Ouverts cet avant-midi autour de 10 heures, les travaux du sommet mixte EAC- SADC se poursuivent à huis-clos. Le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, y participe par visioconférence depuis Kinshasa. Sur place à Dar-es-Salam, le pays est représenté par la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka. Quelques membres du Gouvernement congolais sont également présents, en l’occurrence : Aimé Boji Sangara, Ministre d’Etat, Ministre du Budget, Didier Mazenga, Ministre de l’Intégration régionale et Crispin Mbadu, Ministre de l’Urbanisme et Habitat.

Dans les allocutions prononcées lors de la cérémonie d’ouverture solennelle, les chefs d’Etat des deux organisations sous régionales ont, d’entrée de jeu, lancé des appels au cessez-le-feu dans l’Est de la RDC.

Plusieurs chefs d’Etat ont fait le déplacement de la capitale de la Tanzanie pour discuter autour de la crise en RDC qui s’est exacerbée avec l’occupation de la ville de Goma notamment par l’armée rwandaise.

Des voix s’élèvent à travers le monde pour condamner cette énième barbarie du régime de Paul Kagame, qui est présent à Dar es Salam après avoir boycotté la rencontre de Luanda, suscitant de nombreuses critiques à son égard.

Après donc les résultats mitigés enregistrés dans les processus de Luanda et Nairobi, tous les regards sont désormais tournés vers la capitale tanzanienne.

Une résolution finale est attendue en fin de journée reflétant la position commune de l’EAC et de la SADC sur cette crise qui n’a que trop duré.

En marge de la réunion des Présidents des Parlements Africains Atlantiques tenue le jeudi 06 Février à Rabbat, le Président de l’Assemblée Nationale le Professeur Vital Kamerhe, accompagné du Rapporteur Jacques Djoli et de quelques Députés Nationaux, a échangé avec Rachid Talbi El Alami, Président de la Chambre des Représentants du Royaume du Maroc.

Il était question pour ce dernier de lui témoigner tout le soutien du Royaume du Maroc en ce moment difficile que traverse la République Démocratique du Congo (RDC), suite à la violation de son intégrité territoriale par le Rwanda, une situation qui a fait des millions de morts depuis trois décennies dans l’indifférence totale de la Communauté Internationale et des Pays frères d’Afrique.

” Le Maroc entretient de très bonnes relations avec la République Démocratique du Congo. Il est normal qu’il ne puisse pas se réjouir face à la situation sécuritaire dans sa partie Est en suite à la violation de sa souveraineté au moment où nous sommes appelés à œuvrer collectivement pour faire émerger l’économie de l’Afrique et faire prospérer la coopération entre états. Le Maroc témoigne de son soutien total à la RDC et promet de partager son expérience dans la recherche de la stabilité. C’est une façon de lui rendre l’ascenseur car l’histoire retiendra que le Maroc a bénéficié pendant longtemps du soutien de la RDC. L’heure n’est plus à la guerre. L’heure est au développement”, a déclaré Rachid Talbi El Alami.

C’est donc une victoire de plus dans la diplomatie parlementaire menée par le Président Vital Kamerhe au Maroc après l’appel à la solidarité africaine lancé à tous ses collègues Présidents des chambres des Pays Africains Atlantiques. Un appel pris en compte dans la déclaration de Rabat.

«J’ai répondu à cet appel de mon collègue du Maroc pour profiter de cette tribune afin d’appeler les Pays frères d’Afrique à la solidarité autour de mon Pays, la République Démocratique du Congo qui vit un drame en ce moment. Je salue la promptitude du Royaume du Maroc, un Pays ami de longue date pour sa solidarité témoignée», a rétorqué le Président Vital Kamerhe

Il faut noter que, le Président de la Chambre des Représentants Marocain, Rachid Talbi El Alami, a annoncé sa disponibilité à venir en visite officielle très prochainement en République Démocratique du Congo.

Les chefs d’État des pays de l’EAC et de la SADC doivent se rencontrer ce samedi à Dar es Salaam en Tanzanie, pour discuter de la crise dans l’Est de la RDC. Jusqu’ici, les organisations régionales d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe, avaient mené des médiations parallèles. William Ruto, président du Kenya et de l’EAC, a annoncé la participation de ses homologues congolais et rwandais.

