Le pape François poursuit son engagement dans le dialogue avec la Chine

Réflexions du Père Criveller, missionnaire au PIME et sinologue : avec la nomination de Shen Bin comme évêque de Shanghai, le pape se préoccupe du bien du peuple de Dieu, et nous avec lui. L’interview du cardinal P. Parolin montre clairement la déception du Saint-Siège face à la situation qui s’est créée. Et il est difficile d’imaginer que les autorités chinoises, qui insistent tant sur une politique de nationalisation des religions, cesseront de prendre des décisions unilatérales.

Le bureau de presse du Vatican a annoncé que le pape a nommé Joseph Shen Bin évêque de Shanghai (Chine), le transférant du diocèse de Haimen (Jiangsu). Dans le même temps, le secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin a accordé une interview inhabituelle « aux médias du Vatican ». Ni le nom de l’agence ni celui de l’intervieweur n’apparait et même les questions sont numérotées. Bref, il s’agit d’une déclaration à part entière, sans être formelle et officielle.

La première chose, que je voudrais dire, est que, face à un acte de gouvernement du Saint-Père, nous, catholiques, espérons que ses intentions, pour lesquelles nous prions chaque jour, se réaliseront. Et ses intentions sont pour le bien du peuple de Dieu en Chine et à Shanghai.

Le Secrétaire d’État, quant à lui, s’est efforcé de clarifier, autant que possible, les circonstances qui ont conduit à cette décision. Certains observateurs imaginaient que, tôt ou tard, il en arriverait là, c’est-à-dire à entériner, même à contrecœur, la décision des autorités chinoises d’avril dernier. En transférant Mgr Shen sans aucune consultation, les autorités chinoises avaient attristé et blessé le Saint-Siège.

Plus d’un catholique, à Hong Kong et ailleurs, considère la décision papale comme une capitulation de plus devant les abus de la politique religieuse de Pékin. En effet, elle est mise en œuvre en faisant peu de cas de la lettre et de l’esprit de l’accord de 2018, qui a déjà été renouvelé deux fois.

La déception du Saint-Siège transparaît clairement entre les lignes de l’interview du cardinal Parolin. Mais il n’a pas su l’expliciter dans toute sa gravité, car en acceptant le transfert de Shen Bin à Shanghai, le pape veut, malgré tout, ne pas se laisser empêtrer par les difficultés et les impropriétés, et rester engagé dans le dialogue avec la Chine.

La nomination au rang de cardinal, le dimanche 9 juillet, de l’évêque de Hong Kong Stephen Chow – après qu’il ait été le seul évêque chinois parmi les membres du synode – montre que le cardinal élu Chow est une figure importante de la médiation. Il n’a jamais pris de position radicale sur la question de Shanghai, déclarant qu’il ne considérait pas que l’accord entre la Chine et le Saint-Siège avait échoué.

Le cardinal Parolin va jusqu’à dire qu’il serait maintenant opportun de faire un pas de plus, à savoir la création d’un bureau de communication stable entre les deux parties. Le Saint-Siège croit malgré tout au dialogue, mais l’interlocuteur est-il sur la même longueur d’onde ? Un bureau peut-il résoudre ce qui, du côté chinois, semble être une décision stratégique concrète : poursuivre unilatéralement une politique religieuse de plus en plus caractérisée par le nationalisme de la « sinisation » ? Nous pensons que ce n’est pas tant le manque d’instruments de liaison que le manque de volonté sincère de dialogue de la part des autorités chinoises qui rend les choses si difficiles. Et il est difficile d’imaginer que Shanghai sera le dernier épisode unilatéral, même si cela est dramatiquement souhaitable.

En tout état de cause, il ne s’agit pas seulement d’un souci de sauvegarde de l’accord, seul canal formel de communication, même imparfait, entre le Saint-Siège et la Chine. Le Vatican se préoccupe avant tout de la terrible situation ecclésiale dans laquelle se trouve le diocèse de Shanghai.

L’interview du cardinal Parolin contient une seule référence sobre à la personne de Joseph Shen, le jeune évêque de Shanghai qui est également président de l’organisme appelé « Collège des évêques catholiques chinois » (selon le communiqué du Bureau de presse du Vatican). Il parle de Shen comme d’un « pasteur estimé », même si – apparemment – il n’a pas demandé la permission ou informé le Saint-Siège de son transfert. Peut-être a-t-il alors pu communiquer d’une manière ou d’une autre avec le Saint-Siège et expliquer sa décision.

Shanghai est sans pasteur depuis près de 10 ans. Le dernier évêque, Aloysius Jin Luxian, est décédé le 27 avril 2013. Dix ans, c’est vraiment trop, avec deux évêques auxiliaires empêchés par les autorités d’exercer leur ministère. L’évêque Thaddeus Ma Daqin, toujours assigné à résidence au séminaire de Sheshan, avait même vu son statut épiscopal aboli par les autorités politiques (comme si cela était canoniquement possible, bien sûr !). Je suis positivement frappé par le fait que le Card. Parolin mentionne avec tous ses titres les deux évêques empêchés, dont Joseph Xing Wenzhi, qui a été « retiré dans la vie privée ». En effet, comme nous l’avons mentionné à plusieurs reprises, son histoire ecclésiale et humaine mérite d’être clarifiée et, en tout état de cause, Mgr Xing a le droit de mener une vie honorable et libre.

