250ème anniversaire du Traité de paix et d’amitié Maroc-États-Unis: une résolution au Congrès américain pour un partenariat renforcé et un appui au rôle régional du Maroc

Introduite par les congressmen Joe Wilson, républicain, et Bradley Schneider, démocrate, une résolution «reconnaissant l’amitié de longue date entre le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique» a été introduite à la Commission des affaires étrangères de la Chambre américaine des représentants. Son plaidoyer: le renforcement de l’alliance «historique et stratégique» entre les deux pays et l’appui au rôle du Maroc, sous le leadership du roi Mohammed VI, en faveur de la paix et la stabilité régionale.

Une résolution vient d’être introduite au Congrès américain en hommage à l’amitié historique et au partenariat stratégique liant le Maroc et les États-Unis, à l’approche de l’anniversaire de la commémoration de 250 ans du Traité de paix et d’amitié en vertu duquel le Royaume a été le premier pays au monde à reconnaître les États-Unis d’Amérique.

Intitulée: «Reconnaissant l’amitié de longue date entre le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique», la résolution a été introduite à la Commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, par deux congressmen, le républicain Joe Wilson, et le démocrate Bradley Schneider.

Le texte consacre l’engagement bipartisan à Washington en faveur du renforcement de l’alliance «historique et stratégique» entre les deux pays, de même qu’il reconnaît le rôle du Maroc, sous le leadership du roi Mohammed VI, en faveur de la paix et la stabilité régionale.

«Considérant que le 1er décembre 2027 marquera le 250ème anniversaire de la reconnaissance des États-Unis d’Amérique par le Royaume du Maroc, premier pays à l’avoir fait, marquant ainsi une étape importante dans l’une des relations diplomatiques les plus anciennes de l’histoire des États-Unis», lit-on dans le préambule de la résolution, qui rappelle que le 18 juillet 1787, les États-Unis ont ratifié le Traité de paix et d’amitié établissant des relations diplomatiques et commerciales officielles entre les États-Unis et le Maroc.

«La plus longue relation diplomatique de l’histoire des États-Unis»

La résolution rappelle en outre que ce Traité «demeure la plus longue relation diplomatique ininterrompue de l’histoire des États-Unis», que le Maroc a «historiquement favorisé la coexistence religieuse, notamment en protégeant les communautés juives, et s’est engagé dans le dialogue interreligieux», et que les communautés maroco-américaines contribuent à la diversité culturelle des États-Unis.

Tout en soulignant que les deux alliés ont bâti un partenariat «multiforme fondé sur des intérêts stratégiques, économiques et culturels communs», la résolution soumise au Congrès relève que le Maroc «demeure le seul pays africain à avoir conclu un accord de libre-échange (ALE) avec les États-Unis et que, depuis la promulgation de cet accord en 2006, les échanges agricoles bilatéraux se sont développés».

Les auteurs de la résolution mettent aussi en avant la coopération bilatérale «étroite» en matière de sécurité régionale, de lutte contre le terrorisme et de coordination militaire, ainsi que dans les domaines de la non-prolifération nucléaire, de la lutte contre le trafic d’armes illicites et du renforcement des initiatives de sécurité régionale.

Le rôle du Maroc en faveur de la stabilité régionale

Mettant en exergue le rôle du Maroc en faveur de la stabilité régionale, dans le cadre notamment des Accords d’Abraham, ainsi que la densité des relations maroco-américaines dans les domaines culturel, éducatif et humanitaire, la résolution affirme l’importance de ces relations pour la promotion des intérêts économiques et sécuritaires mutuels et «salue l’engagement du Maroc dans la diplomatie régionale, notamment sa participation aux Accords d’Abraham».

La résolution soumise au Congrès encourage la poursuite de la coopération entre les États-Unis et le Maroc dans les domaines du commerce, de la sécurité, de la transformation numérique et de l’action humanitaire, reconnaissant les opportunités et les défis communs au sein du partenariat de même qu’ils soutiennent les efforts visant à commémorer cette étape importante à l’horizon 2027, à la hauteur de l’importance historique et stratégique de l’alliance entre les deux pays.

