Comment est-il utilisé ?

Le FMI a recours à l’exercice d’alerte avancée pour circonstancier les conseils stratégiques qu’il prodigue, en particulier l’analyse des risques économiques, financiers, budgétaires et extérieurs ainsi que des retombées d’un secteur et d’un pays à l’autre. L’exercice est réalisé à intervalle semestriel, en étroite coordination avec les équipes qui rédigent les Perspectives de l’économie mondiale, le Rapport sur la stabilité financière dans le monde, et le Moniteur des finances publiques, les publications phare du FMI sur la surveillance mondiale. Grâce aux activités de surveillance au niveau national, régional et mondial, le FMI assure le suivi des conclusions et recommandations de l’exercice d’alerte avancée.




En quoi consiste l’exercice d’alerte avancée ?

L’exercice d’alerte avancée est une évaluation semestrielle, réalisée par le FMI et le Conseil de stabilité financière (CSF), des risques à faible probabilité mais à forte incidence sur l’économie mondiale (également appelés « risques extrêmes »). Le premier exercice d’alerte avancée mené conjointement par le FMI et le CSF a été lancé en 2008, à la demande du G20, afin d’aider les décideurs à repérer les risques extrêmes et les facteurs de vulnérabilité qui pourraient entraîner de nouveaux chocs systémiques.




Quels sont les organismes responsables de la LBC/FT ?

Le Groupe d’action financière sur le blanchiment des capitaux (GAFI), un organisme intergouvernemental, a comme responsabilité première d’établir des normes mondiales de LBC/FT. Il travaille en étroite collaboration avec d’autres organisations, telles que le FMI, la Banque mondiale, l’Organisation des Nations Unies et les organismes régionaux de type GAFI.

Pour aider les autorités nationales à appliquer des dispositifs efficaces de LBC/FT, le GAFI a formulé des recommandations couvrant le système de justice pénale, le secteur financier, certaines activités et professions non financières, la transparence et les mécanismes de coopération internationale. En collaboration avec les organismes régionaux de type GAFI, le FMI et la Banque mondiale, le GAFI veille à ce que les pays respectent ces recommandations.




Que fait le FMI en matière de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme ?

Le FMI a acquis une expérience de plusieurs décennies dans ces domaines. Il a contribué à l’élaboration de mesures de lutte contre le blanchiment d’argent (LBC), contre le financement du terrorisme (FT) et contre le financement de la prolifération, au niveau international et dans les dispositifs de ses pays membres.

En 2000, le FMI a intensifié ses activités en matière de lutte contre le blanchiment d’argent. Après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, ces activités ont été étendues à la lutte contre le financement du terrorisme. En 2004, le conseil d’administration du FMI a convenu que les évaluations et le développement des capacités en matière de LBC/FT feraient partie intégrante des activités de l’institution.

En 2018, dans le cadre de son cycle quinquennal d’évaluation, le conseil d’administration a examiné la stratégie de LBC/FT du FMI et a formulé des orientations stratégiques pour les travaux futurs.

Le programme de surveillance bilatérale du FMI évalue dans quelle mesure les pays respectent les normes internationales de LBC/FT et aide les pays à élaborer des programmes visant à pallier les lacunes constatées. La LBC/FT est prise en compte dans le cadre d’autres activités du FMI, notamment dans le contexte du programme d’évaluation du secteur financier (PESF), ainsi que par l’intégration dans les programmes de prêts du FMI dans certains cas, et par la réalisation d’évaluations de la LBC/FT et d’activités de développement des capacités avec nos pays membres. Le FMI analyse également l’impact de certaines évolutions majeures, telles que les monnaies virtuelles, les technologies financières (fintech), la finance islamique, le coût et les stratégies d’atténuation des effets de la corruption, les flux financiers illicites et le déclin des relations de correspondance bancaire, du point de vue de l’intégrité financière.

