Dispositions pratiques pour la rentrée scolaire 2023-2024 : Tony Mwaba met d’accord l’Association Nationale des Ecoles Privées et agréées 

Le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a reçu dans son Cabinet de travail, la délégation de l’Association Nationale des Ecoles Privées et agréées (ASSONEPA), conduite par son Président, M. Jean-Didier Masamba Malunga et son Secrétaire général, M. Serge Muambay, ce lundi 07 août 2023.

Motif, approcher l’autorité sur leurs inquiétudes relatives aux dispositions pratiques à prendre pour la rentrée scolaire 2023-2024, contenues dans sa lettre n°MINEPST/CABMIN/930/2023 du 04 août 2023, sujettes à des interprétations diverses dans le chef de quelques promoteurs des écoles privées et agréées. C’est pour cette raison que la délégation de l’ASSONEPA a rencontré le Ministre en présence de Mme le Secrétaire général à l’EPST, Christine NEPA NEPA.

A la sortie de cette brève audience, Mme Christine Nepa Nepa a déclaré à la presse : ‘’Nous avons été avec le Ministre autour des dispositions pratiques prises par lui pour une rentrée scolaire 2023-2024 apaisée. Ces dispositions pratiques ont été mal interprétées. Le Comité de l’ASSONEPA a jugé bon de venir rencontrer le Ministre’’, a-t-elle indiqué, avant de faire observer : ’’Il est ici question de comprendre bien les choses, parce que toutes les dispositions (prises par le Ministre) sont légales. Après de longues discussions, des éclaircissements ont été apportés aux écoles privées et agréées. Très bientôt, il y aura une réunion avec tous les promoteurs des écoles privées agréées et les choses seront tirées au clair’’, a-t-elle annoncé.

La patronne de l’administration de l’EPST a donné la vraie raison de ces mesures prises par le Ministre, le professeur Tony Mwaba Kazadi : ‘’Le plus grand problème est que le Gouvernement ne voudrait pas que les écoles privées constituent des lieux marchands et qui bloquent l’accès des élèves à l’école’’, a-t-elle martelé.

A son tour, le Président de l’ASSONEPA, M. Jean-Didier Masamba Malunga a indiqué : ‘’Nous avons reçu les dispositions pratiques prises par le Ministre qui ont suscité quelques incompréhensions de notre part. Nous avons approché l’autorité. Nous avons échangé autour de ces dispositions. Nous avons examiné ces mesures du point de vue légal. Par rapport à la légalité, nous avons compris que ces dispositions qui sont prises, c’est en conformité avec les différentes lois qui nous régissent. Et nous avons également compris le souci du Ministre qui était tout simplement de ne pas transformer les lieux d’apprentissage, les lieux d’écoles, en lieux de commerce. Et nous avons échangé là-dessus.

Pas de raison de ne pas payer les enseignants

Nous avons hautement apprécié la compréhension du Ministre par rapport à nos difficultés, notamment par rapport au paiement des acomptes sur les frais de scolarité. En fait, le Ministre a expliqué que le parent qui voudrait s’acquitter des frais scolaires avant la rentrée scolaire, on ne peut pas l’en empêcher. Mais par contre, en faire une exigence pendant cette période des vacances est interdit. Nous avons répondu que les parents qui ne sont pas disposés à payer ces acomptes généralement à la rentrée scolaire également, nous sommes arrivés à la conclusion que c’était juste un problème de compréhension. Que il y a des mesures à prendre de notre côté, de devoir encadrer nos membres de manière à ce qu’on reflète la bonne image des écoles privées agréées. Que ce ne soit pas, comme une certaine opinion tente à le dire, que ce ne soit pas un lieu juste de commerce. Non, nous ne sommes pas des commerçants, nous sommes des enseignants. Il faut le démontrer sur terrain », a-t-il conclu.

Il sied de noter que la loi ne refuse pas les activités d’autofinancement dans les écoles privées. Toutefois, cet exercice est soumis à une condition fixée par la Loi-cadre sur l’Education qui fixe en son article 172 :’’Les établissements, les cendres publics et privés agréés d’enseignement national peuvent créer et développer des activités d’autofinancement. Ces activités sont déterminées par voie réglementaire’’.

Et aucun promoteur ne peut justifier son refus de payer les enseignants par la non-perception des acomptes avant la rentrée scolaire. Voilà pourquoi la Loi-cadre exige qu’avant de créer une école privée et agréée, le Promoteur d’une école privée et agréée doit présenter les garanties financières et matérielles telles que fixées en son article 50 : “Par garanties financières et matérielles, il faut entendre : l’existence des infrastructures viables ainsi que des matériels didactiques propres et appropriés ; le dépôt à terme de 6 mois dans une institution bancaire ou financière de la RDC de la somme nécessaire au fonctionnement de l’établissement d’enseignement ainsi qu’à la paie du personnel enseignant et administratif pendant une année au moins ; la détention du titre de propriété du site et des bâtiments destinés à accueillir l’établissement d’enseignement ou le cas échéant, d’un contrat de bail d’immeuble dûment légalisé d’une durée minimum de 6 ans ; l’attestation indiquant la superficie du site conforme à la norme de 5 m2 au moins par élève ou étudiant’’.




