Nord-Kivu, l’armée ougandaise s’installe à Bunagana au grand désarroi de la société civile locale

La cité frontalière de Bunagana dans la province du Nord-Kivu est passée sous contrôle de l’armé ougandaise après le retrait des terroristes du M23. Ceci en accord avec le plan de désengagement signé avec la communauté des Etats de l’Afrique de l’Est à laquelle appartient la RDC. L’on renseigne que le retrait du M23 à Bunagana n’est pas synonyme du retour de l’armée congolaise dans cette agglomération, d’autant plus que les FARDC sont interdites d’accès à des zones volontairement libérées par le M23. Une situation qui inquiète plus d’un, notamment la société civile locale qui s’interroge sur la nécessité de la présence de l’armée ougandaise à Bunagana sans les FARDC.

”Nous ne comprenons pas pourquoi le Gouvernement Congolais peut continuer à crier devant les rebelles, devant les terroristes d’un pays étrangers. Ce n’est pas normale qu’on interdise à quelqu’un d’accéder à l’une des chambres de sa maison. Le Gouvernement ne devrait pas cautionner pareille humiliation, il faudrait qu’on puisse envisager une riposte attitrée pour éviter à ce que l’on ne puisse pas continuer à humilier la RDC à la face du monde, les FARDC c’est notre armée, elles doivent contrôler l’ensemble du territoire nationale”. S’inquiète Edgard MATESO, président de la société civile du nord-Kivu

Par ailleurs, 45 militaires sud-soudanais sont arrivés le dimanche 02 avril 2023 à Goma dans le cadre de la force régionale Est africaine chargée de superviser le retrait des rebelles du M23. le nombre exact du contingent sud-soudanais reste non précisé, de même que son lieu de déploiement. En décembre dernier, le Sud-soudan avait annoncé l’envoie de 750 soldats en RDC.




Nord-Kivu, 19 personnes ensevelies dans un glissement de terrain à Masisi

Dix-neuf personnes ont trouvé la mort dans un éboulement de terres survenu dimanche 02 avril 2023 dans le village Bolowa en territoire de Masisi au Nord-Kivu. Selon l’administrateur du territoire qui a avancé ce bilan encore provisoire, les recherches se poursuivent pour retrouver d’autres victimes. Vingt-cinq femmes accompagnées de leurs enfants se trouvaient sur le lieu du drame entrain de faire leur lessive dans un ruisseau au pied d’une montagne lorsque le glissement de terrain s’est produit, ensevelissant certaines d’entre elles.




Motel Fikin, plusieurs occupants irréguliers identifiés par Me Amelia MUYA WA MUYA

Mandaté par le Conseil d’Administration de la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN), qui a mis sur pied une commission ad hoc dont il est le président, Maître Amelia MUYA WA MUYA, administrateur de la Fikin, exerce à bon escient et avec zéro complaisance, la mission lui confiée par ses collaborateurs, dont Kennedy KATASI KIALA, Président du Conseil d’Administration et Didier KABAMPELE KABUL, Directeur Général de la Fikin. Cette commission pilotée par Amelia MUYA, a entre autres pour mission, d’identifier tous les occupants des espaces de la Foire Internationale de Kinshasa, y compris la partie Motel FIKIN; Réviser tous les contrats existants et mettre à jour ceux dont la reconduction est nécessaire. 

Après avoir distribué au préalable, l’avis de passage des membres de la Commission dans les villas, appartements ainsi que les établissements commerciaux au Motel Fikin, Me MUYA a, avec son habile équipe, répertorié toutes les villas et tous les appartements des locataires, ainsi que les établissements commerciaux des partenaires de la Foire, mais dont la plupart ne disposent pas des contrats légalement établis par la Fikin.  

La commission a par la suite, passé au peigne fin tous les contrats de bail, tant résidentiels que commerciaux. En dépit de quelques cas de régularité relevés, le constat reste amer pour l’Administrateur de la Fikin.  Les irrégularités flagrantes découvertes sur le champ, ont presque laissé Me Amélia MUYA, muet de stupeur. 

En effet, c’est dans une longue série d’échanges avec les locataires convoqués devant le bureau du gestionnaire de Motel Fikin, que Me Amélia MUYA et son équipe, auditionnant ces derniers à tour de rôle, ont pu ouvrir la boite à pandore.