En 2009, le FMI a lancé l’AMLFT, un fonds de fiducie appuyé par les bailleurs de fonds (le premier d’une série de fonds fiduciaires spécialisés, désormais appelés fonds thématiques), pour financer le développement des capacités en matière de LBC/FT.




Pourquoi le FMI se soucie-t-il du blanchiment des capitaux et du financement du terrorisme ?

Le FMI s’inquiète des conséquences du blanchiment des capitaux, du financement du terrorisme et du financement de la prolifération (apport de fonds ou prestation de services financiers pour des armes nucléaires, chimiques ou biologiques), ainsi que des délits connexes qui minent le secteur financier et l’économie en général, indique le site internet du FMI. Ces délits peuvent saper la stabilité des pays et, partant, affaiblir l’ordre public, la gouvernance, l’efficacité de la réglementation, les investissements étrangers et les flux de capitaux internationaux.

Les activités de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme dans un pays peuvent avoir des répercussions négatives graves au-delà de ses frontières, voire au niveau mondial. Les pays où la réglementation est faible ou inefficace sont particulièrement attrayants pour les blanchisseurs de capitaux et les financiers du terrorisme. Ceux-ci s’efforcent de dissimuler leurs activités criminelles en exploitant la complexité du système financier mondial, les différences entre les législations des différents pays et la vitesse de circulation de l’argent à travers les frontières.




A Lubumbashi : Julien Paluku lance l’étude de préfaisabilité de la ZES des batteries électriques de Kinsevere

C’est ce jeudi que le Ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya a procédé à Lubumbashi au lancement officiel de l’étude de préfaisabilité de la Zone Économique Spéciale de Kinsevere à l’intérieur de laquelle sera installée la première usine de fabrication des précurseurs des batteries électriques; étude que mène la société ARISE, spécialisée dans le développement des Zones Économiques Spéciales en Afrique.
A cette, occasion, le ministre de l’Industrie a appelé les leaders et les populations des 4 provinces issues du démembrement du grand Katanga ainsi que la Fédération des Entreprises du Congo-FEC de s’approprier ce grand projet qui va changer l’économie de la République Démocratique du Congo
Il faut dire que cela fait 1 mois jour pour jour qu’il a été signé à Kinshasa l’accord-cadre et qu’une forte délégation est à Lubumbashi, avec tous les partenaires, pour que cette fois-ci passer de la parole à l’acte, ainsi matérialiser la vision du président de la République qui tient à changer les paradigmes de gestion des ressources naturelles.


Et ce, parce que selon Julien Paluku, ministre de l’Industrie, il a été constaté que depuis 1960, nous ne captons rien de nos ressources naturelles lorsqu’elles sont exportées à leur état brut. Pour le président, il faut commencer la transformation locale, pour que nous puissions élever la valeur de nos richesses et ainsi capter en termes de budget, des taxes et des retombées pour créer de l’emploi chez nous.
« Parce que lorsque nous exportons des matières brutes, nous allons créer de l’emploi et de la richesse ailleurs. Voilà pourquoi le président a estimé qu’il est important que nous puissions, ici et maintenant créer des Zones économiques spéciales à travers laquelle celle de Kinsevere abriter les unités de transformation de nos ressources naturelles en précurseurs des batteries et demain en véhicules électriques. Parce que le marché mondial est évalué à des milliards des dollars. Surtout que d’ici 2025, nous allons chasser en circulation tous les véhicules à moteurs thermique. Si on va chasser tous les véhicules à moteur thermique de l’Europe, il faudra les remplacer par ceux fonctionnant à moteur électrique », explique-t-il.
Pour y arriver, le patron de l’Industrie rappelle qu’il faut le lithium, le cobalt, le manganèse, …qui se trouvent être des minerais produits en Rdc. Voilà pourquoi, avant d’arriver à cette phase, nous sommes venus lancer cette étude de préfaisabilité qui nous donne tous les éléments détaillés et qui vont nous permettre d’arriver à ce stade-là, de transformation de nos ressources naturelles, afin que la mobilisation des fonds soit appuyée sur un document qui rend plus ou moins rentable tout investissement qui doit se faire en Rdc. C’est une mission de terrain qui s’inscrit dans une vision prospective et qui met la Rdc à l’orbite du développement à l’horizon 2030-2040.


