CPS de l’UA : La présidence du Maroc pour le mois de mars s’inscrit dans la continuité des engagements du Royaume pour une Afrique pacifique, stable et prospère

Le Maroc assure à partir de samedi la présidence du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union africaine (UA) pour le mois de mars, une présidence qui s’inscrit dans la continuité des engagements du Royaume pour une Afrique pacifique, stable et prospère.

En effet, il s’agit de la quatrième fois que le Royaume accède à la présidence de cet organe clé de l’organisation panafricaine, après celles de février 2024, octobre 2022 et septembre 2019, illustrant une consécration des efforts de la diplomatie marocaine au niveau du Continent sous le leadership visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

A l’instar des précédentes, la présidence du Maroc du CPS de l’UA pour le mois de mars sera guidée par la Vision Royale de l’action africaine commune qui place les nobles causes de l’Afrique et les intérêts vitaux du citoyen africain au cœur de l’agenda panafricain.

La présidence marocaine de cet organe décisionnel de l’organisation panafricaine intervient dans un contexte où l’Afrique fait face à des défis sécuritaires croissants, exacerbés par la sécheresse, les épidémies et la prolifération de l’extrémisme violent dans le continent. Ce qui nécessite des réponses innovantes et globales dans le cadre de l’approche basée sur le Nexus Paix, Sécurité et Développement, entérinée par la Déclaration de Tanger que les Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine ont adoptée en février 2023.

Plusieurs questions et thématiques d’une grande importance pour le Continent seront examinées lors de la présidence marocaine pour ce mois de mars, entre autres, “le changement climatique : les défis pour la paix et la sécurité en Afrique”, “la déradicalisation comme levier dans la lutte contre l’extrémisme violent en Afrique” et l’Agenda “Femmes, Paix et Sécurité en Afrique”.

Le CPS de l’UA tiendra également, sous la présidence du Maroc, une consultation informelle avec le Burkina Faso, le Gabon, la Guinée, le Mali, le Niger et le Soudan dans l’objectif d’accélérer le retour de ces pays à l’institution panafricaine.

En outre, une réunion ministérielle sur “l’intelligence artificielle (IA) et son impact sur la paix, la sécurité et la gouvernance en Afrique” est prévue durant cette présidence, thématique qui sera examinée pour la première fois par le CPS à l’initiative du Maroc.

Il s’agit de la 3ème présidence du Maroc de cet organe décisionnel de l’Union africaine durant son second mandat de trois ans 2022-2025 (octobre 2022, février 2024 et mars 2025).

A rappeler que durant son premier mandat de 2018-2020, le Royaume a également présidé le CPS de l’UA en septembre 2019.

En février 2024, la présidence du Maroc du CPS de l’UA a mis l’accent sur le renforcement du dialogue et de la coopération en Afrique, l’approche multidimensionnelle dans le maintien de la paix, le renforcement de la coopération continentale et internationale, les questions humanitaires et le partage de l’expérience marocaine.

Durant sa présidence du CPS, “le Maroc a en outre renforcé sa position en tant que leader africain engagé pour la paix, la sécurité et le développement durable, mettant l’accent sur l’importance des principes du dialogue, du bon voisinage, de la diplomatie préventive, du respect de la souveraineté des États et de leur intégrité territoriale, tout en combinant la sagesse diplomatique et l’innovation, dans le but de contribuer à un avenir plus stable et prospère pour l’Afrique”, avait notamment souligné l’Ambassadeur Représentant Permanent du Royaume auprès de l’UA et la CEA-ONU, Mohammed Arrouchi.

En octobre 2022, la présidence marocaine du Conseil a été marquée par l’organisation de plusieurs réunions d’une grande importance pour le continent africain.

Il s’agit de deux réunions ministérielles consacrées aux thématiques « Le développement et la déradicalisation comme leviers pour lutter contre le terrorisme et l’extrémisme violent » et « Dérèglement climatique, paix et sécurité : renforcer la résilience et l’adaptation pour la sécurité alimentaire dans les Etats insulaires africains ».

