Faire bénéficier l’Afrique de la technologie agricole chinoise, rêve d’un étudiant africain

Après un an d’absence, le jeune Gambien Alagie Njie est récemment revenu à l’Université du Guizhou, dans le sud-ouest de la Chine, pour suivre un cursus de doctorat et réaliser son rêve agricole.

Le campus familier et les enseignants chaleureux lui ont fait chaud au cœur. Ce retour est un nouveau point de départ pour ce Gambien de 32 ans qui avait déjà passé quatre ans à l’Institut d’agriculture.

“Pendant mes études de maîtrise, j’ai beaucoup amélioré mes compétences professionnelles et appris de nombreuses techniques agronomiques pratiques, et j’espère progresser davantage dans mes études de doctorat”, déclare-t-il.

Alagie s’intéresse à la technologie agricole depuis son enfance. Pour lui, étudier l’agronomie n’est pas seulement une passion personnelle. Il espère aussi maîtriser les technologies agricoles modernes pour contribuer au développement agricole de la Gambie.

La Gambie se situe dans l’ouest de l’Afrique, et la production agricole est la principale source de revenus pour 70% de sa population. La ville natale d’Alagie est principalement constituée de plaines, ce qui devrait en faire un lieu propice au développement de l’agriculture. Cependant, en raison de son retard en termes de technologies agricoles, de nombreux agriculteurs locaux “vivent à la merci des conditions météorologiques”, et le niveau et l’efficacité de la production agricole sont relativement faibles.

La mangue est un fruit exporté en grandes quantités par la Gambie, mais au cours du processus de plantation, les dégâts causés par les organismes nuisibles et les maladies, ainsi que les dommages engendrés par la récolte, entravent le développement de l’industrie locale de la mangue et affectent les revenus des agriculteurs.

Pendant les années qu’il a passées à l’Université du Guizhou, Alagie a travaillé dur sur la technologie de plantation des mangues et la lutte contre les insectes nuisibles. Il a passé une grande partie de son temps dans le laboratoire et a participé activement aux activités d’observation et d’apprentissage sur le terrain dans des zones rurales du Guizhou, province montagneuse du sud-ouest de la Chine.

En 2019, il s’est rendu au bourg de Sanglang, dans le district de Wangmo de la préfecture autonome Buyi et Miao de Qianxinan, pour visiter la base de démonstration de la transformation des réalisations scientifiques et technologiques de la mangue de montagne du Guizhou. Environ 26,67 hectares de mangues y prospéraient.

“Dans les montagnes du Guizhou, les agriculteurs peuvent cultiver de si bonnes mangues, même dans des conditions agricoles peu favorables. C’est incroyable”, note Alagie.

En communiquant avec des agriculteurs locaux, il a appris qu’il y a quelques années, grâce à l’amélioration de la technologie agricole, une industrie de la mangue s’y est développée et a aidé les habitants locaux à s’extirper de la pauvreté et à s’enrichir. Aujourd’hui, la superficie de culture de la mangue s’établit à près de 333,33 hectares dans le bourg de Sanglang.

D’après Alagie, les technologies agricoles chinoises sont très intéressantes pour les pays africains. “J’espère que mes efforts contribueront à faire bénéficier plus de pays africains de ces technologies”.

Il a également visité des bases de plantation d’autres cultures au Guizhou, comme le riz, le piment et la prune. La mise en œuvre de différentes technologies et conceptions agricoles modernes dans la production agricole de la province l’ont impressionné. Sa détermination et sa confiance dans l’apprentissage de l’agronomie se sont davantage renforcées.

Ayant déjà publié deux articles universitaires sur les technologies de culture et de stockage des mangues, Alagie souhaite améliorer davantage ses compétences professionnelles en la matière en Chine afin de contribuer à la modernisation de la production agricole de son pays et à la formation de plus de techniciens agricoles.




Israël revendique l’assassinat d’un haut commandant du Hezbollah au Liban

Une frappe aérienne israélienne dans le sud du Liban a tué un haut commandant du Hezbollah, Abou Ali Rida, a confirmé lundi l’armée israélienne.

M. Rida, ciblé près de Baraachit, a été qualifié par les Forces de défense israéliennes (Tsahal) d’opérateur clé de la coordination des tirs de roquettes et de missiles antichars sur les forces israéliennes ainsi que de la supervision des activités du Hezbollah dans la région.

