Un déni de justice

Le tiers des fédérations avait saisi le Conseil d ‘État par une requête en référé conservatoire tendant à sauvegarder les acquis ou mieux les résolutions prises relatives à l’élection du Président National du parti lors du deuxième congrès extraordinaire du parti, UNION POUR LA DÉMOCRATIE ET LE PROGRÈS SOCIAL /Tshisekedi du 11 juillet 2023.

Le Conseil d’État, a déclaré d’abord la cause RECEVABLE ET FONDÉE. II a organisé plusieurs audiences auxquelles le ministère de l’Intérieur et son Secrétariat général chargé des partis politiques ainsi que l’homme fort de Limete ont quasiment boycotté. La cause a été prise en délibéré pendant plusieurs semaines.

Enfin la cour vient de se déclarer INCOMPÉTENTE !

Pour les LÉGALISTES

Dr Tambwe Mbuyi Théophile




Kinshasa : Des réseaux des bandits à mains armées démantelés au sein de la police 

Le commissariat provincial de la police nationale congolaise ville de Kinshasa a mis la main sur 18 présumés bandits à main armée.

En majorité, ce réseau est composé des policiers et quelques militaires.

Selon le Commandant de la police ville de Kinshasa, les hommes en uniforme sont poursuivis pour des visites domiciliaires indésirables, des déviations des missions et violation des consignes.

« On ne peut pas prétendre mettre de l’ordre dans la société alors qu’on est incapable de le faire chez soi.

C’est cette particularité des éléments de la police nationale ou des forces armées, qui se comportent mal qui a fait l’événement de ce jour. Il y’en a ceux qui sont dans des visites domiciliaires indésirables, d’autres dans des déviations des missions et d’autres dans des violations des consignes », a fait savoir le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba.

 

Parmi ces malfrats, quelques éléments des forces de l’ordre surnommés “Poustura” à cause de la tracasserie qu’ils commettent au paisible citoyen.

 

« Ils roulent à moto, extorquent puis ravissent tout ce qu’ils trouvent en chemin. Donc ce sont des bandits qui se retrouvent dans les différents services, camouflés comme des brebis mais qui sont galeuses », a déclaré le numéro un de la police à Kinshasa.

 

La sécurité des personnes et de leurs biens étant un processus, le chef de la police rassure que les dispositions sont prises pour mettre la main à tous les auteurs des actes déviants.

 

« Nous sommes entrain de les découvrir et les arrêter jusqu’à leur dernier retranchement pour la tranquillité publique dans la ville de Kinshasa », rassure le général Blaise Kilimbalimba.

 

Ces présumés criminels seront déférés devant la justice, d’autres seront jugés en procédure de flagrance et d’autres seront entendus en procédure normale.

 

Pour le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba, cette présentation est pédagogique.

« C’est un appel aux autres de ne plus s’adonner à des pratiques aussi sales. Ce sont des pratiques qui vont les conduire à la dérive pire, ce sont des mauvaises pratiques qui doivent cesser car à la fin ce sont des condamnations, ce sont des peines », a-t-il martelé.

 

Notez que 5 armes de guerre ont été saisies entre les mains de ces présumés criminels par la police

 

 

 

Jonsard Mikanda




RDC: L’intersyndicale des syndicats des enseignants de l’Éducation nationale menace d’aller en grève (déclaration)

Dans une déclaration faite ce mardi 14 janvier 2025, l’intersyndicale des syndicats des enseignants du ministère l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté dénonce le non respect par le gouvernement de la République, des engagements pris lors des négociations de Bibwa en août 2024.

 

Elle accuse pour se faire le ministre du budget d’être, sigantaire de cet accord, à la base du blocage.

 

L’intersyndicale des syndicats des enseignants du ministère l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté a, à cet effet, lancé un ultimatum de 48h au ministre du budget afin de concrétiser les engagements pris à Bibwa, faute de quoi des perturbations seront enregistrées dans ce sous-secteur de l’enseignement.

