L’avenue Kabasele (ex-Flambeau) sera fermée du 24 au 29 janvier 2023 pour la pose du pont-rail

Dans le cadre de la dépose du pont rail sur l’avenue Kabasele (ex-Flambeau) par la société Commerciale de Transport et Port (SCTP), l’Office des Voiries et Drainage/DPK informe le public qu’il procédera à la fermeture de l’avenue Kabasele du mardi 24 Janvier 2023 au Dimanche 29 Janvier 2023 dans son tronçon compris entre l’avenue syndicat et Kabambare et ce, pour permettre à la SCTP de travailler dans la sérénité.

La DPK/OVD qui signe le présent communiqué présente ses excuses pour les désagréments qui en découleront et exhorte les usagers à utiliser la voie de déviation ci-après : Avenue Kabasele – Avenue Syndicat – Avenue Itaga-Avenue Kabambare – Avenue Kabasele.




Ce mercredi : L’Hôtel de ville va démolir les constructions anarchiques érigées sur le lit de la rivière Kalamu

Il porté à la connaissance de l’opinion publique, en particulier des riverains de la rivière Funa, dans la Commune de Kalamu, que les équipes de l’Hôtel de Ville de Kinshasa procèderont ce mercredi 25 janvier 2023 à la démolition de toutes les constructions anarchiques érigées sur le lit de cette rivière.

Selon un communiqué signé par Gentiny Ngobila Mbaka, Gouverneur de l’Hôtel de la ville de Kinshasa, il s’agira, de celles construites sur les berges de la rivière entre le Boulevard Lumumba et l’avenue Luambo Makiadi, ex- Bokassa.

Cette opération vise le respect et la restauration des normes urbanistiques qui exigent un minimum de recul de 10 mètres de part en part du lit mineur de la rivière. Les habitants des maisons ci-hauts citées ont jusqu’au 24 janvier 2023 pour prendre des dispositions nécessaires y relatives.




Kingabwa : Christelle Muabilu s’enrôle et encourage les jeunes, les étudiants et les femmes à faire de même

Elle a effectué, ce dimanche, le déplacement de la paroisse Saint François de Sales Don Bosco de Kingabwa, dans la commune de Limete. Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’Office congolais de contrôle (OCC), s’est acquittée de son devoir civique en obtenant sa carte d’électeur.

“Je viens d’accomplir mon devoir civique, celui de m’enrôler. Bien qu’apolitique, il est de mon rôle en tant que patriote de montrer l’exemple, afin d’encourager les jeunes, étudiants et femmes à faire comme moi s’enrôler massivement afin de porter un choix judicieux sur ceux que nous voulons voir diriger. M. le Président de la République Felix-Antoine Tshisekedi a cru en la jeunesse et nous l’accompagnerons dans ce processus électoral en tant que jeune jusqu’au bout”, a-t-elle laissé brièvement entendre à l’issue de son enrôlement.

Il faut indiquer que la Commission électorale nationale indépendante vient de prolonger, ce dimanche, de 25 jours, l’opération d’enrôlement des électeurs, en ce qui concerne la première aire opérationnelle. Ce temps va permettre aux retardataires de s’enrôler à leur tour.




A Mombele : Stéphanie Muabilu s’enrôle et demande à la population de faire de même

La Secrétaire générale adjointe aux Relations extérieures et affaires politiques du Congrès National Congolais (CNC) s’est acquittée de son devoir civique, ce samedi à Kinshasa. Stéphanie Muabilu s’est fait enrôler au centre situé au collège Saint Armand de Mombele, dans la commune de Limeté. La vice-présidente nationale de la Fondation Pius Muabilu a été accompagnée par de milliers de Kinois dont les membres de son parti le CNC et ceux de sa fondation qui lui ont imposé une marche à pieds jusqu’au centre d’enrôlement.

Après avoir obtenu sa carte, la Secrétaire générale adjointe du CNC s’est dite fière de s’être acquittée de son devoir civique en perspective des prochaines élections. Pour elle, l’heure du changement a sonné. Chacun doit donc jouer sa participation pour y arriver.

Stéphanie Muabilu encourage toute la population à se faire enrôler massivement en vue d’avoir le droit d’être à la fois candidat et électeur le moment venu. « Vous savez tous qu’à l’élection présidentielle, le Président Tshisekedi est notre candidat. Nous devons beaucoup travailler sur terrain pour une victoire écrasante le moment venu »,  a-t-elle dit.