L’espoir est que, Mgr Shen Bin, maintenant qu’il a la reconnaissance papale et (ce n’est que trop clair) le soutien des autorités politiques, puisse remettre la vie ecclésiale de Shanghai sur les rails. Peut-être en commençant par ses frères évêques, sur lesquels est tombée la hache de la condamnation politique. Il sera également important de voir les réactions des catholiques de Shanghai, y compris ceux qui ne sont pas alignés sur les positions du gouvernement.

La communauté catholique de Shanghai, fondée en 1607 par Paul Xu Guangqi, le meilleur ami, collaborateur et disciple de Matteo Ricci, lui-même l’un des piliers du catholicisme chinois, entame un nouveau chapitre difficile et incertain de son parcours. Nous l’accompagnons en toute amitié et dans l’esprit de ceux qui croient en la communion des saints.




*RPDC; Une grande Victoire marquant l’Histoire mondiale* 

Presque 70 ans se sont écoulés depuis le jour où avaient fusé, en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR), les feux d’artifice en l’honneur de la Victoire remportée dans la Guerre (dimanche 25/06/1950 04:00 – lundi 27/07/1953 10:00) de Libération de la Patrie. Pourtant, l’immense signification de cette Victoire digne de remarque dans l’Histoire de la Nation coréenne comme dans l’histoire des guerres mondiale se transmet même aujourdhui. La portée historique de cette Guerre ne réside pas, seulement, dans le fait que la jeune RPDC ayant un territoire peu (123.214km2) étendu et une population peu (10.540.000 en 1950 et 26.124.000 en 2023, NDLR) nombreuse a défendu sa dignité et sa souveraineté en faisant face à;

 

• les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) possédant un potentiel économico-militaire considérable et se vantant de leur Puissance, avec leurs 2 millions d’hommes (dont 1.789.000 états-uniens, NDLR)

• leurs 15 Pays satellites (167.868 hommes) actuels ou de l’époque (G-B, Canada, Turquie, Australie, Philippines, Thaïlande, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Colombie, Grèce, France, Belgique, Ethiopie, RSA, Luxembourg, NDLR)

• l’Armée (1.090.911) de Défense Nationale de la Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) de RHEE Syngman (1875-1965; le № 1)

• les survivants (8.000) de l’Armée Impériale du Japon(le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le génocide de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR).

 

Depuis la fin de la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale, la RPDC a déjoué la stratégie d’hégémonie mondiale des impérialistes US et prévenu une nouvelle Guerre Mondiale pour, ainsi, sauvegarder la paix et la sécurité de l’Humanité. Dans la seconde moitié des années 1940, avec la défaite du nazisme, le Rideau de Fer invisible s’est dressé entre les Pays socialistes et ceux capitalistes, et une Guerre Froide (1945-1991), affrontement sans coups de feu, a commencé entre ces 2 Camps. Devenu chef de file de l’impérialisme mondial depuis la fin de la 2ème Guerre Mondiale, les USA ont;

• dressé un plan aventureux pour achever l’encerclement du Camp socialiste à partir de l’Asie orientale et conquérir le monde entier avec celle-ci pour avant-poste

• déclenché, en vue de réaliser ce plan, ladite Guerre, prélude dune 3ème Guerre Mondiale; s’ils avaient mis l’accent sur la Corée dans l’application de leur politique de domination de l’Extrême-Orient, voire de leur stratégie d’hégémonie asiatique et mondiale, c’est que les troupes armées de l’URSS (ou Union des Républiques Socialistes Soviétiques 1922-1991) et celles des USA, les 2 adversaires principaux dans la Guerre Froide, stationnaient, respectivement, au Nord (1945-1948) et au Sud de la Corée, et que le système socialiste et celui capitaliste s’y opposaient l’un à l’autre.

• estimé que, pour ouvrir la voie à la progression de l’Extrême-Orient vers l’Asie, ils devaient, décisivement, occuper toute la Corée et qu’ils pouvaient, ainsi, faire leur 1er pas pour réaliser leur stratégie d’hégémonie mondiale; le Maréchal Douglas MacARTHUR (1880-1964), Commandant des forces armées US en Extrême-Orient et Commandant en chef des forces onusiennes (Résolutions illégales du Conseil de Sécurité de l’ONU -CSNU- № 82-84 des 25/06-07/07/1950, NDLR) qui décidait effectivement de la politique coréenne des USA depuis la fin de la 2ème Guerre Mondiale a dit: Sur le plan militaire, le Japon est un tremplin futur, alors que la Corée est un pont convenable pour passer au Continent. Si nous faisons la conquête de toute la Corée, nous pourrons couper, complètement, l’unique tronçon de ravitaillement reliant la Sibérie et le Sud et dominer toute la région de Vladivostok et de Singapour. J’ai, toujours, considéré la Corée comme une base militaire avancée ayant une valeur infinie.

 

Une telle tentative criminelle des USA pour réaliser leur hégémonie mondiale à partir de la Corée a été révélée clairement dans leur Plan A, B, C, plan d’agression contre l’Extrême-Orient (élaboré dès 1948 jusqu’au début de 1950), selon lequel, la Guerre se divise en 3 étapes;

• A; commencer la Guerre contre la RPDC par les troupes US et de l’Armée sud-coréenne

• B; étendre la Guerre sur la Mandchourie en mobilisant, aussi, l’Armée japonaise réarmée et celle de JIANG Jieshi (1887-1975; Généralissime et opposant à la République Populaire de Chine)

• C; conquérir toute la Sibérie jusqu’à l’Oural.

