Analyste des affaires internationales de la RPDC sur l’expansion des BRICS

Jong Il Hyon, analyste des affaires internationales de la RPDC, a publié le 25 juin l’article suivant intitulé « L’expansion des BRICS est un résultat inévitable de l’actuel ordre économique international injuste » :

Une réunion des ministres des Affaires étrangères des BRICS a eu lieu au Cap, en Afrique du Sud, il y a quelques jours.

La réunion, à laquelle ont participé des représentants des États membres du BRICS et de divers pays en développement, a discuté de la question de l’expansion du BRICS en tant qu’agenda majeur.

L’Afrique du Sud, le pays hôte de la réunion, a annoncé que 19 pays ont jusqu’ici fait des demandes formelles ou informelles de l’accès à l’organisation.

Le principal facteur poussant de nombreux grands et petits pays à accéder aux BRICS est, en un mot, le fait que l’actuel ordre économique international est injuste et déraisonnable et que son noyau est le système monétaire international existant dirigé par les États-Unis et basé sur le dollar.

Les États-Unis, qui avaient accumulé une énorme richesse avec la Seconde Guerre mondiale, ont établi le système de Bretton Woods avec le dollar comme monnaie standard internationale en juillet 1944. Depuis lors, ils ont commis un pillage mondial afin de tirer profit de la frappe basée sur la position prédominante du dollar et a utilisé le dollar comme un moyen pour réaliser son objectif politique.

Il est bien connu que le système monétaire international basé sur le dollar est devenu, avec les moyens militaires, les deux piliers de la domination américaine sur le monde.

Pendant près d’un siècle, du dollar d’or des années 1940 et du dollar du pétrole des années 1970 au dollar de la dette d’aujourd’hui, les États-Unis ont eu recours à tous les moyens et méthodes pour maintenir la suprématie du dollar en tant que monnaie clé, et ont commis sans hésitation des actes ignobles d’imposer des sanctions financières aux pays qui encourent son mécontentement en abusant de la position prédominante du dollar.

Un exemple typique est celui des sanctions financières imposées à la Russie après la situation ukrainienne.

Les États-Unis ont exclu les principales banques de Russie de la Société pour les télécommunications financières interbancaires mondiales dans le sinistre but de paralyser le commerce extérieur de la Russie et de détériorer son économie, mais ils sont tombés dans le gouffre qu’ils ont creusé pour un autre.

La Russie a considérablement réduit sa dépendance au dollar en introduisant une monnaie nationale au lieu du dollar dans le commerce avec d’autres pays, dont la Chine et l’Inde, et les États membres du BRICS ont stimulé le développement d’une nouvelle monnaie internationale qui remplacera le dollar américain dans le commerce mutuel.

Le président russe Poutine a déclaré que les États-Unis sont pris dans leur propre piège en limitant l’utilisation du dollar en fonction de la situation politique par rapport aux autres pays, ajoutant qu’il est inévitable que le dollar américain et les devises occidentales perdent leur position prédominante dans le commerce international en raison de mauvaises politique des États-Unis et de l’Occident.

Un analyste politique brésilien a commenté que les mesures visant à limiter l’utilisation du dollar sont prises dans les relations commerciales entre la Chine et la Russie, le commerce du pétrole entre la Russie et l’Inde, le commerce du gaz naturel liquéfié entre une compagnie pétrolière chinoise et la société française Total, la centrale nucléaire électrique entre la Russie et le Bangladesh, etc., ajoutant que les mouvements mondiaux en grande pompe pour boycotter le dollar sont une réponse naturelle au pays hégémonique qui s’appuie sur les sanctions, les menaces et le chantage.

La réalité prouve que ce sont les pratiques autoritaires et arbitraires des États-Unis essayant de maintenir leur suprématie mondiale qui ont accéléré les mouvements mondiaux de boycott du dollar, stimulé la mise en place d’un nouveau système monétaire et encouragé de nombreux pays à adhérer aux BRICS.

La hache de fabrication américaine appelée sanctions et pressions coupe le pied américain.

Lors de la récente réunion, les États membres du BRICS ont convenu d’encourager le règlement en monnaie nationale dans les échanges entre les États membres et avec les pays amis et de promouvoir activement l’introduction de la monnaie commune conformément à celle-ci. À cet égard, les experts sont unanimes de dire que les BRICS, qui accroissent régulièrement leur influence politique sur la scène internationale sur la base d’un taux de croissance économique rapide et d’une forte puissance militaire des États membres, deviennent un défi pour l’ordre international existant et la situation financière du système dirigé par les États-Unis et l’Occident.

Les mouvements internationaux sans précédent visant à limiter l’utilisation du dollar et la tendance de nombreux pays à rejoindre les BRICS accélèrent la fin du dollar en tant que monnaie clé et la fin de l’hégémonisme américain qui en découle.

 




Exposition économique et commerciale sino-africaine : convergence des opportunités

Les opérateurs économiques et le monde des affaires issus des pays africains croiseront ceux de la Chine pour parler affaires et opportunités d’industrialisation, de commercialisation et de transformations des ressources naturelles et de partage de valeurs ajoutées. Cela se fera à l’occasion de la troisième Exposition économique et commerciale sino-africaine, qui se tiendra du 29 juin au 02 juillet 2023 dans la ville de Changsha de la province du Hunan.

