Que retenir du sommet Dakar 2

La deuxième édition du sommet sur l’alimentation en Afrique (Dakar 2) s’est focalisée sur trois thèmes : Diversifier la production alimentaire pour le monde, libérer le potentiel alimentaire et agricole de l’Afrique et intensifier les succès :  les pactes de livraison de produits alimentaires et agricoles.

Diversifier la production alimentaire pour le monde

À l’échelle mondiale, 828 millions de personnes souffrent de la faim, l’Afrique représentant 249 millions, soit un tiers du nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde. La réalisation de l’objectif de développement durable numéro 2 sur la faim zéro ne peut être atteinte que si elle est atteinte en Afrique. Les Nations Unies ont noté que l’Afrique doit être au centre des préoccupations, où « le nombre de personnes sous-alimentées augmente plus rapidement que partout ailleurs dans le monde ».

Nourrir le monde exige donc que les systèmes alimentaires mondiaux soient modifiés pour libérer pleinement le potentiel de production alimentaire de l’Afrique. C’est le même appel lancé par les Nations Unies : « Un changement profond du système alimentaire et agricole est nécessaire si nous voulons nourrir plus de 828 millions de personnes qui souffrent de la faim aujourd’hui et les 2 milliards de personnes supplémentaires que le monde aura d’ici 2050. L’augmentation de la productivité agricole et la production alimentaire durable sont cruciales pour aider à atténuer les dangers de la faim ». Les pénuries alimentaires peuvent causer de graves problèmes sociaux et politiques. Comme l’a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, « les gouvernements doivent soutenir la production agricole et investir dans des systèmes alimentaires résilients qui protègent les petits producteurs alimentaires. « Si nous ne nourrissons pas les gens, nous nourrissons le conflict ».

Libérer le potentiel alimentaire et agricole de l’Afrique

Bien qu’il dispose de 65% des terres arables restantes pour nourrir 9 milliards de personnes dans le monde d’ici 2050, le continent importe plus de 100 millions de tonnes métriques de nourriture au coût de 75 milliards de dollars par an. L’Afrique a le potentiel de se nourrir et de contribuer à nourrir le monde. Ses vastes zones de savane sont estimées à elles seules à 400 millions d’hectares, dont seulement 10% (40 millions d’hectares) sont cultivés.

Investir dans l’augmentation de la productivité agricole, soutenir les infrastructures, les systèmes agricoles intelligents face au climat, avec des investissements du secteur privé tout au long de la chaîne de valeur alimentaire peut aider à transformer l’Afrique en un grenier pour le monde. Pour atteindre l’objectif Faim Zéro en Afrique, il faudra entre 28,5 et 36,6 milliards de dollars par an. Avec la suppression des obstacles au développement agricole facilitée par de nouveaux investissements, on estime que la production agricole de l’Afrique pourrait passer de 280 milliards de dollars par an à 1 billion de dollars d’ici 2030.

Pour diversifier davantage les sources d’approvisionnement alimentaire pour le monde, au milieu des effets persistants de la guerre en Ukraine et de ses effets systémiques à l’échelle mondiale, et pour assurer l’approvisionnement  alimentaire de l’Afrique, il est maintenant essentiel de soutenir les efforts visant à libérer le potentiel agricole de l’Afrique, pour une production alimentaire durable. L’Afrique a tout à gagner, et le monde a tout à gagner d’un tel effort concerté.

Intensifier les succès :  les pactes de livraison de produits alimentaires et agricoles

Il est maintenant temps de libérer pleinement son potentiel agricole.

La forte volonté politique des chefs d’État africains, la disponibilité des technologies et des plates-formes pour fournir désormais des technologies agricoles intelligentes face au climat à l’échelle de millions d’agriculteurs, les succès incroyables de certains pays dans l’autosuffisance dans certaines cultures en très peu de temps, tout cela montre que l’Afrique peut atteindre les objectifs de la faim zéro. Ils montrent également que le moment est venu pour une coalition mondiale d’efforts autour de l’Afrique de libérer son immense potentiel agricole pour devenir une destination mondiale pour faire face aux pénuries croissantes d’approvisionnement alimentaire dans le monde.