Vendredi, les ministres des Affaires étrangères des deux blocs régionaux, ont déjà tenté d’accorder leurs violons. Pour que ces discussions soient un succès, la présidence congolaise a déjà fait part de ses exigences : un cessez-le-feu immédiat, le retrait du M23 et des forces rwandaises du territoire congolais, la réouverture de l’aéroport de Goma, la rétrocession de la ville aux autorités légitimes, et enfin, la condamnation du Rwanda, explique notre correspondante à Nairobi, Gaëlle Laleix.

C’est sur ce dernier point, que l’EAC et la SADC, ont du mal à s’accorder. Vendredi, lors d’un sommet à Malabo, la Communauté économique des États d’Afrique centrale, « a condamné fermement le M23 et son allié le Rwanda ». Une position déjà adoptée la semaine passée par la SADC. « Mais au sein de l’EAC, il y a des acteurs directement impliqués dans le conflit » confie une source proche de la délégation burundaise qui pense que les États d’Afrique de l’Est devraient au moins s’aligner « sur le respect de l’intégrité territoriale et la souveraineté de la RDC ». Jeudi, Uhuru Kenyatta, l’ancien président kényan et médiateur du processus de Nairobi, a appelé la RDC et le Rwanda à un étroit dialogue, mais n’a pas condamné Kigali.

Du côté de Kinshasa, on se montre plutôt confiant, pointe notre correspondante sur place, Paulina Zidi. « Les signaux que nous avons vont dans le bon sens », explique Tina Salama, la porte-parole de Félix Tshisekedi. Elle rappelle la condamnation du Rwanda par la SADC la semaine dernière, par la communauté d’Afrique centrale, la CEEAC, ce vendredi ou encore l’adoption d’une résolution congolaise au Conseil des droits de l’homme de l’ONU pour la mise en place d’une commission d’enquête sur le Nord-Kivu.

Néanmoins, « les lignes bougent sur le plan diplomatique », conclut Tina Salama qui ajoute « le coupable est connu. L’on peut arrêter cela avant que ça n’embrasse toute la sous-région. »

Lettre des prêtres aux chefs de l’État

Les Églises catholique et protestante de RDC ont lancé une initiative de dialogue pour tenter de résoudre le conflit entre l’AFC/M23 – Alliance fleuve Congo (AFC) dont le groupe armé du M23 fait partie, soutenu par le Rwanda – et le gouvernement congolais.

Les délégués des deux confessions ont rencontré le président Félix Tshisekedi ainsi que des leaders de l’opposition dont Martin Fayulu, Delly Sesanga, Adolphe Muzito ou encore Matata Ponyo. Ils ont exprimé leur volonté d’engager des discussions avec toutes les parties prenantes au conflit y compris l’AFC/M23.

Les responsables religieux ont également écrit aux dirigeants de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) pour impliquer ces organisations régionales dans le processus.

Joint par RFI, Éric Nsenga, porte-parole de l’Église du Christ au Congo, s’exprime sur cette initiative.

« Nous avons vu les chefs de l’État pour partager l’initiative prise par les deux églises, en vue de parvenir à un consensus national et apaiser les tensions internes qu’il y a, aujourd’hui, dans mon pays.

« Pour cela, nous continuons à consulter des acteurs clés de la société civile et des acteurs politiques en vue d’un grand forum qui mettra ensemble les fils et les filles du pays pour réfléchir sur la voie de sortie de cette crise, mais, en même temps, accepter un pacte social de paix et du vivre ensemble.

« Mais aussi, nous avons un regard sur la question de la sous-région.

C’est pour cette raison que nous avons écrit officiellement aux dirigeants de l’EAC et de la SADEC pour qu’ils soient officiellement informés de l’initiative qui a commencé ici, au niveau national. Nous estimons que cette initiative devrait avoir l’attention de tous ces dirigeants pour contribuer efficacement au plan de sortie de crise », explique Éric Nsenga, porte-parole de l’Église du Christ au Congo.

La ville de Bukavu, située à l’Est de la République démocratique du Congo, a été frappée par un incendie dévastateur ce samedi 8 février 2025.

Le sinistre s’est déclenché aux environs de 13 heures sur l’avenue Busani, au quartier Ciriri, dans la commune de Bagira. Selon les premières estimations, au moins 25 maisons ont été totalement réduites en cendres, tandis que 8 autres ont dû être détruites pour limiter la propagation du feu.

