« 2024 a été très cruelle pour ma famille et mon entreprise »

Vous avez été présents et disponibles dans tout ce qui nous est arrivé, à travers votre soutien, votre appui et vos prières.

Vous êtes parmi des femmes et hommes rares à trouver dans ce siècle où l’amour du plus grand nombre a diminué.

Voilà pourquoi au nom du Groupe de presse IMPACT NEWS, celui de la famille Ndanga et en mon nom propre, je vous exprime toute ma gratitude. Je prie au Seigneur Dieu de vous restituer toute la sollicitude dont nous avons été bénéficiaires de votre part.

J’en profite pour vous souhaiter les vœux les meilleurs pour l’année 2025. Vœux de bonheur, de bonne santé, de longévité, de stabilité et de promotion à tous égards.

Joël Cadet Ndanga, Journaliste, Éditeur Directeur Général.




DGI : Cérémonie de remise des chèques uniques aux retraités de 2017 et aux ayants droit

Ce lundi 30 décembre 3024 à l’hôtel Béatrice, à Kinshasa Gombe, a eu lieu une cérémonie officielle de remise des allocations complémentaires uniques à près de 183 agents de la DGI retraités de 2017 et ayants droit des agents décédés et élargies du fichier de la paie à partir du mois de juin 2024.

Cette cérémonie officielle initialement prévue pour le 27 décembre 2024 a finalement eu lieu lundi 30 décembre 2024. Les listings des personnes concernées et éligibles au bénéfice desdites allocations complémentaires uniques qui sont mises, par la caisse de solidarité des agents de la DGI, sont disponibles.

Cette cérémonie a connu la présence des directeurs centraux de la DGI, le directeur des grandes entreprises, le directeur de la DUI/K, les directeurs rattachés des impôts, les inspecteurs chefs de brigades de l’administration centrale et chef de pool de la DUI/K Limete, les chefs de divisions organiques de l’administration centrale et ceux de la DGE, le chef de division de la cellule d’études, les chefs de du CV IDIONS du siège de la DUI/K, le chef de centre des impôts de Kinshasa, les chefs des centres d’impôts synthétiques de la DUI/K, les permanents syndicaux et le bureaux de la délégation syndicale.

La cérémonie a commencé tard dans les après-midi par l’exécution de l’hymne national. Prenant la parole, le Directeur des ressources humaines, M. Issa Selemani a expliqué à l’assistance les raisons et la naissance d’une caisse de solidarité des agents DGI.

Elle a été créée le 22 décembre 2022 et alimentée par les cotisations mensuelles pour assister financièrement les agents de la DGI.

Selon le DRH, cette caisse totalise déjà 14 millions cinq cents mille dollars depuis 2023.

183 agents de la DGI nommément cités dont 3 hauts cadres, 40 cadres supérieurs, 127 collaborateurs, 22 cadres d’exécution et un huissier sont éligibles à ces allocations de la caisse de solidarité pour 2024.

Le président de la délégation syndicale de la DGI a demandé à l’assistance de se mettre debout pour observer une minute de silence en mémoire des agents de la DGI décédés.

La délégation syndicale de la Dgi avait posé ce problème à la haute hiérarchie pour la création de cette caisse dans le but d’assister les agents de la DGI à partir des cotisations retenues sur la prime de mobilisation et de contentieux avec bien sûr la quote-part de la DGI. Il a proposé la création d’une structure autonome pour octroyer des prêts à faible intérêt, avec comme devise : l’actif cotise le passif.

Le DG Barnabé Mwakadi qui est aussi un ancien syndicaliste a expliqué que c’est pour la première fois dans l’histoire de la DGI, qu’il existe une caisse de solidarité pour assister les agents.

D’autant plus que la mise à la retraite était ressentie par les agents comme une punition, il fallait y trouver une solution.

Pour le DG de la DGI, un agent qui arrive à la fin de sa carrière après 35 ans de loyaux services rendus à la nation, peut toucher 300 mille dollars à la caisse de solidarité des agents. Cette initiative combien l’oublie a été prise par le DG Barnabé Mwakadi en concertation avec la délégation syndicale de la DGI.