Cela nécessitera des efforts concertés pour obtenir des résultats mesurables. Pour assurer la responsabilisation en vue d’obtenir des résultats, les systèmes de recherche-développement, les systèmes alimentaires et agricoles nationaux seront structurés autour de l’élaboration de « pactes de livraison des produits alimentaires et agricoles ».

JMNK




Du 25 au 27 janvier au Sénégal : Félix Tshisekedi participe à la 2ème édition du sommet sur l’agriculture et l’agro-alimentaire

Le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi est arrivé, ce mercredi, à Dakar pour participer à la 2ème édition du Sommet sur l’Agriculture et l’agro-alimentaire, du 25 au 27 janvier 2023, sous le thème : « Nourrir l’Afrique : Souveraineté alimentaire et résilience ». Ce sommet permettra notamment de partager les expériences réussies dans le domaine de l’alimentation et de l’agriculture dans les pays sélectionnés pour doubler la productivité agricole en fournissant à échelle des cultures, des technologies d’élevage et d’aquaculture adaptées au climat, des services de conseil et des plateformes d’innovation performantes.

La ville de Dakar au Sénégal abrite du 25 au 27 janvier le sommet sur l’agriculture et l’agro-alimentaire intitulé : « Nourrir l’Afrique : souveraineté alimentaire et résilience », organisé par la Banque africaine de développement (BAD), sous la présidence de M. Macky Sall, président de la République du Sénégal. Il se tiendra au Centre international de Conférence Abdou Diouf (CICAD), à Diamnadio.

En prélude à la deuxième édition du sommet sur l’alimentation en Afrique (Dakar 2), le ministère de l’Agriculture, de l’équipement rural et de la souveraineté alimentaire du Sénégal, en collaboration avec la Banque africaine de développent, ont tenu une conférence de presse lundi 23 janvier 2023 au siège du ministère.

Pendant trois jours, les chefs d’états et de gouvernement africains mobiliseront leurs ressources gouvernementales, les partenaires au développement et le financement du secteur privé, pour exploiter le potentiel agricole et alimentaire de l’Afrique, transformant ainsi les efforts de plaidoyers en actions concrètes.

Qu’attendre de ce sommet ?

Disons que ce sommet permettra de mobiliser un engagement politique de haut niveau, le soutien des partenaires au développement et les investissements du secteur privé autour de la production, des marchés et du commerce pour assurer une production alimentaire accrue dans les pays africains ; partager les expériences réussies dans le domaine de l’alimentation et de l’agriculture dans les pays sélectionnés pour doubler la productivité agricole en fournissant à échelle des cultures, des technologies d’élevage et d’aquaculture adaptées au climat, des services de conseil et des plateformes d’innovation performantes.

Il permettra aussi de galvaniser les gouvernements, les partenaires au développement et le secteur privé autour des pactes de livraison de nourriture et d’agriculture pour chaque pays afin d’atteindre la sécurité alimentaire à grande échelle dans chaque pays ; développer les infrastructures et la logistique nécessaires avec les zones spéciales de transformation agro-industrielle pour créer des marchés et des chaînes de valeur alimentaires et agricoles compétitives.

Soulignons que plus de 1.500 personnes prennent part à ce sommet, dont une vingtaine de chefs d’État et de gouvernements, des ministres chargés de l’Economie et des Finances, des ministres de l’Agriculture et des secteurs connexes, des gouverneurs de Banque centrale ainsi que des acteurs du secteur privé, des organisations multilatérales, des organisations non gouvernementales, des universitaires et des scientifiques de premier plan.

JMNK




COMMUNIQUE OFFICIEL N° 01/ 003 /DGI/DG/DESCQM/CD/BK/CK/2023




Office Congolais de Contrôle : Le Dr Etienne Tshimanga satisfait de sa visite d’inspection dans les provinces du Nord et Sud-Ubangi

Mission accomplie pour le Dr Etienne Tshimanga, Directeur général de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), qui vient d’effectuer une visite d’inspection dans les provinces du Nord et Sud-Ubangi. S’il a fait un état des lieux des agences de Gbadolite et Zongo, c’est dans cette dernière ville qu’il a lancé les travaux de construction du bâtiment administratif et le laboratoire de cette agence. A Zongo, il a toutefois indiqué que pour procéder au lancement des travaux, la présence des experts s’avère indispensable pour les études de faisabilité. Cette exigence témoigne de la volonté du DG de l’OCC déterminé à hisser l’Office au diapason des organismes d’évaluation de conformité digne du grand Congo et de son président de la République.

