8 mars 2023: Paul Nsapu salue les efforts consentis par Félix Tshisekedi pour la valorisation de la femme au sein des Institutions

La Communauté tant nationale qu’internationale célèbre le 08 mars de chaque année la journée internationale de la femme. En République Démocratique du Congo, le thème national retenu pour 2023 est « le numérique, la paix et l’autonomisation » des femmes et des filles.

C’est dans cette optique que M. Paul Nsapu Mukulu, président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) salue les efforts consentis par le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Thilombo, défenseur de la masculinité positive, pour la valorisation de la femme notamment au sein des Institutions de la République et dans les sphères de prise des décisions.
C’est dans cet ordre d’idées que la CNDH-RDC a voulu donner le ton, en respectant le principe de la parité dans la composition de son Bureau et en ce qui concerne la désignation des coordonnateurs de ses Sous-Commissions permanentes.
A en croire Paul Nsapu Mukulu, la femme congolaise représentant plus ou moins 51% de la population totale de la RDC et, constituant une force non négligeable, doit être accompagnée et impliquée dans le processus de paix et de son autonomisation en vue de la rendre plus performante dans ce monde où le numérique est associé dans tous les secteurs de la vie humaine.
Pour le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), il est donc temps que cesse toute forme de discrimination faite à l’égard de la femme ; et la CNDH-RDC ne ménagera aucun effort pour veiller à ce que la dignité et les droits de la femme soient respectés dans notre pays.




Prêchant par l’exemple : Tony Mwaba visite le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele

Mercredi terrain, la nouvelle tradition respectée par le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi. Conformément à sa note circulaire du 04 mars 2023 qui institue chaque mercredi, une journée de terrain pour tous les cadres de l’EPST, le Professeur Tony Mwaba a montré la voie à ses collaborateurs.

Pour cette première, c’est la province éducationnelle de la Tshangu qui a constitué la première étape de son itinérance. C’est le Bureau de l’Inspection Principale Provinciale qui a accueilli le Ministre. Ici le patron de l’EPST est venu se rendre compte du travail du nouvel Inspecteur principal Provincial ; mais aussi, de l’application de ses recommandations après les différentes rencontres sur le réveil de la trilogie inspectorale.
Constat fait, les choses évoluent pour le mieux et les instructions du Ministre ont été respectées. Deuxième étape, la Province éducationnelle de Kinshasa/Plateau, direction, le Collège la Rosée dans la commune de la N’sele
Ici, le constat est amer, cette école qui organise cinq options pourtant, n’a que six petites salles de classe dans un état très délabré. Avec un Bureau de Direction dans un hangar et une cour séparée par des tôles avec une maison d’habitation. En un mot, les conditions d’une école n’y sont pas.
Sur le champ, le ministre a convoqué d’urgence le Promoteur de ladite école. A son arrivée, l’homme se dit d’abord surpris de l’absence des cours pour une journée de 8 mars.
Après interrogatoire, l’école s’avère être une école privée, mais sous gestion d’une confession religieuse au nom de RENECO.
Sur le champ, le Ministre a instruit en présence de l’Inspecteur général a l’EPST, Jacques Odia Musungayi qu’une mission soit diligentée pour des dispositions pratiques contre ces établissements non viables et anarchiques qui salissent l’image du sous-secteur voulu assaini par le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi.
En attendant les rapports des cadres de son Ministère, Tony Mwaba a prêché par l’exemple avec cette veille décrétée chaque mercredi. Rappelons que ce n’est pas une première pour le numéro 1 de l’EPST qui en a fait une religion depuis son avènement à la tête de ce ministère.




08 mars : Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à toutes les femmes

Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, est le jour où l’on reconnaît et l’on souligne, à l’échelle mondiale, les réalisations sociales, économiques, culturelles et politiques des femmes et des filles, et où l’on sensibilise le public sur la situation et le rôle des femmes dans la société.

