Après la pluie et ses dégâts : Nathalie Aziza Munana à la rescousse des sinistrés

Les sinistrés de la catastrophe naturelle du 4 et 5 Avril dernier, ont bénéficié de l’assistance de la ministre des Affaires sociales, actions humanitaires et solidarité nationale en termes de vivres et non vivres.

Il s’agit des cargaison de matelas, des vivres non périssables, des pains et des camions d’eau potable.

Les familles sans abri qui passaient nuit à la belle étoile ont regagné le site de Tata Raphaël, sur instruction de Nathalie Aziza Munana Munana, ministre des Affaires sociales, actions humanitaires et solidarité nationale.




Naufrage d’une baleinière à Mayita : Jacques Djoli rassure le caucus des députés de l’Équateur de l’implication de l’AN pour une enquête 

Selon les dernières informations, plus de 100 personnes ont perdu la vie à la suite du naufrage d’une baleinière dénommée JADOS, dans la nuit du lundi 7 à mardi 8 avril 2025, sur le fleuve Congo. Cet accident s’est produit au niveau de Mobenzeno, en passant par le marché de Mayita, dans la province de l’Equateur.

Aussitôt alertés, les Députés nationaux réunis au sein du Caucus des élus de l’Équateur, conduits par la présidente de ce Caucus, Joséphine Pacifique Lolumu, ont échangé, ce mercredi 9 avril 2025, avec le Rapporteur de l’Assemblée nationale, le Professeur Jacques Djoli.

Il a été question pour ces élus de faire part au Porte-parole de la Chambre basse du Parlement de cette catastrophe, dans l’optique que l’Assemblée nationale puisse diligenter une mission parlementaire, pour s’enquérir de la situation.

Le Rapporteur de l’Assemblée Nationale, le Professeur Jacques Djoli, a accordé une oreille attentive à ses interlocuteurs, non sans leur promettre de soumettre cette question à qui de droit.

Signalons que les hôtes de Jacques Djoli sont sortis rassurés, après ces échanges.




Transition énergétique et mines : A Abu Dhabi, la RDC s’impose comme le futur géant africain des investissements

Au dernier jour de la 14ème édition de l’AIM Congress, la République Démocratique du Congo a marqué les esprits avec une présentation haut de gamme destinée à attirer les investisseurs internationaux. Organisé par l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI), un side-event stratégique a rassemblé des investisseurs de diverses nationalités, venus découvrir les opportunités offertes par le pays.

Une délégation de haut niveau pour convaincre

Dirigée par la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka, la délégation congolaise a aligné des intervenants de premier plan : ministres, responsables d’agences publiques et dirigeants d’entreprises publiques et autres structures spécialisées de l’Etat. Dans son discours d’ouverture, la Cheffe du Gouvernement a insisté sur le potentiel économique inégalé de la RDC.

«Forte de sa position géostratégique au cœur de l’Afrique, la RDC représente une porte d’entrée sur un marché de plus de 250 millions d’habitants. Notre pays, riche en ressources naturelles, est aujourd’hui plus que jamais un acteur clé dans les enjeux de développement durable et de transition énergétique», a-t-elle déclaré.

Mines et énergie : Les piliers de l’attractivité congolaise

La Cellule Technique de Coordination et de Planification Minière (CTCPM) a détaillé les avantages du code minier de la RDC, soulignant que le sous-sol congolais abonde en minerais rares, offrant des opportunités d’investissement adaptées à toutes les capacités financières.

De son côté, l’ANSER (Agence Nationale d’Électrification Rurale) a mis en avant les projets d’énergies renouvelables, notamment solaires et éoliennes, ainsi que les partenariats public-privé (PPP) pour électrifier les zones reculées.

Un environnement des affaires en pleine amélioration

L’ANAPI a rappelé les incitations fiscales et douanières offertes aux investisseurs, tandis que l’Unité de Conseil en Partenariat Public-Privé (UCPP) a présenté les mécanismes sécurisés pour faciliter les contrats.

Clôturant la participation congolaise, la Première Ministre a lancé un appel vibrant aux investisseurs.

