Casablanca: Le Complexe sportif Mohammed V rouvrira ses portes dans un nouvel écrin digne de son histoire (M. Lekjaa)

Le Président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), M. Fouzi Lekjaa, a affirmé, jeudi, que le Complexe sportif Mohammed V rouvrira ses portes dans un nouvel écrin digne de l’histoire de cette enceinte footballistique et de la réputation mondiale des supporters du Raja et du Wydad de Casablanca.

“Les travaux de réaménagement, tels qu’ils ont été constatés, sont à un stade ‘très avancé’. Il ne reste plus que quelques semaines avant leur achèvement. Le complexe rouvrira ses portes au plus tard à la fin du mois de mars prochain”, a souligné M. Lekjaa, qui effectuait une visite de terrain accompagné du Wali de la région de Casablanca-Settat, Mohamed Mhidia, du Gouverneur de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa, Aziz Dades et du Président de la Ligue nationale de football professionnel, Abdeslam Belkchour, afin de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux dans ce stade mythique.

Dans ce sens, le président de la FRMF a indiqué que le Complexe a été réaménagé de façon à porter sa capacité d’accueil à plus de 44.000 spectateurs, ajoutant qu’il a été doté de toutes les installations modernes, notamment dans les vestiaires, la tribune de presse et divers espaces visant l’accès fluide du public.

Il a estimé que cette enceinte footballistique constituera l’une des grandes réalisations dont bénéficiera Casablanca, poursuivant que, dans le cadre de l’organisation par le Royaume du Mondial-2030, la Métropole verra également la construction du stade Hassan II à Benslimane, doté d’une capacité de plus de 115.000 spectateurs.

“Les travaux ont déjà débuté et l’achèvement est prévu pour 2027, a précisé M. Lekjaa, notant que Casablanca inscrira son nom en lettres d’or dans les annales de la Coupe du monde, en accueillant les rencontres les plus prestigieuses de la compétition phare du ballon rond mondial.

Par ailleurs, il a relevé que les travaux d’équipement de plusieurs stades à Casablanca ont été lancés, précisant que l’école de formation du Wydad et l’Académie du Raja, verront leurs pelouses se doter du gazon naturel, tout comme les stades de Oasis et de Benjelloun.

L’objectif de ces chantiers est de tirer profit de l’héritage sportif qui sera légué par ces grandes compétitions et mettre ces infrastructures à la disposition des clubs nationaux, notamment le Raja et le Wydad, a poursuivi M. Lekjaa.

Il a indiqué que l’aménagement des stades Larbi Zaouli et Père Jégo se poursuivra également, précisant que des travaux ont également commencé dans deux complexes à Bouskoura, sur une superficie de 32 hectares. “Il s’agit d’un complexe national équivalant au Complexe Mohammed VI de football à Maâmoura, ainsi que d’un complexe fédéral à Médiouna, s’étalant sur une superficie de 12 hectares”, a-t-il mentionné.

L’objectif principal est de permettre à la ville de Casablanca et à ses clubs de tirer pleinement profit des grandes compétitions que le Royaume accueillera et ce, pour le développement de la pratique du football dans la ville”, a conclu M. Lekjaa.




Les Young Africans s’offrent l’entraîneur Algérien Miloud Hamdi

Le mardi 04 février, les Young Africans ont désigné l’entraîneur algérien Miloud Hamdi à la tête de leur encadrement technique. Ce dernier succède à Siad Ramovic, dont l’aventure avec le club s’est terminée, il y a peu.

Le club tanzanien a annoncé l’accord avec l’entraîneur algérien, Miloud Hamdi, dans un communiqué officiel publié sur ses comptes de médias sociaux.

Les Young Africans ont également révélé le départ de leur désormais ex entraîneur serbe, Siad Ramović, et de son assistant Mustafa Kodro.

Les Young Africans, veulent s’appuyer sur l’expérience de l’entraîneur Miloud Hamdi pour aller à la conquête de nouveaux trophées sur le plan local mais aussi à l’échelle continentale.

L’entraîneur algérien Hamdi a une grande expérience au niveau continental. Il a été à la tête de plusieurs clubs algériens, tels que l’USM Alger, avec lequel il a disputé la finale de la Ligue des Champions CAF Total Energies au cours de la saison2015-2016, la Jeunesse Sportive de Kabilye et le Club Sportif Constantine, ainsi que le Club marocain de la renaissance de Berkane.