Le 21 novembre prochain : La BAD organise la conférence sur les politiques foncières en Afrique 2023

La Banque africaine de développement (BAD) organise une Conférence sur les politiques foncières en Afrique(le lien est externe) tous les deux ans à travers le Centre africain sur les politiques foncières, qui est une initiative conjointe de la Commission de l’Union africaine, de la Commission économique pour l’Afrique et de la Banque africaine de développement.
L’objectif de cet événement qui aura lieu le 21 novembre 2023 est de renforcer les moyens d’action en matière de politique foncière en Afrique, en améliorant l’accès aux connaissances et aux informations sur l’élaboration et la mise en œuvre de la politique foncière. En particulier, la Conférence sur les politiques foncières se veut un cadre permettant de présenter les résultats de la recherche et d’attirer l’attention d’un large éventail de parties prenantes sur les questions et l’état du développement, de la mise en œuvre et du suivi de la politique foncière en Afrique.
Selon le site internet de la BAD, elle offre également une occasion unique de présenter des pratiques émergentes et prometteuses et de faciliter la mise en réseau. Parmi les participants à la Conférence figurent des chercheurs, des universitaires, des représentants de gouvernements (y compris des parlementaires), des organisations de femmes et de jeunes, des autorités coutumières, des agriculteurs, des représentants de la société civile, du secteur privé, des spécialistes des questions foncières et des partenaires au développement.
Signalons que la première édition de la Conférence sur les politiques foncières s’est tenue en novembre 2014 sous le thème : « Les politiques foncières en Afrique au cours de la prochaine décennie : assurer le développement agricole et la croissance inclusive.» Une deuxième édition de la Conférence s’est tenue en novembre 2017 autour des questions de la jeunesse, de la terre et de l’emploi. Une troisième édition a eu lieu en 2019 qui était consacrée aux voies et moyens de gagner le combat contre la corruption dans le secteur foncier.
À la suite de la pandémie de COVID-19, la quatrième édition de la Conférence, qui s’est tenue du 2 au 4 novembre 2021, a été hybride, la composante physique s’étant déroulée à Kigali, au Rwanda. Elle avait pour thème : « La gouvernance foncière pour la sauvegarde de l’art, de la culture et du patrimoine vers l’Afrique que nous voulons ».




Candidat à la présidentielle: Matata Ponyo livre son projet de société    

C’est à Kindu, dans sa circonscription électorale que le candidat déclaré à la présidentielle de 2023 a livré son offre politique. Augustin Matata Ponyo Mapon a, au cours d’une conférence de presse animée dans la salle de conférence de l’université Mapon livré son projet de société. Ce dernier intitulé: « Renouer avec notre destin de grandeur! ».

Le programme du candidat président Matata Ponyo Mapon est axé sur 4 priorités stratégiques pour un projet réaliste et ambitieux, a-t-il fait savoir.

Dans le préambule, l’ancien Premier Ministre au-delà de son ambition et le contrat social qu’il propose, il s’est posé la question de savoir d’où vient la République Démocratique du Congo pour une brève leçon de deux dernières décennies et son serment pour la revivification de la conscience patriotique.

D’où venons-nous? Sur cette question, il sied de rappeler que c’est fondamentalement à la faveur du programme d’action du Gouvernement 2012-2016, sous le Premier Ministre Matata Ponyo Mapon, que la République Démocratique du Congo a mis en œuvre une série de réformes courageuses visant à stabiliser l’économie, à améliorer la gouvernance et à attirer les investissements.

En toile de fond dudit programme, la stratégie du Gouvernement s’était concentrée sur la stabilité du taux de change et des prix intérieurs, l’amélioration du climat des affaires, la diversification économique, la gestion orthodoxe des finances publiques par l’amélioration des capacités de collecte des ressources internes, de la chaîne de la recette, de la qualité de la dépense, notamment grâce à la prise en charge par une chaîne budgétaire renforcée. Pour ce qui est de la croissance économique, elle a atteint 9,5% en 2014, faisant de la République Démocratique du Congo l’une des trois économies à la croissance la plus rapide au monde au terme de cette année.

Il s’est de souligner que les réformes menées ont permis d’obtenir en 2010 l’allègement de la dette du Congo, dans le cadre de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés. La bancarisation de la paie des agents et fonctionnaires de l’Etat a été consolidée et cette paie a été d’une régularité sans faille. Le délai de la création d’entreprises a été réduit de 45jours à 3 jours. D’autres réformes structurelles majeures ont conduit notamment à la création de l’école nationale d’administration (ENA), l’autorité de régulation et contrôle des assurances (ARCA) et le fonds de pensions en faveur des retraités de l’administration publique, la CNSSAP.

