Les clubs recevront chacun 150 000 USD pour leur participation à la Ligue des Champions Féminine de la CAF Maroc 2024

Chacun des huit (8) clubs africains de football féminin participant à la Ligue des Champions Féminine de la CAF Maroc 2024 recevra au moins 150 000 USD de prime.

Inaugurée en 2021 sous la direction du Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, la Ligue des Champions Féminine de la CAF a redéfini le paysage du football féminin africain. Et cette année, les primes ont augmenté de 52 %, pour atteindre un total de 2 350 000 USD.

Le vainqueur recevra 600 000 USD.

La CAF s’est engagée à développer et à promouvoir le football féminin en Afrique. L’objectif du président Motsepe est d’investir dans des académies de jeunes pour les garçons et les filles et de continuer à augmenter les primes de toutes les compétitions de la CAF pour les rendre compétitives et attrayantes au niveau mondial.

La dotation financière de la Ligue des Champions Féminine de la CAF Maroc 2024 est repartie ainsi :

Vainqueur : 600 000 USD

Finaliste : 400 000 USD

3e place : 350 000 USD

4e place : 300 000 USD

3e de groupe : 200 000 USD chacun

4e de groupe : 150 000 USD chacun

Pour toute demande de renseignements, veuillez contacter : communications@cafonline.com




J-2 avant la Ligue des Champions Féminine : 30 000 coeurs derrière l’AS FAR

En attendant le début de la Ligue des Champions Féminine de la CAF, le 9 novembre, la CAF vous propose de revivre 7 grands moments de l’histoire dans la compétition.

Le 13 novembre 2022, la finale de la Ligue des Champions Féminine de la CAF s’est tenue au Stade Prince Moulay Abdellah à Rabat, représentant un moment clé pour le football féminin africain. C’est la première fois qu’une équipe locale, l’AS FAR de Rabat, a réussi à atteindre cette étape importante, affrontant les Mamelodi Sundowns, champions en titre.

Avec une audience sans précédent de 29 500 personnes, cet événement souligne l’augmentation de l’intérêt pour le football féminin sur le continent. L’atmosphère au stade était électrisante, remplie de supporters enthousiastes qui créaient une ambiance joyeuse, rythmée par des chants et des cris de soutien pour leur équipe.

Sur le terrain, l’AS FAR a affiché une performance exceptionnelle, inscrivant rapidement des points. Grâce à un jeu collectif solide et des performances individuelles brillantes, l’équipe a largement surpassé les Sundowns tout au long de la rencontre. Les buts ont été marqués par Nadia Nasri (2 buts), Rajae Soudani (1 but) et Zineb Redouani (1 but), permettant à l’AS FAR de gagner la finale avec un score mémorable de 4-0.

Cette victoire a permis à l’AS FAR de célébrer son tout premier titre continental et a également mis en avant le potentiel et la puissance des équipes féminines africaines sur la scène mondiale. La finale a été une véritable célébration du talent et du dévouement des joueuses, consolidant ainsi l’engagement de la CAF envers la promotion du football féminin en Afrique. Cet événement marquera les esprits comme un moment crucial pour le sport sur le continent.




Un sponsoring solide : Mazembe et Simba, un partenariat à déguster

Depuis le 18 février 2009, Brasimba accompagne le club en tant que sponsor. Le TPM est fier d’afficher l’identité locale de la bière « Simba » sur ses maillots. Le sponsor a, dernièrement, honoré ses engagements en offrant à l’équipe professionnelle masculine des kits complets d’équipement officiel pour les matchs, entrainements et voyages.

Merci à la « Simba » une marque éponyme et emblème de la BRASIMBA. La Simba est le symbole de la joie partagée. Egérie de l’épopée katangaise, elle fait partie du précieux patrimoine historique et culturel de l’ex-Katanga.

La Simba, de la naissance à la retraite

Depuis 1925, la Bière Simba est le « compagnon » des tous les moments forts de la vie. Dès la naissance à la retraite en passant par l’obtention du diplôme, le mariage, le premier emploi et bien plus, la Simba est et a toujours fait partie de nos vies. « On ne peut pas ne pas connaître la Simba », « Mpombe = Simba »

Bière blonde populaire, Simba met toutes les générations d’accord sur sa qualité et ses valeurs. N’exposez pas le produit au soleil ou à une lumière excessive. Ne stockez pas le produit dans un endroit non ventilé ou au sol. A consommer de manière responsable de préférence avant : bien lire sur la bouteille.