“La direction des Young Africans a conclu un accord entre les parties pour mettre fin au contrat avec l’entraîneur Siad Ramović et son assistant Mustafa Kodro. Dans une autre étape, les Young Africans annoncent l’arrivée de son nouvel entraîneur, Miloud Hamdi, qui a la nationalité algérienne et française.”, a annoncé le club

“L’entraîneur Hamdi, qui possède une expérience considérable en matière d’entraînement du football, ajoute le communiqué, a déjà travaillé en Europe, en Asie et en Afrique et rejoindra immédiatement l’équipe pour commencer ses nouvelles fonctions. En plus de son expérience, l’entraîneur a réalisé de grands succès dans le football africain, remportant le titre de champion d’Algérie et disputant la finale de la Ligue des Champions Africaine lors de la saison 2015-2016 avec l’USM Alger”

Les espoirs des fans des Young Africans Africains reposent désormais sur les épaules de son nouvel entraîneur. Ils comptent sur son nouveau leadership pour viser de nouveaux succès.




Naomi Eto rejoint l’En Avant Guingamp

Elle s’était récemment exprimée sur son ambition de rejoindre un club européen, et son rêve est désormais une réalité. À 20 ans, Naomi Eto, capitaine des Lioncelles du Cameroun, quitte les Forces Armées et Police (FAP) de Yaoundé pour rejoindre l’En Avant Guingamp en Ligue 1 féminine française.

Révélation de la Coupe du Monde Féminine U-20 en 2024, disputée en Colombie, la talentueuse attaquante camerounaise a brillé en inscrivant 4 buts, confirmant son statut de joueuse clé de sa génération. Sa performance a attiré l’attention de plusieurs clubs européens, mais c’est finalement Guingamp qui a décroché sa signature.

Eto rejoint le club breton avec un contrat de six mois, soit jusqu’en juin 2025, avec pour mission d’aider l’équipe à se maintenir en première division. Actuellement en difficulté en Ligue 1 féminine, l’En Avant Guingamp occupe la dernière place du classement et lutte pour éviter la relégation en D2. L’arrivée de la Camerounaise, reconnue pour sa vitesse, sa puissance et son sens du but, pourrait être un atout majeur pour inverser la tendance et assurer le maintien du club parmi l’élite du football féminin français.




Sébastien Siani : « Gagner une CAN, c’est le graal »

Sébastien Siani : « Gagner une CAN, c’est le graal »

Un des hommes clés du dispositif de Hugo Broos lors de la victoire du Cameroun à la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Gabon 2017, Sébastien Siani faisait partie des principaux artisans de ce succès qui restera dans les mémoires.

Qui ne se rappelle pas de son but égalisateur face à la Guinée-Bissau à la deuxième journée de la phase de poules qui avait permis de débloquer une rencontre mal embarquée par les Lions indomptables, finalement vainqueurs 2 buts à 1 avec une autre réalisation signée Michael Ngadeu ?

C’est encore lui, qui, d’une passe astucieuse avait localisé Vincent Aboubakar pour le somptueux but victorieux en finale face à l’Egypte (2-1), ce soir du 5 février 2017.

Par ses qualités techniques exceptionnelles, sa puissance et surtout sa vision éclairée du jeu, Sébastien Siani avait su donner une âme et une puissance au milieu de terrain camerounais dont il était le principal régulateur.

Huit ans après ce sacre mémorable, l’ancien joueur du KV Ostende, actuellement en formation (UEFA A) pour devenir entraineur, reste marqué par l’émotion de cette victoire qui représente sans doute le moment le plus important de sa carrière, « le graal », comme il le qualifie lui-même.

Dans une interview accordée à CAFOnline, il raconte cette épopée et nous plonge dans les secrets de la surprenante victoire de cette équipe camerounaise dont personne ne vendait cher la peau avant le début de la compétition.

CAFOnline : Qu’est-ce que ça représente pour un joueur africain de gagner une CAN ?

Sébastien Siani : Gagner une CAN, c’est le rêve de tout joueur africain. C’est une compétition qui rassemble les meilleures équipes du continent et qui porte un poids énorme pour nos pays, nos familles et nos supporters. Cela représente l’accomplissement d’années de travail, de sacrifices, et une immense fierté pour tout un peuple. C’est le graal.

Avec plusieurs défections observées avant la CAN 2017, votre groupe était-il réellement ambitieux au départ ?

Au début, beaucoup de gens ne croyaient pas en nous à cause des absences de plusieurs cadres. Mais dans le groupe, nous étions unis et déterminés à montrer que le Cameroun avait encore des ressources. Hugo Broos a réussi à nous insuffler la mentalité de ne jamais abandonner.

