Pressions euro-américaines sur le Covid-19 : La Chine poussée à pratiquer la réciprocité à son corps défendant !

L’annonce, par la Chine, depuis le mercredi 7 décembre 2022 de l’allègement général des restrictions contre le Covid-19 a soulevé en Occident un tollé général pour le moins insolite, particulièrement en ce début du mois de janvier 2023, la date prévue à cet effet pour ses autorités étant le 8  janvier…

Les médias dits internationaux semblent avoir reçu consigne de discréditer davantage Pékin au travers des titres à la fois alarmants et alarmistes du genre « En Chine, la mort de plusieurs personnalités renforce les soupçons sur le bilan réel du Covid-19 » ; « Covid-19 : A quelles conséquences faut-il s’attendre en France après le rebond épidémique en Chine ? » ; « Covid-19 : la Chine tente de minimiser le nombre de morts liés à l’épidémie » ; « Covid-19 en Chine : 90 % des habitants d’une province contaminés » ; « Covid : situation alarmante en Chine » ; « Covid-19 : les passagers en provenance de Chine doivent désormais présenter un test négatif pour venir en France » ; « Covid-19 : une ‘ écrasante majorité’ des pays de l’UE favorables à des tests pour les voyageurs venant de Chine, Pékin promet des ‘contre-mesures’». Ceci pour un seul pays.

On imagine l’ampleur de la médiatisation négative pour la quarantaine de pays d’Europe et d’Amérique du Nord participants à cette campagne à laquelle s’ajoutent certaines organisations internationales dont l’Oms.

A, à en croire un quotidien français citant nommément Michael Ryan, responsable de l’OMS chargé de la gestion des situations d’urgence sanitaire, « les chiffres actuels publiés par la Chine sous-représentent l’impact réel de la maladie en termes d’admissions hospitalières, d’admissions dans les soins intensifs et surtout en termes de décès».

Perspective redoutée parce que redoutable

En réponse à une préoccupation exprimée au média chinois Global Times,  Sunshu Shuai déclare : « Nous avons remarqué que certains médias occidentaux ont prétendu que l’ajustement de la politique sanitaire chinoise montre que la Chine a changé sa philosophie anti-épidémique contre le COVID-19 et qu’elle n’attache plus d’importance à la vie du peuple ».

Pour Wang Wenbin, « Les affirmations en question sont totalement contraires aux faits et à la science, et constituent une pure rhétorique de dénigrement aux motivations inavouées ».

Depuis l’apparition du Covid-19, son pays, relève-t-il, place la vie de son peuple au-dessus de tout, à l’instar d’ailleurs de tous les gouvernements sérieux.

« Nous avons fait tout notre possible pour protéger la vie et la santé du peuple et avons consacré toutes nos ressources au traitement de chaque patient. Au cours des trois dernières années, nous avons répondu efficacement à cinq vagues mondiales de COVID-19 et évité les infections généralisées par la souche originale et le variant Delta, qui sont relativement plus pathogènes que les autres variants. Nous avons considérablement réduit le nombre de cas graves et de décès, et gagné un temps précieux pour la recherche, le développement et l’application de vaccins et de thérapies, ainsi que pour la préparation de fournitures médicales et d’autres ressources ».

Résultat indéniable à l’échelle mondiale : « la Chine a enregistré les taux d’infection et de mortalité les plus faibles. Malgré la pandémie, l’espérance de vie moyenne en Chine est passée de 77,3 à 78,2 ans ».

A propos du variant Omicron devenu une obsession pour ces médias agissant certainement au nom de leurs gouvernements, la partie chinoise met les choses au clair. « Actuellement, le variant Omicron étant beaucoup moins pathogène et mortel et les capacités de traitement, de test et de vaccination de la Chine étant en constante augmentation, la Chine a pris l’initiative d’optimiser ses mesures de réponse au COVID-19. Nous avons adopté de manière ordonnée les 20 mesures optimisées et les 10 nouvelles mesures et avons publié des mesures visant à traiter le COVID-19 comme une maladie infectieuse de classe B au lieu de classe A, déplaçant l’objectif de notre réponse de l’endiguement de l’infection à la prévention des cas graves et aux soins de santé », déclarent les autorités chinoises convaincues du fait qu’« Il s’agit d’une démarche scientifique, opportune et nécessaire, visant à maximiser la sécurité de la vie et de la santé des personnes et à minimiser l’impact de l’épidémie sur le développement économique et social ».