Sur le volet infrastructures et transports, de nombreux chantiers ont été ouverts et plusieurs réalisations peuvent être dénombrées a dit l’ancien Premier Ministre notamment la construction et réhabilitation des routes, immeuble du gouvernement; cité administrative à la place royale; Transco, Congo Airways, bus dits esprits de vie devenus malheureusement esprits de mort, aérogare modulaire de N’djili, construction de plus de 700 écoles, etc.

Malheureusement, l’’efficacité de ces réformes a été entravée par des tensions politiques croissantes autour des élections reportées de 2016. Cette situation et l’incertitude politique qui en a résulté ont créé un climat hostile et un contexte institutionnel incompatible avec la poursuite des efforts de stabilisation macro-économique et des réformes structurelles.

Pour Matata Ponyo, les négociations politiques prolongées et souvent conflictuelles ont contribué à la détérioration de la situation économique et ont eu un impact négatif sur les acquis de la période 2012-2016. Ceci dit, l’expérience de cette décennie a permis de mettre en évidence l’importance de la stabilité politique et institutionnelle pour le succès des réformes économiques.

Mais que propose-t-il ?

S’agissant de son ambition et le contrat social qu’il propose celui de briguer la présidence de la République, est ancrée dans une conviction profonde, celle d’éveiller dans ses concitoyens un sentiment de confiance renouvelée en leur potentiel, en la force du Congo et leur capacité collective à transformer nos défis en opportunités, comme l’ont si bien réussi les pères de notre indépendance. C’est alors, que le candidat Matata Ponyo Mapon compte œuvrer de manière acharnée à la concrétisation de son projet pour l’avènement d’un Congo fort, en prenant des engagements clairs envers les congolais, sur des priorités stratégiques à savoir la défense nationale, la paix et la sécurité intérieure qui constituent une urgence absolue pour Matata Ponyo, une fois élu Président de la République Démocratique du Congo.

Il en va de même de se focaliser sur un vaste projet national d’infrastructures socio-économiques, afin notamment d’accroître la capacité publique installée, est au cœur des priorités; la nécessité de reconstruire le tissu industriel, de remettre l’économie congolaise en ordre de bataille et de recréer de l’emploi industriel s’impose comme une dimension clé dans l’avènement d’un Congo fort, prospère et respectable en plus de la réforme de l’administration publique, la protection sociale, la reconstruction de l’Etat et la rationalisation du fonctionnement des institutions pour le bien des congolais mais aussi pour l’unité et la cohésion nationale seront mises en œuvre de manière ferme et résolue dès le début de son mandat, a-t-il fait savoir.

Dans son action à faire du rêve congolais une réalité, Matata Ponyo croit en un Congo fort où chaque citoyen à la liberté et les moyens d’œuvrer à sa propre réussite et à celle de la Nation.

Cependant, sa vision est de faire sortir la République Démocratique du Congo de la catégorie des pays les plus pauvres du monde d’ici à 5 ans, et l’élever au rang des économies à revenu intermédiaire.

Pour lui, c’est un objectif audacieux, ambitieux mais qui est réalisable avec un leadership éclairé, un engagement ferme, une stratégie bien définie, des objectifs et actions spécifiques et mesurables et un suivi-évaluation efficace.

Cette réussite repose sur un certain nombre des valeurs à savoir, la rigueur, la discipline, l’excellence, l’ambition, l’engagement, la transparence et la dignité qui constituent le noyau insécable de l’excellence et du progrès de toute nation.

Pour sa réussite quinquennale, ce programme ambitieux et audacieux a besoin d’une enveloppe conséquente. Le candidat à la présidentielle de décembre 2023 a fait une projection d’un budget total pendant le cinq premières années d’un montant de 90,9 milliards de dollars, donc un budget annuel de 18,2 milliards de dollars dont le financement du développement nécessitera une gestion budgétaire rigoureuse et une lutte intransigeante contre la corruption pour garantir que chaque franc congolais du Trésor public soit efficacement utilisé au profit de l’intérêt général.

Sous le leadership de l’ancien chef de l’Etat, Matata Ponyo avec un budget annuel 3 fois moins que celui de son programme, un miracle avec été opéré entre 2012-2016, le Congo a fait parler de lui, de sa performance économique.

Bref, l’on ne peut pas parler d’une économie forte sans industrie. Pourtant 63 ans après l’indépendance, la République Démocratique du Congo a été désindustrialisée, d’où, son programme vise l’industrialisation dans ce secteur, la lutte contre le chômage tout en mettant l’accent sur le capital humain, car ce sont les congolais qui sont au cœur de son projet.

En conclusion, le programme de Matata Ponyo est la réponse à l’appel des Congolais pour une transformation profonde du Congo. Ce programme reflète sa détermination à construire un avenir de prospérité et de justice pour tous. Cette dernière élève une nation, a-t-il souligné.