 

Notons que lors des négociations de l’accord de Bibwa au mois d’août 2024, le gouvernement, par le biais du ministre du budget, avait pris l’engagement d’ajouter cinquante (50) mille francs congolais à tous les enseignants mais aussi de généraliser le régime contributif à tous les enseignants au profit de la mutuelle des enseignants de la RDC.

 

Loup solitaire




De l’enfant de la rue au Kuluna via le “shégué” : cette bave qui nous retombe sur la figure !

La vidéo donne envie plus d’en rire que d’en pleurer. Un enfant congolais – qui doit avoir entre 6 et 8 ans – en train de déclarer à ses formateurs, à l’école où il étudie, son ambition est de devenir…kuluna !

Il en est de même de la vidéo présentant le ministre d’État Constant Mutamba en train de suggérer aux Kuluna une prière à Dieu la veille de leur transfert à la prison d’Agenga, prière accompagnée d’une demande de pardon auprès des victimes de leurs méchancetés. Il y a dans cette prestation de quoi en pleurer car il n’est pas du devoir du patron de la Justice d’ordonner une prière sincère et même un pardon vrai. L’une et l’autre, ça ne se ” télécommande ” pas. A la limite, la charge aurait été confiée à une organisation religieuse dont c’est du reste la vocation. Hélas !.

Rappel des faits

L’Histoire pourrait retenir qu’en 2024, un régime – incarné par l’Udps autrefois champion toutes catégories confondues en matière de défense et de protection des droits de l’homme – a décidé de rétablir la peine de mort et à l’appliquer notamment aux Kuluna, ces bandits sans foi ni loi qui veulent instaurer le banditisme urbain du type haïtien, ces Kuluna utilisés, par moments, en “supplétifs” des membres des partis politiques lors des manifestations publiques.

En majorité, ce sont des enfants et des petits-enfants des parents et grands-parents victimes de la mauvaise gouvernance institutionnelle.

En effet, avant d’être Kuluna, ces bandits étaient pour la plupart des”shégué”, des enfants dits de la rue.

Leur apparition à Kinshasa se situe autour des années 1980 coïncidant avec, d’un côté, la baisse vertigineuse du pouvoir d’achat et, de l’autre, le phénomène des églises dites du Réveil.

Rappel des faits :

-à partir de 1980 (année de la Lettre des 13 Parlementaires), des foyers sont en train de se disloquer pour cause d’incapacité principalement des époux d’assumer leurs responsabilités.

-au même moment, s’annonce le phénomène “enfant sorcier”.

-livrés à eux-mêmes, les “shégué” doivent s’organiser pour survivre. Surtout ceux chassés des toits paternels du fait d’être soupçonnés de pratiques maléfiques dans leurs familles.

-ces enfants se livrent au mieux à la mendicité, au pire au chapardage.

-sur ces entrefaites, survient le processus démocratique en avril 1990. Première “action d’éclat” : le *pillage de septembre 1991*. En moins de 48 heures, tout ce qui constitue le tissu économique et social à Kinshasa s’effondre, grands-parents et parents perdent leurs emplois.

-la majorité fonde l’espoir du réveil sur l’Opposition et sur la société civile acquises au changement.

-porteuse de tous les espoirs, la Conférence nationale souveraine (juillet 1991-décembre 1992) s’achève dans le cafouillage. Le Conclave politique de Kinshasa (mars 1993-juin 1994), venu en doublon, se dilue dans l’indifférence. La 3ème voie (ni CNS, ni CPK) vécue de juin 1994 avril sombre déjà dans la guerre de l’Afdl surgie, elle, en octobre 1996.

-l’avènement de l’Afdl ne ramène pas les investissements ;

-et vient entre 1998 et 2024 la “saison des guerres de l’Est ” : Rcd et le Mlc en 1998, le Rcd-Kml et du Rcd-N en 2002, du tandem Mutebusi/Nkunda en 2004, Cndp en 2011, M23 première version en 2012, M22 deuxième version en 2022.

