A l’Occasion du 59ème Anniversaire du commencement du Dirigeant KIM JONG IL au Comité Central du PTC

Parti jouissant du soutien et de la confiance du peuple

 

Aujourd’hui, la communauté internationale fait l’éloge du Parti du travail de Corée en le qualifiant de parti jouissant du soutien et de la confiance absolus du peuple.

Ce soutien et cette confiance sont inconcevables en dehors du 19 juin 1964, jour où le grand Dirigeant Kim Jong Il, Leader éternel du peuple coréen, a commencé à travailler au Comité central du Parti du travail de Corée.

Celui-ci a édifié le PTC en parti-mère qui répond et se préoccupe du sort du peuple.

Au début de ses activités au CC du PTC, il a publié plusieurs ouvrages comme « Transformons radicalement le travail du Parti en travail en direction de l’homme » et « Il faut s’occuper du bien-être du peuple de façon responsable et avec un sentiment maternel » pour donner des éclaircissements sur les problèmes théoriques et pratiques posés par l’édification du parti. Ses ouvrages servaient de guide pour l’édification et les activités du PTC.

Kim Jong Il a veillé à ce que tous les cadres du Parti se mêlent toujours aux masses pour partager joie et souffrances avec elles, prêtent l’oreille à leurs voix et s’occupent non seulement de leur vie quotidienne mais aussi de leur sort. Tout au long de sa vie, il a donné le meilleur de lui-même pour le bonheur du peuple, en inspectant plus de 14 290 unités d’activité du pays entier.

Tantôt il s’est mêlé sans façon aux gens du peuple pour s’enquérir de leur état de vie, tantôt il a bien voulu baptiser le nom d’un futur bébé. Il a fait refléter les exigences et les aspirations du peuple dans la politique du Parti et, s’agissant d’une affaire pour le bien-être du peuple, il n’a rien lésiné. Même alors que le pays traversait de rudes épreuves, il a veillé à ce que des mesures populaires comme la gratuité des soins médicaux et l’enseignement obligatoire gratuit soient mis en vigueur invariablement.

Sous la direction du Dirigeant, notre peuple a pu jouir d’une vie méritoire en disant parti-mère à la louange du PTC, bienfaiteur de ce bonheur.

Kim Jong Il a fait du PTC parti ayant une confiance absolue envers le peuple.

La force du peuple et la confiance conjuguées, on peut avoir raison du ciel. Telle était la philosophie de Kim Jong Il sur la force du peuple et la confiance en lui. Fin du dernier siècle, le peuple coréen a pu ériger en vainqueur de l’histoire. Le facteur principal en était la confiance du Dirigeant envers le peuple.

Lors de son inspection en janvier 1998 de la province du Jagang, province située à la région septentrionale, le Dirigeant a aperçu une file des gens du peuple transportant du fumier dans des champs de la ferme malgré un énorme manque de vivres, et il a épanché son cœur, en disant qu’avec un tel peuple, on pourrait aller ensemble jusqu’au bout de l’univers. Le peuple coréen a confié entièrement son sort au Dirigeant qui voyait en lui son maître et son Dieu, et il a soutenu la direction du Parti du travail dans une seule pensée et une seule volonté.

Grâce à la direction de Kim Jong Il, l’unité monolithique entre le Parti et les masses populaires a été cimentée plus que jamais et des succès prodigieux se sont succédés dans la construction du socialisme, faisant l’étonnement du monde. Ainsi, ont été jetées de solides assises de l’édification d’une patrie riche et puissante.

Aujourd’hui, le soutien et la confiance du peuple envers le PTC deviennent plus absolus grâce à la politique de primauté des masses populaires que pratique Kim Jong Un, Secrétaire général du Parti du travail de Corée.

 

L’économie indépendante de la RPD de Corée

 

L’économie de la RPD de Corée vole de ses propres ailes. Quels sont les facteurs de son indépendance ?

Esprit de la confiance en soi

 

L’esprit de la confiance en soi est la première force motrice de son indépendance, peut-on dire.

Les idées du Juche constituent la racine de cet esprit. D’après cette pensée créée par le Président Kim Il Sung (1912-1994) et approfondie par le Dirigeant Kim Jong Il (1942-2011), chacun est maître de son destin et trouve en soi la force de le façonner.

Le peuple coréen prend ces idées pour guide pour promouvoir la révolution et le développement de son pays.

Par le passé, il a subi des dommages inimaginables de la guerre (1950-1953) imposée par les Américains. Par exemple, Pyongyang, capitale de la RPDC, en est sorti avec quelques bâtiments rudement détruits. Au point que les Américains ont prétendu que la Corée n’en relèverait pas même après cent ans.

