Que dit la famille du pape sur son état de santé ?  

Outre sa famille italienne, le parent vivant le plus proche du pape François est sa sœur cadette, Maria Elena Bergoglio, qui vit en Argentine. L’un de ses neveux, footballeur professionnel, vit également en Italie.

Dans le petit village italien de Portacomaro, où la famille du pape François a ses racines, les inquiétudes concernant la santé du pontife ont jeté une ombre sur la vie quotidienne. Les 1 900 habitants, profondément liés à leur parent le plus célèbre, suivent chaque nouvelle avec une inquiétude croissante. « Nous sommes tous très inquiets. Nous espérons qu’il se rétablira rapidement et qu’il surmontera ce moment difficile », déclare Carla Rabezzana, la cousine du pape, âgée de 93 ans, qui vit toujours dans la province d’Asti.

S’adressant à l’agence de presse italienne ANSA, elle avoue se sentir mal à l’aise en regardant les derniers reportages à la télévision, attendant avec anxiété des signes d’amélioration. Portacomaro, niché dans les collines du nord de l’Italie, est un lieu où les liens familiaux et la foi sont profonds. De nombreux villageois se souviennent de la visite du pape François il y a trois ans, lorsqu’il est revenu sur la terre de ses ancêtres, a partagé un repas privé avec ses proches et a reçu la citoyenneté honoraire de la ville d’Asti.

« Nos grands-parents sont originaires d’ici, nous nous sentons très proches du pape », explique une habitante. « Nous sommes même allés lui rendre visite à Rome. L’église de Portacomaro est devenue un haut lieu de prière. « Entrez, il y a du monde », dit un homme en quittant la paroisse, notant que les gens se sont unis pour demander l’intervention divine pour le rétablissement du Pape. Don Severino Ramello, un prêtre de la région, décrit l’atmosphère de la messe du matin : « Nous étions tous près de lui dans la prière aujourd’hui. Il y a un fort sentiment d’unité, tout le monde participe, tout le monde veut qu’il aille mieux rapidement ».

Mais derrière la solidarité, il y a aussi la peur. Les dernières nouvelles en provenance de Rome concernant la crise d’asthme du pape François et la transfusion sanguine dont il a eu besoin à l’hôpital Gemelli en ont rendu plus d’un nerveux. Le Pape, hospitalisé depuis le 14 février, a montré quelques signes d’amélioration, mais son état reste grave. « En ville et dans les environs, les gens en parlent constamment », explique un barman local.

« Ils ont peur qu’il aille très mal, qu’il lui arrive quelque chose de grave. Tout le monde est inquiet. Malgré l’anxiété, les gens gardent espoir, non seulement pour son rétablissement, mais aussi pour la possibilité de le revoir à l’endroit où l’histoire de sa famille a commencé. Parmi ceux qui l’attendent, il y a le « vignoble du pape », un petit terrain dédié à François et entretenu par la communauté locale. L

e vignoble, géré par la Bottega del Grignolino et l’organisation à but non lucratif Gente e Paesi, est un hommage à ses liens profonds avec la région. Pour l’instant, les habitants de Portacomaro ne peuvent que regarder, attendre et prier. Leur souhait est simple : voir leur Pape bien-aimé reprendre des forces et, peut-être un jour, marcher à nouveau parmi les vignobles et les collines de la terre de ses ancêtres.




A Kinshasa, le procureur de la CPI appelle à un «cessez-le-feu sans délai» dans l’Est (Rfi)

Il faut un cessez-le-feu rapidement… le plaidoyer du procureur de la Cour pénale internationale depuis la République démocratique du Congo. Karim Khan boucle ce mercredi soir 26 février sa visite dans le pays où son bureau enquête sur des graves crimes commis dans l’Est congolais depuis la résurgence de la rébellion du M23, soutenue par l’armée rwandaise.

Arrivé à Kinshasa lundi 24 février au soir, il a rencontré le président Félix Tshisekedi, des membres du gouvernement, des hauts magistrats et des associations de victimes. Son message est clair : un cessez-le-feu immédiat est nécessaire pour permettre à la justice de faire son travail et restaurer la paix.