Rejetant le reproche lui est fait de non-partage des informations disponibles sur cette épidémie, la Chine affirme plutôt le contraire. « La Chine a partagé les informations et les données concernées avec la communauté internationale de manière ouverte et transparente. Nous avons procédé à plus de 60 échanges techniques avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et avons partagé les données génomiques du virus provenant des derniers cas de COVID-19 en Chine via l’Initiative mondiale sur le partage des données relatives à la grippe aviaire (GISAID), fournissant ainsi des références importantes aux institutions internationales de recherche en santé », déclare-t-elle en soulignant qu’« à plusieurs reprises que pour tous les pays, les mesures de lutte contre le COVID-19 doivent être fondées sur des données scientifiques et proportionnées. Elles ne doivent pas affecter les déplacements transfrontaliers normaux ni les échanges et la coopération entre les peuples. Il ne doit pas y avoir de mesures discriminatoires, et encore moins utiliser ces mesures à des fins de manipulation politique ».

Se désolant de la manipulation à grande échelle en cours, Beijing prévient qu’« En réponse aux mesures déraisonnables prises par certains pays, la Chine prendra, selon la situation du COVID-19 et de la nécessité d’y répondre, des mesures correspondantes fondées sur le principe de réciprocité ».

C’est une perspective redoutée parce que redoutable.

SM




Situation sécuritaire : Les élus du Nord-Kivu invités à rejoindre la province pour vivre à côté des leurs électeurs (Prince Kihangi)

Dans une interview accordée au quotidienrdc.com, le député provincial, Prince Kihangi a fustigé la crise sécuritaire qui ne fait que monter dans la partie Est de la République démocratique du Congo.

Les morts sont toujours enregistrés parmi les paisibles citoyens sans parler de déplacement massif de la population qui vivent jusqu’à présent dans les différents sites dans les conditions précaires sous l’œil impuissant des autorités du pays, s’indigne Prince Kihangi, élu provincial de Goma.

Il invite par élégance tous les députés nationaux du Nord-Kivu vivant à Kinshasa et ailleurs de venir vivre à côté de leurs électeurs.

” La population du Nord-Kivu traverse un moment difficile, une période douloureuse de son histoire caractérisée par les conflits armés, des violations des droits humains et les déplacements massifs de la population. Voici pourquoi j’estime nécessaire qu’il est important que tous les élus de la province doivent venir vivre à côté de la population pour remonter sa morale et discuter avec elle pour trouver les voies et moyens pour éradiquer les problèmes qui minent la province », a indiqué Prince Kihangi, député provincial du Nord-Kivu.

A noter que la province du Nord-Kivu continue toujours de vivre sous la menace des terroristes du M23 et de son allié le Rwanda, qui occupent plusieurs localités de ce coin du pays.

Osé Kalombo




Kalemie : Denis Kadima satisfait de l’élan pris par la population en s’enrôlant

Le président de la CENI, M. Denis Kadima est dans la province de Tanganyika où il est allé s’imprégner du début des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs. Il est aussi allé rassurer la population de Tanganyika que le processus électoral est en marche. Il l’a à l’occasion invité à s’enrôler massivement aux centres d’enrôlement les plus proches.

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, séjourne depuis ce vendredi 27 janvier 2022 à Kalemie, chef-lieu du Tanganyika, 3e étape de sa tournée qu’il effectue dans 5 des 9 provinces constituant l’aire opérationnelle 2 pour l’identification et l’enrôlement des électeurs.

Aussitôt arrivé, il s’est rendu au gouvernorat où il a été accueilli par le vice-gouverneur de la province de Tanganyika, Ferdinand Massamba, avant de prendre une part active à la réunion avec le conseil provincial des opérations, pour un état de lieu de la situation au plan local en lien avec la sécurisation du processus.

« Je suis venu faire un état des lieux au moment où nous commençons cet exercice, évidemment j’ai préféré débuter ici afin de rencontrer le vice-gouverneur ensuite tenir une réunion avec le conseil provincial des opérations qui s’occupe des questions sécuritaires. Les élections se passeront partout dans tous les coins du pays et il est important que nous nous assurions qu’au-delà de notre travail technique, les autorités provinciales et locales jouent leur rôle en matière de sécurité. Cette réunion nous a permis d’examiner tous les contours de l’opération importante qui précède les scrutins : l’identification et l’enrôlement des électeurs. J’en profite pour inviter la population de Tanganyika, essentiellement toutes les personnes qui remplissent les conditions requises, à venir s’inscrire le plus tôt possible et ne pas attendre la dernière minute parce que cette opération ne dure que 30 jours », a recommandé Denis Kadima Kazadi délivrant son message en swahili pour atteindre un plus large public.

A l’école primaire Bakita, un des centres d’inscriptions des électeurs, où il s’est rendu par la suite, l’occasion a été donnée au Président de la CENI de prendre la température de l’opération d’identification et d’enrôlement en cours. Il s’est déclaré satisfait du travail qu’accomplit le personnel commis à la tâche.

