Kasaï : Le PAM a apporté à 221 000 personnes une aide alimentaire en nature

Le rapport du PAM publié ce jour indique que la distribution de l’aide en nature a commencé tardivement en raison des procédures de vérification, et 62 000 personnes ont reçu des rations réduites de farine de maïs, d’huile, de légumineuses et pas de sel à Kamonia en raison des pénuries.  Le bureau a apporté une aide en espèces à 137 000 personnes dans trois zones de santé.

Le projet de résilience PAM-FAO va publier les résultats validant la liste des bénéficiaires. Le bureau est prêt à commencer les enquêtes sur les transferts en espèces et la nutrition dans trois zones de santé au cours de la deuxième semaine de janvier 2023. En outre, le bureau a finalisé tous les accords de terrain (FLA) pour 2023 et attend le feedback du bureau de pays. Le PAM a distribué des produits nutritifs à 21 000 enfants, femmes enceintes et personnes vivant avec le VIH/SIDA pour traiter et prévenir la malnutrition.




En décembre : Le PAM a atteint 1,1 million de personnes avec une assistance en nature, en espèces et nutritionnelle

Dans un rapport dont lequotidienrdc.com a reçu une copie, le PAM a atteint 1,1 million de personnes avec une assistance en nature, en espèces et nutritionnelle. Le PAM a soutenu 549.000 personnes par des distributions de nourriture et a atteint 397.000 personnes par des transferts en espèces. En outre, le PAM a fourni à 212.000 enfants et femmes et filles enceintes et allaitantes des produits nutritifs pour traiter et prévenir la malnutrition. Mais quelle est la situation dans les provinces ?




Marie Olive Lembe Kabila, un cœur en or (Papy Tamba)

Certains la critiquent, mais sont incapables de faire comme elle. Elle est souvent haïe par cette minorité des congolais par pure jalousie. Ils ne s’expliquent pas son succès ; mieux, que les actions qu’elle pose au bénéfice de la population contribuent à sa notoriété devant cette même population. Mais pour quelle raison ?

Quand ils étaient dans l’opposition, leurs critiques pouvaient laisser croire à des frustrations de ne pas vivre sous les mamelles du régime en place. Mais quand ces critiques se poursuivent, alors qu’ils sont au pouvoir, cela devient incompréhensible. Surtout quand leur régime à eux se distingue par des détournements de très fortes sommes d’argent. Leur manque-t-il des moyens pour faire mieux que maman Olive Lembe Kabila ?

Ce qui leur manque, c’est son cœur. Ils ont la méchanceté de la critiquer, mais ils n’ont pas son cœur en or pour faire des choses à la faveur des congolais. Ils lui mènent donc une lutte perdue à l’avance, car ils ont affaire à une femme qui agit naturellement et par pure charité. On peut le dire : Dieu bénit et protège sa fille Marie Olive Lembe Kabila contre les traits enflammés du malin.

Ils devraient avoir honte…

Il y a plus d’un an, ils ont osé toucher aux réserves de change pour faire concurrence à Marie Olive Lembe Kabila dans le dossier des poissons Chinchards. Ils ont fait perdre de l’argent au pays et ont fait perdre du boulot aux congolais, car Egal a préféré fermer ses portes pour éviter tout affront. Ils n’ont pas encore cessé de se casser la gueule, car on ne combat une innocente comme Marie Olive Lembe Kabila sans se heurter devant le maître de l’univers.

Ont-ils déjà évalué ou imaginé le nombre de congolais bénéficiaires de ses gestes d’amour et qui prient pour elle ?

Marie Olive Lembe Kabila a commencé le commerce dans l’agro-alimentaire avant même l’arrivée de l’Afdl au pouvoir. Déjà à cette époque, elle avait déjà posé des gestes de charité envers les siens qui ont laissé des marques indélébiles. Sa nature tournée vers la volonté d’aider ses semblables est une valeur intrinsèque qu’elle a intégrée en elle, au point de s’identifier à sa personne. On ne combat pas des telles personnes. Elle n’est pas devenue généreuse une fois devenue épouse d’un chef de l’Etat, elle est généreuse de nature.

