CAN 2025 : Voici les 24 qualifiés

Les éliminatoires de la CAN 2025 s’achèvent mardi et ont permis de connaître les trois derniers qualifiés pour la phase finale de cette 35e édition qui aura lieu du 21 décembre 2025 au 18 décembre 2026 au Maroc.

Après le Bénin et le Soudan lundi, la Tanzanie, qui a remporté sa “finale” contre la Guinée, et le Botswana, parvenu à maintenir à distance la Mauritanie, se sont qualifiés dans l’après-midi. En début de soirée, le dernier billet se disputait lors d’un choc décisif entre la Guinée Bissau et le Mozambique.

 

Contraints de s’imposer, les Bissau-Guinéens ont déchanté en s’inclinant 2-1 face aux Mambas à Bissau. Bruno Langa a ouvert le score dès la 10e minute d’une superbe frappe des 25 mètres. Beto a redonné espoir en égalisant avant la mi-temps suite à un corner frappé par Carlos Mané (42e), mais Stanley Ratifo a définitivement mis un coup sur la tête aux Djurtus en remettant le Mozambique en tête au retour des vestiaires sur un autre corner (52e).

 

Le Mozambique y prend goût

 

Après avoir effectué leur retour à la CAN 2023 au terme de 13 ans d’absence, les Mambas confirment ainsi leur retour au premier plan, tandis que cette non-qualification représente un gros coup d’arrêt pour Mama Baldé et ses coéquipiers après 4 participations consécutives à la grande fête continentale.

 

 

Les 24 sélections qualifiées pour la CAN 2025 :

 

Maroc

Burkina Faso

Cameroun

Algérie

RD Congo

Sénégal

Egypte

Angola

Guinée Equatoriale

Côte d’Ivoire

Ouganda

Afrique du Sud

Gabon

Tunisie

Nigeria

Zambie

Mali

Zimbabwe

Comores

Bénin

Soudan

Tanzanie

Botswana

Mozambique

 

 

 

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Manifestation contre la révision de la constitution : Prince Epenge condamne la répression policière sur les manifestants

En séjour en Europe, le Président du parti politique ADD-Congo Prince Epenge a condamné avec la dernière énergie la répression policière dont ont été victimes, les Kinois qui manifestaient contre le projet de révision ou changement de la constitution.

 

Prince Epenge, également communicateur de la coalition Lamuka, fustige en même temps l’interpellation “brutale” du président du parti Envol, Delly Sessanga lors de ladite manifestation.

 

‹‹ La coalition Lamuka condamne fermement le traitement dégradant, humiliant et insultant que la police a réservé à l’honorable Delly Sessanga. Le droit de manifester est garanti par la constitution. Ceux de l’UDPS qui manifestent pour changer la constitution sont encadrés, ceux de l’opposition qui manifestent pour dire non au changement de la constitution, pour dire non au coup d’état électoral que monsieur Tshisekedi prépare sont malmenés, menacés et tabassés ››, a-t-il réagi.

 

Le président du parti politique l’Action pour la démocratie et le développement du Congo (ADD-Congo) annonce par ailleurs son retour à Kinshasa pour s’associer à ses pairs de l’opposition afin de continuer la lutte contre le projet de révision ou changement de la constitution.

 

Depuis l’Europe où il se trouve, Prince Epenge mène auprès de la diaspora congolaise, la campagne de sensibilisation intitulée « Changeons Félix Tshisekedi, pas la Constitution ».

 

 

Osée Kalombo




Kasaï : Jeannot Kazadi mobilise les services techniques des Mines à maximiser les recettes

Soucieux de la canalisation et mobilisation des recettes de la province dans le secteur minier au Kasaï, le ministre provincial en charge des mines Jeannot Kazadi Kabumba vient d’instruire aux services techniques, de mobiliser et canaliser des recettes de la province.

