Pourquoi Abu Dhabi cherche à dialoguer avec le pape François ?

L’interview que le pape François a accordée au quotidien émirati al-Ittihād a suscité un grand intérêt pour plusieurs raisons. La première est qu’il n’était jamais arrivé que le pontife dialogue avec un organe de presse du Moyen-Orient, et encore moins avec un organe gouvernemental.

Ce développement confirme que le dialogue interreligieux, en particulier le dialogue islamo-chrétien, n’est pas un aspect secondaire du pontificat de François. Le Maroc, l’Irak, Bahreïn et les Émirats arabes unis eux-mêmes (où le pape a célébré en 2019 la première messe publique dans la péninsule arabique) ne sont que quelques-uns des treize pays à majorité musulmane (ou à forte présence islamique) que le pape a visités au cours de son pontificat. Par ailleurs, les relations avec les dirigeants émiratis sont profondes : c’est dans la capitale de la Fédération que François a signé en 2019 avec le grand imam d’al-Azhar le « Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune », leitmotiv de toute l’interview accordée à al-Ittihād.

Le dialogue avec Hamad al-Ka’bī, rédacteur en chef du quotidien émirati, permet également de comprendre comment la signature du document, qui aurait pu être un simple moment cérémoniel, s’est au contraire révélée fructueuse. Cela témoigne de la manière dont la conduite du pape François est éclairée par la conviction qu’il est nécessaire d’ « initier des processus » plutôt que d’ « occuper des espaces », en favorisant « les actions qui génèrent de nouvelles dynamiques dans la société et impliquent d’autres personnes et groupes qui les portent, jusqu’à ce qu’elles portent leurs fruits dans des événements historiques importants » (Evangelii Gaudium).

Le dialogue publié par al-Ittihād montre que c’est ce qui est en train de se produire : non seulement parce qu’il se réfère aux initiatives lancées par les Émirats et d’autres après la signature du document de la Fraternité (pensons, par exemple, à la réalisation de la Maison de la Famille Abrahamique), mais aussi parce que si le dialogue a été initié principalement en raison de l’urgence causée par l’urgence djihadiste, les questions de la confrontation se sont maintenant élargies. On est passé d’un dialogue centré sur la condamnation du terrorisme à un dialogue qui, grâce aussi au changement du contexte international, s’est élargi à d’autres questions : l’éducation des jeunes, la lutte contre l’injustice, la protection de la santé, la durabilité et l’environnement. Mais aussi, le Pape l’a encore répété cette fois , la pleine mise en œuvre de la liberté religieuse, qui peine encore à s’affirmer dans les sociétés à majorité islamique, et qui ne peut se limiter à la seule liberté de culte, aussi importante soit-elle.

L’autre aspect significatif de l’entretien réside dans les questions posées par Hamad al-Ka’bī au Souverain Pontife. Après s’être enquis de l’état de santé du Pape, qui venait de subir une intervention chirurgicale, l’intervieweur lui demande : « Comment voyez-vous le rôle des Emirats et celui de Son Altesse Shaykh Muhammad bin Zayed Al Nahyan […] en tant que partenaire- clé dans le soutien aux efforts de paix et de tolérance ? En outre, le choix du titre souligne l’importance accordée aux Émirats : « Les dirigeants émiratis s’intéressent à la construction de l’avenir et de la paix dans le monde », peut-on lire dans le quotidien du Golfe.

Vu d’Abu Dhabi, le sujet de l’interview n’est ni le pape ni les processus lancés avec les amis musulmans, mais les Émirats eux-mêmes, leur leadership et leur statut international. Le titre et l’invitation permanente à commenter la politique de Muhammad bin Zayed (MbZ) montrent comment, pour Abu Dhabi, l’interlocution avec le Vatican acquiert une forte valeur symbolique, presque comme pour légitimer son modèle. Un modèle qui, d’une part, ne tolère pas l’ingérence religieuse, en particulier l’ingérence islamiste, dans la sphère politique, considérée comme une menace existentielle pour le pouvoir en place, mais qui, d’autre part, utilise la religion comme un outil diplomatique de ‘’soft power’’.

À cet égard, une personnalité de premier plan comme l’ambassadeur Youssef al-Otaiba a déclaré que son gouvernement croyait fermement en la séparation de l’État et de la religion. En effet, le modèle émirati a fait de la tolérance, qui existe réellement dans le pays (marqué par la présence d’un ministère de la tolérance, l’insistance constante autour de la Grande Mosquée sur cette valeur et, surtout, l’espace dont jouissent les chrétiens) une marque à exporter, par opposition au modèle de l’islam politique. En définitive, l’insistance émiratie sur des valeurs telles que la fraternité et la tolérance ne conduit pas nécessairement à la marginalisation du rôle de l’islam dans les sociétés du Moyen-Orient, mais à la neutralisation de ses revendications politiques. Depuis le déclenchement du Printemps arabe en 2011, c’est sur cette ligne de fracture que se divise le Moyen-Orient, les Émirats se trouvant à l’opposé des pays proches des Frères musulmans, comme la Turquie et le Qatar. Le pape, cette interview le confirme, a choisi ses interlocuteurs.