“Nous avons lancé les compétitions avec la marque Simba et nous espérons aller plus loin avec notre sponsor” a dit le Manager Général des Corbeaux, Frédéric KITENGIE, le 29 octobre dernier lors de la cérémonie de remise des maillots aux Corbeaux.




Réaffirmer l’engagement en faveur de la croissance et la création d’emplois : Le vice-président d’IFC pour l’Afrique visite la Rdc du 12 au 14 novembre 2024

Sérgio Pimenta, vice-président d’IFC pour l’Afrique, sera en République démocratique du Congo (RDC) du 12 au 14 novembre 2024 pour renforcer la collaboration d’IFC avec les autorités congolaises et réaffirmer son soutien aux priorités du pays visant à stimuler la croissance inclusive et à créer des emplois.

Au cours de sa visite, M. Pimenta rencontrera S.E. le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, S.E. la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, ainsi que S.E. le ministre des Finances Doudou Fwamba Likunde Les discussions porteront sur les initiatives d’IFC en cours dans les secteurs prioritaires, notamment l’énergie renouvelable, les technologies de l’information et de la communication (TIC), l’accès aux financements pour les MPME et l’agro-industrie.

M. Pimenta participera également au Forum Makutano pour mettre en lumière les opportunités d’investissement privé et les priorités stratégiques d’IFC dans le pays, en faveur d’un secteur privé dynamique et créateur d’emplois.

IFC intensifie son programme en RDC, qui est un moteur de la croissance économique de l’Afrique de l’Est et Centrale. De 2021 à 2024, IFC a investi un montant cumulé de 553 millions de dollars en faveur de la réalisation des objectifs de développement du pays, en particulier dans les secteurs financiers, de l’énergie, des TIC et de l’agro-industrie.

Depuis 2006, IFC collabore avec la Banque mondiale et des partenaires publics et privés congolais pour améliorer le climat d’investissement, notamment par des initiatives, plus récemment, pour mettre en œuvre la loi sur les zones économiques spéciales et le dialogue public-privé dans le secteur des télécommunications. Ces efforts sont essentiels pour stimuler la croissance du secteur privé et bâtir ainsi une prospérité partagée.

À propos d’IFC

La Société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, est la plus importante institution mondiale d’aide au développement axée sur le secteur privé dans les marchés émergents. Elle mène des opérations dans plus de 100 pays, consacrant son capital, ses compétences et son influence à la création de marchés et d’opportunités dans les pays en développement. Au cours de l’exercice 2024, IFC a engagé un montant record de 56 milliards de dollars en faveur de sociétés privées et d’institutions financières dans des pays en développement, en s’appuyant sur des solutions du secteur privé et en mobilisant des capitaux privés pour créer un monde sans pauvreté sur une planète vivable. Pour en savoir plus, consulter www.ifc.org.

Vice-président régional d’IFC pour l’Afrique, Sérgio Pimenta dirige toutes les opérations d’investissement et de conseil dans la région. Il est à la tête d’un portefeuille d’engagements de 13,3 milliards de dollars et d’une équipe de plus de 800 personnes, dont l’objectif est de mobiliser le secteur privé autour des défis urgents du développement dans les domaines de la finance, des industries manufacturières, de l’agroalimentaire, des services et des infrastructures.

Il était auparavant directeur mondial pour les secteurs de l’industrie manufacturière, de l’agroalimentaire et des services, après avoir été basé à Hong Kong pendant trois ans comme responsable régional pour l’Asie de l’Est et le Pacifique.

Au début de sa carrière à IFC, il a occupé des postes de direction dans les secteurs de l’industrie manufacturière, de l’agroalimentaire et des services en Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et Afrique du Nord, ainsi qu’à Washington.

M. Pimenta a rejoint le Groupe de la Banque mondiale en 1996, dans le cadre du Programme des jeunes professionnels (a), après avoir travaillé pour la direction du Trésor du ministère français des Finances ainsi que pour la Banque nationale de Paris (BNP).

De nationalité portugaise et française, il est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’École polytechnique de Paris et d’un diplôme de troisième cycle de l’École nationale des ponts et chaussées de Paris.




Julien Paluku invite les opérateurs économiques allemands de venir investir dans le développement de la chaîne de valeur des batteries électriques !

Ce jeudi devant les CEO et représentants des entreprises allemandes au Forum Africa Trad and Invest Meets Managing Risk à Francfort en Allemagne, le Ministre du Commerce Extérieur a développé le binôme défis-opportunités en les invitant de rejoindre le grand projet du développement de la chaîne de valeur autour des batteries et véhicules électriques lancé par la République Démocratique du Congo et la Zambie tout en insistant sur l’étude menée par Bloomberg qui fait de la RDC la meilleure destination au monde pour cette industrie.

