S.M. le Roi inaugure la Cité des Métiers et des Compétences de Rabat-Salé-Kénitra

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a procédé, mardi à la ville de Tamesna, à l’inauguration de la Cité des Métiers et des Compétences (CMC) de la région de Rabat-Salé-Kénitra, un établissement de formation professionnelle de nouvelle génération au service de l’excellence et de l’innovation.

Faisant partie d’un programme global qui prévoit la réalisation de 12 CMC au niveau des différentes régions du Royaume pour un investissement prévisionnel global de 4,4 milliards de dirhams, la CMC de Rabat-Salé-Kénitra traduit l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain au secteur de la formation professionnelle, en tant que levier stratégique de compétitivité économique et voie prometteuse pour l’insertion professionnelle de la jeunesse.

Elle a été réalisée par l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) en exécution des Hautes Orientations Royales, et conformément à la nouvelle feuille de route relative au développement de la formation professionnelle qui établit de nouveaux critères matériels, pédagogiques et de gouvernance, garantissant une formation de qualité et une certaine convergence entre les formations dispensées et les besoins réels du marché du travail.

Pour qu’elle puisse remplir pleinement sa mission, la Cité des Métiers et des Compétences de Rabat-Salé-Kénitra est dotée d’espaces pédagogiques et de vie, garantissant à la fois le développement des compétences techniques et transversales, ainsi que l’épanouissement des stagiaires.

En fait, la CMC abrite 6 pôles sectoriels dédiés à l’acquisition des compétences métiers, avec 6 plateformes d’application intégrées pour une formation immersive axée sur le “learning by doing”, en permettant des mises en situation complexes, proche de la réalité de l’entreprise, tout au long du processus d’apprentissage.

Il en est ainsi du pôle “Industrie” conçu en usine pédagogique qui offre l’avantage de permettre la cohabitation d’une dizaine de spécialités différentes relevant des métiers QHSE, des Génies Industriel, Électrique et Mécanique, ainsi que des métiers de l’Automobile.

Ce pôle est également doté d’une mini-chaîne de fabrication de bornes de recharge pour les véhicules électriques, une plateforme d’application à taille réelle dont la gestion de la production et de la maintenance est assurée par des équipes pluridisciplinaires de stagiaires relevant des différentes spécialités du pôle.

La Cité des Métiers et des Compétences abrite aussi un pôle “Tourisme & Hôtellerie”, doté d’un hôtel et restaurant pédagogiques pour une préparation adaptée aux conditions réelles d’exercice du métier, un pôle “Agriculture” avec une ferme pédagogique, un pôle “Gestion & Commerce” comprenant une entreprise virtuelle de simulation, un pôle “Services à la Personne et à la Communauté” avec une crèche et un appartement pédagogiques, ainsi qu’un pôle “Digital et Intelligence Artificielle”.

La CMC comporte aussi des structures communes, notamment un Centre de langues et Soft Skills, un Centre d’Orientation Professionnelle, une Chaine d’innovation (Coworking, FabLab, Digital Factory et Incubateur), un studio des MOOCs permettant de soutenir l’inclusion du Digital Learning via la production de contenus numériques pour la formation, une Médiathèque et un Centre de Conférences.

Pour ce qui est des espaces de vie, la nouvelle Cité dispose d’une Maison de Stagiaires d’une capacité de 700 lits et couverts, d’une cafétéria, d’un foyer, de plusieurs espaces de rencontres et terrains de sport (football, volleyball, handball et basketball).

Édifiée sur un terrain de 10 Ha, la CMC de Rabat-Salé-Kénitra vient enrichir et renforcer davantage le dispositif de formation de l’OFPPT dans la région grâce à une capacité d’accueil annuelle de 3.560 places pédagogiques, qui sera portée à 4.560 dès l’année prochaine grâce aux deux antennes rattachées à la Cité, à savoir l’Institut de Formation dans les Métiers de la Santé de Rabat (en cours de réalisation et offrant 560 places pédagogiques/an) et l’Institut de Formation dans les Métiers de l’Agro-Industrie de Kénitra (Projet réalisé avec une capacité de 440 stagiaires/an).

L’offre de formation dispensée par la Cité des Métiers et des Compétences de Rabat-Salé-Kénitra concerne ainsi 8 secteurs métiers, dont 4 nouveaux, choisis en tenant compte des spécificités du tissu économique régional. Elle se déclinera en 105 filières de formation, dont 80 filières nouvellement créées et 25 filières restructurées et actualisées. Il s’agit d’une offre diversifiée, tournée vers les nouveaux métiers. Les principales familles de métiers retenues concernent les secteurs du Digital et Intelligence Artificielle (22 filières), de la Santé (15 filières), de l’Agriculture (14 filières), du Tourisme & Hôtellerie (13 filières), de Gestion & Commerce (13 filières), de l’Industrie (11 filières), de l’Agroalimentaire (11 filières) et des services à la personne et à la Communauté (6 filières).