Dans une réunion regroupant les animateurs de la division des mines, Saempa, cadastre minier et autres, Jeannot Kazadi Kabumba veut voir ses collaborateurs travailler pour une bonne politique de développement, afin de

permettre à la province de capter une grande partie de 150 milliards de francs congolais, disponibilisés une politique de suivis en faveur des opérateurs de ce secteur, mobiliser des ressources et partenariats, développer les propositions des projets, valider et soumettre les projets tout en renforçant les capacités institutionnelles, l’amélioration du climat des affaires, la communication et plaidoyer, voilà le grand souci du ministre des Mines au Kasaï qui ne veut pas voir une opportunité échappée à cette province.

 

Les agents qui vont tenter de rester dans les anti valeurs seront poursuivis selon le ministre provincial des Mines.

 

 

 

 

 

Jean-Luc Bakampenda




A Tianjin/Chine: Ouverture de la conférence mondiale sur le développement de l’enseignement professionnel et technique

Ouverture ce jeudi 21 Novembre à Tianjin en Chine, de la deuxième conférence mondiale sur le développement de l’enseignement professionnel et technique. Le Go a été donné par le ministre Chinois de l’éducation Huai Jinpeng.

Cet événement de haut niveau qui est co-organisé par le ministère de l’éducation, l’UNESCO et le gouvernement municipal de Tianjin, se tient sous le thème “L’innovation donne du pouvoir à l’avenir, les compétences éclairent la nouvelle vie “.

 

Le ministre chinois de l’éducation qui a ouvert cette conférence, a indiqué que la tenue de cet événement vise notamment à focaliser l’attention sur l’innovation pour un meilleur avenir afin de trouver plus d’entente et de travailler main dans la main pour le développement de haute qualité de l’enseignement professionnel et technique dans le monde.

Huai Jinpeng a rassuré que son pays soutient les échanges et la coopération en la matière avec les pays étrangers.

“Nous voudrions mettre en œuvre les initiatives sur le développement planétaire ainsi que l’agenda Onusien de 2030 grâce au développement de l’enseignement professionnel, grâce à la coopération internationale en la matière” a-t-il dit.

Revenant sur l’importance de l’éducation dans la vie d’une Nation, le patron de l’éducation chinoise a fait savoir que la Chine pour qui,  l’enseignement est une stratégie prioritaire, a déjà développé le système scolaire le plus important au monde, avec un taux d’accès à l’université qui dépasse 60%.

“L’éducation obligatoire est déjà généralisée. L’âge moyen de scolarité de la main-d’œuvre nouvelle dépasse 14 ans. Plus de 2,4 millions d’habitants ont des diplômes universitaires” a renseigné Huai Jinpeng.

La conférence mondiale sur le développement de l’enseignement professionnel et technique a pour objectif d’accroître le partenariat de la Chine avec les autres pays, dont ceux du continent africain, dans le domaine de la formation professionnelle et technique.

Au total, 1075 participants venus des 80 pays, dont 4 organisations internationales et 456 invités étrangers, prennent part à ces travaux. La République Démocratique du Congo est représentée par le ministre de la formation professionnelle et le vice-ministre de l’éducation nationale.

Sachez que la Ville de Tianjin qui accueille cette conférence, est une ville pilote pour le nouveau modèle de réforme du système de l’enseignement professionnel et technique moderne.

 

Derick Katola depuis la ville de Tianjin




Au Zimbabwe : Felix Tshisekedi participe au sommet de la Sadc sur l’évaluation de sa mission en Rdc

Arrivé en fin d’après-midi, le Chef de l’État a pris part, ce mercredi à Harare, au Zimbabwe, à la réunion extraordinaire du Sommet des Chefs d’État et de gouvernement de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).

Au cours de ces assises, le Président Félix Tshisekedi a échangé avec ses pairs sur la situation sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

Les différents dirigeants ont procédé, à cette occasion, à une évaluation de l’engagement de la mission de la SADC en RDC (SAMIDRC), aux côtés de l’armée congolaise, dans la défense de l’intégrité territoriale de la RDC à la suite de l’agression dont elle est victime par le Rwanda, via le groupe terroriste M23.