L’article est paru dans Riformista le 6 juillet 2023, sous le titre Papa Francesco difende il Corano e la libertà religiosa.




Consistoire pour la création de 21 nouveaux cardinaux le 30 septembre

Au cours de l’Angélus du dimanche 9 juillet 2023, le pape François a annoncé un consistoire pour la création de 21 nouveaux cardinaux. Le pape a en effet dit : « Maintenant, je voudrais annoncer que le 30 septembre prochain, je tiendrai un consistoire pour la nomination de nouveaux cardinaux. Leur provenance exprime l’universalité de l’Église, qui continue à annoncer l’amour miséricordieux de Dieu à tous les peuples de la Terre. L’insertion des nouveaux cardinaux dans le diocèse de Rome, en outre, manifeste le lien indicible entre le siège de Pierre et les Églises particulières répandues dans le monde. »
Parmi les futurs cardinaux, dix-huit électeurs et trois non-électeurs de plus de 80 ans.
Parmi les futurs cardinaux sont deux Français : Mgr François-Xavier Bustillo, évêque d’Ajaccio (Corse), 54 ans, et Mgr Christophe Pierre, nonce apostolique aux États-Unis depuis 2016.
Le directeur éditorial du dicastère pour la communication, Andrea Tornielli, souligne que « la nouveauté la plus significative » de cette liste des cardinaux est la présence de « deux électeurs nonces » : « le précédent remontant au consistoire de novembre 2016, lorsque le cardinal Mario Zenari, ambassadeur du pape en Syrie, où il est encore, a été créé cardinal ». « Dans le cas présent, poursuit Tornielli, Emil Paul Tscherrig, 76 ans, nonce apostolique en Italie, et Christophe Pierre, 77 ans, nonce aux États-Unis, sont tous deux des prélats qui arrivent au terme de leur service diplomatique. » Le directeur éditorial note « en particulier l’inclusion de Pierre, un homme très équilibré, qui a joué et continue de jouer un rôle important en collaborant avec François dans le choix de nouveaux évêques pour l’Église américaine ».
Voici une liste complète des cardinaux :
Mgr Robert Francis PREVOST, o.s.a., préfet du Dicastère pour les évêques
Mgr Claudio GUGEROTTI, préfet du Dicastère pour les Églises orientales
Mgr Víctor Manuel FERNÁNDEZ, préfet du Dicastère pour la Doctrine de la foi
Mgr Emil Paul TSCHERRIG, nonce apostolique en Italie
Mgr Christophe Louis Yves Georges PIERRE, nonce apostolique aux États-Unis
Pierbattista PIZZABALLA, patriarche latin de Jérusalem
Mgr Stephen BRISLIN, archevêque du Cap (Kaapstad) (Afrique du Sud)
Mgr Ángel Sixto ROSSI, sj., archevêque de Córdoba (Argentine)
Mgr Luis José RUEDA APARICIO, archevêque de Bogotá (Colombie)
Mgr Grzegorz RYŚ, archevêque de Łódź (Pologne)
Mgr Stephen Ameyu Martin MULLA, archevêque de Juba (Soudan du Sud)
Mgr José COBO CANO, archevêque de Madrid (Espagne)
Mgr Protase RUGAMBWA, archevêque coadjuteur de Tabora (Tanzanie)
Mgr Sebastian FRANCIS, évêque de Penang (Malaisie)
Mgr Stephen CHOW SAU-YAN, sj., évêque de Hong Kong
Mgr François-Xavier BUSTILLO, o.f.m. conv., évêque d’Ajaccio (France)
Mgr Américo Manuel ALVES AGUIAR, évêque auxiliaire de Lisbonne (Portugal)
Rev. Padre Ángel FERNÁNDEZ ARTIME, sdb., recteur majeur des Salésiens
Cardinaux non-électeurs :
Mgr Agostino MARCHETTO, nonce apostolique
Mgr Diego Rafael PADRÓN SÁNCHEZ, archevêque de Cumaná (Venezuela)
Padre Luis Pascual DRI, o.f.m. cap., confesseur du sanctuaire de Notre-Dame de Pompei, Buenos Aires (Argentine)




*RPDC; «Les impérialistes US sont les ennemis jurés de notre Peuple!»* 

Presque 70 ans se sont écoulés depuis le cessez-le-feu (Accord d’Armistice RPDC-USA; lundi 27/07/1953 10:00) sur la Péninsule (224.252 km2) coréenne. Pourtant, le Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) n’oublie jamais les atrocités perpétrées par les impérialistes US lors de la Guerre (1950-1953) de Libération de la Patrie, malgré le changement de génération et quelle que soit le changement de la nature et du paysage.

