RPDC; «Les USA devraient cesser leurs actes insensés de provoquer notre Etat même en mettant leur sécurité en péril!»

Voici un communiqué (17/07/2023) de KIM Yo Jong, Directeur adjointe de Département du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR), République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR), qui se lit comme suit;

Ces jours-ci, les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) sont en train de répandre une rumeur selon laquelle notre RPDC ne réagit pas à leur proposition du dialogue.

C’est une tendance qui reflète le mal à l’aise et l’anxiété des USA, témoins constants de ce qu’ils craignent les plus, ces derniers temps. La situation actuelle dans la Péninsule coréenne a atteint une phase telle que la possibilité d’un conflit armé réel et même d’un déclenchement de la guerre nucléaire, allant bien au-delà de la phase de confrontation aiguë RPDC-USA de 2017. Comme j’avais déjà (14/07/2023) clarifié qui était responsable entier de toute la situation actuelle, je veux aborder, cette fois-ci, l’absurdité du «dialogue sans aucune condition préalable» et de la «porte ouverte de la diplomatie», tant vantés en public par les USA;

  • Notre RPDC, après une série de dialogues et de négociations avec les USA depuis les années 1990 du dernier siècle, est consciente que la proposition de l’actuelle Administration US pour un «dialogue sans aucune condition préalable» est une astuce pour empêcher que ce qu’elle craint ne se reproduise.
  • Même si le dialogue RPDC-USA est censé commencer, il est clair comme midi que l’actuelle Administration US ne mettra rien d’autre que le CVID (ou Complete, Verifiable, Irreversible Denuclearization) sur la table de négociations. Aujourd’hui, la Dénucléarisation (l’invention des USA en 2003, NDLR) est un mot dépassé que l’on ne trouve que dans le dictionnaire de langues mortes (comme le latin mort, NDLR).

Peu importe à quel point les USA se creusent la cervelle, il leur serait impossible de trouver aucune condition de négociations ni le marché avec notre RPDC. Nous pouvons prédire la possibilité que, pour simplement plaire à quelqu’un avec des choses aussi réversibles, les USA jouent un tour aussi vieux que;

  • la suspension provisoire des exercices militaires conjoints USA-ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR) auxquels leur ex-Président (Donald John TRUMP 1946- ) s’est engagé il y a quelques années (2017)
  • la réduction des exercices militaires combinés ou l’arrêt du déploiement des avoirs stratégiques.

De telles astuces puériles pour gagner du temps ne peut jamais passer sur notre RPDC. Une fois décidés;

  • les avoirs stratégiques US seront déployés dans la Péninsule coréenne en l’espace de 10h
  • les 20j leur suffiront pour reprendre les exercices militaires conjoints en redéployant leurs troupes armées.

Même si c’est chimérique que les USA emploient une astuce aussi stratégique que la fin de leur présence militaire en Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR), nous sommes bien conscients que s’ils retirent tous leurs troupes et équipements militaires de la Corée du Sud, cela ne prendra que quelques 15j pour faire retourner les troupes US à l’outre-mer dans la direction de la ROK et en faire un point stratégique militaire. C’est simple comme bonjour, pour le monde politique US, d’exclure aujourd’hui notre RPDC de la Liste des «sponsors du terrorisme» et de l’y réinscrire le lendemain.

En dernière analyse, nous sommes très bien conscients que ce que les USA peuvent offrir à notre RPDC dans le cadre du dialogue éventuel est modifiable et réversible entièrement. D’ailleurs, ce que les USA attendent de notre RPDC, c’est la «dénucléarisation complète et irréversible». Pourrions-nous, alors, échanger la sécurité éternelle de notre État contre un bénéfice immédiat, en fondant notre foi sur un tel engagement réversible? Nous n’agissons jamais contre nos propres intérêts.

Les USA sauraient suffisamment pourquoi notre RPDC n’a aucun intérêt à dialoguer avec eux. Même à travers la récente (13/07/2023) réunion publique du CSNU (ou Conseil de Sécurité des Nations Unies) sur notre lancement (12/07/2023) d’un ICBM (ou intercontinental ballistic missile ou missile balistique intercontinental) de type nouveau (Hwasongpho-18, système d’armes essentiel des forces stratégiques de la RPDC, NDLR), nous avons pu confirmer, clairement une fois de plus, comment nos rivaux ou adversaires prolongent leurs politiques envers notre RPDC et quel doux rêve ils ont, cela par l’observation du transfert de pouvoirs de MOON Jae-In (1953- ) à YOON Suk-Yeol (1960- ), et de Donald John TRUMP à Joseph Robinette BIDEN (1942- ). Aux USA et en ROK, tout accord signé et engagé par les ex-Présidents est annulé instantanément une fois que de nouveaux Régimes émergent. C’est pourquoi nous devons;

  • adopter non une stratégie contre les individus tels que YOON Suk-Yeol ou Joseph Robinette BIDEN mais plutôt celle à long terme contre la ROK (le chien courant de 1er ordre des USA) et les USA (l’empire du mal mondial)
  • mettre en place un mécanisme pour garantir la sécurité future de la RPDC sur base d’une force de dissuasion écrasante.

