Sahara marocain : La reconnaissance d’Israel est une nouvelle victoire écrasante pour le Maroc

Israel a reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara après près de deux ans et demi de la signature des accords d’Abraham, une étape attendue qui confirme la justesse de la position marocaine et la défense légitime de l’intégrité territoriale du royaume. La dynamique se poursuit.
L’information a été rendue publique par le biais d’un communiqué du palais royal qui a annoncé la réception d’une lettre de la part du chef du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu adressée au Roi Mohammed VI.
Dans cette lettre, Netanyahu annoncé la décision de l’Etat d’Israël de « reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental » et qu’à partir de ce moment, cette position de son pays sera « reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien ».
Par ailleurs, la décision sera « transmise aux Nations Unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques ».
La décision était attendue et était logique depuis la signature de l’accord tripartite entre le Maroc, Israel et les Etats-Unis. En 2020, il n’y avait que Washington qui avait exprimé clairement cette position, pour sa part, Israel agissait sur le terrain comme si c’était une chose acquise mais n’avait pas concrétisé cette réalité.
Les déclarations des officiels israéliens pro-reconnaissance du Sahara marocain ces derniers mois et les projets israéliens au Sahara donnaient une indication forte de cette nouvelle réalité qui se profilait et la dernière annonce du président de la Knesset, Amir Ohana, qui a déclaré que le gouvernement israélien allait se prononcer prochainement sur la question présageait que cela sera ferait dans la direction d’une reconnaissance explicite de la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
Cette énième reconnaissance de la marocanité du Sahara d’un pays souverain et fort et pesant de son poids sur la scène internationale, vient consolider tous les acquis du Maroc ces dernières années dans la défense de son intégrité territoriale et laisse le club des indécis ou des rigides restreint.
Le Roi Mohammed VI l’avait dit dans son discours du 20 août 2022, « le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international, et l’aune qui mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats que le Royaume établit ».
Cette citation claire était accompagnée d’une invitation aux pays partenaires traditionnels et nouveaux, pour clarifier leurs positions sur l’affaire du Sahara s’ils ont une position ambiguë.
« Nous attendons qu’ils clarifient et revoient le fond de leur positionnement, d’une manière qui ne prête à aucune équivoque », avait déclaré le Souverain et cette invitation a été entendue par de nombreux pays dont européens dont l’Allemagne, l’Espagne (anciennement la puissance coloniale au Sahara), les Pays-Bas, la Suisse…
La reconnaissance israélienne en réponse à l’invitation du Roi Mohammed VI, revêt une importance et non des moindres puisque la Palestine et Israel reconnaissent tous deux la souveraineté du Maroc sur son Sahara et cela élimine ainsi toute interprétation de la part des ennemis de la cause nationale marocaine.
Elle prouve d’un autre côté la pertinence de la position marocaine et le bien fondé de sa démarche qui est reconnue par les deux Etats, car quel que soit le pays concerné, il estime que le Maroc est dans son Sahara et le Sahara est dans son Maroc, en toute légitimité, en toute légalité.
Le Maroc a donc réussi à faire d’une pierre deux coups en restant dans sa juste position vis à vis de la question palestinienne qui n’a pas changé malgré la reprise des relations diplomatiques avec Israel. Rabat a toujours revendiqué sa position constante en faveur des droits légitimes du peuple palestinien.
La cause palestinienne reste érigée au rang de cause nationale pour le Maroc, comme celle du Sahara, et cela prouve que le Maroc est droit dans ses bottes par rapport à la cause qu’il défend, à savoir la préservation de son territoire d’un plan colonial algérien maquillé par une entité fantoche nommée polisario.
Avec la reconnaissance d’Israel pour la souveraineté du Maroc sur le Sahara, c’est un nouveau tournant que la diplomatie marocaine prend avec un soutien encore plus appuyé pour la légalité internationale et la préservation de la sécurité et de l’intégrité territoriale du Maroc.
A Rabat, c’est ainsi que le sujet est perçu, quiconque qui ne soutient pas la marocanité du Sahara ne tient à pas à la protection de la stabilité et la sécurité du Royaume des plans de partition algériens visant à encercler le Maroc et se frayer une sortie sur l’Atlantique.
Cela, plusieurs pays l’ont compris et défendent à présent non seulement la stabilité du Maroc mais de toute l’Afrique du nord et indirectement du continent africain et de l’Europe.
La nouvelle reconnaissance israélienne donnera certainement du fil à retordre aux pays qui hésitent toujours à reconnaître pleinement la souveraineté du Maroc sur son territoire et d’estimer que la proposition d’autonomie présentée par le Royaume pour le règlement définitif de cette question est la « seule et unique » solution qui permettra la résolution de ce conflit artificiel créé par un Etat voyou isolé.
La question du Sahara marocain et la défense de l’intégrité territoriale du Maroc est devenu aujourd’hui une cause adoptée et acquise par les Etats-Unis, par les pays arabes et africains voisins, par plus de 15 pays européens et pays latino-américains et confirme sa justesse et simplement le respect que ces pays ont envers le Maroc.
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La souveraineté du Maroc sur le Sahara: Le ministre des Affaires étrangères israélien salue la décision de son pays