Cette grande rencontre économique et commerciale arrive dans un contexte économique mondial marqué par un ralentissement de la croissance, à cause de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19, qui a mis à terre l’économie planétaire. L’économie fragile du continent africain a particulièrement subi les effets de la crise sanitaire. La planète s’en remet progressivement, en particulier l’Afrique. Soutenue par la Chine, celle-ci cherche les voies et moyens pour reconstituer un nouveau modèle adapté à son avenir.

Faisant partie des « Huit actions majeures » proposées par le président chinois Xi Jinping, l’Exposition économique et commerciale sino-africaine 2023 se tient dans un contexte où l’Afrique amorce une nouvelle vision conçue par elle et pour son développement. La vision de l’Afrique nouvelle se définit sur la base d’un partenariat divers et diversifié, fondé sur l’équité, l’égalité et le partage mutuel de biens et service et le transfert de technologie.  Le concept « gagnant-gagnant » semble donner satisfaction dans la plupart des cas de la coopération. Sa spécificité : les accords conclus par les parties produisent un résultat immédiat et escompté.

Le Tchad, comme les autres pays d’Afrique, prête une attention soutenue à cette exposition. Le président de la Chambre de Commerce, d’Industrie, d’Agriculture, des Mines et d’Artisanat du Tchad, Ali Adji Mahamat Seid, a souligné dans une interview récente publiée sur CGTN, l’importance de cette rencontre pour les opérateurs économiques tchadiens et africains. Selon lui, « Le commerce avec la Chine prend une proportion importante. La Chine devient un partenaire de premier rang », en notant que l’exposition offre l’opportunité des rencontres directes entre les partenaires africains et chinois.

Le Tchad dispose d’immenses potentialités à transformer ou à exporter. Avec ce capital de potentialité, le pays a toutes les chances de charmer ou d’attirer les investisseurs chinois. Dans un article publié sur CGTN, notre confrère Karim Badolo fait une analyse sur l’exposition, avec des chiffres détaillés. Partant de ces analyses, on remarque que les échanges commerciaux et économiques avancent significativement pour un modèle d’avenir en confiance.

Selon Djabre Dadi, coordonnateur de l’Unité de mise en œuvre du cadre intégré renforcé du ministère tchadien de l’Industrie et du Commerce, le Tchad possède des chaînes de valeur et l’Exposition économique et commerciale sino-africaine constitue une occasion indiquée pour attirer les investisseurs.




RPDC; Les bienfaits accordés aux foyers multi-enfants* 

Depuis l’antiquité en Corée, on disait qu’il était plus difficile d’élever son enfant que de le mettre au monde. Mais, en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, c’est une histoire terminée car les frais destinés à élever les enfants sont, pour la plupart, à la charge de l’État qui;

• encourage la mise au monde de nombreux enfants

• accorde beaucoup de bienfaits sociaux aux familles ayant, chacune, plus de 3 enfants y compris enfant adoptif

• a pris, depuis longtemps, les mesures visant à leur assurer de bonnes conditions de vie, notamment le logement, toujours gratuit depuis les années 1950 mais plus vaste pour le cas (Ces mesures se multiplient au fil des jours.).

 

Lesdites familles se voient délivrer les certificats de Famille Multi-Enfants et font l’objet d’un traitement de faveur. La mère de plusieurs enfants;

• reçoit un bon de traitement concerné (Les membres de sa famille aussi bénéficient du service médical, toujours gratuit depuis les années 1950 mais plus prioritaire pour le cas.)

• reçoit la subvention spéciale définie par l’Etat jusqu’à ce que son dernier enfant termine ses études secondaires du second cycle (l’enseignement du préscolaire au secondaire toujours gratuit et obligatoire depuis les années 1950, NDLR).

• bénéficie de faveurs accordées par l’Etat à son âge de retraite, sans rapport avec la période de sa mise en disponibilité et son ancienneté de travail (La mère de plus de 2 enfants ayant une ancienneté de travail de plus de 15 ans bénéficie, aussi, de ces faveurs, bien qu’elle ne soit pas encore en âge de retraite.).

 

Remarquons également que la mère de nombreux enfants est;

• appelée Mère-Héroïne

• se voit décerner le titre de Héroïne du Travail de la RPDC.

 

Cette année 2023 à l’occasion de la Fête du Soleil (15 avril; jour anniversaire de naissance du Généralissime KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR), les 3 mères de nombreux enfants se sont vues décerner le titre de Héroïne du Travail de la RPDC, parmi lesquelles SONG Un Hui (mère de 9 enfants domiciliée à la Ville Tokchon de la Province Phyongan-Sud) qui déclare: Mes enfants sont élevés par notre Etat et non pas par leurs parents. Je désire répondre, tant soit peu, aux bienfaits de notre Régime-ci.




Conférence-débat à Genève : Nouvelle alerte sur le danger terroriste émanant du Polisario

Lors de la conférence-débat organisée, jeudi 22 juin à l’Université de Genève, par le think tank suisse «Observatoire Géopolitique de Genève» sur le terrorisme au Sahel, une nouvelle alerte a été lancée sur le danger terroriste que représentent les miliciens du Polisario.