La moisson était abondante du fait de la découverte des contrats expirés depuis plus de dix ans (voire plus) et non renouvelés;

  • cumul d’arriérés des loyers par les locataires dont la majeure partie ayant à leur actif, plus de 20 mois de retard de paiement;
  • cession des villas ou des appartements par les occupants à travers un simple arrangement mutuel et sans possession du contrat originel par le dernier occupant, donnant ainsi lieu à plusieurs cas de sous-location; 
  • Non possession du contrat de bail par plusieurs tenanciers des petites activités commerciales (restaurant de fortune, salon de coiffure, cabine téléphonique etc.);
  • Modicité des prix des loyers locatifs à usage commercial fixés par les administrations précédentes.

En somme, ces irrégularités sont légion.  

 Il n’a donc pas fallu attendre longtemps pour que ce travail de longue haleine abattu par le très dynamique  Amélia MUYA, soit accompagné d’effets. Après avoir senti l’irrésistible pression, une avalanche des locataires insolvables, s’est ruée devant le bureau du gestionnaire de Motel Fikin pour, connaissant déjà leur sort, tenter tant soi peu, de réduire leurs dettes et se munir des preuves de paiement des trois derniers mois de l’année 2022, tel qu’exigé par la Commission, peu avant qu’elle ne descende sur le terrain. 

Cette anarchie laisse entrevoir que la gestion de Motel Fikin d’autrefois, était un foutoir dans lequel les locataires avaient visiblement, accepté de demeurer, en faisant fi des conséquences y relatives. D’où, un capharnaüm qui avait élu domicile depuis des lustres.

La mission dirigée par Me Amelia MUYA WA MUYA, administrateur de la Fikin, tend déjà vers sa fin. Il en présentera le rapport à la prochaine réunion du Conseil d’Administration qui l’avait mandaté, en vue de prendre des décisions qui s’imposent.

Nommé par Ordonnance Présidentielle en novembre 2022 au sein du Conseil d’Administration de la Foire Internationale de Kinshasa, Me Amelia Muya avec ses collaborateurs Gestionnaires et Administrateurs, tiennent mordicus à redorer l’image ternie de la Fikin.

Un projet sur la relance de cet établissement public par une firme turque est en cours de traitement sous la direction de la nouvelle équipe dirigeante. Ce projet consiste entre autres à construire des parcs modernes d’attraction aux standards internationaux, des centres commerciaux (Mall), ainsi que des hubs, pour ne citer que ceux-là. Sur les 33 hectares que compte la Fikin, 6 seulement ont été concédés au contrat turc envoi d’être signé. Selon Me Amelia MUYA, la Fikin reste ouverte à toute sorte de partenariat qui se présentera à elle. Il encourage par ailleurs, les entrepreneurs congolais de venir solliciter également les espaces au sein de la Fikin, dans la perspective de participer au développement du pays, comme le souhaite le Président de la République, Félix-Antoine TSHISEKEDI.




En mission officielle en France, le Président du CESAC Christian BOSEMBE copieusement frappé à Paris

En séjour à Paris en France où, dans le cadre d’une tournée européenne, il a pu rencontrer plusieurs partenaires le 31 mars dernier, notamment la Directrice des Affaires politiques et de la gouvernance démocratique de l’OIF, Léonie Guerlay et Jean Christophe Ramos, président de Canal + Afrique, Christian Bosembe, Président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication CSAC, s’obstine à redynamiser son secteur, grâce à la transformation de l’écosystème médiatique congolais avec un programme chiffré à 17 millions de dollars américains sur une période de 2023 à 2027. poursuivant sa mission à Paris, le Président du CSAC a également rencontré le 1er avril 2023, les responsables des médias français, à savoir : TV5 Monde Afrique, Radio France Internationale (RFI) et France 24 associés avec à ceux de Canal France International ainsi que l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) ex-CSA.

Un voyage au pays d’Emmanuel Macaron qui s’est malheureusement transformé en cauchemar.

