“La Fondation Vodacom annonce un partenariat stratégique avec Amazon Web Services (AWS)’’ 

La Fondation Vodacom est fière d’annoncer un partenariat stratégique avec Amazon Web Services (AWS), dans le but d’accélérer le développement numérique et d’améliorer l’accès aux nouvelles technologies en République Démocratique du Congo (RDC). Cette collaboration innovante vise à exploiter le potentiel des technologies cloud pour apporter des solutions concrètes aux défis locaux en matière d’éducation, de santé et d’entrepreneuriat.

Ce partenariat avec AWS permettra d’étendre les initiatives de la Fondation Vodacom en matière de transformation numérique et d’inclusion sociale. Grâce aux solutions cloud d’AWS, la Fondation Vodacom pourra :

• Accroître l’accès à l’éducation en fournissant des ressources éducatives en ligne, des plateformes d’apprentissage, et des outils numériques pour aider les étudiants et les enseignants à améliorer leurs compétences en matière de technologie et d’innovation ;

• Soutenir le secteur de la santé en déployant des solutions technologiques pour faciliter l’accès aux soins de santé, y compris des bases de données médicales, des services de télémédecine et des plateformes de sensibilisation ;

• Encourager l’entrepreneuriat et l’innovation locale en offrant aux jeunes entrepreneurs et aux startups un accès aux technologies cloud, leur permettant de lancer et de développer leurs entreprises plus facilement ;

VODAEDUC : Une plateforme éducative enrichie

En outre, ce partenariat s’inscrit dans le cadre de l’enrichissement de notre plateforme VODAEDUC, qui regorge déjà de contenus éducatifs visualisés par plus d’un million de personnes du niveau primaire et secondaire. Avec ce nouveau contenu, les universitaires pourront désormais y trouver leur compte. Notre plateforme VODAEDUC totalise un million de vues grâce à son contenu riche qui offre notamment aux finalistes de l’Enafep et de l’Examen d’État des chances accrues de réussite aux différents tests.

“Nous sommes ravis de nous associer à AWS pour renforcer nos efforts en matière de transformation numérique et pour aider à combler le fossé technologique en RDC,” a déclaré Pamela ILUNGA, Présidente du conseil d’administration de la Fondation Vodacom.

“Ce partenariat est une étape clé pour garantir que les Congolais bénéficient des mêmes opportunités que ceux des marchés plus développés.”

Ce programme contribuera activement à la réduction de la fracture numérique et promouvra l’égalité des chances en matière d’éducation dans toute la RDC.

Merci à tous pour votre soutien indéfectible.

Nous invitons tous les élèves et étudiants à se connecter dès à présent sur vodaeduc.vodacom.cd, qui renferme des milliers de contenus éducatifs et qui est complètement gratuit.

Ensemble, continuons à promouvoir VODAEDUC.

A propos de la Fondation Vodacom

La Fondation Vodacom est une association sans but lucratif (ASBL) autonome, en charge des œuvres sociales entrant dans le cadre de la responsabilité sociale d’entreprise de Vodacom Congo.

Elle entend contribuer au bien-être social du peuple congolais à travers des actions sociales dans les domaines clés tels que l’éducation, la santé et l’inclusion pour tous.

En effet, depuis plus de deux décennies, la Fondation Vodacom œuvre en République Démocratique du Congo au travers de multiples initiatives sur le territoire national La Fondation Vodacom Congo a lancé en 2022 son projet-phare dénommé ” Les 12 élans de cœur » qui consiste en un ensemble d’activités sociales réalisées sur douze mois pour améliorer les conditions des vies grâce à la technologie !

Parmi ses nombreuses réalisations en faveur de la population, figurent notamment les programmes suivants :

– Alerte rouge : un programme ayant pour but de répondre aux besoins des déplacés vivant dans les camps des réfugiés.

– JE SUIS CAP : un projet lancé en collaboration avec VISA, visant l’autonomisation et la réinsertion sociale des femmes vivant avec un handicap.

– Les programmes de bourses d’études qui consistent à octroyer spécifiquement la Bourse EXETAT, permettant aux finalistes du secondaire d’accéder à l’enseignement supérieur en prenant en charge les frais de scolarité et la BOURSE VODAEDUC, intégrée cette année en faveur des élèves du primaire et secondaire.

