Scandale judiciaire à la Cour d’Appel du Lualaba

Face aux pratiques anticonstitutionnelles tant décriées par le Chef de l’Etat ainsi que le ministre de la Justice, dont les hommes de salle besogne considèrent à tort faire le discours populiste, la population congolaise a besoin de faire triompher le droit, le socle de la prospérité de l’Etat de Droit, en vertu du principe « la justice élève la nation… ». C’est même le sens de la convocation des Etats généraux de la justice pour poser le diagnostic et administrer une thérapie appropriée à la justice congolaise.

L’affaire sous RR084 est pendante devant la Cour d’Appel du Lualaba, qui met en cause la Société ASTALIA INVESTMENT, Société appartenant au Président du Club Sportif Tout-Puissant Mazembe contre la Société ANOÏ LIMITED.

Après une année d’instruction par la mauvaise foi de la partie demanderesse, Société ASTALIA INVESTMENT, soutenue par le Chef de juridiction de la Cour d’Appel du Lualaba, la Société ANOÏ LIMITED a dépêché ses services sur terrain. L’objectif était de s’enquérir de la situation qui s’installe, avec des pratiques anticonstitutionnelles tant décriées par le Chef de l’Etat. Celui-ci ne cesse de déplorer les pratiques frauduleuses, rendant la justice malade en RD Congo.

Il nous revient que ces pratiques sont organisées par des juges véreux.

C’est ainsi que nos fins limiers se sont entretenus avec un Greffier divisionnaire, lequel a préféré garder l’anonymat sur son identité afin de lui éviter les représailles hiérarchiques.

Assigné en tierce opposition par la Société ANOÏ LIMITED, précise la même source, la Société ASTALIA INVESTMENT a, par le canal de ses dirigeants, initié une action en renvoi de juridiction pour cause de suspicion légitime en date du 11/10/2023, soutenant avoir une raison valable d’impartialité permettant à la Cour d’Appel du Lualaba de procéder au renvoi de la cause sous RAC 360 vers une autre juridiction.

Ainsi, lors du prononcé des donné acte, l’affaire sous RR084 a été renvoyée contradictoirement à l’égard de la demanderesse en renvoi de juridiction, la Société ASTALIA INVESTMENT.

N’ayant ni notification des dates d’audience à la demanderesse, la Société ANOÏ LIMITED qui, du reste, a couvert les vices pour sa comparution volontaire, les Juges de renvoi de juridiction siégeant en proxécution, se sont revirés en se déclarant non saisis avec seul motif de dilater la procédure.

Malgré l’avis favorable du Ministère public, Mweze Kibwanga, qui du reste a rappelé au Juge de renvoi de juridiction la régularité de cette affaire par la comparution volontaire de la défenderesse en renvoi de juridiction, la Société ANOÏ LIMITED et contradictoire à l’égard de la demanderesse ; les juges précités ont préféré se déclarer non saisis sans motif légal.

Et dans la même date, la Société ANOÏ LIMITED a notifié via la poste dont le récépissé de l’accusé de réception a été établi à la même date par la poste, attestant la notification de l’exploit de la date d’audience affichée au valve, conformément au prescrit de l’article 7 du C.P.C.

Mais fort dommage, à l’audience publique du 25/06/2024, les juges en renvoi de juridiction, après avis favorable du Ministère public, sans vérification des exploits qui gisaient au dossier, se sont résolument décrétés la non saisine de la juridiction. Motif pris de l’absence de l’acte d’élection de domicile tel que contenu dans les feuilles d’audience établi par le Greffier audiencier à la même date.

Et ayant la même volonté de pérenniser la procédure afin d’éviter la condamnation par la rétractation de la cause sous RAC 223/237 rendu par le Tribunal de Commerce de Kolwezi dans laquelle il y a la tierce opposition à ce jour sous RAC 360 initiée par la Société ANOÏ LIMITED, les Magistrats se sont à nouveau décidés de décréter la non saisine de la juridiction afin de consolider les intérêts de la Société ASTALIA INVESTMENT.