Et d’ajouter  que le vent du développement en cours au pays a besoin de la contribution de tous. Il faut dire que la Secrétaire générale adjointe aux Relations extérieures et affaires politiques du CNC, s’est fait accompagner du porte-parole du parti, du Président inter fédéral du Mont Amba et du Président Fédéral de Mont Amba 3.




Dans une mise en garde : La Cellcom de l’EPST dénonce une tentative d’escroquerie et promet de saisir la justice

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Cellule de Communication du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique met en garde contre toute tentative d’escroquerie et d’arnaque dont est auteur le porteur du numéro +243812249442 au nom du Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, Professeur Tony Mwaba Kazadi, avec sa photo prise à la suite de son enrôlement où il brandit sa carte d’électeur.

Selon la même source, cet arnaqueur appelle différentes autorités provinciales et quelques agents et cadres de l’EPST pour lui envoyer de l’argent contre la promotion et affectation aux différents postes au sein de ce Ministère.

La Cellule de Communication salue la vigilance et la bravoure de Mme le Gouverneur de la Province du Tanganyika, qui a failli tomber dans son piège et l’a dénoncé.

Joint par la Cellule de Communication, le porteur de ce numéro qui essaie d’imiter la voix du Professeur Tony Mwaba est d’un sang-froid qu’il demande à ses victimes de ne lui parler et envoyer les coordonnées que sur ce compte WhatsApp.

Tout en mettant en garde quiconque se laissera tomber dans son piège, la Cellule de Communication du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique dénonce ces actes de cybercriminalité et promet de saisir les instances compétentes et judiciaires pour décourager ces criminels.

Fait à Kinshasa, le 21 janvier 2023

 *La Cellule de Communication*




Covid-19 : La population invitée à observer scrupuleusement les mesures d’hygiène et à se faire vacciner massivement

Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, représenté par la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, a fait le point de la situation globale de la santé dans le pays, avec un accent particulier sur le Covid-19. Au sujet de ce dernier, il a été signalé que la tendance à la 48ème semaine est marquée par une baisse de l’incidence de cas de Covid-19 : 204 cas contre les 264 (après une mise à jour des chiffres rapportés à la semaine 47), au lieu de 210 cas, soit une baisse de 22,8%.

La baisse du taux de positivité de tests a été attestée par un passage de 5,9% à 4,9% ; une hausse de nouveaux cas importés (de 0 à 2). Aucun décès n’a été notifié au cours de la semaine. Le Conseil a pris acte de cette Note d’information, invitant la population à observer scrupuleusement les mesures d’hygiène et à se faire vacciner massivement.




Ce samedi à Kinshasa: Le RELEGAL François Mutombo clôture la 1ère édition de la pastorale

Placée sous le thème: “Les fondements apostoliques de l’Eglise véritable”, la première édition de la pastorale a été lancée, le 17 janvier dernier par le Pasteur François Mutombo, Représentant légal de Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH).  C’était à l’Eglise de Kalembe-Lembe, en présence des pasteurs, serviteurs et servantes de Dieu, les ouvriers et les fidèles de la CAC/VH. Cette formation se termine aujourd’hui, avec l’assurance pour l’initiateur d’avoir posé les bases solides en donnant aux fidèles les fondamentaux nécessaires pour être irréprochables dans leurs comportements. Surtout qu’il est ici questions d’uniformiser les pratiques au sein de cette nouvelle communauté, conformément à la parole de Dieu.

Après une forte intercession, la parole a été accordée à Papa Didi Iyeli pour son mot de circonstance. Il a remercié l’assistance pour sa présence massive à cette première édition de la pastorale, qui est un cadre qui réunit les ministres de Dieu, les serviteurs et servantes de Dieu, les ouvriers et les fidèles autour des enseignements sacerdotaux. Ceci, afin de la remise à niveau pour un bon rendement dans l’œuvre de Dieu, conformément à Proverbe 27, 17: “Comme le fer aiguise le fer, ainsi un homme excite la colère d’un homme”.

Papa Didi Iyeli a terminé par dire que la première édition initiée par le Département de la doctrine se fera en deux modules, dont le 2ème se clôture aujourd’hui samedi. A l’issue de ces travaux, des brevets seront remis aux participants.