Animée par un panel d’experts internationaux du monde universitaire et du renseignement, la conférence-débat organisée, jeudi 22 juin à l”Université de Genève, par le think tank suisse «Observatoire Géopolitique de Genève» était axé sur le terrorisme au Sahel. Une région où les miliciens du Polisario ont été, à maintes reprises, pointées du doigt pour leur implication directe non seulement dans toutes sortes de trafic (armes, drogues et autres), mais aussi et surtout pour leurs activités terroristes.

Une nouvelle alerte a été d’ailleurs lancée à ce sujet lors de cette conférence-débat notamment par Alain Juillet. Cet expert en intelligence économique et ancien directeur du renseignement au sein la DGSE française a prévenu «des nouveaux risques terroristes qui peuvent nous créer de mauvaises surprises.»

Dès l’ouverture des débats, les participants ont ainsi mis en exergue l’implication des mouvements séparatistes et, particulièrement, le front polisario dans les réseaux criminels s’activant dans la région sahélo-saharienne.

Une question a été posée lors de ce symposium sur le cas précis du polisario, dont les membres «frayent autant avec les groupes criminels qui ont la main sur le trafic d’êtres humains et de marchandises volées qu’avec les cellules terroriste liées à Al-Qaida», en réponse l’organisateur de la conférence et le président de l’Observatoire Géostratégique de Genève, Alain Jourdan a répondu : «Le délitement de ce mouvement, financé par l’Algérie, et jadis armé et agité par Kadhafi pour asseoir son influence dans la région, est aujourd’hui un vrai sujet de préoccupation.» Il a ajouté que l’Algérie qui a fait part de sa disponibilité pour aider à lutter contre le terrorisme au Sahel ne peut pas être considérée comme un partenaire de confiance. «Son soutien au Polisario apparait plus que jamais comme une manœuvre de déstabilisation extrêmement dangereuse dans un contexte régional déjà explosif», a-t-il alerté.

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Congo-Climat : les initiatives congolaises pour préserver l’environnement

Lors du sommet pour un nouveau pacte financier mondial dont les travaux ont été clos le 23 juin à Paris (France), Denis Sassou-N’Guesso a participé à une table ronde au cours de laquelle il a relevé les efforts de son pays dans la lutte contre les changements climatiques.   

La République du Congo s’investit dans la protection de l’environnement depuis des décennies. Le président de la République qui a pris la parole au cours de la table ronde sur les partenariats pour une croissance verte, a fixé l’auditoire sur les initiatives congolaises visant à protéger l’environnement.

Des programmes de préservations des écosystèmes  

 

Du programme national d’afforestation et de reboisement (PRONAR) à la décennie d’afforestation lancée lors de la dernière COP et soutenue par l’union Africaine, en passant par la journée nationale de l’arbre célébrée depuis 1982, chaque 6 novembre à la mise en place du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo, le Congo n’est pas avare de projets et programmes visant à contribuer à la préservations des écosystèmes mondiaux.

Pour Denis Sassou-N’Guesso, ces efforts sont « très importants en faveur de l’humanité et pour lutter contre les changements climatiques ». Le président de la Commission climat du bassin du Congo a également réaffirmé  la tenue en octobre de l’année en cours du sommet des trois Bassins forestiers, que Brazzaville va accueillir en octobre prochain. Ce sommet portera en lui une nouvelle alliance écologique, a expliqué le chef de l’Etat congolais.

 

Rémunération des services rendus à l’humanité

 

Le président Denis Sassou-N’Guesso a exprimé l’espoir que le sommet de Paris fera que les pays pauvres obtiennent des pays du Nord, la création d’un marché structuré qui rémunérerait au juste prix les services rendus à l’humanité par les trois Bassins mondiaux. Ces trois bassins « représentent le futur moteur de notre croissance », a affirmé Denis Sassou-N’Guesso, avant de lancer un appel à la mobilisation des fonds : « nous appelons, donc, les partenaires techniques et financiers  et le secteur privé à soutenir les efforts d’atténuation  et d’adaptation aux changements climatiques des pays à faible revenu ». Le président Denis Sassou-N’Guesso a déclaré que « le coût de l’inaction excède de loin les montants nécessaires pour prévenir les catastrophes climatiques et à terme la destruction de notre planète ».

Après avoir demandé aux pays pollueurs de faire un effort particulier en direction du fonds bleu pour le bassin du Congo qui va permettre aux Etats membres de continuer à préserver ce patrimoine mondial, tout en assurant leur développement.

Le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’Guesso dont le pays entretient d’excellentes relations d’amitié et de coopération avec la France a prononcé un toast lors du dîner offert par Emmanuel Macron à ses hôtes. Il a ainsi magnifié la coopération entre le Congo et la France.