En plus des formations diplômantes ouvertes sur les niveaux Technicien spécialisé, Technicien et Qualification, la carte de formation de la CMC de Rabat-Salé-Kénitra offrira également des formations qualifiantes, de courtes durées, qui permettront l’acquisition ou l’approfondissement de compétences spécifiques et l’obtention d’un certificat de formation.

Les stagiaires de la CMC bénéficieront également d’un système de passerelles favorisant de meilleures perspectives d’évolution et d’insertion des jeunes.

Fruit d’un partenariat entre l’OFPPT, le Fonds Hassan II pour le développement économique et social et le Conseil Régional de Rabat-Salé-Kénitra, ce projet a nécessité un investissement estimé à 380 MDH. Ce budget ne couvre pas le coût des deux Instituts spécialisés dans les métiers de la Santé et de l’Agro-Industrie rattachés à la nouvelle Cité.

La CMC de Rabat-Salé-Kénitra est la 4ème Cité des Métiers et des Compétences à ouvrir ses portes pour accueillir les jeunes en formation, après celles de Souss-Massa, l’Oriental et de Laâyoune-Sakia-El Hamra qui ont démarré la formation entre octobre et novembre 2022.




Tamesna: Le Roi inaugure la Cité des Métiers et des Compétences de la région RSK

Le Roi Mohammed VI a procédé, ce mardi dans la ville de Tamesna, à l’inauguration de la Cité des Métiers et des Compétences (CMC) de la région Rabat-Salé-Kenitra (RSK), considérée comme un établissement de formation professionnelle de nouvelle génération au service de l’excellence et de l’innovation.

Faisant partie d’un programme global qui prévoit la réalisation de 12 CMC au niveau des différentes régions du Royaume pour un investissement prévisionnel global de 4,4 milliards de dirhams, la CMC de Rabat-Salé-Kénitra traduit l’intérêt particulier qu’accorde le Souverain au secteur de la formation professionnelle, en tant que levier stratégique de compétitivité économique et voie prometteuse pour l’insertion professionnelle de la jeunesse.

Elle a été réalisée par l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) en exécution des Hautes Orientations Royales, et conformément à la nouvelle feuille de route relative au développement de la formation professionnelle qui établit de nouveaux critères matériels, pédagogiques et de gouvernance, garantissant une formation de qualité et une certaine convergence entre les formations dispensées et les besoins réels du marché du travail.

Pour qu’elle puisse remplir pleinement sa mission, la Cité des Métiers et des Compétences de Rabat-Salé-Kénitra est dotée d’espaces pédagogiques et de vie, garantissant à la fois le développement des compétences techniques et transversales, ainsi que l’épanouissement des stagiaires.

En fait, la CMC abrite 6 pôles sectoriels dédiés à l’acquisition des compétences métiers, avec 6 plateformes d’application intégrées pour une formation immersive axée sur le « learning by doing », en permettant des mises en situation complexes, proche de la réalité de l’entreprise, tout au long du processus d’apprentissage.

Il en est ainsi du pôle « Industrie » conçu en usine pédagogique qui offre l’avantage de permettre la cohabitation d’une dizaine de spécialités différentes relevant des métiers QHSE, des Génies Industriel, Électrique et Mécanique, ainsi que des métiers de l’Automobile.

Ce pôle est également doté d’une mini-chaîne de fabrication de bornes de recharge pour les véhicules électriques, une plateforme d’application à taille réelle dont la gestion de la production et de la maintenance est assurée par des équipes pluridisciplinaires de stagiaires relevant des différentes spécialités du pôle.

La Cité des Métiers et des Compétences abrite aussi un pôle « Tourisme & Hôtellerie », doté d’un hôtel et restaurant pédagogiques pour une préparation adaptée aux conditions réelles d’exercice du métier, un pôle « Agriculture » avec une ferme pédagogique, un pôle « Gestion & Commerce » comprenant une entreprise virtuelle de simulation, un pôle « Services à la Personne et à la Communauté » avec une crèche et un appartement pédagogiques, ainsi qu’un pôle « Digital et Intelligence Artificielle ».

La CMC comporte aussi des structures communes, notamment un Centre de langues et Soft Skills, un Centre d’Orientation Professionnelle, une Chaine d’innovation (Coworking, FabLab, Digital Factory et Incubateur), un studio des MOOCs permettant de soutenir l’inclusion du Digital Learning via la production de contenus numériques pour la formation, une Médiathèque et un Centre de Conférences.

Pour ce qui est des espaces de vie, la nouvelle Cité dispose d’une Maison de Stagiaires d’une capacité de 700 lits et couverts, d’une cafétéria, d’un foyer, de plusieurs espaces de rencontres et terrains de sport (football, volleyball, handball et basketball).

