DGRK : L’échéance du 01 mars 2023 reportée au vendredi 31 mars 2023 pour les assujettis à l’impôt foncier et à l’impôt sur les revenus locatifs 

Faisant suite aux instructions de Son Excellence Monsieur le Gouverneur de la Ville de Kinshasa et pour permettre à tous les contribuables, personnes morales et personnes physiques, assujettis à l’Impôt Foncier (IF) et à l’Impôt sur les revenus locatifs (IRL), exercice 2023/revenus 2022, de s’acquitter massivement de leurs obligations fiscales, l’échéance du 01 mars 2023 est reportée au Vendredi 31 mars 2023.

A cet effet, précise le communiqué signé par M. Eddy Mfumumpoko Monsempo, il leur est demandé de se mettre en ordre et de ne pas attendre le dernier jour. Dépassé ce délai, les retardataires s’exposeront au paiement des pénalités conformément aux dispositions légales et règlementaires en la matière.




DGRK : Les assujettis de la taxe de pollution, autorisation de transport, (…) sommés de s’exécuter au plus tard le vendredi 31 mars 2023

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction et signé par son Directeur général Eddy Mfumumpoko Monsempo, la Direction Générale des Recettes de Kinshasa rappelle les assujettis personnes physiques et morales redevables notamment aux actes générateurs des recettes ci-après : la taxe de pollution sur les installations classées de la catégorie 1b et II; les droits de délivrance de certificat d’homologation (pour restaurant de 0 à 1 fourchette, d’une agence de voyage des catégories C et D et des hôtels de 0 à 1 étoile); la taxe sur autorisation de transport des biens et des personnes; la taxe sur autorisation d’aménagement des parkings privés sur le domaine public de la ville (parkings privés et parkings réservés); la taxe d’enregistrement annuel des établissements de loisirs; la taxe d’homologation auto-école et garage; les frais de certificat médical de bonne santé pour le personnel des établissements classés (CMBS); la taxe de superficie sur les concessions minières; la taxe sur les loyers échus; la taxe sur autorisation de commercialisation de l’eau ; la taxe sur autorisation de production ou d’exécution d’œuvres d’arts et culturelles anonymes; la taxe d’identification annuelle du personnel et des sociétés de gardiennage….

Que l’échéance est fixée au plus tard le Vendredi 31 mars 2023.

A cet effet, il leur est demandé de se mettre en ordre et de ne pas attendre le dernier jour. Dépassé ce délai, les retardataires s’exposeront au paiement des pénalités conformément aux dispositions légales et règlementaires en la matière.




SICOMINES : « Le rapport de l’IGF devait reposer sur des études sérieuses » (Zhu Jing)

Parlant du rapport proprement dit de l’Inspection générale des finances (IGF), Mme Diao Ying, Secrétaire du conseil d’administration de la SICOMINES affirme que depuis sa création, la joint-venture mène ses actions sur base des principes du marché et des règles du commerce international.

C’est ainsi qu’elle pense que certaines affirmations contenues dans le rapport de l’IGF sont sans fondement. « D‘après nous, tous les prêts de la banque qui sont venus dans le projet SICOMINES ont bénéficié à la partie congolaise, ce ne pas seulement les 800 millions, mais les milliards. Pourquoi ? Parce qu’en plus des infrastructures qui coutent à peu près 1 milliard de dollars Us, nous avons construit une usine moderne dans la province du Lualaba et ça coûte quelques milliards. Cette usine fonctionne au profit des Congolais. Donc tous les investissements ont bénéficié à la partie congolaise, au peuple congolais », insiste-t-elle.

Au sujet du montant de 9 milliards d dollars cité dans le rapport, elle voudrait savoir, comment l’IGF a-t-elle fait ses calculs ? Quelles ont été ses méthodes de travail ?

C’est ce qui a poussé l’Ambassadeur de Chine en Rdc, Zhu Jing à affirmer que pour une institution de l’Etat congolais à la dimension de l’IGF, tout rapport produit doit être fondé sur des études sérieuses. Car à ce jour, toutes les accusations contre la partie chinoise ne sont pas assises sur des preuves solides.