 

Cela prouve à l’évidence que la Guerre provoquée par les impérialistes US était une guerre destinée à agresser non seulement la RPDC, mais aussi les Pays asiatiques y compris l’Extrême-Orient, voire une guerre qui risquait de devenir une nouvelle guerre mondiale. C’est à cette fin que les impérialistes US ont, en usant de leur machine à voter dans l’ONU, engagé, dans la Guerre, les troupes des 15 Pays à leur remorque et aussi celles du Japon, formant un bloc d’agression pour convertir la Guerre, n’importe quand, en une 3ème Guerre Mondiale, et se sont démenés, désespérément tout au long de la Guerre, en brandissant la bombe A. Mais, la Guerre d’agression des USA en Corée n’a pas produit un effet qu’ils avaient escompté. Sous la direction clairvoyante du Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994), l’Armée Populaire de Corée et le Peuple de la RPDC ont;

• remporté une victoire éclatante en infligeant des coups décisifs aux agresseurs US

• brisé leur ambition d’occuper toute la Corée et l’Asie, puis de dominer le monde

• sauvé l’existence et la paix de l’Humanité des affres de la guerre nucléaire

• prévenu l’éclatement de la 3ème Guerre Mondiale

• contribué, grandement, à la sauvegarde de la paix et de la sécurité du monde, surtout de l’Extrême-Orient.

 

Grâce à l’issue victorieuse de la Guerre, la structure politique mondiale a changé, tandis que le courant de l’époque vers l’indépendance et le socialisme a été rendu plus impétueux;

 

• Du point de vue politique, la victoire de la RPDC a produit un événement étonnant: le socialisme l’a emporté sur l’impérialisme pour la 1ère fois depuis la fin de la 2ème Guerre Mondiale, de même que la puissance du Camp socialiste s’est accrue sensiblement dans son ensemble. La lutte indomptable que le Peuple de la RPDC avait menée contre les agresseurs US à l’avant-poste du socialisme, sous la sage direction de KIM IL SUNG, a permis aux Peuples des Pays socialistes et de ceux de démocratie populaire de promouvoir, énergiquement, la révolution et l’édification du socialisme dans un contexte pacifique et aussi d’accorder une attention requise à l’édification de la défense nationale; il en est résulté que dans la seconde moitié des années 1950, plus d’un tiers (950.000.000) de la population mondiale se sont engagés dans la voie du socialisme et que le drapeau du socialisme a flotté dans une vaste région représentant plus d’un quart du Globe terrestre.

• Outre les forces socialistes, le Mouvement des Non-Alignés (MNA) a fait son apparition sur la scène de l’histoire en tant que force politique indépendante et s’est développé pour devenir un mouvement international, ce qui a renforcé, décisivement, les forces anti-impérialistes et attachées à l’indépendance. Encouragés par la victoire du Peuple de la RPDC, de nombreux Pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine ont commencé, à partir du milieu des années 1950, à avoir tendance à l’anti-impérialisme et à l’indépendance. Cette tendance s’est accentuée sous la forme de la neutralité ou du non-alignement et a conduit à la formation d’une force politique indépendante qu’est le MNA. Le 1er Sommet (1961 à Belgrade, Yougoslavie) des Pays Non-Alignés a marqué la 1ère marche de ce MNA. Au milieu des années 1960, le MNA a gagné les 2 tiers de la population mondiale qui occupaient 71% de la superficie de la Terre. Dans l’histoire de l’Humanité, ce fut le plus grand événement politique après l’apparition des forces socialistes, survenu depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, marquant la naissance d’une nouvelle et immense force indépendante anti-impérialiste de notre temps, aussi bien qu’un puissant coup infligé aux impérialistes ayant pour chef de file les USA.

 

A lopposé du renforcement sensible des forces socialistes et des forces anti-impérialistes et attachées à l’indépendance, les forces réactionnaires impérialistes se sont affaiblies beaucoup et sont tombées dans une crise profonde;

 

• Dans la Guerre de Corée, les USA ont subi une Hémorragie Inouïe couverte de blessures, alors que le mythe de leur Puissance a été détruit totalement. De même, au sein du système de l’impérialisme, leur position s’est dégradée remarquablement et l’antagonisme et la contradiction aggravées, encore, dans le monde capitaliste. Cela a non seulement approfondi la crise politico-économique des USA mais aussi provoqué une grande catastrophe à l’ensemble du système capitaliste mondial, contribuant, grandement, à un changement brusque de la structure politique du monde.

• Le mythe de la Puissance des USA ayant été pulvérisé, les Peuples opprimés du monde se sont débarrassés de leurs illusions à l’égard de ceux-ci pour s’imprégner de l’idée d’indépendance et de l’esprit de lutte anti-impérialiste et anti-US, ainsi que de la vérité précieuse suivante: Même le Peuple d’un petit Pays peut vaincre le plus puissant ennemi, s’il lutte au risque de sa vie en se rassemblant étroitement autour de son Leader, conscient de la justesse de son œuvre et confiant en ses propres forces. En témoignent les flammes de la lutte anti-impérialiste et anti-US avivées à travers le monde entier à l’occasion de la Guerre de Corée. Stimulés fortement par la lutte héroïque et la victoire historique du Peuple de la RPDC, les Peuples des Pays colonisés se sont engagés, avec détermination, dans la lutte contre l’impérialisme et le colonialisme, et pour la liberté, l’indépendance, la paix, le progrès et la démocratie, assenant de rudes coups aux impérialistes et accélérant, rapidement, l’effondrement du système colonial impérialiste.