Une allocation complémentaire unique est rendue disponible par la caisse de solidarité pour permettre de faire face aux conditions difficiles de la vie après la carrière.

Alex Tutukala




Félix Tshisekedi accorde la grâce à certains condamnés

Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a signé le 30 décembre 2024 une ordonnance portant mesures collectives de grâce. Cette ordonnance a été lue le 31 décembre à la télévision publique congolaise, la RTNC.

Cette mesure a été prise pour « marquer d’un sentiment particulier d’humanité, de pardon et de clémence la clôture de l’année 2024 ainsi que les festivités de nouvel an 2025 ».

Selon l’ordonnance, la remise de la peine restant à exécuter est accordée à toute personne condamnée à une peine de servitude pénale ou des travaux forcés inférieure à 5 ans par décision judiciaire devenue irrévocable à la date du 31 décembre 2024.

L’ordonnance a aussi fait allusion à la commutation de la peine de mort en celle de servitude pénale à perpétuité qui est accordée à toute personne condamnée par décision judiciaire devenue irrévocable au 31 décembre 2024.

Selon certains analystes, la décision du président Félix-Antoine Tshisekedi, bien qu’elle puisse être vue comme un geste humanitaire et un signe de clémence en période de fêtes, soulève plusieurs questions sur la portée réelle de cette mesure. Scientifiquement, on pourrait souligner que la remise de peine pour les infractions mineures, sans distinction des causes sous-jacentes des condamnations, peut manquer de cohérence dans le cadre de la justice pénale.

Politiquement, cette ordonnance pourrait être perçue comme un moyen de gagner du soutien populaire sans aborder les réformes structurelles nécessaires du système judiciaire. De plus, la commutation de la peine de mort en servitude pénale à perpétuité soulève des interrogations sur le respect des droits humains et sur la véritable réhabilitation des condamnés. Cette mesure risque d’être critiquée pour son opportunisme, en particulier en l’absence d’un cadre juridique solide garantissant une réelle réintégration des libérés.

Ne perdons pas de vue que notre justice est malade.




Petite histoire émouvante de Vainqueur, un petit garçon de trois ans vivant dans le camp de déplacés de Buhimba près de Goma

Un jour, Vainqueur a commencé à avoir de la fièvre et des éruptions cutanées. Sa mère pensait d’abord à un accès palustre, le paludisme étant l’une des maladies tueuses des enfants dans les camps, mais les symptômes se sont intensifiés et la situation s’est aggravée, mettant en péril la vie de son petit garçon.

Elle l’a amené d’urgence à la clinique du camp, où les médecins ont diagnostiqué un cas de Mpox. Vainqueur a été alors transféré à l’hôpital général de référence de Virunga, où il a été soigné, isolé pour éviter la contagion, et traité avec les médicaments essentiels. Dix jours plus tard, Vainqueur, qui semblait si fragile au début, était guéri et de retour auprès de sa mère, prêt à jouer avec ses frères.

L’histoire de Vainqueur illustre les résultats positifs de l’engagement de l’OMS et de ses partenaires en République démocratique du Congo. C’est aussi l’histoire de tant d’autres vies qui ont été sauvées et des sourires qui ont été redonnés en 2024.

À travers nos actions communes, nous avons non seulement amélioré les conditions de santé, mais aussi renforcé les liens de solidarité qui font de notre mission une réussite collective.

Nous tenons à vous exprimer toute notre profonde gratitude pour ce précieux partenariat. Grâce à vous, nous avons contribué à soulager les souffrances de nombreuses personnes en situation difficile.

Pour l’année 2025 qui se pointe à l’horizon, nous avons confiance en notre capacité à continuer à œuvrer ensemble pour de nouveaux succès, dans l’unité et la détermination.

C’est dans cette vision que le Dr Boureima Hama Sambo, Représentant résident, et l’ensemble du personnel de l’OMS en République démocratique du Congo vous souhaitent d’excellentes fêtes de fin d’année 2024 en meilleure santé.