– Les classes numériques, installées à travers le pays en collaborations avec les écoles locales,

– La mise en ligne des portails d’information gratuits, à savoir VODAEDUC, CONNECTU et Mum & Baby, et bien plus encore.




« Il faut mettre fin à des guerres par procuration insensées comme celle que subit la Rdc de la part des puissances occidentales (…) » (Prof Lokongo)

Le professeur Antoine Roger Lokongo a participé au séminaire organisé à l’Académie de la Gouvernance d’Anhui en Chine sous le thème évocateur de « La modernisation à la chinoise et le développement de l’Afrique ». Ce forum a réuni des représentants venus de 47 pays africains, sous la haute direction de M. Fang Mingyong et de M. Zhang Jinsong, respectivement Directeur du Département de la Coopération Internationale.

Dans son discours, cet Attaché Supérieur de Recherche à l’Institut de Coopération et dialogue entre les Peuples de l’Université de Pékin a expliqué que ce séminaire et les visites à travers la province d’Anhui Constituent une grande opportunité qui permet de palper du doigt la modernisation très avancée de la Chine.

« Le séminaire à couvert tous les aspects du développement intégré de la Province d’Anhui, notamment sur le plan de l’histoire politique et de la culture, de la recherche et du développement rural, de l’industrie agricole et d’automobiles basée sur les nouvelles technologies, y compris les technologies vertes, gage d’une civilisation écologique qui garantit la protection de l’environnement. En effet ; comme je l’ai toujours dit ; les technologies passent mais l’environnement reste », dit-il.

Notons que la Province d’Anhui à elle seule prouve que la Chine est une société déjà prospère et déjà avancée sur tous les plans. Ainsi se rend-t-il compte qu’Anhui, bien qu’elle soit une province, joue déjà un rôle mondial primordial sur le plan économique, et par conséquent, peut devenir le pivot de la Coopération stratégique gagnant-gagnant entre la Chine et l’Afrique.

« Frères et sœurs dans la lutte pour une Afrique libérée du néocolonialisme, de la mentalité rétrogradée de la guerre froide, de l’esprit des blocs et de la stratégie de diviser pour régner chère à l’occident ; Frères et sœurs d’un continent où tous les espoirs sont permis ; En tant que participants à ce séminaire, nous sommes des témoins oculaires et lorsque nous rentrons dans nos pays respectifs, nous sommes censés porter témoignage auprès de nos gouvernements, nos universités, nos sociétés », martèle-t-il.

Et de poursuivre que le progrès fulgurant de la Chine, qui il n’y a pas longtemps, a traversé des situations similaires aux nôtres, doit nous inspirer de manière pratique à travers de plates-formes comme l’Initiative la Ceinture et la Route, le FOCAC et les Pays BRICS.

Selon le Conseiller Honoraire au Cabinet du Ministère des Affaires Etrangères de République Démocratique du Congo, l’Afrique doit prioriser sa coopération avec la Chine pour sortir des situations de pauvreté, instabilité politique, des guerres intra-africaines et sous-développement et pour intégrer la mondialisation multilatérale en que partenaire égal.

 

Voilà pourquoi le professeur Antoine Roger Lokongo pense qu’il faut mettre fin à des guerres par procuration insensées comme celle que subit la Rdc de la part des puissances occidentales qui utilisent le Rwanda et l’Ouganda avec la complicité de quelques Congolais bien sûr et avec son lot d’occupation des terres, de pillage de minerais stratégiques prisés par la technologie de pointe, des massacres et des viols ; pour qu’à l’occasion de FOCAC 2027, nous ne parlions que de la construction des infrastructures relient nos pays.




CAN CAF TotalEnergies 2025 : Le Ghana ne sera pas de la partie

Les espoirs du Ghana de se qualifier pour la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2025 ont été anéantis de manière cruelle, un but égalisateur en fin de match permettant à l’Angola d’arracher un nul 1-1 à Luanda vendredi soir.

Malgré une ouverture du score rapide grâce à un coup franc somptueux de Jordan Ayew à la 18e minute, les Black Stars n’ont pas réussi à préserver leur avantage.

Un puissant coup de tête de Zine à la 64e minute a finalement brisé les rêves du Ghana de participer à la CAN TotalEnergies.

Ce résultat signifie que le Ghana, quadruple champion, manquera le tournoi pour la première fois en deux décennies, leur dernière absence remontant à l’édition 2004 en Tunisie.