 

En effet, la brillante victoire du Peuple de la RPDC dans la Guerre de Libération de la Patrie était un grand évènement digne d’être inscrit dans l’Histoire mondiale.

 

【source】Sylvère BOSWA ISEKOMBE (1966- ; appelé, communément, Lion au Cœur Rouge depuis 2018, NDLR)

• Secrétaire Général (N°1) du Parti Communiste Congolais (PCCo) de la République Démocratique du Congo

• Coordinateur sous-régional pour l’Afrique Centrale du Conseil Mondial de la Paix (CMP créé en 1950 avec son siège à Athènes, Grèce)




Mort de Haitam: Grave bavure policière en Algérie… Silence radio… “Tout va bien”!

Haitham Djebbari, un jeune âgé de moins de 25 ans, a été torturé brutalement par des responsables de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), une unité d’intervention de la police judiciaire de la Police algérienne. Haitham Djebbari n’a pas pu être sauvé par les médecins et il décède des suites des conséquences de ces violences policières le 20 juillet dernier.

“Enorme émotion et terrible indignation à Tébessa, à l’est du pays, une ville située à plus de 585 KM à l’est de la capitale Alger. Haitham Djebbari, un jeune âgé de moins de 25 ans, a été torturé brutalement par des responsables de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), une unité d’intervention de la police judiciaire de la Police algérienne.

Ces violences policières excessives et injustifiées ont provoqué de graves séquelles chez ce jeune homme qui a été hospitalisé en raison de sa colonne vertébrale brisée et d’autres graves blessures dans plusieurs endroits sensibles de son corps. Malheureusement, Haitham Djebbari n’a pas pu être sauvé par les médecins et il décède des suites des conséquences de ces violences policières le 20 juillet dernier. A Tébessa, des habitants ont tenté d’organiser des rassemblements pacifiques pour réclamer justice et demander l’arrestation ainsi que la suspension des policiers à l’origine de cette bavure criminelle d’une extrême gravité.

Mais leur contestation a été étouffée et réprimée. Les médias algériens sont surveillés et censurés, les internautes traqués et toute personne qui ose évoqué ce drame inqualifiable peut être arrêtée et emprisonnée. Un blackout médiatique général a été imposé autour de ce drame. L’histoire tragique de Haitham Djebbari nous renvoie en pleine figure la problématique des violences extrêmes suscitée par le fonctionnement dangereux de la dictature du régime algérien.” Abdou Semmar, journaliste algérien.

Des bavures qui ne sont que la pointe de l’iceberg des milliers d’actes de violences policières – de l’humiliation à certaines formes de torture – qui sont chaque année dénoncées par les défenseurs des droits de l’homme, et surtout, qui restent sans suite, impunis, dans un silence de plomb.

Cette réalité dénoncée par les défenseurs des droits de l’homme, se reflète également dans les médias qui ont effacé la parole – le droit de réponse – de générations d’enfants d’Algérie, par des reportages formatés… “Tout va bien en Algérie”.




*RPDC; «Article 6; Conditions d’utilisation des armes nucléaires; La RPDC utilise ses armes nucléaires dans les cas où … »* 

Voici un communiqué (20/07/2023) de presse du Général KANG Sun Nam, Ministre de la Défense Nationale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR), qui se lit comme suit;

 

Ce 18 juillet malgré les avertissements réitérés de notre RPDC et les graves préoccupations de la Communauté internationale, s’est tenue une réunion du NCG (ou Nuclear Consultative Group ou Groupe Consultatif Nucléaire) pour conspirer au plan de l’utilisation d’armes nucléaires contre notre Etat, cela entre;

• les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR)

• la bande des Traîtres (à toute la Nation coréenne) de la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR).

 

En particulier, ces ennemis ont amené, le même jour à la Base d’opérations navales (en service depuis 2007, NDLR) du Port Busan, l’USS Kentucky SSBN-737 (en service depuis 1991, NDLR), l’un de leurs SNLE (ou sous-marin nucléaire lanceur d’engins) de classe Ohio (long de 170m, équipé des ICBM Trident II D5 d’une portée maximale de plus de 12.000km pouvant contenir jusqu’à 8 têtes nucléaires, d’une vitesse de 46km/h ayant un déplacement de 19.000t et transportant les torpilles MK-48, NDLR) de l’USMC (US Marine Corps); ce qui est un acte de menaces nucléaires les plus directes à notre RPDC à travers le déploiement de leurs armes nucléaires stratégiques pour la 1ère fois depuis une quarantaine dannées (1981) sur la Péninsule coréenne. Cela montre que;

• le scénario US d’une attaque nucléaire contre la RPDC et sa mise en œuvre sont entrés dans une phase la plus critique de visualisation et de systématisation

• la phase d’un affrontement militaire sur la Péninsule coréenne est apparue comme une réalité dangereuse au-delà de toutes sortes d’hypothèse et de présomption.

 

Parmi les 9 Etats dotées d’armes nucléaires (Russie; 6.255, USA; 5.550, Chine; 350, France; 290, G-B; 225, Pakistan; 165, Inde; 156, Israël; 90, RPDC; quelques dizaines, NDLR), les USA sont le seul Pays qui ait ouvertement pris pour politique d’utiliser ses armes nucléaires contre un Pays spécialement désigné; à la lumière de ce seul fait-ci, personne ne pourra nier la gravité et la dangerosité de l’environnement sécuritaire auquel est confrontée la RPDC.