Également le Ministre du Commerce Extérieur a appelé les opérateurs économiques allemands de venir investir dans le projet du développement du corridor de Lobito qui va relier la République Démocratique du Congo, la Zambie et l’Angola pour déboucher sur le port Lobito qui va permettre à ces 3 pays d’évacuer leurs produits vers l’Europe et les États-Unis d’Amérique, a-t-il ajouté.

C’était aussi l’occasion pour Julien Paluku Kahongya de solliciter l’appui de l’Allemagne dans le financement des projets de construction des infrastructures qui vont faciliter le commerce transfrontalier dans le cadre Régime Commercial Simplifié (RECOS) du Marché Commun pour Afrique Orientale et Australe (COMESA), tout en signifiant que la RDC et le Burundi ont lancé officiellement ce régime qui vise à simplifier les procédures de dédouanement et la réduction du coût des transactions commerciales permettant aux petits commerçants transfrontaliers de bénéficier des droits de douane mais également le passage rapide des populations vivant au niveau des frontières.

Signalons qu’en marge de ce forum qui s’est clôturé ce jeudi, le Ministre a eu des réunions d’affaires avec une dizaine d’investisseurs tunisiens coiffés par Anis Jaziri, Président du Group TABC prêts à venir faire le business en RDC dans différents secteurs et avec le Ministre marocain de l’Industrie et Commerce, Ryad Mazzour très attiré par les opportunités qu’offre la RDC bien vendues Julien Paluku Kahongya et qui a promis d’aller mobiliser les investisseurs marocains.




Bientôt le début des contrôles économiques comme bouclier contre la spéculation et la protection des droits des consommateurs

Le Comité de Conjoncture Économique s’est réuni, ce mercredi 6 novembre 2024 à la Primature, sous la présidence de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka. Au cours de cette réunion stratégique, le Gouvernement a tablé sur des points essentiels au bon fonctionnement de l’économie du pays, à savoir : la question relative à la surveillance des marchés de change et des biens et services ; le niveau d’exécution de la dépense publique et la mobilisation des recettes ; ainsi que la collaboration entre le Ministère de l’Économie et l’Inspection générale des finances (IGF) pour la baisse des prix des denrées alimentaires importées.

En effet, le Gouvernement note une stabilité des prix dans les différents marchés et la maîtrise du taux d’inflation.

“La réunion du Comité de conjoncture économique de ce mercredi a abordé essentiellement la question de la surveillance des marchés de change et des biens et services pour confirmer la stabilité qui s’est installée sur ces différents marchés semaine après semaine. Le niveau des prix est relativement stable. Le taux d’inflation est maîtrisé. Pareillement pour le marché de change où l’on observe une stabilité relative tant sur le marché indicatif que sur le marché parallèle”, a dit Daniel Mukoko Samba, Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale.

Mise en place des stratégies pour une bonne exécution des dépenses publiques

Dans la perspective de préserver cette stabilité des prix sur les marchés, le Gouvernement Suminwa veille minutieusement à la bonne exécution des dépenses publiques ainsi que la mobilisation des recettes. Par ailleurs, il s’est fixé l’objectif de garder un niveau tolérable des dépenses en urgence en cette fin de l’année.

“Puisqu’on tend vers la fin de l’année, le Comité s’est également appesanti sur le niveau d’exécution des dépenses publiques. Il nous reste deux mois pour l’exercice 2024. Pour préserver la stabilité des prix, la clé est bien sur la bonne exécution des dépenses publiques et la mobilisation des recettes. Le mois de novembre est un mois fiscal, il est important que les recettes publiques soient mobilisées à la hauteur voulue mais qu’il y ait aussi une bonne maîtrise des dépenses publiques essentiellement les dépenses en urgence. Le gouvernement s’est fixé l’objectif de garder un niveau tolérable des dépenses en urgence”, a renchéri Daniel Mukoko Samba.

À ce sujet, la réunion du Comité de Conjoncture Économique a pris la résolution d’obtenir du Ministère des Finances et du Ministère du Budget, un plan de trésorerie pour les deux derniers mois de cette année afin de mieux contrôler les dépenses publiques.

Partenariat IGF-Ministère de l’Économie pour la baisse des prix des denrées alimentaires importées

La Première Ministre a chargé le Ministre de l’Economie et l’Inspecteur général des finances à collaborer pour faciliter la baisse des prix des denrées alimentaires importées.