Dans son intervention, le Président zimbabwéen et Président en exercice de la SADC, Emmerson Mnangagwa, a fait savoir que « le peuple congolais mérite de vivre dans paix et le développement ». Bien avant, ce dernier a fait observer un moment de recueillement en mémoire des Congolais ayant perdu la vie durant cette guerre de l’Est.




Pour renforcer notre cadre juridique : L’honorable Olivier Katuala plaide pour une clarification urgente de l’article 217 de la Constitution

Dans un contexte où la souveraineté de la République Démocratique du Congo est mise à l’épreuve, nous avons rencontré l’honorable Katuala, membre de la PAJ, pour discuter des enjeux cruciaux liés à l’article 217 de la Constitution. Son engagement pour la protection de notre territoire et de nos ressources naturelles est plus que jamais d’actualité.

 

Le Quotidien : Honorable Katuala, l’article 217 de notre Constitution suscite de vives inquiétudes au sein de la population. Pourquoi cette disposition est-elle si controversée ?

Honorable Katuala : L’article 217 permet un abandon partiel de notre souveraineté en faveur de l’Unité africaine, ce qui soulève des interrogations profondes dans l’opinion publique, dont une partie affirme que son libellé est en contradiction avec l’article 214. Cet article indique clairement que toute cession de notre territoire doit être approuvée par le peuple par référendum. Dans le contexte actuel, où des puissances étrangères affichent des velléités de balkaniser notre territoire en vue d’accaparer nos richesses naturelles, notamment dans l’Est, cette ambiguïté devient particulièrement dangereuse. Nous sommes face à une situation où notre intégrité nationale est en jeu, et il est nécessaire de clarifier cette disposition pour dissiper tout malentendu en lien avec l’étendu de notre souveraineté nationale et l’intangibilité de notre territoire.

Vous mentionnez les puissances étrangères. Quelle est la nature de la menace qui pèse sur notre pays ?

La menace est réelle et pressante. Des pays voisins, parfois soutenus par des puissances extérieures, ne cachent pas leur désir de s’accaparer nos ressources et notre territoire. Ils entretiennent une insécurité persistante dans nos provinces orientales pour mieux s’implanter et exploiter nos richesses. Cette situation est aggravée par des discours de nos agresseurs propagés dans les réseaux sociaux, qui prétendent que certains pans de notre territoire leur appartenaient autrefois. La psychose de la balkanisation est réelle. Nous devons être vigilants et ne pas laisser ces intentions malveillantes passer inaperçues.

Quelles mesures concrètes proposez-vous pour faire face à cette situation inquiétante ?

Il devient absolument impératif de réviser l’article 217 pour renforcer notre cadre juridique. Je propose que nous ajoutions un alinéa qui indique que « cet abandon partiel de souveraineté ne déroge pas aux dispositions de l’article 214 ». Cela clarifierait notre position et garantirait que notre souveraineté sur le territoire congolais demeure intacte, même en vertu de nos engagements internationaux. En procédant ainsi, nous éliminerions toute ambiguïté qui pourrait être exploitée par ceux qui cherchent à affaiblir notre nation.

Pensez-vous que les juristes et intellectuels du pays sont suffisamment conscients de l’ampleur de cette problématique ?

Malheureusement, la controverse sur l’interprétation de l’article 217 persiste, et nombreux sont ceux qui minimisent son importance. Les juristes et intellectuels doivent prendre conscience de l’urgence de la situation. Notre seule boussole doit être le doute que le libellé de cet article 217 suscite dans l’opinion publique. Nous sommes un pays en guerre, et notre agresseur convoite nos terres sans s’en cacher. Il est temps de dissocier tout malentendu et de travailler ensemble pour réviser cette disposition clivante afin d’extirper tout piège éventuel.

Quel message souhaitez-vous adresser à vos compatriotes concernant cette question impérieuse ?

Je leur dirais que ce débat n’est pas seulement théorique ; il est vital pour notre avenir. Nous devons nous unir pour clarifier l’article 217 afin d’assurer que notre souveraineté ne soit jamais compromise. Chaque Congolais a un rôle à jouer dans cette lutte pour la protection de notre territoire et de nos ressources. Faisons entendre notre voix et exigeons que notre Constitution protège, sans les hypothéquer, nos droits, notre territoire et notre souveraineté.