Et donc, avec une stratégie claire, une volonté sans faille et le soutien de l’ensemble du peuple, Matata Ponyo Mapon est convaincu qu’il est possible de faire de la RDC une nation fière, digne, dynamique et résiliente.

Depuis Kindu, au Maniema

Pius Romain Rolland




L’Agence Bayt Mal Al-Qods et le Gouvernorat d’Al-Qods signent une convention pour soutenir les familles maqdessies

L’Agence Bayt Mal Al-Qods Charif et le Gouvernorat d’Al-Qods ont signé, mercredi, une convention de coopération pour soutenir et autonomiser les familles maqdessies dans le cadre de petits projets productifs.

Selon notre source, la convention, qui a été paraphée par le coordinateur des programmes et projets de l’Agence à Al-Qods, Ismail Ramli, et le vice-gouverneur d’Al Qods, Abdellah Sayyam, vise à autonomiser et à soutenir les familles de la ville sainte dans le cadre de soutien de petits projets productifs et de l’autonomisation des femmes dans le Gouvernorat en particulier dans les banlieues qui vivent dans des conditions économiques difficiles.
Cette convention s’inscrit dans le cadre des actions de l’Agence Bayt Mal Al-Qods Charif et de la poursuite de ses missions sur le terrain sous la Supervision personnelle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Le coût de la première phase des projets de soutien s’élève à 60.000 dollars.
Dans une allocution à cette occasion, le directeur chargé de la gestion de l’Agence, Mohamed Salem Cherkaoui a affirmé que l’agence remplit ses engagements, conformément aux Hautes Directives de SM le Roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods, à travers la diversification des projets de développement humain et le soutien des familles maqdessies dans toutes les régions de la ville, en coordination et en partenariat avec les institutions palestiniennes compétentes, à la tête desquelles le Gouvernorat d’Al-Qods.
Il a souligné que le travail effectué par le Gouvernorat d’Al-Qods dans des conditions difficiles, parfois, au service des habitants de la ville mérite l’appui de toutes les institutions de soutien, sur la base d’un modèle qui prend en compte les besoins réels des catégories nécessiteuses.
M. Cherkaoui a précisé que des modèles réussis de partenariat et de coopération entre l’Agence Bayt Mal Al-Qods et les institutions palestiniennes à Al-Qods qui méritent l’attention, en raison de la volonté de ces institutions de respecter les conditions et les normes de passation des marchés approuvées par l’Agence, qui tiennent compte de la particularité de la ville et des conditions de travail.
Pour sa part, indique la même source, le vice-gouverneur d’Al-Qods a loué les efforts déployés par l’Agence au service des institutions de la ville, conformément aux Directives de SM le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods.
Il a, à cet égard, apprécié la méthode de travail de l’agence qui répond aux besoins des Maqdessis et œuvre à renforcer leur résilience dans la ville, notant que cette convention ouvre la voie à un ensemble de prochaines étapes dans le cadre d’une coopération permanente et continue avec l’agence.




Kinshasa : Les parents devraient occuper leurs élèves pendant les grandes vacances

C’est depuis près d’un mois que les élèves des écoles primaires et secondaires de toute la République démocratique du Congo sont en vacances. Et dans la ville-province de Kinshasa, la capitale du pays, bon nombre de parents se préoccupent de comment occuper leurs enfants pendant cette période de deux mois de congé. C’est pour relever le défi d’un bon encadrement des enfants pendant ces vacances scolaires, période consacré au repos des élèves après plus de sept mois d’études.
Cependant, dans certaines familles vivant à Kinshasa, certains parents se posent multiples questions. Que faire pour rendre ce moment agréable ? Faut-il laisser les enfants dans le libertinage ? Y a-t-il dans notre pays des colonies des vacances ?
Toutefois, pendant les grandes vacances, les enfants se divertissent de diverses manières. Se livrant au libertinage, certains enfants se plantent toute la journée devant la télévision. D’autres s’amusent dans la rue. Il y en a même qui font des sorties avec leurs camarades, etc.
De cette façon, le rythme scolaire qu’avaient les enfants qui étaient habitués de se lever tôt tous le matin pour aller à l’école, manger à des heures régulières, avoir chaque jours la récréation et autres activités scolaire, est désormais cassé. Donc, les parents doivent cette-fois-là faire attention pour que les grandes vacances scolaires ne diminuent pas le niveau des enfants au quotidien.
En effet, pendant les grandes vacances, les parents doivent continuer à élaborer des programmes journaliers pour les enfants. Il ne faut donc pas les laisser tout faire comme ils veulent durant les congés. Sinon les enfants pourraient se détourner du bon chemin. Du coup la paresse, les promenades inutiles prendront place dans leur vie.
Aussi, de temps en temps, les parents doivent organiser des activités récréatives, par exemple, une idée de sortie. Si le temps ne permet pas pour des sortie, les parents peuvent apprendre à leurs enfants des nouvelles choses, entre autres cuisiner et exécuter d’autres tâches ménagères. Mais aussi leur proposer des activités intellectuelles telles que la lecture. Pour ce faire, les parents peuvent aussi abonner leurs enfants aux bibliothèques.
Il y a également des jeux d’intelligence comme le scrabble, et des sports sains dont le football, le basketball, l’athlétisme, le cyclisme, etc. Toutes ces disciplines pourraient permettre à l’enfant de découvrir ses talents.
Il n’y a donc pas question de laisser les enfants 0devant la télévision pendant toute la journée ou encore les laisser libres sous prétexte qu’ils sont en vacances. « Je suis une mère de cinq enfants. Je n’ai pas les moyens d’organiser les sorties, encore moins le temps pour créer des activités récréatives, car pendant le congé, je travaille dur pour préparer l’année scolaire prochaine. C’est pourquoi j’envoie les trois premiers enfants en congé chez mes frères ou aux frères de mon maris », nous a confié un parent prénommé Judith.
Un autre nommé Patrick Mulopwe nous raconte que « Pendant les vacances, je me débrouille pour organiser des sorties en famille, aller au restaurant, visiter les membres de familles. Aussi, quelques temps, j’apprends à mes enfants à mettre de l’ordre dans leurs chambres et d’arranger leurs vêtements ». Et d’après un enseignant qui a requis l’anonymat, « une fois que les grandes vacances se pointent, l’élève doit se repose au moins une semaine avant de se relancer dans une quelconque activité en gardant toujours les bonnes manières, enfin de ne pas perdre le rythme scolaire ».
Certes, les vacances permettent donc à l’enfant de se reposer. Mais il est toujours conseillé aux parents de veiller sur leurs enfants afin de mieux préparer la prochaine rentrée scolaire.
Ethique Tebasombe/stagiaire