Heureuse Année 2025,

L’équipe de l’OMS en RDC




François Mutombo baptise 2025 année « de la déclaration de l’homme de Dieu »

C’était à l’esplanade de la place Échangeur de Limete que les fidèles de la grande Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) ont célébré la traversée, ce mercredi 1 janvier 2025. Mine de rien, cette mythique place qui n’était qu’un essai, a fait l’unanimité dans le chef de beaucoup de fidèles. Et le réveillon 2024-2025 a été plus qu’un succès, permettant ainsi aux enfants de Dieu de prier sans encombre, avec sons et lumières au rendez-vous.

Une nuit exceptionnelle où les chrétiens venus de quatre coins de la ville province de Kinshasa qui avaient pris d’assaut pour la première fois cet endroit, l’une des places mythiques de la capitale n’ont pas voulu loupé ce grand service spirituel pour entrer en beauté dans cette nouvelle année sous la bonne bénédiction de l’homme de Dieu et Représentant légal de cette grande vision, le Pasteur François Mutombo.

Prenant la parole, l’orateur du jour a voulu asseoir son enseignement par des témoignages poignants de ce que le Seigneur a opéré dans la vie de quelques personnes. C’est le cas d’une famille dont le premier diagnostic de l’enfant renseignait que son intestin était perforé et qu’il fallait une intervention chirurgicale urgente. Mais grâce à la prière de l’homme de Dieu, une autre échographie a démontré le contraire.

Le révérend François Mutombo avait ainsi baptisé 2025 «une année de la déclaration de l’homme de Dieu ». Ceci veut tout simplement dire que seule la parole de son serviteur, celui-là même qui a reçu un appel authentique,  va accompagner chaque enfant de Dieu au cours de cette nouvelle année en lieu et place de ce que diront les ennemis.

Pour bien faire comprendre son message, il a ainsi donné le livre de 2 Rois 4, 20-23. Il s’agit d’un récit de la Sunamite, une femme de Sunem qui a aidé le prophète Élisée en lui offrant de l’hospitalité et une chambre dans sa maison. En retour, Élisée a prophétisé qu’elle aurait un fils, même si elle et son mari étaient âgés. Plus tard, Élisée ressuscite son fils après sa mort subite.

Alors qu’à l’époque, personne ne pouvait voir l’homme de Dieu que pendant le Sabbat ou la nouvelle lune pour obtenir une déclaration ou une guérison, voir même un miracle de sa part.

Poursuivant son message, l’orateur du jour a souligné que si à la nouvelle lune les hommes de Dieu opèrent le miracle, alors à combien plus forte raison une nouvelle année ! Pendant que la nouvelle lune commence, l’homme de Dieu a le devoir de déclarer. « L’homme de Dieu authentique qui a l’appel de Dieu, il a le devoir quand la nouvelle lune réapparaît, de déclarer. Maintenant il y a plus que la nouvelle lune, il y a une nouvelle année qui vient de commencer, je me sens dans l’obligation de déclarer », explique le pasteur François Mutombo Voici l’homme.

Et d’ajouter que dans chaque famille, quand un enfant est né, on lui donne un nom. Il y a un enfant qui vient de naître aujourd’hui, cet enfant s’appelle 2025. Ainsi, on lui donne les noms de l’année de mariage, de la grandeur, de la fécondité, de la multiplication, l’année de succès et de gloire, etc. « Je jure au nom de Dieu et de l’alliance de la CAC/VH que ce peuple est béni, que l’année 2025 soit couverte de la lumière, de la grâce, de la paix et de bénédictions », dit-il.

Après cette grande activité de réveillon, les programmes des activités à la CAC/VH ont repris comme d’habitude, a dit le Représentant légal de cette église. Et ce, en attendant le programme de la dédicace de l’année 2025 qui va débuter le 11 janvier pour finir le 16 février 2025.




François Mutombo annonce le début de la dédicace de l’année 2025 du 11 janvier et au 16 février 2025

L’année 2025 sera dédiée à Dieu le 16 février prochain, c’est ce qu’a annoncé le Représentant légal et visionnaire de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) le mercredi 1 janvier 2025 après la célébration de la traversée de l’année 2024 à 2025 organisée à l’esplanade de la place Echangeur dans la commune de Limete.