  • Dans une vidéo (ci-dessous insérée) filmée la nuit et diffusée en boucle sur les réseaux sociaux dans la matinée de ce dimanche 02 avril 2023, l’on pouvait voir Christian Bosembe être violemment tabassé par deux gabarits, s’exprimant tous en lingala. visiblement, la scène aurait été filmée dans le couloir d’un hôtel de Paris, où la victime avait du mal à se débarrasser de ses bourreaux qui, le qualifiant de “collabo”, n’ont pas arrêté si vite de frapper copieusement Bosembe. L’on pouvait entendre l’infortuné hurler “naza ndeko na bino”, entendez, “je suis votre frère”. Un forfait qui semble avoir été planifié, à la lumière de la même vidéo montrant les bourreaux annoncer l’événement dans la journée, peu avant de passer à l’acte. “C’est une préméditation”, constate plus d’un analyste.

A Kinshasa, le bureau du CSAC a annoncé un point de presse dans les heures qui suivent, en vue de faire la lumière sur les circonstances de cet incident malheureux.

Selon plusieurs témoignages sur les réseaux sociaux, Christian Bosembe aurait été victime de son rapprochement avec le régime au pouvoir. Une attitude que désapprouvent plusieurs congolais de la diaspora appelés des “Combattants”, expatriés en France et en Belgique. mécontents selon eux de la gestion du pays, ces derniers ont combattu le régime de Joseph Kabila à l’étranger, et font la même chose sous Félix TSHISEKEDI.




Arrivée imminente du contingent angolais dans le Maniema, le gouverneur Idrissa prend une décision très controversée

La Province du Maniema sera une base arrière des troupes angolaises dont l’arrivée est conditionnée par la construction de leurs casernes comme cela a été décidé par le parlement angolais, qui a consenti le 17 mars 2023, le déploiement de ces troupes en RDC. Les forces angolaises sont attendues sur le sol Congolais, avec comme mission de faire respecter le cessez-le-feu violé à maintes reprises par les terroristes du M23 soutenus par le Rwanda. Ces troupes vont aussi sécuriser les zones de cantonnement du M23 et la protection des membres du mécanisme ad hoc de vérification, dirigé par un général angolais.

Le gouverneur intérimaire de la province du Maniema, a, à cet effet, mis en garde tout celui qui va s’opposer contre la venue des militaires angolais. Afani Idrissa Mangala qui dit avoir démasqué un réseau du M23 dans sa juridiction, a instruit les services de renseignement d’arrêter toute personne qui sera contre les militaires Angolais. 

 

« On ne s’oppose jamais à une mesure sécuritaire! Nous venons de remarquer que le réseau est déjà installé dans la Province du Maniema, le réseau du M23 est déjà démasqué. Nous avons instruit les services de sécurité et des renseignements d’arrêter tout le monde parce que nous les connaissons, ils sont identifiés, et le bloc des opposants, qui s’opposent à la venue des angolais, les angolais ne sont pas nos ennemis. Nous comprenons à suffisance que ce réseau mafieux veut à tout prix, que les congolais n’aient pas la paix à travers la mesure du Chef de l’Etat, d’installer les Angolais dans la province du Maniema ». 

Cette décision du gouverneur a.i du Maniema, est diversement commentée au sein de la classe politique. À la coalition Lamuka, si l’on salue l’arrivée toujours attendue des troupes angolaises sur le sol congolais, l’on condamne par contre la décision du gouverneur, qualifiée de « liberticide » contre la population qui est en droit de manifester son mécontentement, a martelé Prince Epenge, communicateur de la plateforme de l’opposition Lamuka.

 

« Nous avions évidemment, salué la promesse de l’arrivée des troupes angolaises dans cette crise où les pays de l’Est sont complices. Nous pensons que réellement, l’Angola viendra nous prêter mains fortes. Mais nous sommes déçus dans la mesure où, l’Angola ne vient pas pour se battre. l’Angola ne vient pas pour épauler les FARDC afin de bouter hors d’état de nuire, les militaires de l’EAC et les Rwandais. D’après ce qu’on apprend, l’Angola vient pour cantonner le M23, ça c’est une déception pour nous. Mais le gouverneur, se donne le culot de violer la constitution en interdisant la population du Kindu ou de Maniema de manifester son mécontentement contre l’arrivée des troupes angolaises, ça dépasse tout entendement. Nous condamnons l’attitude du Gouverneur, nous Lamuka l’invitons immédiatement à se conformer à la constitution ».