 

Les USA et les Traîtres de la ROK sont en train de faire une large publicité du déploiement (en Corée du Sud; DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) de gigantesques armes nucléaires stratégiques des USA. Nous savons, correctement, pourquoi de telles armes se sont retrouvées sur la Péninsule coréenne et d’où elles viennent.

 

Alors que les USA et les malfaiteurs de la ROK ont dépassé la Ligne Rouge dans leur hystérie militaire, il est temps, pour notre RPDC aussi, de clarifier, une fois de plus, le choix de ses actions et l’orientation de sa riposte. La situation de la sécurité militaire dans la Péninsule coréenne, qui a subi un changement fondamental en raison des agissements militaires imprudents des USA et de ses partisans, indique, plus clairement, quelle mission les armes nucléaires de notre RPDC devraient accomplir.

 

Par mon communiqué-ci, je rappelle aux Autorités militaires US que la visibilité croissante du déploiement du sous-marin nucléaire stratégique et d’autres avoirs stratégiques peut relever des conditions d’utilisation des armes nucléaires spécifiées dans la Loi (08/09/2022 promulguée par l’Assemblée Populaire Suprême de la RPDC et constituée des 11 articles détaillés minutieusement, NDLR) sur la Politique des Forces Nucléaires de la RPDC, dont la doctrine (Article 6, Alinéa 1) permet l’exécution des procédures d’action nécessaires au cas où une attaque nucléaire est lancée contre notre Etat ou s’il est jugé que l’utilisation d’armes nucléaires contre celui-ci est imminente.

 

L’US Army devrait se rendre compte que ses avoirs stratégiques sont entrés dans des Eaux extrêmement dangereuses. Je mets sérieusement en garde, une fois de plus, les USA et la bande des malfaiteurs militaires de la ROK vantant audacieusement la «fin du Régime» de notre Etat. Pour les USA et la ROK, toute utilisation de leurs forces militaires contre la RPDC sera leur choix le plus misérable par lequel ils n’auront aucune possibilité même de penser à leur existence respective.

 

Tout en dissuadant et en repoussant, complètement, les folles manœuvres des USA et de leurs acolytes visant à utiliser des armes nucléaires sur la Péninsule coréenne, les forces armées de la RPDC accompliront, de manière responsable, leur mission importante de;

• défendre la souveraineté nationale, l’intégrité territoriale (la réunification de la Patrie; le désir suprême de toute la Nation coréenne depuis 1945, NDLR) et les intérêts fondamentaux du Pays

• prévenir une guerre nucléaire dans la Péninsule coréenne et dans la Région de l’Asie du Nord-Est.




Sahara: Saint-Vincent-et-les-Grenadines réaffirme que le plan d’autonomie est l'”unique solution”

Saint-Vincent-et-les-Grenadines a réaffirmé son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc, en soulignant que le plan d’autonomie présenté par le Royaume est « une unique solution » pour clore définitivement le différend régional autour du Sahara.

Cette position a été exprimée dans un communiqué conjoint rendu public au terme des entretiens qui ont eu lieu, vendredi à Rabat, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Ralph Gonsalves, en visite de travail dans le Royaume.

Dans ce cadre, M. Gonsalves a salué l’attachement du Maroc au processus politique mené sous l’égide des Nations Unies, ainsi que la pleine coopération du Royaume avec le Secrétaire général de l’ONU et son Envoyé personnel pour le Sahara, Staffan de Mistura.

Il a également salué les efforts déployés par l’ONU, en tant que cadre exclusif pour parvenir à une solution politique, réaliste, pragmatique et durable au conflit régional autour du Sahara.

Selon le communiqué conjoint, M. Bourita a informé le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines des derniers développements de la question du Sahara marocain, en réitérant l’engagement du Royaume au processus politique en cours en vue d’aboutir à un règlement juste et définitif à ce conflit artificiel.

Au cours de sa visite au Maroc, M. Gonsalves s’est notamment entretenu avec le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch et le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi El Alami.

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Reconnaissance du Sahara marocain par Israël: Alger ne retient plus sa haine

Si l’on s’en tient aux lamentations du ministère algérien des Affaires étrangères qui s’est pourvu en un brûlot de communiqué, la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara par Israël ne serait qu’une « fuite en avant ». L’Algérie continue de scruter toute l’actualité marocaine et la commenter à chaque occasion qui se présente. Pourtant, dans les faits, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc.

Littéralement le document affirme que “l’Algérie a pris connaissance de l’annonce par les autorités marocaines de la reconnaissance par Israël de la souveraineté marocaine sur ses territoires du Sahara. Cet acte, qui émane d’une autorité d’occupation au registre noir en matière de violation de la législation et de la légalité internationales, constitue une autre étape dans la série de manœuvres et de la politique de fuite en avant » du Maroc qu’elle qualifie d’ »occupant » de ses propres terres récupérées légalement grâce aux Accords de Madrid il y plus de 40 ans.

Le régime militaire oublie que c’est lui qui occupe des territoires marocains depuis son indépendance et où il a justement fait loger le groupe séparatiste terroriste du polisario.

Pour le régime des séniles d’Alger cette décision s’inscrit comme « une provocation et un acte illégal qui viole le droit international et les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU ». Tiens ! parlons-en des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU. A ce petit jeu-là, c’est bien Alger instigatrice par excellence de ce conflit et qui se dit ne pas en être concerné, et qui refuse de s’y soumettre en rejetant le processus des tables rondes entre autres, ce qui constitue une violation des résolutions du Conseil de sécurité, sans oublier que pour l’Algérie, l’Etat d’Israel n’existerait pas et ne serait pas un pays reconnu par l’ONU.