« On accuse la partie chinoise de gagner au moins 9 milliards de dollars ! C’est un chiffre contestable. Parce que lorsqu’on prend ce chiffre comme bénéfice de la SICOMINES, il faut mettre en tête qu’elle est entrée en production en 2015 et nous sommes au début 2023, soit 6 ans. Si la SICOMINES avait gagné 9 milliards, ça veut dire que le prix du cuivre durant les 6 dernières années doivent être au-delà de 14.000 dollars par tonne. Or, le prix du cuivre, ça se vérifie. En 2015 c’était 5.000 dollars… C’est à partir de 2019 que la tonne est montée de 8 à 9.000 dollars. C’est un simple calcul que même un élève de l’école primaire peut faire. Il y a d’autres chiffres que l’on peut vérifier de façon mathématique et scientifique », martèle-t-il.

Au sujet de la prétendue surfacturation, il prévient qu’il ne faut pas faire une simple comparaison entre deux établissements. Un hôpital de même superficie et avec les équipements différents, doit conduire à une facturation différente. L’hôpital du cinquantenaire, c’est l’un des hôpitaux les mieux équipés. Les équipements, ça coûte trop cher. Une simple machine à scanner, coûte cher. Il faut prendre tous ces éléments avant de tirer des conclusions objectives.




« La SICOMINES ne choisit pas les projets à réaliser, mais le Gouvernement »

L’Ambassade de Chine en Rdc à travers M. Zhu Jing et la SICOMINES représentée par Mme Diao Ying ont été plus que clairs lors de la conférence de presse organisée le weekend dernier à Kinshasa. C’était lorsqu’ils réagissaient par rapport à la liste des projets non réalisés circulant dans les réseaux sociaux.

« La liste qui a circulé est indicative. Il ne s’agit pas des engagements pris dans la convention sino-congolaise. SICOMINES finance des projets préparés par le Gouvernement. Chaque année ou à une certaine période, c’est le gouvernement qui présente la liste des projets à exécuter », répond Mme Diao, Secrétaire du Conseil d’administration de la SICOMINES.

Selon elle, les projets réalisés par la SICOMINES ne sont pas nécessairement ceux se trouvant dans cette liste circulant dans les réseaux sociaux.

M. Zhu Jing, Ambassadeur de la République populaire de Chine en Rdc a précisé que les entreprises chinoises n’ont pas le droit de dire, nous allons réaliser tel ou tel autre projet. « Tous les projets d’infrastructures sont décidés et proposés par le Gouvernement congolais. La liste dont vous avez parlé, ce ne pas une liste d’engagement, mais il s’agit des projets pour lesquels le Gouvernement envisage de soumettre à la SICOMINES », dit-il, avant de prévenir qu’il ne faut pas confondre les projets et les engagements des entreprises chinoises.

Or dans les médias, et dans certains propos des politiciens, on fait intentionnellement la confusion entre les deux listes.

L’Ambassadeur reconnaît qu’il y a un mécanisme de dialogue, un mécanisme de rencontre établi dans la convention de collaboration. La partie chinoise ne comprend pas pourquoi les gens font du bruit dans les médias, mais sans pour autant utiliser la bonne méthode instituée dans la convention de collaboration.

« SICOMINES est une société congolaise qui bénéficie du financement chinois. La conviction de cette société est de faire du bien aux Congolais. On va continuer dans ce chemin et on va faire beaucoup d’efforts pour continuer à faire du bien », insiste le diplomate chinois, qui avoue qu’ils ont besoin de beaucoup de soutien de la partie congolaise pour réussir.




Au cours de sa 1ère réunion de l’année 2023 : Le CPM décide de resserrer davantage la politique monétaire en relevant le taux directeur de la BCC de 8,25% à 9%

Au cours de sa réunion du 22 mars 2023, le Comité de Politique Monétaire (CPM), présidé par Mme Malangu Kabedi Mbuyi, Gouverneur de la Banque Centrale du Congo (BCC), sur base des analyses, et étant donné la persistance des risques internes et externes élevés, a recommandé la vigilance et le suivi constant des facteurs de la liquidité bancaire, et des développements sur le marché de changes. Il a également appelé au renforcement de la coordination des actions de politiques budgétaire et monétaire.