Le ministre des Affaires étrangères israélien, Eli Cohen, a salué la décision de son pays de “reconnaître la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
Dans un tweet sur sa page officielle Twitter, Cohen a déclaré : “Je salue l’annonce du Premier ministre Netanyahu concernant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
Il a ajouté que cette mesure renforcera les relations entre les deux États et les deux peuples, et contribuera aux efforts déployés pour étendre la coopération, approfondir la paix et la stabilité dans notre région.
Par ailleurs, un communiqué du porte parole du Palais royal a annoncé, ce lundi 17 juillet 2023 que “Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu le glorifie, a reçu un message du Premier ministre de l’État d’Israël, Son Excellence Monsieur Benyamin Netanyahou. Dans ce message, le Premier ministre israélien a porté à la haute connaissance de Sa Majesté la décision de l’État d’Israël de “reconnaître la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
À cet égard, le Premier ministre israélien a confirmé que cette position de son pays “se reflétera dans toutes les actions et documents du gouvernement israélien pertinents”.
Il a également souligné que l’ONU, les organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi que tous les pays ayant des relations diplomatiques avec Israël, seront informés de cette décision.
Dans son message à Sa Majesté le Roi, le Premier ministre israélien a indiqué qu’Israël envisageait positivement “l’ouverture d’un consulat à Dakhla”, dans le cadre de la mise en œuvre de cette décision d’État.
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Dans une lettre à Sa Majesté le Roi Mohammed VI: Benyamin Netanyahu reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental

Le Roi Mohammed VI
“Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a reçu une lettre du Premier Ministre de l’Etat d’Israël, Son Excellence Monsieur Benyamin Netanyahu.

Par cette lettre, le Premier Ministre israélien a porté à la Très Haute Attention de Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, la décision de l’Etat d’Israël de “reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental”.

A cet égard, le Premier Ministre israélien a indiqué que cette position de son pays sera “reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien”.

Il a souligné, en outre, que ladite décision sera “transmise aux Nations Unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques”.

Dans Sa lettre au Souverain, le Premier Ministre israélien a informé qu’Israël examine positivement “l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla”, et ce dans le cadre de la concrétisation de cette décision d’Etat”.




RPDC; «Notre Etat renforcera son potentiel de la dissuasion nucléaire la plus écrasante!»

Voici un communiqué (14/07/2023) de KIM Yo Jong, Directeur adjointe de Département du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR), République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR), qui se lit comme suit;

Contrecarrer et briser, strictement, la politique anti-RPDC de confrontation nucléaire la plus hostile et la plus menaçante des USA (ou United States of America ou États-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) est le droit de notre RPDC à la légitime défense pour défendre la Péninsule coréenne (224.252km2) et la Région Asie-Pacifique contre le désastre d’une guerre nucléaire, et personne n’a aucune justification pour contester le lancement par notre RPDC d’un ICBM (ou intercontinental ballistic missile ou missile balistique intercontinental) de type nouveau (Hwasongpho-18, système d’armes essentiel des forces stratégiques de la RPDC, NDLR).