Le Pasteur François Mutombo qui va personnellement présider ce grand programme a précisé que ce service va couvrir une étape de 30 jours de sacrifice de jeûne et prière intense qui va débuter le 11 janvier et va se clôturer le 16 février 2025. A cet effet, les deux jours de la fin, soit du 15 au 16 février, un grand service sera organisé pendant les 2 derniers jours en dehors du siège national de cette communauté à un endroit qui sera communiqué dans les prochains jours par le numéro 1 de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme.

Selon l’homme de Dieu, cette étape consacrée aux prières intenses pour sauver des vies va permettre à chaque enfant de Dieu de prendre suffisamment du temps pour implorer la faveur et l’accompagnement de l’Eternel durant cette année, car on peut entrer dans une nouvelle année sans la posséder. Raison pour laquelle il faut bénéficier de la de la faveur de Dieu, pense François Mutombo Voici l’homme.

Cette série de prière qui sera concomitamment organisée dans toutes les églises de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) à travers le monde, va permettre à tout enfant de Dieu de prier pour implorer l’accompagnement de Dieu dans la réalisation de ses projets.

A cette occasion, l’homme de Dieu a invité les fidèles de partout où ils se trouvent de participer activement à ce programme spirituel qui consiste à bénir et remettre l’année 2025 entre les mains du Seigneur pour vivre sa bénédiction et neutraliser toutes les forces négatives qui se sont toujours levées pour contrer la bénédiction de quelques-uns parmi son peuple et amener l’échec dans le projet et entreprises d’un bon nombre de familles.




2024 : L’Inspection Générale des Finances (IGF) se distingue comme un pilier de la transparence en RDC

En 2024, l’Inspection Générale des Finances (IGF) s’est affirmée comme un outil de fierté nationale, renforçant la lutte contre les mauvais gestionnaires et les pratiques douteuses dans la gestion des finances publiques. Baptisée « l’année du renforcement de la lutte contre les antivaleurs dans la gestion publique », cette période a vu Jules Alingete Key, inspecteur général des finances-chef de service, assurer que la patrouille financière demeure le mode par excellence du contrôle des finances publiques, visant à positionner la République Démocratique du Congo parmi les grandes nations en matière de gestion publique.

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Pour comprendre l’ampleur de l’apport de l’IGF en 2024, il est pertinent de revenir sur le discours d’investiture du président Félix Tshisekedi le 20 janvier 2024. Il y mentionne la renégociation du contrat Sicomines, conduite par l’IGF, qui a rapporté jusqu’à 7 milliards de dollars américains à la RDC, somme investie dans les infrastructures pour désenclaver les provinces congolaises. Plus de 600 millions USD ont déjà été décaissés par la partie chinoise grâce à cette revisitation, permettant de lancer plusieurs travaux, notamment la rocade de Kinshasa, la construction de la route Kananga – Kalamba-Mbuji, la route Bukavu – Kamanyola, la route Mbuji-Mayi – Mwenze Ditu jusqu’au Lualaba, et bien d’autres.

En février 2024, comme annoncé par Jules Alingete, l’IGF a intensifié ses missions de contrôle. Une descente au Ministère de l’EPST, dans le cadre d’un dossier lié à la Dinacope ex-Secope, a ouvert une affaire qui a scandalisé l’opinion publique. Une vidéo virale montre l’ex-ministre Tony Mwaba tentant de bloquer la mission des inspecteurs de l’IGF, qui seront ensuite séquestrés et conduits manu militari devant la justice alors qu’ils exerçaient simplement leur travail. Ils seront rapidement relâchés, et cette affaire contribuera à l’éviction de Tony Mwaba du gouvernement, selon plusieurs sources crédibles. Cette affaire a mis en lumière la crainte désormais inspirée par les inspecteurs de l’IGF chez les ennemis de la bonne gestion.