La société ARISE par l’entremise de son représentant en Afrique, Romain Deniel en a profité pour rassurer le Gouvernement congolais et la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique-CEA de sa capacité technique avérée pour bien réaliser cette étude qui augure désormais l’opérationnalisation de ce projet intégrateur.
Signalons que le Vice-Gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa et la Gouverneure du Haut-Lomami, Isabelle Mushimbi ont jeté des fleurs au Président de République, Félix Tshisekedi, car ce projet gigantesque va créér des richesses et d’emplois dans l’espace Grand Katanga.


Aussi les discours d’Auguy Bolanda, Denis Lecouturier et le Professeur Jean-Marc Kilolo, respectivement Directeur Général de l’AZES, du CCB et Économiste à la CEA ont été au rendez-vous.




Alexis Mangala primé meilleur coordonnateur des projets de développement de la Rdc par le Gouvernement

Au cours d’une cérémonie organisée jeudi 27 avril par le ministère des Finances, à travers la Coordination de suivi des projets des partenaires, au Fleuve Congo Hôtel, le Gouvernement a primé les meilleurs coordonnateurs des projets de développement de la RDC, tous bailleurs de fonds confondus.

« Double distinction avec mention honorable et les félicitations du jury pour Alexis Mangala Ngongo ! », telle aurait pu être la décision si l’on se plaçait dans les arcanes de l’université. En effet, le Coordonnateur de l’unité de coordination du PADMPME et du Projet TRANSFORME a reçu des mains du ministre d’Etat Alexis Gisaro, ministre des Infrastructures et travaux publics, au nom du Gouvernement, deux certificats de mérite pour avoir excellé dans le cadre du contrat de performances conclu avec le ministre de l’Entrepreneuriat et PME.

Cette reconnaissance sanctionne les efforts de l’Unité de coordination du PADMPME dans la mise en œuvre de la politique du Gouvernement pour le soutien à l’entrepreneuriat des PME. Le leadership de Mangala Ngongo a permis d’exploser presqu’en les doublant tous les indicateurs du cadre des résultats du PADMPME avant la clôture. Par exemple, la cible jeunes entrepreneurs fixée à 750 a été réalisée à 960 et bien plus si l’on y intègre 1600 jeunes formés au module STEP. La cible femmes micro-entrepreneures fixée à 4500 a été réalisée à 7720 et bien d’autres encore dont les impacts sont en train de s’étaler au jour le jour parmi les bénéficiaires.

Au nom de ces performances, la Banque mondiale, partenaire du gouvernement sur le projet, a validé un deuxième accord comme phase de mise à l’échelle des résultats obtenus sur le pilote. Il s’agit du Projet d’autonomisation des femmes entrepreneures et mise à niveau des PME pour la transformation économique et l’emploi, TRANSFORME, passant de 4 à 7 villes et à un financement trois fois plus important que l’enveloppe initiale du PADMPME de 100 millions de dollars américains.

Jamais un sans deux, le Gouvernement a également salué l’efficacité dans la préparation en un temps record par l’UCP PADMPME du Projet TRANSFORME dont le lancement est intervenu le 6 mars dernier dans les délais de l’Accord de financement conclu le 1er juin 2022 avec la Banque mondiale. Et déjà, à peine lancé, TRANSFORME a procédé à des décaissements des fonds pour appuyer des activités, notamment dans le cadre de la composante consacrée à l’inclusion financière et aux réformes et à la lutte contre la criminalité financière, en faveur de la CENAREF et d’autres structures du secteur bancaire.