Le récent (12/07/2023) lancement effectué de la manière la plus sûre en tenant, pleinement, compte de tout danger potentiel et susceptible d’affecter la sécurité des Pays voisins (la Chine, la Russie et le Japon; le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le génocide de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR), n’a porté aucun préjudice même à la sécurité maritime et aérienne internationales.

Cependant, le CSNU (ou Conseil de Sécurité des Nations Unies) au mépris des justes préoccupations de sécurité de notre RPDC et des tentatives criminelles des USA d’augmenter la possibilité d’éclatement d’une réelle guerre nucléaire dans la Péninsule coréenne et la Région a, de nouveau, tenu une réunion (13/07/2023) publique pour chercher, seulement et unilatéralement, une querelle avec l’exercice par notre RPDC du droit à l’autodéfense; ce qui a, parfaitement, prouvé que le CSNU est;
• une organisation de confrontation détruisant la paix et la stabilité mondiales
• un mécanisme de Guerre Froide (2022- ), totalement incliné vers les USA et l’Occident.

J’en exprime mon profond mécontentement et condamne, avec virulence, le comportement injuste et partial du CSNU qui a, de nouveau sous prétexte illégal, inchangé et ennuyeux ou monotone, de la violation de la Résolution (des années 2010) de l’ONU, remis en question l’exercice par notre RPDC de son droit à la légitime défense qui n’a fait aucun mal à personne. En raison des provocations agressives des USA bien au-delà de leur posture de préparation militaire constante, la situation de la Péninsule coréenne est en train de se diriger vers le seuil d’une confrontation nucléaire et le déclenchement d’une guerre nucléaire n’est plus une hypothèse mais plutôt une réalité misérable que les Pays de l’Asie du Nord-Est devra faire face dans un proche avenir. Les USA;
• organisent, fréquemment, leurs exercices militaires conjoints à caractère clairement agressif en mobilisant leurs sous-marins nucléaires, bombardiers nucléaires stratégiques et divers autres avoirs nucléaires stratégiques sous prétexte de l’offre de la soi-disant «dissuasion élargie»
• prévoient le déploiement, dans la Péninsule coréenne, de leur sous-marin nucléaire (l’USS Ohio; SSBN ou sub-surface ballistic nuclear construit en 1976, NDLR) avec armes nucléaires stratégiques pour la 1ère fois depuis presque 40 ans (1981) qui coïncide avec le fonctionnement du NCG (ou Nuclear Consultative Group ou Groupe Consultatif Nucléaire) USA-ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR), un outil de guerre nucléaire.

De telles provocations militaires des USA s’avèrent les menaces les plus directes pour la sécurité non seulement de notre RPDC mais aussi de tous les autres Pays de l’Asie du Nord-Est. Le CSNU dont la mission est de défendre la paix et la sécurité mondiales aurait dû affronter, carrément, ce fait-là et juger, correctement;
• qui menace avec ses armes nucléaires
• qui est exposé à une menace nucléaire.

Ignorant un tel devoir impérieux, le CSNU a comploté et encouragé et même incité les USA à exterminer notre RPDC; c’est une expression du comportement extrêmement injuste et à 2 poids 2 mesures et, un crime irresponsable de pousser l’ensemble de l’Asie du Nord-Est et de l’Asie-Pacifique à l’holocauste d’une guerre nucléaire.

Alors que le CSNU ignore, délibérément, les menaces et le chantage nucléaires dangereuses des USA, les armes nucléaires US y compris les sous-marins nucléaires stratégiques seront déployées plus massivement, plus souvent et plus ouvertement dans la Péninsule coréenne sous le masque de la Légalité ou Licéité, et l’Asie du Nord-Est sera, bientôt, transformée comme le plus grand arsenal nucléaire du monde. Si une guerre nucléaire indésirable et sans précédent éclate dans la Péninsule coréenne, le CSNU en sera tenu responsable car il a travaillé dur pour empêcher, catégoriquement tout en étant du côté des USA, notre RPDC d’exercer son droit à la légitime défense; et, cela va sans dire.