« Nous sommes ici pour voir comment l’opération se déroule et nous sommes satisfaits de constater que le personnel que nous avons formé est en train d’effectuer le travail qu’on attend de lui. Ils ont commencé le 25 janvier et aujourd’hui déjà je vois qu’ils ont atteint la vitesse de croisière : ils sont en train d’enrôler un grand nombre de personnes. Donc on peut voir que des leçons tirées de l’aire opérationnelle 1 sont effectivement mises en pratique. Voir qu’un grand nombre a été enrôlé en quelques jours me laisse une bonne impression et je vais continuer de faire ma ronde pour voir si c’est la même chose partout », a-t-il relevé.

Même son de cloche à un autre centre où il s’est dirigé et ce qui s’offrait à ses yeux était de bon augure pour la suite de l’opération. Pour sa part, le vice-gouverneur du Tanganyika a vu en l’arrivée du président de la CENI un grand signe de motivation et de réconfort pour la population de cette contrée.

« C’est réconfortant et en même temps comme une bénédiction, et cela montre que les questions qui se posaient par-ci par-là concernant les élections doivent avoir trouver des réponses. C’est confirmé qu’il y aura effectivement les élections. Il est venu nous renforcer en tout ce que nous avons déjà entrepris notamment la sensibilisation, les mesures prises pour la sécurisation des opérations. Je demande donc à mes administrés de pouvoir emboîter le pas aux autres qui l’ont déjà fait et se faire enrôler en masse », a indiqué le vice-gouverneur Ferdinand Massamba.




V.Club propose 60.000 dollars Us l’an pour pousser Marouf Tchakei à prolonger

Il nous revient que l’AS V.Club  a proposé à Marouf Tchakei  une offre de prolongation de contrat de 3 ans avec un salaire énorme de 60.000 dollars  américains net par an, soit 5.000 dollars américains le mois.

Selon notre source, Marouf étudie l’offre jusqu’à présent. Sauf changement de dernière minute, une réponse certainement favorable est prévue d’ici quelques jours.




Félix Tshisekedi préside un conseil des ministres focalisé sur l’insécurité dans l’Est du pays

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, préside ce vendredi, par visioconférence, la 84ème réunion du Conseil des ministres. Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde et tous les membres du gouvernement présents à Kinshasa, prennent part, en distantiel, chacun à partir de son cabinet de travail, à cette traditionnelle réunion hebdomadaire de L’Exécutif national.

Le Conseil des ministres de ce vendredi a débuté par la communication du Chef de l’État, relative notamment à sa participation au Forum économique mondial de Davos, en Suisse et au sommet de Dakar II, au Sénégal, sur l’agriculture.

Le Conseil des ministres va ensuite se pencher sur les questions en rapport avec la sécurité sur l’ensemble du territoire national, l’économie, le social et autres. Le compte-rendu de la réunion du Conseil des ministres de ce vendredi sera fait en fin d’après-midi, à la télévision nationale, par M. Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, porte-parole du gouvernement.




21ème lettre sociale congolaise : Peut- on confirmer la maffia administrative des Inspecteurs du Travail à l’Ong catholic Relief Services Rdc par l’absence de la référence DE certification du paiement des milliers de dollars américains dans le compte du trésor public ?

« C’est une règle générale : l’homme qui réussit  le  mieux dans la vie  est celui qui détient la meilleure information ».  Benjamin Disraeli.                          

Chères lectrices, chers lecteurs;