Dans le cadre de la matérialisation de la vision du Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, le Directeur général de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), Dr Etienne Tshimanga Mutombo vient d’effectuer une visite d’inspection dans les provinces du Nord et Sud-Ubangi.

Arrivé à Gemena, première étape de sa tournée dans cette partie de la RDC, le Dr Etienne Tshimanga Mutombo a été accueilli à sa descente d’avion par les agents et cadres de l’OCC/Gemena et de l’Agence de l’OCC/Gbadolite. Profitant de la présence de M. le ministre du Commerce Extérieur, Jean-Lucien Bussa Togba, à l’aéroport de Gemena où il venait de s’enrôler, le DG de l’OCC s’est entretenu avec lui avant que ce dernier ne prenne l’avion pour regagner Kinshasa.

Selon notre source, l’objectif de la tournée du DG de l’OCC dans cette partie de la RDC à savoir le Nord et le Sud-Ubangi était premièrement de faire un état des lieux de ces agences à savoir (Gbadolite, Zongo) et deuxièmement de lancer les travaux de la construction du bâtiment administratif et le laboratoire de l’Agence de l’OCC/Zongo.

Aussitôt après l’accueil à l’aéroport, le DG s’est entretenu avec le staff dirigeant ainsi que la Délégation Syndicale de l’Agence de Gbadolite. Au lendemain de son séjour à Gemena, chef-lieu de la Province du Sud-Ubangi, le Directeur général de l’OCC est allé présenter ses civilités au Gouverneur du Sud-Ubangi, M. Jean-Claude Mabenze Gbey.

Selon la même source, l’objectif de cette rencontre était de solliciter auprès du Numéro Un de cette province en tant que fils Maison de l’OCC, son accompagnement et son soutien pour la bonne marche de l’Office. De son côté, le Gouverneur a rassuré le Directeur général de son soutien aux efforts déployés par l’OCC pour la protection de la santé de la population dans sa province.

Après son entretien avec le Numéro Un de la province du Sud Ubangi, le Directeur général de l’OCC a visité le poste de l’OCC/Gemena où sera érigé le bâtiment administratif. En outre, il sied de préciser que le poste de Gemena dépend de l’Agence de Gbadolite dans la province du Nord Ubangi.

Après Gemena, cap sur Zongo

Après l’étape de Gemena, le pèlerin infatigable, le Dr Etienne Tshimanga est arrivé à Zongo, ville située à 260 Km de Gemena.

A Zongo, le DG a d’abord présenté ses civilités au Maire de la ville de Zongo. Aussitôt après cette entrevue, le Dr Etienne Tshimanga a visité l’Agence de Zongo où il a réuni le staff dirigeant ainsi que la Délégation syndicale pour une séance de travail.

Le Directeur général de l’OCC s’est ensuite rendu au site où sera érigé le bâtiment administratif ainsi que les laboratoires. Arrivé sur le lieu, pour procéder au lancement des travaux, le Dr Etienne Tshimanga a déclaré que la présence des experts en ce lieu s’avère indispensable pour les études de faisabilité. Car, l’OCC doit construire des bâtiments qui répondent aux standards internationaux afin de mieux sécuriser la population. Il sied de préciser que l’Agence de Zongo, vu sa position géographique mérite une attention particulière, car frontalière de la ville de Bangui, capitale de la République Centrafricaine.

JMNK




Visite papale à Kinshasa : Jeanneau Kikangala au four et au moulin pour boucher les trous sur le tronçon routier « Aéroport de N’djili-Échangeur »

Le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy, Directeur général de l’Office des Routes s’attèle à apprêter tous les trajets que le pape va utiliser pendant son voyage à Kinshasa. C’est dans ce sens qu’il est descendu sur terrain, ce samedi, dans une délégation mixte conduite par le ministre ad intérim des Transports, voies de communication et désenclavement. Il s’est bel et bien rassuré que le génie civile de l’Office des Routes est à pieds d’œuvre, pour assainir correctement le tronçon routier compris entre l’aéroport de N’djili et l’échangeur de Limete.

À l’instar du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ainsi que des autorités gouvernementales, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy est d’avis qu’il faut tout faire, en vue de la réussite totale du séjour du souverain pontife de l’Eglise romaine en Rd Congo.