 

Par Roch Bouka/Correspondant du journal l’Avenir au Congo Brazzaville

 




La RPDC dans la Journée de la Lutte Anti-US du 25-Juin

C’était le 25 juin 1950, vers 04h de la journée dominicale et tranquille où il pleuvait légèrement, que les USA érigés en chef de file de l’impérialisme mondial après la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale et jamais sortis vaincus de leurs plus de 110 guerres d’extermination et de conquête contre d’autres Pays avec leur «mission de diriger le monde», en mobilisant les troupes armées fantoches de RHEE Syngman (1875-1965; le № 1 de la Corée du Sud, NDLR), ont provoqué une guerre contre la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC fière de sa Civilisation de 5.000 ans; actuelle superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) qui;

• n’avait que 5 ans depuis qu’elle était libérée de l’occupation militaire japonaise 1905-1945

• s’animait pour créer une vie nouvelle, NDLR)

 

dans leur but d’étouffer la RPDC, d’envahir toute la Péninsule coréenne et de conquérir l’hégémonie mondiale en allant à l’encontre de l’aspiration de tous les Coréens et d’autres Peuples du monde épris de la paix. Donc, le Peuple de la RPDC et son armée, Armée Populaire de Corée, âgée d’à peine de 2 ans ont été obligés à mener une lutte sanglante de 3 ans (1.129j) pour repousser leurs agresseurs et sauvegarder la dignité et la souveraineté de leur Patrie. Voici les rassemblements (25/06/2023) de masse de tout le Pays consacrés à la Journée de la Lutte Anti-US du 25-Juin et suivis des défilés.

 *1. Dans la Capitale Pyongyang* 

Ont eu lieu, dans plusieurs sites de la Ville avec la participation de plus de 120.000 personnes, les cérémonies dans lesquelles ont pris part;

• RI Il Hwan et PAK Thae Song, Secrétaires du Comité Central (CC) du Parti du Travail de Corée (PTC; parti au pouvoir depuis 1945, NDLR)

• KIM Su Kil, Secrétaire-en-chef du Comité de la Ville Pyongyang du PTC

• JON Sung Guk, Vice-1er Ministre du Gouvernement

• RI Tu Song, Chef de département du CC du PTC

• les permanents des organisations de travailleurs

• les cadres des organismes, des usines et entreprises

• les travailleurs, les jeunes et étudiants de la Ville.

 

Les orateurs ont déclaré notamment;

• Le 25-Juin reste gravé dans le cœur de notre Peuple comme plaie de rancune jamais inguérissable.

• La Guerre d’agression déclenchée par les impérialistes US avait causé d’immensurables souffrances et malheurs à la Nation coréenne.

• Le dimanche d’il y a plus de 70 ans nous donne une réponse nette à la question de l’histoire: Pourquoi nous devons gagner en force?

• Les vengeurs sur cette terre, animés d’une ferme volonté de s’opposer à l’ennemi, châtieront, sans merci, les impérialistes US, ennemi juré du Peuple coréen, par une guerre impitoyable de vengeance.

 *2. Dans toutes les Provinces* 

Dans les cérémonies, ont pris part;

• les cadres des organismes du PTC, des organes du Pouvoir populaire et des organismes économiques

• les permanents des organisations de travailleurs

• les travailleurs, les jeunes et étudiants.

 

Les représentants de diverses couches ont fait leurs discours pour déclarer notamment;

• Nous nous rappelons, clairement, le souvenir de l’âpre Guerre de 3 ans où toutes les régions de notre RPDC, en effervescence d’une nouvelle vie, étaient réduites en cendres par les atrocités des impérialistes US; et, là où ceux-ci posaient leurs pieds, ils avaient fait couler le sang des gens innocents.

• Si les USA et leurs forces marionnettes osent déclencher une nouvelle guerre, sans se souvenir de leur défaite cuisante et de leur leçon des années 1950, nous nous engagerons dans une lutte sacrée contre les USA et la clique fantoche de la Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’une année, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) en vue de les exterminer et de réaliser l’oeuvre de la réunification (le 1er Etat unifié est le Royaume Coryo 918-1392, NDLR) de la Patrie, aspiration de toute la Nation coréenne.




Ces milliards juste sous nos yeux qui pourraient servir à combattre le changement climatique

Où trouver l’argent pour la lutte contre le changement climatique ? Beaucoup s’en inquiètent, et à raison alors que la facture s’alourdit toujours plus.

 

En signant l’accord de Paris, les pays les plus riches du monde ont réaffirmé leur engagement à mobiliser au moins 100 milliards de dollars chaque année afin d’aider les pays en développement à s’adapter au changement climatique, à investir dans les énergies renouvelables et à s’orienter vers la sobriété carbone. Mais des promesses à la réalité, le chemin est long.

 

Il existe pourtant un moyen évident de mobiliser des financements massifs pour le climat. Il est là, juste sous nos yeux : chaque année le monde dépense des sommes énormes pour des subventions à l’agriculture, à la pêche et aux combustibles fossiles qui sont souvent inefficaces et nuisibles à l’environnement.

 

Les sommes en jeu sont véritablement colossales, selon un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé Detox Development: Repurposing Environmentally Harmful Subsidies, qui révèle l’ampleur de ces subventions à l’échelle mondiale et tout l’intérêt de les affecter à d’autres utilisations.

