A cause des amandes arbitraires, l’unique Agence de transport en commun à Tshikapa a fermé ses portes

Pour avoir reçu depuis son ouverture plusieurs cas de tracasseries routière des éléments de la police de circulation, les amandes arbitraires mais aussi pour avoir vu sans raison valable les rétentions des leurs petits véhicule (motos tricycles) outre d’autres Actes d’anti valeurs contre ses agents, l’unique agence de transport en commun “Tatem Transport viens de fermer ses portes sur ordre de leur PDG. Selon le responsable qui nous livre cette information, cette agence compte plus de 100 agents parmi eux les chauffeurs, les mécaniciens, les éléments de sécurité et l’administration qui sont payés régulièrement, alors que les agents de certains services de l’Etat les fond perdre le peu de recettes réalisées avec un coup trop bas pour aider la population.

Dernièrement, c’est la SONAS qui est entrée en jeu et détient 3 véhicules depuis plus de 15 jours sous prétexte fallacieux, regrette Emmanuel Kuango, avant d’ajouter que les 3 véhicules (motos tricycles c’est plus de 10% de leur charroi sur la ville de Tshikapa.

« Nous avions 26, il y a 20 en circulation, 4 entre les mains des services de l’Etat, ce qui représente 20% du charroi en activité », regrette M. Tatem.

24 heures seulement après cette décision, le transport difficile si pas trop cher dans plusieurs coins de la ville tels que de Katshiongo au centre-ville, de Kamalenga vers Port tit, de 3z à Kamalenga ou de Milambu pour 3z, le transport passe de 500 Fc à 1000 Fc.

Maison Tatem promet de reprendre si seulement l’État leur garantie la sécurité contre la prédation de agents et la restitution des véhicules retenus au Commissariat de la Police de circulation routière, et au bureau SONAS/Tshikapa centre et suite au manque à gagner, la maison Tatem Transport promet de revoir ses tarifs légèrement à la hausse pour avoir l’argent qui va lui permettre de bien prendre en charge ses 100 agents.

Il appelle le gouvernement provincial à mettre en place les mécanismes de suivi pour combattre les antivaleurs dans le secteur de transport en commun.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville