La République du Ghana décide de suspendre ses relations diplomatiques avec la pseudo “rasd”

La République du Ghana a décidé de suspendre ses relations diplomatiques avec la pseudo “rasd”.

Cette décision a été communiquée dans un document officiel du ministère des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale de la République du Ghana, adressé au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger du Royaume du Maroc.

La République du Ghana “a décidé d’informer immédiatement, à travers les canaux diplomatiques, le Gouvernement du Royaume du Maroc, l’Union Africaine et l’Organisation des Nations Unies, de cette position”.

Dans le même document officiel, la République du Ghana a exprimé son appui aux “efforts de bonne foi déployés par le Royaume du Maroc afin de parvenir à une solution acceptée par toutes les parties”.

Il convient de rappeler que la République du Ghana avait reconnu la pseudo “rasd” en 1979.

Grâce à l’impulsion donnée à la question du Sahara marocain par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, 46 pays, dont 13 africains, ont rompu ou suspendu leurs relations avec la pseudo “rasd” depuis 2000.




Le PSG bientôt exclu de la Ligue des champions ?

Le litige financier qui oppose le PSG à Kylian Mbappé pourrait avoir de très lourdes conséquences pour le club de la capitale.

Le 15 janvier sera une date importante pour l’avenir européen du PSG. C’est effectivement ce jour-là que les clubs engagés dans les compétitions continentales doivent communiquer à l’UEFA, organisateur de la Ligue des champions, de la Ligue Europa et de la Ligue Conférence, les éléments justifiant qu’ils n’ont aucun retard de paiement de leurs salariés.

« Au 15 juillet, au 15 octobre et au 15 janvier de la saison de licence, le bénéficiaire de la licence ne doit avoir aucun arriéré de paiement envers son personnel résultant d’obligations contractuelles ou légales dû au plus tard le 30 juin, le 30 septembre et le 31 décembre, respectivement », stipule ainsi l’article 82.01 du règlement de l’instance, relayé par L’Equipe.

Le PSG sous la menace à cause de Mbappé

Problème, un litige financier oppose depuis plusieurs mois le Paris Saint-Germain à son ancien joueur Kylian Mbappé. L’attaquant français réclame quelque 55,4 millions d’euros de salaires et primes impayés entre avril et juin derniers au club de la capitale qui, mécontent du départ du capitaine des Bleus au Real Madrid cet été, refuse toujours de lui verser cette somme.

La commission juridique de la Ligue de football professionnel, le 11 septembre, ainsi que la commission paritaire de la LFP, le 25 octobre, ont pourtant prononcé deux décisions favorables au néo-Merengue, estimant que le PSG devait passer à la caisse. Mais les dirigeants restent campés sur leur position, ce qui pourrait coûter encore plus cher aux Rouge et Bleu.

Plusieurs sanctions possibles pour le PSG

Si l’UEFA considère que les champions de France sont fautifs dans ce dossier, l’instance de contrôle financier des clubs (ICFC) pourrait exiger d’eux qu’ils règlent enfin la note. En cas de nouveau refus, elle pourrait alors prononcer une lourde sanction à leur encontre. Si le PSG se dit « serein », dixit L’Equipe, la menace est tout de même à prendre très au sérieux.

« L’amende, la déduction de points, la rétention de recettes provenant d’une compétition de l’UEFA, l’interdiction d’inscrire de nouveaux joueurs à des compétitions de l’UEFA ou (…) la disqualification de compétitions en cours et / ou l’exclusion de compétitions futures » sont autant de punitions possibles pour le club présidé par Nasser Al-Khelaïfi.




Didier Deschamps, l’énorme annonce !

Sélectionneur de l’équipe de France depuis 2012, Didier Deschamps aurait pris la décision de quitter les Bleus, selon Le Figaro. La date de son départ est même déjà fixée.