Le Gouvernement avait conclu un contrat de performance aux coordonnateurs des projets avec promesse de sanctions pour les contraindre à la gestion axée sur les résultats, familière au secteur, se félicite d’avoir atteint son objectif.

A l’unité de coordination, on ne boude pas son plaisir. Une haie d’honneur a été formée pour saluer le retour au bureau du champion Mangala, fleuri et porté par des vivats du personnel.




Le FMI inquiet de l’augmentation de 30 milliards de CDF de l’état liquidatif de paie des fonctionnaires et agents de l’Etat

Le Ministre des Finances a présenté, à l’attention des membres du Conseil, deux Rapports successifs à la suite de leur mission aux Assemblées de printemps FMI-Banque Mondiale et Rapport d’Evaluation nationale des risques de blanchiment de capitaux et financement du terrorisme. Le premier Rapport a porté sur la participation de la délégation gouvernementale aux travaux des Assemblées de Printemps de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International (FMI).

Outre les séances de travail avec les responsables de haut niveau de ces institutions de Bretton Woods, la délégation Congolaise a eu une série de réunions respectivement avec le Comité de Développement du Groupe de la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International et, la dernière, avec conjointement la Banque Mondiale et la Société Financière Internationale.

Il en ressort que l’économie de la RDC se montre plus résiliente aux chocs par rapport à d’autres pays de l’Afrique subsaharienne. Les performances macroéconomiques réalisées en 2022 au niveau de la croissance du PIB réel, des réserves internationales et de la mobilisation des recettes ont été félicitées aussi bien par le FMI que par la Banque Mondiale.

Le Gouvernement a été encouragé à poursuivre les investissements dans le secteur des infrastructures et les réformes visant l’amélioration de l’environnement des affaires pour attirer davantage le secteur privé et réduire la dépendance de l’économie au secteur minier.

Au sujet des pressions sur le marché des changes et l’inflation, il a été recommandé au Gouvernement des politiques monétaire et budgétaire restrictives avec un accent particulier sur la réduction des dépenses des biens et services ainsi que de fonctionnement au profit des dépenses d’investissement.

Dans la même veine, une décision du Gouvernement a été sollicitée en ce qui concerne les inquiétudes soulevées par le FMI au sujet de l’augmentation de 30 milliards de CDF de l’état liquidatif de paie des fonctionnaires et agents de l’Etat entre janvier et avril 2023 pour atteindre 714 milliards de CDF avec possibilité d’atteindre 800 milliards de CDF à fin 2023. Ce qui est en déphasage total avec les engagements pris dans le cadre du Programme soutenu par le FMI.

Avec la mission du FMI qui séjourne à Kinshasa, les discussions se poursuivent sur toutes ces questions en vue de la conclusion de la quatrième revue du Programme Economique du Gouvernement.

Il sera en outre question de s’accorder sur les déclencheurs du Fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité dont le montant total en faveur de notre pays pourrait atteindre 1 milliard USD.

Le Ministre des Finances a annoncé au Conseil qu’en vertu du principe de rotation, il a, au nom de la République Démocratique du Congo, pris ses fonctions du président du Groupe Afrique II du FMI et du Groupe de la Banque Mondiale composé de 23 pays africains.

Il a été complété par le Ministre d’Etat, Ministre du Budget qui a également fait partie de la délégation gouvernementale.




BCC : Le taux de dépréciation de la monnaie nationale par rapport au dollar américain demeure très faible (Malangu Kabedi)

Invitée à prendre la parole, la Gouverneure de la Banque Centrale du Congo a fait le point de la conjoncture économique du pays.

Il en ressort que les tensions sur les marchés de changes et la surchauffe sur des prix intérieurs des biens et services observées en début d’année tendent à s’inverser positivement depuis les deux premières semaines du mois d’avril en cours.