Ce nul condamne les Black Stars à la dernière place du Groupe F avec seulement trois points en cinq matchs, sans la moindre victoire au compteur lors de cette campagne de qualification.

L’Angola, confortablement installé en tête du groupe avec 13 points, a déjà validé son billet pour le Maroc.




Muyaya et Paluku travaillent d’arrache-pied sur les stratégies de communication pour bien positionner le café et cacao

M. Patrick Muyaya Katembwe, Ministre de la Communication et Médias, porte-parole du Gouvernement Congolais a participé à la dixième édition de Makutano, le Forum international d’affaires qui se tient à Kinshasa, ce jeudi 14 novembre 2024 en fin d’après-midi au restaurant Poivre Noir.

Heureux d’être convié au forum “Agriculture House” avec pour thème : “Quel new deal pour le café congolais ?”, il a annoncé la mise en place des mesures incitatives pour accompagner les producteurs œuvrant dans les filières du « café » et du « cacao ».

Il a, par la suite, précisé que son Ministère et celui du Commerce Extérieur travaillent d’arrache-pied sur les stratégies de communication pour bien positionner le café et cacao Congolais, et bien d’autres produits agricoles sur le marché international dans le respect des normes de différents marchés.

“Cela peut paraître bizarre que le ministre de la Communication participe à un panel sur le New deal pour parler du café, mais parce que simplement, le café peut être un outil de rayonnement de notre pays sur le plan mondial. Il y a des pays qui sont connus mondialement comme la RDC pour le cuivre et le cobalt pourquoi pas, on rajouterait le café dans cette réputation. Donc, il était donc question de discuter avec les autres panelistes sur les stratégies pour arriver à positionner notre café afin qu’il soit consommé partout ailleurs”, a-t-il indiqué.

Pour Patrick Muyaya, nous devons d’abord consommer notre café, localement. En parlant beaucoup de country branding, nous voulons montrer à l’extérieur ce que nous avons comme atouts ou potentialités. Il faut commencer par l’intérieur. C’était dans ce sens-là que j’ai orienté ma communication. Ce qui est bien, c’est qu’il existe déjà une communauté des café agriculteurs. Maintenant, il faut comme gouvernement voir dans quelle mesure, nous pouvons mettre des structures et des mesures d’accompagnement pour que notre café puisse être bien positionné et je pense qu’au regard de l’engouement dans la salle et des différentes interventions, nous allons plutôt vers la convergence et le reste sera une question décisive au niveau des ministères dédiés.

Le ministre Muyaya a rappelé à la presse présente à ce forum que son collègue Julien Paluku joue un rôle prépondérant dans le marché international d’affaires.

“Le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya qui est le marketeur en chef des produits congolais est en train de renforcer des stratégies avec l’accompagnement de mon ministère. C’est-à-dire la stratégie de vente de nos produits auprès de pays partenaires. Maintenant, il faut des pistes. Nous avons par exemple, la Chine qui a ouvert son marché pour des produits congolais. Qu’est-ce que nous y apporterons ? Il y a évidemment des exigences en termes de qualité des normes de production. C’est le ministre du Commerce extérieur qui va regarder et donc, pour le reste nous avons mis une stratégie claire, car les problématiques sont connues, les solutions aussi. Pour le reste, c’est juste le temps de maturation de la mise en œuvre de ces différentes solutions.

Il sied de signaler que durant cette Agriculture House, il y avait le ministre de l’industrie et PME Louis Kabamba Watum, les représentants des producteurs , de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), de l’Agence nationale de promotion des exportations et de l’Agence des États-Unis d’Amérique pour le Développement International (USAID) qui appuient déjà les producteurs locaux pour faire bénéficier la RDC l’AGOA qui permet aux pays d’Afrique Subsaharienne éligibles d’exporter la plupart de leurs produits aux États-Unis d’Amérique sans droits de douane”.




COP29 : Denis Sassou N’Guesso salue l’adoption de l’accord de Paris

Un accord obtenu dès la première journée de la COP29, le 11 novembre 2024, à Bakou (Azerbaïdjan) offre au monde un nouvel objectif collectif quantifié pour le financement climatique. Cet objectif bien au-delà des 100 milliards de dollars actuels, a pour objectif d’accroître les contributions des pays développés pour atteindre 890 milliards de dollars dès 2025 et 1.460 milliards de dollars d’ici 2030.