Toutes les réunions que j’ai eues étaient confidentielles. Par apport avec les évènements qui se passent à l’Est, mes équipes sont déjà actives depuis le mois d’octobre. Le président Tshisekedi va accueillir une conférence ici à Kinshasa au mois d’avril pour la création d’une Cour pénale internationale spéciale sur la RDC. Donc, nous sommes en train d’envisager une nouvelle approche holistique pour traiter ces cycles de violences que nous voyons en RDC. Ce qui est en train de se passer maintenant à l’Est crée l’insécurité, nous sommes sérieux dans ce que nous faisons, nous devons avoir des résultats ensemble. Je réalise que chaque jour qui passe est pénible pour les populations qui habitent cette zone de conflit, nous devons chercher un cessez-le-feu sans délai. Nous avons besoin de la paix pour créer un espace et le temps pour que ces nouvelles initiatives soient ressenties par les populations. Nous allons faire de notre mieux pour gagner la confiance de la population.

Une enquête en cours pour établir les responsabilités

Si la priorité est d’arrêter les violences, Karim Khan rappelle que l’impunité ne peut pas perdurer. La CPI mène déjà des enquêtes pour identifier les auteurs des crimes en cours.

Je suis ici, nous sommes en train d’enquêter, nous avons une nouvelle approche qui doit prouver toutes les responsabilités et créer de nouvelles structures comme le tribunal pénal international pour le Congo et construire de nouveaux partenariats. Personne ne peut prétendre être irréprochable. Je le dis clairement : Toutes les parties, le M23 et les alliés doivent se conformer à la loi. Nous avançons avec les enquêtes. Vos auditeurs doivent savoir que si nous disons quelque chose, ce que nous y tenons. Ce qui se passe dans l’est de la RDC est inacceptable. Déjà les crimes visés par le statut de Rome sont en train d’être commis. Nous sommes en train d’analyser qui en est responsable. Si nous obtenons les éléments de preuve de qui en est responsable, nous allons agir. Nous avons besoin de l’appui international de sorte que si les juges prennent une décision, qu’elle soit respectée. C’est la seule arme que nous ayons. Nous n’allons pas nous battre avec les armes, pas avec des gros mots pour enflammer les émotions et les passions. Nous allons nous battre avec la Justice pour calmer les choses sans distinction, car toute vie est précieuse.




Selon l’UNICEF: Le nombre de violations graves contre les enfants dans l’Est de la Rdc a triplé au cours du dernier mois

L’UNICEF est profondément préoccupé par l’augmentation significative des signalements de violations graves commises à l’encontre des enfants dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC). Le nombre d’incidents a triplé depuis le début de la dernière escalade de violence le 24 janvier 2025.

Durant cette période, les données révèlent que les cas de violence sexuelle ont plus que doublé, les enlèvements ont été multipliés par six, les meurtres et mutilations par sept, et les attaques contre les écoles et les hôpitaux par douze.

« Nous appelons d’urgence toutes les parties au conflit à mettre immédiatement fin à ces violations graves et intolérables des droits des enfants », a déclaré Jean-François Basse, Représentant par intérim de l’UNICEF en RDC. « Le conflit déchire les familles, entraîne une insécurité généralisée et compromet les progrès réalisés ces dernières années. Les enfants vulnérables, y compris ceux qui vivent dans les rues, nous disent qu’ils ont peur pour leur vie. »

L’escalade de la violence dans l’est de la RDC a entraîné l’effondrement des services essentiels. Des milliers d’écoles restent fermées, des enfants ont été séparés de leurs familles, et l’absence de services de sécurité et de justice – ainsi que les combats, les évasions massives des prisonniers et la prolifération des armes – exposent particulièrement les enfants.

L’UNICEF est également gravement préoccupé par les signalements de campagnes de recrutements massifs ciblant les jeunes, ce qui accroît considérablement le risque d’enlèvement et d’enrôlement d’enfants. La RDC détient déjà l’un des records les plus grands du nombre de cas vérifiés de recrutement d’enfants depuis le début des enregistrements mondiaux en 2005.

Les Nations Unies collaborent avec le gouvernement de la RDC dans le cadre d’un plan d’action signé en 2012 pour mettre fin au recrutement et à l’utilisation des enfants, et aux autres violations graves y compris les violences sexuelles. Depuis janvier 2025, l’UNICEF et ses partenaires ont soutenu le processus de vérification de 5 639 recrues potentielles – dont 302 femmes et filles à travers le pays – et ont identifié 63 enfants, dont 12 filles, qu’ils ont réunis avec leurs familles.

Compte tenu de leur vulnérabilité accrue, l’UNICEF s’emploie également à réunir les enfants non accompagnés avec leurs familles dans l’est de la RDC. Depuis la récente escalade de violence, 1 200 enfants ont été identifiés, dont 720 ont déjà pu rejoindre leur famille. Les efforts se poursuivent pour placer les autres enfants dans des familles d’accueil comme mesure de protection, tout en recherchant leurs familles.