Il nous revient que le Comité de Politique Monétaire (CPM) de la Banque Centrale du Congo (BCC) s’est réuni le mercredi 22 mars 2023, en séance ordinaire, sous la présidence du Gouverneur, Mme Malangu Kabedi Mbuyi.

Au cours de cette première réunion de l’année 2023, indique le communiqué qui a été publié à cet effet, le CPM a pris connaissance de la situation et des perspectives macroéconomiques nationales et internationales. Tirant les conséquences des évolutions internes et externes constatées, il a décidé d’un relèvement du taux directeur de la BCC.

Ainsi, le CPM a noté qu’au niveau national, le cadre macroéconomique est globalement stable. Malgré l’impact des chocs externe et interne, l’économie reste résiliente, avec une croissance prévue à 8% pour 2023 (8,5% en 2022), bénéficiant du dynamisme des industries extractives.

« Après une accélération à 13,1% en 2022, il est attendu qu’en 2023 l’Inflation se situe autour de 9,7%, en dépit de l’impact négatif de l’inflation importée. Le CPM a noté qu’au 17 mars, le taux d’inflation cumulé avait atteint 5,1%, principalement dû à la hausse des prix des produits alimentaires », indique le même document.

Concernant le marché de changes, il est demeuré globalement stable au cours du premier trimestre 2023. Au 17 mars, les taux de dépréciation par rapport à décembre 2022, étaient de 1,0% sur le marché interbancaire, et de 7,2% sur le marché parallèle.

Le CPM a également fait le constat que la position extérieure de l’économie nationale reste positive, soutenue par des prix rémunérateurs des principaux produits d’exportation et contribuant ainsi à l’accumulation des réserves de change, qui ont atteint 4,2 milliards de dollars au 17 mars. Par ailleurs, la gestion des finances publiques est restée appropriée, dans le respect du pacte de stabilité qui continue à consacrer l’absence de financement monétaire du déficit budgétaire de l’Etat par la Banque Centrale, facteur très important pour la stabilité du cadre macroéconomique.

En ce qui concerne l’économie internationale, les échanges ont porté sur les implications pour l’économie congolaise du fléchissement attendu de la croissance, et de la persistance des pressions inflationnistes.

Sur base de ces analyses, et étant donné la persistance des risques internes et externes élevés, le CPM a recommandé la vigilance et le suivi constant des facteurs de la liquidité bancaire, et des développements sur le marché de changes.

Il a également appelé au renforcement de la coordination des actions de politiques budgétaire et monétaire. Le CPM a par ailleurs décidé de resserrer davantage la politique monétaire en relevant le taux directeur de la BCC de 8,25% à 9%. A l’avenir, le CPM entend mettre en œuvre toutes autres mesures qui seraient nécessaires à la préservation de la stabilité des prix et du cadre macroéconomique d’une manière générale.

 




OCC : Dr Etienne Tshimanga félicite Jean-Lucien Bussa pour sa reconduction

« Immense est mon bonheur face à votre reconduction pour la cinquième fois successive à la fonction ministérielle, et la quatrième fois particulièrement au poste stratégique de ministre du Commerce Extérieur de la République Démocratique du Congo », écrit le Directeur général de l’Office congolais de contrôle (OCC), le Dr Etienne Tshimanga Mutombo, dans un message dont une copie est parvenue au média en ligne lequotidienrdc.com.

En mon nom propre, et en celui de tous les agents et cadres de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), indique-t-il, je vous adresse mes très chaleureuses félicitations et vous souhaite plein succès dans la réalisation de la noble mission qui vous est confiée par le Président de la République et Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

« Votre détermination à relever les nombreux défis liés au Commerce Extérieur de la RD Congo est pour nous tous une source profonde d’inspiration ainsi que d’engagement partagé, afin de répondre aux multiples attentes de notre population en rapport avec le commerce extérieur, et singulièrement l’évaluation de la conformité tierce objet social de l’Office Congolais de Contrôle », martèle le Dr Etienne Tshimanga Mutombo.