 

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Des parlementaires et chefs des partis politiques mobilisés pour la représentativité de la femme

C’est sous le thème : « Masculinité positive pour la participation politique des femmes : par les actes, non par les paroles » que le ministère du Genre, Famille et Enfant a ouvert le mercredi 26 mars, la journée de mobilisation nationale sur la masculinité positive.

La salle de la Monusco à l’Utex Africa a servi de cadre pour ladite manifestation. L’objectif de cette journée est d’appuyer une initiative concrète portée par les hommes décideurs du parlement et des chefs des partis politiques à s’engager sur les réformes de la loi électorale en vue d’améliorer la représentativité des femmes.

En effet, la RDC est engagée sur la voie de la parité et de l’égalité homme-femme tel qu’inscrit dans la constitution dans son article 14. Une loi spécifique portant modalités d’application des droits de la femme et de la parité est nécessaire.

Pour mettre en œuvre cette politique et faire avancer les droits de la femme, le gouvernement de la République, à travers le ministère du Genre, famille et enfant a mis en place des mécanismes et élaboré des stratégies pour une société congolaise égalitaire.

Notons que cette journée de mobilisation a connu la participation de la commission Genre du parlement, laquelle a engagé l’initiative législative de la réforme de la loi électorale. Il faut noter que cette journée est organisée avec l’appui technique de l’ONU Femmes en collaboration avec Rien sans les Femmes et section Genre de la MONUSCO.




Beni/Nord-Kivu: Reprise mercredi des activités socio-économiques après les échauffourées enregistrées mardi

Les activités socio-économiques ont repris le mercredi 26 mars dans la ville de Beni au Nord-Kivu, après des altercations mardi entre les jeunes et agents de l’ordre lors de l’inhumation de l’artiste musicien Delcat Idengo.

Le bilan de ces échauffourées fait état de deux morts et quelques blessés. Les victimes sont Omari Kambale et Gisèle Kavira âgés respectivement de 25 et 41 ans.

La société civile et les amis de la liberté, mouvement auquel appartenait Delcat Idengo, dénoncent et exigent des enquêtes pour arrêter ceux qui ont tiré sur les victimes.

“Nous appelons la justice qui puisse s’imprégner de la situation parceque ce qu’on a observé hier, on a tiré à bout portant sur les paisibles citoyens qui pleuraient notre héro national. Que la justice soit faite. Que les enquêtes soient faites.”, a dit Joseph Sabuni, président de la société civile noyau de Mulekera.

Rappelons également qu’au total cinq personnes ont trouvé la mort pendant les obsèques de ce musicien révolutionnaire. Trois autres personnes étaient mortes samedi dernier à Mavivi dans un accident lié au cortège funèbre de Delcat Idengo qui quittait Oicha pour Beni.

 

Loup solitaire




Agression rwandaise : Les FARDC dénoncent le renforcement des positions du M23 malgré l’annonce du cessez-le-feu le 22 mars dernier 

Les Forces armées de la République démocratique du Congo accusent le Rwanda et la rébellion de l’AFC/M23 de renforcer leurs positions tout en attaquant celles de l’armée loyaliste.

Dans un communiqué de presse publié ce jeudi 27 mars, les FARDC dénoncent et condamnent cette attitude qui sape, selon le porte-parole de l’armée congolaise, les efforts pour le retour de la paix dans l’est de la RDC entrepris par la communauté internationale.

“Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo continuent de s’inscrire dans la logique des initiatives de paix, récemment menées, en s’abstenant, pour l’heure, de déclencher des actions offensives afin de permettre le retrait rapide des forces hostiles de Walikale comme précédemment annoncé.”, indique le général-major Sylvain Ekenge.