“La Première Ministre a signé le décret relatif à la lutte contre la vie chère qui consiste à obtenir la baisse des prix des denrées alimentaires importées. Il a été décidé que le Ministère de l’Économie nationale avec l’assistance de l’IGF puisse procéder à la certification de stocks de manière à pouvoir faire bénéficier les importateurs des crédits d’impôts à valoir sur les importations futures. Ce qui permettra d’obtenir la baisse de ces prix dans le meilleur délai possible”, a conclu Daniel Mukoko Samba, porte-parole du Comité de Conjoncture Économique.

Notons que le Ministère de l’Economie nationale va amorcer les contrôles économiques comme bouclier contre la spéculation et protecteurs des droits des consommateurs. Ses équipes de contrôle déployées sur terrain vérifieront les pratiques commerciales, la transparence, le respect de la réglementation en matière de prix et le respect des règles de concurrence. Chaque entreprise ou commerçant est appelé à afficher clairement les prix de ses produits et services. Cette obligation légale permet de garantir la transparence et d’éviter la spéculation.




RPDC: le PTC fier de ses 8 décennies

En RPDC (République Populaire Démocratique de Corée de 123.214km2, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à sauvegarder non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Bienfaiteurs dont les Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, et le Maréchal KIM JONG UN, NDLR),

le PTC (Parti du Travail de Corée), organisateur et inspirateur de toutes les victoires du Peuple de la RPDC, est un parti politique:

  • fier de son histoire de près de 80 années d’existence
  • le plus longtemps au pouvoir socialiste dans le monde.

Ce PTC fondé 2 mois après la Libération (15/08/1945) du Pays de l’occupation militaire du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat hostile ou antagoniste par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8.400.000 de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 1.000.000 des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200.000 Coréennes, etc.: aucunes excuses présentées jusqu’ici en contraste avec le geste de quelques anciens colonisateurs européens, NDLR) a:

  • adhéré, invariablement, à l’idéal et à l’attitude initiaux au début de sa fondation
  • maintenu son idéal d’indépendance tout le long de son histoire de fondation et du développement de l’Etat
  • réussi dans l’édification d’une nouvelle Patrie en adhérant, fermement, à la position indépendante et en tenant compte de la situation du Pays
  • conduit, à une issue victorieuse, la Guerre (1950-1953) de Libération de la Patrie, visant à repousser les envahisseurs impérialistes ayant à leur tête les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 1.000 engins nucléaires et 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845: les dommages et intérêts dûs aux actes criminels contre la RPDC s’estiment à plus de 78.203,704 milliards de $US depuis le 08/09/1945 jusqu’ici, NDLR)
  • dirigé, avec clairvoyance, le relèvement d’après-guerre (la Guerre de Corée, de 1.129 jours) et l’édification du socialisme
  • défini l’amélioration du mieux-être de la population comme tâche suprême
  • tenu compte des besoins et des aspirations du Peuple pour élaborer toutes ses politiques et les appliquer parfaitement (Le PTC a pour noyau essentiel de son style d’action et de ses activités de se dépenser sans compter pour le Peuple. Cela peut s’expliquer par le fait que, ces 10 dernières années sous KIM JONG UN, ont surgi de nombreuses créations pour le bien-être du Peuple. Si le PTC peut être au pouvoir pendant presque 80 ans dans le soutien et la confiance entiers du Peuple, c’est qu’il s’en tient fermement à l’idéal socialiste.)
  • orienté toutes ses activités pour assurer les droits souverains, la dignité et la vie heureuse à la population, et pour sauvegarder le Régime socialiste et le renforcer et développer.

Malgré de rudes épreuves de l’histoire, il est resté toujours attaché à l’orientation et aux politiques en matière d’édification d’un Etat socialiste et les a appliquées invariablement. Ainsi a-t-il mis en évidence la vérité que le socialisme est une science et que sa victoire l’est aussi.

Aujourd’hui, le PTC, qui a ouvert une époque de développement global du socialisme, s’emploie à atteindre les objectifs de l’édification d’une Puissance socialiste grâce à la force du patriotisme du Peuple entier et de l’union monolithique.




Affaire des « forages » : Nicolas Kazadi mis hors de cause par le Procureur général près la Cour de cassation 

Les cabinets d’avocats, dont ceux du réseau Kimia Avocats, représentant Nicolas Kazadi, ancien Ministre des Finances de la République Démocratique du Congo (RDC), expriment leur satisfaction à la suite de sa mise hors de cause, par le Procureur général du Parquet Général près la Cour de cassation de RDC dans l’affaire dite des « forages ».