 

Les pays dépensent environ six fois l’enveloppe annuelle promise aux termes de l’accord de Paris pour subventionner la consommation de combustibles fossiles qui aggravent le changement climatique et engendrent pollution, inégalité, inefficacité et creusement des dettes. La réaffectation de ces subventions dégagerait au moins 500 milliards de dollars par an au profit d’utilisations plus productives et plus durables.

 

Les combustibles fossiles ne sont pas les seuls bénéficiaires de cet excès mondial de subventions. Si l’on y ajoute les dépenses publiques directement affectées à l’agriculture et à la pêche, on atteint un montant de 1 250 milliards de dollars par an, soit l’équivalent d’une économie de poids comme celle du Mexique.

 

Et ce n’est pas tout… Car les dépenses directes ne rendent pas compte à elles seules du coût réel de ces pratiques préjudiciables. Il faut également y inclure les subventions « implicites », c’est-à-dire les effets néfastes que subissent la population et la planète — pollution, émissions de gaz à effet de serre, congestion routière, destruction du milieu naturel… — et dont le coût n’est pas assumé par ceux qui les causent, ce qui revient de fait à subventionner les pollueurs. En tenant compte des subventions explicites et implicites, ce sont plus de 7 000 milliards de dollars qui sont dépensés chaque année en faveur de politiques dont les effets involontaires et pernicieux sapent nos efforts dans la lutte contre le changement climatique. Pour donner un ordre de grandeur, c’est l’équivalent d’environ 8 % du PIB mondial.

 

L’enjeu ne se réduit pas à l’aspect financier : mettre fin à ces subventions colossales, c’est aussi agir pour la planète et ses habitants. C’est littéralement sauver des vies. La combustion de pétrole, de gaz et de charbon est à l’origine de 7 millions de décès prématurés par an dans le monde (a), dus à la mauvaise qualité de l’air respiré — fait frappant, ce chiffre est très proche de celui des victimes de la COVID-19 (6,9 millions de morts selon l’OMS). Comme souvent, ce sont les pauvres qui paient le tribut le plus lourd.

 

Dans le secteur de l’agriculture, les subventions se chiffrent à 635 milliards de dollars par an, entraînant l’emploi excessif d’engrais qui détériorent la qualité des sols et de l’eau, au détriment de la santé humaine. Les subventions accordées à des produits tels que le soja, l’huile de palme ou le bœuf, qui incitent les exploitants à restreindre les surfaces occupées par les forêts, sont la cause de 14 % de la déforestation annuelle. Bien que les subventions agricoles visent en théorie à accroître la productivité et à soutenir les moyens de subsistance des populations rurales, elles ont généralement l’effet inverse dans la pratique. Parce que les subventions ont pour effet de fausser les choix de production et de recours aux intrants des agriculteurs, elles contribuent à réduire l’efficacité — en d’autres termes, elles conduisent à une utilisation accrue d’intrants pour une moindre production de nourriture. Et parce qu’elles sont en général liées aux volumes de production, elles profitent principalement aux agriculteurs les plus riches.

 

Les subventions destinées à la pêche, qui dépassent 35 milliards de dollars par an, sont quant à elles l’un des principaux facteurs du déclin des ressources halieutiques, du surdimensionnement des flottes et de la chute de la rentabilité dans ce secteur. Sachant que plus d’un milliard de pauvres tirent du poisson l’essentiel de leurs apports en protéines animales (a), il faut absolument en reconstituer des stocks corrects. À cet égard, je salue l’adoption, en juin 2022, de l’accord de l’OMC interdisant les subventions à la pêche pour certaines activités nuisibles et non durables. Entériné par plusieurs grandes puissances, cet accord marque un grand pas en avant, même s’il reste encore beaucoup à faire pour venir à bout du problème.

 

Quelles sont les clés pour réussir une réforme des subventions ? Le plus important est de faire en sorte de ne pas pénaliser les pauvres. Les aides monétaires et en nature, comme les bons alimentaires ou l’accès à des services gratuits, peuvent aider à amortir le choc subi par les groupes les plus vulnérables.

 

Ensuite, il faut réformer de manière progressive et démanteler les subventions graduellement, pour éviter des chocs sur les prix trop importants, et laisser aux ménages et aux entreprises le temps de s’adapter. Autre point essentiel : les pouvoirs publics doivent montrer que les recettes dégagées sont réinvesties en faveur de domaines prioritaires pour le développement, comme la santé et l’éducation.

 

Ils doivent aussi assurer une communication transparente pour gagner l’adhésion de la population. Cela est particulièrement nécessaire lorsqu’il existe un risque élevé que des groupes d’intérêt puissants tentent de faire échouer les réformes — ce qui est en réalité presque toujours le cas.

 

Avec une bonne compréhension des obstacles à surmonter, une attention aux enjeux d’économie politique et un plan bien pensé, il est possible de rediriger des subventions toxiques vers des ressources qui garantiront une vie meilleure sur une planète plus vivable. Le moment est venu de « désintoxiquer » le développement.

 

Une économie mondiale fragilisée dans un contexte de taux d’intérêt élevés

La croissance mondiale devrait ralentir à 2,1 % en 2023, les risques financiers assombrissant les perspectives.