Édifiée sur un terrain de 10 Ha, la CMC de Rabat-Salé-Kénitra vient enrichir et renforcer davantage le dispositif de formation de l’OFPPT dans la région grâce à une capacité d’accueil annuelle de 3.560 places pédagogiques, qui sera portée à 4.560 dès l’année prochaine grâce aux deux antennes rattachées à la Cité, à savoir l’Institut de Formation dans les Métiers de la Santé de Rabat (en cours de réalisation et offrant 560 places pédagogiques/an) et l’Institut de Formation dans les Métiers de l’Agro-Industrie de Kénitra (Projet réalisé avec une capacité de 440 stagiaires/an).

L’offre de formation dispensée par la Cité des Métiers et des Compétences de Rabat-Salé-Kénitra concerne ainsi 8 secteurs métiers, dont 4 nouveaux, choisis en tenant compte des spécificités du tissu économique régional. Elle se déclinera en 105 filières de formation, dont 80 filières nouvellement créées et 25 filières restructurées et actualisées. Il s’agit d’une offre diversifiée, tournée vers les nouveaux métiers. Les principales familles de métiers retenues concernent les secteurs du Digital et Intelligence Artificielle (22 filières), de la Santé (15 filières), de l’Agriculture (14 filières), du Tourisme & Hôtellerie (13 filières), de Gestion & Commerce (13 filières), de l’Industrie (11 filières), de l’Agroalimentaire (11 filières) et des services à la personne et à la Communauté (6 filières).

En plus des formations diplômantes ouvertes sur les niveaux Technicien spécialisé, Technicien et Qualification, la carte de formation de la CMC de Rabat-Salé-Kénitra offrira également des formations qualifiantes, de courtes durées, qui permettront l’acquisition ou l’approfondissement de compétences spécifiques et l’obtention d’un certificat de formation.

Les stagiaires de la CMC bénéficieront également d’un système de passerelles favorisant de meilleures perspectives d’évolution et d’insertion des jeunes.

Fruit d’un partenariat entre l’OFPPT, le Fonds Hassan II pour le développement économique et social et le Conseil Régional de Rabat-Salé-Kénitra, ce projet a nécessité un investissement estimé à 380 MDH. Ce budget ne couvre pas le coût des deux Instituts spécialisés dans les métiers de la Santé et de l’Agro-Industrie rattachés à la nouvelle Cité.

La CMC de Rabat-Salé-Kénitra est la 4ème Cité des Métiers et des Compétences à ouvrir ses portes pour accueillir les jeunes en formation, après celles de Souss-Massa, l’Oriental et de Laâyoune-Sakia-El Hamra qui ont démarré la formation entre octobre et novembre 2022.

fr.hespress.com




Les tentatives militaires périlleuses des USA et de la Corée du Sud

Un commentaire (29/05/2023) de la KCNA (Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréenne créée en 1946, NDLR) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, juste 3 ans après la Libération Nationale; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, se lit comme suit;

Bien que nous le suivons de près avec patience sans rien faire, les USA (occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 après leur fiasco d’agression en 1866 et insolents ou orgueilleux comme Gendarmes ou Juges internationaux avec leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) et la Clique fantoche de la Corée du Sud (DROM-COM des USA -comme le Japon depuis 1945- pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner son côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) ne cessent de se livrer, frénétiquement, à leurs manœuvres belliqueuses qui franchissent une autre phase d’aggravation de la situation.

Ce 25 mai, les ennemis ont effectué les «exercices conjoints destinés à l’anéantissement par la puissance de feu en commun» d’envergure sans précédent dans une zone contiguë à la Ligne de Démarcation Militaire (LDM tracée en 1945 par les Puissances sur le 38ème parallèle de la Péninsule coréenne, NDLR). Ces exercices divisés en 5 étapes jusqu’au 15 juin relèvent, comme le montre bien leur appellation, des simulacres de guerre on ne peut plus dangereux.

Rien que dans les exercices de la 1ère étape, étaient mobilisés plus de 2.500 têtes des 71 unités de forces combinées des troupes US et de l’Armée fantoche sud-coréenne, et plus de 610 armes des forces terrestres et aériennes, entre autres chars, blindés, chasseurs et drones. Les présents exercices, empestant lair d’odeur de poudre, se sont effectués, de façon frénétique, sous le thème de;

  • la «frappe conjointe sur les unités d’artillerie, les postes de commandement et d’appui du Nord» menée par les USA et l’Armée fantoche de la Corée du Sud
  • la «surveillance de reconnaissance des objectifs essentiels du Nord et de la frappe sur ceux-ci à l’aide des forces aériennes et d’artillerie» dans les parages de la LDM, etc.

Avant le début de ces exercices, la Clique fantoche sud-coréenne a révélé sa folie de confrontation en proférant des propos déplacés de nature belliqueuse tels que;

  • «Ce serait une démonstration des capacités militaires de pointe de l’Alliance USA-Corée du Sud pour la réalisation de la paix au moyen de la force.»
  • «On achèvera, dans un bref délai, l’opération grâce aux forces et capacités militaires conjointes écrasantes des armées alliées des USA et de la Corée du Sud.», etc.