Avoir un repère

Pour sa part, le Chargé de la doctrine, le pasteur Claude Bongombola, a souligné qu’on n’a pas seulement un père, mais aussi un repère. C’est aussi une boussole. Quand vous avez un père qui a échoué, c’est un problème. S’il y a un désordre dans le monde de l’évangile, c’est parce qu’il n’y a plus de repères, dit-il, avant de poursuivre que ceux qui viennent dans le monde de l’évangile ne savent pas s’ils vont copier qui?

Et pourtant, la bible déclare, on frappera le berger et les brebis seront dispersées. Mais le pasteur Claude Bongombola constate que les bergers sont encore vivants, mais les brebis sont dispersées. Et de préciser que si cette communauté est née, cela est venu de Dieu, parce qu’il y avait un vide. A l’en croire, Dieu, c’est le metteur en scène qui utilise plusieurs méthodes. Dieu a caché notre père pendant 10 mois pour qu’il lui apprenne de nouvelles choses. Dieu a utilisé cette méthode pour faire de toi un champion. Lorsque Dieu met quelqu’un a part, c’est pour une nouvelle vision. “Nous sommes ici pour relever les fondements”, dit-il, avant de dire qu’au terme de cette formation, nous saurons c’est quoi l’Eglise? C’est quoi les fondements apostoliques?

Du rôle de l’Eglise sur le plan spirituel

De son côté, le Représentant légal de la Communauté des Assemblées chrétiennes Voici l’homme, le Pasteur François Mutombo, a expliqué que la pastorale, c’est une rencontre des hommes de Dieu, soit ceux qui aspirent à l’œuvre de Dieu. “La connaissance coûte trop cher. Il faut avoir une connaissance, mais véritable”, dit-il.

Quel est le rôle véritable que joue l’Église sur le plan spirituel? C’est la question que le Pasteur a pose aux apprenants, qui ont répondu que l’église, c’est la représentation de Dieu sur la terre. “Aussi longtemps qu’il y aura l’Église, sachez que Dieu est représenté sur la terre”, tranche-t-il.

Il a appuyé ses dires avec Exode 25, 8-11, avant de souligner que tant qu’il y aura le sanctuaire, Dieu sera là, car le sanctuaire, c’est l’image de Dieu. Et d’indiquer que Moïse n’est pas libre de faire ce qu’il veut, et c’est Dieu qui lui donne le modèle. Selon Voici l’homme, les choses de Dieu ont leur modèle.

Il a par la suite explicité Exode 26, 30, pour dire qu’ici, c’est Dieu qui montre le modèle à suivre. “Tu dresseras le tabernacle d’après le modèle qui t’est montré sur la montagne”. Et d’ajouter que de fois quand Dieu veut accomplir une mission avec quelqu’un, il commence par l’isoler. Même Jacob pour qu’il soit Israël, Dieu l’avait séparé de sa famille. Quand Dieu rencontre quelqu’un, il change même son nom.

De la loi au témoignage, le Pasteur François Mutombo a fait lire Actes 7, 44 pour marteler sur le fait que tout ce que l’homme de Dieu fait doit avoir un modèle.

En prenant Mathieu 28, 19, le RELEGAL a insisté sur le fait que prêcher, c’est une bonne chose, mais il y a des prescriptions. “Il y a des choses pour lesquelles il faut avoir des repères. Ne te libères pas quand Dieu ne t’as pas encore libéré. Que chacun s’éprouve avant de participer à la table du Seigneur”, pense-t-il.

L’orateur a par la suite énuméré quelques principes. Il a indiqué par exemple qu’un serviteur de Dieu  n’a pas de 2ème bureau. On ne fait pas l’Église pour être des vedettes, on doit plutôt enseigner les fidèles comment craindre Dieu. Si toi-même tu n’es pas un modèle, comment est-ce que tu va enseigner les autres ? Cette journée s’était terminée par des questions-réponses à la satisfaction générale des participants.




Nord-Kivu : les affrontements entre les FARDC et le M23 appuyé par le Rwanda se poursuivent malgré les accords de cessez-le-feu

Au Nord-Kivu, indique un rapport du PAM, les affrontements entre les forces armées de la RDC et les forces du Mouvement du 23 mars (M23) se poursuivent malgré les accords de cessez-le-feu. OCHA estime que plus de 510 000 personnes ont été déplacées depuis mars et que 7 000 autres ont cherché refuge en Ouganda.

