Au 18 décembre dernier : Les dépenses en capital ont été exécutées en dépassement de 22,6 % de leur prévision mensuelle

Au cours de la troisième semaine du mois de décembre 2024, le rythme de formation des prix a légèrement augmenté, attesté par un taux d’inflation hebdomadaire de 0,18 % contre 0,13 % la semaine précédente. En cumul annuel, l’inflation a atteint 11,45 %.

Cette évolution de l’indice global est attribuable, notamment à la fonction de consommation « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées », « Transports », « Articles d’habillement et chaussures » ainsi que « Logement, eau, électricité, gaz, et autres combustibles ».

En effet, la fonction de consommation « Produits alimentaires et boissons non alcoolisées » a contribué à hauteur de 52,48 % à l’inflation hebdomadaire. Celles des « Transports » et « Articles d’habillement et chaussures » ont contribué, respectivement de 11,45 % et de 10,90 %. La contribution de la fonction « Logement, eau, électricité, gaz, et autres combustibles » est de 8,38 %.

En glissement annuel, le taux d’inflation s’est chiffré à 12,07 % et en annualisé à 11,69 % contre une prévision de 12,0 % à fin décembre 2024.

Au cours de la même période, la gestion des finances publiques reste caractérisée par des efforts de mobilisation accrue des ressources domestiques, traduits par une réalisation des recettes supérieure aux prévisions.

C’est ce qui fait que le solde des Opérations Financières de l’Etat est déficitaire de 705,3 milliards de CDF contre un déficit programmé de 763,3 milliards pour le mois. Ce déficit a été financé par des ressources tirées des émissions des titres publics (138,7 milliards de CDF) et des marges de trésorerie antérieurement constituées (566,6 milliards).

Les ressources mobilisées au 18 décembre courant ont représenté 79,5 % de l’enveloppe attendue pour le mois. En effet, sur un montant prévisionnel de 1.476,4 milliards de CDF, les régies financières ont collecté 1.174,3 milliards.

Les recettes d’impôts directs et indirects (DGI) ont totalisé 626,7 milliards de CDF et celles de la fiscalité douanière et accises (DGDA) ont atteint 310,3 milliards. Concernant les recettes de la parafiscalité, collectées par la DGRAD, elles se sont établies à 237,3 milliards de CDF.

Les dépenses publiques, incluant l’amortissement de la dette, ont été exécutées à 83,9 % de leurs prévisions fixées dans le plan de trésorerie de l’Etat. Sur un montant projeté à 2.239,7 milliards de CDF, les dépenses publiques se sont établies à 1.879,6 milliards.

Pour ce qui est de l’exécution des dépenses courantes, les statistiques révèlent qu’elles ont atteint 1.409,9 milliards de CDF, soit 87,1 % de leurs prévisions mensuelles. La structure de ces dépenses est composée, notamment des rubriques ci-après : frais de fonctionnement des institutions et ministères (554,1 milliards de CDF), subventions (374,0 milliards) salaires des agents et fonctionnaires de l’Etat (348,6 milliards) ainsi que les intérêts sur la dette (62,1 milliards).

S’agissant des dépenses en capital, elles ont été exécutées en dépassement de 22,6 % de leur prévision mensuelle. Elles se sont établies à 336,3 milliards de CDF contre une prévision de 274,2 milliards.

Par ailleurs, en cumul annuel, au 18 décembre 2024, l’exécution des opérations financières de l’Etat s’est soldée par un déficit de 1.557,8 milliards de CDF, résultant d’un niveau des recettes de 25.669,7 milliards et celui des dépenses de 27.227,5 milliards de CDF.




Baromètre de conjoncture : Il s’observe un repli de l’optimisme expliqué principalement par une baisse des activités 

La note de conjoncture économique qui couvre la période du 13 au 20 décembre 2024, constate que l’environnement économique intérieur continue de tirer profit du renforcement de la coordination des politiques conjoncturelles. En effet, les principaux marchés sont demeurés globalement stables, au cours de la semaine sous analyse.

Selon les estimations, sur base des réalisations de production à fin juin 2024, le taux de croissance du PIB réel s’établirait à 6,0 %. Cette évolution tient principalement de la performance du secteur minier, à la faveur d’une bonne tenue des cours de principaux produits exportés.

Les résultats de l’enquête de baromètre de conjoncture indiquent une poursuite de la consolidation de la confiance des chefs d’entreprises quant aux perspectives économiques à court terme. En effet, le solde global d’opinions est ressorti à +36,2 % au mois de novembre 2024, contre +36,1 % un mois plus tôt. Cette situation est observée principalement au niveau de la branche d’activité « Industrie Extractive ».