En plus de ces deux importantes réunions, la présidence marocaine a été marquée par d’autres actions, touchant, entre autres, la situation sécuritaire inquiétante en Afrique, la lutte contre le terrorisme avec un focus sur l’approche globale et intégrée du Maroc, conformément aux Hautes Orientations de SM le Roi Mohammed VI, outre les changements climatiques, la sécurité alimentaire et la mise en œuvre des initiatives de la COP 22.

Au cours de sa présidence du CPS, le Maroc a abrité la première conférence politique de l’Union africaine, à Tanger, du 25 au 27 octobre 2022, portant sur “la promotion du Nexus Paix, Sécurité et Développement, perspective d’une intégration régionale”.

Cette approche holistique devient un référentiel confirmé dans la gestion des situations de paix, de sécurité et de développement sur le continent. Conformément à la Vision Royale, le Maroc demeure engagé résolument dans l’action africaine commune pour servir les causes nobles de l’Afrique et les intérêts vitaux du citoyen africain en matière de paix, de sécurité et de développement.




Judith Suminwa aux fidèles de diverses confessions religieuses : “Face à cette agression, nous devons rester debout, unis et déterminés”

La Cheffe du Gouvernement congolais, Judith Suminwa, a pris part au culte œcuménique célébré samedi à l’esplanade du Palais du Peuple, dans la commune de Lingwala à Kinshasa. Ce rassemblement a réuni des fidèles de diverses confessions religieuses, unis dans une prière collective pour la paix et l’unité nationale face à l’agression rwandaise.

L’un des moments forts de cette rencontre inter-religieuse a été la prière de consécration de la République Démocratique du Congo (RDC) à l’Éternel, dirigée par la Première Ministre Judith Suminwa. Elle a également lancé un appel vibrant à l’engagement de tous les Congolais pour la restauration de la paix et la préservation de l’intégrité territoriale.

« Chers compatriotes, hommes et femmes de foi, en ce jour de prière et de recueillement, nous nous unissons, portés par notre foi et notre amour profond pour notre patrie, la République Démocratique du Congo. Aujourd’hui plus que jamais, notre nation a besoin de la grâce divine, de la force de notre unité et de l’engagement de chacun de nous pour restaurer la paix et protéger l’intégrité de notre territoire. Notre pays traverse une épreuve difficile. À l’est, des forces obscures, animées par des intentions belliqueuses, cherchent à semer le chaos, diviser notre peuple et piller nos ressources », a déclaré avec ferveur la Cheffe du Gouvernement.

Appel à la résistance et à la défense de la patrie

Totalement investie dans la quête de la paix, en particulier dans l’Est de la RDC, Judith Suminwa a réaffirmé l’importance de maintenir l’unité des Congolais face à l’agression rwandaise.

« Face à cette agression, nous devons rester debout, unis et déterminés. Nous savons que la véritable paix ne peut exister sans justice et que notre unité est notre plus grande force. C’est dans la cohésion nationale, la solidarité et la foi que nous triompherons. Dieu ne nous a pas abandonnés. En ce jour, levons nos voix pour lui confier notre nation », a-t-elle souligné.

Elle a conclu en insistant sur le rôle crucial de l’action concrète : « La prière seule ne suffit pas. Dieu accompagne toujours les cœurs vaillants et les mains qui œuvrent pour la justice. C’est pourquoi j’appelle chaque Congolais, chaque Congolaise, à se mobiliser et à s’engager pour la défense de notre patrie, que ce soit par la parole, l’action ou en soutenant nos forces de défense et de sécurité. Ensemble, nous vaincrons. »

Rappelons que la RDC fait face à des massacres, des pillages, des viols et toutes formes de barbarie perpétrés par l’armée rwandaise, avec la complicité des terroristes du M23, notamment dans sa partie Est. Le pays s’est pleinement engagé sur plusieurs fronts, y compris diplomatique pour amener la communauté internationale à prendre des mesures fermes et efficaces contre les envahisseurs rwandais. Le gouvernement congolais continue de plaider pour une réponse globale face à ces violations des droits humains et à cette agression qui met en péril la souveraineté et la stabilité de la RDC, mais aussi de toute la région.