Christian Teme Teme, analyste pro-pouvoir, se montre pour sa part, optimiste sur la nécessite de la mission des militaires angolais en RDC. Il a par ailleurs appelé la population du Maniema à la vigilance contre toute manipulation politicienne.

« Je voudrais inviter la population du Maniema au calme. Qu’elle ne se donne pas aux manipulations inutiles. Je leur demande d’être confiants au Président de la République et aux décisions qu’on est entrain de prendre pour stabiliser l’Est de la RDC ».

Au total 500 soldats Angolais sont attendus en République Démocratique du Congo. La date de leur arrivée n’est toujours pas connue. Mais, il n’en demeure pas moins que leur déploiement dans le Maniema, interviendrait une fois leurs sites de cantonnement sont bien aménagés.




Vincent Karega nommé ambassadeur du Rwanda en Belgique, son poste à Kinshasa toujours vacant

C’est une nouvelle affectation pour le diplomate Rwandais, ancien ambassadeur à Kinshasa, expulsé en novembre 2022 par le gouvernement Congolais, à la suite des fortes tensions entre son pays et la République Démocratique du Congo.

Les accusations de Kinshasa contre Kigali, indexé comme principal agresseur de la RDC sous couvert du M23, ont conduit à la détérioration du climat diplomatique entre les deux pays frontaliers.
La Belgique, c’est donc le plus grand corps diplomatique du Rwanda sur le continent européen que va désormais diriger Vincent KAREGA.
Accrédité à Kinshasa en juillet 2020, le diplomate natif de la province congolaise du Nord-Kivu, laisse son poste inoocupé à Kinshasa. Un poste à pourvoir par Kigali, jusqu’au rétablissement de ses relations avec Kinshasa, estiment plusieurs observateurs.




Situation humanitaire en Ituri: plus de 720. 000 déplacés ont regagné leurs milieux d’origine

  1. Les villages des territoires d’Irumu, Djugu, Mahagi et Mambasa qui furent infestés par les groupes armés, sont de nouveau occupés par leurs habitants ayant fuit l’activisme des milices opérant dans la Province de l’Ituri.

Selon l’armée, Sept-cents vingt mille trois-cents déplacés (720.300) sont retournés dans leurs villages respectifs entre juin 2021 et janvier 2023.

Un retour au bercail, rendu possible grâce à la maîtrise des violences et la stabilisation de ces villages par les Forces Armées de la RDC, indique
le lieutenant Jules Ngongo, porte-parole du Gouverneur et des opérations militaires de l’Ituri qui se félicite de ces résultats, tout en estimant que beaucoup reste à faire.

Sur un million cinq-cents déplacés, aujourd’hui nous comptons 720.300 personnes déplacées qui sont retournées dans leurs milieux d’origine”. Confie à notre rédaction, le Lieutenant Jules Ngongo. Et à lui de renchérir : “ceci est rendu possible grâce à l’approche globale utilisée par le Gouverneur militaire de la province de l’Ituri et commandant des opérations, Lieutenant-Généra Luboya Nkashama Johnny. Dans cette approche il y a eu les opérations que nous menons contre les groupes armés hostiles d’une part, et d’autre part, l’approche non militaire qui favorise la sensibilisation et le dialogue des communautés vivant en Ituri”.

Le lieutenant Jules Ngongo, a par ailleurs rassuré que l’administration militaire sous l’état de siège, va tout mettre en oeuvre pour “sécuriser les population, les assister, et les encourager à rentrer dans leurs milieux d’origine car les sites de déplacés, ce n’est pas leurs milieux“, a-t-il conclu.




Goma: Trois morts et quatre blessés graves dans une fusillade

Le carnage a été perpétré par les bandits armés ce samedi 25 mars 2023 dans l’avant-midi au quartier Ndosho à Goma, Chef-lieu du Nord-Kivu. L’on dénombre au total, trois civils assassinés.

Parmi les victimes, un préfet d’études d’une école secondaire de Saké. A en croire un témoin ayant vécu l’événement, le nommé Bayeke Yengayenga a été ciblé de balles, lui et ses deux enfants par les assaillants qui ont décidé de mettre fin à leurs vies. Les quatre blessées ont été acheminés à l’hôpital pour des soins appropriés.