Face à cette pratique décriée tant par le Président de la République ainsi que par le Ministre de la Justice dont les hommes de salle langue considèrent à tort faire le discours populiste, la population Congolaise a besoin de faire triompher le droit, le socle de la prospérité de l’Etat de Droit, en vertu du principe « La justice élève la nation… ».

Le Quotidien




Fonction publique:  J.P Lihau : « Malgré un lourd passif, nous nous battons pour relever les défis »

Jean-Pierre Lihau, Vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique, de la Modernisation et de l’Innovation de service public, était l’invité du Briefing Presse organisé le 28 octobre 2024 par le ministre de la Communication et médias, Patrick Muyaya. Il était question de faire le point sur le dialogue social dans le secteur public.

Dans son mot introductif, il s’est dit heureux de voir que la volonté du Président de la République s’est concrétisée.

Cette volonté, dit-il, il l’avait exprimée depuis la campagne électorale, celle de débureaucratiser l’action gouvernementale, en permettant aux décideurs de se rapprocher des citoyens. « Ceci, pour que les décisions que nous prenons ne soient prises à la base des rapports, mais permettre aux décideurs de palper les réalités dans le Congo profond et prendre des décisions par rapport aux désidératas de la population ».

Une administration efficace

A en croire le VPM Lihau, « l’écosystème que nous mettons en place va nous permettre de connaître non seulement le nombre des fonctionnaires, mais d’essayer d’améliorer leurs conditions salariales pour atteindre l’objectif tel que fixé par le président de la République, Félix Tshisekedi ».

Cet objectif, « c’est de doter notre pays d’une administration efficace, celle qui est au rendez-vous de résultats. Le président Tshisekedi nous a confié la mission de redresser notre appareil administratif. Ceci passe par une thérapie de choc des réformes structurelles ».

« Il fallait d’abord maîtriser les effectifs, la masse salariale qui va avec à Kinshasa, mais aussi à travers tout le territoire national. Les annuaires alphabétiques et numériques de tous les fonctionnaires des services centraux et des divisions urbaines sont à mettre dans ce package. Dans un second temps, nous allons commencer la publication dans la province », explique-t-il.

Pour lui, ce que nous connaissons aujourd’hui, c’est le fruit de notre irresponsabilité. Tant que les choses sont telles qu’elles sont, parce que nous avons recruté sans observer le cadre juridique et organique. C’est la raison pour laquelle nous avons renforcé le cadre juridique pour avoir plus de discipline.

A part cette phase de réforme, mentionne-t-il, il y a aussi la retraite, soit la mise en place du nouveau système de sécurité dans notre pays. La cohabitation d’une retraite principale, qui résulte d’une retraite d’un système de répartition, qui cohabite avec la retraite par capitalisation. Ceci, pour que la retraite ne soit pas un couloir menant vers la mort, mais une vie après la carrière.

Nous avions parlé de l’identification biométrique, globalement de la maitrise des effectifs qui comporte un triple enjeu : stratégique, économique et social. Stratégique parce que la maitrise des effectifs nous permet de planifier l’avenir. Une administration qui ne retraite pas est bloquée. Ensuite, c’est l’enjeu économique, car avec ça, nous savons capter des économies en écartant des fonctionnaires qui étaient dans l’irrégularité. Ces économiques peuvent être canalisées ailleurs dans la construction des routes. Il y a un enjeu social, car une partie des économies peut servir à améliorer la rémunération des agents et fonctionnaires de l’Etat. Signalons que beaucoup d’autres réformes ont été réalisées. C’est le cas de la dématérialisation, l’amélioration des conditions de travail et de carrière des agents et fonctionnaires de l’Etat.

Le dialogue social comme l’arme idéal pour garantir la paix sociale dans le pays

Dans son speech, le VPM Jean-Pierre Lihau souligne que les Congolais sont conscients des efforts que nous fournissons afin d’améliorer les conditions salariales des agents et fonctionnaires de l’Etat. Pour améliorer les conditions salariales, il faut d’abord redresser la situation générale, poser le bon diagnostic et faire ensemble qu’avec les agents, tracer la voie qui nous conduit vers l’avenir.