La fin approche pour Didier Deschamps ! Le sélectionneur de l’équipe de France, en poste depuis 2012, a pris la décision de quitter les Bleus en 2026, annoncent Le Figaro et L’Equipe ce mardi soir.

Didier Deschamps devrait officialiser la nouvelle ce mercredi dans le journal de 13 heures de TF1, en marge de lors d’un entretien croisé avec Brigitte Macron dans le cadre de l’opération pièces jaunes. La décision aurait été prise il y a un bon moment, et le patron des Bleus a déjà prévenu son staff. Philippe Diallo, le président de la FFF, a également été mis au courant en fin d’année 2024.

Deschamps, la fin est programmée

L’ère Didier Deschamps s’arrêtera donc en 2026, à l’issue de l’actuel contrat du capitaine des champions du monde 1998. Elle s’achèvera sur une quatrième et dernière participation à la Coupe du monde, si les Bleus valident leur qualification. D’ici là, Kylian Mbappé et ses coéquipiers tenteront également de remporter une nouvelle Coupe des Nations.

Sous la direction de « DD », l’équipe de France a conquis son deuxième titre de champion du monde en 2018, en Russie. Les Bleus ont également disputé une autre finale au Qatar, en 2022, où ils ont buté sur l’Argentine. Antoine Griezmann, Hugo Lloris & Co ont également disputé la finale de l’Euro 2016, en France.

La question de la succession de Didier Deschamps va rapidement se poser. La FFF a le temps de voir venir, et le premier nom qui vient en tête est celui de Zinedine Zidane. L’ancien coach du Real Madrid n’a jamais caché son intérêt pour les Bleus, et il est actuellement libre. Cela sonne comme une évidence, encore faut-il que « ZZ » accepte de patienter encore un an et demi.




Jean-Marie le Pen, “figure historique de l’extrême droite” française, est décédé

Jean-Marie Le Pen, co-fondateur du parti politique français Front national (FN), est décédé ce mardi à Garches en région parisienne, selon la presse française.

Mort à l’âge de 96 ans, M. Le Pen fut une “figure historique de l’extrême droite” française dont le rôle “relève désormais du jugement de l’Histoire”, selon un communiqué de l’Elysée sur la disparition de la personnalité.

Au sein du FN qu’il avait co-créé en 1972, devenu aujourd’hui le Rassemblement national (RN), M. Le Pen s’était battu pour “les grands sujets” comme, entre autres, l’immigration, la mondialisation, “la souveraineté nationale et le risque de dilution dans l’Union européenne”, selon un communiqué du RN.

M. Le Pen “aura été une figure de la vie politique française”, malgré des “polémiques qui étaient son arme préférée et des affrontements nécessaires sur le fond”, a indiqué sur X le Premier ministre français François Bayrou. “On savait, en le combattant, quel combattant il était.”

“Le combat contre l’homme est fini. Celui contre la haine, le racisme, l’islamophobie et l’antisémitisme qu’il a répandus, continue”, a indiqué sur X, Jean-Luc Mélenchon, leader du parti politique français La France insoumise (LFI).

“Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir de Jean-Marie Le Pen, il aura incontestablement marqué son époque”, a réagi sur X le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Le ministre a adressé ses condoléances aux proches du défunt, dont sa fille Marine Le Pen, leader du RN, aujourd’hui premier parti en nombre de députés à l’Assemblée nationale française.




La Chine s’oppose à l’ajout de 11 entreprises sur la “liste d’entités” des Etats-Unis

Le ministère chinois du Commerce a déclaré mardi qu’il s’opposait fermement à la décision des Etats-Unis d’ajouter 11 entreprises chinoises à leur “liste d’entités” de contrôle des exportations pour des raisons soi-disant militaires.

“Depuis longtemps, les Etats-Unis ont généralisé le concept de sécurité nationale, abusé des mesures de contrôle des exportations et supprimé et contenu d’autres entités, ce qui a gravement porté atteinte aux droits et intérêts légitimes des entités concernées, compromis la sécurité et la stabilité des chaînes industrielles et d’approvisionnement mondiales, et entravé la reprise et le développement de l’économie mondiale”, a déclaré le ministère dans un communiqué.