Comme disent les français, je ne déteste pas nos amis Tshilejelu, mais je déteste le diable qui habite en eux. Comment des personnes humaines peuvent atteindre leur degré de méchanceté ? On le sait, les ténèbres ne régneront pas toujours. Toute cette méchanceté rappelle le règne d’Absalon dans les saintes écritures. Ce n’est qu’une question de temps.

*“Le plus excellent symbole du peuple, c’est le pavé. On marche dessus jusqu’à ce qu’il vous tombe sur la tête.”* Victor Hugo




Haut Katanga : L’AVC salue la maturité de ses militants

Dans un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, le parti politique Autre Vision du Congo (AVC), sous la conduite de Didier Budimbu, son Autorité morale, salue la maturité dont ont fait preuve ses militants en demeurant imperturbables face aux provocations de ceux qui souhaitent, d’une part, perturber la paix et d’autre part, se victimiser pour gagner la confiance des Katangais.

A l’évidence, indique la même source, cette situation est planifiée en vue de jeter le discrédit sur le processus et trouver un moyen de justifier leur échec sur l’ancrage de leurs formations politiques sur le terrain…

L’AVC met quiconque au défi de démontrer que son autorité morale a tenu des propos teintés de xénophobie ou à caractère tribal. L’AVC invite la population katangaise à rester focus sur le processus qui suit bien son cours.

 




Campagne “pas une école sans bancs » : Tony Mwaba visite trois ateliers de fabrication des 60.000 bancs

Au total, on aura 60.000 bancs, destinés pour la première phase, à 6 Provinces, en raison des 10.000 bancs par province. Ces bancs sont destinés aux écoles qui sont nécessiteuses pour permettre à ce que les enfants étudient dans des bonnes conditions. Pour Tony Mwaba, à côté de la gratuité, il y a la qualité de l’enseignement sur laquelle on devra veiller. Et les bancs permettront effectivement que les élèves soient dans de bonnes conditions d’enseignement et d’apprentissage.

Engagé pour la pérennisation et la consolidation de la gratuité de l’enseignement primaire, programme phare de la Vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le Professeur Tony Mwaba Kazadi ne se repose pas. C’est ce qui justifie sa descente sur terrain ce jeudi 19 janvier 2023 dans trois ateliers situés respectivement sur 2ème, 11ème et 15ème rue, dans la Commune de Limeté Industriel où sont fabriqués 60.000 bancs pour la première vague à destination des 6 Provinces, à raison de 10.000 bancs par province.

C’est la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) qui a mis à la disposition de l’Etat congolais ses ateliers pour la fabrication des bancs de qualité, dont le bois acheté sur le marché local pouvant avoir une durée de vie de plus des 50 ans.

L’Eglise catholique a confié ce travail de la fabrication des bancs, sur financement à 100% du Gouvernement congolais, à ses trois structures qui travaillent en collaboration parfaite. Il s’agit de Sœurs de Sainte Famille de Bordeaux, Caritas Idiofa et L’Asbl Adecco.

Accueilli d’abord à la 2ème rue, le professeur Tony Mwaba Kazadi, a été conduit dans une visite guidée par la Révérende soeur Gitoka, qui était accompagnée par différents architectes selon les trois différentes structures.

C’est ici que la sœur Elisabeth Gitoka a indiqué à l’attention du Ministre de l’EPST : ”Les bancs sont fabriqués ici à Kinshasa et dans quelques autres provinces. Nous avons réparti le travail de cette manière pour éviter la déforestation, étant donné que le bois de qualité est vendu ici à Kinshasa”, a-t-elle déclaré, avant de préciser que ”ce bois est acheté sur le marché local, privilégiant ainsi la qualité des bancs en termes de la durée de vie”, a souligné la Révérende sœur.

Elle a souligné que :”c’est un travail supervisé par la CENCO, qui est engagée résolument dans la vision du Chef de l’Etat à travers son programme de la gratuité de l’enseignement primaire surtout dans sa dimension de la qualité des conditions d’apprentissage ”, a fait savoir la Révérende sœur.