« Nous avons considéré le dialogue social comme l’arme idéal pour garantir la paix sociale dans le pays. Depuis que nous sommes là, nous avons fait de sorte que les partenaires sociaux soient considérés. Nous sommes conscients des difficultés que rencontre le fonctionnaire de l’Etat. C’est pour cela que nous sommes en train de nous battre pour améliorer ses conditions », dit-il, avant d’ajouter que cette situation est plus complexe, parce que nous héritons un passif qui est lourd. Nous ne le faisons pas seulement de manière ponctuelle, cosmétique, mais durable.

C’est ici qu’il a révélé que dans 3 ans, nous avons mécanisé 171.000 contre 12800 en 20 ans. La volonté est là et est incontestable. La rémunération du fonctionnaire congolais est constituée d’un salaire de base faible et d’une prime. Nous faisons de sorte que le plus possible améliorer et aligner les agents de l’Etat qui n’étaient pas à la prime. Nous avons augmenté toutes les primes à la hauteur de 12% et le nivellement vers le bas de l’IPR de 15% à 3%. Nous n’avons pas été aidé par la dépréciation du franc congolais. Nous avons essayé d’agir pour soutenir le pouvoir d’achat des fonctionnaires, insiste-t-il.

Par la suite, JP Lihau a cité les efforts fournis dans les secteurs de la santé, de l’EPST et de l’ESU avant d’annoncer les perspectives.




Révision constitutionnelle: « Personne ne peut nous interdire de réfléchir », explique Patrick Muyaya

La révision constitutionnelle, toujours elle, s’est même invitée au Briefing Spécial Presse de ce 28 octobre 2024. Organisé par Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias, ce grand rendez-vous de la redevabilité a connu la présence de Jean-Pierre Lihau, Vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique, de la Modernisation et de l’Innovation de service public.

« J’ai l’impression qu’on veut faire dire au chef de l’Etat les choses qu’il n’a pas dites », a tranché Patrick Muyaya, qui pense, s’exprimant sur ce sujet, le Président de la République, a dit que ce n’était pas une urgence. Il a aussi dit que l’année prochaine, il mettra en place une Commission pluridisciplinaire avec les Congolais de tous les bords pour réfléchir. « La Constitution que nous avons, il faut la lire aussi. Elle prévoit notamment des mécanismes comment la révision peut se faire », dit le Ministre.

Dans un échange avec les étudiants dans la ville de Kisangani, le Président de la République a été plus que clair : « Pour moi, la personne importe peu. Si nous avons des institutions fortes, quelle que soit la personne qui est là, c’est le pays qui va gagner ».

Muyaya a précisé que ce débat aura lieu l’année prochaine. « La Commission pluri-disciplinaire pourra discuter sans encombre. Le texte de la Constitution nous appartient à nous tous, qui que vous soyez. Nous venons d’un processus de belligérance pour celui de la consolidation de la démocratie. On est dans un processus. Tel que Fatshi l’a résumé, c’est d’arriver à avoir des institutions qui sont fortes ».

Une hyper-institutionnalisation de l’Etat qui crée l’obésité de l’Etat

Pour sa part, Jean-Pierre Lihau a insisté sur le fait qu’on ne peut pas interdire la réflexion dans un pays. « La Constitution est une loi fondamentale. Une loi a vocation à être changée à partir du moment où telle est la volonté de la communauté nationale, et au moment où elle a des faiblesses. La question est de savoir, est-ce que notre loi fondamentale comporte-t-elle des faiblesses ? Oui. Quelles sont ces faiblesses ? »

Le VPM à la Fonction publique pense que les experts nous les donneront. « Notre Constitution consacre une hyper-institutionnalisation de l’Etat. Ce qui crée l’obésité de l’Etat et celle-ci obstrue le développement du pays. Si on peut réfléchir en termes de dégraisser l’Etat, à travers la diminution du train de vie de l’Etat en termes de salaires, il faut aussi réfléchir sur l’ensemble de la structuration institutionnelle », soutien-t-il.