À l’occasion de cette Journée internationale des droits des femmes de 2021, indique Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du CNJF a d’abord commencer par rendre un vibrant hommage à toutes les femmes qui, partout dans le monde et en particulier en Afrique, font des sacrifices inlassables, chaque jour, pour faire vivre leurs familles et œuvrer à l’éducation de leurs enfants. C’est également l’occasion de souligner la nécessité d’encourager l’instruction des filles pour leur donner la possibilité de choisir et être en mesure de définir leur propre rôle dans la société, au lieu de laisser les hommes le faire pour elles.

Hommage à ma femme

Le 8 mars est une journée où les femmes sont également reconnues pour leurs réalisations personnelles et dans la société. Dans son un message publié sur son blog, Isidore Kwandja Ngembo rend un vibrant hommage à une femme, une battante, une femme de cœur et une grande dame, à son avis et pour moi. Elle s’appelle Bantu Mbempe Mayibungi Clémence. Une femme qui ne laisse rien au hasard et qui travaille fort, et ce, jusque tard dans la nuit et qui se lève toujours tôt. Comme qui dirait, « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ».

Avec en poche, son diplôme en développement des organisations de l’Institut supérieur de développement rural en République démocratique du Congo, elle débarque à Genève en Suisse à l’Institut universitaire d’études du développement (IUED) où elle poursuit ses études et obtient son diplôme en études de développement.

Elle accompagne son mari à Louvain-la-Neuve en Belgique où il poursuivait également ses études supérieures. Aussitôt arrivée en Belgique, elle comprend très vite la maxime qui dit : « il n’y a pas de sots métiers, il n’y a que de sottes gens ». Le marché du travail, dans son domaine d’études, étant extrêmement difficile pour les étrangers, elle entreprend immédiatement une formation accélérée d’auxiliaire gériatrique pour travailler comme préposée aux bénéficiaires, question de faire bouillir la marmite.

Arrivés tous au Canada, une semaine après, elle commence déjà à travailler dans ce domaine et décide en même temps d’entreprendre des études en soins infirmiers et décroche son diplôme. Elle ne s’arrête pas là. Elle décide de retourner à l’université où elle décroche également un Diplôme d’études supérieures (DES) à l’Université Saint-Paul d’Ottawa.

Depuis le début de cette pandémie de la Covid-19 qui sévit dans le monde entier et affecte négativement la vie sociale, Clémence Bantu est parmi plusieurs femmes à travers le monde qui sont aux premières lignes en tant que soignantes, pour lutter contre cette pandémie. « Je tenais à souligner la farouche bravoure de cette femme, en cette journée internationale de la femme, que nous sommes fières d’elle pour son courage et sa ténacité, en dépit de toutes les vicissitudes de la vie », souligne-t-il.

Qui est Isidore Kwandja Ngembo ?

Isidore Kwandja Ngembo est analyste des politiques publiques. Il a fait des études supérieures en Éthique publique à l’Université Saint-Paul d’Ottawa ; en Science politique & relations internationales à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa ; en Management public à l’École nationale d’administration publique (ENAP – Québec) ; en Droit international des droits de l’homme à l’Université catholique de Louvain & l’Université Saint-Louis de Bruxelles ; en Développement international à l’Université catholique de Louvain & l’Université libre de Bruxelles en Belgique. Auditeur en Droit international public, de l’Académie de droit international de La Haye.




Journée internationale des droits de femmes : Christelle Muabilu salue le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales

« En ce jour où la Femme est honorée par la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, je saisis agréablement l’occasion pour rendre un vibrant hommage à toutes les femmes de mon pays et particulièrement à celles de l’Office Congolais de Contrôle (OCC),  avec un regard porté sur les différentes luttes contre les inégalités, sur votre participation à l’œuvre nationale de construction, singulièrement à la réalisation des objectifs de l’Office », a indiqué Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’OCC.