Les FARDC disent néanmoins, se réserver le droit de réagir pour assurer la sécurité des populations et de leurs biens afin de contrer les actes d’hostilité de nature à compromettre le cessez-le-feu décrété unilatéralement par ce mouvement rebelle soutenu par le Rwanda.

 

Loup solitaire




Après le Burkina Faso, le Niger et le Gabon rendent hommage à l’action marocaine à la tête du CPS-UA et le rôle de Rabat dans l’architecture africaine destinée à la paix    

Consultations informelles organisées par la présidence marocaine du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine: Après le Burkina-Faso, le Gabon et le Niger saluent à leur tour cette “noble initiative du Maroc”, pour son approche tournée vers la promotion du dialogue sur le Continent, qui “confirme l’importance et la place du Maroc dans l’échiquier politique de l’Afrique, et même au-delà”, grâce à la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste.

En prenant la présidence tournante du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (CPS-UA), le Maroc affirme une vision diplomatique fondée sur la concertation, le respect des souverainetés nationales et la recherche de solutions concertées aux crises qui secouent le continent. Ce choix d’une diplomatie mesurée et pragmatique trouve un écho favorable auprès de plusieurs pays africains, qui saluent une approche à la fois inclusive et réaliste.

Le Niger et le Gabon ont exprimé leur considération pour la présidence marocaine du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (CPS-UA), mettant en avant une approche fondée sur la concertation et le dialogue structuré. Selon des sources proches du dossier, les deux pays ont tenu à souligner la «noble démarche du Maroc», qui, par cette initiative, «confirme l’importance et la place du Royaume dans l’échiquier politique du continent, et même au-delà.» Une reconnaissance qui s’inscrit dans le sillage de l’engagement constant du Maroc en faveur de la stabilité et de la coopération interafricaine.

Depuis le début de son mandat, Rabat a multiplié les échanges avec les différentes parties prenantes aux dossiers sécuritaires et politiques en cours. Dans un contexte où plusieurs États africains connaissent des transitions institutionnelles complexes, le Maroc privilégie une méthode d’accompagnement basée sur l’écoute, le dialogue et le pragmatisme, loin de toute logique de contrainte ou d’ingérence.

Un accueil favorable dans plusieurs capitales africaines

Les messages adressés ces derniers jours à Nasser Bourita par plusieurs ministres des affaires étrangères africains traduisent la reconnaissance du rôle fédérateur du Maroc dans les discussions engagées au sein du CPS.

Dans un courrier daté du 21 mars, le chef de la diplomatie burkinabè, Karamoko Jean-Marie Traoré, a souligné «la pertinence de l’approche marocaine, qui place les États africains au cœur des solutions à apporter aux défis de paix et de sécurité.» Il a insisté sur la nécessité de renforcer les mécanismes de consultation directe avec les pays en transition, une démarche que Rabat a déjà enclenchée à travers plusieurs initiatives diplomatiques.

De son côté, le ministre gabonais des affaires étrangères, Michel Régis Onanga Ndiaye, a, dans une lettre du 25 mars, salué «le doigté et le dynamisme de la présidence marocaine du CPS.» Il a notamment mis en exergue la réunion informelle du 18 mars à Addis-Abeba, convoquée sous l’égide du Maroc, et qui a permis d’ouvrir un dialogue avec plusieurs pays suspendus des instances de l’Union africaine à la suite de changements politiques internes.

Le Niger, également représenté lors de cette rencontre, s’est joint aux félicitations adressées à Rabat. Dans un courrier du 24 mars, le ministre des Affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, a insisté sur «la noble initiative du Maroc relative à la consultation informelle du 18 mars», soulignant que «l’engagement de [Nasser Bourita] en faveur de la paix et de la promotion du dialogue sur le continent africain.»

Une présidence marocaine ancrée dans une vision africaine de la paix

La réunion informelle du 18 mars a permis d’initier une réflexion collective sur les modalités d’une réintégration progressive des pays suspendus tout en maintenant un cadre de discussions respectueux des décisions de l’Union africaine. En s’engageant dans cette voie, le Maroc s’évertue à préserver l’équilibre institutionnel du CPS tout en évitant l’isolement prolongé de certains États, facteur de tensions accrues sur le continent.