Je profite de cette opportunité pour faire remarquer le fait que les badauds ou philistins (la Corée du Sud, le Japon, l’Albanie, l’Equateur, la France, la Malte, la Suisse, les EAU, la G-B, NDLR) habitués à suivre, aveuglément, leur Maître US, se sont rejoints à la publication d’une Déclaration Conjointe anti-RPDC qui n’est reconnue par personne en dehors de ladite réunion du même jour. Les USA doivent être conscients que;
• plus ils rendent notre RPDC désagréable, plus ils se retrouveront face à un dilemme ou une impasse
• ce n’est que lorsqu’ils retirent leur politique hostile envers notre RPDC que le mécontentement de la RPDC et le cycle pervers de la situation que personne ne veut, disparaîtront
• plus ils persistent dans leur option de confrontation imprudente et provocatrice, refusant de la rejeter, plus la situation ira vers une direction très désagréable pour eux-mêmes (Ces derniers le ressentiront à chaque seconde, chaque minute, chaque heure et chaque jour.

Le prix que les USA doivent payer pour leurs actions contre notre RPDC ne sera jamais bas, et je ne cache pas le fait que les choses très malchanceuses attendront les USA qui, donc, devraient garder à leur esprit que le mode et la portée de la riposte de la RPDC peuvent être tout comme une roue libre par rapport à leur Visibilité accrue du déploiement des avoirs stratégiques sur la Péninsule coréenne.

Maintenant que les USA ne réagissent pas à l’abandon de leur politique hostile envers la RPDC, seule et unique solution pour parvenir à la paix et à la stabilité dans la Péninsule coréenne et dans la Région, notre RPDC va continuer à renforcer, plus que jamais, son potentiel de la dissuasion nucléaire la plus écrasante jusqu’à ce que les USA eux-mêmes;
• reconnaissent l’échec de leur Politique
• annulent leur Ligne de confrontation avec la RPDC.




L’UA met en œuvre un programme ambitieux pour lutter contre la crise de la faim en Afrique

L’Union africaine (UA) met en œuvre un ambitieux programme de sécurité alimentaire pour lutter contre la crise de la faim et de la malnutrition induite par le climat sur le continent, a affirmé une

L’Union africaine (UA) met en œuvre un ambitieux programme de sécurité alimentaire pour lutter contre la crise de la faim et de la malnutrition induite par le climat sur le continent, a affirmé une responsable de l’UA.

Josefa Sacko, commissaire de l’UA pour l’agriculture, le développement rural, l’économie bleue et l’environnement durable, a déclaré que sur les 828 millions de personnes répertoriées par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) comme étant menacées par l’insécurité alimentaire dans le monde, une grande majorité d’entre elles se trouvaient en Afrique, l’Afrique de l’Est ayant la plus grande population de personnes confrontées à la famine et à la faim.

“Sur ces 828 millions de personnes exposées à l’insécurité alimentaire, 278 millions viennent principalement d’Afrique”, a déclaré Mme Sacko lors d’une réunion d’information à Nairobi, capitale du Kenya, jeudi soir.

L’UA est préoccupée par le fait que 150 millions de personnes supplémentaires ont rejoint la cohorte des personnes souffrant d’insécurité alimentaire depuis l’apparition de la pandémie de COVID-19, ce qui indique que le continent africain n’est pas en mesure d’atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies en matière de sécurité alimentaire.

“Il est très important de réduire l’insécurité alimentaire sur le continent. 278 millions de personnes en Afrique, soit un cinquième de la population africaine, n’ont pas accès à des aliments nutritifs”, a souligné Mme Sacko.

La crise alimentaire dans la région de l’Afrique de l’Est a été aggravée par la crise ukrainienne qui a affecté la livraison d’engrais et de céréales dans une grande partie des pays du Sud, en particulier en Afrique, a fait remarquer Mm

e Sacko.