APPEL D’OFFRES

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

MINISTERE DE L’ENTREPRENEURIAT, DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES

 

UNITE DE COORDINATION DU PROJET TRANSFORME/RDC

 

PROJET D’AUTONOMISATION DES FEMMES ENTREPRENEURES ET MISE A NIVEAU DES PME POUR LA TRANSFORMATION ECONOMIQUE ET L’EMPLOI

« TRANSFORME-RDC »

 

AVIS D’APPEL D’OFFRES INTERNATIONAL (AOI)
(Services physiques)

 

Sélection d’une Firme en charge de sensibilisation, communication, identification et enregistrement des femmes entrepreneurs bénéficiaires de la Formation en Initiative Personnel (FIP) dans les villes ciblées par le Projet TRANSFORM/RDC

 

 

N° Avis : ZR-TRANSFORME-333224-NC-RFB

Source de financement : Banque mondiale, Crédit n°7101-ZR & Don E0280-ZR

Date de publication : 26 juillet 2023

Date de clôture :  08 septembre 2023

 

  • Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo a reçu un crédit et un don de la Banque Mondiale pour financer le Projet d’Autonomisation des Femmes Entrepreneures et mise à niveau des PME pour la Transformation économique et l’Emploi « TRANSFORME/RDC », et à l’intention d’utiliser une partie de ce crédit et don pour effectuer des paiements au titre du Marché « Sélection d’une Firme en charge de sensibilisation, communication, identification et enregistrement des femmes entrepreneurs bénéficiaires de la Formation en Initiative Personnel (FIP) dans les villes ciblées par le Projet TRANSFORME/RDC ».

 

  • L’Unité de Coordination du Projet d’Autonomisation des Femmes Entrepreneures et mise à niveau des PME pour la Transformation Economique et l’Emploi (UCP/TRANSFORME/RDC) sollicite des offres fermées de la part de soumissionnaires éligibles et répondant aux qualifications requises pour fournir les services ayant pour objectif : sensibilisation, communication, identification et enregistrement électronique des femmes entrepreneurs bénéficiaires de la Formation en Initiative Personnel (FIP).

 

  • Les services sollicités dans le cadre de cet avis d’appel d’offre international sont répartis en trois (3) LOTS DISTINCTS constituant trois (3) MARCHES DISTINCTS :
  • Lot 1 (Zone Ouest) : villes de Kinshasa et Matadi (cible : 15 000 femmes et durée : 90 jours, dont 45 jours par ville) ;
  • Lot 2 (Zone Centre) : villes de Mbuji-Mayi et Kananga (cible : 15 000 femmes et durée : 90 jours, dont 45 jours par ville) ;
  • Lot 3 (Zone Est) : villes de Goma, Bukavu et Bunia (cible : 20 000 femmes et durée : 120 jours, dont 40 jours par ville).

La cible totale est de 50 000 femmes et les prestations seront réalisées simultanément dans toutes les villes sélectionnées.