Cette approche, qui allie réalisme et souplesse diplomatique, traduit la volonté de Rabat de faire du CPS un véritable espace de concertation africaine, loin des postures figées et des décisions arbitraires. Conscient des impératifs de stabilité qui s’imposent à l’Union africaine, le Maroc s’attache à instaurer un climat de confiance propice à des solutions concertées, dans l’intérêt des peuples africains.

Au-delà de son rôle institutionnel au sein du CPS, le Maroc ancre ainsi sa présidence dans une vision plus large d’approfondissement des liens interafricains, fidèle aux orientations tracées par le roi Mohammed VI en faveur d’un continent maître de son destin et résolument tourné vers l’avenir.




Arusha: Le Maroc préside un programme d’initiation pour les nouveaux membres du CPS de l’UA

Le Maroc préside, du 22 au 28 mars à Arusha en Tanzanie, un programme d’initiation et d’orientation destiné aux nouveaux membres du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine (CPS de l’UA).

Cette réunion, présidée par l’Ambassadeur Représentant Permanent du Maroc auprès de l’UA et de la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi, a pour objectif d’offrir aux nouveaux élus une compréhension approfondie de leurs futurs rôles et responsabilités au sein du CPS

Le programme, ayant pour but de préparer les membres nouvellement élus à prendre fonction à partir du 1er avril 2025, s’inscrit dans un processus d’initiation destiné à familiariser les participants avec le mandat du CPS, ses méthodes de travail, et ses relations avec d’autres organes de l’UA. Les discussions se concentreront sur l’Architecture africaine de paix et de sécurité (APSA), la gouvernance africaine (AGA), ainsi que la feuille de route de l’UA pour la résolution des conflits à l’horizon 2030.

Les membres nouvellement élus et réélus du CPS participeront à des sessions d’échanges approfondis avec les membres sortants et les anciens membres CPS. Ces échanges permettront de partager des bonnes pratiques, des expériences et des enseignements clés pour améliorer la gestion des conflits en Afrique.

Le programme permettra également de mieux comprendre les priorités du CPS pour 2025, y compris les défis immédiats à la paix et à la sécurité, et d’approfondir les relations de travail avec diverses parties prenantes, telles que les Communautés économiques régionales (CER) et les autres organes de l’UA.

Le Maroc, en tant que Président du CPS pour le mois de mars 2025, met un accent particulier sur la coopération et la coordination entre le CPS et les autres institutions régionales et internationales, comme le Conseil de Sécurité des Nations Unies, ayant la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales, dans le but de renforcer la sécurité et la stabilité sur le continent africain.

Le Maroc, à travers cette initiative, met en lumière son engagement indéfectible en faveur d’une Afrique unie et pacifique, et réaffirme son rôle dans la promotion de la stabilité sur le continent. Ainsi, lors de cette session d’initiation, les participants auront l’occasion de réfléchir collectivement sur les défis persistants à la paix et la sécurité en Afrique, notamment les crises géopolitiques actuelles, mais aussi aux solutions concrètes pour y faire face.

Le programme d’initiation destiné aux membres nouvellement élus du CPS représente une étape essentielle dans le renforcement des capacités du CPS et un moment clé pour préparer ses membres à jouer un rôle central dans la gouvernance et la gestion des crises en Afrique.




Le Gouvernement redynamise le dialogue avec le secteur privé pour un climat des affaires propice aux investissements   

La Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, a présidé la réunion élargie du Comité de Conjoncture Économique portant sur la mise en place d’un cadre permanent de dialogue entre les membres du Gouvernement impliqués dans l’amélioration du climat des affaires et le secteur privé. Cette réunion s’est tenue ce mercredi dans la salle du Conseil de l’immeuble du Gouvernement à Kinshasa.