Selon les dernières Perspectives économiques mondiales publiées par la Banque mondiale, la croissance a nettement ralenti et le risque de tensions financières dans les économies de marché émergentes et en développement s’intensifie dans un contexte de taux d’intérêt élevés.

La croissance mondiale devrait marquer le pas en 2023, pour tomber à 2,1 %, contre 3,1 % en 2022. En excluant la Chine, les économies émergentes et en développement devraient voir leur croissance ralentir à 2,9 % cette année, contre 4,1 % l’année dernière. Ces anticipations font état d’une révision à la baisse généralisée.

« Le moyen le plus sûr de faire reculer la pauvreté et de favoriser la prospérité est l’emploi, et le ralentissement de la croissance rend la création d’emplois beaucoup plus difficile, souligne le président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga. Il est important de garder à l’esprit que les prévisions de croissance ne sont pas une fatalité. Nous avons la possibilité d’inverser la tendance, à condition d’y œuvrer tous ensemble. »

Jusqu’à présent, la plupart des économies émergentes et en développement n’ont été que peu affectées par les turbulences bancaires récentes dans les économies avancées, mais elles évoluent désormais dans des eaux dangereuses. Avec le durcissement croissant des conditions de crédit au niveau mondial, 25 % d’entre elles ne peuvent plus accéder aux marchés obligataires internationaux. La situation est particulièrement critique pour celles qui présentent des vulnérabilités sous-jacentes telles qu’une faible solvabilité. Les projections de croissance pour 2023 sont inférieures de moitié à celles d’il y a un an, ce qui rend ces économies très vulnérables à de nouveaux chocs.

« L’économie mondiale est dans une position précaire, indique Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale. En dehors de l’Asie de l’Est et de l’Asie du Sud, elle est loin du dynamisme nécessaire pour éliminer la pauvreté, lutter contre le changement climatique et reconstituer le capital humain. En 2023, le commerce progressera à moins d’un tiers du rythme observé dans les années précédant la pandémie. Dans les marchés émergents et en développement, la pression de la dette s’accroît sous l’effet de la hausse des taux d’intérêt. La faiblesse des finances publiques a déjà fait basculer de nombreux pays à faible revenu dans une situation de surendettement. Dans le même temps, les financements nécessaires pour atteindre les objectifs de développement durable dépassent largement les projections les plus optimistes en matière d’investissement privé. »

Selon les dernières prévisions, les chocs simultanés causés par la pandémie, l’invasion de l’Ukraine par la Russie et le ralentissement économique brutal dans un contexte de resserrement des conditions financières mondiales constituent un sérieux revers pour le développement, qui persistera dans un avenir prévisible. D’ici à la fin de 2024, l’activité économique dans les pays émergents et en développement devrait en effet être inférieure d’environ 5 % aux projections établies à la veille de la pandémie. Dans les pays à faible revenu, en particulier les plus pauvres, les dégâts sont considérables : dans plus d’un tiers de ces pays, le revenu par habitant à l’horizon 2024 sera encore inférieur aux niveaux de 2019. La faiblesse de la croissance des revenus aggravera l’extrême pauvreté dans nombre d’entre eux.

« De nombreuses économies en développement sont déjà aux prises avec une croissance faible, à la persistance d’une inflation élevée et à des niveaux d’endettement record. Or de nouveaux risques pourraient encore aggraver leur situation, dont notamment l’éventualité et les répercussions plus étendues d’un regain de tensions financières dans les économies avancées, explique Ayhan Kose, économiste en chef adjoint au Groupe de la Banque mondiale. Les responsables politiques de ces économies doivent agir rapidement pour prévenir la contagion financière et réduire les vulnérabilités intérieures à court terme. »

Toujours selon le rapport, dans les économies avancées, la croissance devrait chuter de 2,6 % en 2022 à 0,7 % cette année, et rester faible en 2024. Après une croissance de 1,1 % en 2023, l’économie des États-Unis devrait ralentir à 0,8 % en 2024, principalement sous l’effet de l’impact persistant de la forte hausse des taux d’intérêt enregistrée ces dix-huit derniers mois. Dans la zone euro, la croissance devrait tomber de 3,5 % en 2022 à 0,4 % en 2023, en raison de l’effet différé du durcissement de la politique monétaire et de l’augmentation des prix de l’énergie.

Le rapport analyse en outre les conséquences de l’augmentation des taux d’intérêt américains sur les économies émergentes et en développement. La hausse des rendements des bons du Trésor à deux ans depuis un an et demi s’explique en grande partie par le fait que les investisseurs s’attendent à ce que les États-Unis durcissent leur politique monétaire pour juguler l’inflation. Ce qui se traduit par des effets financiers particulièrement néfastes dans les économies émergentes et en développement, avec notamment une probabilité plus élevée de crise financière. En outre, ces effets sont plus prononcés dans les pays plus vulnérables sur le plan économique. En particulier, sur les marchés naissants (caractérisés par des marchés financiers moins développés et un accès plus limité aux capitaux internationaux), les coûts d’emprunt ont tendance à s’accroître de manière disproportionnée. Les écarts de risque sur les obligations d’État peuvent ainsi y augmenter plus de trois fois plus que dans les autres économies émergentes et en développement.