Dans ce message, elle salue tout spécialement le sens d’adaptation des unes et des autres aux nouvelles exigences économiques et sociales, notamment par la formation plus que jamais indispensable au numérique. En effet, il est temps pour la femme de faire bouger les lignes, de faire preuve de capacités sur tous les plans, comme vous le faites déjà si bien, femmes engagées de mon pays et de l’OCC en particulier.

Elle prend modestement, pour ma part et du haut de mes fonctions, l’engagement de garantir à chacune de vous une formation continue de qualité. Mon implication personnelle vous est acquise, pour de meilleurs résultats dans la contribution autant que possible au changement du monde, du statut de la femme au sein du monde ainsi qu’à l’OCC.

Christelle Muabilu formule le vœu de trouver demain à l’OCC plus de femmes analystes de laboratoires, inspecteurs techniques et environnementaux, inspecteurs de conformité, métrologues, chefs de départements, chefs de directions provinciales, et pourquoi pas mandataires de l’Etat.

« L’heure est donc venue de nous mettre ensemble pour aller plus encore de l’avant, porter davantage haut l’image de la femme, valoriser sans relâche le travail qu’elle est capable d’accomplir », dit-elle.

En ma qualité de première femme de l’OCC par mes fonctions, souligne Mme Christelle Muabilu, je vous souhaite à toutes une heureuse Journée des droits de femmes, tout en attirant également votre attention sur vos devoirs et votre responsabilité sur le monde en construction.




A l’occasion du 8 mars : Kabasele Tshimanga invite les femmes congolaises à monter au front

Malgré son absence au pays, le Président National de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, vient d’adresser un message aux femmes de son parti politique. Et, à travers elles, ce message est également destiné à la femme congolaise qui doit s’engager au front pour la transformation de la société nationale. Ci-dessous, ce message signé depuis Caracas (Venezuela) où il se trouve encore :

“Chères Camarades,

“Comme toutes les femmes du monde, vous célébrez, ce 8 Mars, la Journée Internationale dédiée à la femme.

“Cette commémoration se passe au moment où je me trouve à l’étranger.

“Je tiens à féliciter les Camarades restées à nos côtés pour œuvrer ensemble en faveur de la transformation de notre société qui est plombée au sous-sol du développement et qui ne peut pas changer sans la participation de la femme.

“Si la société congolaise n’arrive pas à connaître un quelconque changement dans tous les domaines de la vie nationale, la responsabilité, même partagée, incombe surtout à la femme congolaise qui ne parvient pas à faire sa propre révolution mentale.

“La femme congolaise, à tous les niveaux et de tous les âges, préfère la médiocrité. Elle refuse de se remettre en cause et de s’interroger de manière consciente sur sa part de responsabilité dans la dégradation généralisée de la situation lamentable que connaît notre pays.

“Souvent, elle croit à tort à la facilité et à des coups de pouce hypothétiques. Elle oublie qu’elle doit se battre et lutter comme l’homme. Et sans complexe. Elle commettrait l’erreur de demeurer éternellement passive.

“Le jour où la femme congolaise s’engagera au front comme toutes les autres femmes révolutionnaires du monde, la situation du pays changera radicalement.

“Pour les Camarades de la LIFUDS, cette année doit marquer la rupture totale avec des anciennes pratiques qui ravalent la femme congolaise au niveau d’une éternelle assistée sans imagination créative.

“L’UDS d’hier ne sera plus l’UDS de demain. Il n’y aura plus de cadeaux pour telle Camarade ou telle autre. Tout le monde sera sur le même pied d’égalité. Seules les femmes imaginatives et entreprenantes mériteront de l’UDS.

“A ce prix, nous bâtirons ensemble et sans discrimination quelconque, un grand parti socialiste et révolutionnaire dans notre pays.

“Les pagnes, les défilés et les beuveries annuels vécus le 8 Mars ne défendront jamais la cause de la femme congolaise. Les autorités qui encouragent ces pratiques, ne contribuent jamais à la promotion de la femme congolaise. Elles, ces autorités, agissent ainsi par manque de vision.