La Chine exhorte la partie américaine à cesser immédiatement ses mauvaises pratiques, tandis que le pays prendra les mesures nécessaires pour sauvegarder les droits et les intérêts légitimes des entreprises chinoises, a ajouté le ministère.




« La Constitution ne bloque pas le développement du pays, mais c’est la mauvaise foi des gens » (Trésor Mutiki)

Face à la presse ce mardi 7 janvier à Sultani Hôtel, le député national Trésor Mutiki Lutala a eu à s’exprimer sur le dossier brûlant de l’heure à savoir le changement ou la modification de la Constitution comme annoncé par le Président Félix Tshisekedi.

Aux yeux de l’élu de Mwenga, la Constitution ne bloque pas le développement du pays, mais c’est la mauvaise foi des gens. Cependant, constate-t-il, le Chef de l’État a déjà parlé, donc il faut s’aligner. « Nous allons entendre la population sur ce dossier », a-t-il confié à la presse.

Très actif par son implication dans le contrôle parlementaire, puisqu’auteur de plusieurs questions orales et même écrite particulièrement aux Ministres des Mines et des Infrastructures, Trésor Mutiki Lutala a livré à la presse sa détermination à ne pas à baisser les bras.

Réhabilitation de la RN2 dans des tronçons Bukavu-Walungu-Mwenga-Kamituga-Kitutu-Kasongo ; Réhabilitation de l’aéroport de Kavumu par l’entreprise SODERIKO ; Lutte contre l’exploitation illicite des minerais par des expatriés de manière illégale à Mwenga. Et bien d’autres dossiers. Trésor Mutiki ne désarme pas.

Député épris de la cause des Congolais, en général, de ses électeurs de Mwenga, en particulier, Trésor Mutiki qui est déjà très actif sur terrain avec sa Fondation apportant le sourire à la population.

Soulignons que Trésor Mutiki était devant la presse nationale et internationale à l’occasion de l’an 1 de la Législature actuelle afin de parler du bilan de son exercice parlementaire, mais encore tracer les perspectives de son engagement pour les prochaines années.




RDC : Pour avoir relayé des prétendues avancées des terroristes sur le sol Congolais, RFI, TV5MONDE et France 24 menacées de suspension par le CSAC

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) menace de suspendre certains médias comme la Radio France International (RFI), TV5MONDE et France 24 pour avoir relayé des prétendues avancées des terroristes à Masisi situé dans la province du Nord-Kivu à l’Est de la République Démocratique du Congo.

Dans une publication faite ce mardi 07 janvier 2025, le président du CSAC s’insurge contre cette fausse information relayée par ces médias internationaux ce qui prouve selon lui, l’apologie du terrorisme en occultant les exploits des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) qui sont au front contre les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda.

“Je constate avec amertume que certains médias, comme RFI, TV5MONDE et FRANCE24 , relaient les prétendues avancées des terroristes tout en occultant les exploit des FARDC. Nous respectons la liberté d’expression et d’information, mais nous fustigeons fermement toute apologie du terrorisme. Les terroristes n’ont pas droit à la parole chez nous, comme partout ailleurs dans le monde. Il s’agit des vies humaines et de l’intégrité de notre territoire, des principes non négociables”, a-t-il écrit sur son compte X.

Et d’ajouter “J’exige que les médias, nationaux et étrangers, respectent ces valeurs fondamentales. En ma qualité de Président du conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, je n’hésiterai pas à soumettre à la plénière la question de leur suspension sur le territoire congolais si ces dérives persistent. Nous ne transigerons pas”.

Pour rappel, plusieurs médias ont relayé lundi 06 janvier 2024, une prétendue attaque des rebelles du M23 à Masisi dans la province du Nord-Kivu.