OCC : Christelle Muabilu félicite le ministre Jean-Lucien Bussa pour sa reconduction 

« C’est avec une joie immense que j’ai appris par la voie de la télévision nationale congolaise votre reconduction au poste du ministre en charge du Commerce Extérieur dans le gouvernement Sama Lukonde II », a écrit Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), dans un message parvenu à notre rédaction.

Et d’ajouter que ceci prouve une fois de plus la grande considération que le chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde portent à votre endroit, traduisant ainsi le savoir-faire dans la manière de gérer ce ministère placé sous votre responsabilité.

« Nous disons merci au chef de l’Etat, garant du bon fonctionnement de toutes les institutions pour la confiance qui vous est renouvelée ainsi qu’au chef du Gouvernement Jean-Michel Sama Lukonde pour cette appréciation positive de votre travail et la franche collaboration. Fort de cette confiance, vous servirez davantage la population congolaise », espère Christelle Muabilu.

« Puisse, ce nouveau mandat vous être favorable et que Dieu vous assiste en vous accordant une santé parfaite », prie-t-elle.




Reconduit pour la 3ème fois : Julien Paluku fêté au ministère de l’Industrie

Une réception surprise a été organisée ce vendredi soir au cabinet du ministre de l’Industrie pour la 3e reconduction de Julien Paluku Kahongya à la tête de ce méga ministère.

Rendant grâce à Dieu, le ministre de l’Industrie a remercié le Président de République, Félix Tshisekedi pour avoir renouvelé la confiance à sa personne.

A cette occasion, Julien Paluku Kahongya a jeté des fleurs à son équipe pour le travail abattu ensemble, tout en appelant cette dernière à travailler encore davantage pour ainsi continuer de faire du ministère de l’Industrie un méga portefeuille, et cela, dans le but de promouvoir la diversification de l’économie congolaise.




SICOMINES : « Des entreprises chinoises ont pris d’énormes risques et n’ont pas reculé devant les défis »

Dans son intervention devant la presse réussie en la résidence de l’ambassadeur de Chine en Rdc, Mme Diao Ying, Secrétaire du Conseil d’administration de la SICOMINES a démontré qu’avec les résultats fructueux réalisés dans les domaines d’infrastructures et d’industrialisation en RDC, les populations congolaise et chinoise ont toutes bénéficié de la coopération bilatérale.

Prenons à titre d’exemple la SICOMINES, révèle-t-elle, si on remonte en 2007, un moment où le peuple congolais avait urgemment besoin des partenaires, des entreprises chinoises sont arrivées avec des sentiments amicaux et ont pris d’énormes risques et incertitudes pour créer une joint-venture avec la Rdc afin de promouvoir le Projet Minier et le Projet d’Infrastructures.

Au cours du lancement de la production minière, précise Mme Diao Ying, les entreprises chinoises ont dû surmonter de nombreuses difficultés telles que l’insuffisance d’électricité, le manque de matériels, les difficultés de transport, etc. Surtout à ce moment-là, les deux mines étaient inondées d’eau d’une profondeur de 134 mètres et 169 mètres, ce qui a dissuadé tous les investisseurs étrangers pendant plusieurs décennies.

Seules les entreprises chinoises n’ont pas reculé devant les défis. Elles ont drainé 120 millions de mètres cubes d’eau, préparant ainsi les conditions préalables de la production ultérieure. C’est une fierté que depuis sa création en 2008, grâce aux efforts déployés par les employés de nos deux pays, la SICOMINES est devenue l’une des sociétés minières locales avec le plus haut niveau d’automatisation et de modernisation, les meilleures conditions de travail, les technologies de production les plus respectueuses de l’environnement, contribuant ainsi de manière significative à la modernisation et à la mise à niveau du secteur minier congolais.