Selon un communiqué publié par les avocats français de Nicolas Kazadi, cette décision met un terme à une enquête approfondie du Parquet général près la Cour de cassation confirmant l’intégrité dont Nicolas Kazadi a toujours fait preuve dans l’exercice de ses fonctions ministérielles.

Dès le début des investigations, Nicolas Kazadi a pleinement collaboré avec les autorités judiciaires, fournissant tous les documents et toutes les explications nécessaires pour démontrer son innocence. La justice a finalement reconnu qu’aucune preuve ne permettait de soutenir les diverses accusations portées contre lui.

Au mois d’avril dernier, explique les avocats de M. Kazadi, à la suite de dénonciations visant Nicolas Kazadi, le Parquet Général près la Cour de cassation avait ouvert une enquête au sujet des conditions d’exécution d’un marché public.

Il s’agissait d’un contrat d’installation de forages et de stations mobiles de traitement d’eau signé le 21 avril 2021 entre l’État congolais et un consortium prestataire. Le Parquet général a pu constater que Nicolas Kazadi n’avait ni négocié, ni signé ce marché public. Par ailleurs, Nicolas Kazadi, reprenant le suivi comptable du contrat après son entrée en fonction ministérielle, avait obtenu une baisse du prix unitaire des forages et suspendu les paiements au prestataire dès lors que celui-ci ne justifiait plus du service fait.

Aucun détournement de fonds publics imputable à Nicolas Kazadi n’a été constaté, puisque l’argent décaissé par les finances publiques a toujours été utilisé pour rémunérer le prestataire conformément au marché et au droit applicable.

Le 9 octobre 2024, après avoir pris en compte l’ensemble de ces éléments, le Parquet général près la Cour de cassation a estimé au terme de ses investigations que Nicolas Kazadi était « disculpé des faits infractionnels mis à sa charge ».

Ce non-lieu est une victoire non seulement pour Nicolas Kazadi, mais aussi pour la justice congolaise, qui a su mener cette enquête avec diligence, impartialité et rigueur.

Nicolas Kazadi, dont la réputation d’excellence et d’intégrité au sein des diverses institutions internationales (FMI, Banque mondiale, Banque africaine de développement et Programme des Nations-Unies pour le Développement) est établie, est profondément soulagé d’avoir été lavé par la justice de son pays des accusations infondées portées contre lui.

Pour mémoire, il importe de rappeler que les années passées par Nicolas Kazadi à la tête du Ministère des Finances (2021-2024) ont été marquées par un accroissement considérable du budget de l’État qui a triplé en trois ans, par plusieurs réformes essentielles (factures normalisées, jeux de hasard, plaques d’immatriculation, recettes des contraventions routières, etc.) et par l’adoption d’une loi instituant un impôt sur le revenu des personnes physiques dans une démarche affirmée de maximiser les recettes publiques et de renforcer la redevabilité individuelle




RDC : L’abbé Théodore Kanyiki plaide pour la réparation des victimes de démolition des maisons à  Mbuji-may 

Le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, a reçu mardi à la Cité de l’Union africaine à Kinshasa, l’Abbé Théodore Kanyiki, délégué des victimes de la démolition des maisons dans l’emprise de l’aéroport national de Bipemba, à Mbuji-Mayi, au centre de la République Démocratique du Congo, a-t-on appris mercredi de la Présidence congolaise.

 

«Il y a eu des dérapages dans la réalisation de ce beau projet. Il y a eu des destructions méchantes et cela n’a pas plu aux habitants. C’est pourquoi en ma qualité de Pasteur, j’ai pris la décision de venir rencontrer le Chef de l’État pour lui transmettre les desiderata de cette population», a expliqué l’Abbé Théodore cité par la source, précisant que “le Chef de l’État a promis de dépêcher la ministre des Affaires sociales à Mbuji-Mayi pour rencontrer cette population”.

L’abbé Kanyiki a aussi déclaré que “sur instruction du Président de la République, une commission chargée d’indemniser les victimes sera bientôt constituée”.

800 maisons situées sur les avenues Dodoma et Zaïre au quartier de la Plaine, dans la commune de Bipemba, le 28 octobre, avaient été démolies pour faciliter la poursuite des travaux de modernisation de l’aéroport de Mbuji-Mayi amorcés en 2022.