“Je lance un appel patriotique aux Camarades de la LIFUDS pour qu’elles rompent définitivement avec ces agissements rétrogrades.

“Éduquer une femme étant éduquer tout un peuple, la femme de l’UDS doit devenir désormais un modèle à suivre et se mettre à l’avant-garde de la lutte pour un nouveau Congo.

“Fait à Caracas, le 08 Mars 2023.

“Le Président National de l’UDS,

“Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, “Sénateur honoraire”




En séjour à Buta : Mme Aminata Namasia portée en triomphe

Le soleil s’est arrêté ce lundi 06 mars 2023, dans la ville de Buta, capitale de la Province du Bas-Uélé. Pour cause, l’arrivée de la fille du terroir, l’ancienne Benjamine de la Chambre basse qui y a joué un rôle de premier rang comme Questeure, dans la reconfiguration de la majorité parlementaire qui a renforcé le pouvoir du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.


L’honorable Aminata Namasia Bazego, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, vice-ministre à l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a foulé le sol de sa province pour deux objectifs. Le premier se porte aux itinérances, mode de travail auquel elle a été associée par son titulaire, pour palper du doigt la mise en application de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics, la lutte contre les antivaleurs et le redressement du sous-secteur de l’Éducation.
Le deuxième objectif vise l’accomplissement de son devoir civique de se faire enrôler en vue de se mettre en ordre de bataille face aux joutes électorales prochaines.
Arrivée à 17h00, heure locale, le n°2 de l’EPST a été accueillie chaleureusement par une marée humaine qui l’a obligée à faire les pieds sur une très longue distance en vie de se frotter à la chaleur de sa base. Une obligation à laquelle elle s’est soumise, comme Servante du peuple.
Se livrant en première position à cette foule, l’élue de Bambesa a rendu de vibrants hommages au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour une vision claire de son action dont le programme phare de la pérennisation et de la concrétisation de la gratuité de l’enseignement primaire. Une gratuité effective dans toutes les écoles primaires publiques en RDC et étendue aux écoles consulaires.
Voilà pourquoi elle n’a pas caché sa fierté de voir les retombées de cette mesure constitutionnelle mise en application par le Chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a permis l’accroissement des élèves dans la Province du Bas-Uélé.
Respectueuse du protocole, après avoir parcouru toutes les artères de la ville de Buta, l’honorable Aminata Namasia Bazego s’est rendue au Gouvernorat de la Province pour présenter ses civilités au Gouverneur.
A l’autorité provinciale, Aminata Namasia Bazego a annoncé la mécanisation des 400 écoles de la Province par le Ministère de l’EPST. Une nouvelle qui a été accueillie avec joie par le Gouvernement provincial du Bas-Uélé qui a promis de ne ménager aucun effort pour s’engager dans le combat du Chef de l’Etat de pérenniser et de consolider la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics.
Après cette étape, l’élue de Bambesa est attendue dans son fief électoral où elle a été élue comme Députée nationale dans la Chambre basse du Parlement. Et là, elle va répondre à son devoir civique, celui de s’enrôler pour les échéances électorales prochaines.




Ce que le Prof Nicot Omeonga a fait comprendre aux jeunes sur l’entrepreneuriat

Le prof Nicot Omeonga a également fait voir à ses interlocuteurs de la Paroisse Saint Gabriel de Yolo que la vision précède la provision. Or, fait-il remarqué, il y a un célèbre musicien Papa Wemba, pour ne pas le citer, qui a fait l’apologie en disant ‘’Chance eloko pamba’’ c’est-à-dire la loi de moindre effort. Donc, tu pourrais ne pas fournir beaucoup d’efforts, tu peux réussir. Or, la loi divine nous dit : ‘’C’est par l’effort qu’on réussit’’. Poursuivant son discours, le Prof Nicot Omeonga révèle qu’en RDC, à l’heure actuelle on a pas de modèles d’entrepreneurs. Mais s’il y en a quelques entrepreneurs qui ont réussi un tout petit peu, c’est dans le domaine de l’art. C’est souvent les musiciens. Et ici, le Prof fait remarquer que ces derniers ne sont pas nécessairement des modèles. Car, un modèle doit incarner des valeurs.