*1. Tout le Territoire réduit en cendre*

Indicibles étaient leurs bombardements pour tenter de balayer le berceau de la vie heureuse du Peuple de la RPDC (123.214km2).

«En fait, les USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GIs après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) ont commis les crimes abominables vis-à-vis de la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans, NDLR) du Nord; ils ont largué, sur elle, une plus grande quantité de bombes que celle sur le Front du Pacifique lors de la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale. Des milliers et des dizaines de milliers des civils innocents ont trouvé la mort (1.230.000 selon les statistiques, NDLR) et de nombreuses villes disparues.», tel est le constat de la presse US, sans parler de l’utilisation des armes bactériologiques et chimiques et des bombes à napalm et des menaces d’armes nucléaires. Pendant cette Guerre de Corée, les USA ont;

• organisé plus d’un million de sorties ou attaques aériennes (800.000 de l’US Air Force et 250.000 de lUS Marines)

• largué 600.000t de bombes sur toute l’étendue de la RPDC, soit quantité 3,7 fois supérieure à celle de bombes sur le Territoire proprement dit du Japon au cours de la Guerre du Pacifique (1941-1945 qui comprend les campagnes menées dans la Zone Asie-Pacifique, NDLR).

 

Toutes les hostilités enregistrées dans l’histoire des guerres de l’Humanité étaient, franchement parlant, l’origine des génocides barbares et le foyer de la destruction sans discrimination. Néanmoins, le monde ne connaît pas encore une guerre comme cette Guerre-là imposée (dimanche 25/06/1950 04:00) par les USA qui ont détruit, sans pitié, le lieu d’existence d’un Etat âgé de 2 ans.

«Nous allons supprimer toutes les 78 villes de la Corée du Nord sur la carte mondiale pour qu’il n’y ait rien à balayer.»; tout en alléguant ainsi, les bêtes brutes US ont;

• réduit en cendre tout le Territoire de la RPDC

• lancé les bombes à même de réduire tout en cendre; rien que sur la Ville Pyongyang, 01 bombe par habitant (population du Pays; 10.540.000 en 1950 et 26.123.829 en 2023, NDLR), et 18 bombes par km2 sur tout le Territoire de la RPDC (Leurs bombardements ont tout ravagé.).

 

Les USA prétendaient que la RPDC ne se relèverait jamais même en 100 ans. Mais, le Peuple, sorti victorieux de la Guerre, a;

• redressé, dans un meilleur délai, ses villes, villages, rues et lieux de travail réduits en cendre

• édifié, sur son sol, un Etat socialiste, politiquement souverain, économiquement indépendant et capable de se défendre par lui-même.

*2. Les crimes de guerre bactériologique*

Le matin d’un jour du mai 1952, un avion de l’US Air Force apparut dans le ciel de la campagne rurale de l’Arrondissement Taedong dans la Province Sud-Phyongan. Bizarrement, il ne fit que le virage dans l’air sans bombardement mais en laissant tomber quelque chose. Peu après, une femme qui ramassait les herbes comestibles sauvages découvrit une liasse de paille à ses alentours. Elle l’ouvra et trouva, là-dedans, un paquet de coquillages alléchants. Une fois descendue de la montagne, elle en mangea avec son mari. Or, ce fut le commencement de leur malheur épouvantable. Le soir, ils furent pris d’une forte fièvre et gémirent toute la nuit. Les villageois en firent part à un médecin. Celui-ci estima, après son examen, que le couple était atteint du choléra puisque les coquillages contenaient les bactéries toxiques. Le matin, les malades furent morts. Ce n’est qu’un simple exemple montrant les atrocités de la guerre bactériologique menée par les impérialistes US pendant la Guerre.

 

Voués à une défaite honteuse devant la contre-attaque foudroyante de l’héroïque Armée Populaire de Corée, les agresseurs US recoururent, vilainement, au génocide par arme bactériologique en violation brutale du Droit International. Le Colonel Frank Hawse SCHWABLE (1908-1988) de l’US Marines ayant participé à cette Guerre bactériologique abominable avoua: C’est le Comité des chefs d’état-major interarmées US qui a donné ses instructions sur l’ensemble du plan de la Guerre bactériologique en Corée. En mai 1952, cette Guerre a gagné en ampleur selon les indications du 5ème Corps d’Aviation de lUS Air Force.