Portrait: Fernand Kalakala Mwamba ‘’Mbuta’’, un éducateur physique de grande valeur 

La République Démocratique du Congo peut s’estimer heureux de compter dans ses rangs Fernand Kalakala Mwamba ‘’Mbuta’’, un des valeureux éducateurs physiques. Il a enseigné pendant plus de 16 ans dans les écoles catholiques de Kinshasa.

Ayant suivi un cursus normal de formation jusqu’à se hisser comme Assistant à l’Institut Pédagogique National ‘’IPN’’ aujourd’hui UPN au Département d’Education Physique, Fernand Kalakala ne s’est pas limité là.

Il a suivi plusieurs formations, recyclages et colloques de Fédérations internationales en Football, basket-ball, handball, volley-ball, athlétisme, cyclisme, rugby et dans certaines disciplines des arts martiaux.

Fernand Kalakala a joué au basket au sein de l’équipe BC Onatra et a été coéquipier de la défunte et regrettée stars de la NBA Jean Jacques Dikembe Mutombo.

Après la carrière de basketteur, il embrassa la carrière d’entraineur. Il entraina BC Kauka comme premier coach de ce club avec lequel il remporta le titre de champion de Kinshasa en 1994. Il entraina ensuite les clubs de basket version féminine tels que Arc-en-ciel, Vita club et actuellement BC CNSS ex INSS.

En qualité d’entraîneur de Handball, le coach Fernand kalakala a entraîné Inter-Kin du président Mabusa, Héritage d’Amos Mbayo puis les équipes nationales de Handball.

A l’actif de Fernand kalakala, l’on doit retenir qu’il est un de rares coachs à avoir entraîné simultanément deux disciplines sportives à savoir le basket-ball et le Handball notamment les équipes nationales. Preuve que ce réellement un éducateur physique de formation et de profession.

Depuis 12 ans, Fernand Kalakala Mwamba ‘’Mbuta’’ est le représentant de la Fondation Bismack Biyombo, stars de la NBA.

Palmarès

 

Fernand Kalakala en tant que coach de BC Onatra, il a remporté plusieurs titres de champion du Zaïre, Congo, de Kinshasa et plusieurs fois vice-champions du Zaïre, du Congo et d’Afrique Centrale. Champion de Kinshasa avec BC Kauka en 1994. Il a remporté également des titres avec BC CNSS.

Après avoir suivi plusieurs formations dans le domaine de Marchés publics et Gestion des Projets, Fernand Kalakala Mwamba est actuellement Inspecteur de la programmation et d’exécution Budgétaire au Département des Marchés et Approvisionnement de l’Onatra.

Antoine Bolia




Volley-ball: Le Programme des obsèques de l’entraineur national Nembunzu Odiandra Fedo dévoilé

Le programme des obsèques du regretté entraineur national de volley-ball Fedo Nembunzu Odiandra Dimitri décédé à Kinshasa, le 20 février 2025, est désormais connu après la réunion du mercredi 25 février 2025 entre toutes les parties concernées.

Voici les différents programmes définitifs des obsèques du regretté entraineur national Nembunzu Odiandra Fedo Dimitri :

Veillée mortuaire

Le vendredi 07 mars 2025 dans la Salle paroissiale Notre dame du Congo située sur l’avenue Libération ex 24 novembre C/ de Lingwala.

Funérailles

Samedi le 08 mars 2025 recueillement et levée du corps à la morgue de la Clinique kinoise de Kinshasa.