Cependant, le Prof Nicot Omeonga insiste que dans le domaine de l’entrepreneuriat, il y a bel et bien quelques modèles mais qui, malheureusement ne sont pas fortement médiatisés. Il cite l’exemple d’un jeune homme qui a réussi à mettre du piment dans des boîtes de conserve et qui les vend à travers toute la ville de Kinshasa. Sur ce chapitre, le prof fustige la manière de faire congolaise où l’on médiatise les modèles qui ont déjà réussi et moins d’autres à l’image du jeune homme précité.

Répondant à une question lui posée sur les lois votées au parlement, le Prof Nicot Omeonga leur a révélé qu’il a été assistant parlementaire. Il sait comment les Lois s’élaborent. Si Dieu lui fait grâce et qu’il se retrouve au parlement, il s’y emploiera lui-même, au cas contraire il utilisera quelqu’un d’autre. Et d’enchainer qu’en RDC, le problème ce n’est pas les Lois. Elles sont là. Mais ce qui pose problème, c’est l’application de ces Lois. Et le Prof Nicot Omeonga de révéler : ‘’Par rapport à la production législative, nous dépassons de loin même les pays développés. Les gens qui sont censés respectés et appliquer les lois, ne le font pas. Donc, au-delà des lois, il faut avoir des animateurs qui vont apporter des innovations’’.
Antoine Bolia




Dimanche 5 mars à Saint Gabriel de Yolo-Sud: Le Prof Nicot Omeonga éclaire les paroissiens sur le thème : ‘’L’entrepreneuriat, catalyseur de la prospérité financière des jeunes chrétiens’’

Le Prof Nicot Omeonga Nicot Omeonga, économiste et Professeur d’université qui est à la tête de la fondation Fomenic laquelle essaye d’apporter des solutions dans divers domaines touchant la vie des congolais (sécuritaire, social et économique), a animé une grande conférence des jeunes, le dimanche 5 mars 2023 à la Paroisse Saint Gabriel de Yolo-Sud. Le Prof Nicot Omeonga a abordé comme thème : ‘’L’Entrepreneuriat, catalyseur de la Prospérité financière des jeunes chrétiens’’. Deux temps forts à retenir : exposé du Prof et questions-réponses.