 

Les impérialistes US ont largué, en quantité, les bombes bactériologiques pour anéantir le Peuple de la RPDC. Ils ont;

• propagé (29/11-08/12/1950), dans de nombreuses régions (la Ville Pyongyang, l’Arrondissement Yangdok de la Province Sud-Phyongan et les Arrondissements Kowon et Jangjin de la Province Sud-Hamkyong, etc.), un très grand nombre de virus et de bactéries contagieux en employant leurs armes bactériologiques

• mobilisé, tous les 7-10 jours, leurs avions de façon concentrée pour répandre, avec frénésie dans presque toutes les régions du Pays (les villes, les réservoirs d’eau filtrée, les montagnes et les plaines), les mouches, les moustiques, les puces, les rats, etc., infectés par le vibrion cholérique, le bacille pesteux, le bacille du charbon, le bacille paratyphique et le bacille dysentérique ainsi que les denrées alimentaires et les articles d’usage courant contaminés par les bactéries

• mobilisé (novembre 1951) le 3ème Régiment Bombardier de l’US Air Force et le 19ème Régiment Bombardier sous contrôle direct du Commandement de l’Extrême-Orient de l’US Air Force, ils ont largué la 1ère bombe bactériologique dans la zone Nord du Fleuve Chongchon-gang et celle de la rive Sud du Fleuve Amnok-gang, à Yangdok, à Hamhung et à Wonsan

• mobilisé plusieurs centaines d’avions pour larguer, à 804 reprises (janvier-mars 1952) dans les 169 régions, diverses sortes de bombes bactériologiques; en mai 1952, cette Guerre bactériologique a gagné en ampleur dans toutes les régions totales du Pays.

 

Il en est résulté que beaucoup de maladies épidémiques y compris la peste, le choléra, la typhoïde et la dysenterie, se sont propagées rapidement et que bon nombre de gens sont morts ou devenus invalides. A l’époque, un membre du groupe d’enquête de l’Association Internationale des Juristes Démocrates (ou International Association of Democratic Lawyers) a dit: Les démons de l’Enfer de la Divina Commedia de l’écrivain italien Dante ALIGHIERI (1265-1321), n’avaient pas surpassé, en cruauté, les barbares yankees. Si Adolf HITLER (1889-1945) et Benito MUSSOLINI (1883-1945) avaient assisté aux atrocités des USA, ils en auraient été stupéfiés.

 

Pour rappel, persiste le statu quo bellis technique à cause de la politique d’hostilités des USA contre la RPDC menée à leur guise de se contenter de créer une situation particulière (le point le plus chaud du monde) sans l’Accord de Paix ou de Non-agression ni les relations diplomatiques, pendant les 7 décennies. Rira bien qui rira le dernier!




Maroc-UE-Pêche: La durabilité, un objectif commun du Maroc et de l’UE (Communiqué conjoint) 

Le Maroc et l’Union européenne (UE) ont annoncé, jeudi à Bruxelles, qu’elles vont poursuivre la coopération scientifique dans “l’objectif commun de la durabilité” de la ressource halieutique dans la région.

 

“Le Maroc et l’UE ont pris note des recommandations contenues dans le rapport établi par le comité scientifique conjoint, qui s’est réuni en juin dernier. A cet égard, elles vont poursuivre la coopération scientifique dans l’objectif commun de la durabilité de la ressource dans la région”, indique un communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Royaume et l’UE.

 

Cette réunion a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16, souligne la même source.

 

A cette occasion, le Maroc et l’UE se sont félicités de leur coopération exemplaire qui a permis, en toutes circonstances, des opérations des navires artisanaux et industriels, une gouvernance transparente et rigoureuse du Protocole, ainsi qu’un suivi scientifique continu de l’état de la ressource halieutique.

 

Les parties ont notamment salué la mise en œuvre satisfaisante de l’Accord de pêche et de son Protocole dans ses différentes dimensions, notamment l’excellent état d’avancement des projets pour le développement du secteur de la pêche au Maroc, précise le communiqué conjoint, notant que ces projets pourront se poursuivre au-delà de l’expiration du Protocole, comme prévu par celui-ci.

 

Mercredi, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita a indiqué, lors d’un point de presse à l’issue des travaux de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le gouvernement intègre dans sa réflexion et dans son évaluation au sujet de l’Accord de pêche le paramètre lié aux données scientifiques, l’objectif étant de préserver cette ressource naturelle importante et pour le Maroc et pour les Marocains, et d’assurer sa




Maroc-UE-Pêche : L’UE réitère “la plus haute importance” qu’elle accorde à son partenariat avec le Maroc en matière de pêche et “l’intérêt essentiel” qu’elle attache à sa poursuite 

L’Union européenne (UE) a réitéré “la plus haute importance” qu’elle accorde à son partenariat avec le Royaume du Maroc en matière de pêche, et “l’intérêt essentiel” qu’elle attache à sa poursuite “dans un esprit de confiance, de solidarité et d’intérêt mutuel”.