Le satisfecit de Tony Mwaba

Se livrant à la presse à l’issue de sa visite, le ministre Tony Mwaba Kazadi n’a pas manqué d’exprimer ses sentiments de satisfecit au regard du travail abattu :”Vous m’avez accompagné dans trois sites pratiquement, où on est en train de nous fabriquer des bancs. Au total, on aura 60.000 bancs, destinés pour la première phase, à 6 Provinces, à raison des 10.000 bancs par province”, a déclaré le patron de l’EPST avant de préciser la destination de ces bancs : « Ces bancs sont destinés aux écoles qui sont nécessiteuses pour permettre à ce que les enfants étudient dans des bonnes conditions”, a-t-il indiqué.

Là-dessus, le ministre a affirmé :”A côté de la gratuité, il y a la qualité de l’enseignement sur laquelle on devra veiller. Et les bancs permettront effectivement que les élèves soient dans des bonnes conditions d’enseignement et d’apprentissage.

Et nous veillons sur ça, sur instruction du Chef de l’Etat, Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, sous la coordination du Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, Chef du Gouvernement central au travers mon Ministère, qui a passé le contrat avec ces fournisseurs pour nous aider dans le cadre de la campagne :”Pas une école sans bancs”, avec la Direction des Infrastructures Scolaires de l’EPST, voilà le travail qui est en train d’être fait”, a précisé le professeur Tony Mwaba.

Il a signalé par la suite “mais déjà pour certaines provinces, on a fabriqué des bancs qui sont déjà partis à destination. La phase qui restera, c’est celle de distribution également. Nous allons nous organiser au sein du Ministère avec tous les Directeurs provinciaux qui vont nous donner les listes des écoles qui sont dans le besoin, nous allons essayer de faire parvenir ces bancs”, a-t-il fait savoir.

Quant à savoir les six premières provinces concernées, le Ministre n’a pas voulu indiquer la liste en faisant observer que :” nous avons des provinces qui sont déjà ciblées d’abord au nombre des six. Quand on aura fini, la deuxième phase, ça sera les autres provinces”.

Pour manifester son satisfecit, Tony Mwaba tance : « Ça, c’est du concret. Ce ne sont pas des discours. Ce ne sont pas des promesses comme on dit. Mais là, nous sommes en pleine exécution et réalisation du projet”.

Sensible à l’ouverture dont le Gouvernement est bénéficiaire de la part des Pères Spirituels à travers la CENCO, Tony Mwaba Kazadi a déclaré :”Je voulais de façon particulière, remercier la CENCO, parce que la production de ces bancs se fait dans les ateliers qui ont été disponibilisés par elle qui accompagne aussi la gratuité. Voilà pourquoi elle a manifesté ce soutien-là, en nous offrant les espaces non seulement pour fabriquer ; mais aussi à entreposer les bancs, en attendant que ça aille dans les écoles”.

 L’Architecte Armel Djamba, superviseur des travaux a indiqué que le projet est réalisé à ce jour à plus de 70% dont beaucoup de bancs ont été déjà évacués en provinces et l’on n’attend que le Gouvernement désigne les écoles bénéficiaires pour les distribuer”, a-t-il informé.

Enfin, la Révérende sœur Elisabeth Gitoka a confirmé que ces travaux sont réalisés dans les ateliers de l’Eglise :” On travaille en partenariat avec les Congrégations, les diocèses, les communautés religieuses et c’est comme ça que nous avons fait le tour de ces trois ateliers”, a-t-elle conclu.




Gratuité et lutte contre les antivaleurs : 1er face-à-face Tony Mwaba – Gestionnaires des Écoles conventionnées

Au menu de ce face-à-face, l’invitation à tous pour le respect strict de la mesure de la gratuité de l’enseignement primaire et la lutte contre les antivaleurs dans le Sous-secteur de l’EPST. Deux actions dans lesquelles, il a engagé le Ministère depuis qu’il a été porté à sa tête.

A peine rentré de festivités de fin d’année 2022 et de Nouvel An 2023, le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi a réuni tous les Coordinateurs nationaux, provinciaux, les Conseillers résidents…, dans la salle Crec, située dans la commune de la Gombe à Kinshasa ce mercredi 18 janvier 2023.

Après leur avoir présenté ses vœux les meilleurs pour la nouvelle année, le Ministre a tenu à rappeler le rôle de chacun. Qu’il s’agisse des partenaires qui sont des confessions religieuses et des Coordonnateurs qui sont des agents de l’Etat à travers désormais son Arrêté.