-la RDC est présentée auprès des investisseurs en pays à hauts risques. Pas d’investissement, pas d’emplois.

N’est-ce pas un problème réel de société ?

Combien d’emplois créés effectivement entre avril 1990 et (bientôt) avril 2024, soit pendant 30 ans ? Faute de statistiques viables, impossible de donner une réponse fiable.

Une chose est au moins sûre : celles des forces politiques et sociales qui dissuadaient par leurs faits et gestes les investisseurs de (re)venir pour créer des emplois se connaissent et se reconnaissent.

Les unes et les autres sont conscientes du fait qu’au cours de ces 65 ans (bientôt) d’indépendance, le pays n’a pas eu véritablement une *politique d’emploi*, moins encore une politique de natalité contrôlée.

Conséquence : on remplit le pays en ressources humaines sans le remplir d’infrastructures de base. Cas de l’instruction pour ce qui s’agit de l’emploi.

Que vaut alors un diplôme lorsqu’on ne trouve pas un bon emploi ?

Première conséquence : on voit des médecins, des ingénieurs en télédétection, des macro-économistes, des architectes etc. passer des journées entières à débattre dans des médias des enjeux politiques pour espérer trouver un emploi ou vouloir le garder !

Des lauréats du système LMD deviennent des revendeurs des unités de téléphonie cellulaire, des cambistes ou des moto-taxis, quand des finalistes du secondaire sont réduits, eux, au statut de vendeurs à la criée, de racoleurs ou “coupeurs d’ongle”.

La question, à partir de cet instant, est de savoir ce que deviennent les Kuluna “SDF” (Sans Domaine Fixe) parce que sans formation professionnelle nécessaire ! Ils basculent dans le banditisme urbain pourtant illégal !

La bave qui nous retombe sur le visage

Serions-nous en train de plaider pour les Kuluna ? Pas du tout ; loin s’en faut !

La “carrière” choisie est la plus mauvaise qui soit dès lors qu’elle n’a aucune raison d’exister et, en plus, ne donne aucune raison de s’en vanter. Au contraire.

Pour l’histoire, un chef d’Etat congolais s’opposait d’ailleurs à la qualification “enfant de rue”. _”La rue de fait pas d’enfant. Ce sont les parents qui font des enfants_”, disait-il.

A partir de cet instant, c’est le père, la mère, c’est le tuteur ou la tutrice que l’État doit interpeller.

Or, si on lui donne l’occasion de s’exprimer devant tous les Constant Mutamba réunis, le père ou la tutrice posera la question de savoir ce que l’État a fait pour le ou la mettre en position de sécuriser la vie de sa fille, de son fils pour ne pas devenir… Kuluna !

Aucun de tous les Constant Mutamba d’hier ou d’aujourd’hui ne saura répondre à cette interpellation légitime.

Aussi, ayons le courage de l’accepter : le phénomène Kuluna n’est rien d’autre que la bave qui nous retombe sur le visage.

Grâce présidentielle

En attendant, constatons que le ministre d’État Constant Mutamba renvoie la balle (exécution de la peine de mort) dans le camp du Président de la République Félix Tshisekedi, animateur de la seule et unique Institution de la République à disposer du droit d’accorder la grâce présidentielle prévue à l’article 87 de la Constitution !

Pour l’heure, on applaudit.

Mais, le moment venu, le Chef de l’Etat va se retrouver seul devant sa conscience. Il devra choisir entre gracier (et ne pas appliquer la peine de mort) ou ne pas gracier (et autoriser la peine capitale !). Là, Constant Mutamba ne lui sera d’aucun secours, ni consolation.

Là, on aura alors le choix entre en rire ou en pleurer…

Omer Nsongo die Lema




La fédération de Mont Amba soutient la démarche de Néné Nkulu

Après la rentrée politique de l’AFBC, parti cher à Néné Nkulu, le week-end dernier à Fatima Gombe, c’est au tour de la fédération de Mont Amba de soutenir la démarche de son autorité morale de quitter le FCC de Joseph Kabila pour adhérer à l’opposition républicaine et soutenir les institutions de la République en place.