 

Elle a également souligné, dans un communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, tenue jeudi à Bruxelles, que les relations avec le Maroc dans le domaine de la pêche “s’inscrivent dans un partenariat global et mutuellement bénéfique, qui fait du Maroc et de l’UE des partenaires stratégiques pour la stabilité, le développement et la prospérité dans la région”.

 

Tenue conformément à l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Maroc et l’Union européenne, cette 5ème session a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16.

 

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a affirmé, mercredi à Rabat lors d’un point de presse à l’issue de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le Royaume décidera de l’avenir de la coopération avec l’UE dans le domaine de la pêche à la lumière des évaluations propres au gouvernement et en concertation avec les partenaires européens.

 

M. Bourita a aussi qualifié de “satisfaisante” la mise en œuvre du Protocole, notant que la coopération a été “positive et mutuellement bénéfique” durant ces quatre années.




L’accord de pêche Maroc-UE “demeure en vigueur”

Le Maroc et l’Union européenne (UE) ont convenu de poursuivre leur coopération comme le prévoit l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, qui « demeure en vigueur », de manière à approfondir leur partenariat bilatéral.

Selon le communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord, tenue jeudi à Bruxelles, « le Maroc et l’Union européenne ont convenu de poursuivre leur coopération comme le prévoit l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, qui demeure en vigueur, de manière à approfondir le partenariat bilatéral sur des volets essentiels, tels que les campagnes scientifiques, la coopération technique, la lutte contre la pêche illégale, l’intégration économique des opérateurs, les dispositifs de sécurité en mer et d’amélioration des conditions de travail et de protection des marins ».

Tenue conformément à l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Maroc et l’Union européenne, cette réunion a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16, souligne la même source.

A cette occasion, le Maroc et l’UE se sont félicités de leur coopération exemplaire qui a permis, en toutes circonstances, des opérations des navires artisanaux et industriels, une gouvernance transparente et rigoureuse du Protocole, ainsi qu’un suivi scientifique continu de l’état de la ressource halieutique.

Les parties ont notamment salué la mise en œuvre satisfaisante de l’Accord de pêche et de son Protocole dans ses différentes dimensions, notamment l’excellent état d’avancement des projets pour le développement du secteur de la pêche au Maroc, soulignant l’impact socio-économique positif sur le secteur, sur la pêche artisanale, l’aquaculture durable au profit des jeunes entrepreneurs et des coopératives de pêcheurs, ainsi qu’en termes de création d’emplois, de formation et d’insertion des femmes et des jeunes notamment dans la vie active.

Ces projets, ajoute le communiqué conjoint, pourront se poursuivre au-delà de l’expiration du Protocole, comme prévu par celui-ci.

La durabilité, un objectif commun

Les deux parties ont de même annoncé qu’elles vont poursuivre la coopération scientifique dans « l’objectif commun de la durabilité » de la ressource halieutique dans la région.

« Le Maroc et l’UE ont pris note des recommandations contenues dans le rapport établi par le comité scientifique conjoint, qui s’est réuni en juin dernier. A cet égard, elles vont poursuivre la coopération scientifique dans l’objectif commun de la durabilité de la ressource dans la région », fait noter le communiqué conjoint.

L’UE réitère l’importance du partenariat avec le Maroc

A cet égard, l’Union européenne a réitéré « la plus haute » qu’elle accorde à son partenariat avec le Royaume du Maroc en matière de pêche, et « l’intérêt essentiel » qu’elle attache à sa poursuite « dans un esprit de confiance, de solidarité et d’intérêt mutuel ».

Les relations avec le Maroc dans le domaine de la pêche « s’inscrivent dans un partenariat global et mutuellement bénéfique, qui fait du Maroc et de l’UE des partenaires stratégiques pour la stabilité, le développement et la prospérité dans la région », a également souligné l’UE.

Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, avait affirmé mercredi lors d’un point de presse à l’issue de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le Royaume décidera de l’avenir de la coopération avec l’UE dans le domaine de la pêche à la lumière des évaluations propres au gouvernement et en concertation avec les partenaires européens.

Bourita a aussi qualifié de « satisfaisante » la mise en œuvre du Protocole, notant que la coopération a été « positive et mutuellement bénéfique » durant ces quatre années.