Par ailleurs, le rapport fournit une évaluation complète des enjeux de politique budgétaire auxquels sont confrontées les économies à faible revenu. Ces pays sont en grande difficulté. La hausse des taux d’intérêt a aggravé la détérioration de leur situation budgétaire au cours de la dernière décennie. La dette publique y représente aujourd’hui en moyenne 70 % du produit intérieur brut (PIB). Les paiements d’intérêts absorbent une part croissante de recettes publiques déjà limitées. Quatorze pays à faible revenu sont déjà surendettés ou fortement menacés de l’être. Les pressions sur les dépenses s’accentuent dans ces économies. Les chocs négatifs comme les évènements climatiques extrêmes et les conflits sont plus susceptibles de faire basculer les ménages dans la précarité dans les pays à faible revenu que partout ailleurs, en raison de l’insuffisance des filets de protection sociale. En moyenne, ces pays ne consacrent que 3 % de leur PIB à leurs populations les plus vulnérables, ce qui est bien inférieur à la moyenne de 26 % pour l’ensemble des économies en développement.




Au lieu d’être dilapidés en subventions, des milliers de milliards de dollars pourraient servir à lutter contre le changement climatique

Selon un rapport de la Banque mondiale, les États gaspillent en subventions pour l’agriculture, la pêche et les combustibles fossiles des milliers de milliards de dollars qui pourraient servir à lutter contre le changement climatique, au lieu de nuire aux populations et à la planète.

Intitulé en anglais Detox Development: Repurposing Environmentally Harmful Subsidies, ce document indique que les dépenses publiques directement affectées à ces trois secteurs atteignent tous pays confondus 1 250 milliards de dollars par an, soit l’équivalent d’une économie de poids comme celle du Mexique. Pour subventionner la consommation de combustibles fossiles, les pays dépensent environ six fois l’enveloppe annuelle qu’ils se sont engagés, aux termes de l’accord de Paris, à consacrer aux énergies renouvelables et au développement bas carbone.

« On dit qu’il n’y a pas d’argent pour le climat. En réalité, il y en a, mais pas là où il faut, affirme Axel van Trotsenburg, directeur général senior de la Banque mondiale. Si nous pouvions rediriger les milliers de milliards de dollars gaspillés en subventions inadéquates vers des utilisations plus écologiques et plus appropriées, nous pourrions ensemble relever nombre des défis les plus urgents pour la planète. »

Comme le souligne le rapport, les aides publiques destinées à réduire artificiellement le prix des combustibles polluants comme l’essence, le gaz et le charbon se sont montées à 577 milliards de dollars en 2021. Or elles aggravent le changement climatique et ont des effets néfastes sur l’air et la santé, en plus d’engendrer inégalité, inefficacité et creusement des dettes. La réaffectation de ces subventions dégagerait au moins 500 milliards de dollars au profit d’utilisations plus productives et plus durables.

Mais le problème ne se limite pas aux dépenses publiques directes. En effet, le rapport évalue à 6 000 milliards de dollars par an les préjudices causés par les subventions « implicites ». Ce montant correspond au coût indirect infligé à la population et à la planète par la pollution, les émissions de gaz à effet de serre, la congestion routière et la destruction du milieu naturel qu’entraînent les subventions.

Dans le secteur de l’agriculture, les aides directes, soit plus de 635 milliards de dollars par an, mènent à l’emploi excessif d’engrais qui détériorent la qualité des sols et de l’eau, au détriment de la santé humaine. Les subventions accordées à des produits tels que le soja, l’huile de palme ou le bœuf, qui incitent les exploitants à restreindre les surfaces occupées par les forêts, sont la cause de 14 % de la déforestation annuelle.

Les subventions destinées à la pêche, qui dépassent 35 milliards de dollars par an, sont l’un des principaux facteurs du déclin des ressources halieutiques, du surdimensionnement des flottes et de la chute de la rentabilité dans ce secteur. Sachant que plus d’un milliard de pauvres tirent du poisson l’essentiel de leurs apports en protéines animales, il faut absolument en reconstituer des stocks corrects.

La combustion de pétrole, de gaz et de charbon est à l’origine de 7 millions de décès prématurés par an dans le monde, dus à la mauvaise qualité de l’air respiré. Ces impacts néfastes affectent principalement les pauvres.

Pour Richard Damania, économiste en chef du pôle Développement durable à la Banque mondiale, « la réaffectation de subventions, anticipée et planifiée, peut procurer un surcroît de ressources pour améliorer la qualité de vie des populations et l’avenir de la planète. On en sait déjà beaucoup sur les bonnes pratiques en matière de réformes des subventions mais leur mise en œuvre n’est pas une mince affaire, en raison d’intérêts tenaces et de dynamiques politiques difficiles à surmonter, entre autres obstacles. »

Pour réussir une réforme des subventions, les États doivent compenser celles-ci auprès des groupes les plus vulnérables, moyennant des mesures d’aide sociale, par exemple des transferts monétaires. Il leur faut en outre : assurer une communication transparente pour gagner l’adhésion du public ; laisser aux ménages et aux entreprises le temps de s’adapter ; montrer que les recettes dégagées sont réinvesties en faveur d’un développement à l

ong terme.




