monde ne croient pas à leurs oreilles. Ils se demandent s’il s’agit vraiment du Congo de Patrice Lumumba et de Laurent Désiré Kabila dont on parle !

Ayant entrés dans le panthéon de l’histoire, Lumumba et Mzee Kabila sont devenus deux héros dont l’engagement continue d’avoir une portée internationale, ce qui doit encourager la RDC elle même d’abord à mieux faire; ensuite d’autres pays à suivre leur exemple qui représente le levier du progrès du continent africain en général et la RDC en particulier; contrairement à tous les autres leviers invisibles que l’Occident, à travers ses hommes de pailles, actionne au Congo et en Afrique.

Le problème c’est qu’au Congo, on ne trouve qu’une classe politique et des dirigeants qui ne sont pas fermes par principes mais faibles d’esprit par nature et qui ne varient entre eux que dans leur faiblesse d’esprit.

Et pourtant ils ont l’héritage politique de Lumumba et de Mzee Kabila comme référence. Personne ne viendra libérer le Congo à la place des Congolais nonobstant le soutien que nous escomptons des autres. Nous devons nous prendre en charge nous même d’abord, comme Mzee Kabila ne cessait de nous le rappeler.

“On peut aider un bœuf à se lever seul, seulement s’il s’efforce lui-même de le faire.” – Proverbe africain.

“Comment puis-je libérer quelqu’un qui n’a pas le courage de se lever seul et de déclarer sa propre liberté ?”, se demandait d’ailleurs le poète Américain Jim Morrison.

 

 

 

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L’ARSP quintuple le chiffre d’affaires des PME du secteur de la sous-traitance

L’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) a réalisé des avancées significatives en 2024. Sous la direction de Miguel Kashal Katemb, l’ARSP a quintuplé le chiffre d’affaires des PME RD-congolaises du secteur de la sous-traitance, atteignant 1,6 milliard USD en 2024 contre 300 millions en 2023.

Lors d’un entretien à Bruxelles avec Christian Lusakueno de Top Congo FM, diffusé samedi soir, Miguel Kashal Katemb a révélé les progrès réalisés par l’ARSP. À mi-parcours de l’année 2024, le chiffre d’affaires était déjà passé de 300 millions à 1,6 milliard de dollars pour 23 sociétés. En plus de cela, l’ARSP a triplé le nombre d’entreprises locales signant des contrats de sous-traitance avec des entreprises majeures, passant de 3 500 à 10 000, avec des objectifs ambitieux pour fin 2025 et début 2026.

« Nous voulons que le chiffre d’affaires de la sous-traitance congolaise reste dans le pays. C’est notre objectif principal pour développer la chaîne de valeurs congolaises et profiter à l’administration fiscale », a déclaré Miguel Kashal.

L’année 2024 a également vu un grand nombre de sous-traitants décrocher des contrats importants, non seulement dans le secteur des mines, mais aussi dans les télécommunications et la brasserie. En juillet dernier, Miguel Kashal a présenté un rapport au Président Félix Tshisekedi, mettant en avant l’intégration de plusieurs Congolais dans le capital de grandes entreprises de sous-traitance travaillant avec des groupes miniers.

Parmi ces succès figurent des entreprises comme Bandge, qui travaille avec Sicomines, et quatre autres entreprises sous-traitantes du groupe ERG Africa où sept actionnaires congolais ont intégré le capital. Depuis, des entreprises telles que Tenke Fungurume, Sicomines, Kamoa, et quatorze autres entreprises minières ont signé des contrats avec des sous-traitants congolais pour des centaines de millions de dollars.

L’ARSP s’efforce également de maximiser l’impact social de la sous-traitance en augmentant le nombre de sous-traitants accédant à des contrats de grande envergure. « Nous allons remonter la tendance, lentement mais sûrement, en tenant compte du climat des affaires dans le pays », a expliqué Miguel Kashal.

Un avant-projet de loi sur le contenu local est également en préparation, en collaboration avec des experts internationaux et le ministère de l’Industrie et des PME. Cette loi vise à diversifier l’économie nationale en développant la chaîne de valeurs congolaises et en soutenant les entreprises à capitaux majoritairement congolais. Miguel Kashal a souligné l’importance de cette initiative pour investir dans des secteurs comme l’agriculture et la technologie.