Il convient de noter en particulier que, afin d’atténuer la tension d’alimentation en électricité, la Centrale hydroélectrique de Busanga a été construite et mise en service. C’est le premier projet d’infrastructure énergique majeur dans le Grand-Katanga depuis plus de 60 ans, dont la capacité de production représente un dixième de la totalité de production d’électricité annuelle de la Rdc. La Centrale de Busanga a favorisé le développement économique régional durable et l’amélioration de la vie de la population.

 




Qui est M. Eddy Mfumumpoko Monsempo, actuel DG de la DGRK ?

M. Eddy Mfumumpoko est Licencié en Sciences Commerciales, option Fiscalité; Expert-Comptable agréé à l’ONEC.

Concernant son cursus professionnel, retenons que M. Eddy Mfumumpoko a un parcours riche dans l’audit des comptes et l’assistance fiscale des grandes sociétés pétrolières, des sociétés industrielles/ commerciales /services, des sociétés dites minières, notamment PERENCO REP, PERENCO ODS, ENGEN RDC, LIREX SPRL, TOTAL RDC, MUANDA OIL; CONNEXAFRICA, MAERSK CONGO, TECHNOTEL GRAPHIC SYSTEMS, CONGO AIRWAYS, COMPAGNIE AFRICAINE D’AVIATION, BAT SERVICE, RAT IMPORT, BRALIMA, COMPAGNIE SUCRIÈRE DE KWILU-NGONGO; KIBALI GOLD MINING, BARRICK GOLD CONGO, COMPAGNIE MINIÈRE DE SAKANIA, ANVIL MINING, BILLTON ORLD EXPLORATION, ROAN PROSPECTING A MINING, KINGANYAMBO MUSONDI TAILLINGS SPRL, KGHM CONGO SPRL, … Pour ne citer que ces dernières, la liste étant exhaustive.

Une très belle et grande carrière, digne d’un travailleur avéré, homme rompu aux questions de fiscalité, d’audit et de gestion.

Notons de ce cursus que M. Eddy Mfumumpoko exerce à ces jours la fonction du Directeur général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, nommé par l’arrêté N°SC/0079/CAB/GVK/GNM/FBI/2023 du 13 mars 2023 par le Gouverneur de la Ville Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka.

Pour rappel, le nouveau Directeur Général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, récemment nommé par l’arrêté du Gouverneur de la Ville, Gentiny Ngobila Mbaka, référencé N°SC/0079/CAB/GVK/GNM/FBI/2023 du 13 mars 2023, est entré en fonction ce lundi 20 mars 2023, au terme d’une cérémonie de remise et reprise avec son prédécesseur, le Professeur Félicien Kuluta Ntula, présidée par M. André Ngasani, Secrétaire Exécutif, assisté par M. Pathy Kahasa, Inspecteur Provincial des Services Adjoint, en présence du Dircab du Gouverneur, M. Freddy Bonzeke, dans la salle Gentiny Ngobila Mbaka, située au siège de la DGRK, au numéro 76, de l’avenue Colonel Ebeya, à Kinshasa Gombe.

Ayant pris la parole, le Directeur général sortant de la DGRK, M. Félicien Kuluta, a brossé brièvement les actions menées durant son mandat, de janvier 2021 à mars 2023, les difficultés rencontrées et aussi, évoqué, en bon Gestionnaire, l’actif et le passif; sans oublier quelques précieux conseils à son Successeur.

Pour sa part, Mr Eddy Mfumumpoko, l’actuel Directeur général, a, dans son allocution, témoigné une profonde gratitude à son Excellence Monsieur le Gouverneur de la Ville de Kinshasa, pour le dévolu jeté sur sa modeste personne. Et aussi, il a réitéré ses sincères remerciements à son Prédécesseur, pour le travail réalisé au cours de son mandat.

Il a renchéri que tout au long de son mandat au sein de la DGRK, nous utiliserons comme slogan :”faire de la DGRK sa propre fille”.

Cérémonie déroulée dans une ambiance hors du commun. Convivialité, amitié, fraternité, complicité, collaboration, étaient au rendez-vous. L’ensemble du personnel de la DGRK souhaite au nouveau Directeur Général un fructueux mandat.