Ensuite un hommage sportif est prévu à l’Athenée de Lingwala.

Enterrement

Cimetière Nécropole de l’éternité Nsele Bambou. Le

bain de consolation est prévu juste après l’enterrement dans la salle paroissiale notre Dame du Congo de Lingwala

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Antoine Bolia




Volley-ball: VC Les Aigles du Congo/Dames, nouveau club à la 55éme édition de l’Euvokin

L’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa “Euvokin ” s’est enrichi d’un nouveau club dans ses rangs du côté des équipes féminines pour sa 55è édition du championnat. Il s’agit du Volley-ball Club Les Aigles du Congo/dames. Cette équipe est composée des anciennes filles transfuges des équipes kinoises.

L’ossature du nouveau club féminin qui vient de voir le jour est truffée des athlètes aguerries qui ont fait leur preuve dans d’autres équipes. Il s’agit entre autres de : Margot Mutchima Kabasu, Tshama Patience, Baonga Menie, Meta Laurette , Naomie Walandila, Mbubwa Christate, Dorcas Masiyo, Pembe Carine, Monzia Nadège, Merveille Tiama, Ntumba Mireille et Ngamasata Priscillia.

Le staff technique du club est chapeauté par Amisi Bwane qui a comme adjoint Tyty Eanga.

Le Gymnase de la Police nationale congolaise abrite jusque-là les préparatifs de VC Les Aigles du Congo/Dames.

Antoine Bolia




Arts martiaux: Me Rodrigue Masuama Ndangi, Président FCCL et DAMA) a perdu sa grande mère

Depuis 6 jours, Me Rodrigue Masuama Ndandi, président de la Fédération Congolaise des Combats Libres ‘’FCCL’’ la Dynamique des Arts Martiaux et Alliés ‘’DAMA’’ est éprouvé. Il a perdu sa grande mère Elisabeth Tantu Mbuta âgée de 106 ans.

Pour le moment, le programme des obsèques n’est pas encore dévoilé, la rédaction présente ses condoléances les plus attristées à Me Rodrigue Masuama.

Que l’âme de la grande mère Elisabeth Tantu Mbuta repose en paix !

Antoine B

olia




Basket: Don Bosco domine Héritage pulvérise 63-51 vendredi à la Liprobakin

Ce vendredi 28 février 2025 au gymnase jumelée du stade des martyrs, deux matches de la version masculine comptant pour la 13è journée de la 60è édition du championnat de la Ligue Provinciale de Basket-ball de Kinshasa ‘’Liprobakin’’ étaient à l’affiche et ont retenu l’attention des amoureux du basket. Le premier a vu Don Bosco battre Héritage 63-51. Et le clou de la soirée a vu Bana Lingwala s’incliner face à Ngaliema 35-48.

Film du match Don Bosco vs Héritage : 63-51

1er Quart Temps : 22 – 8

2è Quart Temps : 10 – 12

3è Quart Temps : 17 -18

4è Quart Temps : 14 –13

Bana Lingwala vs Ngaliema : 35-48

1er Quart Temps : 7 – 12

2è Quart Temps : 17 -11

3è Quart Temps : 11 -13

4è Quart Temps : 5 –12

A suivre ce samedi 01/03/2025

14h00 : Tourbillon vs Don Bosco (F) :

15h30 : Raphaël vs V.Club (F) :

16h45 : Molokaï vs New Generation (M) :

Antoine Bolia




Développement économique de la Chine et ouverture à haut niveau : tracer la voie vers une croissance durable et un leadership mondial

Dr. Hanane Thamik, enseignante chercheuse à l’Université Renmin de Chine, membre politique du Rassemblement national des indépendants du Maroc

(Note de l’éditeur : Cet article représente le point de vue de l’auteur et pas nécessairement celui de CGTN.)