Quant aux autres branches d’activités, il s’observe un repli de l’optimisme expliqué principalement par une baisse des activités enregistrées dans la branche construction à la suite du ralentissement dans l’exécution de certains grands projets de l’Etat.




Environnement économique extérieur : Nécessité de mettre en place un cadre de politique économique cohérent, solide et adapté

D’après la Banque mondiale, l’environnement économique mondial affiche une tendance à la stabilisation après plusieurs années des chocs successifs. Toutefois, indique l’évolution récente de la conjoncture économique au cours de la période du 13 au 20 décembre 2024, bien que les économies avancées semblent bénéficier d’une reprise, les pays en développement peinent encore à rattraper leur retard.

En effet, ces pays sont confrontés à un environnement économique de plus en plus complexe, marqué par des contraintes majeures, notamment celles liées à la montée des tendances protectionnistes, à la réduction des marges budgétaires et la numérisation.

Pour ce qui est des tendances protectionnistes, leur montée observée ces dernières années conduit à la restructuration des chaînes de valeur mondiales et à la fragmentation des échanges commerciaux. A ces tendances s’ajoutent également les risques d’intensification des tensions géopolitiques.

Concernant la réduction des marges budgétaires, elle est consécutive aux crises récentes ayant affecté les économies en développement, notamment la crise financière mondiale, la pandémie de Covid-19 et le choc sur les prix des produits de base. Ces crises ont réduit la capacité des autorités à assurer les services publics face à une demande en constante augmentation.

S’agissant de la numérisation, les avancées technologiques rapides sont de nature à remodeler le paysage économique, rendant obsolètes les réformes politiques traditionnelles en faveur de la croissance et de la transformation structurelle.

C’est dans ce contexte qu’il est impératif que les autorités mettent en place un cadre de politique économique cohérent, solide et adapté, qui réponde aux défis auxquels les pays en développement fon

t face.




« 2024 a été très cruelle pour ma famille et mon entreprise »

Vous avez été présents et disponibles dans tout ce qui nous est arrivé, à travers votre soutien, votre appui et vos prières.

Vous êtes parmi des femmes et hommes rares à trouver dans ce siècle où l’amour du plus grand nombre a diminué.

Voilà pourquoi au nom du Groupe de presse IMPACT NEWS, celui de la famille Ndanga et en mon nom propre, je vous exprime toute ma gratitude. Je prie au Seigneur Dieu de vous restituer toute la sollicitude dont nous avons été bénéficiaires de votre part.

J’en profite pour vous souhaiter les vœux les meilleurs pour l’année 2025. Vœux de bonheur, de bonne santé, de longévité, de stabilité et de promotion à tous égards.

Joël Cadet Ndanga, Journaliste, Éditeur Directeur Général.




DGI : Cérémonie de remise des chèques uniques aux retraités de 2017 et aux ayants droit

Ce lundi 30 décembre 3024 à l’hôtel Béatrice, à Kinshasa Gombe, a eu lieu une cérémonie officielle de remise des allocations complémentaires uniques à près de 183 agents de la DGI retraités de 2017 et ayants droit des agents décédés et élargies du fichier de la paie à partir du mois de juin 2024.

Cette cérémonie officielle initialement prévue pour le 27 décembre 2024 a finalement eu lieu lundi 30 décembre 2024. Les listings des personnes concernées et éligibles au bénéfice desdites allocations complémentaires uniques qui sont mises, par la caisse de solidarité des agents de la DGI, sont disponibles.

Cette cérémonie a connu la présence des directeurs centraux de la DGI, le directeur des grandes entreprises, le directeur de la DUI/K, les directeurs rattachés des impôts, les inspecteurs chefs de brigades de l’administration centrale et chef de pool de la DUI/K Limete, les chefs de divisions organiques de l’administration centrale et ceux de la DGE, le chef de division de la cellule d’études, les chefs de du CV IDIONS du siège de la DUI/K, le chef de centre des impôts de Kinshasa, les chefs des centres d’impôts synthétiques de la DUI/K, les permanents syndicaux et le bureaux de la délégation syndicale.

La cérémonie a commencé tard dans les après-midi par l’exécution de l’hymne national. Prenant la parole, le Directeur des ressources humaines, M. Issa Selemani a expliqué à l’assistance les raisons et la naissance d’une caisse de solidarité des agents DGI.

Elle a été créée le 22 décembre 2022 et alimentée par les cotisations mensuelles pour assister financièrement les agents de la DGI.

Selon le DRH, cette caisse totalise déjà 14 millions cinq cents mille dollars depuis 2023.