  1. Dans un régime démocratique, comme le prévient Mortimer Jérôme Adler, le citoyen doit être critique sur tout ce qu’il entend et lit. C’est pour cette raison que j’ai soumis au tribunal de la raison la lettre de délégués syndicaux Crs-RDC Kinshasa du 19 décembre 2022 adressée à l’autorité de tutelle de l’emploi, travail et prévoyance sociale
  2. La 19ème lettre Sociale congolaise intitulée Maffia Administrative des Inspecteurs du travail au Crs-RDC, un Caillou dans la chaussure de la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale a montré que cette maffia administrative consistait à déplacer les délégués syndicaux de leur circonscription électorale aux fins de l’obtention de la perte de leur qualité de délégués syndicaux  sans qu’il ait eu la décision d’autorisation de mutation prise en bonne et due forme par l’Inspecteur du Travail du Ressort.
  3. Cette lettre sociale congolaise a  aussi soutenu que l’autorité de tutelle de l’Emploi , Travail et Prévoyance Sociale était devant la nullité de la décision de l’Inspecteur du Travail Balomba Mpanzu Alain qui n’avait pas respecté  l’ arrêté ministériel n°12/CAB.MIN/ETPS/O41/08 du 08 août 2008 relatif au recours judiciaire contre la décision de l’Inspecteur du Travail en cas de licenciement ou mutation d’un délégué titulaire et suppléant.
  4. L’ arrêté ministériel susmentionné stipule  en ses articles 1er : «  Pour toute décision sur la demande d’autorisation de licenciement ou de mutation d’un délégué titulaire ou suppléant, sous peine  de nullité, l’inspecteur du travail du ressort procède au préalable à une enquête contradictoire, les parties sont entendus  en cas de besoin, assistées d’un représentant de leurs organisations professionnelles, d’un travailleur appartenant à la même branche d’activité économique ou d’un avocat » et 2 : « avant l’ouverture du débat, la partie intéressée propose la récusation… ».
  5. L’ouverture du débat contradictoire n’ayant jamais eu lieu étant donné que l’Inspecteur du Travail n’était jamais rentré pour la confrontation des parties, il n’existait pas donc de décisions d’autorisation de mutation de l’Inspecteur du Travail. Si ces décisions existaient elles seraient attachées aux lettres de mutation produites par les responsables  de l’Ong Catholic Relief Services RDC.
  6. Dès lors, mis de côté le juridisme routinier, devant cette nullité la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance ne peut pas statuer sur le vide, voire la nullité des décisions de mutation de deux délégués syndicaux. Elle doit par devoir de ses fonctions constater cette nullité et imposer le respect de lois de la République démocratique  du Congo pour la protection de ces délégués syndicaux.
  7. Outre la nullité des décisions d’autorisation de mutation de deux délégués syndicaux due au non respect des articles 1er et 2 de l’arrêté ministériel n°12/CAB.MIN/ETPS/O41/08 du 08 août 2008 ci-haut cité, une autre nullité est aussi due  au non respect de l’arrêté interministériel n°005/CAB.MIN/ ETPS/06/2022 et n°048/CAB/MIN/FINANCES/2022 du 02 août 2022.
  8. L’arrêté interministériel n°005/CAB.MIN/ ETPS/06/2022 et n°048/CAB/MIN/FINANCES/2022 du 02 août 2022 modifiant et complétant l’arrêté interministériel n°001/CAB/MINETAT/M ETPS/01/2019 et n°CAB/MIN/FINANCES/2019/138 du 28 novembre 2019 portant fixation des taux des droits, taxes et redevance  à percevoir à l’initiative du Ministère de l’emploi, travail et prévoyance sociale fixe dans son article 1er point 2 les taux de 5000$(cinq milles dollars américains) comme droits à percevoir à l’initiative du Ministère du Travail sur la prestation de licenciement ou mutation d’un délégué syndical titulaire ou suppléant.  Donc, CRS RDC devrait payer  dix milles dollars américains (10.000$) pour deux délégués syndicaux.
  9. Ceci suppose qu’à la clôture du débat contradictoire ouvert en vertu de l’article 2 de l’arrêté ministériel n°12/CAB.MIN/ETPS/O41/08 du 08 août 2008, l’Inspecteur du Travail Balomba Mpanzu Alain allait produire un Procès  Verbal et une note de taxation à remettre à un agent de la DGRAD.
  10. Dès son entrée en possession de la note de taxation, l’agent de la DGRAD allait à son tour produire une note de perception qu’il devrait signer avec l’auteur de la note de taxation, l’Inspecteur du Travail Balomba Mpanzu Alain.
  11. L’une des copies de cette note de perception devrait être remise à l’ONG Catholic Relief Services aux fins du versement d’une somme de dix milles dollars américains (10.000$) dans le compte du trésor public dans un de 8 jours. Si Catholic Relief Services avait versé cette somme, elle se présenterait avec son bordereau de versement pour la certification à la DGRAD. Grâce au logiciel ISYS- Régies   CRS RDC devrait avoir une référence  de son paiement certifié.