La fédération de Mont Amba, dirigée par Mme Gloire Tellmart, a convoqué une réunion élargie pour consolider une nouvelle stratégie centrée sur l’opposition républicaine.

« Unissons nos efforts pour bâtir une paix authentique et durable dans notre pays et préparer les élections de 2028 », a déclaré Mme Tellmart.

Par Didier Mbongomingi




CHAN: L’heure de briller est venue pour l’Ouganda

Surnom : Les Cranes

Participations : 6 (2011, 2014, 2016, 2018, 2020, 2022)

Dernière participation : Algérie 2022

Coorganisateurs du tournoi, les Cranes figurent parmi les équipes ayant disputé le plus grand nombre d’éditions du Championnat d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies (CHAN).

Prêts à faire leur septième apparition en phase finale, les Ouganadais connaissent bien cette compétition, mais peinent encore à marquer les esprits lors des phases finales.

Lors de leurs six participations précédentes, l’Ouganda n’a jamais réussi à franchir la phase de groupes. Cette année, devant un public très enthousiaste à Kampala, ils viseront au minimum cet objectif.

En plus d’être hôtes du tournoi, l’Ouganda, le Kenya et la Tanzanie profiteront de cette compétition pour évaluer leur préparation en vue de l’organisation de la CAN TotalEnergies 2027.

Comment l’équipe s’est qualifiée :

En tant que coorganisateurs du tournoi, l’Ouganda s’est qualifié automatiquement, aux côtés du Kenya et de la Tanzanie.

Cependant, dans le cadre de leur préparation, les Cranes ont disputé les qualifications, où ils ont battu le Burundi 2-0 sur l’ensemble des deux manches.

Joueur clé à suivre

Bogere James

À seulement 16 ans, Bogere James sera l’un des plus jeunes joueurs de l’équipe et du tournoi.

Meilleur buteur des qualifications de la CECAFA pour la CAN U-17 TotalEnergies avec sept buts impressionnants, ce jeune talent a été inclus dans la liste provisoire de 28 joueurs de l’entraîneur Paul Put. Il jouera un rôle essentiel pour les Cranes lors des phases finales.

Le sélectionneur

Paul Put

Technicien belge très expérimenté, Paul Put dirigera les Cranes durant cette édition du CHAN.

Avec une riche expérience du football africain, il a notamment mené le Burkina Faso en finale de la CAN CAF TotalEnergies 2013 en Afrique du Sud, battu par le Nigeria 1-0.

Âgé de 68 ans, Paul Put a découvert le football africain avec la Gambie entre 2008 et 2011 avant de rejoindre le Burkina Faso en 2012. Il a également dirigé le club nord-africain USM Alger entre 2016 et 2017, ainsi que d’autres équipes avant ses passages récents avec le Kenya, la Guinée et le Congo.

Performances passées au CHAN

Lors de leurs six précédentes participations, les Cranes de l’Ouganda n’ont jamais réussi à dépasser la phase de groupes. Avec le soutien de leurs supporters, ils espèrent réécrire l’histoire et améliorer leur bilan lors de cette édition.

À quoi s’attendre :

Malgré leurs performances passées limitées, l’excitation est à son comble en Ouganda à l’idée d’accueillir deux compétitions de la CAF, avec la CAN TotalEnergies 2027 également à l’horizon.

Le soutien des supporters jouera un rôle clé pour galvaniser les coorganisateurs vers une performance impressionnante le mois prochain.

Le saviez-vous ?

L’Ouganda est la nation la plus titrée de la région CECAFA avec un impressionnant palmarès de 40 Coupes CECAFA. Ils espèrent ajouter le trophée du CHAN TotalEnergies à leur vitrine.