C’est une illusion pour les USA de penser qu’ils peuvent arrêter l’avancée de notre RPDC et, en outre, parvenir à un désarmement irréversible de la dernière grâce à leur;

  • suspension provisoire des exercices militaires conjoints
  • arrêt du déploiement des avoirs stratégiques
  • allègement réversible des sanctions (№ 1718 du CSNU en 2006, NDLR).

Notre RPDC fait, carrément, face à la réalité et en fait grand cas. Et, cette réalité devant la RPDC n’est pas le dialogue vanté à plusieurs reprises par les USA comme un guichet automatique, mais plutôt;

  • le vol des bombardiers stratégiques nucléaires tout près de la RPDC quelle que soit l’heure ou la date
  • l’espionnage aérien des USA violant notre souveraineté territoriale
  • la convocation de la réunion du NCG (ou Nuclear Consultative Group ou Groupe Consultatif Nucléaire) USA-ROK pour discuter, ouvertement, de l’utilisation d’armes nucléaires contre notre RPDC
  • l’entrée d’un sous-marin nucléaire stratégique (l’USS Ohio; SSBN ou sub-surface ballistic nuclear construit en 1976, NDLR) dans les parages de la Péninsule coréenne pour la 1ère fois depuis une quarantaine d’années (1981).

Les USA doivent savoir que leur système de dissuasion élargi renforcé davantage et leur système d’alliance militaire étendu excessivement – une entité menaçante – ne feront que pousser notre RPDC à s’éloigner de la table de négociations qu’ils souhaitent. Le moyen le plus approprié pour assurer la paix et la stabilité dans la Péninsule coréenne à l’heure actuelle;

  • n’est pas de résoudre, dans une atmosphère amicale, le problème avec les USA ressemblant aux gangsters
  • est, plutôt, de dissuader les USA d’adopter le diktat et l’arbitraire sur le statut de la puissance et par l’exercice de la force réelle.

Notre RPDC est prête à contrer, résolument, tout acte de;

  • violation de sa souveraineté nationale et de son intégrité territoriale
  • menaces du mieux-être de son Peuple
  • destruction de la paix et la stabilité de la Péninsule coréenne.

Les USA devraient cesser leurs actes insensés de provoquer notre RPDC même en mettant leur sécurité en péril. Ce dont les USA ont été témoins il y a quelques jours n’est qu’un début de l’offensive militaire déjà lancée par la RPDC.




Des investisseurs britanniques en prospection à Dakhla, un mégaprojet déjà planifié

Faisant suite à une conférence organisée début novembre dernier à Londres, à l’initiative de l’ambassade du Maroc au Royaume-Uni, une importante délégation d’investisseurs britanniques effectue, ces mardi et mercredi, une visite à Dakhla pour la prospection des opportunités d’investissement dans la région. Parmi les projets déjà annoncés figure celui du groupe Oblin pour la production d’hydrogène vert et d’ammoniac. Avec à la clé la création de quelque 5.000 emplois.

La visite de la délégation britannique à Dakhla s’inscrit dans la continuité de la Conférence organisée par l’ambassade du Maroc au Royaume-Uni, le 4 novembre 2022 à Londres, autour des opportunités d’affaires dans les provinces du Sud.

La visite de la délégation britannique, conduite par le président directeur général du groupe Oblin (entreprise spécialisée dans l’ingénierie, l’approvisionnement et la construction de systèmes solaires photovoltaïques et d’éoliennes), Brannan Tempest, est l’occasion de s’informer des principaux projets structurants dans la région de Dakhla-Oued Eddahab, et de l’élan de développement et de progrès que connaît cette région à tous les niveaux.

La délégation britannique a entamé sa visite par une rencontre avec le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Lamine Benomar, au cours de laquelle l’accent a été mis sur le développement que connaît la région dans différents domaines dans le cadre du nouveau modèle de développement des provinces du Sud.

Prospecter les opportunités d’investissement

Les investisseurs britanniques ont tenu, également, une réunion avec le président du Conseil régional de Dakhla-Oued Eddahab, El Khattat Yanja, durant laquelle, il a exposé les avancées majeures réalisées dans la région et mis en lumière le programme de développement régional (2022-2027) adopté par le Conseil régional, pour un budget total de 4,36 Milliards de dirhams.

Dans une déclaration à la presse, Yanja a indiqué que cette visite a été l’occasion pour la délégation britannique de prospecter toutes les opportunités d’investissement offertes par la région Dakhla-Oued Eddahab, mettant l’accent sur les efforts déployés par le Maroc afin d’améliorer le climat des affaires et l’environnement dans lequel évoluent les opérateurs économiques nationaux et internationaux.

