*RPDC; «Les impérialistes US sont les ennemis jurés de notre Peuple!»* 

Presque 70 ans se sont écoulés depuis le cessez-le-feu (Accord d’Armistice RPDC-USA; lundi 27/07/1953 10:00) sur la Péninsule (224.252 km2) coréenne. Pourtant, le Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) n’oublie jamais les atrocités perpétrées par les impérialistes US lors de la Guerre (1950-1953) de Libération de la Patrie, malgré le changement de génération et quelle que soit le changement de la nature et du paysage.

*1. Tout le Territoire réduit en cendre*

Indicibles étaient leurs bombardements pour tenter de balayer le berceau de la vie heureuse du Peuple de la RPDC (123.214km2).

«En fait, les USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GIs après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) ont commis les crimes abominables vis-à-vis de la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans, NDLR) du Nord; ils ont largué, sur elle, une plus grande quantité de bombes que celle sur le Front du Pacifique lors de la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale. Des milliers et des dizaines de milliers des civils innocents ont trouvé la mort (1.230.000 selon les statistiques, NDLR) et de nombreuses villes disparues.», tel est le constat de la presse US, sans parler de l’utilisation des armes bactériologiques et chimiques et des bombes à napalm et des menaces d’armes nucléaires. Pendant cette Guerre de Corée, les USA ont;

• organisé plus d’un million de sorties ou attaques aériennes (800.000 de l’US Air Force et 250.000 de lUS Marines)

• largué 600.000t de bombes sur toute l’étendue de la RPDC, soit quantité 3,7 fois supérieure à celle de bombes sur le Territoire proprement dit du Japon au cours de la Guerre du Pacifique (1941-1945 qui comprend les campagnes menées dans la Zone Asie-Pacifique, NDLR).

 

Toutes les hostilités enregistrées dans l’histoire des guerres de l’Humanité étaient, franchement parlant, l’origine des génocides barbares et le foyer de la destruction sans discrimination. Néanmoins, le monde ne connaît pas encore une guerre comme cette Guerre-là imposée (dimanche 25/06/1950 04:00) par les USA qui ont détruit, sans pitié, le lieu d’existence d’un Etat âgé de 2 ans.

«Nous allons supprimer toutes les 78 villes de la Corée du Nord sur la carte mondiale pour qu’il n’y ait rien à balayer.»; tout en alléguant ainsi, les bêtes brutes US ont;

• réduit en cendre tout le Territoire de la RPDC

• lancé les bombes à même de réduire tout en cendre; rien que sur la Ville Pyongyang, 01 bombe par habitant (population du Pays; 10.540.000 en 1950 et 26.123.829 en 2023, NDLR), et 18 bombes par km2 sur tout le Territoire de la RPDC (Leurs bombardements ont tout ravagé.).

 

Les USA prétendaient que la RPDC ne se relèverait jamais même en 100 ans. Mais, le Peuple, sorti victorieux de la Guerre, a;

• redressé, dans un meilleur délai, ses villes, villages, rues et lieux de travail réduits en cendre

• édifié, sur son sol, un Etat socialiste, politiquement souverain, économiquement indépendant et capable de se défendre par lui-même.

*2. Les crimes de guerre bactériologique*

Le matin d’un jour du mai 1952, un avion de l’US Air Force apparut dans le ciel de la campagne rurale de l’Arrondissement Taedong dans la Province Sud-Phyongan. Bizarrement, il ne fit que le virage dans l’air sans bombardement mais en laissant tomber quelque chose. Peu après, une femme qui ramassait les herbes comestibles sauvages découvrit une liasse de paille à ses alentours. Elle l’ouvra et trouva, là-dedans, un paquet de coquillages alléchants. Une fois descendue de la montagne, elle en mangea avec son mari. Or, ce fut le commencement de leur malheur épouvantable. Le soir, ils furent pris d’une forte fièvre et gémirent toute la nuit. Les villageois en firent part à un médecin. Celui-ci estima, après son examen, que le couple était atteint du choléra puisque les coquillages contenaient les bactéries toxiques. Le matin, les malades furent morts. Ce n’est qu’un simple exemple montrant les atrocités de la guerre bactériologique menée par les impérialistes US pendant la Guerre.

 

Voués à une défaite honteuse devant la contre-attaque foudroyante de l’héroïque Armée Populaire de Corée, les agresseurs US recoururent, vilainement, au génocide par arme bactériologique en violation brutale du Droit International. Le Colonel Frank Hawse SCHWABLE (1908-1988) de l’US Marines ayant participé à cette Guerre bactériologique abominable avoua: C’est le Comité des chefs d’état-major interarmées US qui a donné ses instructions sur l’ensemble du plan de la Guerre bactériologique en Corée. En mai 1952, cette Guerre a gagné en ampleur selon les indications du 5ème Corps d’Aviation de lUS Air Force.