Les «exercices conjoints destinés à l’anéantissement par la puissance de feu en commun» ne sont pas de simples exercices militaires ordinaires, mais ceux pratiques on ne peut plus méprisables et menaçants comme une démonstration d’une guerre agressive. C’est une conception dangereuse de recourir aux armes pour écraser notre RPDC. Comme tout le monde le sait, les USA et les fanatiques de guerre de la Corée du Sud ont perfectionné les menaces et le chantage militaires et les tactiques de guerre contre notre RPDC au cours de leurs «exercices d’anéantissement»-ci effectués, à 11 reprises depuis le mois de juin 1977 jusqu’à présent, suivant le scénario de guerre d’après lequel, une fois éclatée une guerre dans la Péninsule coréenne, les forces alliées des armées terrestres, navales et aériennes des USA et de la Corée du Sud «châtieront» notre RPDC au moyen des «armes dernier cri».

Ces chiffres nous permettent de se faire une idée nette que les impérialistes US et les bandits fantoches sud-coréens se sont, beaucoup, remués pour l’exécution desdits exercices. Vers la fin 2022, ils ont révélé, ouvertement, la nature belliqueuse des exercices, en parlant de;

  • la «participation de gros effectifs militaires de pointe»
  • l’«envergure sans précédent»
  • la «démonstration de la frappe puissante et de la mobilité de l’Alliance».

Au fur et à mesure que les préoccupations et la protestation de la Communauté internationale sur la gravité de ces exercices gagnent en ampleur, les USA ont affirmé, à la veille du début dudit entraînement; Les présents exercices consacrés à l’emploi de la puissance de feu conjointe sont de nature défensive et visent à aider la mise en œuvre des capacités d’opération mutuelle.

Ce faisant, ils cherchaient à masquer la dangerosité de leurs exercices, en remplaçant l’expression sensible «anéantissement» par le terme «emploi». Or, les fantoches sud-coréens, au contraire de leur suzerain, ont prétendu et souligné; Ce sont les exercices conjoints destinés à l’anéantissement par la puissance de feu en commun. … Ceux-ci visent à améliorer les capacités d’accomplissement de l’opération militaire conjointe USA-Corée du Sud. … Les forces de dissuasion seront renforcées à travers le mouvement pratique et l’exercice de tir réel.

Tout cela nous suffit de savoir le vrai visage belliqueux des ennemis, désireux de nous exterminer sous le manteau de la «sécurité». Les laquais ou chiens des USA aboient souvent que les actes de notre RPDC engendrent les «menaces sérieuses» tandis que ceux de quiconque assurent la «sécurité durable», car ils ressentent de l’inquiétude de sécurité, de la persécution et de l’obsession. Chose que nous ne pouvons pas passer sous silence, c’est que les ennemis déploient d’autres actions militaires ayant un aspect de guerre nucléaire, parallèlement aux présents exercices;

  • En ce moment même, la 7ème Armée de lair US et l’Armée de l’air sud-coréenne se livrent, follement, à leurs exercices conjoints aériens dans le ciel de la Corée du Sud.
  • A partir de ce 30 mai, sont prévus les «exercices conjoints de barrage maritime» avec leurs forces satellites y compris le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR), sur la mer aux environs de lîle Jeju-do.
  • Le Département US de la Défense a publié; Bon nombre d’avoir stratégiques, entre autres les chasseurs F-22 et F-35 et le bombardier stratégique B-1, seront introduits le jour d’exercices conjoints en Corée du Sud.

La situation actuelle où les «exercices conjoints destinés à l’anéantissement par la puissance de feu en commun» et d’autres manœuvres militaires ont lieu simultanément, montre bien l’intention sournoise des ennemis de lancer, à n’importe quel moment, une guerre totale (la 1ère en 1950-1953, NDLR) contre notre RPDC dans l’air, sur terre et sur mer en mobilisant tous leurs avoirs stratégiques. C’est une situation vraiment critique.

L’histoire a prouvé que les exercices militaires incessants menés par les impérialistes et les fanatiques de guerre et leurs tentatives d’augmentation d’effectifs militaires étaient suivis, sans faute, des manœuvres militaires agressives et criminelles contre les autres Pays;

  • Personne ne peut garantir que lesdits exercices des USA et des fantoches de la Corée du Sud ne sont voués à l’invasion armée totale contre notre RPDC.
  • Il n’est pas exagéré de dire que le scénario de guerre d’agression contre notre RPDC est entré dans une étape d’application en passant par celle d’exercice.

Nous aimerions les interroger s’ils pourraient faire face à des conséquences engendrées par leurs manœuvres de guerre périlleuses devant les forces armées de la RPDC dont ils qualifient, eux-mêmes, d’adversaire préoccupant et menaçante.