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Agences de Presse : la MAP et l’ACP renforcent leurs relations de coopération et de partenariat

L’Agence Maghreb Arabe Presse (MAP) et l’Agence Congolaise de Presse (ACP) viennent de renforcer leurs relations par la signature, mercredi à Rabat, d’un nouvel accord de coopération et de partenariat.

Signé par le Directeur général de la MAP, M. Fouad Arif, et le Directeur général de l’ACP, M. Bienvenu-Marie Bakumanya, cet accord vise à renforcer la coopération entre les deux Agences et à consolider leur partenariat, ainsi que leurs relations professionnelles dans tous les domaines d’intérêt commun.

En vertu de cet accord, signé à l’occasion de la visite à la MAP du Directeur général de l’ACP, accompagné d’une délégation de journalistes-responsables de l’Agence congolaise, la MAP et l’ACP s’accordent mutuellement le droit de recevoir et d’utiliser, dans leurs services rédactionnels, les informations et tout ce qui est lié aux contenus multimédias (photo, vidéo, audio, infographie) en provenance de l’une ou de l’autre Agence.

Les deux parties ont également convenu de renforcer l’échange d’expériences à travers l’organisation de visites et de stages d’immersion en faveur des journalistes, cadres, techniciens et informaticiens des deux Agences.

A l’occasion de cette signature, les deux Directeurs généraux ont tenu une séance de travail au cours de laquelle ils se sont penchés sur les moyens susceptibles de développer les relations entre les deux Agences sur les plans stratégiques de communication et technologiques.

Ils ont souligné, dans ce sens, l’importance pour les deux Agences de privilégier la coopération dans les domaines de communication et d’échange d’information, pour être à la hauteur des relations exemplaires entre le Maroc et la République Démocratique du Congo (RDC).

M. Bakumanya a mis en avant, à cette occasion, les liens historiques entre le Royaume et la RDC et les relations d’amitié et de fraternité entre les chefs d’Etat des deux pays.

« Nous avons décidé de mettre en synergie nos moyens logistiques et intellectuels » au service des deux Agences, a-t-il ajouté dans une déclaration à la MAP.

M. Bakumanya s’est dit déterminé à œuvrer pour la consolidation de la coopération de l’ACP avec la MAP, notamment dans le domaine de la transition numérique.

Lors de cette réunion, M. Arif a mis en avant l’entière disposition de la MAP à partager son expertise avec l’ACP dans ce domaine, assurant qu’un plan d’action bien défini sera prochainement mis en place.

L’Afrique constitue un axe stratégique essentiel et majeur de la stratégie de SM le Roi Mohammed VI, a poursuivi M. Arif, relevant que le continent occupe une place de choix dans la politique étrangère marocaine. (Avec MAP)




RPDC; Le lancement d’essaI d’un nouveau ICBM Hwasongpho-18

Voici un autre grand événement significatif marquant le trajet du renforcement et du développement des forces stratégiques de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, NDLR). La Direction Générale de Missiles de l’Armée Populaire de Corée (APC) vient d’effectuer, ce 12 juillet, le lancement d’essaI d’un missile balistique intercontinental (ICBM) de nouveau modèle Hwasongpho (ou Canon Mars) -18, système d’armes essentiel des forces stratégiques de la RPDC, dans le cadre de;
• préserver la sécurité de l’Etat et la paix dans la Région des affres d’une Guerre nucléaire
• renforcer le droit de défense légitime visant à maîtriser, complètement, les tentatives militaires périlleuses des forces hostiles.

L’essai a eu lieu selon le jugement stratégique et la Décision importante de la Commission Militaire Centrale du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) au moment délicat où la situation de sécurité militaire dans la Péninsule (224.252km2) coréenne et la Région abordait une phase de la Crise nucléaire dépassant l’époque de la Guerre Froide (1945-1991) à cause des manœuvres de provocations militaires sans précédent des USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GIs après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) et des forces à leur remorque. Les USA;
• ont forgé, en avril dernier, la Déclaration de Washington (issu du Sommet USA-ROK; Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR), programme de confrontation nucléaire avec la RPDC
• cherchent à discuter, ouvertement, l’emploi d’armes nucléaires contre la RPDC, à travers les réunions du Groupe Consultatif Nucléaire (ou Nuclear Consultative Group ou NCG) USA-ROK, qui allait servir de prototype à l’Alliance Nucléaire Tripartite USA-Japon-ROK
• n’hésitent pas, sous le prétexte de l’augmentation de la Visibilité de leurs avoirs stratégiques, à envoyer, à n’importe quel moment, le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (lUSS Ohio; SSBN ou sub-surface ballistic nuclear construit en 1976, NDLR) et les bombardiers stratégiques nucléaires dans la Péninsule coréenne et ses environs, précipitant, ainsi, la situation de la Région au seuil d’une Guerre nucléaire inouïe
• se cramponnent aux actes de reconnaissance aérienne (plus de 30 reprises 02-10/07/2023 avec leurs RC-135S, U-2S, RQ-4B, NDLR) plus provocatrice en violant même le Territoire souverain de la RPDC
• forment le dessein d’introduire, de nouveau, leurs armes nucléaires dans la Péninsule coréenne en envoyant, pour la 1ère fois depuis plus de 40 ans (1981), l’USS Ohio en Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’une année, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR); ce qui est plus grave.