Un projet dans les énergies «vertes» dans le pipe

«La délégation britannique a fait part de son intention de réaliser de grands projets d’investissement au niveau de la région avec des enveloppes budgétaires importantes», a souligné Yanja, ajoutant que ces investissements contribueront de manière significative à la dynamique économique que connaît Dakhla-Oued Eddahab et à la création d’emplois au profit des jeunes.

Lire aussi : Accord d’association Maroc-Royaume-Uni: la cinglante, et irrévocable, gifle de la justice britannique au Polisario

«Nous envisageons de réaliser un grand projet d’énergie renouvelable produisant de l’hydrogène vert et l’ammoniac dans les provinces du sud du Maroc», a déclaré Brannan Tempest, qui a indiqué que le climat de Dakhla, notamment la disponibilité du vent et l’abondance du soleil, sont des atouts attractifs pour tout investissement dans le domaine des énergies renouvelables.

Un investissement important sera alloué à ce mégaprojet, a-t-il fait savoir, relevant qu’une nouvelle zone industrielle verte sera mise en place au profit des fabricants de panneaux solaires photovoltaïques et des pales de turbine éolienne. «Nous sommes prêts à lancer notre projet», a souligné le PDG du groupe Oblin, prévoyant la création de quelque 5.000 emplois.

Une visite au port Dakhla Atlantique

Les membres de la délégation ont en outre suivi un exposé présenté par le directeur général du Centre régional d’investissement (CRI), Mounir Houari, dans lequel il a détaillé, chiffres à l’appui, les principaux secteurs productifs de la région.

À noter que la délégation britannique a visité une unité industrielle dédiée à la transformation des produits de la pêche, la maison de la femme artisane et une coopérative spécialisée dans la production et la commercialisation du fromage camelin. Les investisseurs britanniques vont effectuer, au cours de cette journée de mercredi 19 juillet, une visite de terrain pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux du port Dakhla Atlantique.

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Sahara: Les USA ont déjà franchi l’étape de la reconnaissance de la souveraineté du Maroc

Les Etats-Unis « ont déjà franchi cette étape », celle de la reconnaissance de la marocanité du Sahara, a affirmé Matthew Miller, porte-parole du Département d’État américain.

Lors d’un point de presse, le porte-parole américain a été interpellé suite à la reconnaissance d’Israël de la souveraineté marocaine sur le Sahara et la position des Etats-Unis sur le sujet.

La position américaine « n’a pas changé » malgré le changement d’administration de Trump vers Biden, a-t-il encore souligné, fermant ainsi la porte à toute spéculation algérienne ou interrogations sur la position des Etats-Unis quant au conflit du Sahara. Les Etats-Unis reconnaissent que le Sahara appartient au Maroc.

« Évidemment, les États-Unis ont franchi cette étape (de reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara) en décembre 2020 et ça n’a pas changé », a-t-il répondu par rapport à la position des Etats-Unis concernant le dossier du Sahara.

Le représentant américain a réitéré la même position suite à une question lui demandant: « Donc il se trouve que le Sahara Occidental, en ce qui vous concerne, fait partie du Maroc? ».

Matthew Miller a clairement indiqué que la politique américaine a été annoncée en décembre 2020 et qu’elle n’a pas changé, tout en affirmant dans le même temps le soutien à l’Envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, « alors qu’il intensifie ses efforts pour parvenir à une solution politique durable et digne pour le Sahara ».

Concernant l’ouverture d’un consulat des États-Unis à Dakhla qui a pris du retard, le porte-parole a précisé qu’il ne suivait pas l’évolution des ouvertures de consulats.

A noter que ces questions interviennent après la lettre adressée par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu au Roi Mohammed VI dans laquelle il officialise la décision de l’État d’Israël de «reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental», affirmant que cette décision sera «reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien» et sera «transmise aux Nations Unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques».

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Sahara marocain: L’Union européenne ne peut plus faire l’autruche

La reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara par Israël est une nouvelle pierre apportée à l’édifice du soutien international que connaît le Maroc pour la défense de sa cause nationale première. L’Union européenne (UE) est appelée à se positionner aussi fortement et courageusement pour fermer ce dossier.

La communauté internationale continue de soutenir le Royaume dans la préservation de son territoire des plans d’annexion du régime algérien et cherche à clore définitivement ce conflit monté en épingle par Alger.

En soutenant l’intégrité territoriale du Maroc, les Etats préservent la paix mondiale et la stabilité de l’Afrique du Nord des visées expansionnistes d’un régime écervelé, guidé par la haine du Maroc et son statut privilégié, de la confiance et du respect dont il jouit.

Après la reconnaissance américaine, le soutien apporté par les pays arabes, africains et d’Amérique latine, une quinzaine de pays européens ont soutenu le plan d’autonomie proposé par le Maroc pour résoudre ce dossier qui empoisonne les relations de plusieurs pays dans la région.