183 agents de la DGI nommément cités dont 3 hauts cadres, 40 cadres supérieurs, 127 collaborateurs, 22 cadres d’exécution et un huissier sont éligibles à ces allocations de la caisse de solidarité pour 2024.

Le président de la délégation syndicale de la DGI a demandé à l’assistance de se mettre debout pour observer une minute de silence en mémoire des agents de la DGI décédés.

La délégation syndicale de la Dgi avait posé ce problème à la haute hiérarchie pour la création de cette caisse dans le but d’assister les agents de la DGI à partir des cotisations retenues sur la prime de mobilisation et de contentieux avec bien sûr la quote-part de la DGI. Il a proposé la création d’une structure autonome pour octroyer des prêts à faible intérêt, avec comme devise : l’actif cotise le passif.

Le DG Barnabé Mwakadi qui est aussi un ancien syndicaliste a expliqué que c’est pour la première fois dans l’histoire de la DGI, qu’il existe une caisse de solidarité pour assister les agents.

D’autant plus que la mise à la retraite était ressentie par les agents comme une punition, il fallait y trouver une solution.

Pour le DG de la DGI, un agent qui arrive à la fin de sa carrière après 35 ans de loyaux services rendus à la nation, peut toucher 300 mille dollars à la caisse de solidarité des agents. Cette initiative combien l’oublie a été prise par le DG Barnabé Mwakadi en concertation avec la délégation syndicale de la DGI.

Une allocation complémentaire unique est rendue disponible par la caisse de solidarité pour permettre de faire face aux conditions difficiles de la vie après la carrière.

Alex Tutukala




Félix Tshisekedi accorde la grâce à certains condamnés

Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a signé le 30 décembre 2024 une ordonnance portant mesures collectives de grâce. Cette ordonnance a été lue le 31 décembre à la télévision publique congolaise, la RTNC.

Cette mesure a été prise pour « marquer d’un sentiment particulier d’humanité, de pardon et de clémence la clôture de l’année 2024 ainsi que les festivités de nouvel an 2025 ».

Selon l’ordonnance, la remise de la peine restant à exécuter est accordée à toute personne condamnée à une peine de servitude pénale ou des travaux forcés inférieure à 5 ans par décision judiciaire devenue irrévocable à la date du 31 décembre 2024.

L’ordonnance a aussi fait allusion à la commutation de la peine de mort en celle de servitude pénale à perpétuité qui est accordée à toute personne condamnée par décision judiciaire devenue irrévocable au 31 décembre 2024.

Selon certains analystes, la décision du président Félix-Antoine Tshisekedi, bien qu’elle puisse être vue comme un geste humanitaire et un signe de clémence en période de fêtes, soulève plusieurs questions sur la portée réelle de cette mesure. Scientifiquement, on pourrait souligner que la remise de peine pour les infractions mineures, sans distinction des causes sous-jacentes des condamnations, peut manquer de cohérence dans le cadre de la justice pénale.

Politiquement, cette ordonnance pourrait être perçue comme un moyen de gagner du soutien populaire sans aborder les réformes structurelles nécessaires du système judiciaire. De plus, la commutation de la peine de mort en servitude pénale à perpétuité soulève des interrogations sur le respect des droits humains et sur la véritable réhabilitation des condamnés. Cette mesure risque d’être critiquée pour son opportunisme, en particulier en l’absence d’un cadre juridique solide garantissant une réelle réintégration des libérés.

Ne perdons pas de vue que notre justice est malade.




Petite histoire émouvante de Vainqueur, un petit garçon de trois ans vivant dans le camp de déplacés de Buhimba près de Goma

Un jour, Vainqueur a commencé à avoir de la fièvre et des éruptions cutanées. Sa mère pensait d’abord à un accès palustre, le paludisme étant l’une des maladies tueuses des enfants dans les camps, mais les symptômes se sont intensifiés et la situation s’est aggravée, mettant en péril la vie de son petit garçon.

Elle l’a amené d’urgence à la clinique du camp, où les médecins ont diagnostiqué un cas de Mpox. Vainqueur a été alors transféré à l’hôpital général de référence de Virunga, où il a été soigné, isolé pour éviter la contagion, et traité avec les médicaments essentiels. Dix jours plus tard, Vainqueur, qui semblait si fragile au début, était guéri et de retour auprès de sa mère, prêt à jouer avec ses frères.

L’histoire de Vainqueur illustre les résultats positifs de l’engagement de l’OMS et de ses partenaires en République démocratique du Congo. C’est aussi l’histoire de tant d’autres vies qui ont été sauvées et des sourires qui ont été redonnés en 2024.