«Investir en RDC, c’est maintenant ! Notre pays offre un cadre sécurisé, des réformes ambitieuses et des opportunités inégalées en Afrique. Avec ses 250 millions de consommateurs potentiels et ses ressources stratégiques, la RDC est le partenaire idéal pour une croissance mutuellement bénéfique», a-t-elle déclaré.

Cette déclaration a été saluée par les participants, renforçant l’image d’une RDC dynamique et ouverte aux affaires.

Une sortie remarquée pour la RDC, qui quitte Abu Dhabi avec des promesses d’investissements et une image renforcée sur la scène économique mondiale.




En prélude de la 16e réunion du conseil des ministres du commerce de la ZLECAF : Lancement de la 16ème réunion sur le commerce des services 

Lancement ce mercredi à Kinshasa de la 16e réunion sur le commerce services en prélude de la 16e réunion du conseil des Ministres du Commerce de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF) prévue pour le 15 avril prochain dans la capitale congolaise.

Pendant 3 jours, les experts venus des 54 pays membres de la ZLECAF vont examiner les versions finales du projet du cadre réglementaire du service financier et des services de communication, objectif, permettre le démarrage des échanges dans ces deux secteurs, et ce, dans le cadre de la ZLECAF qui vise l’accroissement du commerce intra-africain.

Donnant le go de ces travaux au nom du Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya, le Secrétaire Général au Commerce Extérieur, Jules Muilu Mbo a appelé les experts de mettre en contribution leurs expertises pour doter la Zone de Libre- Échange Continentale Africaine (ZLECAF) des instruments de travail pour ainsi accélérer l’effectivité du grand marché commun continental, car les différentes parties ont déjà déposé leurs listes d’engagement spécifique dans les 5 secteurs prioritaires notamment le Transport, le Tourisme, la Communication et le Service Financier, a-t-il ajouté.

« Comme nous le savons, la ZLECAF dispose d’un protocole sur le commerce des services. Et les différentes parties à ce protocole ont déjà déposé leurs listes d’engagements spécifiques dans 5 secteurs prioritaires à savoir : le transport, le tourisme, la communication, les services financiers et les services fournis aux entreprises. Dans l’une de ses dispositions, le protocole sur les services dispose que chaque structure doit disposer d’un cadre règlementaire pour sa mise en œuvre », a indiqué le Secrétaire général au Commerce Extérieur, Jules Muilu Mbo.

Et de poursuivre, bien que les protocoles sont ratifiés, il revient aux experts, pour leur mise en œuvre, de donner à la ZNECAF les instruments de travail. A l’occasion de cette 16ème réunion, les experts que vous êtes, vous allez examiner les versions légales des cadres réglementaires des services financiers et les services de communication.

A l’en croire, c’est une première étape telle que convenue. « Ces travaux vont continuer et je suis convaincu qu’à l’issue des échanges, nous arriverons à clôturer cette première phase, avant de vous engager dans la 2è phase. Je reste persuadé que ces travaux vont vous permettre de travailler dans un esprit d’équipe pour que ce marché commun soit favorable. Que les opportunités qui s’offrent soient saisies, mais dans le cadre légal », espère-t-il, tout en demandant aux experts de s’employer à offrir un travail de qualité qui permettra que les échanges dans ces deux secteurs puissent commencer.

Signalons que cette 16e réunion du comité des services tire ses rideaux le 11 avril 2025.




Sahara occidental : Washington réitère son soutien à la souveraineté du Maroc (AFP)

Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a réitéré mardi le soutien des Etats-Unis à la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, en recevant son homologue marocain Nasser Bourita. “Les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental et soutiennent la proposition d’autonomie sérieuse, crédible et réaliste du Maroc comme seule base pour une solution juste et durable au différend”, a indiqué la porte-parole du département d’Etat Tammy Bruce dans un communiqué rendant compte de l’entretien.