Et d’ajouter : « Nous voulons qu’il y ait débat comme dans d’autres pays pour une retouche, une révision ou un changement de la constitution. Ce ne pas un tabou si telle est la volonté du peuple. Je ne pense pas qu’on va interdire à notre pays de faire une sorte d’autocritique et de dire qu’il y a un ça ne va pas sur le plan des procédures institutionnelles. Le Président de la République l’a dit. A titre illustratif, pour obtenir un Gouvernement après les élections, c’est tout un problème, avec des procédures assez lourdes. Ça nous fait perdre 6 à 7 mois. Ce sont des questions qui doivent préoccuper au plus haut point le peuple. Lorsque je parle des institutions, je parle du poids, parce qu’une bonne partie du budget est orientée vers le fonctionnement de ces institutions-là. On peut réfléchir si notre pays est prêt pour ce fardeau-là », argumente Jean-Pierre Lihau.

« Pourquoi pas pour la suppression de telle ou telle autre institution pour que les millions servent à acheter les avions, … Il faut un certain moment arrêter de plaisanter avec l’avenir d’une Nation. Si les Etats-Unis, la France et d’autres pays d’Afrique ont apporté des amendements dans leurs Constitutions, je ne vois pas pourquoi on va interdire à la Rdc de réfléchir sur éventuellement la modification ou le changement de leur loi fondamentale ? Il faut, à un certain moment, arrêter de jouer le jeu politicien, sans tenir compte de l’avenir de la Nation. Il faut que nous nous retrouvions sur les fondamentaux », précise le ministre de la Fonction publique.

Voilà qui a permis à Patrick Muyaya de conclure que la Commission sera pluri-disciplinaire et ceux qui parlent dans un sens tout comme dans l’autre, pourront faire partie de cette commission. « On ne peut pas nous empêcher de réfléchir, surtout lorsque nous voulons, dans l’esprit du Président de la République, avoir des Institutions qui sont fortes », mentionne-t-il.




Pauvre pays !

Alors qu’il voulait rendre son dernier soupire, voyant un groupe de femmes se lamenter devant sa croix, sur Golgotha, Jésus-Christ, le Fils de l’Homme, leur dit : « femmes de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi mais pleurez sur vous et sur vos enfants ».

Ce passage biblique, tiré de l’Evangile de Luc, chapitre 23 : 28, illustre bien la situation qui prévaut actuellement en République Démocratique du Congo. Où, insouciante pour l’avenir de leurs progénitures, de leurs propres enfants composés essentiellement de jeunes, la classe congolaise prend plaisir à le diriger vers l’abime ; vers les incertitudes, vers un trou béat.

Mal outillée pour vivre pleinement son évolution morale, physique et intellectuelle, la jeunesse congolaise représente, néanmoins, plus de 55% de la population congolaise, selon les statistiques publiées récemment par certains organismes internationaux, notamment l’USAID, International Yong Foundation, pour ne citer que ceux-là. Malheureusement, elle fait face à certaines contraintes orchestrées par certains dirigeants du pays, qui sont en fait leurs propres parents.

Avec un système actuel d’enseignement et de formation qui laisse à désirer, par rapport aux années 80, la République Démocratique du Congo caracole au panthéon des pays dont le chômage des jeunes est criant, conséquence d’une politique à tâtons, à reculons et truffée de détournements de deniers publics. L’emploi des jeunes est au bout du doigt, dominé par le tribalisme et le régionalisme, reléguant ainsi la compétence.

De son côté, la santé des jeunes, leur participation civique, politique et dans les structures décisionnelles, l’incitation à l’entreprenariat, autant de défis que les actuels dirigeants n’en ont que faire ! Si ce n’est que s’adonner aux bombances financières en recourant aux caisses de l’Etat, se produire en public pour des futilités politiques, oubliant superbement qu’ils ont ce rôle de créer des conditions pour voir la jeunesse d’aujourd’hui faire de la RDC un grand pays développé, prospère et compté au cœur du Continent africain, un Etat de droit fondé sur une véritable démocratie politique, économique, sociale et culturelle.