Tsahal n’a pas précisé quand la frappe avait eu lieu. Sous couvert d’anonymat, des sources militaires libanaises ont néanmoins confié à Xinhua que 13 personnes, dont M. Rida, avaient été tuées lundi dans des frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban.

D’après ces sources, les forces israéliennes ont lancé 13 frappes aériennes et bombardements d’artillerie, tirant environ 45 obus sur 12 villes et villages proches de la frontière et faisant ainsi plusieurs victimes et des dégâts sur les infrastructures civiles.

Quelques heures après l’annonce de la mort de M. Rida, Tsahal a rapporté que le Hezbollah avait riposté en tirant près de 60 projectiles sur le nord d’Israël. L’armée a fait savoir que ses systèmes de défense avaient intercepté plusieurs roquettes tandis que d’autres sont atterries dans des zones dégagées sans faire de blessés.

Au cours d’un autre incident, Tsahal a affirmé que deux drones explosifs, un en provenance de l’est et un du Liban, avaient tenté de frapper des cibles israéliennes lundi matin. Les deux drones ont été interceptés, l’un a été abattu au-dessus du plateau du Golan annexé par Israël et l’autre près de la Haute Galilée, dans le nord d’Israël.

Le Hezbollah a également annoncé lundi que ses forces avaient tiré des missiles sol-sol en direction de plusieurs sites dans le nord d’Israël, à savoir les villes des Krayot près de Haïfa, la base de surveillance aérienne de Meron, ou encore les communautés de Sha’al, Hatzor, Dalton et Ayelet HaShahar.

Les affrontements en cours entre Israël et le Hezbollah ont débuté le 8 octobre 2023, quand le Hezbollah a tiré des roquettes sur Israël en soutien au Hamas dans la bande de Gaza, ce qui a poussé Israël à riposter par des tirs d’artillerie et des frappes aériennes sur le sud du Liban.

 

Depuis le 23 septembre, l’armée israélienne a intensifié ses frappes aériennes contre le Hezbollah au Liban, faisant de nombreuses victimes civiles et entraînant le déplacement des habitants de multiples zones.




M. Hilale: L’évaluation du rôle de l’ONU au Sahara marocain relève uniquement du SG et du Conseil de sécurité

L’évaluation du rôle de l’ONU sur la question du Sahara marocain relève uniquement du mandat du Secrétaire général et du Conseil de sécurité, a souligné à New York l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale.

En réponse à une question sur la lecture du Maroc de la déclaration de l’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura, dans son dernier briefing au Conseil de Sécurité, de réévaluer le rôle des Nations Unies sur la question du Sahara en l’absence de progrès dans les six prochains mois, M. Hilale a répondu, lors d’un point de presse, que “la réévaluation du rôle de l’ONU sur la question du Sahara ne le regarde pas et ne relève pas de son mandat. Elle relève du mandat du Secrétaire général et des membres du Conseil de sécurité”.

L’ambassadeur a tenu à préciser, lors de sa rencontre avec la presse à l’issue de l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain, que “le mandat de l’Envoyé personnel pour le Sahara est la facilitation de la solution entre les parties”, insistant que pour réaliser des progrès significatifs, l’Envoyé personnel doit mettre en œuvre son mandat de facilitation “conformément à sa lettre de nomination par le Secrétaire général ainsi qu’aux résolutions du Conseil de sécurité”.

M. Hilale s’est référé au “guide de l’ONU pour la facilitation des négociations”, qui contient “des informations claires sur le rôle des facilitateurs, dont le premier principe est de s’atteler à mettre en œuvre son mandat et le deuxième est de faire preuve d’autorité”.

Le diplomate marocain a appelé l’Envoyé personnel à démontrer l’autorité nécessaire afin de relancer le processus des tables rondes. “Nous lui demandons d’appliquer son mandat et d’agir avec autorité. L’a-t-il fait ? Nous ne le pensons pas” a-t-il déclaré.

“Nous encourageons l’Envoyé personnel à faire usage de son autorité de manière efficace, plutôt que d’obtempérer au refus de l’Algérie”, a martelé l’ambassadeur marocain, ajoutant que les anciens envoyés personnels, Christopher Ross et Horst Köhler, n’ont jamais demandé l’avis de l’Algérie et des autres parties, ni sur les dates, ni sur les lieux des négociations, pour convoquer respectivement, les consultations de Manhasset et les tables rondes de Genève. “Nous attendons que M. de Mistura agisse de la même manière, et fasse preuve d’autorité”, a-t-il affirmé.