Face aux jeunes paroissiens de la Paroisse Saint Gabriel, le Prof Nicot Omeonga a fait le tour d’horizons sur l’entrepreneuriat. Il a notamment fait allusion aux mamans qui vendent tout au long de la route sur Kapela et dont les étalages ont été rasés par le Caterpillar de l’hôtel de ville de Kinshasa. Il s’est alors posé la question pourquoi les font-elles ? Existent-ils des marchés où on a construit et prévu pour elles d’aller vendre et qu’elles ont refusé ? Et ici, le Prof Nicot Omeonga croit que d’ici 6 mois et une année, les gens vont revenir. Et il pense qu’avant de prendre la décision de tout raser, il fallait d’abord construire où les gens vont vendre. Mais vous avez rasé pour que les gens aillent où ? Pour le Prof Nicot Omeonga, on s’est attaqué aux conséquences sans s’attaquer aux causes.
Abordant le phénomène Kuluna, le Prof pense que c’est parce que l’État n’a plus de travail à donner. L’État est incapable de subvenir aux besoins des travailleurs. L’unique solution pour résoudre ce problème, d’après le Prof Nicot Omeonga, c’est l’entrepreneuriat qui va régler le problème du chômage. Et il donne ce conseil aux étudiants qui sont encore aux études : ‘’Une fois que vous terminez vos études, ne revenez plus chez les parents demander de l’aumône. L’aumône ne sera plus là. Le temps de la manne est fini. Il faut vous lancer dans l’entrepreneuriat. C’est vrai qu’on peut dire ça sera difficile. Ce qui est difficile est intéressant. Aucune vie sérieuse ne peut se construire dans la facilité. La vie se construit sur le roc. L’entrepreneuriat demande les men of chif, ce sont des modèles. Et en RDC on a connu des modèles Dokolo, Bemba Saolona, Lusakivana…tous ces gens étaient des véritables entrepreneurs engagés dans l’entrepreneuriat. Ils sont devenus célèbres, riches à cause de l’effort, de l’entrepreneuriat. Ceux qui travaillent comme nous, nous nous contentons du salaire nous sommes candidats à la pauvreté. Parce que le salariat, c’est la pauvreté absolue. Mais ceux qui s’engagent à l’entrepreneuriat, ce sont des gens qui sont candidats voués à la prospérité. Tant que c’est vrai nous avons la foi, nous avons reçu Jésus-Christ comme sauveur, mais pour devenir prospère, il faut passer par l’entrepreneuriat. Quand Dieu créa Adan, il lui a demandé d’entreprendre. C’est l’entrepreneuriat qui compte. Le symbole de richesse pour le chrétien, c’est Abraham. Qui à son vieux âge était éleveur. Il était devenu célèbre. Les exemples sont légions. Il faut entreprendre. C’est difficile mais pas impossible. C’est quand c’est difficile qu’il y a la solution. Dans l’abondance on ne peut pas bien réfléchir. C’est dans la précarité qu’on trouve des solutions appropriées’’.
Antoine Bolia




PROGRAMME DES OBSÈQUES DE FEU PAPA Nestor KITENGIE MBAYU

Programme du mardi 7 mars 2023 :

18h00 : Mise en place terminée ;
18h10 : Mot du modérateur ;
18h30 : Mot de circonstance ;
18h35 : Intermède musical ;
19 h 40 : Présentation de la biographie du défunt et hommage de la famille MBAYU
KANYAMA ;
19h45 : Mot des enfants du défunt ;
19h50 : Mot d’hommage des petits enfants ;
19h45 : Témoignages ;
20h00 : Annonce de la journée du mercredi 8 mars 2023 (Exposition du corps à la
morgue de l’Hôpital du Cinquantenaire et enterrement du défunt au
Cimetière « Nécropole II ») ;
20h10 à 21 h 00 : Musique chrétienne ;
21h05 à 22h30 : Musique folklorique ;
22h35 à 23h30 : Musique chrétienne ;
23h30 jusqu’à l’aube : Exhortation et musique chrétienne.

Programme du mercredi 8 mars 2023 :

9h30 : Mise en place terminée ;
9h35 à 9h40 : Exposition du corps ;
9h40 à 9h45 : Annonce du programme par le modérateur ;
9h45 à 9h50 : Présentation de la biographie du défunt ;
9h50 à 9h55 : Mot des petits-enfants ;
9h55 à 10h05 : Témoignages ;
10h05 à 10h45 : Dépôt des gerbes de fleur ;
10h45 à 10h50 : Mot de la famille ;
10h50 à 11h00 : Prière de clôture ;
11h00 : Levée du corps pour l’inhumation au Cimetière Nécropole II ;
15h30 : Bain de consolation dans la salle « ATLANTIS », située à la 1ère rue, dans la
commune de Limete (Réf : Eglise « Cité Bethel »).

Fait à Kinshasa, le 6 mars 2023.

Pour la Famille :

Me Clément KITENGYE-KISAKA




EPST : Des Partenaires Techniques et Financiers conviennent de coordonner leurs actions en fonction des besoins et des priorités de la Rdc

Le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, a réuni dans son cabinet de travail tous les représentants des Partenaires Techniques et Financiers dans le sous-secteur de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, conduits par Mme Laura Mazal, Directeur au développement à l’ambassade de la Grande Bretagne en RDC, pour échanger sur la coordination des actions que ces derniers posent dans le secteur.