Deux autres affaires scandaleuses ont secoué le secteur des finances publiques en RDC. L’IGF a révélé le décaissement de centaines de millions de dollars par l’État congolais pour l’érection de 1000 forages et leurs stations de traitement d’eau à travers la République, ainsi que pour l’installation de lampadaires le long de certaines artères de Kinshasa. Ces projets n’ayant pas abouti, l’IGF a mis en lumière les détournements impliquant l’ex-ministre des Finances Nicolas Kazadi, l’ancien ministre du Développement rural François Rubota et l’opérateur économique Mike Kasenga. La justice s’est saisie de la question après un tollé médiatique. Rubota et Kasenga ont été interpellés et attendent le verdict final. Mike Kasenga risque jusqu’à 20 ans de prison pour détournement des deniers publics, tandis que François Rubota pourrait écoper de 5 ans pour complicité. L’opinion publique reste perplexe quant à la disculpation de Nicolas Kazadi par la justice.

Mi-2024, l’IGF a constaté que certaines entreprises et établissements publics avaient maîtrisé les règles prudentielles de gestion et implanté la bonne gouvernance. En conséquence, l’IGF a décidé de retirer ses missions d’encadrement, tout en gardant un œil attentif sur les dépenses à haut risque.

En octobre, en présence du président Félix Tshisekedi, un nouveau bâtiment administratif de l’IGF a été inauguré. Baptisé « Immeuble Étienne Tshisekedi Wa Mulumba », cet édifice de 8 niveaux comprend plus de 150 bureaux personnels meublés, 6 salles de réunion, un amphithéâtre de plus de 250 places assises, des parkings aériens et plusieurs autres compartiments utilitaires.

Au cours du même mois, grâce à l’IGF, la RDC a été récompensée au niveau continental pour ses efforts dans la lutte contre la corruption, en se hissant à la direction du Forum des institutions étatiques africaines de lutte contre la corruption (FIGE). Le pays a été désigné pour occuper le poste de vice-présidence du FIGE, aux côtés de l’Angola qui assurera la présidence de cette organisation.

Malheureusement, l’IGF a été frappée par une douloureuse perte un mois plus tard. L’inspecteur général des finances-chef de service adjoint, Victor Batubenga, est décédé en Belgique des suites d’une longue maladie. De grandes funérailles ont été organisées à Kinshasa, et il a été élevé à titre posthume au rang de Commandeur dans l’ordre national des héros nationaux Kabila-Lumumba.

Toutefois, l’année 2024 s’est clôturée en beauté. Les efforts de Jules Alingete Key ont été reconnus par deux prestigieuses récompenses : le Prix d’excellence du Trophée Tombwama pour son efficacité dans la lutte contre la corruption, et la distinction de Personnalité de l’année du Sondage Les Points.

L’année 2024 a également été marquée par plusieurs séances de sensibilisation des différentes couches de la société sur les méfaits de la corruption et l’utilité de la lutte contre les antivaleurs dans la gestion des finances publiques.

Par Didier Mbongomingi




Dossier pertes et manques à gagner : comment la méthode Mukoko dérange les prédateurs

A son arrivée au ministère de l’Economie nationale, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, Daniel Mukoko Samba, a effectivement trouvé une feuille de route mise en place sur recommandation des experts du Fonds Monétaire Internationale et dont l’objectif était d’assainir l’aval pétrolier de la RDC. Sans doute, il y a eu des actions amorcées bien avant, on n’en disconvient pas mais la feuille de route avait plusieurs objectifs.

Sur le plan d’approche, il faut reconnaître que les objectifs de cet assainissement sont restés les mêmes. Mais la démarche à suivre, la stratégie pour atteindre ces objectifs et résultats à impactes visibles diffèrent. A titre d’exemple, si on vise une baisse des prix des produits pétroliers, un responsable politique peut travailler pour obtenir une baisse de 2 à 3%. Il dira qu’il baisse les prix. Et pourtant, dans le cas présent, le Professeur Mukoko a utilisé des stratégies particulières et d’une approche différente pour obtenir une baisse substantielle de 12 à 13%, impactant significativement le pouvoir d’achat de la population. C’est là où réside la différence dans les méthodes de travail et des résultats obtenus entre lui et ses prédécesseurs.

Même s’il n’en parle pas trop, il faut être honnête de reconnaître que sous son leadership ; le secteur pétrolier a véritablement bénéficié d’une leçon managériale. La quasi-totalité des sociétés pétrolières ont senti la différence dans la gestion de ce secteur par le Ministère de l’Economie nationale, en ce compris la gestion des pertes et manques à gagner, la gestion des prix des produits pétroliers et la gestion de toutes les questions liées au suivi de l’approvisionnement du pays en produits pétroliers et sa distribution sur toute l’étendue de la République.