La qualification au second tour au détriment du pays organisateur a-t-elle été le premier déclic ?

Oui, définitivement. Sortir du groupe en éliminant le Gabon chez eux a boosté notre confiance. Nous avons commencé à croire que nous pouvions aller plus loin. C’était un tournant psychologique pour l’équipe. Et on n’oublie pas l’exploit de Ondoa (le gardien de but, Ndlr) pour nous maintenir dans la compétition

En quart de finale face au Sénégal, personne ne vendait cher votre peau, mais vous aviez triomphé. Y avait-il eu une préparation spécifique pour cette rencontre ?

Le Sénégal était une grande équipe avec des stars comme Sadio Mané, Kouyaté, Koulibaly…

On savait qu’on devait jouer un match parfait. Hugo Broos nous a préparés mentalement et tactiquement. On a travaillé sur la discipline défensive et la solidarité, ce qui a payé.

Et contre le Ghana qui avait aussi un effectif solide, vous gagnez 2-0 en demi-finale. Qu’est-ce qui avait finalement rendu cette rencontre facile pour vous ?

Le Ghana est une grande nation de football, mais nous avons senti qu’ils n’étaient pas aussi affamés que nous. Nous avions une motivation supplémentaire, et notre solidarité sur le terrain a fait la différence.

Comment se passait le travail avec Hugo Broos en 2017 ? Quel type d’entraîneur est-il ?

Hugo Broos est un coach calme et pragmatique. Il a su nous écouter, nous comprendre, et tirer le meilleur de chacun. Il a donné une grande liberté à ses joueurs tout en imposant une discipline collective.

Quel a été le secret de ce succès en 2017 ?

Le secret, c’était notre unité. Nous n’avions pas les grands noms, mais nous étions une vraie équipe. Tout le monde jouait pour le collectif, et nous avons mis notre ego de côté pour le Cameroun.

À partir de quel moment avez-vous réalisé que vous pouviez gagner cette Coupe ?

Après la victoire contre le Sénégal en quart de finale. Nous savions que si nous pouvions battre une équipe aussi forte, rien n’était impossible. On ne se mettait pas de pression sur le long terme mais sur chaque match

Quelles étaient les grandes personnalités du vestiaire ?

Des joueurs comme Benjamin Moukandjo, Nicolas Nkoulou, et Vincent Aboubakar étaient des leaders naturels. Malgré notre jeunesse, chacun a joué son rôle pour maintenir l’équilibre du groupe.

Moi j’étais le doyen (rire…)

Vous aviez marqué un but important contre la Guinée-Bissau à la deuxième journée de la phase de poules. Racontez-nous ce moment.

C’était un moment incroyable. Le ballon m’est arrivé à l’entrée de la surface via le Capi Benjamin (Moukandjo) qui connaît très bien ma force de frappe, et j’ai frappé sans réfléchir. Voir le ballon au fond des filets m’a rempli de joie. Ce but a changé la dynamique du match. On avait fait une très mauvaise 1ere mi-temps. Et c’était inadmissible de perdre contre la Guinée-Bissau. Il ne le fallait pas du tout. Et Ngadeu a fait le reste sur une passe décisive de Bassogog.

Dans quel état d’esprit aviez-vous abordé la finale contre l’Égypte ? Etiez-vous calmes ou anxieux ?

Nous étions calmes mais concentrés. On savait que l’Égypte était expérimentée, mais nous étions déterminés à écrire notre propre histoire. On n’avait rien à perdre de toute façon.

L’égalisation de Nkoulou et le chef-d’œuvre victorieux de Vincent Aboubakar dont vous étiez le passeur décisif. Racontez-nous ces moments.

Quand Nkoulou a marqué, cela nous a donné un énorme coup de boost. On était aussi très content pour lui vu son statut durant cette compétition (il était remplaçant, Ndlr) et surtout son comportement exemplaire.

Et puis, le but de Vincent, c’était magique. Je n’ai pas douté une seule seconde pour lui faire cette passe parce qu’on avait discuté plusieurs fois et il me demandait de ne pas hésiter lorsqu’il est en attaque.

On savait à ce moment-là que la Coupe était à nous. On avait brisé la malédiction de perdre face à l’Égypte de Mohamed Salah.

L’hommage à Marc-Vivien Foé, avec le numéro 17 porté après la victoire avait quelle signification pour vous ? Un moment émouvant, non !