  12. Mais, l’’on comprend que  CRS RDC  n’aurait  pas respecté cette procédure relative aux droits à percevoir par le Ministère du Travail sur la prestation de mutation de deux délégués syndicaux afin d’obtenir l’autorisation de mutation par l’Inspecteur du Travail. Voilà pourquoi l’ONG Catholic Relief Services parle  souvent des décisions de mutation de deux délégués syndicaux sans les présenter physiquement.
  13. Il y a donc violation de l’article 1er point 2 de l’arrêté interministériel n°005/CAB.MIN/ ETPS/06/2022 et n°048/CAB/MIN/FINANCES/2022 du 02 août 2022. C’est ainsi  que « les présumées décisions » d’autorisation de mutation des délégués  syndicaux  ne sont connues que des Responsables de l’Ong Catholic Relief Services et de l’Inspecteur du Travail Balomba Mpanzu Alain qui leur confèrent un caractère privé.
  14. Pourtant ce sont des documents administratifs qui ne devraient pas être cachés. Cette manière d’agir présage la maffia administrative dont la finalité est de porter atteinte aux droits syndicaux reconnus et garantis à ces deux délégués syndicaux.
  15. L’Ong Catholic Relief Services a beaucoup d’employés qu’elle pouvait muter sans demander l’autorisation de l’Inspecteur du Travail. Le fait qu’elle n’ait voulu que muter les délégués syndicaux confirme son acharnement à supprimer la délégation syndicale.  Une institution légalement instaurée pour la défense, la protection et la promotion des intérêts des travailleurs.
  16.  La confrontation de lettres des responsables CRS RDC et celles de deux délégués syndicaux aux deux arrêtés ministériel et interministériel ci-haut cités prouve que ces délégués syndicaux sont simplement malmenés par leur employeur avec l’accord et la bénédiction de certains Inspecteurs du Travail.
  17. Pourtant, dès la première réunion du conseil des ministres du 13 septembre 2019, le Président de la République démocratique du Congo, Chef de l’Etat,  a affirmé  sa détermination de plus voir les travailleurs congolais être malmenés par les employeurs véreux
  18. Toutes choses restant égales par ailleurs, du point de vue matériel normatif l’on constate que les décisions d’autorisation de mutation de deux délégués syndicaux n’existent pas  dans la mesure où les procédures édictées par les arrêtés ministériel n° n°12/CAB.MIN/ETPS/O41/08 du 08 août 2008 et n°005/CAB.MIN/ETPS/06/2022 et interministériel  n°048/CAB/MIN/FINANCES/2022 du 02 août 2022 n’ont  pas été respectées.  Comment alors la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale va-t-elle  statuer sur cette nullité des décisions de l’inspecteur du Travail.
  19. De même, partant de l’argumentation de cause à effet, comment l’Inspection Générale du Travail peut-elle mener  une contre enquête  sur une  nullité des décisions de l’Inspecteur du Travail du ressort ?
  20. Dans une position de faiblesse, les délégués syndicaux ont introduit « des recours » partant de l’imbroglio astucieux utilisé par les responsables de l’Ong Catholic Relief Services pour supprimer la délégation syndicale au Bureau CRSRDC Kinshasa.
  21. Ainsi donc, après avoir pris connaissance des faits tels qu’ils se sont passés, le Ministère et l’Inspection Générale du Travail devraient comprendre qu’il n’y avait pas eu de décisions d’autorisation de mutation. Le contrôle devrait avoir une autre orientation afin de mettre fin à la maffia administrative  des  Inspecteurs du Travail au CRS RDC et  faire  appliquer les lois congolaises.
  22. Dans le cas d’espèce, il s’agit des prescrits de la convention n°135 de l’OIT ratifiée par la République démocratique du Congo qui dispose en son article 1er  : « Les représentants des travailleurs dans l’entreprise doivent bénéficier d’une protection efficace contre toutes mesures qui pourraient leur porter préjudice, y compris le licenciement , et qui seraient motivées par leur qualité ou leurs activités  de représentants des travailleurs(…) » et de la loi n°16/010 du 15 juillet 2016 modifiant et complétant la loi n°015 – 2002 portant Code du Travail qui dispose en son article 257 : « Le mandat du délégué ne peut entraîner  ni mesures vexatoires, ni préjudices, ni avantages spéciaux pour celui qui l’exerce.(…). ».
  23. Les délégués syndicaux ne doivent pas être sacrifiés  parce que leur licenciement ou mutation est une source des dollars pour ceux là qui sont censés appliquer les  lois de la République démocratique du Congo et/ou  faire appliquer ces dernières (lois) par les employeurs véreux.
  24. J’ai fait ma part. Si vous êtes intéressés par cette lettre sociale congolaise, rejoignez la coupe pleine au numéro +  243 994 994 872 pour appel normal, whatsApp ou twiter  et à l’e-mail jsphngandu@gmail.com  pour la suite.