Les Deux Sessions à venir en mars 2025 marqueront un moment crucial dans le paysage politique et économique de la Chine. Le rapport sur les activités du gouvernement, qui sera présenté par le Premier ministre Li Qiang, décrira les priorités politiques pour l’année à venir, établissant ainsi une base pour la progression économique continue de la Chine et son intégration dans le cadre mondial. À ce tournant décisif, l’alignement du développement économique avec une stratégie d’ouverture à haut niveau devrait jouer un rôle fondamental dans la détermination de la trajectoire future de la nation.

Ouverture à haut niveau : un cadre pour un avancement économique continu

La notion d’ouverture à haut niveau dépasse la simple fourniture d’un accès au marché. Elle incarne la détermination de la Chine à réformer ses structures économiques afin de favoriser un environnement propice aux flux d’investissements étrangers tout en renforçant son intégration dans les chaînes d’approvisionnement mondiales. Un des axes principaux de cette initiative réside dans la modernisation du système économique chinois, impliquant l’amélioration des cadres réglementaires, le renforcement de la protection de la propriété intellectuelle et la simplification des processus d’accès au marché pour les entreprises étrangères. L’objectif global de cette stratégie n’est pas seulement d’attirer des investissements étrangers, mais aussi d’élever la compétitivité internationale des entreprises chinoises en encourageant les collaborations technologiques et en facilitant les échanges de connaissances.

Dans ce contexte, la mise en œuvre de l’ouverture à haut niveau devrait jouer un rôle déterminant dans l’approfondissement de la collaboration économique avec les pays développés et en développement. Par la mise en place d’un environnement commercial plus ouvert et plus transparent, la Chine signe son intention de s’intégrer encore plus profondément dans l’économie mondiale. Cette évolution devrait créer de nouvelles opportunités pour les entreprises internationales tout en offrant à la Chine un accès renforcé aux technologies avancées, aux ressources financières et à l’expertise managériale.

Développement économique et recherche d’une croissance de haute qualité

La base stratégique de l’agenda économique de la Chine pour 2025 repose sur la recherche d’une « croissance de haute qualité ». Cet objectif représente un tournant par rapport aux décennies précédentes, caractérisées par une expansion rapide largement dépendante de la fabrication à bas coût et d’investissements massifs dans les infrastructures. Actuellement, le pays fait face à l’impératif dual de concilier croissance et durabilité.

Les planificateurs économiques chinois sont conscients du fait que leur pays évolue d’une époque définie par une croissance rapide à une phase caractérisée par un développement plus équilibré, plus efficace et plus durable. Au fur et à mesure que la concurrence mondiale s’intensifie, notamment dans les secteurs technologiques et axés sur l’innovation, la viabilité économique future de la Chine dépendra fortement de sa capacité à gravir les échelons de la chaîne de valeur et à intégrer des technologies avancées. Cette transition nécessite un changement de cap des industries traditionnelles, telles que la fabrication lourde, vers des secteurs plus orientés vers la technologie, notamment les semi-conducteurs, l’énergie verte et l’intelligence artificielle.

Dans la quête de croissance de haute qualité, l’accent sera mis sur l’amélioration de la productivité du travail, la qualité de la base industrielle et la réduction de la consommation d’énergie par unité de PIB. La Chine a établi des objectifs ambitieux pour moderniser ses capacités industrielles, favoriser l’innovation interne et attirer des investissements étrangers dans les industries avancées. Cette stratégie vise à élever la Chine en tant que leader mondial dans les technologies émergentes tout en garantissant la durabilité économique à long terme.

Le rôle des sciences et technologies dans l’amélioration de la productivité de qualité

L’incorporation de la technologie dans les industries traditionnelles constitue un moyen efficace pour améliorer la productivité, réduire les coûts et minimiser l’impact environnemental. Par exemple, l’application de l’intelligence artificielle dans la fabrication permet l’automatisation et la rationalisation des processus opérationnels. Dans le secteur des énergies renouvelables, les innovations technologiques facilitent la transition des combustibles fossiles vers des solutions énergétiques plus propres, améliorant ainsi à la fois la productivité et la durabilité environnementale.