  • Les exigences en matière de qualifications sont : (i) Être une Firme (bureau d’études, cabinet d’enquête) ; (ii) Justifier au moins cinq (5) ans d’expérience avérée dans l’administration des enquêtes ; (iii) Disposer d’une plateforme d’enregistrement digital opérationnel de connexion ; (iv) Avoir au moins cinq (5) ans d’expérience en création et gestion des bases de données et de statistiques, avec une bonne connaissance des logiciels tels que : Survey CTO, Survey Solutions, Stata ou Kobotoolbox-collect, etc ; (v) Avoir réalisé au moins deux (2) missions d’enquête et de connexion des bénéficiaires au cours des dix (10) dernières années.

Le personnel clé doit disposer des personnes suivantes : Un directeur des opérations de l’enquête (chef de mission) et Un informaticien programmeur.

  • La procédure sera conduite par mise en concurrence internationale en recourant à un Appel d’Offres (AO) telle que définie dans le « Règlement de la Passation des Marchés pour les Emprunteurs sollicitant le Financement de Projets d’Investissement (FPI), publié par la Banque Mondiale, édition de juillet 2016, révisée en novembre 2017, juillet 2018 et en novembre 2020 »), et ouverte à tous les soumissionnaires de pays éligibles tels que définis dans le Règlement de passation des marchés.

 

  • Les Soumissionnaires intéressés et éligibles peuvent obtenir des informations auprès de l’UCP/ TRANSFORME-RDC, Monsieur le Coordonnateur National, Alexis MANGALA NGONGO, E-mail : transforme@transforme.cd ; cpm@transforme.cd et prendre connaissance des Documents d’Appel d’Offres à l’adresse mentionnée ci-dessous 9h00’ à 16h00’.

 

  • Le Dossier d’Appel d’Offres en langue française peut être acheté par tout Soumissionnaire intéressé en formulant une demande écrite à l’adresse ci-dessous contre un paiement non remboursable de 200 USD (Deux cents dollars américains). La méthode de paiement sera le dépôt direct au compte du Projet TRANSFORME/RDC logé à la RAWBANK, Intitulé du compte : Ministère des Finances v/c TRANSFORME-DAO, numéro du comte : 05100 – 05101 – 00003991006 – 61 (USD). Le Dossier d’Appel d’Offres sera envoyé par voie électronique ou téléchargé à partir d’un site web autorisé du Projet PADMPME « www.padmpme.cd ».

 

  • Les offres devront être remises à l’adresse ci-dessous au plus tard le 08 septembre 2023 à 14h00’ précises (heure locale de Kinshasa, TU+1). La soumission des offres par voie électronique « ne sera pas » autorisée. Toute offre arrivée après l’expiration du délai limite de remise des offres sera rejetée. Les offres seront ouvertes en présence des représentants des soumissionnaires et des personnes présentes à l’adresse numéro ci-dessous.

 

  • Les offres doivent être accompagnées d’une Garantie de l’offre, pour un montant de :
  • Lot 1 (Zone Ouest) « Villes de Kinshasa et Matadi » : 15 000,00 USD ;
  • Lot 2 (Zone Centre) « Villes de Mbuji-Mayi et Kananga » : 15 000,00 USD ; et
  • Lot 3 (Zone Est) « Villes de Goma, Bukavu et Bunia » : 20 000,00 USD.

 

  • Veuillez noter que le Règlement de Passation des Marchés exige que l’Emprunteur divulgue les informations sur les propriétaires effectifs du Soumissionnaire attributaire, dans le cadre de l’Avis de Notification d’Attribution de Marché, en renseignant le Formulaire de divulgation des bénéficiaires effectifs inclus dans le Dossier d’Appel d’Offres ».

 

  • L’(les) adresse(s) auxquelle(s) il est fait référence ci-dessus est (sont) :

À l’attention : Monsieur le Coordonnateur National du Projet TRANSFORME

Unité de Coordination du Projet d’Autonomisation des Femmes Entrepreneures et mise à niveau des PME pour la Transformation Economique et l’Emploi « UCP/ TRANSFORME »

Sise, croisement des avenues Avenue Lemarinel et Kisangani n°9-11, Immeuble SOFIDE (en face du Collège Boboto)

Téléphone (+243) 81 87 24 937

Email : transforme@transforme.cd (avec copie à cpm@transforme.cd).

à Kinshasa/Gombe, en République Démocratique du Congo

 

 

Le Coordonnateur National

 

 




Des planches à la planche, Abigaël Vutu couvre Matadi de crème et des gâteaux

2012, Abigaël Vutu Matoko est âgée de 18 ans lorsqu’elle participe à l’édition provinciale du concours Miss Congo organisé par l’Office national du Tourisme. Elle brûle de son charme les planches du catwalk érigé dans un salon du plus grand palace de Matadi et obtient la première place du concours face à près d’une vingtaine de candidates.