Trois enjeux doivent être tranchés au cours de la COP 29 qui a ouvert ses portes à Bakou en Azerbaïdjan, le 11 novembre dernier, à savoir le montant, les leviers et la liste des pays contributeurs.

« Un pas encourageant »

Intervenant au cours de la plénière de la conférence, le président congolais, Denis Sassou N’Guesso salué l’accord trouvé et l’a considéré comme un « pas encourageant ».

Pour lui, « le Nouvel objectif collectif quantifié pour le financement climatique devra s’appuyer sur des données scientifiques qui tiennent compte de l’impact et des besoins des pays en développement pour y faire face. On sait que ces besoins s’élèvent désormais à plus de 1000 milliards de dollars ».

Denis Sassou N’Guesso a estimé que ce nouvel objectif ne doit pas être discriminatoire. « Notre souhait le plus ardent est que le montant de ce Nouvel Objectif soit fixé et défini dans une perspective de justice climatique et de transition juste. Cet objectif doit permettre à nos pays de réduire le fardeau de la dette plutôt que de l’aggraver. »

 

Pour donner des résultats escomptés, a dit le président congolais, ce nouvel objectif devrait prendre en compte l’atténuation et l’adaptation de façon équilibrée. Le président de la commission climat du bassin du Congo a tiré sur la sonnette d’alarme en invitant la communauté internationale à prendre en compte les pertes et les dommages. « Pour ce faire, des efforts substantiels devront également être fournis pour que les pertes et dommages soient pris en compte. Car, il nous faut disposer de moyens substantiels pour faire face aux évènements extrêmes et pour parer à toute autre éventualité », a-t-il plaidé.

La voie est ouverte pour une coopération en faveur du développement durable

Saluant l’adoption, à Bakou, du point 4 de l’article 6 de l’accord de Paris, le président congolais a estimé que « …cet outil de l’Accord de Paris, qui permet le transfert de crédits carbone entre pays à faible émission de Gaz à effet de serre et Pays émetteurs, ouvrira la voie à une coopération interétatique, internationale et structurante en faveur du développement durable, de la résilience et de la diversification économique dans les pays en développement. »

Abordant l’aspect lié à la transition écologique, Denis Sassou N’Guesso a déclaré que celle-ci est un challenge pour les pays en voie de développement. « La transition écologique, que nous appelons de tous nos vœux, ne pourra pas s’opérer sans que ne soient mis en œuvre des mécanismes financiers innovants, des mécanismes devant nous ouvrir de nouvelles perspectives de développement axées sur la résilience, sur la durabilité et sur la neutralité carbone. Ce challenge est le nôtre. Ici et maintenant », a conclu le président Denis Sassou N’Guesso.

Denis Sassou N’Guesso qui a rappelé que le Congo venait de soumettre à l’Assemblée Générale des Nations Unies l’adoption d’une Résolution sur la « Décennie mondiale de l’afforestation et du reboisement ». Cette « initiative de justice climatique », selon lui, est une démarche qui vise à inclure le capital naturel brut des pays dans le calcul du PIB de leurs États.

Par Roch Bouka/Correspondant de la RTGA World au Congo Brazzaville.




Félix Tshisekedi a reçu le bureau définitif du Sénat 

Ce vendredi à la Cité de l’Union africaine, le Chef de l’État a reçu la délégation du bureau du Sénat que préside l’honorable Jean-Michel Sama Lukonde. Il s’agissait d’une prise de contact à la suite de l’installation du bureau définitif de la Chambre haute du parlement au mois d’août dernier.

Pour Sama Lukonde, « il a été question de remercier le Président de la République pour son implication dans le bon fonctionnement des institutions, en particulier le Sénat, mais également de réitérer l’engagement et l’accompagnement du bureau pour réaliser la vision du Chef de l’État pour la République Démocratique du Congo (RDC). »

C’était également l’occasion pour cette délégation de « faire rapport au Président Félix Tshisekedi de ce qui a déjà été engagé en faveur du bien-être de la population dans les domaines de la sécurité, de l’emploi des jeunes, de la diversification de l’économie, mais aussi de la traduction chiffrée des attentes de la population en termes de budget pour l’an 2025 », a confié le Président du Sénat.