Pour ne parler que de ce dernier cas, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie nationale, a suivi depuis la publication de la structure des prix des produits pétroliers, toutes les actions de distribution des produits pétroliers dans le pays, allant jusqu’à suivre des près la livraison, etc. Ce qui lui a permis d’allouer, de manière spéciale, une prime d’encouragement et de performance aux agents chargés de la distribution des produits pétroliers à SEP Congo.

S’agissant de la problématique de la baisse des prix des produits pétroliers à la pompe, même si l’environnement internationale était favorable, la décision de baisser les prix procède d’une démarche managériale et des stratégies adéquates qui ont permis d’obtenir des résultats qui ont attiré l’attention de toute la population.

En effet, l’assainissement de l’Arrêté interministériel constitutif du socle du différentiel de transport a été passé au peigne fin de manière à élaguer les rubriques superflues, la rémunération exagérée qui a été revue à la baisse sur certaines rubriques. Ces négociations faites avec le concours des experts de différents ministères du Gouvernement est un résultat qui devrait faire la fierté de l’expertise congolaise. Bien plus, l’enjeu de cette démarche devrait se jouer au niveau du Ministère de l’Economie Nationale placé sous la direction du Professeur Daniel Mukoko Samba. Effectivement, l’enjeu était de taille ; les pressions réelles, les repères historiques sont bien connus dans le secteur.

Les pratiques honteuses n’ont pas manqué à faire surface. Mais heureusement pour le pays, Daniel Mukoko Samba, déterminé par les directives du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, qui lui a instruit en personne pour obtenir la baisse des prix des produits pétroliers afin d’améliorer le pouvoir d’achat de la population. L’apport de Daniel Mukoko Samba doit être lu et regardé par rapport à sa démarche et sa passion pour les résutlats.

Cet Economiste de carrure internationale a recouru aux pratiques courantes de la gestion moderne, en adoptant la méthode de la gestion orientée vers les résultats. C’est donc ces résultats qui comptent à ses yeux Et c’est les prix des produits pétroliers à la pompe, oui mais pour Daniel Mukoko Samba, et suivant les directives de la Haute Hiérarchie, de Félix-Antoine Tshisekedi et de la Cheffe du Gouvernement, Judith Suminwa Tuluka, ces 13% de baisse ont impacté significativement l’ensemble des secteurs économiques du pays.

En ce qui concerne les pertes et les manques à gagner, à son arrivée au Ministère de l’Economie Nationale, il trouve des arriérés des pertes et manques à gagner certifiés à fin 2023 à hauteur de 287 millions de dollars américains environ. A ce chiffre ; il faut rappeler qu’au mois de février 2024, un premier tirage avec les banques commerciales avait permis d’apurer 123.500.000 USD. Ce qui amènerait une enveloppe d’au moins 410 millions des pertes et manques à gagner sur le dos des contribuables congolais.

Il faut rappeler que parmi les indicateurs suivis par la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire international dans le domaine économique du pays, c’est la question relative aux pertes et manques à gagner des sociétés pétrolières, c’est-à-dire son volume, sa gestion responsable par l’Etat était des priorités. Devant cette situation, et prenant en charge ses responsabilités lui confiés par le Chef de l’Etat, il était tout à fait évident que la problématique des prix des produits pétroliers à la pompe ainsi que la gestion rationnelle des pertes et manques à gagner que constituent le fondement de sa démarche technique en qualité d’Expert et Professeur d’Economie.

Sa stratégie interne commencera au niveau de la gestion des ressources de stock de sécurité 2 où la maximisation progressive du potentiel fixé a permis aux différents acteurs concernés par ce dossier de sentir, pour une fois, la présence d’un gestionnaire, un bon gestionnaire.