Chine-RDC : Une étudiante congolaise de l’Université Tsinghua raconte son histoire en Chine

Sur l’invitation du président chinois, Xi Jinping, la Chine accueille actuellement le président de la RDC, Félix Tshisekedi.

Depuis plusieurs années, le gouvernement chinois accepte les demandes de bon nombre d’étudiants congolais voulant poursuivre leurs études en Chine. Lors d’une émission spéciale de CGTN Français, la journaliste Xu Zhike s’entretient avec une étudiante congolaise en master en relations internationales de l’Université Tsinghua, Trinella Mbaka.

Rien ne la destinait à venir découvrir la Chine, car elle n’y a aucun attachement familial. Avant de venir, elle ne connaissait le pays que par le biais de films chinois. Elle y vit pourtant depuis désormais 6 ans. C’est en Chine qu’elle a obtenu sa licence avant de s’inscrire en master. Elle explique les similitudes et les différences entre la Chine et son pays natal. Par exemple, du point de vue culinaire, elle signale que les aliments sont les mêmes, mais pas la façon de les préparer. Culturellement, elle remarque qu’une des similitudes entre la Chine et la RDC est la dot à préparer en vue d’un mariage, mais qu’à première vue, les ressemblances majeures s’arrêtent là.

Elle raconte que l’une des choses qui l’a marquée en Chine, c’est la population. Elle trouve les Chinois studieux et travailleurs.

Rappelant que la Chine et la RDC peuvent se féliciter de cinquante ans de relations amicales, Trinella souligne qu’elle nourrit de grandes attentes à propos des relations entre ses deux pays, notamment la concrétisation des projets et des accords qui ont été signés. Elle considère que la RDC et la Chine peuvent entretenir des relations gagnant-gagnant car la RDC possède des mines, et la Chine la technologie pour les exploiter.

Selon elle, la réalisation de ses rêves de bonne entente et d’accomplissement professionnel passe par la communication réciproque. Elle considère la Chine comme son deuxième pays puisqu’elle y habite depuis l’âge de 18 ans. Elle espère que de plus en plus de Congolais apprendront comme elle le chinois et qu’un nombre croissant de Chinois apprendront le français ou une des langues natives de la RDC.

Source : CGTN




C24 : La réponse cinglante de Omar Hilale aux propos provocateurs et tendancieux de son homologue algérien

Exerçant plusieurs droits de réponses aux déclarations provocatrices et tendancieuses du représentant permanent algérien à l’ONU, Amar Benjama, lors du séminaire annuel du Comité onusien des 24 (C24), l’ambassadeur du Maroc auprès de l’organisation internationale, Omar Hilale, a souligné que la décolonisation du Sahara marocain est définitivement scellée depuis 1975, en vertu de l’Accord de Madrid.

Devant ce séminaire réuni cette semaine à Bali en Indonésie, Hilale a exprimé la reconnaissance et l’appréciation du Royaume à l’écrasante majorité des membres du Comité des 24 pour leur soutien à la marocanité du Sahara et à l’Initiative d’autonomie.

“A ceux qui soutiennent le processus politique onusien et l’Envoyé personnel du SG, Staffan de Mistura, je réaffirme l’engagement résolu du Maroc dans ce processus afin de parvenir à une solution réaliste, pragmatique, durable et de compromis à ce différend régional, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité, dont la résolution 2654”, a-t-il ajouté.

“A ceux qui parlent toujours de décolonisation, nous leur disons que la décolonisation du Sahara marocain est close. Elle a été achevée en 1975 avec l’Accord de Madrid, qui a été déposé auprès du Secrétaire général de l’ONU et endossé par l’Assemblée générale, la même année”, a tenu à rétorquer Hilale, notant que la question du Sahara est une question d’intégrité territoriale du Royaume et nullement de décolonisation.

S’adressant à ceux qui prônent l’autodétermination et instrumentalisent la résolution 1514, il les a interpellé sur leur silence coupable sur les autres résolutions des Nations Unies, particulièrement les résolutions 1541 et 2625, qui préservent l’intégrité territoriale des États. Il a dénoncé une lecture “biaisée et idéologique” du principe de l’autodétermination et de la résolution 1514.

L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU a, en outre, souligné que “l’intégrité territoriale prime sur le droit à l’autodétermination”, affirmant que “le principe de l’autodétermination est un droit positif, qui n’a pris naissance qu’en 1960, grâce à la résolution 1514”, alors que celui de l’intégrité territoriale existe depuis que l’Homme existe, depuis que les Etats ont été fondés. “Il s’agit donc d’un droit multiséculaire”, a martelé l’ambassadeur.

Relevant que l’autodétermination n’est pas un principe à la carte, le diplomate a indiqué qu’on ne peut prétendre appliquer ce principe pour un soi-disant peuple et le refuser à d’autres. Le droit international est universel et doit s’appliquer à tous, a-t-il insisté.