Il y a donc nécessité que les politiques actuels, tous parents, rectifient leurs tirs en promouvant les valeurs républicaines, la compétence et la bonne gouvernance afin d’entrainer la jeunesse, leurs enfants, vers un leadership intégré, visionnaire, proactif pour le Congo de demain.

Le contraire serait fatal. Illusoire pour la jeunesse congolaise qui se perd en conjectures chaque jour qui passe avec un seul refrain. Un refrain qui sonne comme la parole d’Evangile des femmes de lamentations : « quel pays vont nous léguer nos actuels parents ? »

 

Willy Kilapi




Athlétisme: Alpha Mumbere termine 3è catégorie amateur à la 1ère édition de Run in Pointe Noire 

Mumbere Kamuha Alpha de la République Démocratique du Congo et Ilunga Mande Zatara devenu manager athlète, ont participé à la 1ère édition de Run in Pointe Noire du 26 au 27 octobre 2024. A Pointe Noire, économique de la République du Congo, ils ont participé aux 10 km pour tous publics. Mumbere Kamuha a terminé 3è dans la catégorie amateur. ville a abrité. L’événement a connu 3 courses  : 10 km pour tous publics, 5 km réservée aux femmes et 3 km réservée aux 13-15 ans.

La République Démocratique du Congo était présente à cette 1ère édition de Run in Pointe Noire avec Alpha Mumbere Kamuha et Ilunga Mande Zatara devenu manager athlète. Ils ont pu compétir les 10 km dimanche.

Au classement Général

1. Kenya

2. Kenya

3. Kenya

4. Congo/Brazza

5. Congo/Brazza

6. RDC

Classement professionnel

1. Langat Bernard Kenya 28’29’’

2. Rotich Charles Kenya 28’58’’

3. Langat Amos Kenya 30’42

4. Libomba Sametonne Congo/Brazza 32’17’’

5. Bikoyo Nelson Congo/Brazza 32’35’’

Classement amateur hommes

1. Libomba Sametonne Congo/Brazza 32’17’’

2. Bikoyo Nelson Congo/Brazza 32’35’’

3. Mumbere Kamuha Alpha RDC 33’02’’

Il faudra noter qu’avec ce chrono, Alpha Mumbere a fait moins qu’à la course populaire 10 km courue le dimanche 6 octobre 2024 à Kinshasa. Cette course était organisée par la Ligue d’Athlétisme de Kinshasa ‘’Lidakin’’que préside M. Nyampala Feley Prince. Il avait bouclé la distance en 32’06’

’29.

De Bonsambo

 

 




Judo: Me Alain Tshilungu, secrétaire Rapporteur de la Conaju parle de la journée internationale de judo

Invité à livrer ses impressions sur la journée internationale du judo célébrée chaque 28 octobre, Me Alain Tshilungu, Secrétaire Rapporteur de la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC ‘’Conaju’’ et actuel ministre provincial de Kinshasa en charge des infrastructures, s’est exprimé en ces termes : ‘’Déjà, nous sommes contents. Contents d’être en vie. Contents de pouvoir bénéficier de cette journée comme vous l’avez dit tantôt.

C’est une journée internationale où nous reconnaissons le judo et le 28 octobre de chaque année, nous célébrons la journée internationale de judo à travers le monde. Et aujourd’hui nous avons célébré à Kinshasa. Nous avons profité du dimanche. C’est le 27 octobre aujourd’hui, mais cette journée se célèbre chaque le 28 octobre de l’année. Nous l’avons célébré à Kinshasa particulièrement en RDC. Le plaisir, c’est de partager ces moments avec tous les judokas de Kinshasa et tous les judokas de la RDC. Le thème de cette année comme vous le savez c’est Le bien-être et le bien-être, se caractérise par le code moral de judo.