Le Sahara occidental, vaste territoire désertique aux eaux poissonneuses et riche en phosphates, est une ancienne colonie espagnole, contrôlée de facto à 80% par le Maroc mais considérée comme un territoire non autonome par les Nations unies. Un conflit armé y oppose depuis 50 ans le Maroc aux indépendantistes du Polisario, épaulés par Alger. “Les Etats-Unis continuent de croire qu’une véritable autonomie sous la souveraineté marocaine est la seule solution possible”, a ajouté Tammy Bruce. Le président Donald Trump exhorte les parties “à engager des discussions sans délai, en utilisant la proposition d’autonomie du Maroc comme seul cadre, afin de négocier une solution mutuellement acceptable”, a-t-elle ajouté.




Marocanité du Sahara: Les Etats-Unis réaffirment “la constance” de leur position, saluent le rôle du Maroc pour la paix, sous le leadership de SM le Roi (Congressman Mario Díaz-Balart)

En réaffirmant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, en confirmation de la position communiquée par le Président Donald Trump à SM le Roi Mohammed VI, les Etats-Unis consacrent “la constance” de leur position, tout en saluant le rôle du Maroc pour la paix et la prospérité, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, a déclaré le congressman américain, Mario Díaz-Balart.

La souveraineté du Maroc sur le Sahara marocain, tel que réitérée par le Secrétaire d’État “consacre la position adoptée par le président Trump lors de son premier mandat”, qui inclut également la reconnaissance de “l’importance du rôle du Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi, sur des questions d’une importance capitale, non seulement pour les États-Unis et le Maroc, mais aussi pour toute la région et le monde entier”, a indiqué, dans une déclaration à la MAP, l’influent membre de la Chambre des représentants des Etats-Unis.

A l’occasion d’un entretien, mardi à Washington, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Secrétaire d’Etat, Marco Rubio à Washington, ce dernier «a réitéré que les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara».

“Le seul plan crédible et sérieux est celui présenté par le Maroc. Le Secrétaire d’État l’a affirmé sans équivoque : la seule base réaliste et sérieuse pour parvenir à une solution durable est l’initiative marocaine d’autonomie. Le Président des États-Unis la reconnaît comme telle, et le Secrétaire d’État l’a fortement réaffirmé lors de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères du Royaume”, a ajouté M. Díaz-Balart.

Réagissant au communiqué de la diplomatie américaine à l’issue de l’entrevue entre M. Bourita et M. Rubio, le congressman républicain a relevé que “les deux parties ont réaffirmé l’importance du leadership du président Trump et de SM le Roi Mohammed VI dans la promotion de la paix et de la prospérité régionales”.

“Le rôle joué par le Maroc dans la cause de la paix au Moyen-Orient est fondamental. Il est tout aussi essentiel pour la prospérité des peuples marocain et américain”, a poursuivi Mario Díaz-Balart qui exerce actuellement son 12ème mandat à la Chambre des représentants des États-Unis.

Pour lui, “ce n’était pas surprenant, mais plutôt encourageant, d’entendre le Secrétaire d’État réitérer l’importance de la relation stratégique entre le Maroc et les Etats-Unis, de la vision portée par le Royaume, et de son leadership”.

“Cela témoigne de la constance de la position du président Trump, qui a toujours été clair sur ce sujet”, a-t-il enchaîné, en affirmant que pour les États-Unis, cette relation est “stratégique, porteuse de stabilité régionale, de paix et de prospérité”.

Dans ce sens, le congressman a salué la désignation par le président américain du nouvel ambassadeur US à Rabat, Richard Duke Buchan III, relevant que cette nomination a été accompagnée d’un engagement de la part de l’administration américaine à renforcer la coopération bilatérale à tous les niveaux.

“Je me rappelle toujours que le Royaume du Maroc a été le premier pays à reconnaître l’indépendance des États-Unis. Il s’agit de la relation diplomatique continue la plus ancienne que les États-Unis entretiennent dans le monde. Et il est très encourageant de constater que cette relation ne cesse de se renforcer, grâce au leadership Royal éclairé sur des questions clés”, a-t-il conclu.