C’est à ce sujet, qu’il a déploré le fait que le jour où il était à l’Hôtel Béatrice pour mettre en place le Cadre permanent de concertation avec les Confessions religieuses dans la gestion des établissements scolaires, il y a eu quelques enseignants qui sont venus manifester au Cabinet du Ministre.

Après investigation, il s’est avéré qu’il s’agissait des enseignants des écoles conventionnées. Une manifestation qui était organisée en violation des dispositions légales.

 Désormais, une fois identifiés sur la rue, pour préjudicier la formation des enfants qui sont abandonnés dans les salles de classes, pendant qu’ils viennent manifester au Cabinet, la sanction sera la désactivation. C’est la confession religieuse qui va les prendre en charge jusqu’à ce qu’ils reviennent à l’ordre.

Car, s’est-il justifié, ”après identification de ces manifestants, il a été établi qu’il ne s’agissait pas d’une manifestation des enseignants, mais plutôt une activité politique. Pour preuve, a expliqué le Ministre, celui qui a pris la parole comme représentant de ces manifestants, a dès l’entame de son intervention, indiqué :”C’est une année électorale, nos écoles ont été désactivées. Il y a des leaders politiques qui s’étaient battu pour la réactivation de nos écoles, voilà pourquoi nous sommes venus réclamer nos arriérés des salaires…”, a-t-il déclaré.

Aucun enseignant n’a le droit d’abandonner les enfants en classe pour venir manifester sur la rue

Lui-même va se livrer lorsqu’il va se présenter comme un Secrétaire général adjoint d’un parti politique de l’Opposition, annoncé candidat aux prochaines élections. Il n’est pas interdit à un enseignant d’entrer en politique, a poursuivi le ministre Tony Mwaba, mais que cela ne soit pas fait au préjudice de la formation des élèves.

”Aucun enseignant n’a le droit d’abandonner les enfants en classe pour venir manifester sur la rue. A moins qu’il soit membre de la délégation syndicale. Qu’à cela ne tienne, même s’il est de la délégation syndicale, il doit avoir un ordre de mission”, a martelé le professeur Tony Mwaba Kazadi.

Voilà pourquoi, il avait instruit que des actions disciplinaires soient ouvertes à l’endroit de ces enseignants”, a exigé le patron de l’EPST.

”Comme je l’avais dit, vous êtes agents de l’Etat. Vos représentants légaux vous désignent par une simple lettre. Mais cette simple lettre ne vous donne aucun droit pour être pris en charge par le SECOPE. Il m’appartient à moi de l’entériner par un arrêté ministériel qui va faire de vous agents publics de l’Etat.

Pour cela, j’attends de vous le rendement meilleur fondé sur les résultats ”, a fait observer Tony Mwaba Kazadi, tout en exigeant que les Coordinateurs puissent tenir compte de la compétence et de la qualité des enseignants lors du recrutement.

”Veillez sur le recrutement des enseignants. Ceux-ci doivent être des modèles”, a martelé le professeur Tony Mwaba Kazadi. Il faut aller plus loin, même pour les chefs d’établissements, les Coordinateurs nationaux, Provinciaux…

A ce sujet le n°1 de l’EPST a rappelé que son Ministère a adressé les correspondances aux Chefs des Confessions religieuses, pour qu’ils lui envoient les listes des candidats à nommer à la tête des Coordinations des établissements scolaires. Ce n’est pas cette liste qui donne automatiquement le droit à la prise en charge par le Trésor public, a-t-il fait remarquer.

”Contrairement à ce que j’avais annoncé de signer un arrêté collectif, j’ai résolu de signer un arrêté individuellement après m’être entretenu avec chacun de vous. Parce qu’à partir de cet arrêté, vous devenez automatiquement agent de l’État. Cela constitue une sécurité pour vous, pour ne pas subir les caprices de vos représentants légaux ”, a répété le Ministre avant de les inviter au travail :”Je vous invite au travail. Un travail basé sur les résultats. Des résultats visant la consolidation de la gratuité de l’enseignement primaire et la lutte contre les antivaleurs. Manifester aussi sur la rue en abandonnant les enfants à l’école, est aussi une antivaleurs. Il faut pour cela sanctionner”, a insisté le Ministre de l’EPST.