RPDC-FR: les cadeaux du Président russe

Ce mercredi 20 novembre, Vladimir Vladimirovitch POUTINE, Président de la Fédération de Russie (FR), a envoyé plusieurs espèces de la faune rare (quelques dizaines d’animaux et d’oiseaux, NDLR) comme cadeaux à l’adresse du Peuple de la RPDC (République Populaire Démocratique de Corée, sise au nord de la Péninsule coréenne, créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et émergée Superpuissance:

  • militaire consacrée à défendre, avec sûreté, non seulement son idéologie, son système, sa dignité, sa vie ainsi que sa souveraineté, sa sécurité, ses intérêts, son honneur mais aussi la paix et la sécurité de la Région et du monde entier vu son potentiel nucléaire
  • politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée notamment avec la gratuité du logement, de l’enseignement et du traitement médical, sous le grand Bienfaiteur KIM JONG UN, sosie politique des Généralissimes KIM IL SUNG 1912-1994 et KIM JONG IL 1942-2011, NDLR).

La liste desdits cadeaux:

  • offerts par l’intermédiaire du Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC (Parti du Travail de Corée, existant le plus longtemps au Pouvoir socialiste dans le monde, NDLR) et Président d’État de la RPDC
  • censés vivre au Zoo Central à Pyongyang (berceau de la Civilisation Taedong-gang de 4.357 ans et Capitale de la RPDC, NDLR)

a été transmise à KIM Tok Hun, 1er Ministre de la RPDC, par Alexander Alexandrovitch KOZLOV, Ministre des Ressources Naturelles et de l’Ecologie de la FR, en visite (17-20/11/2024) à Pyongyang à la tête de la délégation gouvernementale pour participer à la 11ème session du Comité de coopération commerciale, économique et sci-tech entre les Gouvernements RPDC-FR, en tant que Co-Président dudit Comité.

 

Rappelons que le Protocole d’Accord issu de ladite session sur la coopération bilatérale dans divers domaines, notamment l’énergie, l’agriculture, la sci-tech, etc., a été co-signé, le même jour, au Palais des Congrès de Mansu-dae: dans la cérémonie, ont pris part:

  • du côté de la RPDC, YUN Jong Ho, Ministre des Relations Economiques avec l’Etranger et Co-Président du Comité de coopération commerciale, économique et sci-tech entre les Gouvernements RPDC-FR, et les cadres des secteurs concernés
  • du côté de la FR, le Ministre Alexander Alexandrovitch KOZLOV et les membres de la délégation ainsi que Aleksander Ivanovitch MATSEGORA, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la FR en RPDC.




Jacques Djoli échange avec le Collectif des anciens étudiants de l’Unikin

Le Rapporteur de la Chambre basse du Parlement, le professeur Jacques Djoli Eseng’ekeli, a échangé ce mercredi 20 novembre 2024, avec le collectif des anciens étudiants de l’UNIKIN -Université de Kinshasa-. Ces anciens étudiants de “la Colline inspirée” évoluent au sein de “campa célèbrey”, une structure qui s’investit dans la consolidation des acquis de l’UNIKIN.

Avec le Rapporteur de l’assemblée nationale Jacques DJoli, il était question, pour ce collectif des étudiants, de porter à la connaissance de l’Assemblée nationale, la tenue, du 6 au 7 décembre 2024, d’une conférence, en vue de remercier le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi, pour avoir réhabilité les homes de l’Université de Kinshasa. Mais aussi de solliciter l’accompagnement de l’Assemblée nationale dans l’organisation de cette manifestation.

Le Rapporteur de l’assemblée nationale Jacques Djoli Eseng’ekeli a pris acte des différents programmes présentés par “campa célèbrey”. Il a, par ailleurs, promis aux membres de ce collectif des étudiants, de transmettre fidèlement leur requête auprès du président de l’Assemblée nationale, le professeur vital Kamerhe, un des anciens de l’Université de Kinshasa.