De plus, la Chine est déterminée à atteindre une indépendance technologique, ce qui constitue un autre élément clé de son cadre stratégique. Bien qu’elle maintienne une ouverture à la collaboration et à l’investissement internationaux, le pays se concentre résolument sur la réduction de sa dépendance aux technologies étrangères, en particulier dans des domaines stratégiques comme les semi-conducteurs et les équipements de télécommunications de nouvelle génération. Cette recherche de l’indépendance technologique vise à protéger la sécurité à long terme et la compétitivité de la Chine face à un environnement géopolitique mondial de plus en plus complexe.

Résilience économique : promouvoir la stabilité sociale et la gouvernance axée sur le peuple

Bien que l’importance de la croissance économique et du progrès technologique ne puisse être sous-estimée en ce qui concerne les perspectives futures de la Chine, le gouvernement a constamment mis en avant la nécessité de maintenir la stabilité sociale et le bien-être de sa population. Les Deux Sessions servent de forum essentiel pour permettre aux législateurs d’écouter les préoccupations des citoyens et d’intégrer leurs aspirations dans les stratégies de développement à long terme du pays. Cette méthodologie inclusive et axée sur le peuple est devenue un trait distinctif du cadre de gouvernance de la Chine, qui priorise l’harmonie sociale et l’équité.

En ligne avec son engagement à améliorer la qualité de vie de ses citoyens, le gouvernement chinois est sur le point de mettre davantage l’accent sur des politiques visant à la redistribution des revenus, le bien-être social et la réduction de la pauvreté. Ces enjeux deviennent de plus en plus cruciaux au fur et à mesure que la Chine fait face aux défis posés par un vieillissement démographique, une inégalité croissante et des problèmes environnementaux.

Les Deux Sessions à venir débattront des stratégies pour relever ces défis, notamment les investissements dans l’éducation, la santé et les systèmes de protection sociale. De plus, les initiatives visant à soutenir le développement rural, à promouvoir l’intégration économique régionale et à faciliter l’urbanisation seront essentielles pour favoriser une croissance équilibrée et inclusive. En priorisant le bien-être de ses citoyens, la Chine cherche non seulement à atteindre le succès économique, mais aussi à garantir une distribution plus équitable des bénéfices découlant de la croissance.

En conclusion, les Deux Sessions de 2025 joueront un rôle crucial dans le renforcement de l’ascension de la Chine en tant qu’entité économique mondiale de premier plan. En mettant l’accent sur une ouverture à haut niveau, une croissance de qualité et l’innovation technologique, la Chine aspire à évoluer d’un simple « atelier du monde » à un leader dans les industries avancées. Toutefois, cette transformation nécessite une gestion minutieuse des défis internes et des perspectives internationales.

Alors que la Chine s’efforce de réaliser ses objectifs à long terme, elle devra soigneusement équilibrer la promotion de la vitalité économique et le maintien de la stabilité sociale. Avec un engagement résolu pour un développement durable, un progrès technologique et une collaboration internationale, la Chine est stratégiquement positionnée pour relever les défis futurs et renforcer son statut de leader dans l’économie mondiale.

(Photo : VCG)




RDC : La journaliste Suzy Kibira parmis les femmes en solidarité avec la population de l’Est

Dans le cadre de la mobilisation populaire, tous les congolais s’engagent à soutenir d’une manière ou d’une autre, les militaires au front, les Wazalendo, le chef de l’État, mais surtout la population victime de cette guerre injuste que le Rwanda impose à la République démocratique du Congo avec ses supplétifs du M23/AFC.