L’événement revêtait un caractère particulier puisqu’il a été élargi au secteur privé, représenté notamment par la FEC (Fédération des Entreprises du Congo) et d’autres associations patronales telles que la COPEMECO.

Redynamisation du dialogue permanent entre le Gouvernement et le secteur privé

L’Exécutif central met un accent particulier sur la redynamisation d’un dialogue permanent avec le secteur privé pour améliorer progressivement le climat des affaires du pays.

« Cette réunion fait suite à celle présidée par Son Excellence M. le Président de la République sur le climat des affaires, jeudi dernier, où il a été question de la nécessité de mettre en place un cadre permanent de dialogue entre le secteur public et le secteur privé, avec pour objectif de favoriser l’amélioration continue du climat des affaires », a expliqué Daniel Mukoko Samba, Vice-premier Ministre en charge de l’Économie nationale et porte-parole du Comité de Conjoncture Économique.

« La République Démocratique du Congo est fréquemment pointée du doigt par les investisseurs étrangers et les opérateurs économiques nationaux en raison du mauvais climat des affaires. Pourtant, des efforts continus ont été entrepris, avec plusieurs réformes dans les domaines des finances publiques, de la promotion des investissements et bien d’autres. L’objectif principal de cette réunion était de réfléchir à la mise en place d’un cadre permettant aux secteurs public et privé de dialoguer de manière constante pour trouver des solutions aux défis économiques du pays », a-t-il ajouté.

Une économie résiliente malgré l’agression rwandaise

Le Gouvernement se félicite de la résilience de l’économie nationale, malgré l’occupation illégale de la région Est du pays par les forces rwandaises et leurs supplétifs du M23 et de l’AFC. Cette occupation est perçue comme un choc majeur, entraînant une fuite de recettes publiques.

« L’économie nationale a su rester résiliente face à ce choc, malgré les pertes de recettes publiques dues à l’occupation illégale de certaines zones frontalières. Néanmoins, les équilibres macroéconomiques ont été maintenus, et le Gouvernement reste attentif à la situation, bien que ses capacités d’intervention immédiate soient limitées en raison de cette occupation », a souligné Daniel Mukoko Samba.

RDC, une terre d’investissements

Le Gouvernement réaffirme que la République Démocratique du Congo continue d’attirer des investissements, grâce à son potentiel économique et à l’assainissement progressif du climat des affaires, malgré le contexte difficile lié à l’agression rwandaise.

« Même si une partie du territoire est sous occupation, cela n’empêche pas les investissements. D’ailleurs, nous avons pu observer une large représentation des associations patronales lors de cette réunion. Des investissements sont en cours dans divers secteurs, et c’est précisément pour améliorer les conditions de ces investissements que la Première Ministre a élargi cette réunion au secteur privé », a ajouté le patron de l’Economie nationale.

Il est à noter que le Gouvernement a précisé qu’il ne s’agit pas de créer un nouveau cadre de dialogue, mais d’optimiser ceux existants, tels que le Cadre Permanent de Concertation Économique (CPCE), créé par le Décret n° 008/01 du 23 février 2001 et rattaché au ministère de l’Économie nationale. De plus, des groupes thématiques sectoriels existent au ministère du Plan, présidés par les ministres concernés pour chaque secteur (environnement, santé, éducation), rassemblant les membres du gouvernement, les secteurs public et privé, ainsi que les bailleurs de fonds.




Díaz et Aguerd, grands artisans de la victoire du Maroc face à la Tanzanie (presse espagnole)

La presse espagnole présente, mercredi, l’attaquant du Real Madrid, Brahim Díaz, et le défenseur de la Real Sociedad, Nayef Aguerd, comme les grands artisans de la victoire du Maroc face à la Tanzanie (2-0), lors des qualifications pour la Coupe du Monde 2026.