En conclusion, l’ARSP continue de travailler en étroite collaboration avec divers acteurs pour améliorer le climat des affaires et soutenir les PME congolaises. Avec des initiatives telles que le financement de 200 millions de dollars pour 20 000 PME par RawBank et la fiscalisation des sociétés par l’Inspection Générale des Finances (IGF), l’ARSP demeure déterminée à stimuler la croissance économique et le développement durable en RDC.

Par Didier Mbongomingi




PSG-ASSE, la VAR fait encore scandale

L’utilisation de la VAR a encore fait polémique ce dimanche lors du match de L1 entre Paris et Saint-Etienne.

A chaque semaine son lot de bourdes et polémiques arbitrales. Ce week-end de Ligue 1 n’a évidemment pas échappé à la règle. Comme le match de clôture de la 17e levée de championnat entre le PSG et l’ASSE ce dimanche soir au Parc des Princes.

Au sifflet pour l’occasion, M. Millot a dû composer avec la VAR à deux reprises en première période. Pour valider une main de Pétrot synonyme de penalty sur un centre d’Hakimi (21e), d’abord. Puis pour vérifier le troisième but parisien alors inscrit par Barcola (39e). Une réalisation initialement entérinée et finalement annulée pour une faute présumée du buteur sur Bouchouari.

Une faute difficile à voir, même au ralenti

En observant les images du but de Barcola, M. Millot a choisi de suivre le jugement de son assistant M. Gaillouste, lequel en sollicitant le recours à l’assistance vidéo a estimé que l’action faisait l’objet d’une erreur arbitrale manifeste. Le prérequis à toute utilisation de la VAR. Or à vitesse réelle comme au ralenti, difficile de voir la fameuse faute de Barcola sur Bouchouari…

La veille déjà, la VAR avait fait du zèle lors de l’affiche entre Rennes et Marseille au Rhoazon Park. Pour inciter M. Kherradji à accorder un penalty aux Bretons et à Kalimuendo. Puis pour encourager ce dernier à se déjuger alors qu’il venait d’accorder un penalty aux Phocéens pour une main de Gronbaek dans un mur placé dans la surface. Et pourtant, dans les deux cas, rien n’attestait d’une erreur flagrante de l’arbitre.




Real-Barça, ça tourne encore à l’humiliation !

Trois mois après la victoire 4-0 du Barça à Bernabéu, le Real Madrid a encore pris cher face aux Blaugranas en finale de la Supercoupe d’Espagne (2-5), dimanche en Arabie saoudite.

Malgré un joli but de Kylian Mbappé dès la cinquième minute de la rencontre, la finale de la Supercoupe d’Espagne entre le Real Madrid et le FC Barcelone a largement tourné en faveur des Blaugranas, dimanche en Arabie saoudite. Les Merengues ont remporté la Supercoupe d’Europe et la Coupe Intercontinentale cette saison, et Mbappé a inscrit son premier but lors d’un Clasico, mais le trophée est cette fois-ci revenu aux Blaugranas. Les Barcelonais, bien meilleurs sur le terrain, se sont imposés 5-2, trois mois après leur succès 4-0 à Bernabéu en Liga.

Ce Clasico délocalisé à Djeddah a été incroyable durant une heure de jeu. C’est Lamine Yamal qui a égalisé pour le FCB, après avoir contourné Aurélien Tchouameni (22e). Les internationaux français de ce Real-Barça ont été incontournables. Eduardo Camavinga a fauché Gavi pour le penalty du 2-1 transformé par Robert Lewandowski (39e). Puis Raphinha, sur une ouverture de Jules Koundé, a marqué d’une superbe reprise de la tête (39e). Au bout du temps additionnel de la première période, Alejandro Balde a filé inscrire le but du 4-1 pour les Catalans (45e+10).

Le Barça à 10

La rencontre a encore pris une autre tournure à l’heure de jeu. De retour des vestiaires, Raphinha a pris de vitesse Tchouameni pour s’offrir son doublé (48e). 5-1. Puis Wojciech Szczesny, pas très convaincant dans les buts des Blaugranas, a fauché Mbappé devant sa surface et a pris rouge (56e). Sur le coup franc plein axe, Rodrygo a envoyé une énorme frappe au fond des filets d’Iñaki Peña (60e). A 11 contre 10, les Madrilènes ont poussé sans jamais enflammer la fin de rencontre.