 « Nous avons été dans cette équipe conduite par le ministère des Transport. Pour ce qui nous concerne, il a été question de voir dans le cadre du parcours que le Saint Père va emprunter pendant son séjour à Kinshasa, à l’arrivée tout comme au départ, voir le travail que nous pouvons faire pour que ce parcours soit agréable. Dans ce cadre-là, nous sommes beaucoup plus intéressés par notre réseau qui part de l’aéroport de N’djili jusqu’au niveau de l’Echangeur de Limete », dit-il.

Et d’ajouter qu’il y a des travaux à réaliser à ce niveau, en ce qui concerne ce que les communs des mortels appellent le bouchage des trous. Il y a des travaux à réaliser au niveau des sauts-de-mouton où il y a certains garde-fous qui sont endommagés par les chauffeurs, peut-être dans le cadre de leur incivisme. Donc nous sommes appelés à remettre en l’état ces garde-fous-là. Toujours, au niveau de ces sauts-de-mouton, il faut remettre la peinture pour que l’apparence soit bonne.

Selon notre source, le Dg de l’Office des routes a martelé en rassurant qu’il y a déjà des équipes de l’Office des routes qui sont à l’œuvre. « Donc selon le planning élaboré par la direction provinciale de l’Office des Routes de Kinshasa, toutes les garanties nous ont été données dans le sens de finir ce travail dans le délai ».

Soulignons qu’à quelques jours de l’arrivée du Pape François à Kinshasa, les autorités publiques congolaises ont décidément pris des dispositions utiles pour non seulement réserver un accueil chaleureux au souverain pontife, mais aussi et surtout lui assurer un séjour agréable.




Marché de changes : Une certaine accalmie s’est observée suite à l’intervention de la BCC sur le marché interbancaire

Intervenant comme invitée, la Gouverneure de la Banque Centrale du Congo a fait le point de la conjoncture économique du pays. Elle a informé le Conseil que la croissance économique est projetée à 6,3% en 2023 et elle sera tirée principalement par le dynamisme de l’industrie extractive.

Le rythme de formation des prix à la consommation devrait connaître une décélération pour se situer à 8,3% à fin-décembre bien qu’à mi-janvier le taux d’inflation a connu une tendance haussière passant de 0,17% à 0,14% d’une semaine à une autre à cause de la persistance de l’inflation importée. Le marché de change a connu des légères fluctuations consacrant ainsi une dépréciation de la monnaie nationale de 0,44% à l’indicatif à 2 028 CDF le dollar américain et de 0,23% sur le marché parallèle d’une semaine à l’autre amenant le taux de change à 2 150 CDF pour un dollar américain.

Une certaine accalmie s’est observée après le 13 janvier, suite à l’intervention de la Banque Centrale sur le marché interbancaire pour vendre des devises afin de lisser ces fluctuations. Toutefois, l’économie congolaise reste exposée aux facteurs de risques externes tels que : les incertitudes continues liées au conflit russo-ukrainien ; la persistance d’une inflation élevée ; la résurgence de la pandémie à Covid-19 en Chine.

Au plan interne, les risques ont pour facteurs l’impact persistant de l’inflation importée, les pressions saisonnières sur le marché de changes découlant de la demande de devises liée à la reconstitution des stocks des biens ; et, l’impact de la guerre dans la partie Est de la République.

Face à cette double situation, la Banque Centrale du Congo a recommandé notamment : le maintien des actions coordonnées au niveau des politique budgétaire et monétaire ; la poursuite de l’exécution du pacte de stabilité consacrant le financement monétaire nul du budget de l’Etat ; l’accélération du programme d’investissement public ; et la mise en œuvre continue des réformes structurelles et sectorielles pour l’accélération du développement et la diversification de l’économie nationale. Le Conseil a pris acte de cette Note d’information.