Fait à Kinshasa, le 24 janvier 2023

 

Jean Joseph NGANDU NKONGOLO

Anthropobibliologue, Expert en Anthropobibliologie du Travail, Formateur Psycho SocioProfessionnel  et  Chercheur  à l’Observatoire Congolais du Travail.

 




L’achat d’armes made in France est la vraie raison de la réception inédite du chef de la junte d’Alger à l’Elysée

En dehors de la symbolique et des considérations d’apparat, la visite du chef d’état-major algérien, Saïd Chengriha, à Paris et le tapis, honteusement tenu caché, que lui a déroulé Emmanuel Macron à l’Elysée servaient d’autres desseins: de mirobolants contrats d’armement et le balisage d’un axe Paris-Alger avec, forcément, le Maroc et son multilatéralisme pour cibles.

Celles et ceux qui croyaient que le voyage à Paris du chef de la junte algérienne, de même que sa discrète réception inédite par le président français Emmanuel Macron à l’Elysée, visait uniquement à caresser dans le sens du poil le Système gagneraient à se raviser. Reçu à l’Elysée lundi 23 janvier 2023, ainsi que par Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises, ou encore le ministre des Armées, Sebastien Lecornu, Saïd Chengriha était en France pour une raison bien plus «matérielle» que la hauteur symbolique du tête-à-tête que lui a réservé le chef d’Etat français.

Ce tête-à-tête est le premier du genre accordé par un président français à un haut gradé algérien depuis l’indépendance de ce jeune pays, créé par la France par un décret d’octobre 1839, un territoire qui formait trois départements français. Ce décret de même que son appendice départementale sont un fait historique dont l’Algérie détient l’exclusivité dans la colonisation de l’Afrique et qui a spolié des nations, surtout le Maroc et la Tunisie ainsi que le Mali, de vastes territoires annexés à la France, qui pensait rester ad vitam æternam dans le pays qu’elle a créé. Le chef d’état-major de l’armée algérienne s’est rendu en France pour acheter des armes, apprend Le360 de sources sûres. L’accueil de Chengriha par Macron à l’Elysée, a priori étonnant à la fois par son aspect hautement symbolique et par son côté inhabituel, prend ainsi tout son sens. Tout comme s’explique enfin l’absence d’images de ce tête-à-tête et, surtout, le silence de l’Elysée et des médias de l’Hexagone à l’égard de cette visite et ses desseins occultes. Il y a un silence détonnant des médias français sur la présence du patron de la junte d’Alger sur leur territoire. L’achat d’armes françaises par la junte d’Alger n’est visiblement pas en odeur de sainteté.

L’on sait désormais mieux à quoi vont servir les 23 milliards de dollars réservés par le régime algérien à l’armement au titre de la seule année 2023 (+120% par rapport au budget 2022). L’objectif est double. Il s’agit pour l’Algérie de sortir du monopole de fait que lui impose la Russie, son fournisseur quasi exclusif en armes, mais dont les équipements ont montré leurs limites en Ukraine. Les contrats d’armement à venir scellent également un nouvel axe Paris-Alger dont la France sortirait, là encore, grand, sinon seul et unique, vainqueur. N’est-ce pas le même Macron qui a, en fin de semaine dernière, promis une enveloppe de 400 milliards d’euros pour l’armée française sur la période 2024-2030, ainsi qu’une forte hausse du budget du renseignement militaire? Le tout représentant un tiers de plus que la précédente enveloppe, fixé dans le cadre de la loi de programmation militaire. Là encore, on en sait davantage quant à certaines voies où le président français entend piocher les ressources nécessaires à cette ambition.

Les nouveaux contrats d’armement made in France de la junte, l’augmentation colossale du budget militaire de l’Algérie en 2023 et la visite de Chengriha à Paris pour renflouer les caisses du complexe militaro-industriel français viennent confirmer, si besoin, un basculement structurel de la France sous Macron vers l’Algérie au détriment du Maroc et de ses intérêts. Ce qui semblait être de l’hésitation française est désormais un choix clair. Une option qui renseigne sur les véritables visées du nouvel axe Paris-Alger. En toute logique, contre qui ces armes sont destinées à être utilisées par une junte militaire algérienne résolument belliciste? Le Maroc évidemment. Vaste programme… Et il faudrait résolument regarder vers la Russie pour voir quel prix les vieillards du régime d’Alger vont payer pour ce qui ressemble bien à une chute sans casque dans le camp de l’Occident. Le retour de bâton russe risque d’être extrêmement douloureux pour un régime algérien en déperdition.

Le grand secret dont ce nouvel accord est entouré par des médias français qui, généralement, font feu de tout bois, n’y changera rien. Les directeurs des rédactions françaises, habitués des dîners confidentiels avec Macron, sont rompus à ce genre d’exercices pour fomenter leurs coups de Jarnac, avec comme cibles de choix le Maroc et ses intérêts stratégiques. Un Maroc qui gêne par sa projection multiforme et la diversité de ses alliances stratégiques. Là encore, le nouvel axe Paris-Alger ne pourra rien y changer. Les propos, ce jeudi 26 janvier 2023, de la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Anne-Claire Legendre, voulant que «la France n’est pas en crise avec le Maroc» relèvent, dans ce contexte, du risible. Mais de qui se moque-t-on? Certainement des Français.

En dehors des précieux milliards que va apporter le choix de la junte par Paris, la France en sort-elle grandie sur les moyen et long termes? Rien n’est moins sûr. Il serait plus pertinent pour Paris de s’interroger, dans la foulée de la récente demande d’évacuation de ses troupes militaires au Burkina Faso, si le rapprochement avec Alger ne participera pas à accélérer son déclassement au Maghreb, au Sahel et sans nul doute dans plusieurs pays d’Afrique. Un continent où le sentiment anti-français ne s’est jamais autant exacerbé que depuis que Macron est à la tête de la France.