A présent, nul ne peut ignorer la dynamique en marche pour le Sahara marocain et les pays manquant à l’appel devront se résoudre à cette réalité tôt ou tard, mais dans ce cas précis, mieux vaut tôt que tard car le Maroc reconnaît ses alliés et se rappelle de ceux qui jouent un double jeu, et ceux qui veulent continuer à lui tenir la dragée haute.

Les Européens, à travers l’UE, se trouvent dans une situation qu’ils ne peuvent plus ignorer. La politique de l’autruche n’est plus permise lorsque des poids lourds des 27 (dont l’ancienne puissance coloniale au Sahara) ont montré leur volonté de soutenir le Maroc dans la résolution définitive de cette mascarade qui n’a que trop duré.

L’Union européenne accuse un retard inquiétant par rapport à la communauté internationale dans l’affaire du Sahara. Au lieu de tirer son épingle du jeu et de se placer comme un acteur de la paix et de la résolution de ce conflit artificiel en arrêtant la folie furieuse de l’Algérie, l’UE par son silence, manque d’audace et se place du côté de l’agresseur.

Toutefois, ce silence complice et cette rigidité ne pourront plus être possibles pour longtemps. L’évolution rapide des enjeux, des alliances et de la géopolitique fera que l’Europe sera contrainte de se positionner, mais quel poids aura donc l’Europe sur la scène mondiale à ce moment là?

Le Maroc observe attentivement ses alliances et le comportement de ses amis et d’autres reconnaissances de la marocanité du Sahara sont attendues prochainement, poussant les Européens à encore plus d’isolement sur cette question.

La France en particulier est observée avec attention et sa rigidité sur ce sujet de la plus haute importance pour le Royaume commence à effriter la relation sans pareil qui existait entre les deux pays.

« La France qui voit ses relations se dégrader jour après jour avec son allié marocain ne peut plus faire l’autruche. Elle doit prendre une position », a déclaré à ce propos le député français et porte-parole du Mouvement démocrate (MoDem), Bruno Fuchs.

Il a en ce sens salué la décision « très forte » d’Israël de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara, estimant que la France « ne peut plus faire l’autruche ».

De son côté, le président des Républicains, Eric Ciotti a également réagi à la reconnaissance israélienne en se réjouissant de cette nouvelle avancée pour la cause nationale numéro 1 du Maroc

Convaincu de la marocanité du Sahara, le leader de la droite a affirmé sur ses réseaux sociaux que « la souveraineté du Maroc est indiscutable » et « appelle désormais la France à résoudre cette question stratégique ». Eric Ciotti avait par ailleurs affirmé, lors d’une visite au Maroc en mai dernier, qu’il s’engageait à reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara s’il était élu président de la République.

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Analyse: les enjeux géostratégiques de la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara

Officialisée ce lundi 17 juillet 2023 par une lettre du Premier ministre de l’Etat d’Israël, Benyamin Netanyahu, au roi Mohammed VI, la prise de position de Tel-Aviv renforce les soutiens à la marocanité du Sahara et annonce de grandes transformations dans le traitement de ce dossier, notamment en Occident, où la seule inconnue reste aujourd’hui la position de la France.

L’annonce était attendue. Elle est désormais officielle et a fait l’objet d’une lettre adressée ce lundi 17 juillet par le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, au roi Mohammed VI. Ce qu’on y lit: la décision de l’Etat d’Israël de «reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental». Cette position sera, précise la même source, «reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien» et sera «transmise aux Nations Unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques». Mieux, l’Etat d’Israël examine positivement «l’ouverture d’un Consulat dans la ville de Dakhla».

Une tendance de fond

Ferme, irrévocable et ne se prêtant à aucune forme d’interprétation, cette décision s’inscrit dans la suite logique d’une dynamique de fond en faveur de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud et vient consolider les soutiens exprimés en faveur de la marocanité du Sahara aux Etats-Unis, en Europe et dans le reste du monde.

Le «shift», faut-il le rappeler, est enclenché depuis plusieurs années grâce à la dynamique très favorable créée par la vision et l’impulsion du roi Mohammed VI. Un de ses moments marquants restera la reconnaissance américaine de l’intégrité territoriale du Maroc et de sa souveraineté sur son Sahara. Une décision annoncée le 10 décembre 2020 par l’ancien président Donald Trump et qui ne s’est jamais démentie depuis, malgré le changement d’administration aux Etats-Unis.

En cela, la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara atlantique est loin d’être un acte symbolique. Il s’agit d’une décision majeure qui va conforter l’administration américaine, premier pays occidental à reconnaître la marocanité du Sahara. Elle va aussi encourager les puissants groupements de lobbying juif dans le monde, particulièrement aux Etats-Unis, à défendre avec davantage de détermination l’intégrité territoriale du Maroc. Tout comme elle ne manquera pas de faciliter et d’encourager les investissements israéliens et ceux de bien d’autres pays dans les provinces du Sud, l’enjeu principal pour le Royaume dans cette région étant le développement.