 

Les impérialistes US ont largué, en quantité, les bombes bactériologiques pour anéantir le Peuple de la RPDC. Ils ont;

• propagé (29/11-08/12/1950), dans de nombreuses régions (la Ville Pyongyang, l’Arrondissement Yangdok de la Province Sud-Phyongan et les Arrondissements Kowon et Jangjin de la Province Sud-Hamkyong, etc.), un très grand nombre de virus et de bactéries contagieux en employant leurs armes bactériologiques

• mobilisé, tous les 7-10 jours, leurs avions de façon concentrée pour répandre, avec frénésie dans presque toutes les régions du Pays (les villes, les réservoirs d’eau filtrée, les montagnes et les plaines), les mouches, les moustiques, les puces, les rats, etc., infectés par le vibrion cholérique, le bacille pesteux, le bacille du charbon, le bacille paratyphique et le bacille dysentérique ainsi que les denrées alimentaires et les articles d’usage courant contaminés par les bactéries

• mobilisé (novembre 1951) le 3ème Régiment Bombardier de l’US Air Force et le 19ème Régiment Bombardier sous contrôle direct du Commandement de l’Extrême-Orient de l’US Air Force, ils ont largué la 1ère bombe bactériologique dans la zone Nord du Fleuve Chongchon-gang et celle de la rive Sud du Fleuve Amnok-gang, à Yangdok, à Hamhung et à Wonsan

• mobilisé plusieurs centaines d’avions pour larguer, à 804 reprises (janvier-mars 1952) dans les 169 régions, diverses sortes de bombes bactériologiques; en mai 1952, cette Guerre bactériologique a gagné en ampleur dans toutes les régions totales du Pays.

 

Il en est résulté que beaucoup de maladies épidémiques y compris la peste, le choléra, la typhoïde et la dysenterie, se sont propagées rapidement et que bon nombre de gens sont morts ou devenus invalides. A l’époque, un membre du groupe d’enquête de l’Association Internationale des Juristes Démocrates (ou International Association of Democratic Lawyers) a dit: Les démons de l’Enfer de la Divina Commedia de l’écrivain italien Dante ALIGHIERI (1265-1321), n’avaient pas surpassé, en cruauté, les barbares yankees. Si Adolf HITLER (1889-1945) et Benito MUSSOLINI (1883-1945) avaient assisté aux atrocités des USA, ils en auraient été stupéfiés.

 

Pour rappel, persiste le statu quo bellis technique à cause de la politique d’hostilités des USA contre la RPDC menée à leur guise de se contenter de créer une situation particulière (le point le plus chaud du monde) sans l’Accord de Paix ou de Non-agression ni les relations diplomatiques, pendant les 7 décennies. Rira bien qui rira le dernier!




Maroc-UE-Pêche: La durabilité, un objectif commun du Maroc et de l’UE (Communiqué conjoint) 

Le Maroc et l’Union européenne (UE) ont annoncé, jeudi à Bruxelles, qu’elles vont poursuivre la coopération scientifique dans “l’objectif commun de la durabilité” de la ressource halieutique dans la région.

 

“Le Maroc et l’UE ont pris note des recommandations contenues dans le rapport établi par le comité scientifique conjoint, qui s’est réuni en juin dernier. A cet égard, elles vont poursuivre la coopération scientifique dans l’objectif commun de la durabilité de la ressource dans la région”, indique un communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Royaume et l’UE.

 

Cette réunion a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16, souligne la même source.

 

A cette occasion, le Maroc et l’UE se sont félicités de leur coopération exemplaire qui a permis, en toutes circonstances, des opérations des navires artisanaux et industriels, une gouvernance transparente et rigoureuse du Protocole, ainsi qu’un suivi scientifique continu de l’état de la ressource halieutique.

 

Les parties ont notamment salué la mise en œuvre satisfaisante de l’Accord de pêche et de son Protocole dans ses différentes dimensions, notamment l’excellent état d’avancement des projets pour le développement du secteur de la pêche au Maroc, précise le communiqué conjoint, notant que ces projets pourront se poursuivre au-delà de l’expiration du Protocole, comme prévu par celui-ci.