Une équipe Task Force est mise en place. La DGDA est, non seulement impliquée, mais suivie. Les banques commerciales mobilisées tous derrière le schéma de recherche et d’obtention des résultats. Ce sont ces résultats qui font bouger les lignes qui permettent d’atteindre des pointes historiques constituant l’attrait des banques. Pour une première fois, dans la petite histoire de ce secteur, les banques accourent pour apporter l’argent. Elles sont prêtes à donner plus que ce que demande le ministère.

Grâce à cette stratégie, le professeur Daniel Mukoko Samba a dû atténuer les pressions subies par la Trésorerie des société pétrolières, épongeant ainsi, de manière progressive, le lourd fardeau des pertes et manques à gagner qu’il a trouvé à hauteur de 287millions USD pour se situer seulement à 214 millions USD, montant qui a fait l’objet du 2ème tirage bancaire. Cela signifie en clair qu’environ 73 millions USD ont été remboursés grâce à une stratégie particulière qu’il a mise en place. Les derniers axes de son intervention résident au niveau de la maitrise et de la stabilité des pertes et manques à gagner des sociétés pétrolières.

Alors qu’en moyenne, il a constaté qu’environ 340 millions USD étaient considérés montant attendu par les pertes et manques à gagner, les travaux de certification de pertes et manques à gagner au 1er semestre 2024, organisés et coordonnés par le VPM Mukoko Samba, ont permis au pays de réaliser un niveau des pertes et manques à gagner après croisement de l’ordre de 16 millions de dollars. Il s’agit ici, une fois de plus, d’un résultat à impact véritablement visible qui a fait des économies au pays, pour le Trésor public et permet à l’Etat de gérer, de manière responsable des pertes et manques à gagner.

En conclusion, la différence entre le Vice-Premier Ministre, Daniel Mukoko Samba et ses prédécesseurs, c’est probablement au niveau d’approche technique. Car, il est évident que pour lui, la gestion axée sur les résultats, un système managérial renforcé par un système de suivi et d’évaluation efficace permet, à coups sûrs, d’obtenir des résultats concrets qui d’atteignent les objectifs fixés et surtout de les atteindre avec efficience.

C’est à ce niveau que la démarcation avec ce professeur qui a fait bouger les lignes et qui faire respecter l’Etat dans le pétrolier du pays.




Classe politique congolaise: Samuel MBEMBA KABUYA se distingue par son courage et son intégrité morale

Samuel Mbemba Kabuya est l’une des figures politiques congolaises qui ont marqué l’année 2024. Son intégrité morale et son courage à toute épreuve n’ont pas manqué de lui attirer l’admiration des Congolais et susciter de l’adversité de la part des médiocres qui n’ont que leurs langues de vipère comme argument.

Parmi les faits saillants ayant marqué l’année 2024, la traque du criminel Président rwandais, le tristement célèbre Paul Kagame, a été l’une des actualités qui ont retenu l’attention de l’opinion congolaise, africaine et internationale. Jusque-là, l’homme passait pour un intouchable en dépit des multiples crimes et ignominies qu’il a commis ou télécommandé personnellement en République démocratique du Congo. Cette impunité apparente, due surtout à l’inertie des Congolais, est aujourd’hui menacée de voler en éclats. Les poursuites engagées auprès des instances judiciaires internationales contre le vampire des mille collines qui hante la région des Grands Lacs africains, particulièrement l’Est de la RDC durant plusieurs décennies témoignent de la détermination du peuple congolais à obtenir que justice soit faite.

La nation congolaise dans son ensemble a applaudi avec chaleur l’initiative prise par le Vice-Ministre de la Justice en charge des Contentieux qui, sur instruction du Chef de l’Etat, a déposé une plainte au nom de la RDC auprès de la Cour Africaine des droits de l’homme et du peuple d’Arusha en Tanzanie pour violation des droits de la population par le Rwanda en RDC, particulièrement à l’Est du pays. Il a insisté auprès du greffe pour que le dossier ne soit pas classé dans les oubliettes. Il avait aussi exigé pour que l’audience soit publique.