L’UNICEF appelle toutes les parties au conflit à cesser immédiatement et à prévenir les violations graves des droits des enfants, et à respecter le droit international, conformément à la Convention internationale relative aux droits de l’enfant et à la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant. Elles doivent également prendre des mesures concrètes pour protéger les civils et les infrastructures essentielles à leur survie, conformément à leurs obligations en vertu du droit humanitaire international. L’UNICEF engage également un dialogue et milite auprès des autorités pour donner la priorité aux solutions humanitaires plutôt qu’aux mesures coercitives et à la criminalisation des enfants.

« Nous ne devons pas rester les bras croisés pendant que cette violence horrible persiste. Les auteurs doivent également répondre de leurs actes si l’on veut mettre fin au cycle d’impunité concernant les violations graves commises contre les enfants en RDC », a conclu Jean-François Basse.




RDC: des affrontements dans les Hauts-Plateaux du Sud-Kivu entre un groupe allié au M23 et l’armée (Rfi)

Dans l’est de la RDC, dans les Hauts-Plateaux du Sud-Kivu, des affrontements sont signalés depuis le 21 février. Dans cette zone montagneuse qui surplombe le lac Tanganyika s’opposent les troupes gouvernementales congolaises alliées à des milices locales et à l’armée burundaise présente dans la zone contre un groupe armé local fraîchement alliés à l’AFC-M23, soutenu militairement par le Rwanda.

Jusqu’à présent, le ralliement du groupe d’autodéfense Twirwaného à l’AFC/M23, soutenu par le Rwanda, n’avait pas été officialisé. Le 21 février, leur alliance est annoncée dans un communiqué. Deux jours après la mort de leur chef, Michel Rukunda alias Makanika, le 19 février dans une frappe de drone congolais.

Depuis, les communes rurales de Minembwe et de Mikenge sont le théâtre d’affrontements selon plusieurs sources entre les multiples forces en présence dans la zone. Les Twirwaného, qui disent défendre la communauté des Banyamulenge, les tutsis du Sud-Kivu, se sont affichés devant la mairie et l’aérodrome de Minembwe en fin de semaine dernière et ont été aperçus à Mikenge en début de semaine.

Ils s’opposent aux troupes gouvernementales composées de militaires congolais, de plusieurs milices, et de soldats de l’armée burundais. Ces derniers sont toujours dans la zone, même si à la mi-février, selon plusieurs sources humanitaires et locales, certains soldats burundais avaient enclenché leur retrait des Hauts-Plateaux.

Une zone importante à la fois parce qu’elle est l’arrière-pays d’Uvira, situé en face de la capitale économique du Burundi, Bujumbura, mais aussi parce qu’elle est située au nord de Kalémie, le chef-lieu de la province du Tanganyika. Une ville qui donne un accès au lac du même nom qui fait frontière entre la RDC, le Burundi, la Tanzanie et la Zambie.




Lutte contre la criminalité à Kinshasa : Plus de 200 Kuluna arrêtés la nuit du mercredi à ce jeudi 

La police nationale congolaise, commissariat provincial de la ville de Kinshasa intensifie les strategies afin de lutter contre la criminalité urbaine.

Près de 250 bandits urbains ont été arrêtés de lors d’un bouclage organisé dans deux camps de la police, notamment, les Camps Kabila et Lufungula dans le cadre de l’opération “Ndobo”.

Ces présumés criminels ont été présentés au Vice-Premier Ministre en charge de l’intérieur et sécurité Maître Jacquemin Shabani par le Commissaire provincial de la Police, le général Blaise Kilimbalimba en présence du Commissaire général, le commissaire divisionnaire Benjamin ALongaboni ce jeudi.

Selon le Commandant de la Police, ces opérations vont se poursuivre pour dénicher tous ceux qui terrorisent la population dans la ville.

« Nous avons déjà fait le rapport du travail que vous avez fait. Tel que cela a été organisé jusqu’à la fin avec succès. Félicitations !

Notre pays est agressé, nous ferons des bouclages pour dénicher les ennemis. Tout celui qui choisira le cambriolage est dans notre viseur. Il faudra que la paix règne dans notre pays, principalement à Kinshasa. Tous les commandants sont instruits. Le commandant de la 14è région militaire est aussi au courant », a déclaré le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba.