 

Mercredi, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita a indiqué, lors d’un point de presse à l’issue des travaux de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le gouvernement intègre dans sa réflexion et dans son évaluation au sujet de l’Accord de pêche le paramètre lié aux données scientifiques, l’objectif étant de préserver cette ressource naturelle importante et pour le Maroc et pour les Marocains, et d’assurer sa




Maroc-UE-Pêche : L’UE réitère “la plus haute importance” qu’elle accorde à son partenariat avec le Maroc en matière de pêche et “l’intérêt essentiel” qu’elle attache à sa poursuite 

L’Union européenne (UE) a réitéré “la plus haute importance” qu’elle accorde à son partenariat avec le Royaume du Maroc en matière de pêche, et “l’intérêt essentiel” qu’elle attache à sa poursuite “dans un esprit de confiance, de solidarité et d’intérêt mutuel”.

 

Elle a également souligné, dans un communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, tenue jeudi à Bruxelles, que les relations avec le Maroc dans le domaine de la pêche “s’inscrivent dans un partenariat global et mutuellement bénéfique, qui fait du Maroc et de l’UE des partenaires stratégiques pour la stabilité, le développement et la prospérité dans la région”.

 

Tenue conformément à l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Maroc et l’Union européenne, cette 5ème session a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16.

 

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a affirmé, mercredi à Rabat lors d’un point de presse à l’issue de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le Royaume décidera de l’avenir de la coopération avec l’UE dans le domaine de la pêche à la lumière des évaluations propres au gouvernement et en concertation avec les partenaires européens.

 

M. Bourita a aussi qualifié de “satisfaisante” la mise en œuvre du Protocole, notant que la coopération a été “positive et mutuellement bénéfique” durant ces quatre années.




L’accord de pêche Maroc-UE “demeure en vigueur”

Le Maroc et l’Union européenne (UE) ont convenu de poursuivre leur coopération comme le prévoit l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, qui « demeure en vigueur », de manière à approfondir leur partenariat bilatéral.

Selon le communiqué conjoint publié à l’issue de la 5ème session de la Commission Mixte chargée du suivi de l’Accord, tenue jeudi à Bruxelles, « le Maroc et l’Union européenne ont convenu de poursuivre leur coopération comme le prévoit l’Accord de Partenariat dans le domaine de la pêche durable, qui demeure en vigueur, de manière à approfondir le partenariat bilatéral sur des volets essentiels, tels que les campagnes scientifiques, la coopération technique, la lutte contre la pêche illégale, l’intégration économique des opérateurs, les dispositifs de sécurité en mer et d’amélioration des conditions de travail et de protection des marins ».

Tenue conformément à l’Accord de partenariat dans le domaine de la pêche durable entre le Maroc et l’Union européenne, cette réunion a permis de faire une évaluation globale des quatre années de mise en œuvre du Protocole de pêche du 18 juillet 2019, et qui arrive à son terme le 17 juillet courant, conformément à son Article 16, souligne la même source.

A cette occasion, le Maroc et l’UE se sont félicités de leur coopération exemplaire qui a permis, en toutes circonstances, des opérations des navires artisanaux et industriels, une gouvernance transparente et rigoureuse du Protocole, ainsi qu’un suivi scientifique continu de l’état de la ressource halieutique.

Les parties ont notamment salué la mise en œuvre satisfaisante de l’Accord de pêche et de son Protocole dans ses différentes dimensions, notamment l’excellent état d’avancement des projets pour le développement du secteur de la pêche au Maroc, soulignant l’impact socio-économique positif sur le secteur, sur la pêche artisanale, l’aquaculture durable au profit des jeunes entrepreneurs et des coopératives de pêcheurs, ainsi qu’en termes de création d’emplois, de formation et d’insertion des femmes et des jeunes notamment dans la vie active.

Ces projets, ajoute le communiqué conjoint, pourront se poursuivre au-delà de l’expiration du Protocole, comme prévu par celui-ci.

La durabilité, un objectif commun

Les deux parties ont de même annoncé qu’elles vont poursuivre la coopération scientifique dans « l’objectif commun de la durabilité » de la ressource halieutique dans la région.

« Le Maroc et l’UE ont pris note des recommandations contenues dans le rapport établi par le comité scientifique conjoint, qui s’est réuni en juin dernier. A cet égard, elles vont poursuivre la coopération scientifique dans l’objectif commun de la durabilité de la ressource dans la région », fait noter le communiqué conjoint.

L’UE réitère l’importance du partenariat avec le Maroc

A cet égard, l’Union européenne a réitéré « la plus haute » qu’elle accorde à son partenariat avec le Royaume du Maroc en matière de pêche, et « l’intérêt essentiel » qu’elle attache à sa poursuite « dans un esprit de confiance, de solidarité et d’intérêt mutuel ».

Les relations avec le Maroc dans le domaine de la pêche « s’inscrivent dans un partenariat global et mutuellement bénéfique, qui fait du Maroc et de l’UE des partenaires stratégiques pour la stabilité, le développement et la prospérité dans la région », a également souligné l’UE.

Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, avait affirmé mercredi lors d’un point de presse à l’issue de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats africains atlantiques, que le Royaume décidera de l’avenir de la coopération avec l’UE dans le domaine de la pêche à la lumière des évaluations propres au gouvernement et en concertation avec les partenaires européens.

Bourita a aussi qualifié de « satisfaisante » la mise en œuvre du Protocole, notant que la coopération a été « positive et mutuellement bénéfique » durant ces quatre années.

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Agences de Presse : la MAP et l’ACP renforcent leurs relations de coopération et de partenariat

L’Agence Maghreb Arabe Presse (MAP) et l’Agence Congolaise de Presse (ACP) viennent de renforcer leurs relations par la signature, mercredi à Rabat, d’un nouvel accord de coopération et de partenariat.

Signé par le Directeur général de la MAP, M. Fouad Arif, et le Directeur général de l’ACP, M. Bienvenu-Marie Bakumanya, cet accord vise à renforcer la coopération entre les deux Agences et à consolider leur partenariat, ainsi que leurs relations professionnelles dans tous les domaines d’intérêt commun.

En vertu de cet accord, signé à l’occasion de la visite à la MAP du Directeur général de l’ACP, accompagné d’une délégation de journalistes-responsables de l’Agence congolaise, la MAP et l’ACP s’accordent mutuellement le droit de recevoir et d’utiliser, dans leurs services rédactionnels, les informations et tout ce qui est lié aux contenus multimédias (photo, vidéo, audio, infographie) en provenance de l’une ou de l’autre Agence.

Les deux parties ont également convenu de renforcer l’échange d’expériences à travers l’organisation de visites et de stages d’immersion en faveur des journalistes, cadres, techniciens et informaticiens des deux Agences.

A l’occasion de cette signature, les deux Directeurs généraux ont tenu une séance de travail au cours de laquelle ils se sont penchés sur les moyens susceptibles de développer les relations entre les deux Agences sur les plans stratégiques de communication et technologiques.

Ils ont souligné, dans ce sens, l’importance pour les deux Agences de privilégier la coopération dans les domaines de communication et d’échange d’information, pour être à la hauteur des relations exemplaires entre le Maroc et la République Démocratique du Congo (RDC).

M. Bakumanya a mis en avant, à cette occasion, les liens historiques entre le Royaume et la RDC et les relations d’amitié et de fraternité entre les chefs d’Etat des deux pays.

« Nous avons décidé de mettre en synergie nos moyens logistiques et intellectuels » au service des deux Agences, a-t-il ajouté dans une déclaration à la MAP.

M. Bakumanya s’est dit déterminé à œuvrer pour la consolidation de la coopération de l’ACP avec la MAP, notamment dans le domaine de la transition numérique.

Lors de cette réunion, M. Arif a mis en avant l’entière disposition de la MAP à partager son expertise avec l’ACP dans ce domaine, assurant qu’un plan d’action bien défini sera prochainement mis en place.

L’Afrique constitue un axe stratégique essentiel et majeur de la stratégie de SM le Roi Mohammed VI, a poursuivi M. Arif, relevant que le continent occupe une place de choix dans la politique étrangère marocaine. (Avec MAP)




RPDC; Le lancement d’essaI d’un nouveau ICBM Hwasongpho-18

Voici un autre grand événement significatif marquant le trajet du renforcement et du développement des forces stratégiques de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, NDLR). La Direction Générale de Missiles de l’Armée Populaire de Corée (APC) vient d’effectuer, ce 12 juillet, le lancement d’essaI d’un missile balistique intercontinental (ICBM) de nouveau modèle Hwasongpho (ou Canon Mars) -18, système d’armes essentiel des forces stratégiques de la RPDC, dans le cadre de;
• préserver la sécurité de l’Etat et la paix dans la Région des affres d’une Guerre nucléaire
• renforcer le droit de défense légitime visant à maîtriser, complètement, les tentatives militaires périlleuses des forces hostiles.