Et la France alors?

Preuve également qu’il s’agit bel et bien d’une tendance de fond, il y a eu également le message adressé en mars 2022 au roi Mohammed VI par le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, et dans lequel l’Espagne, ancienne puissance coloniale, «considère l’initiative marocaine d’autonomie comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution du différend» au sujet du Sahara marocain. En tout, ils sont plus de 15 pays européens, dont l’Allemagne, les Pays-Bas et la Suisse, à s’aligner parfaitement sur l’option d’autonomie proposée par le Maroc et à soutenir de facto sa souveraineté sur son territoire sud. L’ouverture de 28 consulats de pays africains, arabes et latino-américains dans cette région en est le couronnement.

La position israélienne a également cela d’extrêmement important qu’elle met d’autres pays devant leurs responsabilités… et contradictions. Elle ne manquera pas de gêner davantage les pays encore réticents, notamment la France de Macron. Paris ne peut que constater que le Maroc consolide ses alliances et conforte ses positions, et ce, sans son intervention.

Alors que Paris, en l’occurrence, était à l’avant-garde, soutenant l’option d’autonomie du Sahara sous souveraineté marocaine dès sa présentation par le Royaume en 2007, la France d’Emmanuel Macron est désormais à la traîne sur la question. Jusqu’à quand? On retiendra sur ce registre que l’indécision d’Emmanuel Macron ne fait pas l’unanimité en France. La preuve: la réaction immédiate et très enthousiaste d’Eric Ciotti, président du parti Les Républicains (principal parti de la droite française) à la décision israélienne. «Je me réjouis de la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara. La souveraineté du Maroc est indiscutable. J’appelle désormais la France à résoudre cette question stratégique», écrit-il sur Twitter ce lundi.

Deux Etats

La reconnaissance de la marocanité du Sahara par Israël, dont le Maroc est désormais un allié et un partenaire de premier ordre, ne change cependant rien à la position du Royaume quant au conflit israélo-palestinien. La position du Maroc et de son Roi en faveur des droits légitimes du peuple palestinien est constante et le Souverain l’avait élevée au rang de cause nationale.

Un diplomate marocain considère à ce titre que le partenariat avec Israël n’est pas irréductible avec le principe de deux Etats, dont l’un existant déjà, Israël, et l’autre portant le nom de la Palestine. «La logique principale, c’est que le Maroc a une affaire et un principe. L’affaire, c’est le Sahara. Le principe, c’est le soutien à la solution à deux Etats et la défense des droits des Palestiniens». Et de préciser: «Le Maroc ne sacrifiera ni ses intérêts pour ses principes, ni ses principes pour ses intérêts.»

La reconnaissance de la marocanité du Sahara par un pays aussi important et influent qu’Israël est aussi une victoire pour la diplomatie marocaine qui donne corps aux orientations du roi Mohammed VI. Elle sera suivie par d’autres annonces importantes en faveur de l’intégrité territoriale du Royau

me.

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Comex de la CAF: l’obsession polisarienne a ruiné toutes les chances du candidat algérien

Djahid Zefizef n’avait pas pour objectif le développement du football dans son pays. Sa seule mission était de relancer le débat autour de l’intégration de la pseudo rasd à la CAF. L’obsession polisarienne du régime d’Alger est derrière l’humiliation d’Adidjan.

Il y a un an, seuls les amateurs du football algérien connaissaient Djahid Zefizef. Il a suffi de sa non-élection au Comité exécutif (Comex) de la Confédération africaine de football (CAF) pour que l’ancien manager des Fennecs passe du statut d’anonyme au rang de célébrité continentale, par la grâce de ses promesses farfelues et une déroute humiliante pour l’Algérie. Subitement, des millions d’internautes des quatre coins de l’Afrique découvraient Djahid Zefizef et, surtout, sa surestime de soi.

Cette «célébrité», le pauvre s’en serait bien passé, comme des commentaires, souvent insultants, qui accompagnaient l’information relative à l’humiliation de l’Algérie lors de la dernière Assemblée générale de la CAF, tenue à Abidjan. Le patron de la Fédération algérienne de football (FAF) a été écrasé par le président de la Fédération libyenne de football (FLF), Abdelhakim Al-Shalmani, en obtenant 15 voix seulement contre 38 pour son concurrent, qui briguait un second mandat.

En remplaçant Charaf-Eddine Amara à la tête de la FAF, Djahid Zefizef n’avait pas pour objectif le développement du football dans son pays, ni la qualification pour la Coupe du monde, ni le gain de titres. Non, sa seule mission était de relancer le débat autour de l’intégration de la pseudo rasd à la CAF, comme en témoigne son intervention lors de la 44e assemblée générale de la CAF, tenue en Tanzanie le 10 août 2022, soit un mois à peine après son élection.