La délégation du bureau du Sénat était composée, outre de Sama Lukonde Kyenge, son Président, de José Kalala (1er vice-Président), Modeste Bahati Lukwebo (2ème vice-Président), Ngudianza Néfertiti (Rapporteure), Jean-Claude Baende Etafe Eliko (Rapporteur adjoint), Taupin Mukengeshayi Kabongo Sylvain (Questeur) et Omana Bitika Pascal (Questeur adjoint).




COP29 : Guy Loando a activement participé au dialogue ministériel sur la Bourse des Marchandises et aux échanges autour des crédits carbones

La République Démocratique du Congo a affirmé son engagement pour le développement durable et la conservation de la biodiversité lors de la 29e Conférence des Parties sur le Changement Climatique (COP29) à Bakou. Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Me Guy Loando Mboyo, a représenté la RDC avec fierté aux côtés de ses collègues des Ministères de l’Environnement et de la Coopération Internationale, participant aux discussions globales sur les enjeux climatiques mondiaux.

Tout au long de cet événement international, l’Aménageur National a joué un rôle majeur en mettant en avant les défis environnementaux propres à la Rdc et en exposant les solutions de développement durable proposées par le pays. En tant que représentant d’un des pays les plus riches en biodiversité, le Ministre d’État a défendu la vision stratégique de la RDC visant à équilibrer le développement économique et la protection de l’environnement. Cette vision s’inscrit dans les orientations du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, et sous la direction de Mme la Première ministre Judith Suminwa Tuluka.

Parmi ses contributions notables, le Ministre d’État a activement participé au dialogue ministériel sur la Bourse des Marchandises et aux échanges autour des crédits carbone, de l’agriculture durable et des finances vertes. Il a ainsi mis en avant le potentiel de la RDC pour la gestion des ressources naturelles, la conservation des écosystèmes et l’attraction d’investissements dans des projets environnementaux structurants.

Grâce à cet engagement déterminé, l’Aménageur National a réaffirmé la position de la RDC comme acteur clé dans les discussions climatiques mondiales. Sa présence à Bakou témoigne de la volonté du Gouvernement congolais de contribuer activement à la lutte contre le changement climatique, tout en soutenant les communautés locales et les écosystèmes uniques du pays.




Mpox : une “tendance à la baisse” observée en RDC, mais l’Ouganda fait face à un risque élevé d’escalade (OMS)

Une “tendance à la baisse” a été observée dans les nouveaux cas hebdomadaires de Mpox signalés au cours des six dernières semaines en République démocratique du Congo (RDC), l’épicentre de l’épidémie en cours, a déclaré vendredi l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), tout en mettant par ailleurs en garde contre “un risque considérable d’escalade” de l’épidémie en Ouganda.

En date du 10 novembre, 18 pays africains avaient signalé 11.321 cas confirmés, dont 53 décès. La RDC, le Burundi et l’Ouganda représentent environ 96% de ces cas confirmés, selon le dernier rapport de l’OMS, lequel note qu’un nombre important de cas suspects, cliniquement compatibles avec l’ex-variole du singe, n’ont pas été testés en raison de capacités de diagnostic limitées. L’Afrique a signalé 48.676 cas suspects depuis le début de l’année.

La situation actuelle de Mpox sur le continent met en évidence une transmission active dans 13 des 18 pays touchés, tandis que cinq autres ont contrôlé la transmission car n’ayant signalé aucun nouveau cas confirmé en laboratoire ces six dernières semaines. En Ouganda et au Burundi, l’expansion géographique et l’augmentation des cas signifient des niveaux élevés de transmission communautaire avec un risque considérable de nouvelle escalade, car des pays comme la Côte d’Ivoire et la Centrafrique connaissent des épidémies plus petites et plus contenues.

La RDC, qui a signalé 8.662 cas confirmés, est toujours confrontée à des défis critiques en matière de surveillance et de dépistage, avec seulement huit laboratoires nationaux équipés pour le diagnostic, tous fonctionnant avec d’importantes contraintes de personnel. Une “tendance à la baisse” des nouveaux cas signalés chaque semaine a été observée ces six dernières semaines en RDC, a dit l’OMS, tout en notant des retards dans la confirmation des cas et les retards de notification, ce qui peut donner une image incomplète de la propagation réelle du virus.