Cette situation tient, sans préjudice, de la poursuite des efforts de stabilisation fournis par le Gouvernement et la Banque Centrale du Congo, au reflux cyclique de la liquidité dans le système bancaire expliqué de la grande échéance fiscale du mois d’avril. Ainsi, a insisté la Gouverneure, il s’observe un ralentissement de l’inflation en rythme hebdomadaire, situant le taux à 0,15% contre 0,28% de la semaine précédente.

Cette évolution est conjuguée à un processus de stabilisation sur le front du change : le taux de dépréciation de la monnaie nationale par rapport au dollar américain demeure très faible (0,02%), attestant une accalmie sur le marché depuis quelques semaines.

Considérant les facteurs de risques externes liés à la conjoncture économique mondiale et internes relatifs à la guerre à l’Est de notre pays et l’inflation importée, la Gouverneure de la Banque Centrale du Congo a encouragé le maintien de la coordination des actions au niveau des politiques budgétaire et monétaire et la poursuite de l’exécution des réformes structurelles retenues dans le cadre du programme avec le FMI.

 




DGRK : Lancement d’un logiciel numérique pour la collecte des impôts et taxes

Le gouvernement provincial de Kinshasa est déterminé à se doter des moyens financiers pour matérialiser son programme de gouvernance. Vendredi 21 avril 2023 à l’hôtel de Ville de Kinshasa, le ministre provincial des Finances et économie, Félicien Kuluta qui a représenté le gouverneur de la ville Gentiny Ngobila empêché, a procédé au lancement d’un logiciel numérique dont la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK) devra désormais faire usage pour collecter les impôts et taxes dus à la ville.

Dans son mot de circonstance, l’argentier de la ville de Kinshasa a souligné que la digitalisation devient un levier important de gestion de la mobilisation des recettes. Il s’est réjoui de voir la présentation de ce logiciel développé par la société OKAB en collaboration avec des experts de la DGRK. Pour lui, il s’agit d’une solution efficace pour la mobilisation des taxes et impôts, au-delà du logiciel eTax déjà implémenté par la DGRK.

Dans son mot de bienvenue, le Directeur général de la Direction générale des recettes de Kinshasa, Eddy Mfumu Koko, a indiqué que ce logiciel est une solution qui va renforcer le processus de collecte des recettes de la ville de Kinshasa. Il a rassuré que sa direction ne ménagera aucun effort pour tout mettre en oeuvre afin de mobiliser les moyens permettant de financer le programme de gouvernance du gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka axé sur Kinshasa bopeto.

Pour sa part, Armand Franck, Directeur général de la société OKAB basée à Dubaï et spécialisée dans le développement des logiciels numériques, a précisé que ce logiciel a une particularité, celle de combiner le moyen physique et électronique. “On peut rappeler les assujettis qu’ils sont en retard de payer. Et cela se fera de manière automatique grâce à ce logiciel”, a-t-il renseigné. À l’en croire, ce logiciel a été créé sur mesure avec la collaboration de la direction technique de la DGRK pendant près de 8 mois.

“Ce logiciel obéit et respecte la législation en place ainsi que les quatre étapes de la collecte des recettes. En collectant les impôts et taxes de manière électronique, on peut réduire la corruption, mais aussi aider à élargir l’assiette fiscale de la ville de Kinshasa. Nous allons accompagner la DGRK à aller vers la population pour une sensibilisation des citoyens à payer les taxes et impôts”, a indiqué Armand Franck, avant de promettre que sa société va, comme l’exige le cahier des charges, va aussi équiper la Direction générale des recettes de Kinshasa de moyens informatiques modernes.

À la fin de la projection faite séance tenante en vue d’une présentation brève de ce logiciel, le ministre provincial des Finances et économie a, au nom du gouverneur de la ville, convié les services d’assiettes, la DGRK et la Direction générale de publicité extérieure de Kinshasa (DGPEK) à une séance de travail technique avec la société OKAB pour que chaque acteur impliqué dans la chaîne de la recette puisse vérifier si son rôle a été pris en compte.