Suzy Kibira, journaliste expérimentée à la rédaction de la Radio télévision du groupe l’Avenir, RTGA, a choisi d’apporter son soutien dans le front médiatique avec sa caméra, son micro et sa plume, en réalisant des reportages qui informe de manière objective et patriotique, dans un monde où le poison Rwandais a pris suffisamment de l’ampleur avec les mensonges.

Par son travail, Suzy Kibira Omari apporte des éléments d’informations vraies afin de permettre à l’opinion congolaise en particulier et du monde en général, de comprendre l’évolution de la situation sur terrain.

Un travail remarquable qui ne laisse pas indifférent ceux qui suivent de près cette professionnelle des médias. Suzy Kibira a été sélectionnée parmis les 50 femmes du pays, qui restent en solidarité avec la population de l’Est, victime des atrocités des ennemis du Congo Kinshasa, au côté de plusieurs autres femmes dans tous les domaines, notamment, les femmes politiques, de la culture, de la science, de la technologie et politique.

Un modèle pour plusieurs, Suzy Kibira Omari ne cesse d’inspirer des générations futures, surtout des femmes qui aspirent au journalisme.




La Garde Républicaine en marche d’endurance à travers la ville de Kinshasa 

8000 militaires de différentes unités de la Garde républicaine de garnison de Kinshasa ont participé, ce samedi, à la marche d’endurance organisée dans les principales artères de la capitale congolaise.

Cet exercice d’entraînement s’inscrit dans le cadre de l’évaluation des capacités opérationnelles de cette unité d’élite des Forces armées de la RDC (FARDC). Il constitue aussi un exercice physique de routine pour les unités combattantes.

Regroupées depuis la matinée dans l’enceinte de la Foire internationale de Kinshasa (FIKIN), ces unités se sont déployées sur 4 grands itinéraires pour aboutir à leur quartier général du Camp Tshatshi.

La première colonne piétonne conduite par le Commandant de la Garde Républicaine, le Général-major Kabi Ephraim, est partie de la Fikin jusqu’au camp Tshatshi, en arpentant le boulevard Lumumba, l’avenue de la libération, le boulevard du 30 juin ainsi que l’avenue des écuries.

La deuxième colonnne équipée d’engins motorisés légers a traversé les quartiers des districts de la Tshangu, du Mont Amba et de la Lukunga, tandis que des unités marines ont longé la côte du Fleuve Congo.

Pour le Commandant de la GR, cette troisième marche d’endurance, après celles de 2024 et 2023, vise aussi à assurer la population de la ville de Kinshasa et ceux de l’arrière-pays que leur armée, les FARDC restent toujours prêts à défendre l’intégrité territoriale.

À l’issue de cet exercice, le Général-major Kabi Ephraim a tenu une parade au cours de laquelle il a rappelé la mission de la Garde républicaine à savoir : sécuriser le Président de la République, sa famille et ses hôtes ; appuyer les unités des Fardc dans La Défense de l’intégrité territoriale et appuyer la Police nationale dans sa mission traditionnelle.

“ Vous devez demeurer LOYAL au Président de la République, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le protéger jusqu’au sacrifice suprême, sécuriser les Institutions de l’État légalement établies, contribuer à la Sécurité publique de l’État et Défendre l’intégrité territoriale de la RDC “, leur a-t-il fait savoir .

Le Commandant de la GR a insisté sur le respect de la discipline militaire et au respect des instructions de la Hiérarchie.

“Ne cédez pas aux actes de démoralisation des militaires et renforcez la cohésion et l’amour du prochain”, a-t-il dit tout en compatissant avec leurs compagnons d’armes qui sont dans l’EST du pays face aux situations imposées dans les batailles menées contre l’ennemi.

Aussi, il leur a été rappelé́ de ne pas céder à l’intox des politiciens et des mensonges des réseaux sociaux.

Enfin, le Commandant de la Garde républicaine a rappelé́ aux unités combattantes leur serment : “ NE JAMAIS reculer devant l’ennemi au risque de TRAHIR nos Serments”.