Leurs actes militaires insensés;
• constituent, d’un bout à lautre, les provocations de nature agressive qui entraînent la situation de la Péninsule coréenne à un accrochage armé réel par-delà les préparatifs de combat permanents ciblant leur adversaire belligérant
• ont une influence négative irréversible sur la situation militaro-politique et la structure de sécurité de la Région.

La situation actuelle où les tentatives d’affrontement de folie des USA et de la Corée du Sud, susceptibles d’engendrer une nouvelle Crise nucléaire en chaîne dans la Péninsule coréenne et la Région de l’Asie du Nord-Est abordent au point critique absolument intolérable, exige de la RPDC de donner sa forte impulsion aux efforts de;
• maîtriser, au moyen physique, la provocation politico-militaire insensée des forces hostiles
• renforcer les capacités d’autodéfense et la force de dissuasion nucléaire d’autodéfense.

Ce lancement d’essai constitue un processus indispensable ayant pour but de développer, encore davantage, les forces nucléaires stratégiques de la RPDC et un ferme avertissement pratique destiné à;
• montrer, clairement, la ferme volonté de riposte dominatrice et l’entité de la puissance physique aux ennemis qui se révèlent plus évidents dans leur politique de menace nucléaire vis-à-vis de la RPDC
• leur faire savoir, nettement une fois de plus, la dangerosité et la témérité de leur choix militaire anti-RPDC.

KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC et Président des Affaires d’Etat de la RPDC, a dirigé, sur place, ledit lancement d’essai dont le but était de vérifier, de nouveau (la 1ère série; 13/04/2023), la crédibilité technique du système d’arme de l’ICBM et sa fiabilité de fonctionnement. En vue d’assurer la sécurité des Pays voisins (la Chine, la Russie et le Japon; le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le génocide de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) et celle du détachement à plusieurs étages au cours du vol dans le ciel territorial, était adopté le mode de vol balistique standard pour la 1ère étape et le mode de lancement vertical pour les 2ème et 3ème étapes, et étaient vérifiées les caractéristiques techniques de toutes les parties de ce système.

Au poste dobservation, KIM JONG UN a autorisé le lancement. Le Général d’armée KIM Jong Sik a donné, alors, son ordre à la 2ème Compagnie Red-Star de la Direction Générale de Missiles chargée de la mission du lancement;
• Le lancement n’a donné aucune influence néfaste aux 3 Pays voisins.
• L’ICBM a atteint les parages de cible dans les Eaux internationales de la Mer de l’Est de Corée après avoir volé 1.001,2km (999,2 km pour l’ancien modèle 18/11/2022) pendant 4.491s (4.135s pour l’ancien modèle 18/11/2022) en prenant son altitude maximale de 6.648,4km (6.040,9km pour l’ancien modèle 18/11/2022).
• Tous les nouveaux records confirmés au cours du lancement ont justifié la capacité, la fiabilité et l’efficacité militaire du système d’arme stratégique de nouveau modèle, et vérifié la crédibilité des forces stratégiques nucléaires de la RPDC.

Le nouveau ICBM dont les forces stratégiques de la RPDC se muniront et feront usage conformément au Programme (initié par KIM JONG UN en 2013, NDLR) d’édification des forces nucléaires de l’État à long terme, s’acquittera d’une mission de haute importance en tant que moyen essentiel le plus puissant pour maîtriser à fond et riposter, de façon écrasante, toutes sortes de menaces de guerre nucléaire contre la RPDC et d’actes d’agression provocateurs, et pour sauvegarder, de pied ferme, la sécurité de l’Etat.