*RPDC; «Les impérialistes US sont les ennemis jurés de notre Peuple!»* (2)

Presque 70 ans se sont écoulés depuis le cessez-le-feu (Accord d’Armistice RPDC-USA; lundi 27/07/1953 10:00) sur la Péninsule (224.252 km2) coréenne. Pourtant, le Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) n’oublie jamais les atrocités perpétrées par les USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) lors de la Guerre (1950-1953) de Libération de la Patrie, malgré le changement de génération et quelle que soit le changement de la nature et du paysage.

 *1. Le massacre sauvage* 

Au temps de la retraite (automne 1950) temporaire stratégique de l’Armée Populaire de Corée (APC) pendant la Guerre (imposée par les USA le dimanche 25/06/1950 04:00) de Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans, NDLR), les USA ont perpétré les actes de barbarie.

«Tuez sans distinction. Même si ce sont un enfant ou un vieillard qui s’apparaissent devant vous, vos mains ne doivent pas trembler!», tel était l’ordre du Lt-Gén. Walton Harris WALKER (1889-1950), le tout 1er Commandement du 8ème Corps de l’Armée US en Corée du Sud. Sur cet ordre, les agresseurs ont;

• massacré les gens d’une façon on ne pouvait plus atroce et plus barbare, partout où ils allaient dans la moitié Nord (123.214km2) de la Péninsule coréenne

• tué les civils soit en enfilant les oreilles avec les fils de fer pour les traîner, soit en arrachant les yeux, soit en ôtant la peau, soit en excisant les lèvres, soit en coupant la langue, soit en déchirant les 4 membres (les 2 bras et les 2 jambes), soit en enfonçant le clou dans la tête, soit en les mettant en morceaux avec la scie, soit en les brûlant, soit en les écrasant avec le char de combat.

 

L’Arrondissement Sinchon de la Province Sud-Hwanghae en est un vif témoin. En octobre, les GI agresseurs ont;

• fait entrer, dans l’abri antiaérien du Comité d’Arrondissement du Parti du Travail de Corée (PTC, parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) plus de 900 hommes, femmes, vieillards et nourrissons, les ont déshabillés et répandu de l’essence sur eux avant de les brûler

• enterré vivants ou brûlés plus de 650 habitants, dans une tranchée près dudit Comité

• enterré, à la Commune Kyongji du Canton Sanchon dudit Arrondissement, vivants les 29 enfants au bord d’une tranchée dans la montagne derrière le bâtiment du Comité Populaire dudit Canton

• enfermé plus de 500 habitants y compris une centaine d’enfants, dans l’abri antiaérien du poste de la Sécurité Publique de l’Arrondissement et y ont fait éclater les explosifs (Même aujourdhui, on trouve, au Musée de Sinchon, le tombeau de 400 mères et celui de 102 enfants, situés côte à côte. Ces victimes crient vengeance, semble-t-il, dénonçant les meurtriers US.)

• enfermé des centaines de femmes et d’enfants dans une poudrière à la Commune Wonam pour séparer, de force, ceux-ci de leurs mères, donner de l’essence à ces enfants qui pleuraient de faim (Les petits en ont bu et se sont pincé la poitrine, la gorge ayant été brûlée, et ont péri finalement.), jeter les bottes de paille sur les enfants survivants et les mères, répandre de l’essence dessus et y mettre le feu voire même lancer les grenades sur eux

• violé de jeunes femmes chaque jour après les avoir emmenées dans la Station de Cure d’Onchon, avant de les noyer dans un réservoir d’eau.