Ces présumés criminels seront déférés à la justice pour des procès en flagrance où il y aura également des condamnations à mort prononcées, selon les cas.

 

Jonsard Mikanda




RDC : Martin Fayulu invite Joseph Kabila à s’engager en faveur de la paix

Le leader de la plateforme politique “Lamuka”, s’est adressé aux congolais ce jeudi 27 février 2025, sur la situation sécuritaire, politique, humanitaire et socio-économique de la République démocratique du Congo. L’opposant Martin Fayulu a appelé au changement d’attitude en louant l’initiative de la Cenco et Ecc pour la cohésion nationale. Dans son message, le président national de l’Ecide a appelé l’ancien président de la République Joseph Kabila à s’engager résolument en faveur de la paix. Pour lui, il est temps d’agir pour sauver notre pays.

 

Par la même occasion, Fayulu pense qu’il est temps de sauver la nation et que la cohésion nationale doit s’imposer. Le chef de file de la coalition Lamuka exhorte également Corneille Nangaa à déposer les armes, à faire prévaloir l’intérêt supérieur de la nation en pensant à l’intégrité territoriale de la RDC.

 

A Félix Tshisekedi, l’opposant Fayulu l’appelle à mesurer l’ampleur du désastre qui accable la République démocratique du Congo et à soutenir sans réserve l’initiative proposée par le duo CENCO-ECC. Pour lui, l’heure n’est pas à la division.

 

 

 

 

 

 

Mboshi




Crise dans l’Est: Martin Fayulu appelle à l’unité nationale et exhorte Corneille Nangaa à déposer les armes 

Dans un message à la population ce jeudi 27 février, l’opposant Martin Fayulu a lancé un appel à tous les congolais, toutes tendances confondues, à se rallier à l’initiative de la CENCO-ECC qui constitue selon lui, une opportunité historique pour mettre fin à la guerre qui secoue lenpays afin de le reconstruire.

Il a de ce fait, invité Félix Tshisekedi à mesurer l’ampleur du désastre qui accable la République démocratique du Congo et à soutenir sans réserve cette initiative des pères spirituels.

“Aujourd’hui plus que jamais, il incombe à chaque Congolais d’assumer sa part de responsabilité dans la lutte pour la sauvegarde de notre pays. Cette guerre, ces souffrances, ces vies fauchées en grand nombre nous enjoignent à un profond changement d’attitude. Nous ne pouvons plus nous permettre l’inaction ni la complaisance. Il est de notre devoir de contrer ceux qui cherchent à diviser notre peuple et à nous précipiter vers notre propre perte. Face à l’ampleur du désastre, la division interne est un luxe que nous ne pouvons plus nous offrir.”, a-t-il dit.

Ainsi, le chef de file de la coalition Lamuka a exhorté, le chef rebelle Corneille Nangaa à déposer les armes, à faire prévaloir l’intérêt supérieur de la nation en pensant à l’intégrité de la RDC.

Martin Fayulu a sur la même lancée, invité l’ancien président Joseph Kabila à se remomerer de tout ce que le Congo lui a donné et de s’engager résolument en faveur de la paix.

 

Loup solitaire




TRANSFORME recrute un Consultant chargé de l’élaboration du cadre légal et réglementaire de la microfinance pour la BCC




La BCC retire l’agrément de la Messagerie financière « DATCO SARL »




Qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine, CAF TotalEnergies Maroc 2026 : Les nations en route vers la phase finale

Le premier tour des qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations Féminine CAF TotalEnergies Maroc 2026 a livré son verdict. Du 19 au 26 février 2025, les équipes engagées dans cette compétition ont montré une détermination sans faille, offrant un spectacle de haut niveau.

Premier tour : Une première sélection rigoureuse

Le premier tour des qualifications a été marqué par des performances impressionnantes de nombreuses équipes. L’Algérie a particulièrement brillé avec une victoire nette contre le Soudan du Sud, s’imposant sur des scores de 5-0 et 3-0, confirmant ainsi sa domination. De son côté, le Mali, dirigé par la talentueuse Agueicha Diarra, a infligé une lourde défaite au Gabon (6-0, 4-1), montrant une puissance offensive incontestable.

Le Togo a quant à lui pris le dessus sur Djibouti avec une victoire impressionnante 5-0 au retour, après une première victoire confortable. Le Kenya, avec une défense solide, a éliminé la Tunisie, obtenant un match nul 0-0 à l’aller avant de l’emporter 1-0 au retour, assurant ainsi sa qualification pour le second tour.