À travers nos actions communes, nous avons non seulement amélioré les conditions de santé, mais aussi renforcé les liens de solidarité qui font de notre mission une réussite collective.

Nous tenons à vous exprimer toute notre profonde gratitude pour ce précieux partenariat. Grâce à vous, nous avons contribué à soulager les souffrances de nombreuses personnes en situation difficile.

Pour l’année 2025 qui se pointe à l’horizon, nous avons confiance en notre capacité à continuer à œuvrer ensemble pour de nouveaux succès, dans l’unité et la détermination.

C’est dans cette vision que le Dr Boureima Hama Sambo, Représentant résident, et l’ensemble du personnel de l’OMS en République démocratique du Congo vous souhaitent d’excellentes fêtes de fin d’année 2024 en meilleure santé.

Heureuse Année 2025,

L’équipe de l’OMS en RDC




Congo- Brazzaville : Denis Sassou N’Guesso a annoncé la création des premières unités des génies travaux en 2025   

Les premières unités de génie civil verront le jour en cette nouvelle année 2025 en République du Congo. Telle est l’annonce faite par le chef suprême des armées au cours du réveillon d’armes, le 31 décembre. A l’occasion, il a donné des orientations à la force publique. Instauré en décembre 1985, le réveillon d’armes est à son 39ème anniversaire.

Donnons les orientations à la force publique, après le rapport du chef d’Etat-major général des forces armées congolaises, le chef de l’Etat a reconnu les efforts consentis par la force publique durant les années 2023 et 2024 : « L’armée a exécuté avec efficacité ses missions permanentes … Il est heureux de constater dans les rangs des forces publiques qu’on observe de la discipline et de l’ordre. C’est dans ce cadre que s’accomplissent les missions ».

En rapport avec la formation évoquée par le Chef d’Etat-major général des FAC, le général de brigade, Guy Blanchard Okoï, dans le bilan de l’année qu’il a dressé, le président Denis Sassou N’Guesso a appelé à la poursuite de la formation des nouvelles recrues. « Pour 2025, je voudrais que cette formation des nouvelles recrues se poursuive avec rigueur », a-t-il instruit, avant d’ajouter que soient en 2025, les premières unités des génies travaux. Le chef suprême des armées a, notamment, insisté sur l’ordre, la rigueur et la discipline au sein de la force publique.

Selon Denis Sassou N’Guesso les efforts seront consentis pour relever le défi économique du pays. « Nous allons tout mettre en œuvre pour tenter de relever la situation économique et financière de notre pays. Ainsi, le gouvernement fera tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir la force publique et pour créer les conditions de travail et de vie au sein de cette force publique. Le gouvernement s’emploiera à améliorer la vie des troupes, a-t-il poursuivi.

Quant à la lutte contre la délinquance dans les grandes villes du pays, une mission prescrite à la force publique lors du réveillon d’armes de décembre 2023, le chef suprême des armées a estimé qu’elle demeure entière. D’où, son appel à la vigilance continue de la force publique dans la sécurisation des frontières et des grandes villes du pays.

« En 2025, les efforts seront encore consentis pour éradiquer le grand banditisme dans les grandes villes et à l’intérieur du pays. Ainsi, la vigilance doit être renforcée et le contrôle de nos frontières doit se poursuivre, afin qu’elles ne soient pas des passoires du banditisme », a déclaré Denis Sassou N’Guesso.

Par Roch Bouka/ Correspondant de la RTGA World au Congo.




François Mutombo baptise 2025 année « de la déclaration de l’homme de Dieu »

C’était à l’esplanade de la place Échangeur de Limete que les fidèles de la grande Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) ont célébré la traversée, ce mercredi 1 janvier 2025. Mine de rien, cette mythique place qui n’était qu’un essai, a fait l’unanimité dans le chef de beaucoup de fidèles. Et le réveillon 2024-2025 a été plus qu’un succès, permettant ainsi aux enfants de Dieu de prier sans encombre, avec sons et lumières au rendez-vous.

Une nuit exceptionnelle où les chrétiens venus de quatre coins de la ville province de Kinshasa qui avaient pris d’assaut pour la première fois cet endroit, l’une des places mythiques de la capitale n’ont pas voulu loupé ce grand service spirituel pour entrer en beauté dans cette nouvelle année sous la bonne bénédiction de l’homme de Dieu et Représentant légal de cette grande vision, le Pasteur François Mutombo.