Répondant à l’interrogation insidieuse du diplomate algérien sur les “obstacles” dressés devant le règlement politique de la question du Sahara marocain, Hilale a noté que le Maroc a toujours soutenu le processus politique et l’Envoyé personnel du SG de l’ONU et accepté les résolutions du Conseil de sécurité.

Abondant dans sa réplique, l’ambassadeur marocain a confronté son homologue algérien: “Qui rejette officiellement les résolutions du Conseil de Sécurité ? Qui refuse de retourner au processus de tables rondes? Qui objecte au recensement des populations des camps de Tindouf ? Qui abrite sur son territoire un groupe séparatiste armé contre son pays voisin ? Qui renie le principe du bon voisinage ? Qui refuse le règlement pacifique des différends par le dialogue prôné par la Charte des Nations Unies ? ”.

Hilale a, en outre, exprimé le vif souhait que ce différend bilatéral puisse être réglé dans le cadre du processus politique onusien soutenu par la communauté internationale, soulignant que l’Initiative marocaine d’autonomie est la seule solution à ce conflit artificiel, qui “permettra le retour de nos frères et sœurs des camps de Tindouf à leur mère patrie, le Maroc”.

Abondant dans le sens d’un intervenant qui a indiqué que la question du Sahara marocain ne doit plus être discutée dans le cadre du C24, l’ambassadeur a fait observer qu’effectivement le Conseil de sécurité ne la considère pas comme une question de décolonisation, mais de paix et de sécurité, dans le cadre du Chapitre VI de la Charte des Nations Unies.

Il a, dans ce sens, rappelé que l’Article 12 de cette Charte demande à ce que l’Assemblée générale et ses organes subsidiaires, dont la 4è commission et le C24, s’abstiennent d’intervenir sur tout sujet lorsqu’il est examiné par le Conseil de sécurité. Ce qui est actuellement le cas pour le Sahara marocain.

Le diplomate a, de même, rappelé que la question du Sahara marocain est un différend politique auquel l’Algérie est partie prenante, raison pour laquelle l’Algérie est citée à cinq reprises dans les dernières résolutions du Conseil de Sécurité.

Et de souligner que ce différend sera réglé lorsque l’Algérie reprendra sa place à la table ronde, conformément à la résolution 2654, et ce dans le plein respect de l’intégrité territoriale du Royaume.

Réagissant à des propos tronqués de l’ambassadeur algérien sur le respect par le Maroc de ses engagements pour résoudre ce différend, Hilale a précisé que le Royaume a toujours respecté ses engagements pour le règlement de ce différend dans le cadre du dialogue entre le Maroc et l’Algérie.

Il a, dans ce cadre, rappelé que le Roi Mohammed VI avait, à plusieurs reprises, tendu la main à Son frère le président algérien pour discuter, sans conditions, de toutes les questions bilatérales, que ce soit celle du Sahara marocain ou de l’ouverture des frontières qui sont fermées depuis plus de trois décennies, ou encore de réunions sectorielles et de coopération bilatérale.

“Le Maroc est toujours animé par une bonne volonté, de paix, de bon voisinage et de fraternité”, a-t-il souligné, émettant le souhait que cela sera possible très prochainement.

L’ambassadeur a conclu en exprimant l’espoir qu’une dynamique vertueuse soit enclenchée entre les deux pays, “parce qu’il n’y aura pas de solution à ce différend sans engagement de la part du pays voisin, l’Algérie, pour que l’on puisse trouver une solution dans le cadre du respect de l’intégrité territoriale du Maroc et du bon voisinage, et in fine la réalisation du rêve du grand Maghreb arabe”.

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Algérie : L’opposant Karim Tabbou, figure du hirak, placé sous contrôle judiciaire

L’opposant et activiste politique algérien, Karim Tabbou, a été placé , jeudi, sous contrôle judiciaire, deux jours après son interpellation par des agents en civil, selon une ONG algérienne.

L’ex-détenu d’opinion et figure du mouvement de contestation populaire du Hirak a été présenté, jeudi matin, devant le procureur près du tribunal de Koléa (nord), puis devant le juge d’instruction, qui a décidé son placement sous contrôle judiciaire, précise le Comité algérien pour la libération des détenus d’opinion (CNLD) dans un post, notant que la partie qui a procédé à son arrestation demeure inconnue.

Cité par le CNLD, l’avocat de Karim Tabbou, Me Toufik Belala, avait dénoncé les violations des droits de son client, qui se trouve actuellement chez lui, lors de la procédure de son arrestation et son maintien en garde à vue dans un lieu secret.

Le coordinateur de l’Union démocratique et sociale, parti non agréé par les autorités algériennes, a été arrêté, mardi à Alger, par des agents en civil sans s’être informé des motifs de cette interpellation.