Concernant l’évaluation de la situation, l’ambassadeur Hilale a précisé que “le Maroc ne cherche pas à évaluer le rôle de l’ONU”, en insistant que “le succès du progrès en avril prochain sera mesuré par la tenue ou non de tables rondes à Genève”.

A ce titre, M. Hilale s’est référé à la récente déclaration de la Suisse, exprimant sa volonté d’accueillir la troisième série de tables rondes. “Nous avons le lieu. Ce qui manque maintenant, c’est l’autorité de l’Envoyé personnel et la mise en œuvre de son mandat”, a-t-il conclu.




RDC : Le Gouvernement soutient les pétroliers

Le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a dirigé, ce lundi 4 novembre 2024, une importante séance de travail avec une délégation de pétroliers représentant les différentes zones de distribution de la République Démocratique du Congo.

Lors de cette rencontre, le Ministre a annoncé avoir autorisé, sur instruction de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, le décaissement en faveur de toutes les corporations pétrolières de ces zones, au titre d’acompte pour le paiement des manques à gagner de l’exercice 2023. Ce geste illustre la volonté du Gouvernement d’apurer ces arriérés de manière progressive et rapide, afin de soulager les pressions de trésorerie, de garantir l’approvisionnement en carburant, et de préserver les intérêts des sociétés ainsi que de la population.

Dans la foulée, l’Argentier national a rassuré les pétroliers qu’un prochain acompte sera effectué sous peu, tout en les encourageant à recourir aux découverts offerts par les banques commerciales pour gérer leurs besoins de trésorerie en attendant l’apurement complet. Il a précisé qu’un accord a été établi entre le Gouvernement et les banques pour faciliter l’accès des sociétés pétrolières à ces crédits.

 

Le Ministre a affirmé que le processus d’apurement est irréversible et que les engagements du Gouvernement, pris à travers le Ministère de l’Économie, seront respectés dans l’intérêt de toutes les parties concernées. Il a profité de l’occasion pour réaffirmer son engagement envers la bonne gouvernance, soulignant que les pratiques de mauvaise gestion n’ont plus leur place durant son mandat.




Kinshasa : Lutte contre les embouteillages, JP Bemba et toute l’équipe évaluent les stratégies mises en place

Après avoir passé 7 jours d’application des mesures à titre expérimental et de simulation pour fluidifier le trafic routier dans la capitale de la République démocratique du Congo, une réunion a été convoquée pour évaluer les premiers résultats et définir les axes d’amélioration. La dite rencontre présidée par le vice-Premier ministre, ministre des Transports Jean-Pierre Bemba, a eu lieu lundi à Kinshasa, selon un communiqué de la cellule de communication du ministère des Transports.

«Les signaux sont positifs. Nous l’avions si bien dit, que nous étions à une phase expérimentale. Il faut s’attendre à ce que là où ça ne marche pas qu’il y ait des remous. Quand nous allons vers l’Ouest par exemple, nous trouvons que la circulation commence à devenir un peu fluide, et que la population est satisfaite par rapport à la décision qui a été prise», a dit Robert Matalatala, président de la CNPR, cité par le communiqué du cabinet du vice-Premier ministre en charge des Transports.

“Le comité a relevé que certaines artères demandaient un renforcement des dispositifs pour optimiser la fluidité de la circulation. L’expérimentation va s’étendre sur des nouvelles artères dans les jours qui viennent”, signale le communiqué.

 

 

Mboshi




RDC : Le Gouvernement paye les manques à gagner des pétroliers  

Le Ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, a dirigé, ce lundi 4 novembre 2024 dans son cabinet, une importante séance de travail avec une délégation des pétroliers représentant les différentes zones de distribution en République Démocratique du Congo.

Au cours de cette séance de travail, le Ministre a annoncé avoir payé, sur instruction de la Première Ministre, Judith Suminwa Tuluka, un premier acompte des manques à gagner en faveur de toutes les corporations des pétroliers de toutes les zones de distribution.

 

Ce paiement fait partie des efforts du Gouvernement à apurer, par échelonnement et le plus rapidement possible, les manques à gagner de l’exercice 2023.

Il est en plus l’expression de la bonne volonté du Gouvernement à soulager les pressions de trésorerie auxquelles les pétroliers font face, à garantir l’approvisionnement en carburant et à préserver les intérêts aussi bien des sociétés que de la Population.