Que représente la Chine pour l’Europe ?

« Choisir la Chine, c’est choisir un bel avenir », le Premier ministre chinois Li Qiang a fait cette remarque dans son discours prononcé lors du dîner d’affaires sino-français à Paris au premier jour de sa visite en France le 21 juin. Avec à son côté, Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie, des Finances et de l’Industrie et de la Souveraineté numérique, et plus de 100 représentants des milieux d’affaires des deux pays qui ont participé à l’événement.

Que représente la Chine pour l’Europe et pour la France tant sur le plan commercial que sur le plan de l’investissement? À l’époque où le monde est gagné par des incertitudes, la Chine pourrait fournir une opportunité sérieuse, compte tenu de son développement de l’énergie propre, la reprise de consommation à l’ère post-COVID et son besoin de relancer l’infrastructure.

Boosteur de l’innovation dans l’énergie propre

Énergie propre, un atout chinois qui profitera aux marchés français et européen. C’est le cas de l’entreprise chinoise XTC New Energy Materials et de l’entreprise française Orano qui prévoient d’investir 1,5 milliard d’euros (environ 11,4 milliards de yuans) pour créer deux joint-ventures dans le domaine des batteries dans la ville portuaire de Dunkerque dans le nord de la France. Le projet ambitieux devrait créer 1 700 emplois. Cette coopération vise le marché européen en plein essor du recyclage et du traitement des batteries au lithium. Orano, leader mondial dans le recyclage des combustibles usés provenant des réacteurs nucléaires, mise aujourd’hui sur le futur marché de l’énergie propre. La coopération avec XTC New Energy Materials représente bel et bien une occasion d’ajouter à son portfolio le recyclage des batteries. Le président français Emmanuel Macron a notamment souligné que cette coopération avec la Chine permettrait à la France de se positionner en amont dans la chaîne de valeur de production des batteries au lithium.

Un marché d’opportunités

La marque française reconnue Club Med profite également de la reprise de l’économie chinoise cette année avec ses 9 resorts en Chine. Durant les vacances du 1er mai 2023, le chiffre d’affaires total des Club Med en Chine est environ 8 fois supérieur à celui des vacances du 1er mai 2022, et plus que le double de la même période en 2019. Selon Qian Jiannong, ancien président du Fosun Tourisme Groupe, qui était au pilotage de l’achat du Club Med par Fosun Tourisme Group : « La Chine et la France ont un vaste espace de coopération dans le domaine de l’économie et du commerce. La France a une industrie manufacturière très développée, l’industrie du luxe, l’agriculture et l’industrie du vin. Les entreprises françaises sont entrées sur le marché chinois relativement tôt après la réforme et l’ouverture de la Chine, et ont accumulé une riche expérience et la popularité des marques françaises en Chine. À l’instar du Club Med, entré en Chine en 2010, le marché chinois est devenu aujourd’hui le premier marché de la marque hors de France. »

Voici deux exemples concrets qui montrent les possibilités qu’offre le marché chinois à la France. Il faut se rappeler que depuis la visite du président français Emmanuel Macron en Chine en avril, les relations bilatérales sont restées actives. On se rappelle que lors de la 5e réunion du Conseil des entrepreneurs sino-français en avril, 36 entreprises des deux parties avaient signé 18 accords de coopération dans des domaines tels que la fabrication, l’industrie verte, la nouvelle énergie et l’innovation. Selon le ministère du Commerce, les investissements français en Chine ont été multipliés par plus de 4 en glissement annuel de janvier à mai de cette année.

Pour la Chine, la relation sino-française a toujours été l’exemple de la coopération sino-européenne et cette visite du Premier ministre chinois en France débouchera sur un consensus fructueux entre la Chine et la France et stimulera l’économie mondiale.

Zhang Shanhui

Présentatrice et journaliste, CGTN Français

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La RPDC dans la Journée Olympique

La Course Ludique – 2023 consacrée à la Journée Olympique (ou Olympic Day officialisée en 1948 par le Mouvement Olympique pour célébrer les valeurs de l’olympisme et la capacité du sport à bouger, NDLR) a eu lieu, ce 23 juin, dans le Village Sportif de la Cité Chongchun (ou jeunesse; construite en 1989 à l’occasion du 13ème Festival Mondial de la Jeunesse et des Etudiants qui a accueilli plus de 20.000 personnes des 180 Pays dont quelques Chefs d’Etat comme hôtes d’honneurs, NDLR) sis dans l’Arrondissement Mankyong-dae à Pyongyang, Capitale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC. A la cérémonie, ont pris part;

les membres du Comité Olympique (CO) de la RPDC

les sportifs, les jeunes et les étudiants de la Ville Pyongyang.

KIM Il Guk, Président du CO de la RPDC et Ministre des Sports, a fait son allocution pour;

espérer que la cérémonie serait une occasion significative insufflant, de nouveau à tous les sportifs du Pays, la fierté dêtre responsables directs du développement du sport du Pays

déclarer le commencement de la Course Ludique.

Puis, on a assisté à ladite Course à lissue de laquelle sont remis les certificats de participation aux coureur (se) s.