Il semble intéressant de relever que l’Algérie saute au plafond à chaque décision souveraine du Maroc ou d’un autre pays, ou actualité bilatérale au sujet du Sahara. C’est dire à quel point l’Algérie est empêtrée jusqu’au cou dans ce dossier et est la seule deuxième partie au conflit.

Cela dit, après le ministère algérien des Affaires étrangères, voilà qu’une autre voix soumise au diktat des deux séniles du coin, celle de l’ancien ambassadeur d’Algérie à Madrid, rappelé par “hugh j’ai dit“ qui s’élève et se rappelle au bon souvenir de la diplomatie algérienne. Abdelaziz Rahabi affirme que le projet de la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur son Sahara était « programmé par les trois parties Etats-Unis, Maroc, Israël parce qu’il participe d’une doctrine belliqueuse et expansionniste traditionnelle de ces trois pays au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ».

Pour sa part la milice séparatiste du polisario a qualifié la décision d’Israël de « nulle et non avenue ». Il a fustigé des « manœuvres subversives conjointes, sécuritaires et militaires, visant à déstabiliser la région nord-africaine et le Sahel ». Si au Sahel les mercenaires du polisario gambadent comme bon leur semble, en compagnie d’autres groupes terroristes ce n’est pas le cas de la région nord-africaine du moins à l’Ouest où elle se trouve complètement sécurisée.

De plus la reconnaissance par Israël de la « marocanité » du Sahara devrait encore plus confirmer cette réalité. En fait, le polisario qui se trouve être un groupe terroriste retenant en captivité des milliers de personnes, est celui qui déstabilise la région depuis 50 ans avec l’appui de l’Algérie.

Et si pour Alger et la capitale du terrorisme d’Afrique du nord Tindouf, la reconnaissance de la marocanité du Sahara est un «non-événement», pour nombre de capitales et principalement celles des pays arabes, ce n’est là qu’une rectification à sa juste réalité historique, d’une géographie coloniale imposée.

Les Etats-Unis et Israël ne s’y sont pas trompés. D’ailleurs le Département d’Etat américain a réaffirmé la position américaine en faveur de la marocanité du Sahara. Interpellé sur la reconnaissance le soutien d’Israël à l’intégrité territoriale du Maroc, le porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères, Matthew Miller, a mis en évidence l’irrévocabilité de la position américaine: « Les États-Unis ont franchi ce pas en décembre 2020. Depuis ce temps, il n’y a pas eu de changement ». No comment !

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La dynamique des relations Maroc-Israël, une fenêtre d’opportunité pour un règlement juste de la question palestinienne

Le Message Royal adressé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste, au Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, salue une décision juste et clairvoyante de l’État d’Israël à travers la reconnaissance de la souveraineté du Royaume sur son Sahara, qui s’inscrit en droite ligne des dispositions de la Déclaration tripartite signée le 22 décembre 2020 entre le Royaume du Maroc, les Etats-Unis d’Amérique et l’État d’Israël.

 

Au cœur de cet accord entre les trois pays, qui se caractérise par sa globalité, figurait le bénéfice multilatéral à l’établissement de “relations diplomatiques complètes, pacifiques et amicales” entre le Royaume et Israël, qui doivent contribuer à faire avancer la cause de la paix dans la région, à renforcer la sécurité régionale, et à ouvrir de nouvelles opportunités pour l’ensemble de la région.

 

Le Message du Souverain à Netanyahu souligne que ces perspectives de paix s’inscrivent dans le cadre des principes devant guider la résolution du conflit israélo palestinien. La Déclaration tripartite de décembre 2020 réitérait, dans ce cadre, la position cohérente, constante et inchangée du Royaume du Maroc sur la question palestinienne, ainsi que la position maintes fois exprimée par le Souverain, en Sa qualité de Président du Comité Al Qods, sur l’importance de préserver le statut spécial de la ville sacrée de Jérusalem pour les trois religions monothéistes.

 

Toujours au service de la cause sacrée de la paix, Sa Majesté le Roi a adressé une invitation au Premier Ministre israélien à effectuer une visite dans le Royaume, confirmant ainsi le rôle historique et agissant que le Maroc, sous la conduite de son Souverain, n’a eu de cesse de jouer pour rapprocher les peuples de la région et promouvoir la paix et la stabilité au Proche-Orient.

 

Cette visite est donc de nature à constituer une occasion pour ouvrir de nouvelles perspectives de paix pour l’ensemble des peuples de la région et pour une relance du processus de paix, qui connait un blocage périlleux qui pourrait engendrer des répercussions néfastes pour toute la région.

 

Le Maroc a toujours considéré, dans ce sens, qu’il est indispensable de sortir de la logique du populisme et de la surenchère qui ne font qu’entretenir le conflit et prendre en otage les peuples de la région, en particulier le peuple palestinien. Il prônera toujours la pondération et l’attitude constructive qui favorisent le consensus et le dialogue, seules voies possibles pour dépasser la situation actuelle.

 

Cet engagement constant du Royaume à promouvoir le rapprochement des peuples et la promotion de la paix et de la stabilité vient donc se confirmer avec ce Message du Souverain, qui fait franchir un nouveau palier aux relations entre le Royaume et Israël, et dessine les contours d’une paix régionale durable.




Reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara par Israël: le roi Mohammed VI adresse un message au Premier ministre Netanyahu

La décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un consulat à Dakhla est «à la fois juste et clairvoyante», affirme le roi Mohammed VI dans un message adressé au Premier ministre israélien.

Le roi Mohammed VI a adressé un message au Premier ministre de l’Etat d’Israël, Benyamin Netanyahu, dans lequel le Souverain affirme que la décision «importante» de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un consulat dans la ville de Dakhla est «à la fois, juste et clairvoyante».

«Monsieur le Premier Ministre, Je voudrais vous exprimer Mes vifs remerciements et Ma grande appréciation pour Votre lettre, par laquelle Vous M’avez fait part de la décision de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla», souligne le Roi dans ce message, précisant que cette décision «a été hautement saluée par le peuple marocain et ses forces vives».

Le roi Mohammed VI indique que la question du Sahara marocain est «la Cause nationale du Royaume, et la priorité de sa politique étrangère», ajoutant que «la décision importante que Vous avez prise est, à la fois, juste et clairvoyante». «Elle est juste en ce qu’elle conforte le Maroc dans ses titres juridiques authentiques et ses droits historiques irréfragables sur ses Provinces Sahariennes», note le Souverain, ajoutant que «la juridiction effective de l’Etat marocain et les liens juridiques d’allégeance qui ont toujours existé, depuis des temps immémoriaux, entre les Rois du Maroc et les populations marocaines de ces terres chères à Leurs coeurs, sont avérés et incontestables».

«Votre décision est, également, clairvoyante. Car, elle s’inscrit dans la dynamique internationale irréversible qui voit de nombreux pays, de toutes les régions du monde, favoriser une solution politique définitive à ce différend régional anachronique, sur la base de l’initiative marocaine d’autonomie pour la région du Sahara et dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Royaume», poursuit le Roi.

Le Souverain a, par ailleurs, rappelé que depuis décembre 2020, les relations bilatérales entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël n’ont eu de cesse de s’affermir dans tous les domaines. «Le momentum qu’elles connaissent est inédit, tant en termes d’échanges de visites des responsables officiels et des hommes d’affaires qu’en termes de développement du cadre conventionnel, de diversification de la coopération et de renforcement des échanges commerciaux», relève-t-il, se réjouissant que les liens humains profonds qui existent entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël – notamment à travers la communauté juive originaire du Maroc – jouent un rôle de catalyseur.

«Vous êtes le bienvenu pour effectuer une visite au Maroc»

Le Souverain s’est dit confiant que la position claire prise par M. Netanyahu, au nom de l’Etat d’Israël, au sujet de la marocanité du Sahara, est «de nature à renforcer davantage les liens entre le Maroc et Israël», l’assurant de son engagement ferme et constant.

«Comme Je Vous ai indiqué lors de notre entretien téléphonique du 25 décembre 2020, Vous êtes le bienvenu pour effectuer une visite au Maroc, à des dates à Notre meilleure convenance mutuelle, à définir par la voie diplomatique», souligne le Roi dans ce message.

Dans ce cadre, le Souverain affirme que cette rencontre «permettra d’ouvrir de nouvelles possibilités pour les relations bilatérales entre le Maroc et Israël» et «sera, aussi, une occasion pour promouvoir les perspectives de la paix pour tous les peuples de la région, ayant à l’esprit le contenu de la Déclaration tripartie signée le 22 décembre 2020 entre le Royaume du Maroc, les Etats-Unis d’Amérique et l’Etat d’Israël, y compris en ce qui concerne les principes devant guider la résolution du conflit israélo-palestinien».

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S.M. le Roi Mohammed VI invite Benyamin Netanyahu à effectuer une visite au Maroc

Dans un message adressé au premier ministre Benyamin Netanyahu, Sa Majesté le Roi souligne que la décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat à Dakhla est, “à la fois, juste et clairvoyante”. Le SOuverain a également invité le premier ministre à effectuer une visite au Maroc.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé un message au Premier Ministre de l’Etat d’Israël, M. Benyamin Netanyahu, dans laquelle le Souverain affirme que la décision “importante” de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla est, “à la fois, juste et clairvoyante”.

“Monsieur le Premier Ministre, Je voudrais vous exprimer Mes vifs remerciements et Ma grande appréciation pour Votre lettre, par laquelle Vous M’avez fait part de la décision de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla”, souligne Sa Majesté le Roi dans ce message, précisant que cette décision “a été hautement saluée par le peuple marocain et ses forces vives”.

Sa Majesté le Roi indique que la question du Sahara marocain est “la Cause nationale du Royaume, et la priorité de sa politique étrangère”, ajoutant que “la décision importante que Vous avez prise est, à la fois, juste et clairvoyante”.

“Elle est juste, en ce qu’elle conforte le Maroc dans ses titres juridiques authentiques et ses droits historiques irréfragables sur ses Provinces Sahariennes”, note le Souverain, ajoutant que « la juridiction effective de l’Etat marocain et les liens juridiques d’allégeance qui ont toujours existé, depuis des temps immémoriaux, entre les Rois du Maroc et les populations marocaines de ces terres chères à Leurs coeurs, sont avérés et incontestables”.

“Votre décision est, également, clairvoyante. Car, elle s’inscrit dans la dynamique internationale irréversible qui voit de nombreux pays, de toutes les régions du monde, favoriser une solution politique définitive à ce différend régional anachronique, sur la base de l’initiative marocaine d’autonomie pour la région du Sahara et dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Royaume”, poursuit Sa Majesté le Roi.