C’est pour la toute première fois que pareille initiative d’une volonté clairement exprimée sur la clarification de la violation des droits de peuple par le Rwanda depuis trois décennies jour pour jour depuis que la horde de Kagame écume l’Est de la RDC semant la mort, les viols, les atrocités en tous genres et la désolation sur son passage. Un geste de courage qui a valu à Samuel Mbemba beaucoup d’admirations et d’éloges de la part de ses compatriotes. Tous ont exprimé leur gratitude et la profonde reconnaissance à l’endroit du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi qui a porté son dévolu sur sa personne pour occuper sa fonction actuelle. Pendant que le peuple se félicite et se réjouit du travail abattu par le Vice-Ministre de la Justice, ses ennemis animés de jalousie, manipulés par les fossoyeurs de la RDC, n’attendaient que ce moment pour tirer à boulet rouge sur celui qui s’est mis à la traque de Paul Kagame. C’était le moment choisi par eux pour monter des affaires rocambolesques et sans fondement pour tenter de saboter sa démarche et salir son image avec des dossiers montés de toutes pièces. L’homme choisi pour mener cette entreprise macabre n’est autre que Merdi Mazengo. Ce dernier a, durant une semaine, mené un véritable lynchage médiatique sur les réseaux sociaux diffamant le Vice-Ministre d’avoir remplacé sa fille qui siège à l’Assemblée Nationale par celui que Merdi présente comme le vrai premier suppléant de Samuel Mbemba, le faux député Israël Bondo. L’homme affirme sans rire ni humour que Samuel Mbemba fait pression sur le parquet pour la libération d’Israël Bondo qui purge sa peine pour infraction de viol dont il a été l’auteur. Des affirmations gratuites et sans fondement aucun, et assimilables l’imputation dommageable. Le cabinet de maître Samuel Mbemba a déjà saisi la justice pour que Merdi apporte les preuves de ses affirmations.

De son côté, le peuple congolais encourage et soutient le Vice-Ministre de la Justice qui est à l’œuvre pour la concrétisation de la vision du Chef de l’Etat dans son volet consistant à rendre justice aux Congolais pour tous les préjudices qu’ils ont subi durant trente ans suite à l’agression rwandaise.

 

Le Libre Débat




Paie complémentaire : Doudou Fwamba rassure le SYNAMED pour un paiement échelonné 

Le Ministre des Finances, M. Doudou Fwamba Likunde Li-botayi, a présidé ce lundi 30 décembre 2024, une importante réunion avec la coordination des syndicats du secteur de la santé. Aux côtés du Ministre de la Santé et du Vice-Ministre du Budget, cette rencontre visait à examiner les revendications des professionnels de santé et à identifier des solutions concrètes.

Lors de cette réunion, plusieurs points ont été abordés : la problématique de la paie complémentaire, les actes administratifs, et la commission sur le cahier des charges.

Au nom du Gouvernement Congolais, le Ministre des Finances a informé la délégation syndicale que les OPI relatifs à la paie complémentaire avaient déjà été signés depuis jeudi dernier. Il a précisé que les paiements s’effectueront de manière échelonnée. Concernant les revendications liées aux actes administratifs, le Ministre a rassuré les syndicats que ces questions seront traitées par le Vice-Premier Ministre en charge de la Fonction publique et le Ministre de la Santé.

À l’issue de la réunion, le Secrétaire Général National du SYNAMED, Dr. John Senga Lwamba, a partagé son optimisme devant la presse :

“La coordination des syndicats du secteur de la santé vient d’être reçue par Leurs Excellences, le Ministre des Finances, le Ministre de la Santé publique, et le Vice-Ministre du Budget. Nous avons abordé les principaux problèmes du secteur. Toutes les catégories attendent la paie complémentaire. Nous avons reçu des assurances que le décaissement débutera aujourd’hui et sera progressif. La Banque centrale se chargera de transférer les fonds aux différentes banques, tant à Kinshasa que dans les provinces.”

Le Ministre des Finances a encouragé la délégation syndicale à maintenir un dialogue permanent et à privilégier des canaux de communication fiables pour éviter toute désinformation. Il a également rappelé le contexte d’agression que traverse le pays, soulignant l’importance de préserver la paix sociale et de respecter le serment professionnel pour sauver des vies.

Cette séance de travail avait pour objectif de trouver des solutions durables afin d’éviter la grève projetée par le personnel du secteur de la santé sur l’ensemble du territoire national.