CHAN/ Kenya : L’ambition d’une première

Surnom : Harambee Stars

Nombre de participations : 1ère (2024)

En tant que coorganisateur du Championnat d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2024, le Kenya s’apprête à faire ses débuts dans le tournoi.

Les Harambee Stars ont pour ambition de marquer les esprits sur leur propre sol et de démontrer leurs progrès sur la scène continentale.

Avec une base de supporters passionnés prête à encourager leur équipe, les joueurs et le staff technique du Kenya tenteront de laisser une empreinte mémorable lors de cette première historique.

Comment l’équipe s’est qualifiée

Le Kenya a obtenu sa place pour le CHAN 2024 en tant que l’un des trois pays coorganisateurs. Cette opportunité historique offre aux Harambee Stars la chance de montrer leur talent sur l’une des plus grandes scènes africaines.

Joueurs clés à suivre

Ryan Ogam : Meilleur buteur de la Premier League kényane avec 13 buts en seulement huit apparitions, Ogam sera une pièce maîtresse de l’attaque des Harambee Stars.

Austine Odhiambo : Joueur polyvalent, il a déjà inscrit cinq buts en championnat cette saison et ajouté deux réalisations supplémentaires lors de la COSAFA Cup. Sa créativité et sa vision de jeu font de lui un atout essentiel pour le dispositif des Harambee Stars.

Le sélectionneur




CHAN CAF : Les Faucons de Jediane prêts à déployer leurs ailes

Surnom : Faucons de Jediane

Nombre de participations : 2 (Soudan 2011, Algérie 2022)

Meilleur résultat : 3e en 2011

Le Soudan fait partie des équipes susceptibles de créer la surprise lors du Championnat d’Afrique des Nations TotalEnergies (CHAN), alors que les Faucons de Jediane ambitionnent de briller pour leur troisième participation à cette compétition.

L’équipe nationale soudanaise a su prouver ses capacités et s’assurer une place parmi les meilleures équipes du continent africain, obtenant ainsi son ticket pour la phase finale du CHAN 2024, coorganisé par l’Ouganda, la Tanzanie et le Kenya.

Le Soudan a réalisé son plus grand exploit continental en 1970, lorsqu’il a remporté la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies.

Comment le Soudan s’est qualifié

Le Soudan a décroché sa place pour les phases finales du CHAN 2024 après avoir disputé deux tours éliminatoires.

Premier tour : Victoire 1-0 à l’aller contre la Tanzanie, puis défaite 1-0 au retour. Les Faucons se sont qualifiés aux tirs au but.

Deuxième tour : Succès 2-0 à l’aller face à l’Éthiopie, suivi d’une défaite 1-0 au retour à Benghazi, en Libye. Le Soudan a néanmoins obtenu son billet avec un score cumulé de 2-1.

Le sélectionneur

Kwesi Appiah

Le Ghanéen Kwesi Appiah dirigera le Soudan lors du CHAN 2024. La Fédération soudanaise de football a recruté l’entraîneur de 64 ans en septembre 2023, succédant ainsi au Marocain Badou Zaki, qui a quitté son poste après avoir échoué à qualifier l’équipe pour la CAN TotalEnergies 2023 en Côte d’Ivoire.

Appiah a auparavant entraîné des clubs tels qu’Asante Kotoko (Ghana) et Al Khartoum (Soudan) entre 2014 et 2017, où il a connu un certain succès.

Ancien international ghanéen, il a dirigé les Black Stars de 2012 à 2014, les menant à la Coupe du Monde 2014 au Brésil. Il a également repris les rênes de l’équipe nationale entre 2017 et 2020.

Joueur à suivre

Mohamed Abdel Rahman « Al-Ghorbal »

Attaquant du club soudanais Al-Hilal, Mohamed Abdel Rahman est le joueur le plus en vue de l’équipe nationale. Troisième meilleur buteur de l’histoire du Soudan, il apporte une grande expérience acquise à travers ses passages dans des clubs soudanais et étrangers, ce qui sera un atout majeur pour les Faucons de Jediane lors du CHAN 2024.