Rapporteur de l’Assemblée nationale : Jacques Djoli reçoit un diplôme d’honneur du Forum francophone 

Le Porte-parole de la Chambre basse du Parlement, le professeur Jacques Djoli Eseng’ekeli, a reçu en audience, ce mardi 8 avril 2025, le Co-Président du Forum Francophone, Didier Kabeya Shikika. Ce dernier est venu décerner au Rapporteur de l’Assemblée nationale, le professeur Jacques Djoli Eseng’ekeli, un diplôme d’honneur francophone, pour l’implication du Bureau de l’Assemblée nationale dans l’organisation du premier Forum Francophone, tenu à Kinshasa.

À en croire l’interlocuteur de Jacques Djoli Eseng’ekeli, la remise de ce diplôme est l’une des résolutions prises à l’issue du deuxième Forum Francophone tenu à Brazzaville, capitale de la République du Congo.

“Parmi les recommandations formulées lors de la tenue du deuxième Forum de la Francophonie à Brazzaville, figurent, entre autres, la remise de diplôme de mérite à toutes les institutions qui ont contribué financièrement lors du premier Forum. C’est dans ce cadre que je suis venu remettre ce diplôme au Rapporteur de l’Assemblée nationale”, a déclaré Didier Kabeya Shikika.

Motif de satisfaction pour le Rapporteur de l’Assemblée nationale, qui se dit marqué par cet acte de reconnaissance.

Cette structure internationale organisera, au mois de juin prochain, au Canada, le 3ème Forum axé sur toutes sortes de violences, à savoir : physique, affective, psychologique, sexuelle, traditionnelle et socio-économique que subissent les femmes et filles dans la partie orientale de la RDC -République démocratique du Congo-. Une manière pour porter haut le combat que mène le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, sur l’échiquier international.

Signalons que le Co-Président du 3ème Forum Francophone, qui se tiendra au Canada, a remis deux invitations d’honneur au Rapporteur de l’Assemblée nationale.




La réaffirmation par les États-Unis de la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, un “message fort qui consacre la vérité et la réalité sur le terrain” (Héritage Foundation)

La réaffirmation par les États-Unis de la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara représente “un message fort qui consacre la vérité et la réalité sur le terrain” et “ouvre la voie à la paix et à la stabilité régionale”, a indiqué l’expert américain, David Aaronson, du think tank “The heritage Foundation” basé à Washington.

Cette déclaration “forte” renouvelle la dynamique positive créée notamment par l’accord tripartite de 2020, et “ouvre la voie à la paix et à la stabilité régionale”, a relevé M. Aaronson, dans une déclaration à la MAP, en réaction à la réaffirmation par les Etats-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, en confirmation de la position communiquée par le Président Donald Trump à Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

À l’occasion d’un entretien, mardi à Washington, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Secrétaire d’Etat Marco Rubio, ce dernier «a réitéré que les Etats-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara».

M. Aaronson a tenu à relever que les États-Unis, sous le leadership du président Trump, avaient reconnu la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, un élan suivi ensuite, a-t-il dit, par de nombreux autres pays.

Sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI et du Président américain, Donald Trump, les relations maroco-américaines sont “promises à un avenir meilleur”, a ajouté l’analyste de l’influent think thank américain.

Il a noté, dans ce sens, que les deux pays “partagent des intérêts et des valeurs communes, notamment un engagement fort en faveur de la paix, de la sécurité et de la prospérité”.

“Le Maroc a été le premier pays à reconnaître l’indépendance des États-Unis en 1777. Il est le seul pays africain à avoir conclu un accord de libre-échange avec les États-Unis”, a-t-il rappelé, relevant que cette relation est “solide et continuera sans aucun doute à se développer dans tous les domaines”.

Pour le spécialiste des questions du Proche-Orient, l’accord tripartite est “un exemple clé de cette coopération, tout comme l’exercice militaire African Lion”.




Le “World Football Summit Rabat 2025” se penche sur les défis du sport en relation avec l’économie et la technologie

Le gotha du sport mondial est en conclave à Rabat, à l’université Mohammed VI polytechnique (UM6P), à l’occasion du World Football Summit (WFS Rabat 2025), organisé les 9 et 10 avril, avec au menu les challenges actuels et futurs du sport, dans sa relation avec l’économie et les nouvelles technologies.