Absolument. Marc-Vivien Foé reste une légende du football camerounais. Cet hommage était une manière de lui rappeler qu’il fait toujours partie de notre histoire. Un grand homme

Quels sont vos meilleurs souvenirs de cette CAN ?

Les moments partagés avec l’équipe, la fête après la finale, et l’accueil incroyable de nos supporters en rentrant au pays.

Une expédition victorieuse comme celle-là est forcément parsemée d’anecdotes. Pouvez-vous en partager quelques-unes avec nous ?

Durant le match face au Sénégal, je discute avec Kouyaté et Coulibaly. Ils me demandent si notre attaquant (Ndip Tambe), l’est vraiment.

Tellement il défendait très dur. C’était un monstre pour la défense adverse. Il nous a fait du bien.

Comment avez-vous vécu l’accueil du public et la réception à la présidence ?

C’était incroyable. Voir tout un pays uni pour célébrer notre victoire était émouvant. La population qui a dormi à l’aéroport et qui nous a escortés sur presque 40km à notre arrivée, c’était impensable.

La réception à la présidence était un honneur. De rencontrer le Président de la république, un privilège.

C’est l’unique CAN que vous avez disputée dans votre carrière et elle a été couronnée de succès. Cela a quelle signification pour vous ?

C’est une fierté immense. Cette victoire restera à jamais gravée dans mon cœur. Il n’y a aucun mot assez fort pour la définir.

Le Cameroun, pour la prochaine CAN a été tiré dans le groupe F en compagnie de la Côte d’Ivoire, du Gabon et du Mozambique. Quelle appréciation faites-vous de ces adversaires des Lions ?

Ce sera un groupe assez abordable, mais le Cameroun a l’expérience pour passer. On doit juste garder notre sérieux match après match pour ne pas être surpris. Il n’y a plus vraiment de petites équipes durant une compétition internationale.

Le Cameroun a-t-il les chances de gagner comme en 2017 ?

Oui, si l’équipe joue comme un collectif et reste concentrée sur l’objectif, tout est possible. Le Cameroun est un pays de compétiteurs et même quand on ne rugit pas fort, on reste des lions indomptables.

En tant qu’ancien vainqueur, quels sont selon vous les secrets pour gagner une CAN ?

La discipline, la solidarité, et la détermination. Il faut croire en soi et travailler pour le collectif, pour la nation. Peut-être qu’il y a d’autres secrets mais ceux-là sont primordiaux.

Quel regard portez-vous sur cette compétition aujourd’hui, étant de l’extérieur ?

La CAN est une compétition spéciale. Elle reflète la passion et l’âme du football africain. Elle est à mes yeux, la p

lus importante pour tout Africain qui aime le sport.




Agression de la RDC par le Rwanda:  Marie-Thérèse Sombo scanne la Communauté estudiantine 

La Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Marie-Thérèse Sombo, poursuit la sensibilisation de la Communauté universitaire en général, et singulièrement les étudiants congolais à l’éveil patriotique face à la guerre dont est victime la RDC de la part du Rwanda, ses supplétifs et des puissances occidentales.

A l’Institut National des Arts à Kinshasa (INA), près de 1.000 étudiants ont été regroupés pour cette cause. Occasion propice pour cet établissement de l’ESU d’apporter son appui à travers une chanson patriotique dont le clip a été tourné et la sortie officielle annoncée pour ce vendredi.

« Il est crucial que notre jeunesse universitaire prenne conscience de l’importance de défendre notre pays face à ces agressions. Leur patriotisme est une force inestimable pour notre nation », a dit la patronne de l’ESU.

Signalons que cette démarche s’inscrit dans une série d’actions entreprises par le gouvernement pour unir la population congolaise et faire face aux défis sécuritaires.

Bernetel Makambo




Arts martiaux: La DAMA organise la journée de bienfaisance des arts martiaux en RDC le Samedi 8 février 2025

La Dynamique des Arts Martiaux et Alliés ‘’DAMA’’, s’apprête à organiser la journée de bienfaisance des arts martiaux en RDC prévue, le samedi 8 février 2025 au Centre Sportif de Judo de la Police Nationale Congolaise.

Sous la présidence de Me Rodrigue Masuama, président de la Fédération Congolaise des Combats Libres ‘’FCCL’’ et de la DAMA, la réunion d’évaluation de la préparation de cette journée de bienfaisance, c’était tenue le samedi 01/02/2025 à l’Entrée 11 du stade des martyrs.

A l’issue de cette réunion, il a été décidé que les différentes disciplines vont prester à tour de rôle. Chaque discipline aura 15 minutes pour la démonstration.