Rdc : Eve Bazaiba s’attaque à la problématique des déchets

Vice-Premier ministre, ministre de l’Environnement et développement durable, Mme Eve Bazaiba a lancé ce jeudi à Kinshasa, l’atelier sur la problématique de gestion des déchets. Au terme de cet atelier, l’on s’attend notamment à avoir des idées innovantes des participants pour la mise en place d’un mécanisme durable de gestion des déchets dans la ville de Kinshasa. Mais aussi, l’adoption d‘une feuille de route capable de changer les choses.  C’est pourquoi, pour ces trois jours, la VPM a sollicité l’implication active de tous les participants pour avoir une feuille de route afin d’améliorer la situation en Rdc. Elle a, au même moment, rassuré tous les participants que les recommandations seront exécutées non seulement par le ministère de l’Environnement, mais aussi par les ministères sectoriels concernés et les entités territoriales décentralisées.

C’est dans l’objectif de contribuer à l’amélioration du mécanisme de gestion des déchets en Rdc grâce aux idées innovantes et trouver des solutions durables dans le cadre de l’économie circulaire, que Mme Eve Bazaiba, Vice-Premier ministre en charge de l’Environnement et développement durable a lancé l’atelier sur la problématique de gestion des déchets à Kinshasa. C’était en présence de son collègue du Numérique, des ministres provinciaux en charge de l’environnement, des bourgmestres de la ville de Kinshasa, des Ong qui s’occupent de la question de l’environnement, etc.

Dans son discours, Eve Bazaiba a expliqué que l’assainissement est un secteur vital qui contribue au bien-être social du fait qu’il réduit l’incidence des maladies parasitaires et lutte contre la pauvreté. La problématique des déchets est devenue une préoccupation majeure. « Dans la recherche des solutions de l’insalubrité, j’ai pensé qu’il y avait urgence de réunir tous les experts du domaine pour échanger pour qu’il soit mis en place un mécanisme conjoint de gestion des déchets en RDC », insiste-t-elle.

Pour la VPM, cet atelier vise à réunir les cadres clés et les partenaires pour réfléchir sur la politique de gestion des déchets en Rdc en mettant l’accent sur la collecte, le tri; Réfléchir sur la compilation du cadre juridique; réfléchir sur l’impact de la décentralisation des institutions sur la gestion des déchets: au niveau du gouvernement central, le responsable, c’est la politique et la stratégie. La gestion, c’est au niveau des provinces. Quel est le rôle des responsables des rues, des communes ? Quel est notre rôle entant que responsable dans nos foyers ? Notre responsabilité à nous tous est engagée. Il faut sortir d’ici avec une idée claire et savoir que la gestion des déchets est aussi une opportunité dans le cadre de l’économie circulaire. Les partenaires disponibilisent les millions, et quels sont les résultats ?

C’est pourquoi, a-t-elle sollicité l’implication active de tous les participants pour avoir une feuille de route afin d’améliorer la situation en RDC. Elle a, au même moment, rassuré tous les participants que les recommandations seront exécutées non seulement par le ministère de l’Environnement, mais aussi par les ministères sectoriels concernés et les entités.

Le SG à l’Environnement responsabilise les intellectuels

Dans son mot de bienvenu, le Secrétaire général à l’Environnement a peint le tableau de Kin la belle devenue Kin la poubelle, pour responsabiliser les intellectuels. Pour lui, pour atteindre les cibles des Objectifs du développement durable, nous devons changer la donne, réfléchir autrement, c’est-à-dire, à partir de ce moment, il ne nous reste que 8 ans pour permettre à notre pays d’améliorer la gestion des déchets.

« Nous avons l’obligation de mettre en place des politiques pour l’amélioration de la vie des congolais pour un environnement sain. Au regard de la situation actuelle, cet atelier va mettre en exergue les différents problèmes de gestion des déchets et de mettre en place des stratégies. Il faut un cadre pour permettre aux acteurs de contribuer à l’assainissement de nos milieux. Comment considérer les déchets comme une matière première est l’intégrer dans l’économie circulaire. Nous devons lever des options responsables et patriotiques. L’analyse de cette problématique doit être approfondie afin qu’à l’issue des travaux, nous définissions des pistes de solutions idoines qui nous permettront d’élaborer une feuille de route », pense-t-il.

Soulignons que plusieurs thématiques sont développées lors de cette assise. Il s’agit de la politique de la gestion des déchets en Rdc ; le cadre juridique et réglementaire en matière d’assainissement ; l’impact de la décentralisation des institutions sur la gestion des déchets ; la gestion des déchets dans le cadre de l’économie circulaire : mécanisme de financements durables et efficaces.