Le judo a 8 mots clés dans le code moral qu’il faudrait respecter pour tout judoka. Nous avons : le respect, la politesse, l’honneur, la modestie, le courage, le contrôle de soi ainsi que l’amitié. Dans ces 8 codes morales, le respect nous interpelle à pouvoir nous réunir tous dans une même vision. Vous êtes sans ignorer que le judo congolais souffre depuis plusieurs années d’une division au sein de la fédération. Nous pensons qu’avec le nouveau ministre Didier Budimbu, nous sortirons de cette crise. Et cette crise ne sortira que par l’unité de tous les judokas. Donc, nous appelons tous les judokas à beaucoup d’amour avec beaucoup de conscience de se rappeler d’où nous venons et où nous voulons aller. Nous avons plus à perdre en allant de manière divisée qu’à gagner en étant ensemble pour l’intérêt du judo au Congo, merci’’.

De Bonsambo




Volley-ball: La GR en ½ finale du 10è championnat africain des clubs zone 4 Brazzaville 2024

Lentement mais sûrement, la 10è édition du championnat d’Afrique des clubs de volley-ball Zone 4 Brazzaville 2024 s’approche de sa fin. Les ½ finales chez les messieurs se jouent ce mercredi 30 octobre 2024. Le Volley-Club Garde Républicaine ‘’GR’’ qui représente dignement la République Démocratique du Congo, va affronter Litto Team.

A suivre ½ finales messieurs au gymnase Henry Elende de Brazzaville

13hoo : PAD vs Inter Club :

15h00 : Litto Team vs GR :

La finale chez les dames se jouera le jeudi 31/10/2024

Litto Team vs DGSP :

De Bonsambo




Eliminatoires Chan 2024: Le sélectionneur Otis Ngoma a dévoilé une liste des 36 Léopards A’

Ces derniers prendront part au 1er stage de préparation à Kinshasa du 02 au 09 novembre 2024 en prélude des éliminatoires de la 8è édition Chan Total energies prévue en Ouganda, Kenya et Tanzanie.

De Bonsambo




Actualités En Plus Bref: Linafoot Illicocash Ligue 1, Maniema Union a fait trébucher V. Club à Kindu 3-1

Bilan du samedi 26/10/2024

Au Stade Joseph Kabila de Kindu

AS Maniema Union vs AS V.Club : 3-1

Au stade des Jeunes

US Tshinkunku vs FC Tanganyika : 2-1

Au stade de la Concorde à Bukavu le 27/10/2024

OC Bukavu Dawa vs DCMP : 0-1

Au stade des Jeunes

AS Malole vs FC Lubumbashi Sport : 2-2




Sur le Projecteur Boxe: 30 octobre 1974-30 octobre 2024, « Je me souviens du combat du siècle Mohamed Ali vs Georges Foreman »

Jour pour jour, je me souviens d’un certain 30 octobre 1974. Alors âgé de 12 ans, je garde encore vivaces 50 ans après, les images du combat de boxe poids lourds Mohamed Ali vs Georges Foreman que j’ai suivi à la télévision.

Mais avant le jour ‘’J’’, tout mon quartier vibrait au rythme du combat baptisé ‘’Rumble in the jungle ou le combat dans la jungle. L’Hôtel ‘’A La Rigole’’, sise avenue Dalhias sur 10è rue Limete/résidentiel où je résidais, hébergeais beaucoup des sujets américains venus expressément des Etats-Unis pour vivre de visu le combat du siècle Ali vs Foreman. Nous les côtoyons et avions des nouvelles régulièrement sur les préparatifs.

Fan fou de Mohamed Ali, j’ai été comme la plupart des congolais, très ravi de la victoire d’Ali au 8è round. Devenu journaliste quelques années plus tard, j’ai été très content d’assister et couvrir la visite effectuée par la fille de mon idole Mohamed Ali au stade Tata Raphaël. Elle était venue voir où s’entrainait son père et où ce dernier avait livré le combat qui l’avait permis de reconquérir le titre de champion du monde de boxe poids lourds. Elle avait pleuré quand elle a vu le lieu et l’état dans lequel se trouvait le stade Tata Raphaël (NDLR Dieu merci que ce stade a été complètement réhabilité par le gouvernement avant les 9è jeux de la francophonie).

De Bonsambo