L’essai a eu lieu selon le jugement stratégique et la Décision importante de la Commission Militaire Centrale du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) au moment délicat où la situation de sécurité militaire dans la Péninsule (224.252km2) coréenne et la Région abordait une phase de la Crise nucléaire dépassant l’époque de la Guerre Froide (1945-1991) à cause des manœuvres de provocations militaires sans précédent des USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GIs après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) et des forces à leur remorque. Les USA;
• ont forgé, en avril dernier, la Déclaration de Washington (issu du Sommet USA-ROK; Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR), programme de confrontation nucléaire avec la RPDC
• cherchent à discuter, ouvertement, l’emploi d’armes nucléaires contre la RPDC, à travers les réunions du Groupe Consultatif Nucléaire (ou Nuclear Consultative Group ou NCG) USA-ROK, qui allait servir de prototype à l’Alliance Nucléaire Tripartite USA-Japon-ROK
• n’hésitent pas, sous le prétexte de l’augmentation de la Visibilité de leurs avoirs stratégiques, à envoyer, à n’importe quel moment, le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (lUSS Ohio; SSBN ou sub-surface ballistic nuclear construit en 1976, NDLR) et les bombardiers stratégiques nucléaires dans la Péninsule coréenne et ses environs, précipitant, ainsi, la situation de la Région au seuil d’une Guerre nucléaire inouïe
• se cramponnent aux actes de reconnaissance aérienne (plus de 30 reprises 02-10/07/2023 avec leurs RC-135S, U-2S, RQ-4B, NDLR) plus provocatrice en violant même le Territoire souverain de la RPDC
• forment le dessein d’introduire, de nouveau, leurs armes nucléaires dans la Péninsule coréenne en envoyant, pour la 1ère fois depuis plus de 40 ans (1981), l’USS Ohio en Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’une année, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR); ce qui est plus grave.

Leurs actes militaires insensés;
• constituent, d’un bout à lautre, les provocations de nature agressive qui entraînent la situation de la Péninsule coréenne à un accrochage armé réel par-delà les préparatifs de combat permanents ciblant leur adversaire belligérant
• ont une influence négative irréversible sur la situation militaro-politique et la structure de sécurité de la Région.

La situation actuelle où les tentatives d’affrontement de folie des USA et de la Corée du Sud, susceptibles d’engendrer une nouvelle Crise nucléaire en chaîne dans la Péninsule coréenne et la Région de l’Asie du Nord-Est abordent au point critique absolument intolérable, exige de la RPDC de donner sa forte impulsion aux efforts de;
• maîtriser, au moyen physique, la provocation politico-militaire insensée des forces hostiles
• renforcer les capacités d’autodéfense et la force de dissuasion nucléaire d’autodéfense.

Ce lancement d’essai constitue un processus indispensable ayant pour but de développer, encore davantage, les forces nucléaires stratégiques de la RPDC et un ferme avertissement pratique destiné à;
• montrer, clairement, la ferme volonté de riposte dominatrice et l’entité de la puissance physique aux ennemis qui se révèlent plus évidents dans leur politique de menace nucléaire vis-à-vis de la RPDC
• leur faire savoir, nettement une fois de plus, la dangerosité et la témérité de leur choix militaire anti-RPDC.

KIM JONG UN, Secrétaire Général du PTC et Président des Affaires d’Etat de la RPDC, a dirigé, sur place, ledit lancement d’essai dont le but était de vérifier, de nouveau (la 1ère série; 13/04/2023), la crédibilité technique du système d’arme de l’ICBM et sa fiabilité de fonctionnement. En vue d’assurer la sécurité des Pays voisins (la Chine, la Russie et le Japon; le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le génocide de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) et celle du détachement à plusieurs étages au cours du vol dans le ciel territorial, était adopté le mode de vol balistique standard pour la 1ère étape et le mode de lancement vertical pour les 2ème et 3ème étapes, et étaient vérifiées les caractéristiques techniques de toutes les parties de ce système.

Au poste dobservation, KIM JONG UN a autorisé le lancement. Le Général d’armée KIM Jong Sik a donné, alors, son ordre à la 2ème Compagnie Red-Star de la Direction Générale de Missiles chargée de la mission du lancement;
• Le lancement n’a donné aucune influence néfaste aux 3 Pays voisins.
• L’ICBM a atteint les parages de cible dans les Eaux internationales de la Mer de l’Est de Corée après avoir volé 1.001,2km (999,2 km pour l’ancien modèle 18/11/2022) pendant 4.491s (4.135s pour l’ancien modèle 18/11/2022) en prenant son altitude maximale de 6.648,4km (6.040,9km pour l’ancien modèle 18/11/2022).
• Tous les nouveaux records confirmés au cours du lancement ont justifié la capacité, la fiabilité et l’efficacité militaire du système d’arme stratégique de nouveau modèle, et vérifié la crédibilité des forces stratégiques nucléaires de la RPDC.

Le nouveau ICBM dont les forces stratégiques de la RPDC se muniront et feront usage conformément au Programme (initié par KIM JONG UN en 2013, NDLR) d’édification des forces nucléaires de l’État à long terme, s’acquittera d’une mission de haute importance en tant que moyen essentiel le plus puissant pour maîtriser à fond et riposter, de façon écrasante, toutes sortes de menaces de guerre nucléaire contre la RPDC et d’actes d’agression provocateurs, et pour sauvegarder, de pied ferme, la sécurité de l’Etat.