Le Souverain a, par ailleurs, rappelé que depuis décembre 2020, les relations bilatérales entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël n’ont eu de cesse de s’affermir, dans tous les domaines.

“Le momentum qu’elles connaissent est inédit, tant en termes d’échanges de visites des responsables officiels et des hommes d’affaires, qu’en termes de développement du cadre conventionnel, de diversification de la coopération et de renforcement des échanges commerciaux”, relève Sa Majesté le Roi, Se réjouissant que les liens humains profonds qui existent entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël – notamment à travers la communauté juive originaire du Maroc – jouent un rôle de catalyseur.

Le Souverain S’est dit confiant que la position claire prise par M. Netanyahu, au nom de l’Etat d’Israël, au sujet de la marocanité du Sahara, “est de nature à renforcer davantage les liens entre le Maroc et Israël”, l’assurant de Son engagement ferme et constant.

“Comme Je Vous ai indiqué lors de notre entretien téléphonique du 25 décembre 2020, Vous êtes le bienvenu pour effectuer une visite au Maroc, à des dates à Notre meilleure convenance mutuelle, à définir par la voie diplomatique”, souligne Sa Majesté le Roi dans ce message.

Dans ce cadre, le Souverain affirme que cette rencontre “permettra d’ouvrir de nouvelles possibilités pour les relations bilatérales entre le Maroc et Israël” et “sera, aussi, une occasion pour promouvoir les perspectives de la paix pour tous les peuples de la région, ayant à l’esprit le contenu de la Déclaration tripartie signée le 22 décembre 2020 entre le Royaume du Maroc, les Etats-Unis d’Amérique et l’Etat d’Israël, y compris en ce qui concerne les principes devant guider la résolution du conflit israélo-palestinien”.

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Sa Majesté le Roi : La décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat à Dakhla est, “à la fois, juste et clairvoyante”

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a adressé un message au Premier Ministre de l’Etat d’Israël, M. Benyamin Netanyahu, dans laquelle le Souverain affirme que la décision “importante” de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla est, “à la fois, juste et clairvoyante”.

“Monsieur le Premier Ministre, Je voudrais vous exprimer Mes vifs remerciements et Ma grande appréciation pour Votre lettre, par laquelle Vous M’avez fait part de la décision de l’Etat d’Israël de reconnaître la souveraineté du Royaume du Maroc sur son Sahara et de considérer favorablement l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla”, souligne Sa Majesté le Roi dans ce message, précisant que cette décision “a été hautement saluée par le peuple marocain et ses forces vives”.

Sa Majesté le Roi indique que la question du Sahara marocain est “la Cause nationale du Royaume, et la priorité de sa politique étrangère”, ajoutant que “la décision importante que Vous avez prise est, à la fois, juste et clairvoyante”.

“Elle est juste, en ce qu’elle conforte le Maroc dans ses titres juridiques authentiques et ses droits historiques irréfragables sur ses Provinces Sahariennes”, note le Souverain, ajoutant que « la juridiction effective de l’Etat marocain et les liens juridiques d’allégeance qui ont toujours existé, depuis des temps immémoriaux, entre les Rois du Maroc et les populations marocaines de ces terres chères à leurs cœurs, sont avérés et incontestables”.

“Votre décision est, également, clairvoyante. Car, elle s’inscrit dans la dynamique internationale irréversible qui voit de nombreux pays, de toutes les régions du monde, favoriser une solution politique définitive à ce différend régional anachronique, sur la base de l’initiative marocaine d’autonomie pour la région du Sahara et dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Royaume”, poursuit Sa Majesté le Roi.

Le Souverain a, par ailleurs, rappelé que depuis décembre 2020, les relations bilatérales entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël n’ont eu de cesse de s’affermir, dans tous les domaines.

“Le momentum qu’elles connaissent est inédit, tant en termes d’échanges de visites des responsables officiels et des hommes d’affaires, qu’en termes de développement du cadre conventionnel, de diversification de la coopération et de renforcement des échanges commerciaux”, relève Sa Majesté le Roi, Se réjouissant que les liens humains profonds qui existent entre le Royaume du Maroc et l’Etat d’Israël – notamment à travers la communauté juive originaire du Maroc – jouent un rôle de catalyseur.

Le Souverain S’est dit confiant que la position claire prise par M. Netanyahu, au nom de l’Etat d’Israël, au sujet de la marocanité du Sahara, “est de nature à renforcer davantage les liens entre le Maroc et Israël”, l’assurant de Son engagement ferme et constant.

“Comme Je Vous ai indiqué lors de notre entretien téléphonique du 25 décembre 2020, Vous êtes le bienvenu pour effectuer une visite au Maroc, à des dates à Notre meilleure convenance mutuelle, à définir par la voie diplomatique”, souligne Sa Majesté le Roi dans ce message.

Dans ce cadre, le Souverain affirme que cette rencontre “permettra d’ouvrir de nouvelles possibilités pour les relations bilatérales entre le Maroc et Israël” et “sera, aussi, une occasion pour promouvoir les perspectives de la paix pour tous les peuples de la région, ayant à l’esprit le contenu de la Déclaration tripartie signée le 22 décembre 2020 entre le Royaume du Maroc, les Etats-Unis d’Amérique et l’Etat d’Israël, y compris en ce qui concerne les principes devant guider la résolution du conflit israélo-palestinien”.

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