 

Pendant les 52 jours de leur occupation de l’Arrondissement Sinchon, ils ont tué, sauvagement, plus de 35.380 civils y compris plus de 16.200 enfants, vieillards et femmes, soit un quart de la population de cette circonscription. Par ailleurs, ils ont;

• tué, à la Mine Unryul, plus de 2.000 ouvriers et membres de leurs familles en les enfermant dans la galerie après avoir enfilé le ventre par 10 avec les fils de fer

• enterré, à la Commune Sinjang du Canton Anak dans l’Arrondissement Unryul, vivants un millier d’habitants et assassiné, à Haeju, plus de 6.000

• fait sauter, les 4 et 5 décembre à Pyongyang, un pont provisoire au dessus du Fleuve Taedong-gang et massacré plus de 4.000 habitants rassemblés sur la rive en les bombardant et mitraillant

• tué, lors de leur fuite (début décembre), un grand nombre de gens après les avoir kidnappés (eg; massacre, sur la Route Sariwon-Haeju, plus de 30.000 personnes qu’ils emmenaient en les menaçant de leur Bombe A.

 

Un groupe d’enquête de la Fédération Démocratique Internationale des Femmes (ou Women’s International Democratic Federation) sur le terrain a noté dans son compte rendu: Les massacres et tortures perpétrés par les troupes US dans les régions qu’elles ont prises temporairement étaient plus cruels que les atrocités commises par les nazis hitlériens en Europe qu’ils avaient occupées provisoirement.

 *2. Le Temple Pohyon-sa du Massif Myohyang-san* 

Le Massif Myohyang-san (ou montagne du parfum merveilleux, de plus de 1.900m, NDLR) offre un paysage exceptionnel. La Rivière Myohyang-chon arrose le Secteur Sin-hyangsan abritant d’innombrables pics, énormes rochers aux formes bizarres, vallées profondes et chutes d’eau.

Y sont conservés les édifices, sculptures, tours, stèles, peintures, objets d’art, planches d’imprimerie et autres vestiges historiques montrant l’intelligence des ancêtres. Sur les stèles, sont gravées les inscriptions selon lesquelles le Massif abrite plus de 360 temples bouddhiques (comme le Temple Pohyon-sa construit en 1042 et réhabilité de 1441 à 1775), mais les documents historiques en relatent quelques 150 seulement.

 

Les temples bouddhiques possédaient nombre de vestiges de l’Epoque du Coryo (918-1392) et de la Dynastie du Joson (1392-1905), mais la plupart d’entre eux ont été endommagés ou détruits dans l’époque de la domination militaire du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le génocide de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) et par le bombardement barbare des USA lors de la Guerre de Corée (à partir de la fin de laquelle la plupart de la population ont commencé à ne croire au Jésus-Christ ni au Bouddha, vu la destruction des églises et temples entiers ou complets du Pays par les USA qui prétendent le respect de la croyance ou la liberté de la religion, NDLR).

Heureusement grâce à la politique du PTC et du Gouvernement de la RPDC, le Temple Pohyon-sa et d’autres édifices ont été reconstruits et nombre de vestiges ont retrouvé leur aspect originel.

Pour rappel, persiste le statu quo bellis technique à cause de la politique d’hostilités des USA contre la RPDC menée à leur guise de se contenter de créer une situation particulière (le point le plus chaud du monde) sans l’Accord de Paix ou de Non-agression ni les relations diplomatiques que la RPDC ne quémande jamais vu leur nature agressive éternelle.




Luis Planas défend un nouveau protocole de pêche entre le Maroc et l’UE 

Le ministre espagnol de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation, Luis Planas Puchades, a indiqué, vendredi à Cordoue, que son pays ‘’soutient l’Union européenne et le Maroc dans la conclusion d’un nouveau protocole de pêche pour les quatre prochaines années’’.

« La position de l’Espagne est très claire », a insisté Planas dans une déclaration aux médias espagnols. La 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Maroc et l’UE, tenue jeudi à Bruxelles, est « positive et fructueuse », a-t-il renchéri en ce sens.

Et d’ajouter que « les travaux se poursuivront, en particulier dans le domaine de la recherche et des questions techniques, afin de progresser et de nous permettre de conclure le nouveau protocole le plus rapidement possible ».

« Les mesures d’appui structurel de l’accord ont bien fonctionné », tandis que « les travaux de recherche scientifique et technique se poursuivent en vue de l’avenir de l’accord », a encore souligné Planas qui s’est dit « optimiste » que « cette période d’arrêt durera le moins longtemps possible ».