Djahid Zefizef a demandé au Comex de changer l’article 4 des statuts de la CAF qui indique que «la Confédération Africaine de Football est ouverte à toutes candidatures d’associations nationales Africaines comme représentants officiels gérant le football dans un pays reconnu comme étant indépendant et qui est membre de l’Organisation des Nations Unies (ONU)».

«Nous avons le devoir d’attirer votre aimable attention sur l’impact négatif, voire dangereux, que prévoit le projet d’amendement de l’article 4 des statuts de la CAF consigné dans le procès-verbal de l’assemblée générale. En effet, le caractère éminemment et exclusivement politique de l’amendement de l’alinéa 1 de l’article 4 porte sérieusement atteinte à l’image de marque de la CAF et le risque d’entacher sa crédibilité auprès de la FIFA, qui, tout comme la CAF d’ailleurs (voir l’article 2 alinéa L), bannit toute interférence politique dans la gestion des instances footballistiques. De surcroît, cet amendement qui n’a d’autres objectifs que de priver un pays membre fondateur de l’Union africaine de son droit naturel et légitime de rejoindre la grande famille du football continental constitue une flagrante violation des statuts même de la CAF qui stipulent de manière un peu plus explicite que cette dernière a pour but de faire la promotion du football sans aucune discrimination d’un pays pour des raisons autres que politiques», avait lancé l’Algérien à Patrice Motsepe.

Ce petit rappel démontre que l’objectif assigné par la junte à Djahid Zefizef n’avait rien à voir avec le développement du football en Algérie, et encore moins avec l’essor de ce jeu en Afrique. Le patron du foot algérien avait une seule mission, comme l’armée, la diplomatie et les médias de son pays: contrer l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc. Cette obsession polisarienne a ruiné toutes ses chances de gagner contre le candidat libyen, qui, lui, n’avait pas un agenda politique. Les membres du Comex sont las – l’un d’eux a même utilisé le verbe «dégoûter» – qu’Alger se serve des instances africaines pour faire passer son agenda politique. Le candidat algérien maintenu hors du Comex, ses membres peuvent désormais parler football sans parasitage politique.

Pour rappel, l’Algérie a voté pour l’amendement des statuts de la CAF lors de la 43e assemblée générale de la faîtière du football africain, tenue à Rabat le 12 mars 2021. Et pour la petite histoire, c’est ce vote algérien qui a valu au président de l’époque de la FAF, Kheïreddine Zetchi, d’être éconduit par les caciques du régime.

En interpellant le président de la CAF, le nouveau patron de la FAF a voulu d’emblée annoncer la couleur, en confortant les épaves qui sont à la tête de son pays dans leur hostilité maladive envers le Royaume. Peu importe s’il fait un hors-sujet ou s’il joue seul contre tous, le plus important est qu’il interpelle le président de la CAF au sujet d’un article qui barre définitivement au Polisario le chemin vers l’instance africaine de football. Ce faisant, il a eu droit aux hourras des médias de son pays qui ont salué son intervention comme un exploit.

Cette débâcle de l’Algérie aurait pu être évitée si les dirigeants du pays avaient profité du soutien de Patrice Motsepe, du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) et de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) U17 pour tisser des liens avec les présidents des autres fédérations africaines. Au lieu de cela, la junte, obsédée par le Polisario, a encore une fois privilégié les intérêts de son enfant monstrueux et très coûteux. Le vendredi 13 janvier 2023, à l’occasion de l’ouverture du CHAN au stade Nelson Mandela de Baraki, à Alger, les caporaux ont ramené le plus opportuniste et le moins crédible des petits-fils de Nelson Mandela, Zwelivelile Mandla Mandela, pour prononcer un discours incitant les terroristes du Polisario au combat. «Nous allons continuer à nous battre pour les causes africaines, notamment celle du peuple du Sahara occidental, dernière colonie en Afrique», avait-il déclaré dans une misérable mise en scène orchestrée par le régime d’Alger, qui a baptisé à cette fin le stade du nom de son grand-père.

Ces manœuvres ont porté préjudice aux présidents de la CAF et de la FIFA, Patrice Motsepe et Gianni Infantino, témoins d’un discours incitant clairement au terrorisme.

Aujourd’hui, le constat est clair: tant que la junte algérienne continuera à placer en tête de ses priorités le Polisario et non pas les intérêts de l’Algérie et du peuple algérien, elle continuera d’essuyer des défaites, que ce soit à la CAF ou ailleurs.

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Le président de la Knesset Amir Ohana se félicite de la reconnaissance israélienne du Sahara

Le président de la Knesset israélienne, Amir Ohana, a réagi à la décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara en posant tout sourire devant une carte du Maroc où il est expressément écrit « Sahara marocain ».

