Agression physique d’une femme à Kisangani : les mouvements féministes montent au créneau (Déclaration)
Au lendemain de la publication de la vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux, vidéo montrant une femme qui subit un traitement inhumain lors de son interpellation par les éléments de la PNC, une forte mobilisation est enregistrée à Kisangani.
Les organisations féminines mouvements féministes ainsi que les ONG des droits de l’homme haussent le ton.
Dans une déclaration lue devant la presse à Kisangani, ces structures exigent au Premier président de la cour d’appel de Kisangani de prendre toutes les dispositions nécessaires pour que tous les auteurs et commanditaires de cette grave violation des droits de la femme soient identifiés, arrêtés, poursuivis et déférés devant leurs Juges naturels afin de répondre de leurs actes.
“Cette barbarie policière aux allures médiévales et machistes contre la femme dans une affaire judiciaire pour le divorce, pourtant pris en charge par les instances compétentes constituent une grave atteinte à la dignité de la femme et une violation des droits humains à l’aire des essais cliniques de l’État de droit dans notre pays.” peut-on lire dans cette déclaration des organisations féminines et mouvements féministes des droits humains de Kisangani
Le procès en procédure de flagrance contre le professeur Jean-Claude Pandatimu a débuté ce jeudi à la cour d’appel de la Tshopo.
Derick Katola