L’accès à l’internet et à la téléphonie mobile dans le Congo profond au menu des échanges entre Vital Kamerhe et les opérateurs du secteur

Le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a conféré le mardi 19 Novembre 2024 avec une délégation des Opérateurs de télécommunications œuvrant en République Démocratique du Congo (RDC). Il s’agit notamment des Responsables de Airtel, Vodacom, Orange et Africel.

Au menu de leurs échanges, l’accès à l’Internet et à la téléphonie mobile dans le Congo profond.

De prime abord, ces opérateurs de télécommunications ont exposé au Speaker de la chambre basse du Parlement, les difficultés qu’ils rencontrent dans l’exercice de leur travail qui nécessitent l’intervention urgente de l’Assemblée Nationale.

Le Chef de la délégation Barthe Ntshabali a souligné notamment, le problème lié à la disposition en rapport avec la méthode de comptabilisation des revenus, des ventes, des services ou des produits qui sont vendus par les opérateurs de télécommunications.

«Nous sommes disposés à accompagner la vision du Chef de l’Etat. Notre ambition c’est d’être partout en République Démocratique du Congo, même dans le Congo profond», a martelé Barthes Ntshabali.

Pour le Directeur des Affaires Réglementaires d’Airtel, l’opérationnalisation des fonds de service Universel est l’une des solutions à cette problématique. Avec les fonds mis à leur disposition, ces opérateurs de télécommunications ont rassuré qu’ils vont apporter leurs services dans tous les coins et recoins de la RDC indépendamment de la rentabilité économique.

Ces fonds ont-ils précisé, leur permettront également d’apporter la communication à tous les citoyens de la République Démocratique du Congo où qu’ils se trouvent.

Très réceptif, le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe a sensibilisé à son tour, ses hôtes à l’amélioration de la qualité de leurs services pour que la communication ne soit plus un problème en République Démocratique du Congo, même dans les milieux ruraux. Ce qui va permettre a-t-il indiqué, au Pays d’être à la page sur le plan mondial.

Le Professeur Vital Kamerhe a également insisté sur le fait qu’il y a des coins où ces opérateurs de télécommunications sont inexistants pourtant la population a grandement besoin de l’Internet et des appels téléphoniques.

Au finish, le Speaker de la chambre basse du Parlement leur a remercié pour le rôle qu’ils assument dans le développement de la RDC.




Paie des agents et fonctionnaires de l’État : Le Comité de suivi donne des précisions

Ce mercredi 20 novembre 2024, le Comité de suivi de la paie des agents et fonctionnaires de l’État s’est réuni afin d’évaluer la paie du mois de novembre de l’année 2024.

Suivant les instructions données par Mme Judith Suminwa Tuluka, sous l’impulsion du Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi, la paie doit être exécutée chaque le 28 du mois au plus tard ; au regard du retard de processus de traitement de la paie du mois d’octobre, qui a été causé par des nouvelles actions au niveau du secteur de l’enseignement primaire et secondaire et des multiples opérations liées à l’intégration des nouveaux mécanisés dans le système.

Pour M. Yannick Isasi Ndelo, vice-Président et Président intérimaire du Comité de suivi de la paie des agents et fonctionnaires de l’État, la paie du mois de novembre 2024 a été déjà lancée depuis le vendredi dernier, ainsi qu’ensemble avec les opérateurs de la paie, des dispositions nécessaires ont été prises pour la reprise à la normale de la paie qui doit intervenir au plus tard en date du 28 de chaque mois.

Il a par ailleurs signalé que la paie du mois de novembre se déroulera de manière simultanée entre les 3 secteurs mis à jour, à savoir Fardc, PNC, Dinacope, ainsi que les autres catégories des agents et fonctionnaires de l’État afin de s’assurer que cette échéance va être prise en charge comme convenu avec les opérateurs de la paie.

Et de conclure que dans le cadre de la feuille de mise en route du comité de suivi de la paie, une équipe sera déployée sur terrain afin d’évaluer le processus de la paie et de confronter les différentes réclamations enregistrées régulièrement et d’y apporter des solutions.