Le programme s’articule comme suit :

1.- Taekwondo WT : 15′

2.- Capoeira : 15′

3.- Tong-Il Moo-Do : 15′

4.- Combats libres : 15′

5.- Taekwondo ITF : 15′

6.- Ninjutsu : 15′

7.-Karaté.

La journée s’annonce merveilleuse et les absents ne s’en prendront qu’à eux-mêmes.

De Bonsambo




Page d’histoire: La Cité Kauka, creuset du basket-ball à Kinshasa

Dans la présente édition, nous planchons sur le basket-ball et mettons un accent particulier sur la Cité Kauka, creuset du Basket-ball à Kinshasa.

Quid de basket-ball

En consultant Google, le Basket-ball, est un sport collectif de balle opposant deux équipes de cinq joueurs sur un terrain de forme rectangulaire. L’objectif de chaque équipe est de faire passer un ballon au sein d’un arceau de 45 cm4 de diamètre, fixé à un panneau et placé à 3,05 m du sol : le panier. Chaque panier inscrit rapporte deux points à son équipe, à l’exception des tirs effectués au-delà de la ligne des trois points (qui rapportent trois points) et des lancers francs accordés à la suite d’une faute (qui rapportent un point). L’équipe avec le nombre de points le plus important remporte la partie.

Quelques grands joueurs issus de Cité Kauka

La Cité Kauka, creuset du basket-ball à Kinshasa

Sur le plan sportif, la Cité Kauka est le creuset du basket-ball à Kinshasa.

En effet, deux entrailles de cette cité sont sorties deux grands clubs congolais en occurrence BC Onatra, actuel BC SCTP et BC Kaula qui n’existe plus. BC Onatra est le club le plus titré en RDC. Il détient le record absolu des titres tant local, national qu’international.

En outre, de la Cité Kauka sont sortis également des grands joueurs, arbitres et entraineurs comme les témoignent les lignes qui suivent :

BC Onatra

Ce club fut fondé le 6 juin 1960 par feu M. Augustin Ngoi mieux connu par son sobriquet Majorité et feu Lumanisha, sous la tutelle du Cercle privé Onatra. Le club s’appela tour à tour BC Linck Sport, U.B.C Marco et enfin, Onatra depuis le 3 juin 1967.

Grands noms (joueurs)

1ère génération : Bula Sombe, Mazobeda, Ndudi André, Lukusa François, Mandola-Ebengo et Mengamess Paul.

2è génération : Pili-Pili, Lukusa Rico, Mozingo Mozin, Mayala Elo, Kasongo, Besa, Europa, Lievin Mbumba…

3è génération : Amboko Sada, Jean Marie Ntangu, Paulo Egbondo, Dikembe Mutombo, Miteba-Ilo, Ernest Basonge, Richard Mosengo…

Kalakala Mwamba, l’un des meilleurs coachs

4è génération : Denis Manzangi, Pierrot Ilunga, Kalala, Malemba, Mabilama, Mutombo Docta…

5è génération : l’ossature actuelle.

Palmarès BC Onatra

22 fois champion de Kinshasa

19 fois champion du Zaïre, Congo

4 fois champion d’Afrique Centrale (1995, 1998, 2004 et 2008)

1 fois champion d’Afrique des vainqueurs en 2003

Plusieurs fois vice-champion du Zaïre, Congo, de Kinshasa et d’Afrique Centrale.

BC Kauka

Fondé en 1981 par Mandola-Ebengo. BC Kauka était présidé par Désiré Mubongolo avant sa disparition.

Grands noms (joueurs)

1ère génération : Vicky Lutondo, Chogun Kamana, Lepira-Litoko

2è génération : Charly Buzangu, Mandola Lolango, Tshimpaka ‘’Le Vieux’’, Teyi ‘’Djager’’, Richier Mandela, Serge Buzangu et Kalilou Haray

3è Génération : Ndombele, Buzangu ‘’Djonico’’, Mohamed Ntumba

Palmarès BC Kauka

Champion de Kinshasa en 1993 et 2006

Champion du Congo en 2006

Autres clubs de Kauka

1.BC City Kauka fondé en 2005 par Balongola Ladock. Siège : Avenue Flora N° 18 Cité Kauka

BC City Kauka a accédé en 1ère Division en 2008.