Abigaël n’est pourtant pas familière des événements mondains de la ville portuaire où elle est née. Troisième d’une phratrie de cinq, elle a plutôt reçu une éducation rigoriste des parents très engagés dans la foi évangélique au sein de l’Eglise CHRISCO (Christ et Compagnons) située au quartier Ciné Palace. La rigueur paternelle est telle qu’elle ne peut même pas fréquenter les jeunes de son quartier dans la bouillonnante commune de Mvunzi où la famille est établie. C’est tout juste si elle fredonne, sans le vouloir, se souvient-elle, les mélodies tonitruantes de la rumba congolaise distillée par les baffles des nombreux bistrots des alentours. Ce paternel protecteur, qui élève ses cinq enfants dans une discipline de fer, est tôt emporté par une maladie.

Pour la famille, c’est une tragédie. La fille aînée fréquente la faculté de médecine à l’université, tandis que la jeune Abigaël, troisième dans l’ordre de naissance, finit à peine ses humanités de latin-philo au collège Notre-Dame de la sagesse. La famille est contrainte à une réorganisation des priorités. Les plus jeunes enfants doivent mettre entre parenthèses leur parcours à l’université pour laisser le peu de ressources familiales à leurs aînés. La mère est obligée d’investir les derniers sous des indemnités reçues de l’entreprise de son défunt mari dans une activité génératrice de revenus afin de soutenir la famille. Elle initie une gargote dans le quartier pour nouer les deux bouts du mois. Abigaël l’accompagne souvent et prend ainsi le goût à la cuisine et … aux affaires. Ses ambitions de poursuivre ses études supérieures la pressent également. La patience n’est pas sa qualité première.

Avec le résultat du concours Miss Congo, elle atterrit à Kinshasa, la capitale de la RDC, pour représenter sa province du Bas-Congo d’alors. Elle entre dans les méandres de l’élection de la reine de beauté au niveau national, mais c’est trop compliqué de nager dans les grandes eaux de Kin la belle. La beauté matadienne n’est ni première, ni deuxième ou même troisième du concours national. Elle ne se décourage pourtant pas et met à profit son séjour kinois pour prendre inscription à l’Université catholique du Congo. Elle apprend vite les secrets de gestion de la clientèle autant qu’elle se familiarise au même moment dans les arcanes des sciences de la communication. Elle n’ira cependant pas plus loin que le bout du premier cycle qu’elle termine avec satisfaction. L’appel du terrain étant plus insistant que les théories des auditoires.

Répondant à l’appel des fourneaux de sa plus tendre enfance, Abigaël retourne à Matadi pour lancer sa première entreprise. Entre-temps, elle s’unit en mariage à un avocat matadien. De cette union, deux petits bonshommes sont les fruits. Elle met également au monde un restaurant dont la spécialité est la production des gâteaux. C’est une grande première dans la ville portuaire, et le marché mord. Sa clientèle est d’abord constituée des proches dans un premier temps. Le bouche-à-oreille, le fameux téléphone arabe, fonctionne à merveille. A la vitesse grand v, sa réputation dépasse le seuil des familiers et pour conquérir toute la ville portuaire. C’est le début d’une grande aventure entrepreneuriale, mais dans l’informel à l’ombre de sa cuisine.

En 2021, lorsque le gouvernement congolais lance le concours des plans d’affaires dans le cadre du PADMPME, elle soumet son projet d’une pâtisserie moderne. Son but est de sortir son entreprise de la cuisine de son foyer pour imposer son enseigne sur la place publique. Elle est sélectionnée et entre en programme pour bénéficier des formations en entrepreneuriat notamment des cours de management, de marketing et d’autres modules de renforcement des capacités managériales comprenant également des sessions de coaching et de mentorat. Une subvention financière lui permet de sortir et de lancer une boutique sur la voie principale Kinshasa-Matadi.

C’est son entreprise de pâtisserie, « Aux délices de Gad-Eytan », (du nom de ses deux enfants), qui a officié au cocktail de l’atelier de restitution des résultats du Concours des plans d’affaires organisé par le PADMPME. Ce projet du gouvernement pour le soutien à l’entrepreneuriat productif et des services à valeur ajoutée vise à accroître la part des PME dans l’économie et à créer des opportunités d’emplois principalement pour les jeunes et les femmes. Jeune et femme, Abigaël est fière d’avoir été sélectionnée parmi les 960 jeunes entrepreneurs de Kinshasa, Goma, Lubumbashi et Matadi, sa ville. L’événement se passe dans le même palace, même salle que le concours de beauté, mais c’est désormais la planche de la pâtisserie qui l’impose dans le paysage. Le parcours est différent, mais toujours un rêve devenu réalité.

Source : padmpme.cd




9è jeux de la francophonie : Christelle Muabilu salue la détermination de Fatshi et encourage les athlètes à rafler plus de médailles pour la Rdc

Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’Office congolais de contrôle (OCC), a pris part active au cyclisme féminin, ce dimanche 30 juillet 2023, dans le cadre des 9è jeux de la francophonie. À l’esplanade du Palais du peuple de Kinshasa, Lingwala, précisément sur le boulevard Triomphal, elle a brillamment présidé la cérémonie de remise des médailles aux lauréates Marocaines qui ont raflé toutes les catégories de médailles de la compétition cyclisme féminin, face aux athlètes coureurs du Bénin, Burundi, Tchad, Guinée, Maroc et celles de la RD Congo.