Le ministre de la Santé de la RDC, Roger Kamba, a annoncé mercredi soir que son pays lancerait une nouvelle phase de vaccination, après avoir vacciné environ 51.000 personnes. La RDC dispose d’environ 200.000 doses de vaccin et devrait en recevoir 100.000 supplémentaires jeudi, selon lui. Le pays vise à vacciner un total de 2,5 millions de personnes en utilisant 3,5 millions de doses.

Pour l’OMS, la propagation géographique croissante en Ouganda, où les cas de Mpox ont “augmenté de manière exponentielle”, souligne la nécessité d’une réponse plus décentralisée se concentrant sur les principaux facteurs dans les points chauds avec la participation active des dirigeants à tous les niveaux.

L’OMS a décrété à la mi-août que le Mpox, anciennement appelé variole du singe, constituait une urgence de santé publique de portée internationale, tirant la sonnette d’alarme quant à la potentielle transmission accrue de la maladie à l’échelle mondiale.

La déclaration de l’OMS intervient après que le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies a estimé que l’épidémie de Mpox en cours constituait une urgence de santé publique pour le continent. Selon l’agence de santé de l’Union africaine, le nombre de nouveaux cas de Mpox signalés en 2024 représente une augmentation de 160% par rapport à la même période en 2023.




Des avions de combat israéliens mènent des raids dans la banlieue sud de Beyrouth

Des avions de guerre israéliens ont effectué un raid sur la zone de Ghobeiry dans la banlieue sud de Beyrouth vendredi matin, peu après que le porte-parole de l’armée israélienne a lancé un avertissement pour évacuer plusieurs bâtiments dans la zone.

L’agence de presse officielle libanaise a rapporté qu’un drone israélien avait effectué deux raids dans cette région, dont un “très violent” près du siège de la municipalité de Ghobeiry, détruisant un bâtiment.

Les chaînes de télévision libanaises ont fait état de colonnes de fumée épaisse s’élevant des sites du raid.

L’armée israélienne a intensifié ses attaques ces deux derniers jours sur plusieurs zones de la banlieue sud de Beyrouth, causant d’importantes destructions et de lourdes pertes matérielles.

Depuis le 23 septembre, l’armée israélienne a intensifié ses attaques aériennes sur le Liban dans le cadre d’une escalade du conflit avec le Hezbollah. Au début du mois d’octobre, Israël a également lancé une opération terrestre sur sa frontière nord avec le Liban.

Le bilan des frappes aériennes israéliennes sur le Liban depuis le début de la guerre le 8 octobre 2023 s’élève à 3.386 morts et 14.417 blessés.




Sept villages chinois récompensés par l’ONU Tourisme en tant que meilleurs villages touristiques

Sept villages chinois ont été honorés en tant que “meilleurs villages touristiques” par l’Organisation mondiale du tourisme des Nations unies (ONU Tourisme) dans la sélection de cette année, selon le ministère de la Culture et du Tourisme.

Annoncés lors d’une réunion de l’ONU Tourisme qui s’est tenue vendredi (heure de Beijing), à Carthagène, en Colombie, ces nouveaux ajouts portent à 15 le nombre total de villages chinois reconnus comme “meilleurs villages touristiques”, ce qui fait de la Chine le pays qui compte le plus grand nombre de villages titulaires de ce titre.

Il s’agit des villages suivants : Azheke (Yunnan), Guanyang (Fujian), Shibadong (Hunan), Taoping (Sichuan), Xiaogang (Anhui), Xitou (Zhejiang) et Yandunjiao (Shandong).

Répartis dans les régions de l’est, du centre et de l’ouest du pays, ces villages sont très représentatifs en termes de géographie, de culture et de modèles de développement, et illustrent les réalisations remarquables du développement du tourisme rural en Chine.

Par exemple, le village d’Azheke, dans le Yunnan, niché au cœur des rizières en terrasses de Honghe Hani, un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, a adopté une approche unique du développement touristique. Les villageois ont mis à disposition des ressources telles que des terrasses, des maisons et des modes de vie traditionnels, créant ainsi un modèle de participation collective et de prospérité partagée.

Pour promouvoir le tourisme rural, ONU Tourisme a lancé le projet des meilleurs villages touristiques en 2021 afin de reconnaître les villages du monde entier qui ouvrent la voie en nourrissant les zones rurales et en préservant les paysages, la diversité culturelle, les valeurs locales et les traditions culinaires.