Loin de toute démarche dogmatique, le professeur Tony Mwaba Kazadi a accordé la parole à ses convives pour s’exprimer en toute liberté sur les sujets inscrits à l’ordre du jour.
À tour de rôle et sous la coordination de Mme Laura Mazal, tous les partenaires techniques et financiers ont avoué leur volonté d’avoir une coordination commune des projets et actions en fonction des priorités et besoins du Gouvernement. C’est ici qu’ils ont déclaré ne travailler qu’en appui au Gouvernement et c’est dans ce cadre qu’ils se prêtent à définir une feuille de route commune avec le ministère sur les actions à poser.
Mme Laura Mazal a indiqué que les Partenaires Techniques et Financiers sont satisfaits des réalisations en ce qui concerne la consolidation et la pérennisation de la gratuité de l’enseignement primaire et entendent aller plus loin pour améliorer les conditions d’apprentissages aussi bien à l’école primaire qu’au secondaire.
Prenant à son tour la parole, le Ministre Tony Mwaba Kazadi, a salué les actions posées par les Partenaires Techniques et Financiers dans l’accompagnement du Gouvernement surtout en ce qui concerne la mise en application de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics. Il a noté la construction des infrastructures scolaires et le don des bancs pupitres dans certaines provinces par les partenaires.
Cependant, a-t-il regretté, il y a un déficit de coordination et d’information sur toutes ces actions réalisées. Et cela, est provoqué par le manque de dialogue entre les PTF et le Ministère, a-t-il indiqué, avant de préciser :”Cela ne me permet pas de savoir ce qui est fait et porter la voix aussi au niveau du Gouvernement”. Pour le professeur Tony Mwaba, ce sont les actions que l’on peut évaluer et mettre à l’actif du Gouvernement. Cela implique l’élaboration d’une feuille de route et la définition de la cartographie de toutes ces actions. Parce que, a-t-il relevé, il y a une sorte de concentration des projets dans certaines provinces au détriment des autres, par les mêmes partenaires. C’est là où il est revenu sur ce qu’il a dit à Genève lors de la Conférence Éducation Can not Wait, lorsqu’il a parlé de la concentration des activités des PTF dans les provinces du Tanganyika, Ituri et Kasaï Central.
À ce sujet, le n°1 de l’EPST a invité ses interlocuteurs à orienter les actions sur terrain en fonction des besoins et des priorités du pays. Ce qui implique ipso facto, un dialogue permanent pour la canalisation des projets en fonction des priorités du secteur de l’éducation, a-t-il souligné.
Là-dessus, le patron de l’EPST a rappelé qu’il en va de leur intérêt en ce qui concerne la visibilité de leurs actions qui ne peut être portée que par sa voix, a-t-il souligné.
À ce propos, il a demandé aux PTF d’arrêter un calendrier avec ses collaborateurs tant au niveau du Cabinet que de l’Administration de telle sorte que l’on ait des rencontres régulières, même en visioconférence avec les provinces pour renforcer la coordination et relancer le dialogue avec les PTF en vue de suivre ensemble les actions sur terrain.
En sa qualité de Représentante des Partenaires Techniques et Financiers, Mme Laura Mazal a déclaré :” Je suis ici en tant que Représentante des Partenaires Techniques et Financiers, parce que le Royaume-Uni est le Chef de file dans le secteur de l’éducation à l’heure actuelle. Et nous sommes venus discuter avec le Ministre des questions de coordination pour renforcer la coordination et le dialogue sur les politiques publiques de l’éducation primaire, secondaire avec nos collègues de l’Union Européenne, de l’UNICEF et de la Belgique. Alors nous-nous sommes mis d’accord sur l’idée de renforcer la coordination, d’avoir une feuille de route entre les efforts du Gouvernement et les efforts des Partenaires Techniques et Financiers pour faire le suivi et voir comment on continue à renforcer l’accès à l’éducation pour tous les enfants congolais ”, a-t-elle indiqué.