En marge de ladite cérémonie, Christelle Muabilu a eu les mots justes pour louer et saluer l’engagement de taille du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, ayant concouru au succès dans l’organisation de ces 9è jeux de la francophonie. L’occasion faisant le larron, la première femme de l’Office congolais de contrôle, Christelle Muabilu a invité les athlètes de la RD Congo de manière générale, et de manière spécifique les femmes signalées dans la course aux différents jeux, à donner le meilleur d’eux-mêmes, pour démarquer davantage le pays de Patrice Emery Lumumba dans le concert des nations francophones.

Il faut aussi indiquer que lors de la remise des médailles aux vainqueurs du cyclisme féminin, ce dimanche, Christelle Muabilu a dû également encourager le public congolais venu nombreux pour soutenir les athlètes engagés dans la compétition. Elle a exhorté les uns et les autres à préserver cette ambiance jusqu’à la fin des jeux, une des formes de l’expression de l’hospitalité légendaire et de la solidarité de la communauté nationale. Vive les 9è jeux de la francophonie.




« 3,6 millions de personnes dans l’est de la RDC ont besoin de l’aide du PAM » 

En RDC, 6,7 millions de personnes sont déplacées et 80 % d’entre elles connaissent une crise aiguë de la faim et de la malnutrition qui ne cesse de s’aggraver. Dans l’est de la RDC, une région en proie aux conflits et à l’insécurité, la situation est particulièrement désastreuse, affectant non seulement les personnes déplacées, mais aussi une grande partie de la population. Les ressources manquent cruellement pour répondre aux besoins humanitaires extrêmement importants dans cette partie du pays. 3,6 millions de personnes dans l’est de la RDC ont besoin de l’aide du PAM.

Cependant, les ressources ne sont pas disponibles pour répondre à tous les besoins de cette population. Le PAM est sur le terrain et accroît son aide, mais les besoins en hausse met à rude épreuve une opération déjà gravement sous-financée et ignorée. Compte tenu des ressources actuelles, le PAM donne la priorité à l’aide en espèces en juillet, août et septembre. Chaque mois, le PAM cible 1,6 million de personnes (1,1 million de personnes bénéficiant d’une aide en espèces).

Dans le cadre de son plan d’intensification, des opérations, le PAM vise à augmenter progressivement le nombre de personnes bénéficiant d’une aide alimentaire et d’une aide en espèces au cours des six prochains mois. Avec les ressources actuelles, le PAM a déjà du mal à répondre aux besoins des 1,6 million de personnes qu’il cible chaque mois jusqu’en septembre. Si le PAM ne reçoit pas de ressources supplémentaires, il sera contraint de réduire considérablement le nombre de personnes qu’il peut aider à partir d’octobre.

Le PAM lance un appel urgent pour 557 millions USD afin de répondre aux besoins d’assistance alimentaire les plus urgents dans l’est de la RDC d’août à décembre 2023. Des ressources prévisibles et flexibles sont nécessaires pour répondre à l’évolution rapide des besoins. Cela permettra au PAM de mettre pleinement en œuvre l’intensification de l’aide afin d’éviter des conséquences désastreuses pour les millions de personnes qui en ont besoin.




Précieux Mangonzoy, 1er président de la délégation syndicale de la chaine de télévision Antenne A

Ce vendredi 28 juillet 2023, une journée très spéciale qui restera dans les annales pour les agents et cadres de la chaine de télévision privée Antenne A. Antenne A, doyenne des chaines de télévision privée en Rdc a procédé aux élections de la première délégation syndicale depuis l’existence dudit médias.

En effet, devant une Assemblée générale composée de la majorité des agents de cette entreprise de presse qui s’est tenue à son siège situé sur l’Avenue du Livre dans la commune de la Gombe, les agents ont élus à la majorité écrasante M. Précieux Mangonzoy en qualité de président de la délégation syndicale.

C’est lui qui va désormais être le porte-voix des agents auprès de l’employeur. Soulignons que cette élection a connu la participation de tous les services que compte cette entreprise de presse.

Parmi les heureux promus nous citons, M. Zozimo, Vice-Président ; Robert Batubiabia, Secrétaire ; Gauthier Bamolona et Belinda Monongesa, membres de la délégation syndicale.

Nombreux sont les professionnelles de médias qui ne sont pas surpris de l’ascension de Précieux Mangonzoy, journaliste talentueux, toujours soucieux du bien-être collectif. Première chaine de télévision privée, Antenne A vient là de montrer la voie à suivre. A d’autres chaine d’emboiter le pas pour une amélioration qualitative des conditions de travail des agents et cadres.

Bonne chance à Précieux Mangonzoy !