KIM JONG UN, très satisfait du succès du lancement, a dit;
• La réalisation spectaculaire d’aujourd’hui ayant manifesté, pleinement, le profil puissant de notre RPDC dotée de la force de dissuasion nucléaire d’autodéfense et des capacités d’offensive dominatrice, constitue un autre progrès notable au niveau du développement des forces stratégiques de la RPDC.
• L’actuelle situation précaire où la sécurité de la Péninsule coréenne est, gravement, menacée, d’un moment à l’autre, par les forces hostiles nous exige de donner une plus forte impulsion à la réalisation de la Ligne de renforcement de la force de dissuasion nucléaire définie par le 8ème (2021) Congrès du PTC.
• Notre PTC et le gouvernement de notre RPDC s’en tiendront, toujours, à leurs ligne de conduite et orientation stratégiques consistant à accélérer, durablement, la mise au point des systèmes d’armes plus avancés, plus efficaces et plus fiables.
• Comme le montre bien la réalité, c’est la règle reconnue selon laquelle les événements plus étonnants seuls marqueront, sans cesse, notre marche vers le renforcement du potentiel de défense nationale au fur et à mesure de la multiplication des menaces militaires et défis des forces hostiles.
• Nous nous livrerons, sans cesse, aux offensives militaires plus puissantes jusqu’à ce que les impérialistes US et la Clique fantoche sud-coréenne reconnaissent, dans la douleur, leur défaite déshonorable en matière de politique hostile contre la RPDC et renoncent à leur politique.

Et, KIM JONG UN a;
• précisé les tâches stratégiques importantes qui s’imposent pour impulser, vigoureusement, le renforcement des forces stratégiques nucléaires de la RPDC
• adressé ses félicitations et remerciements à tous les scientifiques et techniciens dans le secteur de la recherche en science de défense nationale qui avaient su promettre l’histoire de la victoire éternelle (depuis 1953) devant l’Epoque et la postérité grâce à leur succès remarquable dans l’essai du nouveau système d’arme stratégique à la veille du 70ème anniversaire (27/07/2023) de la Victoire dans la Guerre (1950-1953) de Corée, victoire remportée par le grand Peuple de la RPDC en mettant en pièces le mythe de la Puissance des impérialistes US.

Les scientifiques de la défense nationale se sont juré, solennellement, de remplir, pleinement, de leur mission importante auprès du PTC, de la Révolution, de la Patrie et du Peuple.




Après la tentative d’appropriation de l’Algérie, l’ICESCO décide d’inscrire officiellement le Caftan comme patrimoine marocain

L’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO) a été contrainte de protéger le caftan, devenu une énième cible d’appropriation culturelle par l’Algérie.

Une source au sein de l’Organisation régionale, a indiqué qu’elle a pris une décision officielle concernant l’inscription du Caftan au patrimoine immatériel marocain.

Cette décision intervient après une nouvelle offensive du régime algérien pour s’approprier des éléments culturels marocains et les inscrire au nom de l’Algérie devant l’UNESCO. En effet, l’Algérie a introduit le caftan marocain dans son dossier d’inscription de la Mlehfa et Gandoura auprès de l’UNESCO.

Le ministère marocain de la Culture a présenté devant l’ICESCO plusieurs éléments du patrimoine immatériel marocains pour figurer dans la liste des sites du patrimoine et des éléments culturels, devant Comité du patrimoine du Monde islamique de l’organisation.

L’ICESCO vient d’enregistrer 26 sites historiques et culturels appartenant au patrimoine marocain, y compris des éléments matériels et immatériels.

Etant donné que l’ICESCO compte parmi ses membres les pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), dont l’Algérie, cela signifie que ce pays a reconnu que le caftan est marocain, indique la même source.

fr.hespress.com




20ème anniversaire du « Protocole de Maputo » Mireille Masangu représente la Rdc aux assises de Nairobi sur les droits de la femme africaine

À la tête d’une forte délégation de la République démocratique du Congo, la ministre du Genre, Famille et Enfant, Mme Mireille Masangu Bibi Muloko, est allée participer aux différentes activités organisées par l’Union Africaine, pour l’évaluation du « Protocole de Maputo à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples » (Protocole de Maputo), à Nairobi au Kenya.

Ces travaux ont démarré ce lundi 10 juillet 2023, vont se clôturer ce mardi 11 juillet, à 17 heures et poursuivent comme objectif principal, évaluer les avancées enregistrées dans le protocole de Maputo, depuis sa mise en place, jusqu’à ce jour, dans les pays membres.

A savoir, le « Protocole de Maputo à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples » est un protocole international de l’Union africaine, amenant les États signataires à garantir les droits des femmes, y compris le droit de participer au processus politique, l’égalité sociale et politique avec les hommes, une autonomie améliorée dans leurs décisions en matière de santé et la fin des mutilations génitales féminines.

Il a été conclu et signée le 11 juillet 2003 à l’occasion du 2ème sommet par l’Union africaine, à Maputo, au Mozambique. Tous les États membres de l’Union africaine l’ont signé, sauf le Botswana, le Maroc et l’Égypte. La convention est entrée en vigueur le 25 novembre 2005.

Le protocole de Maputo vise à remettre la femme africaine dans ses droits et se donne comme mission essentielle, éduquer et encadrer la femme, en vue de bien connaître ses droits.

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