 

 

 

 

 

Mboshi




RDC : Affaires forages et Lampadaires, la Cour de cassation renvoie l’audience pour le 18 novembre prochain

Le procès qui oppose le ministère public à l’ancien ministre du Développement rural, François Rubota, et l’opérateur économique, Mike Kasenga, sur l’affaire du présumé détournement des fonds alloués à la construction des forages dans différents coins de la République démocratique du Congo a été repoussé au 18 novembre 2024.

Convoqué pour ce lundi 4 novembre 2024, à la Cour de cassation, ce procès a été reporté après un débat contradictoire entre le président de la séance, Tshimini et les avocats de l’ancien ministre du Développement rural François Rubota, qui ont estimé lors de la prise de parole que le tribunal n’a pas été régulièrement saisi sur cette affaire.

D’après les avocats de François Rubota, l’extrait de rôle n’a pas été déposé au domicile de leur client comme la loi l’exige.

De l’autre côté, les voix s’élèvent autour du dossier qui se tient sans l’ancien ministre des Finances, Nicolas Kazadi, ayant autorisé la libération en urgence des fonds bien qu’il a été constatée la surfacturation.

 

Mboshi




Afrique du Sud : Jacques Djoli représente la Rdc à l’ouverture de la 4ème session ordinaire de la 6ème législatives du parlement africain 

Le PAP -Parlement panafricain-, dont le siège se trouve à Midrand, en Afrique du Sud, a ouvert ses portes, ce lundi 4 novembre 2024, à tous les parlementaires venus des 55 Etats africains membres.

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En tant qu’organe législatif de l’UA -Union Africaine-, il réunit les représentants des 55 États de l’UA qui ont ratifié le Protocole du traité instituant la communauté africaine relatif au Parlement panafricain.

Pour optimiser son fonctionnement, chaque États envoie 5 membres en tenant compte de la majorité et de l’opposition politique au sein du Parlement national.

Pour le cas de la RDC, l’honorable Professeur Jacques DJOLI ESENG’EKELI, il est à cet effet, à la tête de la délégation de l’Assembée nationale composée des députés nationaux, membres du PAP, notamment SAKATA TAWAB Garry, WANGOIE MUKALAYI Marie-Thérèse et d’autres part la délégation de la chambre haute conduite par l’honorable NGOY KASANJI ALPHONSE Chef de la délégation, accompagné de l’honorable Christine MWANDO.

L’objectif poursuivi par le Parlement panafricain, est d’assurer la pleine participation des peuples africains au développement économique et à l’intégration du continent.

Dans son mot de bienvenue, l’honorable Président du Parlement panafricain, Fortuné Charumbira, a remercié ses collègues parlementaires panafricains, pour leur participation active aux travaux de la quatrième session de la sixième législature, il les a enfin exhorté à travailler sans relâche, pour l’intérêt des Africains à travers les travaux des commissions permanentes dont chacun est membre.

Juste après, le Bureau du PAP, par l’entremise de sont président, a accordé la prestation des serments aux nouveaux membres du PAP. L’honorable sénateur Ngoy Kasanji de la RDC, à l’instar des autres nouveaux parlementaires panafricains, a prêté serment, avant d’exercer comme membre.

Le PAP n’a pas dérogé à sa coutume d’inviter quelques personnalités de marque à chaque session d’ouverture. Pour l’ouverture de cette session, le PAP a invité, entre autres personnalités :

1. Son Excellence ANDRÉ NZAPAYEKE, doyen du corps diplomatique africain

2. KHALIL BOUDALI, président de l’Ecosocc

3. Hon. RÉMY NGOY LUMBU, président de la Commission africaine des droits de l’homme

4. HUGOR SERGE YENGO, président de l’Assemblée nationale de la Biélorussie, qui a circonscrit son intervention sur la coopération économique entre les pays africains, en mettant un accent particulier sur l’éducation.

L’occasion a été pour le chef de la délégation de l’Assemblée nationale de la RDC au Parlement panafricain, le Rapporteur de l’Assemblée nationale, le Professeur Jacques Djoli, de faire le point sur le déroulement de cette séance plénière d’ouverture.