Tabbou a été interpellé plusieurs fois depuis le début du Hirak en 2019 et incarcéré entre septembre 2019 et juillet 2020. Il a été condamné à une année de prison ferme en mars 2020 et à une année de prison avec sursis en novembre de la même année dans deux affaires distinctes.

Le coordinateur de l’UDS a été interpellé en août 2022 à Ifri (nord) avant d’être relâché. Le 29 avril de la même année, Karim Tabbou a été placé sous contrôle judiciaire par le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger), suite une plainte déposée à son encontre par Bouzid Lazhari, alors président du Conseil algérien des droits de l’Homme (CNDH).

Pour rappel, une grande vague d’arrestations est menée contre de nombreux militants, journalistes et défenseurs des droits humains en Algérie où les libertés fondamentales et droits humains continuent d’être ignorés, violés et délibérément mis à mal.

 

Selon les organisations de défense des droits de l’Homme, quelque 300 prisonniers d’opinion croupissent, certains depuis plus de trois ans et sans le moindre procès, dans les geôles algériennes.

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Xi Jinping assiste à la cérémonie de signature avec le président de la République démocratique du Congo

L’après-midi du 26 mai, le président chinois Xi Jinping a assisté à la cérémonie de signature au Grand Palais du Peuple avec le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui est en visite d’État en Chine.
(Source / Photo : cctv.com)




La RPDC et sa contribution au développement indépendant du Continent africain

Un commentaire (24/05/2023) de SONG Se Il, Président de l’Association RPDC-Afrique (RPDC; République Populaire Démocratique de Corée, créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, se lit comme suit;

En mai 1963, les Chefs d’État et de Gouvernement des 32 Pays africains réunis à Addis-Abeba de l’Éthiopie ont;
• convenu que l’unité et l’intégration étaient essentielles pour apporter la prospérité et le progrès à leur Continent
• annoncé, sur base de cette compréhension commune, la création de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA remplacée par l’Union Africaine -UA- en 2002 avec ses 55 membres, NDLR).
L’OUA a apporté ses contributions substantielles à la promotion de la coopération et de l’unité entre les Pays de la Région qui s’efforçaient de;
• s’opposer à l’impérialisme, au colonialisme et au racisme
• obtenir la liberté et la libération complètes de l’Afrique.
Les Peuples africains célèbrent le 25 mai, jour de la fondation de l’OUA, comme la Journée Mondiale de l’Afrique. Dans les fières annales (60 ans) d’efforts prolongés des Pays africains pour le développement indépendant et la prospérité, sont enregistrés les exploits immortels du Président KIM IL SUNG (1912-1994) qui a apporté son soutien matériel et moral sans réserve dans leur lutte pour l’indépendance nationale et la construction d’une nouvelle société;
• Lorsque Antonio Agostinho NETO KILAMBA (1922-1979 ; le tout 1er Président de l’Angola et Chef du Mouvement Populaire de Libération de l’Angola, NDLR), est venu de loin pour visiter Pyongyang (Capitale de la RPDC) en octobre 1968, le Généralissime KIM IL SUNG lui a clarifié les stratégies directrices pour la lutte anticoloniale du Peuple angolais pour la libération nationale. De nouveau en août 1971, il a exposé les approches détaillées de la lutte anticolonialiste auprès de cet homme d’état angolais cherchant les solutions aux difficultés auxquelles est confronté son propre Pays.
• En décembre 1975, le grand Leader KIM IL SUNG a pris les mesures pour fournir une aide matérielle et technique sans réserve de notre RPDC en faveur de Didier RATSIRAKA (1936-2021 ; Deba ou Amiral Rouge et Président malgache, NDLR) lorsqu’il l’avait demandée pour contrer les tentatives vicieuses de la clique raciste de freiner l’avancée de son Peuple vers un nouveau développement après la fondation de la République Démocratique de Madagascar (2ème république, NDLR).
• A chaque Sommet de l’OUA, l’Eternel KIM IL SUNG a fait preuve de sa ferme solidarité envers la juste cause des Peuples africains de s’opposer à toute forme de domination et de subordination et de parvenir à la paix et à la prospérité de la Région, renforçant, ainsi davantage, les liens d’amitié et d’unité avec les Pays de la Région. En 1983, il a fait envoyer une équipe d’experts de notre RPDC, à Conakry de la Guinée qui abritait la 20ème édition du Sommet de l’OUA, pour construire une magnifique salle de conférence comme le symbole d’amitié RPDC-Afrique.
• Rien qu’en 1992, KIM IL SUNG, Soleil du 20ème siècle, a rencontré, respectivement, les Présidents de la Guinée Equatoriale (Teodoro Obiang NGUEMA MBASOGO 1942- ), de l’Ouganda (Yoweri Tibuhaburwa Kaguta MUSEVENI 1944- ), de la Guinée (Lansana CONTE 1934-2008) et de la Sierra Leone (Joseph Saidu MOMOH 1937-2003) en visite officielle d’amitié dans notre Pays, a exprimé son soutien et son encouragement à leur lutte pour une nouvelle société et a proposé les solutions impeccables pour les enjeux du développement indépendant du Pays et de la construction de l’économie nationale. Enfin, il a accordé sa grande attention au développement des relations amicales avec les Pays africains jusqu’au dernier moment de sa vie.
Ainsi, les Chefs d’État et de Gouvernement et les personnalités de différents milieux de l’Afrique lui ont décerné de nombreux décorations, médailles et titres d’honneur (au total 372 à l’échelle mondiale avant et après son décès inopiné, NDLR) ainsi que de nombreux cadeaux en signe de respect et de révérence sincères pour lui qui était un enseignant bienveillant et un véritable ami des Peuples africains, ayant apporté son soutien sans réserve à leur lutte pour l’indépendance nationale et l’édification d’une nouvelle société. Ses exploits brilleront, à jamais à travers les générations, pour avoir éclairé la voie à suivre pour les Peuples africains dans leur lutte pour l’indépendance et la justice et posé les bases solides des relations traditionnelles d’amitié et de coopération entre notre RPDC et les Pays de la Région. Nous nous engageons à;
• soutenir, pleinement, les Pays de la Région dans leurs efforts pour parvenir à la paix, à la stabilité et à l’intégration politico-économique du Continent, et construire une Afrique prospère par leurs propres efforts
• contribuer au développement des relations d’amitié et de coopération avec les Pays africains.