2. BC Sogores fondé par Nono Matanda ce club a disparu.

3. BC Révélation fondé par Litandi Beda

4. BC Kauka filles a disparu

5. BC Les Amitiés/filles fondé par Alain Bulu.

Les arbitres issus de la Cité Kauka

1. Nono Matanda

2. Alain Bulu

3. Rocasien Monzia

Noter bien : les deux premiers étaient arbitres internationaux

4. Matanda

5. Nzondo Vincent

Noter bien Matanda et Nzondo Vincent sont commissaires.

Les entraineurs issus de la Cité Kauka

1. Mozingo Mozin (BC Onatra, Hatari, Molokaï)

2. Mutune Mire + (BC Kauka, Onatra…)

3. Jean Marie Ntangu (BC INSS, BC Arc-En-ciel, Fatima…)

4. Kalakala ‘’Mbuta’’ (BC Kauka, Onatra…)

5. Paulo Egbondo (BC Onatra)

6. Sada (BC Onatra)

7. Feu Emema Payne (BC Tourbillon)

8. Vicky Lutondo (BC Kauka)

9. Mandola Lolango (BC Lupopo)

10. Charly Buzangu (BC V. Club, Kauka, Arc-en-Ciel…)

11. Serge Buzangu (BC Kauka)

12. Guy Aguami (BC City Kauka)

13. Buzangu ‘’Djonico’’

De Bonsambo




Volley-ball: L’Euvokin tiendra son Assemblée générale ordinaire le lundi 10 février

Dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction, le Comité Exécutif de l’Entente Urbaine de Volleyball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ informe tous les sociétaires qu’il tiendra son Assemblée générale ordinaire, le lundi 10/02/2025 à 15 heures à la salle du gymnase de la Police Nationale.

Par ailleurs, l’Euvokin attire leur attention que seuls les clubs qui ont tenu leur Assemblée générale ordinaire respective, prendront part à ces assises. Il leur est demandé de passer ce vendredi au Secrétariat pour retirer l’invitation, le rapport d’activités et le Règlement du championnat.

De Bonsambo




Vital Kamerhe sensibilise sur l’urgence d’une solidarité africaine face au drame qui se déroule dans la partie Est de la Rdc    

Au lendemain de la séance plénière marathon de la session extraordinaire qui a permis aux ÉLUS Nationaux de réfléchir sur les voies et moyens politiques et diplomatiques pour sortir la RDC de la crise qu’elle traverse.

Le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe est arrivé à Rabat, la Capitale du Maroc pour prendre part à la grande réunion des Présidents des Parlements des États africains atlantiques qui s’est ouvert le 06 Février 2025.

Le Speaker de la Chambre basse du Parlement Congolais a saisi l’opportunité lui offerte par cette grande tribune pour lancer un appel fort de solidarité des Pays Africains pour faire face au drame que le Rwanda entretient dans la partie Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

Le Professeur Vital Kamerhe, a salué la vision du Roi Mohamed VI du Maroc en réunissant les Pays riverains de l’océan Atlantique pour développer un cadre d’échanges et de coopération visant un développement et une croissance économique collective. Raison majeure de cet appel à la solidarité avec ce grand Pays au cœur du Continent africain qui a tant à donner pour l’émergence de toute l’Afrique grâce à ses ressources naturelles en abondance.

«Au moment où nous vous parlons c’est avec un cœur brisé que je suis venu parce que cette tribune m’offre l’occasion de m’adresser à vous mes frères africains et aux autres participants sur le drame qui se déroule dans la partie Est de mon Pays plus précisément dans la Province de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu dans l’indifférence totale du monde et je dirais aussi dans une relatif silence des états africains alors que notre devise en tant que africains c’est la solidarité. Réveillez-vous, mettons-nous ensemble et ensemble nous serons forts. Je formule une demande de mon Pays, solidarité et rien que la solidarité. Nous avons suivi des condamnations partout mais aucune sanction contre les assaillants qui ont endeuillé mon Pays comme si la vie d’un Congolais vaut moins que celle d’un Ukrainien”, a déclaré le Président Vital Kamerhe

Il a par ailleurs sollicité l’implication du Roi Mohamed VI en tant que Grand leader africain pour mobiliser les Chefs d’État de la région des Grands lacs africains et de l’Afrique sur la solidarité africaine parce qu’aujourd’hui a-t-il souligné, le Rwanda pille pendant plus de 30 ans les ressources naturelles de la RDC dans la grande indifférence de nos Frères africains et du reste du monde.

Il a rappelé que la République Démocratique du Congo n’a jamais fermé ses frontières à quiconque mais c’est une exigence de respecter son intégrité territoriale.