KIM JONG UN, très satisfait du succès du lancement, a dit;
• La réalisation spectaculaire d’aujourd’hui ayant manifesté, pleinement, le profil puissant de notre RPDC dotée de la force de dissuasion nucléaire d’autodéfense et des capacités d’offensive dominatrice, constitue un autre progrès notable au niveau du développement des forces stratégiques de la RPDC.
• L’actuelle situation précaire où la sécurité de la Péninsule coréenne est, gravement, menacée, d’un moment à l’autre, par les forces hostiles nous exige de donner une plus forte impulsion à la réalisation de la Ligne de renforcement de la force de dissuasion nucléaire définie par le 8ème (2021) Congrès du PTC.
• Notre PTC et le gouvernement de notre RPDC s’en tiendront, toujours, à leurs ligne de conduite et orientation stratégiques consistant à accélérer, durablement, la mise au point des systèmes d’armes plus avancés, plus efficaces et plus fiables.
• Comme le montre bien la réalité, c’est la règle reconnue selon laquelle les événements plus étonnants seuls marqueront, sans cesse, notre marche vers le renforcement du potentiel de défense nationale au fur et à mesure de la multiplication des menaces militaires et défis des forces hostiles.
• Nous nous livrerons, sans cesse, aux offensives militaires plus puissantes jusqu’à ce que les impérialistes US et la Clique fantoche sud-coréenne reconnaissent, dans la douleur, leur défaite déshonorable en matière de politique hostile contre la RPDC et renoncent à leur politique.

Et, KIM JONG UN a;
• précisé les tâches stratégiques importantes qui s’imposent pour impulser, vigoureusement, le renforcement des forces stratégiques nucléaires de la RPDC
• adressé ses félicitations et remerciements à tous les scientifiques et techniciens dans le secteur de la recherche en science de défense nationale qui avaient su promettre l’histoire de la victoire éternelle (depuis 1953) devant l’Epoque et la postérité grâce à leur succès remarquable dans l’essai du nouveau système d’arme stratégique à la veille du 70ème anniversaire (27/07/2023) de la Victoire dans la Guerre (1950-1953) de Corée, victoire remportée par le grand Peuple de la RPDC en mettant en pièces le mythe de la Puissance des impérialistes US.

Les scientifiques de la défense nationale se sont juré, solennellement, de remplir, pleinement, de leur mission importante auprès du PTC, de la Révolution, de la Patrie et du Peuple.




Après la tentative d’appropriation de l’Algérie, l’ICESCO décide d’inscrire officiellement le Caftan comme patrimoine marocain

L’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO) a été contrainte de protéger le caftan, devenu une énième cible d’appropriation culturelle par l’Algérie.

Une source au sein de l’Organisation régionale, a indiqué qu’elle a pris une décision officielle concernant l’inscription du Caftan au patrimoine immatériel marocain.

Cette décision intervient après une nouvelle offensive du régime algérien pour s’approprier des éléments culturels marocains et les inscrire au nom de l’Algérie devant l’UNESCO. En effet, l’Algérie a introduit le caftan marocain dans son dossier d’inscription de la Mlehfa et Gandoura auprès de l’UNESCO.

Le ministère marocain de la Culture a présenté devant l’ICESCO plusieurs éléments du patrimoine immatériel marocains pour figurer dans la liste des sites du patrimoine et des éléments culturels, devant Comité du patrimoine du Monde islamique de l’organisation.

L’ICESCO vient d’enregistrer 26 sites historiques et culturels appartenant au patrimoine marocain, y compris des éléments matériels et immatériels.

Etant donné que l’ICESCO compte parmi ses membres les pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), dont l’Algérie, cela signifie que ce pays a reconnu que le caftan est marocain, indique la même source.

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20ème anniversaire du « Protocole de Maputo » Mireille Masangu représente la Rdc aux assises de Nairobi sur les droits de la femme africaine

À la tête d’une forte délégation de la République démocratique du Congo, la ministre du Genre, Famille et Enfant, Mme Mireille Masangu Bibi Muloko, est allée participer aux différentes activités organisées par l’Union Africaine, pour l’évaluation du « Protocole de Maputo à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples » (Protocole de Maputo), à Nairobi au Kenya.

Ces travaux ont démarré ce lundi 10 juillet 2023, vont se clôturer ce mardi 11 juillet, à 17 heures et poursuivent comme objectif principal, évaluer les avancées enregistrées dans le protocole de Maputo, depuis sa mise en place, jusqu’à ce jour, dans les pays membres.