Veillez sur la rigueur dans la gestion des établissements scolaires, ainsi que sur la viabilisation des infrastructures scolaires.




Audience générale : le pape « recommande » la RDC à la « prière » des fidèles

Le pape François s’est adressé aux fidèles au terme de l’audience générale de ce mercredi 18 janvier 2023, Salle Paul VI, en les invitant à prier pour la RDC, à deux semaines de son voyage dans ce pays (du 31 janvier au 3 février).

Il a en effet dit : « Je salue cordialement les pèlerins de langue française présents aujourd’hui, en particulier le groupe de fidèles, venu de la République Démocratique du Congo, un pays que j’irai visiter à la fin du mois et que je recommande à votre prière ! »

Selon Vatican News, dans la capitale de la RDC, Kinshasa, les préparatifs pour la visite du pape François avancent : c’est ce qu’a déclaré – le 17 janvier – l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo, après avoir visité plusieurs chantiers, notamment à l’aérodrome de Ndolo où le pape présidera une messe le 1er février. Au moins deux millions de personnes sont attendues pour cet événement.




Matete : La mort par avortement d’une fille de 17 ans agite les jeunes

Au quartier Debonhomme dans la commune de Matete, les forces de Police sont à couteaux tirés avec des jeunes emportés contre une famille éplorée. Il nous revient qu’au centre de la discorde, la mort mardi 10 courant, d’une fille (vivant dans la famille maternelle). Elle a été victime d’un avortement sans succès, tandis qu’elle est en 6è des Humanités, donc candidate aux épreuves d’examen d’Etat en cette année scolaire 2022-2023. La source indique que la colère est montée d’un cran chez les jeunes, par solidarité au partenaire sexuel de la défunte, un garçon du quartier. Ils accusent la grand-mère maternelle (veuve de son état) et la mère de la victime d’avoir usé d’ascendance sur la pauvre. Voilà pourquoi lesdits jeunes (que le commun présente sous le statut collectif de ‘’kuluneurs’’ veulent en découdre avec la famille éplorée. ‘’Nous devons détruire la maison familiale en guise de leçon à ces gens qui ont usé de sorcellerie de plein jour (…)’’, a confié un membre du groupe sous la furie. Il nous revient qu’entre 19 et 20 heures, en une semaine, la Police a tiré en l’air quatre fois pour repousser des assaillants. Visiblement, les habitants, les vendeurs et vendeuses d’alentour passent des moments pas bien. Car la tension est telle que même les passants ne se permettent pas de prendre le risque. Pour l’heure, rapporte la source, la grille de la parcelle est sous protection d’agents de la Police qui alternent. Le partenaire sexuel de la défunte ne saurait intenter une action en Justice, faute d’avoir officialisé ses relations. La source rapporte que la mère du garçon aurait tenté de dissuader la fille, mais en vain. Les proches de la défunte pointées du doigt auraient le bénéfice du doute, certes, mais pas celui du tourment de la conscience. ‘’Ndenge nini yo koko ya veuve oboya ba kokolo, ezalaka ?’’, s’est écrié un observateur. (Pour dire : Est-il pensable qu’une grand-mère veuve empêche la venue d’une autre génération en famille, en ouvrant le champ à l’avortement ?)

Quand activistes d’ONG et professionnels des médias blanchissent l’avortement…  

Le contexte actuel est marqué par une forte implication d’activistes locaux d’ONG et de professionnels des médias dans la campagne visant à présenter l’avortement sous un jour passable. Cette façon, à la lecture de la sagesse’ africaine, de garder la porte grande ouverte de nuit, pose une double interrogation : ou l’on est sûr de passer toute la nuit en éveil, ou l’on présume que l’irruption nocturne pour vol n’est pas une pratique propre aux villageois.  ‘’Se bongo lisumu likoteli biso. Nani akobikisa biso, bobele yo Messia. Limbisa biso Mokonzi, tosali masumu (…)’’, réitère le célébrant de la messe. (Comprendre : Ainsi le péché est entré dans le monde. Qui va nous sauver, si ce n’est toi, le Messie. Prends pitié, Seigneur, car nous avons péché…). La campagne autour de l’avortement a pris une dimension continentale, impliquant même certains décideurs habitués aux sujets ‘’sensibles’’ qui font mobiliser des chèques bancaires et des paquets d’argent, à la suite de l’ONU et des ONG de son système international. Estomaqué, un père de famille a exprimé son émotion en ces termes : ‘’Ces gens qui s’embobinent dans la campagne visant à donner à l’avortement une place dans l’échelle des valeurs de nos sociétés devraient tenir compte, je pense, des préalables. Car avortement c’est comme covid19. Une chose est de faire le constat de sa présence, une autre de se préoccuper de la qualité à un double niveau : la disponibilité du personnel soignant et l’équipement à la disposition de ce dernier’’.