Toujours est-il qu’elle est parvenue à rétablir son économie détruite en moins de 3 ans et à atteindre en 14 ans seulement son objectif, industrialisation socialiste. Ultérieurement, elle a réussi à réaliser des créations spectaculaires, notamment construction d’une presse à forger 10 000 t et d’un grand générateur d’oxygène et celle du barrage-écluse maritime de l’Ouest. C’est justement la confiance en soi qui a donné le jour à cette réalité inimaginable.

Aujourd’hui encore, le peuple coréen fait appel, non pas à l’aide d’un autre pays, mais à ses propres forces pour impulser son développement économique.

 

Gros effectif de talents

 

Pour former ses cadres nationaux, la Corée a toujours opté pour l’indépendance. Au moment où elle se libérait de la domination militaire japonaise (1905-1945), elle n’avait presque ou aucun cadre technique national ni aucune école supérieure, excepté une dizaine de scientifiques et techniciens. C’est le résultat de la politique d’obscurantisme de la nation coréenne pratiquée par le Japon.

Pourtant, pendant plus de 70 ans, elle a eu recours à ses propres forces pour développer sensiblement son enseignement et former de nombreux cadres techniques. Elle a mis en vigueur l’enseignement primaire obligatoire pour tous depuis 1956 et l’enseignement secondaire obligatoire pour tous depuis 1958. Et plus encore, l’enseignement obligatoire de onze années pour tous depuis 1975. Dans les années 1980, tous les travailleurs sont parvenus au niveau de diplômés de l’enseignement secondaire ; elle a possédé plus de 230 écoles supérieures et de 1 300 000 intellectuels. Ces chiffres témoignent de l’importance accordée par elle dans la formation de talents techniques.

Ces dernières années, son enseignement ne cesse pas de se développer.

La RPD de Corée met en vigueur l’enseignement obligatoire de 12 années pour tous et accélère l’innovation du contenu et des méthodes pédagogiques ; elle se propose pour objectif de transformer le peuple entier en talents scientifiques et techniques en vue de le faire des travailleurs dotés d’un niveau d’instruction égal à celui des diplômés de l’école supérieure.

Le nombre d’inventeurs et d’auteurs de projets de développement augmente au fil des jours.

Il est à noter qu’en RPD de Corée, l’enseignement est gratuit pour tous et au service de tout le peuple. Son gros effectif de talents formé grâce à ce système d’enseignement impulsera certainement l’économie indépendante du pays.

 

Solides assises économiques

 

L’indépendance économique d’un pays présuppose de solides assises économiques en dehors de l’esprit de la confiance en soi et des rangs de talents.

Aussi la Corée n’a-t-elle pas cessé de s’investir dans la préparation de solides assises économiques.

Il est à remarquer qu’elle en est venue d’abord à se doter d’une industrie lourde indépendante et moderne, puis à perfectionner une structure économique diversifiée et complexe, ensuite à s’assurer des sources de matières premières et enfin à équiper de technologie moderne tous les secteurs de son économie.

Ces succès ont produit une forte efficacité dans son développement économique. Après le cessez-le-feu, la RPD de Corée a proposé la ligne consistant à développer en même temps l’industrie lourde, l’industrie légère et l’agriculture, tout en donnant la priorité à la première. La valeur globale de sa production industrielle s’est accrue de 3,5 fois de 1957 à 1960 et la production industrielle, de 15,9 % chaque année de 1970 à 1979. A la fin des années 1980, tous les secteurs de l’industrie ont enregistré un accroissement sans précédent.

Au début des années 1990, la disparition du marché socialiste, les manœuvres d’étranglement des forces impérialistes contre la RPD de Corée et les calamités naturelles successives ont créé des difficultés horribles dans son édification économique. Pourtant, ses solides assises d’une économie indépendante l’avaient investie du statut de constructeur et de lanceur de satellites artificiels de la Terre. Dans les années 2000, la crise financière d’envergure mondiale a rudement frappé des banques et monopoles puissants et de nombreux pays, mais la Corée seule n’en a souffert aucunement.

Selon le plan quinquennal pour le développement de l’économie nationale proposé lors du VIIIe Congrès du Parti du travail de Corée, on renforce les assises des industries clés, notamment sidérurgique et chimique, et accélère la construction de 50 000 logements à Pyongyang et celle des maisons d’habitation dans les régions rurales et des fermes de culture en serres d’envergure. Cela est dû à de solides assises de l’économie nationale indépendante.