Pour rappel, dans un communiqué conjoint, publié à l’issue de la 5ème session de la Commission mixte chargée du suivi de l’Accord de pêche, le Maroc et l’UE ont convenu de poursuivre leur coopération dans le domaine de la pêche, de manière à approfondir le partenariat bilatéral sur des volets essentiels, tels que les campagnes scientifiques, la coopération technique, la lutte contre la pêche illégale, l’intégration économique des opérateurs, les dispositifs de sécurité en mer et d’amélioration des conditions de travail et de protection des marins.

L’Union européenne a souligné, à cet égard, que les relations avec le Maroc dans le domaine de la pêche « s’inscrivent dans un partenariat global et mutuellement bénéfique, qui fait du Maroc et de l’UE des partenaires stratégiques pour la stabilité, le développement et la prospérité dans la région ».

Elle a également réitéré « la plus haute importance » qu’elle accorde à son partenariat avec le Maroc en matière de pêche, et « l’intérêt essentiel » qu’elle attache à sa poursuite « dans un esprit de confiance, de solidarité et d’intérêt mutuel »

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Hong Kong: plus de 300 jeunes catholiques participeront aux JMJ

Plus de 300 jeunes du diocèse de Hong Kong participeront aux prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse à Lisbonne, au Portugal (du 1er au 6 août), indique l’agence vaticane Fides ce jeudi 13 juillet 2023.

Organisés en 14 groupes, ils seront conduits par P. Fructuoso López Martin, des Missionnaires de Guadalupe, président de la Commission diocésaine pour la pastorale des jeunes. Plusieurs prêtres qui sont les aumôniers spirituels des différentes communautés de jeunes feront partie de la délégation.

Lors d’une liturgie solennelle célébrée le 2 juillet dans la cathédrale, à l’initiative de la Commission diocésaine de la pastorale des jeunes, l’évêque de Hong Kong et futur cardinal Stephen Chow Sau-yan avait confié aux jeunes délégués un « mandat missionnaire » spécial, les invitant à participer aux JMJ « le cœur ouvert ».

Au cours de cette liturgie, les 14 chefs de groupes de jeunes ont exprimé devant l’autel leur demande d’apprendre de la Vierge Marie la disponibilité et l’humilité dans l’accomplissement de la volonté du Seigneur, indique la même source.

Au Portugal, les jeunes de Hong Kong participeront à une retraite spirituelle et à des sessions de formation pour se préparer à la rencontre avec le pape et les jeunes du monde entier. Le programme de voyage comprend également un pèlerinage de 100 km sur le chemin de Saint-Jacques, le long d’une section du sentier menant à Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne. Les jeunes visiteront aussi plusieurs sanctuaires en France et dans le diocèse d’Essen en Allemagne.

Selon les dernières statistiques publiées sur le site officiel du diocèse de Hong Kong, il y a 395 000 catholiques vivant dans le territoire du diocèse, sur une population totale de 7 291 600 personnes (des données au 31 août 2022).




JMJ : À l’occasion de la visite du pape, une amnistie approuvée par le Parlement portugais pour les jeunes détenus

A l’occasion des prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) et de la visite du pape au Portugal, dans une décision importante, le Parlement portugais a approuvé la proposition du gouvernement d’une « amnistie pour les peines et les infractions commises par les jeunes »

Le projet de loi a reçu le soutien des partis PS, PSD, PCP, Bloco de Esquerda (BE) et Livre, tandis que l’Initiative libérale (IL) et le PAN se sont abstenus et que Chega a voté contre.

Le projet de loi, connu sous le nom de proposition 97/XV/1, va maintenant être analysé en détail par la commission des affaires constitutionnelles, des droits, des libertés et des garanties.