Les habitants des quartiers situés à l’Ouest de la ville de Goma, notamment Ndosho et Kyeshero, se plaignent ces derniers temps, du regain de la criminalité dans leurs milieux.

Des hommes armés opérant souvent en groupe et d’autres en uniforme, sont à la base de cette insécurité, qui prend des allures inquiétantes en plein état de siège.

Ces hors la loi s’illustrent notamment par des cambriolages, des assassinats, des braquages contre la paisible population civile. cette situation devenue récurrente, nécessite l’implication des autorités compétentes en vue d’assurer la protection des Gomatraciens.




Sécurité et restauration de la paix, les grands défis de Peter Kazadi

A quelques heures de son intégration dans le gouvernement, c’est son tout premier message le plus commenté en très peu de temps sur internet, en tant que Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur de la République Démocratique du Congo.

A travers un tweet qui a cumulé plus de mille commentaires en 7 heures (dont le plus grand nombre, des félicitations), le nouveau patron de la territoriale a d’abord exprimé sa gratitude envers le Président de la République qui l’a nommé au poste le plus préséant du gouvernement après le Premier ministre.

«Sincères remerciements à Son Excellence Monsieur le Président Félix-Antoine Tshisekedi pour la confiance placée en ma modeste personne».

Le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur qui promet de travailler sous la droite ligne du Chef de l’Etat, a martelé sur les grands défis qu’il doit relever dans son secteur, notamment la restauration de l’autorité de l’Etat, et la lutte contre l’insécurité.

«Je travaillerai sous son impulsion avec objectif majeur de combattre l’insécurité et restaurer l’autorité de l’Etat».

Peter Kazadi, haut-cadre de l’UDPS était jusqu’à ce jeudi 24 mars 2023 à minuit député provincial de Kinshasa. Il succède à Daniel Aselo Okito à la Vice-Primature de l’Intérieur. Un poste stratégique qui, depuis le début de la législature, est occupé par les gens de la famille politique du Président de la République.

En ce qui concerne la situation sécuritaire dans le pays, la recrudescence de la délinquance juvénile dit Kuluna à Kinshasa et en provinces, les conflits interethniques à Kwamouth dans le Mayi-Ndombe ainsi que dans la partie orientale du pays, sont entre autres des chantiers qui demeurent les priorités les plus urgentes auxquelles Peter Kazadi fera face dès son entrée en fonction.




Bemba et Kamerhe, membres du gouvernement Sama Lukonde II (Liste)

Remaniement du gouvernement, ci-dessous la liste des membres du nouveau gouvernement Sama II:

Sont nommés Vice Premier-Ministres:

Intérieur : Peter Kazadi

Défense: Jean Pierre Bemba

Économie: Vital Kamerhe

Affaires étrangères: Christophe Lutundula

Ministres d’Etat:

Environnement: Eve Bazaiba

Justice : Rose Mutombo

Infrastructures: Alexis Gisaro

Intégration régionale : Mbusa Nyamwisi

Budget: Aime Boji

Portefeuille: Adèle Kayinda

Plan: Tuluka Judith

Urbanisme et Habitat: Pius Mwabilu

Développement Rural: François Rubota

PTNTIC: Kibassa Maliba

Numérique: Eberande Kolongele Cashmir

AFFAIRES FONCIÈRES: Molendo Sakombi

Commerce Extérieur: Jean Lucien Bussa

Droits Humains: Fabrice Puela

Tourisme: Didier Manzenga

Médias et communication: Patrick Muyaya

Affaires Sociales: Modeste Mutinga
Finances: Nicolas Kazadi

Santé: Samuel Kamba Roger

Agriculture: Jose Mpanda

EPST: Tony Mwaba

Transports: Ekila Marc

Pêche: Bokele Adrien

Industrie: JulieN Paluku

ESU: Muhindo Nzangi

Recherche Scientifique: Kabanda Gilbert

MINES: Nsamba Kalambayi

Hydrocarbures: Didier Budimbu

VICE-MINISTRES:

Vice-Min Aff Étrangères: Crispin Mbadu

VICE Hydrocarbures: Wivine Moleka

vice ministre Défense: Sami Adubango

Vice ministre EPST: Aminata Namasiya