 

 

 

Mboshi




Forêt : Bientôt une résolution sur la décennie africaine et mondiale sur l’afforestation et le reboisement au Nation Unies

La prochaine assemblée générale des Nations Unies adoptera la résolution sur le décennie africaine et mondiale sur l’afforestation et de reboisement. L’assurance a été donnée par Denis Sassou N’Guesso, au cours de la cérémonie de planting relative à la célébration de la 38ème journée nationale de l’arbre placée sous le thème : « : « Mobilisons-nous : 2 millions d’arbres pour des villes vertes et durables. »

Après avoir accompli son devoir civique consistant à planter un arbre, Denis Sassou N’Guesso s’est confié à la Presse. S’exprimant sur l’initiative de la décennie africaine et mondiale sur l’afforestation et de reboisement, Denis Sassou N’Guesso a dit que, celle-ci a été endossé par l’Union Africaine. Il a relevé que « Au cours du sommet d’Addis-Abeba, l’UA a adopté des résolutions qui confirment la justesse de ce projet. »

Le président Denis Sassou N’Guesso a rassuré la presse que, la prochaine assemblée générale des Nations Unies adoptera la résolution sur le décennie africaine et mondiale de l’afforestation et de reboisement. Il aussi rappelé que, lors du sommet des BRICS plus où il a pris part, l’initiative a été appuyée par l’ensemble des pays.

« On est bien entendu, et bientôt nous serons à Bakou, à la COP 29. Nous sommes un groupe de 15 pays africains à Bakou. Nous allons nous réunir avec le soutien de la BAD. Protéger les forêts pour le bien de l’humanité, c’est notre mission. Mais, il faut qu’i y ait des retours… », a insisté Denis Sassou N’Guesso.

Pour Denis Sassou N’Guesso, la prochaine bataille consistera à comptabiliser les richesses forestières pour qu’elles intègrent le PIB des états. « Nous allons demander à la communauté internationale pour que la valeur financière des forêts intègre le PIB des états. Nous sommes très entendus et nous le serons prochainement à la COP 29 à Bakou. » A conclu le chef de l’état congolais.

Un mot d’ordre très suivi

Chaque congolais a entendu l’appel du Chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso lancé à l’occasion de la célébration de la 38 è édition de la journée nationale de l’arbre. « Toutes les autorités, sans exception, ont suivi votre mot d’ordre. Elles ont mobilisé les habitants de leurs quartiers, de leurs localités afin que chaque citoyen participe activement et accompli son devoir civique de verdir sa ruelle, son avenue ou sa localité. » A souligné la ministre de l’économie forestière.

Dévoilant les limites géographiques du site officiel retenu pour ce planting, Rosalie Matondo a déclaré : « Nous avons retenu la boucle qui va du rond-point Tchitchelle en longeant le boulevard Denis Sassou N’Guesso et l’avenue Edith Lucie Bongo jusqu’à l’intersection des avenues des trois martyrs et de l’intendance. L’avenue des trois martyrs étant encore en travaux, nous compléterons le planting à l’issue des travaux. »

Pour les espèces plantées sur ce site officiel, Rosalie Matondo a parlé d’une centaine de flamboyant qui vont fleurir la devanture du pavillon présidentiel de l’aéroport international Maya-Maya où le président Denis Sassou N’Guesso a accompli son devoir civique consistant à planter un arbre.

En rapport avec le thème de cette journée, la ministre de l’économie forestière a expliqué que « l’objectif de planter 2 millions d’arbres décidé par le premier ministre, chef du gouvernement, illustre notre ambition collective d’agir concrètement pour la décennie africaine et mondiale de l’afforestation et de reboisement pour des villes plus durables et un Congo plus vert encore. » A-t-elle relevé.

Cette journée nationale de l’arbre a été instituée, il y a quarante ans d’année, a reconnu à son tour, Denis Sassou N’Guesso répondant à la presse. « Cette année, nous avons décidé de verdir l’ensemble des villes du Congo pour le bien-être des populations », a-t-il soutenu.

Pour lui, « Il ne s’agit pas seulement de planter aujourd’hui, il faut les entretenir. » A cet effet, le chef de l’Etat a invité les autorités municipales à plus de responsabilités. « Les autorités municipales doivent veiller à ce que cet effort d’aujourd’hui ne soit pas vain », a-t-il martelé.

A noter que, la journée nationale de l’arbre a été instituée par la loi n° 062-84 du 11 septembre 1984.

Par Roch Bouka/ correspondant de la RTGA World au Congo Brazzaville.