JMNK




Atrocités en Ituri : l’Eglise catholique pour un dialogue intercommunautaire

Le Vice-Premier ministre de l’Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Daniel Aselo Okito wa Koy s’est entretenu ce jeudi 26 janvier 2023 dans son cabinet de travail avec le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), Monseigneur Marcel Utembi Tapa. Leurs échanges ont tourné autour de la situation sécuritaire inquiétante dans la province de l’Ituri.

Pour Mgr Marcel Utembi, la situation qui prévaut dans cette province reste préoccupante. Il estime que le gouvernement et l’Eglise catholique devront conjuguer des efforts ensemble pour identifier les pistes de solutions pouvant mettre fin à ces atrocités que subissent jours et nuits les paisibles citoyens. Pour la restauration de la paix et la sécurité dans cette zone, Mgr Marcel Utembi propose un dialogue intercommunautaire incluant chaque communauté de cette province. Ce dialogue permettra à chaque partie de faire une évaluation sans complaisance de tout ce qui se passe dans cette région.

« Notre apport, c’est de lancer des messages de paix et de vivre ensemble afin que ceux qui se battent réalisent qu’ils tuent leurs propres frères et sœurs », a-t-il dit avant de souligner que c’est une situation de détresse humanitaire. Par ailleurs, il a condamné ce genre de comportement et a invité les communautés en conflit à pouvoir se réconcilier.

 Ressortissant de cette province, rappelons que Mgr Utembi a été évêque de Mahagi pendant huit ans avant d’être transféré à Kisangani pour assumer la charge d’évêque dans cette ville.




Assemblée Nationale : Fructueux échanges sur la paix et la stabilité entre le président Mboso et Amason Jeffah Kingi, président du Sénat Kenyan

Lors d’un tête-à-tête  tenu ce jeudi 26 janviers 23 au palais du peuple, l’honorable président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso et Amason Jeffah Kingi, président du sénat Kenyan se sont entretenus particulièrement sur les questions de paix, de stabilité et de sécurité  de la partie Est de la RDC (mais de façon générale de toute la région des Grands Lacs)   dans le cadre du  forum des parlementaires de la conférence internationale sur la région des Grands lacs actuellement, lequel forum est actuellement  présidé par le Kenya à travers le président de son sénat.

Amason Jeffah Kingi, président du sénat Kenyan récemment porté  à la tête du  forum des parlementaires de la conférence internationale sur la région des Grands lacs,  a visité Kinshasa, le siège de l’institution régionale pour rencontrer les services techniques et prendre connaissance de tous les dossiers ainsi que des défis de l’institution parlementaire sous régionale créée   pour accompagner la mise en œuvre des résolutions de  la conférence international dans les Grands lacs sur la paix et la stabilité dans la région .

« Comme vous êtes au courant en 2006, tous les pays de la région des Grands lacs se sont réunis pour former le forum parlementaire dans la région des grands Lacs avec comme objectif de parler de paix et stabilité dans la région. Apres la formation de cette conférence, il s‘était avéré important que tous les parlements de la région jouent un rôle important. En 2008 le forum des parlementaires de la conférence internationale sur la région des Grands lacs était formé pour donner place à une plateforme où les parlements de cette région doivent donner la voix sur les questions de paix et de stabilité dans la région », a déclaré le speaker du sénat kenyan

Répondant à une question sur l’implication particulière du Kenya pour le retour de paix dans la partie orientale de la RDC et dans toute la sous-région, Amason Jeffah Kingi, qui cité l’engagement en cours de l’armée Kenyane, a promis une plus grande implication de son institution à travers des actions ciblées dans différentes assemblées nationales.

« En visitant le siège du forum, j’ai profité de visiter mon collègue président de l’Assemblée Nationale de la RDC afin que nous parlions de la paix, de la stabilité en RDC et dans la région. Nous sommes convenus en tant que parlement nous devons nous assoir et parler pendant que la région brule. On parle des conflits dans la partie Est de la RDC, en tant que parlement nous devons jouer un rôle pour nous assurer que la paix est restaurée non seulement dans la partie de la RDC mais dans la région tout entière. C’est pour cela au mois de Mars tous les speakers des parlements on va se rencontrer à Juba (capitale du Sud Soudan) pour délibérer de la paix et la stabilité de la région particulièrement la partie orientale de la RDC   C’est la raison pour laquelle je suis venu voir mon collègue », a-t-il conclu.

Le président Mboso, pour sa part, s’est contenté de saluer l’implication visible de la République du Kenya dont les troupes sont déjà sur les théâtres des opérations à Goma et ses environs   pour le rétablissement de la paix ; une décision ayant nécessité l’autorisation expresse de la représentation nationale.