Le Maroc poursuit sa belle série avec une nouvelle victoire sur la Tanzanie écrit “Marca”, qui met en avant le rôle décisif du meneur de jeu du Real Madrid, Brahim Díaz, auteur du 2ème but des Lions de l’Atlas lors de cette rencontre.

Dans un article intitulé “Un but de Brahim Díaz scelle une nouvelle victoire du Maroc”, le journal fait l’éloge des “performances spectaculaires” de Díaz avec la sélection nationale, faisant observer qu’il a inscrit huit buts et délivré deux passes décisives en 10 matchs.

Son confrère, “Mundo Deportivo” se fait, pour sa part, l’écho de la brillante prestation de Nayef Aguerd, qui, outre sa solidité défensive, s’est illustré en attaque en inscrivant le premier but du match.

La contribution de Nayef Aguerd a été déterminante pour offrir au Maroc une nouvelle victoire qui rapproche de plus en plus les Lions de l’Atlas du Mondial 2026, ce qui dénote de son importance au sein du dispositif de Walid Regragui, ajoute la publication.

Dotée d’une ligne défensive solide et équilibrée, l’équipe marocaine continue d’imposer sa domination lors de la phase de qualification, en enchaînant des victoires qui la placent en position de leader incontesté de son groupe, relève le quotidien.




Les relations maroco-mauritaniennes “traversent leur meilleure période” ces dernières années (MAE Mauritanien)

Les relations entre la Mauritanie et le Maroc “traversent leur meilleure période” ces dernières années, a affirmé, mercredi à Rabat, le ministre mauritanien des Affaires étrangères, de la Coopération et des Mauritaniens de l’extérieur, Mohamed Salem Ould Merzoug.

Lors d’un point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le chef de la diplomatie mauritanienne a précisé que “l’importante rencontre entre le Président de la République Islamique de Mauritanie Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani et Sa Majesté le Roi Mohammed VI a donné une forte impulsion à la coopération bilatérale, qui se trouve désormais à un niveau élevé”.

Il a affirmé que sa visite au Maroc intervient dans le cadre des consultations et de la coordination permanentes entre les deux pays sur l’ensemble des sujets d’intérêt commun, tant sur le plan bilatéral que multilatéral.

En outre, M. Ould Merzoug a salué le soutien “quotidien et permanent et à tous les niveaux” apporté par le Maroc à la Mauritanie durant son mandat à la tête de l’Union africaine, que ce soit au niveau du Sommet ou du Conseil exécutif.

Le ministre mauritanien a relevé que ses entretiens avec M. Bourita ont été l’occasion d’examiner les perspectives de la coopération bilatérale et de procéder à des consultations sur des questions d’ordre multilatéral, faisant part de la détermination des deux parties à assurer la réussite de l’ensemble des projets s’inscrivant dans ce sens.




Communiqué du ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie

Voici un communiqué du ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie :

“Le Ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie annonce que Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste et Le glorifie, présidera une veillée religieuse en commémoration de Laylat Al Qadr bénie, jeudi soir 26 Ramadan 1446 de l’Hégire, correspondant au 27 mars 2025 au Palais Royal de Rabat.

Compte tenu de certaines contraintes et difficultés liées à certains mouvements et positions, consécutives à l’opération chirurgicale que le Souverain avait subie au niveau de l’épaule gauche, Sa Majesté le Roi, Amir Al Mouminine, que Dieu Le préserve, et en application du verset coranique: “Qui, debout, assis, couchés sur leurs côtés, invoquent Allah”, accomplira, s’il plait à Dieu, la prière d’Al-Icha et les Tarawih en position assise.

Cette veillée religieuse sera retransmise en direct sur les ondes de la radio et à la télévision à l’heure de l’appel à la prière d’Al-Icha.

Puisse Dieu préserver Sa Majesté le Roi, perpétuer sur Lui les bienfaits de la santé et du bien-être et Le combler en les personnes de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de l’ensemble des membres de l’Illustre Famille Royale. Dieu L’Audient exauce les vœux de ceux qui L’implorent”.