Performances précédentes

Le CHAN 2024 marquera la troisième participation du Soudan à ce tournoi continental.

Première participation : 2011, en tant que pays hôte.

Dernière participation : Algérie 2022.

Le meilleur résultat des Faucons de Jediane reste leur troisième place en 2011.

Le saviez-vous ?

L’entraîneur Kwesi Appiah fera ses débuts en Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) après avoir déjà participé à des compétitions continentales et mondiales majeures, comme la CAN TotalEnergies et la Coupe du Monde avec le Ghana.




CHAN : Les Chipolopolo en quête d’un deuxième titre continental

Surnom : Les Chipolopolo

Nombre de participations : 4 (2009, 2016, 2018, 2020)

Dernière participation : Cameroun 2020

Meilleure performance : 3e place (2009)

La Zambie est une habituée du Championnat d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies. Les Zambiens ont réussi à se qualifier pour la phase finale à quatre reprises sur les sept éditions précédentes.

Cette nation d’Afrique australe a indéniablement prouvé son talent et s’est imposée comme l’une des meilleures équipes de football africain.

Malgré une absence de titres continentaux ces dernières années, les Chipolopolo ont conservé leur domination régionale, remportant sept titres du tournoi régional COSAFA, le plus récent étant en 2023.

Comment l’equipe s’est qualifiée

La Zambie a obtenu sa qualification grâce à un forfait de l’équipe du Mozambique, qui s’est retirée de la compétition.

Le sélectionneur

Wedson Nyirenda

Médaille de bronze en 2009, la Zambie sera dirigée par l’expérimenté Wedson Nyirenda lors de cette édition. Ancien attaquant ayant évolué au Nchanga Rangers et au Power Dynamos en Zambie avant de rejoindre Kaizer Chiefs en Afrique du Sud, Nyirenda a connu une carrière de joueur couronnée de succès avant de se tourner vers le coaching.




Zidane recale les Bleus pour un banc prestigieux, l’annonce fracassante !

Alors que tout le monde l’imagine reprendre en mains l’équipe de France en 2026, Zinedine Zidane pourrait retrouver un poste avant.

Zinedine Zidane sera-t-il le successeur de Didier Deschamps ? La semaine dernière, l’actuel sélectionneur de l’équipe de France a annoncé qu’il quitterait son poste à l’issue de la Coupe du monde 2026. Date à laquelle son bail avec la FFF prendra fin. Dès lors, « Zizou » s’avance comme le grandissime favori pour prendre le relai. A moins que…

Au lendemain de la nouvelle claque reçue par le Real Madrid face au FC Barcelone (2-5), dimanche soir en finale de la Supercoupe d’Espagne, Carlo Ancelotti n’est pas épargné par les critiques. Il se dit même que sa position serait fragilisée après cette deuxième humiliation consécutive face au rival historique, après le 0-4 encaissé en Liga lors de la première partie de saison.

Le Real Madrid plutôt que les Bleus ?

Alors qu’un possible départ du technicien italien est évoqué ce lundi matin par la presse espagnole, le nom de Zidane est comme toujours cité pour le remplacer. Un poste qui pourrait faire sortir le champion du monde 98 de sa période d’inactivité, lui qui n’a plus entraîné depuis son dernier passage à la Maison blanche entre 2019 et 2021.

Pour le journaliste de RMC Sport, Arthur Perrot, la possibilité de voir l’ancien numéro 10 des Bleus reprendre en mains le Real Madrid avant l’équipe de France ne serait pas à écarter. « Scénario écrit d’avance ? La place qui se libère à Madrid pour Zinedine Zidane, avant celle en équipe de France », a-t-il écrit sur X. La FFF et son président Philippe Diallo vont donc rapidement devoir s’activer pour ne pas voir le natif de Marseille leur passer sous le nez.