Office des Routes : Jeanneau Kikangala sur terrain pour faire le suivi des travaux exécutés sur la route Kinshasa-Maluku

Le Prof Jeanneau Kikangala Ngoy, Directeur général de l’Office des Routes, reste résolument engagé dans la matérialisation de la vision du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Pour preuve, des temps en temps, il abandonne ses bureaux climatisés de l’avenue des Sciences dans la commune de la Gombe, pour coordonner et faire le suivi des travaux exécutés sur différents chantiers routiers. C’est dans ce cadre qu’il a été, le week-end dernier, sur la route nationale numéro 43, tronçon compris entre la commune de la Nsele et la commune urbano-rurale de Maluku. Et ce, dans l’objectif de s’enquérir de l’évolution des travaux relatifs à la lutte antiérosive en cours d’exécution par la direction provinciale de l’Office des routes.

Il nous revient, selon notre source, que le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy mise ainsi sur les résultats escomptés, à travers toutes les prestations de son office. D’où le suivi rigoureux qu’il fait avec succès, de manière régulière.

 “Nous sommes venus voir les travaux exécutés par notre direction provinciale de Kinshasa. Il faut rappeler qu’il y a quelques jours, nous sommes passés par ici, nous avons noté qu’il y avait trois têtes d’érosions qui menaçaient sensiblement cet axe de coupure. C’est un axe important pour la population de ce coin et pour l’ensemble de la population Kinoise. Lorsque nous sommes arrivés autrefois, nous avons fait ce constat. Nous avons saisi les autorités qui ont été sensibles pour donner les moyens à la direction provinciale afin de pouvoir intervenir pour corriger cette situation”, a-t-il fait savoir à la presse, lors de sa descente du week-end.

Il a profité de l’occasion pour remercier les autorités du pays. “C’est ici pour nous l’occasion de remercier le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui ne cesse de ménager aucun effort pour soulager la misère de la population. La route, c’est un élément important dans la vie économique de la population. C’est à ce titre-là que nous sommes reconnaissants envers les autorités qui ne cessent d’appuyer l’Office pour être à la hauteur de ses responsabilités”.

Soulignons que depuis son arrivée à la Direction générale de l’Office des routes, le Professeur Jeanneau Kikangala Ngoy n’a cessé, de multiplier des stratégies adéquates et des descentes fructueuses sur terrain. Il est préoccupé par l’ultime souci d’offrir au peuple congolais, sous l’impulsion du président de la République, et des autorités gouvernementales, les meilleures routes et ponts capables de faciliter la circulation aisée des personnes et leurs biens. Car dit-on, sans routes viables, le développement est tout simplement chimérique.




Communiqué officiel

Le Groupement d’Intérêt Economique(GIE) dénommé : IG-ETS Global Africa» (IEGA)

Constitué:

  • d’une part par la Société Enterprise Software and Technology Services FZCO, UAE (EST FZCO), détentrice de 70% des parts dans le capital social et représentée par Monsieur MURTHY GURUNATHAN SARAVANA et
  • d’autre part par la Société IGUMBA Entreprises (IG Entreprises Sari), détentrice de 30 % des parts dans le capital social et représentée par Monsieur KOKO IGUMBA MUSSA Jacques ;

Porte à la connaissance de sa clientèle, en particulier, et du public, en général, qu’il a tenu, le 17 décembre 2022, une Assemblée générale extraordinaire où les membres susmentionnés détenant l’universalité des parts étaient conviés ;

A l’issue de cette Assemblée, il a été procédé au changement du Directeur Général du Groupement ;

Ainsi, Monsieur KOKO IGUMBA MUSSA Jacques a été déchu des fonctions de Directeur Général du Groupement d’Intérêt Economique (GIE) : IG-ETS Global Africa », en sigle IEGA ». Par conséquent, il ne peut plus l’engager vis-à-vis des clients ou des tiers ;

Monsieur MURTHY GURUNATHAN SARAVANA occupe désormais le poste Directeur Général du Groupement. Il devient donc, le Président et Directeur Général du Groupement d’Intérêt Economique (GIE) IG-ETS Global Africa » en sigle « IEGA ». Et seul habilité pour représenter et engager le Groupement dans tous les actes de gestion et d’administration.

Ainsi fait à Kinshasa, le 13 janvier 2023,

Le Bureau du Président et Directeur Général,

SENTHIL KUMARAN ARUMUGAM

Membre du Comité Directeur




Pour bien commencer l’année : Julien Paluku préside une réunion technique à l’intention des animateurs de l’AZES et de l’ADGCDI

Les membres du Conseil d’Administration et du Comité de Gestion de l’Agence des Zones Économiques Spéciales (AZES) et de la Direction générale des corridors de développement Industriel (DGCDI) appelés à la collaboration, complémentarité, consultation, concertation et au dialogue permanent ainsi qu’à l’humanisme, une manière de faire rayonner ces deux entreprises publiques appelées à jouer un rôle clé dans la diversification de l’économie congolaise.