“Je crois que vous avez assisté à cette quatrième session ordinaire de la sixième législature du Parlement panafricain, qui a été marquée par le discours de l’honorable président Fortuné Charumbira, qui a insisté sur le repositionnement du Parlement panafricain dans l’architecture de l’Union Africaine, qui, aujourd’hui, est penchée sur un surpoids de l’Exécutif dominé par une surreprésentation hyper présidentialiste. D’où, il faut qu’on revienne au principe de séparation et de l’équilibre des pouvoirs, parce que le Parlement, le Législatif, qui était une innovation de la nouvelle architecture n’a pas encore pris sa place, pour faire entendre la voix des peuples africains. Nous avons eu des messages de solidarité de plusieurs personnalités. Il y a lieu de citer l’intervention du président de la Commission africaine des droits de l’homme, Rémy Ngoy Lumbu, autour du thème central de cette session, à savoir : L’éducation comme axe pour l’accomplissement de l’agenda 2060-2063. Rémy Ngoy Lumbu a souligné le travail effectué par le Président de la RDC, qui a su mettre en place un principe constitutionnalisé, mais qui souffrait de la non application, à savoir la gratuité de l’enseignement, qui fait de la RDC un modèle au niveau de l’Union africaine. Et que ce modèle peut inspirer beaucoup de pays Africains, qui peuvent venir s’inspirer en RDC”, a déclaré Jacques Djoli.

Juste après, la clôture de la cérémonie d’ouverture officielle, les membres du PAP ont été conviés à participer aux différentes réunions tenue par chaque caucus ou groupe régional.




RDC : Constant Mutamba confirme la tenue des états généraux de la justice pour ce 06 Novembre 

Le ministre d’État en charge de la justice congolaise maître Constant Mutamba est revenu à la charge pour confirmer la tenue des travaux des états généraux de la justice en RDC.

Du 06 au 13 novembre 2024, la ville de Kinshasa va vibrer au rythme des états généraux de la justice en Rdc, une 1ère dans l’histoire du pays.

Devant la presse ce lundi, le ministre de la justice a fait savoir que ce forum se veut un cadre idéal d’échange et de partage envue de diagnostiquer et de faire une autopsie réelle de la situation de la justice congolaise au sens polysémique. Les travaux seront lancés par le président de la République, Félix Tshisekedi, magistrat suprême qui va livrer ses attentes à l’issue de ces assises.

Signalons que 3500 participants vont faire le déplacement pour prendre part active à ce grand rendez-vous dont le go sera donné personnellement par le chef de l’Etat, magistrat suprême, à rassuré le ministre d’état, ministre de la justice, hôte de l’événement.

 

Mboshi




Mon rêve…écrire l’histoire avec la sélection marocaine” (Brahim Díaz à la MAP)

Brahim Díaz, la star marocaine du Real Madrid, a affirmé qu’”il rêve d’écrire l’histoire avec la sélection nationale de football et offrir de la joie aux supporters marocains”.

“Je suis très fier de porter le maillot de la sélection marocaine. Je suis reconnaissant envers le Maroc et tout le Continent africain pour tout l’amour et l’accueil chaleureux qui m’a été réservé”, a souligné Brahim Díaz dans une interview exclusive accordée à la MAP au Centre d’entraînement de Valdebebas à Madrid.

Dans ce sens, l’ancien joueur du Milan AC s’est dit fier de jouer pour la sélection du Maroc, dont l’essor ne cesse de croître vers un avenir très radieux.

Par ailleurs, le N°10 des Lions de l’Atlas a fait savoir que son intégration au sein de l’équipe nationale s’est bien déroulée. “Grâce à l’amour et l’accueil chaleureux de toutes les composantes, j’ai toujours eu le sentiment de faire partie de cette grande famille”, s’est-il réjoui.

Il a, dans ce sillage, indiqué qu’il se déploiera à fond pour contribuer aux succès des Lions de l’Atlas et donner de la joie au public marocain.

En outre, l’ex-joueur de Manchester City a relevé que le football marocain a toujours connu des générations qui n’ont cessé d’honorer les couleurs nationales.

“Le groupe actuel ne fait pas exception”, a-t-il assuré, notant que les exploits en Coupe du Monde (Qatar-2022) et aux Jeux olympiques (Paris-2024) démontrent, à bien des égards, tout le travail accompli et constituent une source de fierté pour tous les Marocains.

Brahim Díaz a, ainsi, mis en avant les efforts de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) qui, grâce à la vision éclairée de SM le Roi Mohammed VI, se déploie pleinement pour l’essor du football national, le développement des infrastructures sportives, et le soutien des équipes nationales.

Il a, par ailleurs, tenu à remercier le public marocain pour tout l’amour qu’il lui porte et son soutien inconditionnel, en l’occurrence, en période de blessure.

“L’accueil à Oujda restera un moment des plus précieux dans ma carrière”, a conclu la star marocaine du Real Madrid.