L’origine exacte de l’incendie reste floue, bien que certaines sources locales évoquent l’hypothèse d’une explosion d’une batterie de panneaux solaires dans l’une des maisons sinistrées.

Cet incident vient s’ajouter à la longue liste des incendies qui ravagent régulièrement des habitations dans la ville de Bukavu, souvent causés par des installations électriques défectueuses ou une mauvaise manipulation de produits inflammables.

Une intervention héroïque des jeunes du quartier

Alors que les propriétaires des maisons étaient absents, occupés à la recherche du pain quotidien, des jeunes du quartier Ciriri ont bravement pris l’initiative de lutter contre le feu. Munis de moyens rudimentaires, ils se sont improvisés pompiers, mettant tout en œuvre pour contenir les flammes. Grâce à leur courage et leur solidarité, ils ont pu empêcher la destruction d’un nombre encore plus important de maisons.

Des familles démunies et un appel à la solidarité

Cet incendie a plongé des dizaines de familles dans une détresse absolue. N’ayant plus de toit ni de biens, ces sinistrés se retrouvent dans une précarité extrême et nécessitent une aide d’urgence. Face à cette tragédie, la Nouvelle Dynamique de la Société Civile, NDSCI CHUNVI YA CONGO, sous son noyau du quartier Ciriri, a exprimé sa compassion envers les victimes.

L’organisation appelle à une mobilisation collective impliquant les autorités locales, provinciales et nationales, ainsi que les organisations humanitaires et toute personne de bonne volonté, afin d’apporter une assistance aux familles sinistrées.

Un rappel à la prudence et à la prévention

Au-delà de l’émotion et de l’urgence humanitaire, ce drame souligne une fois de plus la nécessité de renforcer les mesures de prévention des incendies domestiques à Bukavu.

La NDSCI exhorte la population à une gestion plus rigoureuse des installations électriques, notamment des panneaux solaires et autres objets potentiellement inflammables. Elle plaide également pour un renforcement des dispositifs de lutte contre les incendies dans la ville, notamment la mise en place de moyens d’intervention plus efficaces.

Cet énième incendie vient rappeler l’urgence d’une meilleure sensibilisation et d’un accompagnement des ménages dans l’installation sécurisée des équipements électriques. En attendant, les familles sinistrées de Ciriri comptent sur la solidarité et l’engagement de tous pour leur permettre de reconstruire leurs vies brisées par les flammes.

E.A.N.

Dans un contexte marqué par des tensions sécuritaires, le Gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi Sadiki, a tenu un Conseil de sécurité d’urgence ce samedi 08 février 2025, à son cabinet de travail de Nyamoma. À l’issue de cette réunion stratégique, l’autorité provinciale s’est adressée à la presse pour faire le point sur la situation et rassurer la population quant aux mesures prises pour restaurer la paix et l’ordre.

Une situation sécuritaire sous contrôle

Face aux rumeurs et à la désinformation qui circulent, le Gouverneur a indiqué que malgré la présence ennemie dans certains villages du territoire de Kalehe, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), appuyées par les patriotes Wazalendo, tiennent fermement la majorité du territoire.

“Je tiens à rassurer la population du Sud-Kivu que, contrairement aux fausses informations propagées par l’armée numérique de l’ennemi, la situation demeure sous contrôle. La panique entretenue à travers des rumeurs sur l’avancée de l’ennemi vers Ihusi, Kalehe centre, Kabamba et Katana est totalement infondée. Nous appelons tout le monde à vaquer librement à ses occupations et à soutenir nos FARDC et nos compatriotes Wazalendo. Les élèves et étudiants doivent reprendre le chemin de l’école, et moi-même, en tant qu’enseignant, je donnerai mes cours dès la semaine prochaine.”

Le Gouverneur a également rassuré que le président de la République et Commandant Suprême des Forces armées, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a mobilisé tous les moyens nécessaires pour garantir le bon déploiement des troupes et l’efficacité des opérations militaires.

Fermeté contre les fauteurs de troubles à Kabare Nord

Outre la menace extérieure, la province a récemment été secouée par des actes d’insécurité orchestrés par des groupes d’individus dans les groupements de Bugorhe, Miti et Irhambi Katana, entraînant la mort tragique de plusieurs personnes à Kavumu.