Ces orientations claires ont été données ce mercredi par le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya au cours des réunions avec les animateurs de l’Agence des Zones Économiques Spéciales (AZES) et de la Direction générale des Corridors de Développement Industriel-DGCDI.

 

En premier lieu, le ministre de l’Industrie a réuni les animateurs de l’AZES à qui il a donné ces nouvelles orientations. Joséphine Mbombo, Présidente du Conseil d’Administration explique :

« Le ministre nous a appelé à une réunion pour nous donner certaines orientations qui peuvent faire avancer le développement de l’Agence des Zones économiques spéciales, parce que le président de la République ne manque jamais d’évoquer la question de l’Agence des Zones économiques spéciales. Voilà pourquoi, après un temps, le ministre devra toujours nous consulter pour nous donner certaines orientations, pour le bon fonctionnement de l’Agence. En tout cas, à travers la Rdc, j’ose croire que les choses marchent bien. Partout où nous avons les Zones économiques spéciales. N’oublions que le mois prochain, nous allons faire une descente dans la Zone économique spéciale de Kolwezi. D’ici le mois d’avril, nous aurons la première production des carreaux Made in DRC.

En second lieu, le ministre s’est entretenu avec de la DGCDI, Roger Safari, Président du Conseil d’administration précise

« Le ministre a estimé nécessaire, qu’au début de cette année, de nous donner les indications et les directives, pour la bonne marche de la structure que nous sommes appelés d’animer. La réunion nous a permis d’échanger sur beaucoup de matières et de recevoir les orientations du ministre, pour qu’on atteigne les objectifs qui nous ont été assignés. Nous venons de commencer les travaux, les délibérations du conseil sont là. Pour le moment, il était important que l’on lance les travaux dans l’harmonie et la complémentarité ».

Signalons que les Directeurs Généraux et leurs adjoints ainsi que les administrateurs ont pris part à ces réunions.

JMNK




Dans les installations de l’Offices des Routes : Alexis Gisaro s’imprègne de l’échantillon du premier lot des ponts arrivés à Kinshasa

M.Alexis Gisaro, ministre d’État, ministre des Infrastructures et Travaux Publics, s’est, le mercredi 18 janvier 2022, imprégné de l’échantillon des ponts venus de la France dont une partie se trouve dans les installations de l’Office des Routes. Ce premier lot est constitué de 44 ponts afin de rendre viable ceux-là jetés depuis l’époque coloniale et devenus vétustes, précise une dépêche de la Cellcom ITP.

Satisfait de l’arrivée de ces matériaux justement après son passage en France à l’usine de fabrication des ponts de l’entreprise Matière, Alexis Gisaro Muvunyi a laissé entendre que c’est pour la toute première fois qu’en Rd. Congo que les ponts en bois soient remplacés aux ponts métalliques et modulables.

« Je suis venu voir ce pont échantillon et voir les capacités techniques de l’Office des Routes de le monter. Les ponts sont effectivement là. Le premier lot de 44 ponts est arrivé. Il y a une partie ici à Kinshasa. Et d’autres sont en cours d’expédition à Matadi, à Pointe-Noire… Et, l’autre commande a été passée de 60 ponts afin ça soit 104 ponts pour qu’ils soient installés dans l’ensemble du territoire national », a précisé le Ministre d’État aux ITP.

Précisons que la durée de vie de ces infrastructures de transports est de 70 ans. Ceci rencontre sans faille, le souhait de la population qui consiste à avoir des infrastructures à longue durée et ces ponts vont couvrir une longueur de 15m à 110m, a renchéri Alexis Gisaro.

Pour le patron des infrastructures Congolaises, il n’y a pas de provinces oubliées. A présent. R   2 ponts sont en cours d’installation dans la province du Haut-Uélé et 4 autres au Nord-Kivu.

Il vaut mieux de préciser que ces nouveaux ponts viennent donner un ouf de soulagement aux provinces en difficulté de mobilités.

JMNK