Payne




Impaiement des prestataires Covid-19 : Le professeur Muyembe contredit Nicolas Kazadi

L’opinion congolaise a suivi les différentes versions sur les causes de l’impaiement des prestataires Covid-19 données par les autorités concernées à cette affaire. Ces versions de causes ont été relayées tour à tour lors des interview exclusives accordées à la radio Top Congo, premièrement par le ministre des Finances Nicolas Kazadi et ensuite par Jean-Jacques Muyembe, coordonnateur de la riposte du Covid-19.

Le ministre des Finances Nicolas Kazadi avait déclaré qu’il y a refus de paiement des prestataires Covid-19 sur base du rapport publié par l’IGF.

Répliquant par rapport à la déclaration du ministre à travers une interview accordée à la même radio, Jean-Jacques Muyembe coordonnateur de la riposte du Covid-19 n’a pas hésité de qualifier cela de mensonge.

Ce dernier a donné une différence entre la riposte, qui est la charge du gouvernement et Covid voyage, qui est de la responsabilité de l’INRB (Institut national de recherche biomédicale) dont la mission est notamment de faire des analyses. Ce n’est pas l’INRB qui va payer ces prestataires, a-t-souligné. Il a poursuivi, le Covid voyage, c’est le test comme la glycémie et autres. Mais nous le faisons avec l’hôpital du cinquantenaire et l’hygiène aux frontières. L’argent généré est partagé entre ces 3 parties. Cet argent nous sert à payer les agents de l’INRB qui n’ont aucun arriéré de salaire”, a récemment affirmé, sur Top Congo FM, le docteur Jean-Jacques Muyembe.

Selon Jean-Jacques Muyembe, il y a eu aucun soupçon de détournement lors du passage de la Cour des comptes à l’INRB. « Il faut arrêter de mentir. Je respecte beaucoup nos institutions. La Cour des comptes nous a contrôlé et n’a rien trouvé. L’IGF est venu pour la première fois et nous a félicité », a-t-il dit.

À en croire le coordonnateur de la riposte du Covid-19, la deuxième fois que l’IGF était passée à l’INRB, elle avait fait 6 mois et pour lui, cela était un « acharnement ». Notons que plusieurs sources concordantes affirment qu’il y aurait un probable détournement des fonds à l’INRB.

Mamie Ngondo




Grâce à Julien Paluku : Angèle Ndeze s’envole à Orlando/USA pour parachever sa formation en pilote de gros porteurs

Fruit de l’école du cinquantenaire créée sous l’initiative de Julien Paluku Kahongya, alors Gouverneur du Nord-Kivu, Angèle Ndeze, après avoir réalisé son rêve en devenant pilote privée au Kenya grâce à la bourse du Gouvernement provincial du Nord-Kivu, vient de bénéficier cette fois-ci de la bourse de la fondation Julien Paluku Kahongya, ministre de l’Industrie pour parachever sa formation en pilote de gros porteurs à Orlando aux États-Unis d’Amérique.

La fille qui fait désormais la fierté de la République Démocratique du Congo en général et de l’Est en particulier a pris son vol ce dimanche à l’aéroport international de N’Djili, direction États-Unis d’Amérique.

Avant d’embarquer, Angèle Ndeze a jeté des fleurs au ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya qui se distingue dans les œuvres de magnanimité à travers les différentes provinces que compte la République Démocratique du Congo.

Signalons que, Angèle Ndeze figure parmi plusieurs élèves et étudiants qui bénéficient de la bourse de la fondation Julien Paluku Kahongya en République Démocratique du Congo et à l’étranger