En réponse à la crise dans l’Est du pays, en décembre 2022, le PAM a apporté une aide vitale à 187 000 personnes dans les territoires de Nyiragongo et de Lubero. Durant la deuxième semaine de janvier, le PAM vise à soutenir 110 000 personnes dans le territoire de Nyiragongo par des transferts en espèces et 79 000 personnes dans le territoire de Lubero par une assistance alimentaire en nature.

Le PAM a pour objectif de fournir une aide alimentaire et nutritionnelle à 250 000 personnes jusqu’en avril. Pour ce faire, 50,6 millions de dollars supplémentaires sont nécessaires. Les ressources du PAM pour répondre à l’immense besoin humanitaire sont désormais faibles. Le PAM a presque épuisé ses stocks alimentaires destinés à être utilisés en janvier et février 2023.

Soulignons que le 23 décembre, le M23 a annoncé son retrait du territoire de Kibumba, au Nord-Kivu, et l’a remis à la Force régionale de la Communauté d’Afrique de l’Est (EACRF). Cependant, des sources locales notent que les forces du M23 patrouillent toujours dans tous les villages autour de Kibumba et Buhumba. Plus de 30 000 personnes déplacées à l’intérieur du pays (PDI) sont toujours réfugiées dans les régions de Kanyaruchinya, Munigi et Mudja au Nord-Kivu.




Sud-Kivu : Les activités du PAM ont été retardées dans le territoire de Walungu, où les camions sont bloqués sur des routes boueuses

Selon des informations en notre possession, le bureau de Bukavu a aidé 92 000 personnes en leur fournissant une assistance en nature et des produits nutritifs pour le traitement de la malnutrition. Le PAM a fourni une aide en nature à 43 000 personnes.  La rupture des ponts Makelele et Luzira a affecté le flux de l’aide humanitaire et des activités commerciales.

Par conséquent, les produits du PAM sont acheminés par bateau de Bukavu à Minova. Les activités du PAM ont été retardées dans le territoire de Walungu, où les camions sont bloqués sur des routes boueuses, ce qui retarde encore les distributions. Plus de 60 participants, dont 15 femmes et 47 hommes, ont reçu une formation sur la prévention de l’exploitation et des abus sexuels (PSEA).

Le PAM, en collaboration avec l’Action pour le Développement Intégral de la Jeunesse et de la Femme (ADIJF) – a formé 425 personnes membres d’organisations paysannes sur la gestion post-récolte et les techniques de stockage dans les villages de Luvingi dans le territoire d’Uvira. De plus, 49 000 enfants et personnes vivant avec le VIH/SIDA ont reçu des produits nutritifs pour traiter la malnutrition.




Ituri : Le PAM n’a pu atteindre qu’un petit contingent de bénéficiaires en raison de l’accès humanitaire limité et de l’insécurité

 En décembre, le bureau de Bunia a touché 248 000 personnes avec une aide en nature, un soutien en espèces et des fournitures pour la prévention et le traitement de la malnutrition. Les distributions générales de nourriture ont touché 42 000 personnes, dont 3 132 réfugiés Sud-Soudanais. Le PAM est en train de négocier avec le comité directeur des bénéficiaires à la suite d’une manifestation qui s’est déroulée ces dernières semaines devant les bureaux de Bunia en raison de la pénurie de produits de base.

Le bureau de Bunia a engagé les autorités provinciales à gérer et à communiquer avec les bénéficiaires sur les défis de la fourniture de l’aide humanitaire. Le programme de transferts en espèces a touché 151 000 personnes et le bureau de pays explore d’autres moyens de mobiliser des ressources en espèces pour une distribution au cours de la deuxième semaine de janvier 2023. Le PAM a aidé 54 000 enfants et personnes vivant avec le VIH/SIDA en leur fournissant des produits nutritifs pour la prévention et le traitement contre la malnutrition.

Le bureau de Bunia n’a pu atteindre qu’un petit contingent de bénéficiaires en raison de l’accès humanitaire limité et de l’insécurité. En outre, les deux zones de santé, comme Aungba et Biringi, n’ont pas encore reçu de produits nutritionnels en raison de retards dans la chaîne d’approvisionnement. Les livraisons sont lentes en raison des problèmes routiers qui se sont aggravés avec la saison des pluies.