A savoir, le « Protocole de Maputo à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples » est un protocole international de l’Union africaine, amenant les États signataires à garantir les droits des femmes, y compris le droit de participer au processus politique, l’égalité sociale et politique avec les hommes, une autonomie améliorée dans leurs décisions en matière de santé et la fin des mutilations génitales féminines.

Il a été conclu et signée le 11 juillet 2003 à l’occasion du 2ème sommet par l’Union africaine, à Maputo, au Mozambique. Tous les États membres de l’Union africaine l’ont signé, sauf le Botswana, le Maroc et l’Égypte. La convention est entrée en vigueur le 25 novembre 2005.

Le protocole de Maputo vise à remettre la femme africaine dans ses droits et se donne comme mission essentielle, éduquer et encadrer la femme, en vue de bien connaître ses droits.

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Sénégal : L’amer mea culpa de Macky Sall

Le président sénégalais Macky Sall a annoncé, dans une sortie médiatique en début de semaine dernière, qu’il ne serait pas candidat à sa propre succession. ‘’… Ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat aux prochaines élections…’’, a-t-il lâché.

‘’A quelque chose, malheur est bon’’, renseigne un adage. En effet, cette abdication survient tandis que l’intéressé s’était investi mentalement et psychologiquement pour briguer un troisième mandat. Un auto-revers salué par la rue sénégalaise, sous la conduite éclairée d’une certaine opposition. Tout, en effet, montre qu’aussi longtemps qu’en situation similaire, des dirigeants brandissant la démocratie comme un paravent, se rétracteront après avoir alimenté quelque charnier, leur repentir ne constitue pas une ligne directrice majeure. D’où, l’amertume.

Une chose est de faire croire à l’opinion que : ‘’… Ma décision longuement et mûrement réfléchie …’’. Cependant, autre chose est de se rendre à l’évidence que c’est au prix du sacrifice suprême que la rue sénégalaise a rejeté sans ménagement, l’option entretenue d’un troisième mandat. Dans les méandres du discours présidentiel, Ousmane Sonko a accordé une interview à France 24, jeudi dernier : ‘’ En réalité, le président Macky Sall a abdiqué non parce qu’il serait démocrate, mais parce qu’il a subi la pression interne et externe…’’, a constaté l’opposant.

Le bilan de la répression à seize morts, selon des sources policières en juin dernier

Les responsables locaux de la sécurité, au cours d’une sortie médiatique, ont salué ce qu’ils ont appelé le professionnalisme de la Police. Cette dernière a présenté un bilan de seize vies fauchées. Comme s’il fallait nécessairement qu’on en arrive-là ! Comme qui dirait : ce n’est pas faramineux comme bilan ! Des milieux avertis ont dénoncé l’usage disproportionné de la force par les forces de répression. Amnesty international (Antenne Sénégal) égale à elle-même, n’a pas eu sa langue en poche. (Lire, à cet effet, L’Avenir du 7 juin dernier).

Quand vient le bon sens, mea culpa

‘’Tala sima zonga moto’’, a chanté en son temps Ferre Gola, un musicien kinois, Pour dire : ‘’Regarde en arrière et reviens à tes sentiments d’homme consciencieux.

En effet, les observateurs ont fait le constat général d’un apaisement, d’un climat de progressive reprise de la confiance en soi. Car il n’a pas été facile de forcer la main à celui qui détient, par-devers lui, la clé décisionnelle des institutions, dont notamment l’administration électorale.

Depuis, l’atmosphère en présence a fait se délier des langues dans tous les sens : les uns saluant un courage démocratique, les autres exprimant leur scepticisme.

‘’Macky Sall sera le premier président sénégalais à organiser des élections sans y participer’’, a lâché Abdou Karim Fofana, ministre du Commerce et porte-parole du gouvernement.

‘’Restons vigilants, attendons dans la clarté l’organisation des élections inclusives’’, mobilisé un membre de la société civile.

‘’Le président Macky Sall pense qu’avant de négocier avec quelqu’un, il faut le soumettre aux décisions de Justice et à la violence policière’’, a renchéri l’opposant Sonko (l’interview sue évoquée).

 

‘’Macky Sall nous a libérés …’’, a tressailli sur RFI Khalifa Sall, opposant et ancien maire de Dakar. Et le chanteur Faada Freddy de mobiliser : ‘’Il est très important que l’Afrique soit forte, que le Sénégal soit fort’’.

Quid de l’Afrique du statu quo

Le socialiste français Jean-Pierre Cot n’avait pas raté sa sortie sur Jeune-Afrique Magazine, quelque deux décennies en arrière, pour expliquer dans une interview les tenants et les aboutissants de l’Afrique du statu quo.