Cette amnistie est justifiée par la célébration des JMJ en août 2023 au Portugal, en présence du Saint-Père, le Pape François. Sa vie et son pontificat sont caractérisés par la promotion de la réinsertion sociale des personnes en conflit avec la loi pénale. L’expérience antérieure d’octroi de grâces et d’amnisties lors de la visite du plus haut représentant de l’Église catholique apostolique romaine au Portugal soutient l’adoption de mesures de clémence axées sur le groupe d’âge des jeunes participant à l’événement.

L’approbation de la loi est une étape importante et reflète l’engagement du pays dans l’organisation des JMJ de Lisbonne 2023. L’amnistie proposée implique la grâce des peines allant jusqu’à huit ans d’emprisonnement, l’amnistie des délits passibles d’une amende maximale de mille euros, ainsi que celle des délits passibles d’une peine d’emprisonnement allant jusqu’à un an ou d’une amende inférieure à 120 jours.

La décision d’amnistie a été saluée par différents secteurs et est considérée comme un geste de miséricorde envers les jeunes qui ont commis des délits. Les JMJ sont un événement, de rencontres et de célébrations, qui rassemble des millions de jeunes du monde entier, et cette édition à Lisbonne promet d’être un moment spécial de réflexion et d’unité.

Les JMJ de Lisbonne 2023 se dérouleront du 1er au 6 août et proposeront une grande variété d’activités et d’événements religieux visant à inspirer et à renforcer la foi des jeunes. L’amnistie proposée rappelle le message d’espoir et de réconciliation que l’Église catholique souhaite transmettre à travers cet événement impo

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Le pape François crée cardinal son confesseur

Le pape François a nommé le frère Luis Pascual Dri, un frère franciscain capucin âgé, comme nouveau cardinal lors du prochain consistoire qui se tiendra le 30 septembre. Bien que son nom soit en bas de la liste, il n’occupe pas la dernière place dans le cœur du Pape Bergoglio.

Frère Luis Pascual Dri a passé les dernières années de sa vie dans le confessionnal du sanctuaire de Notre-Dame de Pompeya à Buenos Aires après sa retraite en 2007. Le pape a parlé de lui à plusieurs reprises, soulignant son travail de confesseur.

François a parlé du frère (sans mentionner son nom) à plusieurs reprises : la première fois le 6 mars 2014 lors d’une réunion avec les prêtres du diocèse de Rome, en le citant en exemple.

Le frère Luis Pascual Dri a dit un jour au Pape qu’il était scrupuleux de ne pas trop pardonner aux pénitents qui venaient à lui. Le pape lui a répondu qu’il devait pardonner et faire confiance à la miséricorde de Dieu. La « confession » de Luis Pascual a profondément marqué le pape François, qui a évoqué cet épisode à plusieurs reprises.

Il y a sept ans, une équipe de journalistes a rendu visite à Frère Luis dans le sanctuaire de Pompéi. Au cours de l’entretien, le frère a expliqué qu’il était préoccupé par les confessions, mais qu’il avait suivi le conseil du pape et cherché Jésus pour lui demander pardon d’avoir trop pardonné. Le pape lui a accordé une grande confiance et a recommandé à d’autres prêtres de lui demander conseil.

Frère Luis Pascual Dri passe de nombreuses heures par jour dans le confessionnal, à écouter les gens et à leur offrir des paroles de miséricorde et de proximité. Bien qu’il reconnaisse ne pas avoir fait d’études académiques, il pense que la vie lui a beaucoup appris et que son expérience de vie, marquée par la pauvreté, lui a donné la sensibilité nécessaire pour comprendre et aider les autres.

Le frère n’a pas de conseil particulier à donner à ses confesseurs, si ce n’est de suivre le message du pape François : être miséricordieux, compréhensif, disposé à écouter et à comprendre les autres. Il pense que la confession est un acte de recherche d’amélioration personnelle et qu’il est important de transmettre aux gens la proximité et la gentillesse de ce sacrement.

Frère Luis Pascual Dri, par son humilité et son dévouement au service de la confession, a été reconnu par le pape François qui l’a nommé cardinal. Son exemple est une source d’inspiration pour tous les prêtres et confesseurs, leur rappelant l’importance de la miséricorde et du pardon dans la vie

de foi.