Au Complexe du stade des Martyrs, des ouvriers d’Arena débourseraient 100 dollars pour des party-sexy
L’affaire fait de gros sous. Les filles de joie du coin ont bel et bien compris et s’adonnent à cur joie à cette pratique. Pour découvrir leurs parties intimes dans des maisons de passent qui squattent désormais le Complexe Omnisports du Stade des Martyrs, elles exigeraient aux ouvriers qui font la main d’uvre, des turcs pour la plupart, à débourser désormais 100 dollars américains. Raison pour laquelle il s’observe une affluence des « Ndumba », filles de joie, aux alentours du Complexe Omnisports du Stade des Martyrs, notamment au quartier qui le jouxte à la tombée de la nuit, vers l’entrée dite des invalides. Les bruits de cette pratique font rage dans la commune de Lingwala où des langues en parlent sans retenue et instance.
En effet, sur l’avenue Nyangwe et au rond-point des Huileries où la nouvelle est racontée dans des terrasses autour de verres de bière, certains ouvriers turcs utilisés pour la construction du complexe Arena, prennent souvent d’assaut des maisons de passe disséminées dans ce coin. La nuit tombée, ils ne trouvent aucun inconvénient à faire leur burin moyennant 100 USD qu’ils débourseraient sans problèmes aux filles de joie. Ces dernières, selon les potins qui circulent à cet effet, se sont passées le mot d’ordre : « burin contre 100 dollars ». Ce tarif, non discutable, est négocié pour un timing ferme : 30 minutes de plaisir. Pas plus !
Mais d’autres sources, perroquets aussi, susurrent que ce tarif existait bel et bien à l’ouverture des travaux de Arena. « Maintenant que l’affluence de ces Ndumba indispose et devant la précarité des conditions de vie qui s’enchaînent, ces ouvriers ne se plaisent plus à ce jeu subtil des truandes filles congolaises pour 30 minutes seulement. Ils négocieraient désormais leur burin à 20 ou 30 dollars. A prendre ou à laisser ! », affirme un Petit Libumu habitué à faire le pont entre des dons Juans.
« Nos filles n’ont plus de choix. Elles ont convenu de battre en retraite. Kulutu, voyez-vous une fille congolaise refuser 20 ou 30 dollars, alors qu’elle sait que par nuit, elle peut réunir 3 à 5 clients », a informé ce Petit Libumu qui trouve aussi son compte dans ce « commerce triangulaire ».