En effet, l’homme fort du Sénégal a beau être la cible de pressions, il est néanmoins des constances qui, érigées en pesanteurs, échapperaient au citoyen lambda. C’est que des milieux partisans de l’Afrique du statu quo ne pouvaient admettre l’abdication qu’une fois rassurés du profil du probable dauphin au président sortant. D’où, leur aval que l’opposition appelle abdication.

‘’A son élection lors du deuxième mandat, Macky Sall avait promis de réduire drastiquement le champ de l’opposition’’, a rappelé, sur ces entrefaites, un observateur.

Payne

 

 

 




3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats Africains Atlantiques: Adoption de la Déclaration de Rabat II 

Les travaux de la 3ème Réunion ministérielle du Processus des Etats Africains Atlantiques (PEAA) ont pris fin, mercredi à Rabat, avec l’adoption de la Déclaration de Rabat II qui souligne l’engagement politique des pays membres du PEAA à mettre en œuvre leur partenariat visant à raffermir les liens de coopération et d’intégration entre les pays africains riverains de l’océan Atlantique pour consolider la paix, la stabilité et la prospérité partagées dans la région.

Selon le texte de cette Déclaration, les ministres ayant pris part à cette 3ème réunion du PEAA ont adopté le Programme d’Action de ce partenariat visant à “articuler sous forme d’objectifs programmatiques la vision d’un partenariat africain atlantique flexible, progressif et solidaire”.

Dans cette déclaration sanctionnant les travaux de la 3ème réunion du PEAA, les ministres ont reconnu l’importance des priorités stratégiques du Programme d’Action pour soutenir l’intégration et le co-développement dans la région.

Ce Programme d’action contient des recommandations d’actions collectives portant sur trois priorités stratégiques. Il s’agit, en effet, du dialogue politique et de sécurité autour de la lutte contre le terrorisme, la criminalité transnationale organisée, la piraterie maritime et la migration clandestine ; l’économie bleue, la connectivité maritime et l’énergie ; et enfin le développement durable et la protection et la conservation de l’environnement marin.

Dans cette Déclaration, les ministres ont salué le caractère participatif et inclusif du processus de consultations sur le Programme d’Action, sous la coordination du Secrétariat Permanent et se sont félicités également de l’engagement des Points Focaux dans ce processus de consultations, y compris lors de leurs réunions tenues à Rabat, les 07 et 08 mars 2023 et le 11 juillet 2023.

De même, ils ont souligné l’importance de l’examen du Programme d’Action selon les besoins et en fonction de l’évolution du contexte de coopération dans la région africaine atlantique ainsi qu’au niveau international, et affirmé, à cet égard, que la Réunion ministérielle est chargée de donner ses orientations pour l’examen du Programme d’Action quand cela s’avère nécessaire.

Les participants à cette réunion ont relevé aussi l’importance d’établir des synergies et des liens de partenariat avec d’autres initiatives et processus de coopération des pays du Sud et du Nord de l’Atlantique, y compris l’initiative des Etats-Unis d’Amérique sur le renforcement de la coopération dans l’Atlantique, de manière à maximaliser les effets bénéfiques de coopération sur la stabilité et la prospérité partagées dans la région.

Les ministres ont en outre invité le Secrétariat Permanent et les Points Focaux à entamer le travail de consultations pour la formulation des Plans d’action des trois Groupes Thématiques, dont les Chefs de file respectifs sont le Nigéria, le Cabo Verde et le Gabon, sur la base du Programme d’Action. Les Plans d’action doivent inscrire des actions concrètes de mise en œuvre de ce partenariat.

Les ministres ont également mis en relief l’importance de la coordination aussi bien au niveau national que régional, et encouragé les pays membres de ce partenariat à établir des mécanismes nationaux de coordination pour faciliter sa mise en œuvre.

La prochaine réunion ministérielle du PEAA est prévue à New York, en septembre 2023, en marge de la 78ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies.

L’initiative de créer une réunion ministérielle du PEAA est la consécration de la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI visant à faire de l’espace africain atlantique une zone de paix, de stabilité et de prospérité partagées. Cette troisième édition fait suite à deux réunions ministérielles tenues respectivement à Rabat et à New York en 2022.

La première réunion ministérielle, tenue à Rabat le 08 juin 2022, a adopté la Déclaration de Rabat I qui a souligné l’engagement politique des pays africains atlantiques à mettre en œuvre leur partenariat visant à raffermir les liens de coopération et d’intégration entre les pays africains riverains de l’océan atlantique, en vue de consolider la paix, la stabilité et la prospérité partagées dans la région.

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