Les deux cadors du football espagnol reprennent en championnat le week-end prochain. Le Real, qui est désormais devancé par l’Atlético en tête du classement, reçoit Las Palmas, dimanche, tandis que le Barça, à cinq points de la Casa blanca, se rendra dans la capitale pour défier Getafe, samedi.




Stellenbosch, l’USM Alger et le CS Constantine triomphent et filent en quarts de finale de la Coupe de la Confédération

L’avant-dernière journée de la phase de groupes de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies a été décisif pour le Stellenbosch FC et l’USM Alger qui ont confirmé leur place en quarts de finale grâce à de solides performances.

Le match nul 0-0 de Berkane contre Luanda Sol en Angola a consolidé leur domination dans le groupe D, tandis que Stellenbosch a triomphé du Stade Malien pour rejoindre les Marocains au tour suivant. Pendant ce temps, l’USM Alger a vaincu Orapa United au Botswana pour prendre la tête du groupe C.

Stellenbosch 2-0 Stade Malien : les Sud-Africains décrochent leur place en quarts de finale

Le Stellenbosch FC s’est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies grâce à une victoire éclatante 2-0 contre le Stade Malien en Afrique du Sud dimanche.

Fawaz Basadin a ouvert le score à la 30e minute sur penalty avec une finition calme. Neuf minutes plus tard, Jayden Adams a doublé l’avance de Stellenbosch d’une tête précise suite à un corner bien tiré.

Les Sud-Africains ont contrôlé les débats tout au long du match. Ils comptent neuf points, et sont solides deuxièmes derrière Berkane dans le groupe D. Le Stade Malien, avec quatre points, est éliminé alors que Stellenbosch rejoint Berkane en phase à élimination directe.

Luanda Sol 0-0 Berkane : les Marocains s’assurent la première place

Le club marocain Renaissance Berkane a tenu en échec 0-0 les Angolais de Luanda Sol dimanche lors de la 5ème journée de la phase de groupes de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies, maintenant ainsi sa place en tête du groupe D.

Malgré une équipe remaniée, Berkane a été le plus proche de débloquer la situation, en faisant preuve de domination dans la possession du ballon et en créant les meilleures occasions. Avec ce résultat, Berkane compte désormais 13 points, soit quatre points d’avance sur Stellenbosch, deuxième.

Luanda Sol reste sans victoire et reste en queue de peloton avec seulement deux points, tandis que Berkane et Stellenbosch ont tous deux assuré leur place en quarts de finale avant le dernier match de poule.

USM Alger 2-1 Orapa United : les Algériens en tête du groupe C

L’USM Alger a assuré sa place en quarts de finale de la Coupe de la Confédération de la CAF grâce à une victoire 2-1 sur Orapa United du Botswana, dimanche.

Sekou Gassama a donné l’avantage aux visiteurs à la 14e minute, tandis que Hossam Ghosha a doublé leur avance à la 60e minute. Orapa United a réussi un but de consolation en fin de match par l’intermédiaire de Kamogelo Moloi, mais cela n’a pas suffi à empêcher sa cinquième défaite en phase de poules.

L’USM Alger est désormais en tête du groupe 3 avec 11 points, scellant sa qualification à un match de la fin, tandis qu’Orapa United reste en queue de peloton avec deux points.

Constantine s’impose 3-0 face au CS Sfaxien

Le CS Constantine a confirmé sa place en quarts de finale en s’imposant 3-0 face au CS Sfaxien au stade Hamlaoui dimanche.

Zakaria Ben Chaa a brillé avec un doublé aux 31e et 71e minutes, tandis que le remplaçant Mondher Tamine a ajouté un troisième but dans les arrêts de jeu.

L’équipe algérienne a ouvert le score après une belle combinaison entre Ben Chaa et Dhib.

Sfaxien a eu du mal à se créer des situations franches. Leur meilleure occasion est intervenue en début de seconde période lorsque le tir de Basha a été repoussé par le gardien Bouhalfaya.

Le CS Constantine a doublé son avance grâce à Ben Chaa a profité d’une erreur défensive pour conclure avec précision une belle combinaison avec Dhib.

Tamine a scellé la victoire avec un exploit individuel dans le temps additionnel. Il a passé en revue la la défense tunisienne avant d’envoyer le ballon dans les filets. Constantine est désormais en tête du groupe A avec 12 points, tandis que Sfaxien reste dernier avec 0 unité.