Lors de cet événement, placé sous le thème “cultiver l’héritage futur de la Coupe du Monde pour l’Afrique”, des responsables et décideurs gouvernementaux, économiques et sportifs, des représentants d’instances sportives nationales, continentales et internationales et des acteurs sportifs et économiques privés et institutionnels se penchent deux jours durant, sur des sujets aussi importants que riches, dont l’impact de l’intelligence artificielle et la stratégie de l’investissement dans la technologie dans le domaine sportif, l’impact de l’organisation d’événement sportifs majeurs sur les infrastructures en Afrique et les moyens de construire des économies sportives durables.

Les travaux de cet événement portent également sur les moyens de tirer parti des données et de l’analyse pour alimenter la montée en puissance du sport africain, la diplomatie culturelle à travers le sport, le rôle de la diaspora marocaine comme force motrice dans l’évolution du sport au Maroc, les moyens de faire du sport un levier d’inclusion sociale, le football féminin en Afrique et la gouvernance, la conformité et la résolution des différends dans le sport africain.

Intervenant à la cérémonie d’ouverture, mercredi, M. Hicham El Habti, président de l’UM6P a souligné que le sport est un moteur de croissance économique et un catalyseur du développement, ajoutant que le Maroc aspire à devenir un hub du développement sportif.

Un événement comme le Mondial permettra au Maroc de mettre en valeur son potentiel, mais surtout de développer son infrastructure et d’inspirer sa jeunesse, a-t-il affirmé.

Dans ce sens, M. El Habti a plaidé pour une réflexion visant à construire un futur où éducation et sport vont de pair.

Pour sa part, M. Jan Alessie, directeur du World Football Summit, a souligné l’importance de cet événement qui intervient dans le contexte des préparatifs à la co-organisation e la Coupe du monde de football par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.

Plus de mille personnes de 47 pays et une centaine d’intervenants sont réunis pour discuter de l’avenir du sport en Afrique, a-t-il fait remarquer.

La cérémonie d’ouverture du WFS Rabat 2025 a été marquée par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Azzedine El Midaoui, du ministre de l’Education nationale, du Préscolaire et du Sport, Mohamed Saad Berrada, du président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa et du président du Conseil de la région de Rabat-Salé-Kénitra, Rachid El Abdi.

Organisé en partenariat avec EVOSPORT, filiale de l’UM6P, et en collaboration avec la Fédération royale marocaine de football (FRMF), le WFS Rabat 2025 se distingue par son approche intégrée, mêlant réflexion académique et action concrète.




L’UE approuve ses premières mesures de rétorsion contre les droits de douane américains

Les Etats membres de l’Union européenne (UE) ont approuvé mercredi leur premier paquet de mesures de rétorsion contre les droits de douane du président américain Donald Trump.

L’UE considère que les droits de douane américains sont injustifiés et préjudiciables, causant un préjudice économique aux deux parties, ainsi qu’à l’économie mondiale, a déclaré la Commission européenne dans un communiqué.

La Commission européenne a proposé lundi des droits de douane de rétorsion, fixant la plupart d’entre eux à 25%. Les droits de douane visent une série d’importations américaines en réponse aux taxes imposées par Washington sur l’acier et l’aluminium.

La liste cible des produits agricoles et industriels tels que le soja, la volaille, le tabac, le fer, les motos, le fil dentaire, l’acier et l’aluminium. L’année dernière, ces marchandises avaient représenté au total quelque 22 milliards d’euros (environ 24,3 milliards de dollars).

Ces droits de douane européens se déclineront en trois étapes. La première, qui portera sur des produits tels que les canneberges et le jus d’orange, entrera en vigueur le 15 avril. La deuxième, portant sur des produits tels que l’acier, la viande, le chocolat blanc et le polyéthylène, suivra le 16 mai. La dernière, qui concerne les amandes et le soja, est prévue pour le 1er décembre.

La Commission européenne a répété mercredi qu’elle préférait “trouver des résultats négociés avec les Etats-Unis, qui seraient équilibrés et mutuellement bénéfiques”. Pour elle, “ces contre-mesures peuvent être suspendues à tout moment si les Etats-Unis acceptent une issue négociée juste et équilibrée”.