Face à ces violences, le Gouverneur Jean-Jacques Purusi a exprimé ses sincères condoléances aux familles endeuillées et a promis des enquêtes approfondies pour traduire les coupables en justice.

“Nous avons immédiatement dépêché sur place le commandant de la 33e région militaire, le ministre provincial de l’Intérieur et Sécurité ainsi que des unités de la police militaire. Plusieurs suspects ont déjà été arrêtés et un Conseil de sécurité spécial a été convoqué pour identifier les mesures à prendre. Ces criminels seront jugés en audiences foraines afin que justice soit rendue publiquement et rapidement.”

Le chef de l’exécutif provincial a également salué le courage des jeunes de Bugorhe, venus exprimer leur indignation face aux violences dont sont victimes les habitants de Kabare Nord. Il a garanti que les victimes seront enterrées dignement et que leurs familles recevront un soutien approprié de la part du gouvernement provincial.

Un appel au soutien de l’armée et à l’unité nationale

Dans son message à la population, Jean-Jacques Purusi a insisté sur la nécessité de soutenir les efforts des FARDC et des patriotes Wazalendo, qui défendent la patrie face aux menaces internes et externes. Il a exhorté les citoyens à ne pas céder à la peur ni à la désinformation propagée par les ennemis de la paix.

“Notre victoire dépend de notre unité. La population doit éviter toute forme de manipulation et s’engager dans la consolidation de la paix en soutenant les efforts du Président de la République, du Gouvernement provincial et de nos forces armées. Seule une cohésion nationale forte pourra garantir la sécurité et la stabilité de notre province.”

Le message du Gouverneur Jean-Jacques Purusi se veut clair et rassurant : la situation sécuritaire est sous contrôle, des mesures fermes sont prises contre les auteurs de violences, et la population doit reprendre ses activités en toute sérénité. Avec le soutien du Gouvernement central et l’engagement des FARDC, le Sud-Kivu entend se relever face aux défis sécuritaires et garantir un avenir plus sûr pour ses habitants.

E. A. N.

À quelques mois de l’entrée en lice des clubs africains face à l’élite mondiale lors de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA aux États-Unis, le prestigieux trophée de la compétition a foulé le sol africain dans le cadre des festivités précédant le coup d’envoi.

Trente-deux équipes prendront part à cette édition élargie, parmi lesquelles quatre représentants africains de renom : Al Ahly SC (Égypte), l’Espérance de Tunis (Tunisie), Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) et le Wydad AC (Maroc), qui s’affronteront du 14 juin au 13 juillet 2025.

Le premier arrêt africain du trophée s’est déroulé à Pretoria, au sein du club des Mamelodi Sundowns, anciens champions d’Afrique, le jeudi 8 janvier. Accueilli avec faste, il a été présenté au président du club, Tlhopie Motsepe, ainsi qu’au staff technique et à l’ensemble de l’effectif.

« Il existe un proverbe en isiZulu qui dit qu’une main lave l’autre. De la même manière que ce trophée inspirera de nombreux Sud-Africains et Africains par son prestige et ceux qui l’ont soulevé par le passé, nous veillerons à ce qu’il poursuive son périple en portant l’âme du continent », a déclaré le président.

Cette édition marque la deuxième participation des Sundowns à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA après leurs débuts en 2016 au Japon. Placés dans un redoutable groupe F, ils affronteront le Borussia Dortmund (Allemagne), Fluminense FC (Brésil) et Ulsan HD (Corée du Sud).

Le trophée poursuivra sa tournée africaine avec une prochaine escale au Caire, en Égypte, ce lundi, avant de rejoindre la Tunisie et le Maroc, où il sera accueilli par l’Espérance de Tunis et le Wydad AC.

Rigobert Song, recordman de participations à la Coupe d’Afrique des Nations avec huit présences en tant que joueur, revient sur les moments marquants qui l’ont lié à cette compétition.

Le 13 février 1996, les 60 000 spectateurs du FNB Stadium de Johannesburg découvrent un jeune homme de 20 ans : Rigobert Song. L’Afrique ignore encore qu’une icône du football continental vient de naître, prête à laisser une empreinte indélébile sur l’histoire du jeu pour les quinze années à venir. Vêtu du numéro 17, le jeune défenseur originaire de Nkenglikok impose déjà son caractère et son talent.