La Tanzanie a également validé son billet après une victoire 3-1 à domicile et un match nul 1-1 en Guinée équatoriale, portée par l’incontournable Clara Luvanga. En revanche, l’Éthiopie a créé la surprise en éliminant l’Ouganda aux tirs au but (5-4), après deux matchs nuls 2-2.

Des équipes confirmées au second tour

Le premier tour a aussi vu d’autres équipes solidifier leur qualification pour le second tour. La Gambie, la RD Congo, l’Angola, la Namibie, le Burkina Faso, le Cap-Vert, et l’Égypte ont également montré leur force et leur détermination, se qualifiant grâce à des performances solides.

La Gambie, après une victoire 0-2 à l’aller, a dominé le Niger 2-1 au retour pour se qualifier. La RD Congo a pris une option décisive avec un 2-0 à l’aller contre le Botswana, et a assuré sa qualification avec un match nul 0-0 au retour. L’Angola a battu le Zimbabwe (2-1) et a confirmé sa qualification avec un match nul 2-2 au retour.

La Namibie a remporté un match décisif contre Eswatini (1-0), s’assurant ainsi une place au second tour. Le Burkina Faso a éliminé le Burundi 4-1 après une victoire 1-0 à l’aller. Le Cap-Vert a surclassé la Guinée (4-1) pour se qualifier, tandis que l’Égypte, avec une victoire 1-0 contre le Rwanda, a également validé son billet pour la suite de la compétition.

Ainsi, ces équipes ont brillé par leur tactique, leur engagement et leur cohésion, promettant des matchs excitants et intenses au second tour.

Deuxième tour : L’entrée en lice des têtes de série

Le second tour des qualifications se déroulera du 20 au 28 octobre 2025, marquant l’entrée en scène des grandes puissances du football féminin africain. Des équipes comme le Nigeria, l’Afrique du Sud, le Cameroun, le Ghana, la Zambie et la Côte d’Ivoire, champions régionaux et habitués des grandes compétitions continentales, feront leur entrée dans la compétition.

Les confrontations du second tour s’annoncent déterminantes et promettent des affrontements passionnants. Ces équipes aguerries, prêtes à tout pour décrocher leur place pour la phase finale de la CAN Féminine au Maroc, affronteront les qualifiées du premier tour.

Affiches du prochain et dernier tour de qualification :

M33 & M34 : Angola vs Malawi

M35 & M36 : RD Congo vs Afrique du Sud

M37 & M38 : Tanzanie vs Éthiopie

M39 & M40 : Namibie vs Zambie

M41 & M42 : Burkina Faso vs Togo

M43 & M44 : Algérie vs Cameroun

M45 & M46 : Égypte vs Ghana

M47 & M48 : Kenya vs Gambie

M49 & M50 : Bénin vs Nigeria

M51 & M52 : Cap-Vert vs Mali

M53 & M54 : Sénégal vs Côte d’Ivoire

Résultats du premier tour :

Matchs aller

19 février 2025 :

Soudan du Sud 0 – 5 Algérie

Niger 0 – 2 Gambie

20 février 2025 :

Botswana 0 – 2 RD Congo

Tanzanie 3 – 1 Guinée équatoriale

Gabon 0 – 6 Mali

Bénin 2 – 1 Sierra Leone

Angola 2 – 1 Zimbabwe

21 février 2025 :

Kenya 0 – 0 Tunisie

Eswatini 0 – 3 Namibie

Ouganda 2 – 0 Éthiopie

Rwanda 0 – 1 Égypte

Guinée 2 – 2 Cap-Vert

Djibouti 0 – 5 Togo

23 février 2025 :

Burundi 0 – 1 Burkina Faso

 

Matchs retour

24 février 2025 :

Gambie (q) 2 – 1 Niger

Sierra Leone 1 – 3 Bénin (q)

25 février 2025 :

Égypte (q) 2 – 2 Rwanda

Mali (q) 4 – 1 Gabon

Algérie (q) 3 – 0 Soudan du Sud

26 février 2025 :

Éthiopie (q) 2 – 2 (5-4 tab) Ouganda

Namibie (q) 1 – 0 Eswatini

Tunisie 0 – 1 Kenya (q)

Zimbabwe 2 – 2 Angola (q)

Burkina Faso (q) 4 – 1 Burundi

RD Congo (q) 0 – 0 Botswana

Togo (q) 5 – 0 Djibouti

 

Cap-Vert (q) 4 – 1 Guinée

Guinée équatoriale 1 – 1 Tanzanie (q)