Prenant la parole, l’orateur du jour a voulu asseoir son enseignement par des témoignages poignants de ce que le Seigneur a opéré dans la vie de quelques personnes. C’est le cas d’une famille dont le premier diagnostic de l’enfant renseignait que son intestin était perforé et qu’il fallait une intervention chirurgicale urgente. Mais grâce à la prière de l’homme de Dieu, une autre échographie a démontré le contraire.

Le révérend François Mutombo avait ainsi baptisé 2025 «une année de la déclaration de l’homme de Dieu ». Ceci veut tout simplement dire que seule la parole de son serviteur, celui-là même qui a reçu un appel authentique,  va accompagner chaque enfant de Dieu au cours de cette nouvelle année en lieu et place de ce que diront les ennemis.

Pour bien faire comprendre son message, il a ainsi donné le livre de 2 Rois 4, 20-23. Il s’agit d’un récit de la Sunamite, une femme de Sunem qui a aidé le prophète Élisée en lui offrant de l’hospitalité et une chambre dans sa maison. En retour, Élisée a prophétisé qu’elle aurait un fils, même si elle et son mari étaient âgés. Plus tard, Élisée ressuscite son fils après sa mort subite.

Alors qu’à l’époque, personne ne pouvait voir l’homme de Dieu que pendant le Sabbat ou la nouvelle lune pour obtenir une déclaration ou une guérison, voir même un miracle de sa part.

Poursuivant son message, l’orateur du jour a souligné que si à la nouvelle lune les hommes de Dieu opèrent le miracle, alors à combien plus forte raison une nouvelle année ! Pendant que la nouvelle lune commence, l’homme de Dieu a le devoir de déclarer. « L’homme de Dieu authentique qui a l’appel de Dieu, il a le devoir quand la nouvelle lune réapparaît, de déclarer. Maintenant il y a plus que la nouvelle lune, il y a une nouvelle année qui vient de commencer, je me sens dans l’obligation de déclarer », explique le pasteur François Mutombo Voici l’homme.

Et d’ajouter que dans chaque famille, quand un enfant est né, on lui donne un nom. Il y a un enfant qui vient de naître aujourd’hui, cet enfant s’appelle 2025. Ainsi, on lui donne les noms de l’année de mariage, de la grandeur, de la fécondité, de la multiplication, l’année de succès et de gloire, etc. « Je jure au nom de Dieu et de l’alliance de la CAC/VH que ce peuple est béni, que l’année 2025 soit couverte de la lumière, de la grâce, de la paix et de bénédictions », dit-il.

Après cette grande activité de réveillon, les programmes des activités à la CAC/VH ont repris comme d’habitude, a dit le Représentant légal de cette église. Et ce, en attendant le programme de la dédicace de l’année 2025 qui va débuter le 11 janvier pour finir le 16 février 2025.




François Mutombo annonce le début de la dédicace de l’année 2025 du 11 janvier et au 16 février 2025

L’année 2025 sera dédiée à Dieu le 16 février prochain, c’est ce qu’a annoncé le Représentant légal et visionnaire de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) le mercredi 1 janvier 2025 après la célébration de la traversée de l’année 2024 à 2025 organisée à l’esplanade de la place Echangeur dans la commune de Limete.

Le Pasteur François Mutombo qui va personnellement présider ce grand programme a précisé que ce service va couvrir une étape de 30 jours de sacrifice de jeûne et prière intense qui va débuter le 11 janvier et va se clôturer le 16 février 2025. A cet effet, les deux jours de la fin, soit du 15 au 16 février, un grand service sera organisé pendant les 2 derniers jours en dehors du siège national de cette communauté à un endroit qui sera communiqué dans les prochains jours par le numéro 1 de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme.

Selon l’homme de Dieu, cette étape consacrée aux prières intenses pour sauver des vies va permettre à chaque enfant de Dieu de prendre suffisamment du temps pour implorer la faveur et l’accompagnement de l’Eternel durant cette année, car on peut entrer dans une nouvelle année sans la posséder. Raison pour laquelle il faut bénéficier de la de la faveur de Dieu, pense François Mutombo Voici l’homme.

Cette série de prière qui sera concomitamment organisée dans toutes les églises de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) à travers le monde, va permettre à tout enfant de Dieu de prier pour implorer l’accompagnement de Dieu dans la réalisation de ses projets.

A cette occasion, l’homme de Dieu a invité les fidèles de partout où ils se trouvent de participer activement à ce programme spirituel qui consiste à bénir et remettre l’année 2025 entre les mains du Seigneur pour vivre sa bénédiction et neutraliser toutes les forces négatives qui se sont toujours levées pour contrer la bénédiction de quelques-uns parmi son peuple et amener l’échec dans le projet et entreprises d’un bon nombre de familles.