“Je suis arrivé à cette Coupe d’Afrique des Nations confiant, car j’avais déjà acquis de l’expérience avec la sélection, notamment lors de la Coupe du Monde aux États-Unis, deux ans auparavant”, explique-t-il, plein de détermination.

Titulaire lors des trois matchs des Lions Indomptables, Song se montre à la hauteur de la situation, en dépit de l’élimination prématurée de son équipe dès le premier tour de la compétition. Ce début de parcours difficile ne marque pourtant pas la fin de son ascension. Au contraire, il s’agit du premier chapitre d’une carrière qui, au fil des années, va le propulser au sommet du football africain et international.

Le 7 février, la 9e édition des Jeux asiatiques d’hiver s’ouvre à Harbin. À cette occasion, CGTN présente un documentaire spécial : “La ville de glace et sa quête d’efficacité énergétique”, racontant l’histoire fascinante de Harbin, la ville la plus septentrionale de Chine.

En hiver, l’air glacial venu de Sibérie enveloppe la ville, faisant chuter les températures jusqu’à -30°C. Ce froid extrême n’a pourtant jamais freiné la curiosité des voyageurs du monde entier, impatients de découvrir l’hiver blanc et polaire. Harbin ne les déçoit pas et leur offre un véritable conte de fées façonné par la glace et la neige.

Cependant, cet hiver rigoureux pose également des défis environnementaux majeurs. Comment concilier tourisme hivernal et efficacité énergétique ? Comment permettre à cette métropole de près de 10 millions d’habitants de fonctionner de manière économe en énergie, même en pleine saison froide ?

À travers ce film, nous découvrirons les réponses à ces questi

ons.

Contrairement à sa bonne volonté, la Dynamique des Arts Martiaux et Alliés ‘’DAMA’’ en sigle qui s’apprêter à organiser ce samedi 8 février 2025 au Centre Sportif de Judo de la Police Nationale Congolaise, la journée de bienfaisance des arts martiaux en RDC, vient de la reporter à une date ultérieure qui sera communiquée dans les prochaines heures.

En attendant, Me Rodrigue Masuama, président de la Fédération Congolaise des Combats Libres ‘’FCCL’’ et de la DAMA, invite ses pairs à rester attentifs pour participer au méga point de presse y relatif dans peu de temps. Et de conclure en ces termes : ‘’Qui ne dit mot consent. Trop, c’est trop’’. Le sens exact de ces mots du président de la FCCL et de la DAMA seront certainement décortiqués lors du point de presse très attendu par les amoureux des arts martiaux.

Antoine Bolia

Me Morel Ntalani, Secrétaire Général de la Confédération Africaine de Police Taekwondo ‘’APTAC’’ a fait le déplacement et a assisté, le 1er février 2925 au Palais des sports de Bamako, capitale du Mali, au Lancement officiel de l’Association Malienne de Taekwondo Police. L’événement était placé sous le haut patronage du Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, le Général de Corps d’armée Sadio Camara.

Ont pris part à cette activité :

Le Ministre de la jeunesse et des sports, le Ministre des Cultes et valeurs traditionnelles ainsi que les hautes autorités militaires et civiles, toutes les forces de défense et de sécurité et les paramilitaires.

Comme temps forts :

-Le discours du président de la Fédération Malienne de Taekwondo

-L’allocution du ministre des cultes et valeurs traditionnelles

-Discours de la présidente, le Général de Brigade Nema Sagara

-Discours du Ministre des sports

-Remise des diplômes d’honneurs et de reconnaissance par le Secrétaire Général GM Morel Ntalani.

Lors du dîner couplé à un bal organisé en l’honneur du Secrétaire Général de l’APTAC, GM Morel Ntalani, ce dernier a profité de l’occasion pour remettre officiellement au Président de l’Association Malienne de Taekwondo, le Général de Brigade Nema Sagara, la photo du fondateur de l’APTAC, GM Mohamadou Salihou.

Ce geste symbolique vise à honorer la mémoire du fondateur et à rappeler l’engagement commun pour le développement du taekwondo en Afrique. La soirée s’est déroulée dans une ambiance conviviale et fraternelle, rassemblant des passionnés de taekwondo venus partager un moment de reconnaissance et d’échange culturelle à travers trois personnalités de la musique Malienne ayant marqué les esprits à cette soirée.

Antoine Bolia