Plus d’un million de personnes déplacées en 130 jours en Somalie, selon le HCR

Un mélange de conflits, de sécheresse sévère et d’inondations dévastatrices a forcé plus d’un million de personnes en Somalie à fuir leurs maisons en seulement 130 jours, un taux de déplacement record pour ce pays de la Corne de l’Afrique, a indiqué le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) dans un communiqué rendu public mercredi.

Les chiffres enregistrés par le HCR et le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC) montrent que le conflit a été l’une des principales causes de déplacement entre le 1er janvier et le 10 mai de cette année. Dans le même temps, plus de 408.000 personnes ont été déplacées par les inondations et 312.000 autres par la sécheresse.
La plupart d’entre elles ont fui vers les régions de Hiraan (centre de la Somalie) et de Gedo (sud).
“C’est une grande tragédie de constater l’impact sur les personnes les plus vulnérables de Somalie. Elles sont les moins responsables du conflit et de la crise climatique, mais elles sont les plus durement touchées”, a déclaré Magatte Guissé, représentant du HCR en Somalie, cité dans le communiqué.
Au total, plus de 3,8 millions de personnes sont actuellement déplacées en Somalie, ce qui aggrave une situation humanitaire déjà désastreuse où quelques 6,7 millions de personnes luttent pour satisfaire leurs besoins alimentaires, a précisé l’agence onusienne basée à Genève, en Suisse.
“Les besoins humanitaires en Somalie ne cessent de croître. Nous travaillons avec les agences humanitaires pour répondre au mieux, mais avec les nouveaux déplacements qui augmentent chaque jour, les besoins sont écrasants”, a souligné M. Guissé.




La République de Corée lance avec succès huit satellites

La République de Corée a lancé jeudi sa propre fusée spatiale pour aller placer huit satellites en orbite, marquant ainsi le deuxième lancement de fusée réussi du pays.
Le lanceur KSLV-II, également appelé Nuri, a décollé du centre spatial de Naro, près du village côtier de Goheung (sud), à 18h24 heure locale (9h24 GMT), selon les images diffusées en direct par l’Institut coréen de recherche aérospatiale (KARI).
La séparation du premier étage est survenue environ deux minutes après le décollage et l’engin a atteint l’altitude cible de 550 km à 18h37 (9h37 GMT), larguant les satellites un par un toutes les 20 secondes.
Après les séparations, le troisième étage de la fusée a poursuivi son vol et son moteur s’est arrêté à 18h42 (9h42 GMT).
Il s’agit du deuxième lancement réussi de la fusée Nuri, après celui en juin de l’an dernier pour mettre en orbite un satellite factice et un satellite de vérification des performances. Le premier lancement d’essai de la Nuri avait échoué en octobre 2021, lorsque la fusée avait atteint une altitude cible de 700 km, sans réussir à mettre en orbite un satellite factice, son moteur d’appoint du troisième étage ayant épuisé son carburant plus tôt que prévu.
Le pays d’Asie de l’Est a investi près de 2.000 milliards de wons (1,5 milliard de dollars) au cours de la dernière décennie pour développer lui-même un lanceur spatial capable de déployer un satellite pratique de 1,5 tonne sur l’orbite terrestre basse.
La fusée Nuri est composée de quatre moteurs à carburant liquide de 75 tonnes dans le premier étage, d’un moteur de 75 tonnes dans le deuxième étage et d’un moteur de 7 tonnes dans le troisième étage.