Le chef de Parlement israélien d’origine marocaine, Amir Ohana a posté sur tous ses réseaux sociaux une image de lui posant devant une carte du monde pointant du doigt la partie où il est mentionné « Sahara marocain » entourée d’un cercle rouge, et avec une copie d’un journal marocain « Al Ahdath Al Maghribi » qui le montrait en Une.

Il a publié cette photo avec un large sourire agrémenté de deux drapeaux, ceux d’Israel et du Maroc sur tous ses réseaux sociaux, se félicitant de la reconnaissance de Tel Aviv de la marocanité du Sahara.

 

Sa photo a été largement appréciée sur les réseaux sociaux, et sa popularité est grandissante au Maroc depuis qu’il a été le premier officiel israélien à soutenir l’intégrité territoriale du Maroc et en affirmant qu’Israel devrait le reconnaître officiellement.

Il convient de noter que le président de la Knesset israélienne s’était rendu au Maroc, en juin dernier, en visite officielle, à l’invitation de Rachid Talbi Alami, président du Parlement marocain.

Il avait déclaré à l’époque qu’il y avait une discussion sérieuse au sein du parlement israélien gouvernement concernant la reconnaissance de la marocanité du Sahara.

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Peter Pham: la reconnaissance par Israël de la marocanité du Sahara «renseigne sur le leadership du Roi»

La décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara renseigne sur «le leadership avant-gardiste» du roi Mohammed VI, adossé à «une vision perspicace forgée dans la patience et la légitimité historique», selon Peter Pham, éminent membre du prestigieux think tank américain, The Atlantic Council.

Commentant la décision d’Israël de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara, Peter Pham, éminent membre du prestigieux think tank américain, The Atlantic Council, et envoyé spécial des États-Unis pour le Sahel et les régions des Grands Lacs sous l’administration Trump, a souligné que cette «reconnaissance de ce qui est juste» reflète l’efficacité d’une diplomatie marocaine qui se démarque par son approche agissante et proactive sous le leadership du Roi.

«Outre Israël et les Etats-Unis, des pays africains et bien d’autres ont exprimé leur soutien clair et sans équivoque aux droits légitimes du Maroc sur ses provinces du Sud», a affirmé Peter Pham, relevant que plusieurs de ces pays ont ouvert des consulats généraux dans les villes de Laâyoune et Dakhla.

Le roi Mohammed VI a reçu une lettre du premier ministre de l’Etat d’Israël, Benyamin Netanyahu, par laquelle il a porté à la très haute attention du Souverain la décision de l’Etat d’Israël de «reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental». A cet égard, le premier ministre israélien a indiqué que cette position de son pays sera «reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien».

Il a souligné, en outre, que ladite décision sera «transmise aux Nations unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques». Le premier ministre israélien a également informé qu’Israël examine positivement «l’ouverture d’un consulat dans la ville de Dakhla», et ce, dans le cadre de la concrétisation de cette décision d’Etat.

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Sahara marocain : La reconnaissance d’Israel est une nouvelle victoire écrasante pour le Maroc