 

 

Fabrice Kabamba




Nord-Kivu : une bombe fait 4 morts à Sake

4 personnes tuées et quatre autres blessées, tel est le bilan de l’explosion d’une bombe larguée ce mardi 7 janvier 2025 au quartier Birere 2, dans la cité de Sake, en territoire de Masisi, au Nord-Kivu.

Selon les sources locales, l’engin explosif provenait de Kihuli (3 Antennes), sur des collines surplombant cette cité où de violents combats se sont poursuivis depuis le matin de ce mardi entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la RDC.

Les mêmes sources précisent que la plupart des victimes sont des déplacés des camps situés aux alentours de la cité.

A noter que les affrontements qui ont eu lieu ce matin ont créé une psychose au sein de la population civile de la cité de Sake et ses environs. Cependant l’armée congolaise et les patriotes résistants Wazalendo ont réussi à contenir la coalition des rebelles qui tentaient d’avancer vers l’axe Saké, le dernier verrou pour atteindre Goma, le chef-lieu de la province du Nord-Kivu.

 

Osée kalombo




Chute de Masisi : la Monusco dénonce la violation du cessez-le-feu par le M23

Après la prise de Masisi, la Monusco lève le ton et condamne la poursuite de l’expansion territoriale du M23 dans le Nord-Kivu et la violation de l’accord de cessez-le-feu signé le 30 juillet 2024 entre la RDC et le Rwanda.

Dans une déclaration faite ce mardi 7 janvier 2025, l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en RDC (MONUSCO), dénonce les attaques tragiques perpétrées par la coalition M23 soutenue par l’armée rwandaise qui ont causé, la mort des sept civils, tout en entraînant le déplacement de dizaines de milliers de personnes, exacerbant ainsi la crise humanitaire déjà sévère dans l’Est de la RDC.

 

« Cette escalade de violence, qui affecte cruellement les populations civiles, constitue un tournant tragique en ce début d’année 2025 et doit cesser immédiatement . J’exprime mes plus sincères condoléances aux familles des victimes de ces atrocités. Je déplore la reprise des offensives militaires au Nord-Kivu et appelle toutes les parties à soutenir pleinement le processus de paix de Luanda, en cours, sous l’égide du Président João Lourenço. » a déclaré Bintou Keita Représentante spéciale du Secrétaire général en République démocratique du Congo et Cheffe de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en RDC Monusco.

 

Bintou Keita a, en outre, réaffirmé l’engagement inébranlable de la Monusco à promouvoir la paix, la sécurité et la stabilité en RDC.

 

Elle appelle toutes les parties prenantes à œuvrer de manière constructive pour mettre fin aux violences et parvenir à une solution pacifique et durable au conflit dans la région.

 

Osée kalombo




Nord-Kivu : Pas de reprise des cours dans quelques écoles du territoire de Lubero suite à la recrudescence des attaques armées 

La reprise des cours n’a été effective le lundi 6 janvier dans les écoles de la sous-division éducationnelle de Njiapanda Manguredjipa, territoire de Lubero.

La société civile locale qui livre l’information, indique que c’est une conséquence de la recrudescence des attaques armées des présumés rebelles qui se sont accentuées dans la zone.

Au moins 90 personnes sont mortes en l’espace d’une semaine lors des incursions rebelles, poussant ainsi les partenaires éducatifs à fuir la zone, renseigne Samuel Kagheni, président de la société civile en secteur de Bapere.

“Vers le 31, on a tué des gens presque partout et automatiquement, cela a poussé les familles avec les enfants, les écoliers, à quitter la zone pour se réfugier dans des lieux qui sont un peu sécurisés. Cela automatiquement joue sur le calendrier scolaire.”

Cet acteur exhorte les autorités gouvernementales à pacifier la zone, car selon lui, cette situation peut handicaper l’éducation des enfants.

 

Loup solitaire