Israel a reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara après près de deux ans et demi de la signature des accords d’Abraham, une étape attendue qui confirme la justesse de la position marocaine et la défense légitime de l’intégrité territoriale du royaume. La dynamique se poursuit.
L’information a été rendue publique par le biais d’un communiqué du palais royal qui a annoncé la réception d’une lettre de la part du chef du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu adressée au Roi Mohammed VI.
Dans cette lettre, Netanyahu annoncé la décision de l’Etat d’Israël de « reconnaître la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental » et qu’à partir de ce moment, cette position de son pays sera « reflétée dans tous les actes et les documents pertinents du Gouvernement israélien ».
Par ailleurs, la décision sera « transmise aux Nations Unies, aux organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi qu’à tous les pays avec lesquels Israël entretient des relations diplomatiques ».
La décision était attendue et était logique depuis la signature de l’accord tripartite entre le Maroc, Israel et les Etats-Unis. En 2020, il n’y avait que Washington qui avait exprimé clairement cette position, pour sa part, Israel agissait sur le terrain comme si c’était une chose acquise mais n’avait pas concrétisé cette réalité.
Les déclarations des officiels israéliens pro-reconnaissance du Sahara marocain ces derniers mois et les projets israéliens au Sahara donnaient une indication forte de cette nouvelle réalité qui se profilait et la dernière annonce du président de la Knesset, Amir Ohana, qui a déclaré que le gouvernement israélien allait se prononcer prochainement sur la question présageait que cela sera ferait dans la direction d’une reconnaissance explicite de la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
Cette énième reconnaissance de la marocanité du Sahara d’un pays souverain et fort et pesant de son poids sur la scène internationale, vient consolider tous les acquis du Maroc ces dernières années dans la défense de son intégrité territoriale et laisse le club des indécis ou des rigides restreint.
Le Roi Mohammed VI l’avait dit dans son discours du 20 août 2022, « le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international, et l’aune qui mesure la sincérité des amitiés et l’efficacité des partenariats que le Royaume établit ».
Cette citation claire était accompagnée d’une invitation aux pays partenaires traditionnels et nouveaux, pour clarifier leurs positions sur l’affaire du Sahara s’ils ont une position ambiguë.
« Nous attendons qu’ils clarifient et revoient le fond de leur positionnement, d’une manière qui ne prête à aucune équivoque », avait déclaré le Souverain et cette invitation a été entendue par de nombreux pays dont européens dont l’Allemagne, l’Espagne (anciennement la puissance coloniale au Sahara), les Pays-Bas, la Suisse…
La reconnaissance israélienne en réponse à l’invitation du Roi Mohammed VI, revêt une importance et non des moindres puisque la Palestine et Israel reconnaissent tous deux la souveraineté du Maroc sur son Sahara et cela élimine ainsi toute interprétation de la part des ennemis de la cause nationale marocaine.
Elle prouve d’un autre côté la pertinence de la position marocaine et le bien fondé de sa démarche qui est reconnue par les deux Etats, car quel que soit le pays concerné, il estime que le Maroc est dans son Sahara et le Sahara est dans son Maroc, en toute légitimité, en toute légalité.
Le Maroc a donc réussi à faire d’une pierre deux coups en restant dans sa juste position vis à vis de la question palestinienne qui n’a pas changé malgré la reprise des relations diplomatiques avec Israel. Rabat a toujours revendiqué sa position constante en faveur des droits légitimes du peuple palestinien.
La cause palestinienne reste érigée au rang de cause nationale pour le Maroc, comme celle du Sahara, et cela prouve que le Maroc est droit dans ses bottes par rapport à la cause qu’il défend, à savoir la préservation de son territoire d’un plan colonial algérien maquillé par une entité fantoche nommée polisario.
Avec la reconnaissance d’Israel pour la souveraineté du Maroc sur le Sahara, c’est un nouveau tournant que la diplomatie marocaine prend avec un soutien encore plus appuyé pour la légalité internationale et la préservation de la sécurité et de l’intégrité territoriale du Maroc.
A Rabat, c’est ainsi que le sujet est perçu, quiconque qui ne soutient pas la marocanité du Sahara ne tient à pas à la protection de la stabilité et la sécurité du Royaume des plans de partition algériens visant à encercler le Maroc et se frayer une sortie sur l’Atlantique.
Cela, plusieurs pays l’ont compris et défendent à présent non seulement la stabilité du Maroc mais de toute l’Afrique du nord et indirectement du continent africain et de l’Europe.
La nouvelle reconnaissance israélienne donnera certainement du fil à retordre aux pays qui hésitent toujours à reconnaître pleinement la souveraineté du Maroc sur son territoire et d’estimer que la proposition d’autonomie présentée par le Royaume pour le règlement définitif de cette question est la « seule et unique » solution qui permettra la résolution de ce conflit artificiel créé par un Etat voyou isolé.
La question du Sahara marocain et la défense de l’intégrité territoriale du Maroc est devenu aujourd’hui une cause adoptée et acquise par les Etats-Unis, par les pays arabes et africains voisins, par plus de 15 pays européens et pays latino-américains et confirme sa justesse et simplement le respect que ces pays ont envers le Maroc.
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La souveraineté du Maroc sur le Sahara: Le ministre des Affaires étrangères israélien salue la décision de son pays

Le ministre des Affaires étrangères israélien, Eli Cohen, a salué la décision de son pays de “reconnaître la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
Dans un tweet sur sa page officielle Twitter, Cohen a déclaré : “Je salue l’annonce du Premier ministre Netanyahu concernant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
Il a ajouté que cette mesure renforcera les relations entre les deux États et les deux peuples, et contribuera aux efforts déployés pour étendre la coopération, approfondir la paix et la stabilité dans notre région.
Par ailleurs, un communiqué du porte parole du Palais royal a annoncé, ce lundi 17 juillet 2023 que “Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu le glorifie, a reçu un message du Premier ministre de l’État d’Israël, Son Excellence Monsieur Benyamin Netanyahou. Dans ce message, le Premier ministre israélien a porté à la haute connaissance de Sa Majesté la décision de l’État d’Israël de “reconnaître la souveraineté du Maroc sur les territoires du Sahara occidental”.
À cet égard, le Premier ministre israélien a confirmé que cette position de son pays “se reflétera dans toutes les actions et documents du gouvernement israélien pertinents”.
Il a également souligné que l’ONU, les organisations régionales et internationales dont Israël est membre, ainsi que tous les pays ayant des relations diplomatiques avec Israël, seront informés de cette décision.
Dans son message à Sa Majesté le Roi, le Premier ministre israélien a indiqué qu’Israël envisageait positivement “l’ouverture d’un consulat à Dakhla”, dans le cadre de la mise en œuvre de cette décision d’État.
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